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CRITIQUE/BOOK REVIEW 


 

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Paul De Marco, LOI DE LA VALEUR, REPRODUCTION ET PLANIFICATION SOCIALISTE: Introduction méthodologique, 01 nov. 2012. (voir Download Now plus bas)

Paul De Marco, Law of value, reproduction and socialist planning : Methodological introduction (see Download Now lower)

Paolo De Marco, Legge del valore, riproduzione e pianificazione socialista : Introduzione metodologica (vedi Download Now qui sotto)

Paul De Marco, Excerpt from For Marx, against nihilism/Pour Marx, contre le nihilisme, Part Two: For a Marxist psychoanalysis theory.

Paul De Marco, Synopsis of Marxist Political Economy, (Draft) Copyright © La Commune, Nov 26, 2012-Jan 29, 2013 (Translated in November 2013.)

Paul De Marco, Compendio di economia politica marxista, (Abbozzo), Copyright © La Commune, Nov 26, 2012-Jan 29, 2013.

Paul De Marco, Précis d'économie politique marxiste, (Ebauche), Copyright © La Commune, Nov 26, 2012-Jan 29, 2013

Paul De Marco, Tous ensemble (incluant Le cycle de la gauche plurielle), éditions La Commune, 2002. (173 pages) LIVRE I

ISBN : 0-9731504-0-8

Paul De Marco, Pour Marx, contre le nihilisme, éditions La Commune, 2002. ( 219 pages) LIVRE II

ISBN : 0-9731504-1-6

Paul De Marco, Keynésianisme, Marxisme, Stabilité Economique et Croissance - Keynesianism, Marxism, Economic Stability and Growth, éditions La Commune, 2005. BILINGUE BILINGUAL ( 365 pages) LIVRE III

ISBN : 0-9731504-2-4

Ebauche/first draft: Paul De Marco, Nietzsche as an awakened nigthmare. click here

Paul De Marco, HEIDEGGER, THE INTIMATE CORRUPTION OF THE SOUL AND OF HUMAN BECOMING.

Note: Plusieurs autres textes sont accessibles mais ne sont encore qu'à l'état de premier jet/Other essais are also made available thought they are still in the form of drafts.

 

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CONTRIBUTION CONTRE LA GUERRE THEOCRATIQUE ET FASCISANTE.

 

VERS DE NOUVELLES " 21 CONDITIONS "  COMMUNISTES.

 

Par

Paul De Marco

Ex-professeur de Relations Internationales (Economie Politique Internationale)

 

Ce 8 mars 2003, Les Editions La Commune ont décidé de s'engager à leur façon contre la guerre unilatérale que les forces théocratiques et fascisantes d'aujourd'hui livrent à la liberté, à l'égalité et à la conscience humaine partout dans le monde et en premier lieu en Palestine en mettant gratuitement à la disposition de tous les militants et de tous les visiteurs du site les livres Tous ensemble et Pour Marx, contre le nihilisme (1) Je crois offrir ainsi deux ouvrages théoriques de première importance qui revendiquent fièrement leur rigueur académique et leur authenticité communiste. Jugez-en vous-mêmes.

 

Toute utilisation légitime des idées, concepts et théories contenues dans ces deux livres est encouragée en autant que les références soient dûment notées puisque cela relève de la plus simple honnêteté intellectuelle et demeure, hors de tout individualisme de mauvais aloi, nécessaire à l'étude éventuelle de l'évolution sociale des idées et des praxis ainsi qu'à leur développement authentique.

 

 

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En très peu de temps, Pour Marx, contre le nihilisme a eu le douteux honneur saint-simonien de voir toute la misère pseudo-philosophique et pseudo-psychanalytique du monde s'abattre sournoisement sur lui à la manière des faussaires et des plagiaires alors même qu'il s'élaborait, précipitant ainsi sa publication. Pour le dire en toute modestie, pas plus que celles de Marx, du génial Emile Pacault, ni d'aucun penseur bolchevique avant moi, mes idées n'ont besoin d'être " reformulées " et " réinterprétées ", c'est-à-dire aseptisées, déformées et dévaluées par des scribouilleurs non-communistes qui ne se sont certes pas donné la peine de les enfanter et qui ont un intérêt personnel à les dénaturer tout en faisant peser sur les textes originaux un manteau de silence.

 

Ces êtres kafkaesques de droite, nombreux au Canada et au Québec, tapis derrière les opérateurs des systèmes Echelon, Carnivore et d'autres systèmes semblables, et rampant dans les courriers électroniques qui ne leur sont pas adressés, se reconnaîtront aisément, en premier lieu ceux provenant de cette infime petite minorité si imbue d'elle-même et de sa fallacieuse et si prétentieuse liste Warhol de la " supériorité intellectuelle ", cet enfantillage grotesque croqué style publicitaire et sériel à la manière inconsciemment suggestive d'autres boites de conserve. Prenons garde à ne pas devenir pire que notre caricature en nous croyant trop hâtivement les " "maîtres du monde " et à ne pas sombrer dans cette mentalité éminemment " riff-raff " selon le mot de Freud plagiant Nietzsche lequel empruntait lui-même à une expression courante italienne ramassée alors qu'il " honorait " la pauvre Péninsule de son " éblouissante "  élévation vers le bas d'avant-garde philo-sémite ! Que d'individualisme élitiste de mauvais aloi campant sur l'usurpation et la fraude érigées en système ! Dans le monde de l'épigraphie philo-sémite nietzschéenne, comme on sait, il n'est nullement exceptionnel de voir la Sibylle se faire dérober quelques voiles, voire, dans les pires des cas, quelques tiroirs intimes. Or, mes textes, pas plus que ceux de nos camarades bolcheviques et authentiquement marxistes ne sont des signes occultes s'abreuvant de l'obscurité. Ils revendiquent au contraire leur part de lumière et de critique acérée mais fraternelle comme gage de leur perpétuelle renaissance sous des formes toujours plus variées et toujours plus raffinées.

 

Dans un contexte de servilité et de culpabilisation perversement généralisées, on me doit, entre autre chose, la mise en lumière du danger relié au retour d'un théocratisme fascisant et raciste à la moelle ainsi que la revendication altière d'une distinction marxiste nette entre l'antisémitisme et l'antisionisme de droite, une distinction dirigée contre le sionisme fasciste pratiqué par des criminels de guerre à la Sharon et compagnie, ce qui me permit d'aboutir à ma conception marxiste de l'exclusivisme* (voir sur le même site " Le lit du néo-fascisme "  et son " Annexe ", section Fascisme/Racisme/Exclusivisme .) Peu de personnes peuvent réellement apprécier le prix émotif et les efforts intellectuels soutenus qui furent nécessaires dans notre contexte contemporain pour redécouvrir ce concept déjà contenu dans les œuvres de Feuerbach, de Marx, de Ernst Bloch et de quelques autres. Il me fallut remettre à plat toutes mes idées les plus chères pour reposer le problème à neuf à la lueur des dangers imminents dont la tragédie palestinienne ne représentait que le sommet émergé de l'iceberg, pour voir, au bout du chemin, ces mêmes idées couronnées d'une cohérence et d'une lumière critique nouvelle, celles de la fraternité humaine vraie. Ayant ouvert le débat qui donc se croit de taille à pouvoir aujourd'hui m'en exclure dans le but d'en limiter arbitrairement le terrain, renouvelant ainsi l'éternel terreau sur lequel prospèrent les inepties racistes alimentant cette idéologie théocratique arrogante toujours prête à renaître avec les oripeaux d'emprunt nécessaires à sa perpétuation et à celle de ses privilèges de caste ? Qui, en effet, n'est pas fréquentable ?

 

En définitive, c'est la règle historique, le prolétariat et les peuples, y compris le prolétariat juif et le peuple israélien, trancheront, mais après qu'on leur ait fait payer quel prix et quels sacrifices? Malgré la récente tentative de poser la première pierre et malgré l'imminence de la guerre préventive permanente lancée contre l'Islam et ses représentations étatiques, on s'obstine à taire la problématique criminelle de la reconstruction du Temple illégitime de Salomon sur les cendres de l'Esplanade des Mosquées. On parle de toute autre chose, par exemple de guerre et de pétrole alors qu'une grande partie du pétrole iraquien est toujours vendu à nul autres qu'aux Etats Unis. On fait de la problématique du temple un tabou destiné à paver la voie d'un fait accompli qui impliquera nécessairement la déportation en masse des Palestiniens présents sur le territoire désigné comme appartenant de droit divin au Grand Israël. Une déportation que les mêmes " humanitaires " tentent de masquer par l'euphémisme  navrant de " transfert de population " et qu'ils tentent de justifier encore par la lutte au terrorisme alors qu'ils ne peuvent ignorer que ce terrorisme largement désarmé ne représente qu'une faible réaction à l'occupation militaire israélienne et aux provocations criminelles de Sharon et de sa bande de scélérats fascistes (Qui donc peut oublier que le processus d'Oslo, malgré les retards continuels et calculés des Israéliens produisirent sept années de paix troublées uniquement par les impulsions meurtrières des colons juifs et des faucons israéliens comme cela fut le cas lors du massacre perpétré le 25 février 1994 par le docteur judéo-fasciste et américanophile Baruch Goldstein au Caveau des Patriarches à Hébron ou encore lors de l'assassinat du Premier Ministre Rabin ?). En réalité, cet assourdissant silence, entretenu de toute part sous de fallacieux prétextes, n'est pas innocent. Il ne vise pas non plus à éviter de faire le lit de l'antisémitisme ce qui ne peut être accompli qu'à la lumière du jour. Il vise aussi à taire l'horreur planifiée pour mieux perpétuer, par tous les moyes disponibles, la sur-représentation des tenants de cette politique théocratique fascisante à tous les échelons importants du pouvoir d'Etat, des Appareils d'Etat ainsi qu'au sein de certaines factions dominantes des partis d'opposition pouvant éventuellement jouir de l'alternance politique. Par ce biais, il vise à affermir chaque jour davantage le contrôle idéologique des tenants auto-proclamés de ce retour théocratique-fascisant, ceux-là mêmes qui récemment n'hésitèrent pas à dénoncer la laïcité républicaine comme une " idéologie " dépassée. A la vérité, ce silence est destiné à protéger les tristes idéologues surnuméraires dont la scélératesse est allée jusqu'à salir la mémoire de la Résistance et en particulier de la Résistance communiste, en séparant, jusque dans les cimetières, les victimes de la Déportation et de la terreur fasciste et nazie pour mieux transformer ensuite une " Shoah " sélectivement amnésique et réinterprétée vénalement dans le but d'en faire un instrument de culpabilisation des consciences, et par conséquent un instrument froid de contrôle et de domination politique. Certains n'ont pas hésité parfois à transformer cette " Shoah " sélective en un catéchisme servant à usurper la Déclaration Universelle des Droits de L'Homme et sa revendication de l'égalité intrinsèque de tous les êtres humains pour mieux la retourner contre les dispositions anti-hégémoniques contenues dans la Charte de l'ONU. Ceci malgré le fait que personne ne peut ignorer, procès de Nuremberg, procès d'Eichmann et d'autres fauteurs de crimes contre l'humanité à l'appui, que cette culpabilisation n'avait prise que sur les consciences déjà convaincues de l'horreur des crimes nazis et qu'elle était ainsi superflue et à la longue dangereusement perverse.

 

Une histoire objectivement racontée serait plus efficace mais elle se conjuguerait mal avec le " retour " au pouvoir de fanatiques religieux persistant à voir l'avenir de l'humanité dans la restauration des castes élues de droit divin ! En effet, une règle cognitive bien connue veut que tout catéchisme devienne rapidement caduc et contre-productif lorsqu'il est confronté à des faits le remettant en cause de manière catastrophique ou bien encore lorsque ces faits persistent à nier de leur évidence quotidienne l'exactitude des dogmes et la plausibilité du credo " autorisé " et répété ad nauseum.

 

On aura beau attaquer et " pastoraliser "  l'Iraq, on aura beau lancer une guerre préventive permanente et museler l'opposition interne par tous les Patriot Acts qu'on voudra, si on continue à vouloir faire de " l'ingérence " sélective, soucieuse de l'intérêt de l'Empire mais n'ayant cure des trop réels génocides rwandais, si l'on n'impose pas immédiatement le respect intégral des Résolutions 242, 338 et 194 à l'Etat voyou israélien conduit par le criminel de guerre Sharon, rien ne pourra occulter la mainmise actuelle de la mafia sioniste chrétienne et juive sur les gouvernements américains successifs et sur tous les Appareils d'Etat des Etats-Unis ; rien ne pourra occulter le soutien dont dispose cette véritable mafia théocratique et fascisante parmi ces deux pour cent de la population américaine qui réclament leur religion comme définition ethnique propre et contrôlent aujourd'hui près d'un tiers de tous les emplois importants, ce qui lui ouvre la voie à une domination quasi absolue de la société civile et de la société politique, créant ainsi une hégémonie qui se vérifie facilement au sein d'un Congrès électoralement censitaire, comme au sein des professions libérales et des fonctions académiques sans naturellement oublier les grands médias ; rien ne pourra occulter le fait que ce " modèle " américain se répand partout, depuis le Canada où un Issy Asper, sans autre qualification que ses connections politiques et le fait d'avoir su encenser Trudeau, se permet aujourd'hui d'imposer sa ligne éditoriale et un contrôle idéologique strict à tous ses médias, en particulier lorsqu'ils traitent d'Israël et du Moyen-Orient ; qu'il s'est mis en place en Angleterre où un Conrad Black fit des pieds et des mains pour pénétrer le cercle d'influence manquant représenté par la Chambre des Lords quitte à renoncer pour cela à sa citoyenneté canadienne, et  jusqu'en Australie où, division du travail oblige, sévit un Murdoch du même acabit. Rien ne pourra occulter le fait que même en France cette dérive s'affirme, par les mêmes moyens. Ainsi de nouvelles générations arrivées au sommet des instances dirigeantes des organisations juives se sentent de plus en plus liées désormais à leurs patrons et modèles américains plutôt qu'à leur histoire citoyenne propre issue de la Révolution française, de l'indignation citoyenne provoquée par l'Affaire Dreyfus et de la Résistance. Un Edgar Bronfman, émule hexagonale de Conrad Black, fait rêver bien qu'il n'ait pas la réputation d'être un aigle ! Ces nouvelles générations n'en prétendent pas moins parler au nom de l'ensemble d'une petite communauté de quelque 300 000 âmes. Nombreux parmi elles travaillèrent assidûment au nettoyage idéologique de l'Europe de l'Est et des Balkans voire de l'ex-URSS et de la Tchétchénie avant d'oser s'en prendre à la laïcité, c'est-à-dire au cœur même de la République, dénoncée comme une simple idéologie par ces mêmes tenants du modèle américain qui crurent déceler dans les derniers scores électoraux de Le Pen l'annonce de la mise au pas de la communauté franco-musulmane forte pour sa part de quelque cinq millions citoyens chroniquement sous-représentés à tous les échelons ! Quoique l'on en pense, un tel bagage se conjugue mal avec l'ambition d'être les " nouveaux maîtres du monde " et celle d'utiliser la force brute à la manière de Sharon pour s'imposer au reste du monde, chaque fois que le nouveau catéchisme exclusiviste faillit dans sa tâche de légitimation. Que l'on prenne garde, même l'obstination égalitaire marxiste risque à la longue de ne plus suffire pour canaliser adéquatement les mécanismes d'autodéfense fondamentaux qui seront dramatiquement testés à mesure que la volonté de " palestiniser " le monde entier fera de plus en plus de victimes et réduira les espaces de liberté de tous ceux qui persistent à se sentir des citoyens à part entière plutôt que des " chandalas " soumis à des criminels de guerre avérés.

 

De ce point de vue, en tant que marxiste et homme de gauche, je ne peux que me réjouir de cette petite minorité grandissante au sein de la communauté juive de France d'abord, d'Israël et de toute la Diaspora ensuite qui a finalement eu le courage de prendre la mesure du danger et qui comprit en conséquence qu'il devenait auto-suicidaire de laisser sa propre histoire et sa destiné dans les mains de tous ceux qui se montrent toujours prêts, pour mieux assouvir leur soif de pouvoir, à confondre les principes qui relèvent de la sphère privée et ceux qui ne peuvent relever d'autre chose que de la sphère politique commune. Je constate néanmoins le soin méticuleux mis à éviter d'entreprendre, voire à user de son influence pour écarter, une véritable histoire de classe des communautés juives européennes et mondiales visant à faire ressortir la participation active de certains groupes à la montée idéologique, politique et financière du fascisme et du nazisme (cette face d'ombre si commode d'une histoire largement récupérée) ainsi que la lutte acharnée d'autres groupes mieux connus contre ces " retours "  de la barbarie. Faute de mener cette histoire non lacunaire à terme nous resterons victimes des monstrueuses arguties ayant cours aujourd'hui et nous pourrons difficilement parer aux dommages profonds causés par l'arrogante apologie de " argent des juifs " par des nihilistes aveugles se croyant finalement parvenus au " sommet " pour avoir bénéficié d'une courte échelle politique permettant de gravir rapidement des marches de marbre dont les factures restent notoirement empruntes d'une conception bien particulière de la coopération internationale. Au mieux, ce qui serait déjà en soit catastrophique, nous en resterions à la tentative fallacieuse de poser par tous les moyens plus ou moins spécieux et toujours trop commodes, le particulier pour l'universel.

 

Admettons-le, ces raccourcis historiques drapés dans la meilleure conscience du monde permettent l'érection d'un nouveau système inquisitorial fondant le pouvoir de la nouvelle caste des " directeurs de conscience " auto-proclamés. Les mêmes qui encensent aujourd'hui le supposé philo-sémitisme d'un Nietzsche et qui n'hésitent pas à se mettre à l'école d'un Heidegger ni à l'écoute attentive de Wagner. Car il faut bien apprendre " à penser contre soi même " pour contrôler ses adversaires et asseoir définitivement un pouvoir usurpé ! Dans leurs fantasmes pathologiques et  auto-suicidaires, ces aspirants grands inquisiteurs se voient déjà revêtus des oripeaux des " maîtres du monde " et rêvent déjà des cantiques qu'ils nous feront chanter servilement en chœur à leur gloire !    

 

La présente publication gratuite se veut aussi une accusation formelle de tous ces drôles qui non seulement déforment les idées en fonction de leurs intérêts matériels et de classe mais qui  continuent d'occuper des fonctions pour lesquelles leur manque flagrant d'honnêteté intellectuelle ne les a certainement pas élus.  Ces vulgaires faussaires et plagiaires sont facilement détectables. Ils ne subtilisent d'ailleurs que ce qui leur demande le moins de réflexion personnelle et leur cause le moins de controverse et de problèmes hiérarchiques : de manière très symptomatique les problèmes de " l'aliénation " toujours récupérables avec un vernis de Max Weber, de Freud voire de l'Ecole de Francfort les émoustillent, ceux de la loi de la valeur et de ses nécessaires médiations qui investissent tant la " personnalité " individuelle que la société dans son ensemble, forcément moins ! Ils nous convient ainsi à fréquenter en leur compagnie les trottoirs habituels. J'invite par conséquent les lectrices et les lecteurs à la vigilance critique : elle est nécessaire pour départager le bon grain de l'ivraie, condition sine qua non de tout prolongement créatif des concepts et des théories étudiés.

 

Je les invite également à réfléchir au fait que les peuples et le prolétariat n'accèdent que difficilement à un système d'éducation qui se veut pourtant public, démocratique voire républicain, et qu'ils sont partout majoritairement exclus des fonctions universitaires alors qu'ils n'en continuent pas moins à payer l'essentiel des impôts et de la plus-value nécessaires au soutien du système. Ce dernier dispense alors tout naturellement une connaissance toujours adaptée aux besoins des classes dominantes. Il importe que les peuples et le prolétariat sachent revendiquer leur participation pleine et entière à tous les échelons de la production, de la transmission et de la diffusion de la connaissance car c'est là le seul moyen de rendre le savoir à sa fonction véritable qui n'est autre que de révéler et de soutenir les conditions matérielles d'existence de consciences humaines libres et par conséquent intrinsèquement égales entre elles. Les quotas universitaires qui reviennent de droit au prolétariat et à ses porte-parole sont d'une importance stratégique puisque ce que Paul Baran appela la " longer view " se forge en grande partie dans les creusets universitaires, un " luxe social " jusqu'ici largement approprié par la bourgeoisie et payé par le prolétariat. Or, pas plus qu'il ne saurait y avoir de démocratie sans droits syndicaux, il ne saurait y avoir de démocratie réalisée sans l'articulation consciente des intérêts de chaque classe, de chaque groupe social et des citoyens qu'ils englobent et qui sont censés prendre rationnellement des décisions qui engagent leur sort et le sort de la communauté toute entière. Cette exigence est d'autant plus forte aujourd'hui que les forces de la régression intellectuelle et morale entendent utiliser tous les moyens militaires et techniques en leur possession pour mettre en place de nouveaux temples propres à contrôler les flux d'information et à " autoriser " ceux qu'ils jugent accessibles par des masses ayant préalablement été forcées de se débarrasser du " fardeau " de leur conscience et de leur liberté aux mains de nouveaux Grands Inquisiteurs auto-proclamés. Une véritable nouvelle révolution culturelle prolétarienne s'impose donc avec urgence et il faut espérer que les peuples et le prolétariat sauront se donner l'imagination et l'autonomie nécessaire pour la porter à terme.

 

L' " Avant propos "  de Tous ensemble me paraît suffisamment explicite. A la lueur des derniers événements, je me dois d'ajouter qu'en aucun cas ma conception d'une voie réformiste, démocratique et  révolutionnaire ne saurait être conçue comme une critique à Lénine et aux camarades bolcheviques qui firent, dans leur contexte historique propre, mieux que nous n'avons su faire nous-mêmes dans le nôtre. Le matérialisme historique est une discipline et une praxis vivantes; il doit par conséquent toujours prendre en compte les conditions matérielles d'existence dans lesquelles le prolétariat se trouve placé. L'investigation d'une voie réformiste, démocratique et  révolutionnaire dans le contexte présent doit donc être poursuivie et sans cesse renouvelée. Cependant n'oublions jamais que les forces théocratiques et fascisantes, qui sont désormais prêtes à lancer des guerres préventives en instrumentalisant pour se faire la plus grande puissance militaire que la terre ait jamais connue dans le but d'entériner la régression sociale, intellectuelle et morale compatible avec leur hégémonie de caste dominante auto-proclamée, forceront sans doute les communistes authentiques à revenir au savoir-faire de nos camarades bolcheviques, ce savoir-faire si désintéressé et  pourtant gratuitement galvaudé aujourd'hui par des pseudo-intellectuels et dirigeants de salon, voire d'arrière-boutique. Ainsi qu'elles le démontrent en Palestine, en Iraq et partout ailleurs, ces forces de la nouvelle barbarie de caste pensent qu'il est très politique et très " éveillé " de désarmer l'adversaire en instrumentalisant le droit international pour mieux l'abattre lâchement ensuite grâce à des agressions militaires unilatérales et massives et le tout avec encore moins d'état d'âme qu'à Jénine. Or, on ne répond pas efficacement à la barbarie de caste par des dîners de gala. En me plaçant fermement du coté du prolétariat et en tenant compte du contexte historique précis, il ne m'est encore jamais arrivé de trouver une seule action de nos camarades bolcheviques aussi ouvertement crapuleuse que l'ordinaire politico-diplomatique et les actions quotidiennes d'une bourgeoisie capable de lancer des contre-révolutions blanches, d'imaginer l'enfer fasciste et nazi, d'utiliser sans motifs valables le feu nucléaire contre un ennemi prêt à se rendre, de monter des blocus meurtriers et de longue haleine, d'imaginer des plans d'ajustement structurels proprement génocidaires et généralement de veiller avec une volonté de fer et un souci quotidien à la préservation intégrale et permanente du système d'exploitation de l'homme par l'homme qui constitue le socle de la " dictature de la bourgeoisie " sous quelque habit démocratique plus ou moins ouvertement censitaire qu'elle puisse se présenter. A quoi au juste voudrait-on comparer l'hécatombe quotidienne des milliers enfants morts de malnutrition mais dans la gloire " démocratique bourgeoise " entérinée par un " marché triomphant " ? Le totalitarisme mou ou dur de la bourgeoisie vaudrait-il vraiment mieux pour l'émancipation humaine et le bonheur des peuples que la dictature du prolétariat ? L'histoire de la révolution bolchevique signala le départ de l'histoire moderne de l'émancipation des peuples ; cela n'est pas un hasard si la chute de l'URSS ouvre de nouveau la voie à la politique de la canonnière et de la mise sous tutelle des peuples dans les métropoles comme dans les nouveaux protectorats coloniaux. De ce point de vu précis Staline restera toujours un grand communiste authentique et vaudra toujours mieux que les accusateurs vociférants et sans nuance du stalinisme qui finissent immanquablement par se révéler n'être que de vulgaires tenants de la restauration d'un système totalitaire d'exploitation de l'Homme par l'Homme. A bien y réfléchir la ténacité sans faille du camarade Staline dans sa lutte contre la bourgeoisie ne pouvait éviter d'être érigée en épouvantail par la victoire momentanée de la réaction, ni éviter de redevenir un des symboles précieux de la résistance populaire à cette réaction à mesure que sa domination sera de plus en plus ressentie comme intolérable. Aujourd'hui les forces théocratiques fascisantes qui, par l'entremise de tant de Wolfowitz, Perle, Rumsfeld et aux pitres pareillement agis, tentent de reprendre le contrôle d'un capitalisme de nouveau confronté à ses contradictions intimes les plus destructives, démontrent à quel point elles ont craint et continuent de craindre le communisme déterminé d'un Staline : en développant le concept scélérat " d'Etat voyou " c'est-à-dire d'un Etat pouvant servir de " base-arrière " à toutes les forces authentiquement avides de s'opposer à leur dessein de domination globale, et en développant celui de " guerre préventive " destiné à étouffer ce danger dans l'œuf, ne donnent-elles pas indubitablement raison à la stratégie de la construction du " socialisme dans un seul pays " surtout lorsqu'une telle stratégie s'imposa d'elle-même du fait de l'évolution contre-révolutionnaire de la " question allemande " (qui était à l'origine et continue d'être une question polonaise) et que cette stratégie de repli s'appuyait puissamment sur un internationalisme prolétarien organisé par le Comintern ? (A noter toutefoirs que le ''seul pays'' en question ici s'étendait sur plus de la moitiée du continent eurasiatique et qu'il comprenait plus ds 110 ethnies et peuples reconnus comme tels au sein d'un Etat socialiste multinational.) Qui se croit autorisé au nom d'un idéal communiste à confondre les réelles contradictions au sein du Comintern et au sein de la gauche authentique en général avec les contradictions meurtrières qui opposaient le prolétariat à la réaction et à la montée du fascisme et du nazisme ? Les classes dominantes entretiennent sans cesse l'illusion de faire passer les " vaincus " sous les fourches caudines de leurs réinterprétations historiques, oubliant ainsi trop facilement que l'histoire reste l'histoire de la lutte des classes, et que cette histoire est en définitive peu compatible avec l'encensement de leur victoire ponctuelle et par nature éphémère comme une fin de l'Histoire trop rapidement célébrée. Je l'ai déjà affirmé en d'autres endroits, aucune critique du camarade Staline (et à fortiori du bolchevisme) n'est recevable par le prolétariat si elle provient de positions qui lui sont exogènes. En fin de compte ces critiques ne sont jamais que des attaques contre le prolétariat lui-même au nom du déboulonnement d'un Staline a-historique inventé de toute pièce hors des choix réels que lui et les autres bolcheviques authentiques étaient contraints de prendre dans les conditions historiques les plus difficiles.

 

Il est aisé de voir que cette représentation philo-sémite nietzschéenne d'un Staline, communiste et athée, est une aubaine pour les classes qui s'acharnent à se concevoir comme castes dominantes de droit " divin ". Ainsi on peut aisément mettre pêle-mêle sur le dos de Staline les crimes de la contre-révolution blanche et de la répression fasciste et nazie, ceux des contre-révolutionnaires soutenus de l'extérieur, les erreurs de la conception de la dictature du prolétariat selon Trotski, les victimes de la répression de Béria où simplement celles d'un système de communisme de guerre devant chaque jour faire face aux agressions barbares de la bourgeoisie et de ses alliés. Et bien entendu, celles de la dictature post-stalinienne dont le caractère de classe laissera de plus en plus à désirer et dont les trop nombreux Yakovlev surent en leur temps profiter avec la même bonne conscience à rabais qu'ils mettent aujourd'hui dans leurs critiques soudoyées du " communisme réel ". Il serait plus sain de développer une idée historique exacte des éventuelles erreurs et manquements du vrai Staline. Je suis de ceux qui pensent à la manière d'un Aimé Césaire qu'un communiste authentique doit savoir tout assumer consciemment de l'héritage de sa classe et des siens, ce qui est une condition sine qua non pour lui préserver son avenir et celui de l'humanité entière. La critique communiste du stalinisme demeure une étape essentielle pour appréhender la portée et le sens révolutionnaires des grandioses contributions de la révolution bolchevique et du Printemps de Prague à l'émancipation du prolétariat et, par conséquent, de l'humanité dans son ensemble. Le développement de la " démocratie socialiste " dont j'ai posé quelques jalons dans Pour Marx, contre le nihilisme dépend strictement d'une compréhension non-amnésique, libre de toute mauvaise conscience, des expériences passées du communisme, sans laquelle ni la loi de la valeur, ni la démocratie réelle mise en cause par la planification socialiste ne seraient plus seulement concevables. J'ai dit ailleurs que le fascisme et le nazisme et tous les " retours " nietzschéens demeurent l'horizon naturel des bourgeoisies et des castes menacées dans leur existence en tant que classes dominantes. Aucune conquête populaire et a priori aucune avancée dans la voie de la démocratie socialiste ne furent jamais possible sans les cuisantes défaites imposées à la bourgeoisie et aux classes dominantes par le prolétariat. Cette constatation historique vaut tant pour la voie révolutionnaire que pour la voie réformiste révolutionnaire malgré la différence des méthodes et des stratégies et malgré les " médiations " socio-politiques spécifiques nécessaires dans chaque cas pour forger " la volonté générale " qui doit être à la base de toute hégémonie politique de gauche. Un communiste ne saurait laisser un Furet, un Comtois ou un pitre quelconque dénaturer et exproprier notre histoire avec la même facilité qu'un Beresovski, un Gussinski et toute la Cinquième colonne russe exproprièrent le prolétariat russe et international en détruisant l'URSS et en réduisant la longévité moyenne de la population soviétique d'une dizaine d'années le temps de consulter les trop nombreux Jeffrey Sachs et les trop nombreux " experts " attitrés de la BERD et du FMI. Mais nous vivons un temps de déliquescence morale durant lequel le communisme est traité de " cancer " par des violeurs notoires et dans lequel des supporteurs de Sharon peuvent se permettre d'écrire des " articles " colportant toutes les inepties et tous les anachronismes connus sur le stalinisme lorsqu'ils ne s'entichent pas d'écrire un Mémorial déshonorant contre toute personnalité dénonçant sans détour le racisme profond inhérent à toute conception " d'élection " religieuse et de caste, conception exclusiviste* qu'au demeurant ils voudraient s'attribuer en propre avec leur bonne conscience monothéiste coutumière ! A-t-on suffisamment réfléchi à la pathologie profonde qui pousse certaines personnes à décréter que l'industriel des camps nazis Schindler est un " homme juste " alors que Staline et les bolcheviques qui défirent les nazis au prix d'énormes sacrifices humains, ouvrirent les premiers les portes des camps de déportation et armèrent le jeune Etat d'Israël snobé à ses débuts par les Américains, ne seraient plus que des criminels plus coupables encore que Hitler ? Les communistes doivent pourtant savoir rester fidèles à leur idéal qui condamne sans détour la fameuse loi du talion.

 

Voilà pourquoi je voudrais proposer ici que tout communiste et toute personne authentiquement de gauche prennent le temps de revisiter consciencieusement le sens et la portée des " 21 conditions " de la charte communiste de la Troisième Internationale à la lueur de l'ignominieuse trahison des " humanitaires " (2) et de leur contribution active au nettoyage idéologique en ex-Yougoslavie (y compris leur acquiescement à la déportation des Serbes et des Roms du Kosovo accomplie sous leurs yeux d'administrateurs " onusiens ") ainsi qu'à la lueur de la guerre à outrance que les forces théocratiques et fascisantes lancent unilatéralement aujourd'hui contre les principes démocratiques et laïques contenus dans la Charte des Nations Unies et dans la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme. Une guerre préventive contre la conscience humaine et le libre-arbitre.

 

Tous les membres de partis communistes devraient par conséquent exiger, au minimum, que toute personne qui ne serait pas intimement et instinctivement convaincue que le communisme est intrinsèquement compatible avec la liberté humaine, ceci dans l'exacte mesure où il a pour vocation unique d'en créer les conditions d'existence, et par conséquent qui ne serait pas intimement et instinctivement convaincu que l'égalité est l'éthique de la liberté humaine, devrait avoir la décence fondamentale de quitter le Parti.

 

J'invite tous les communistes à prendre leurs responsabilités envers leur conscience et envers le prolétariat; je les invite à procéder sans plus tarder à refaire dans leur contexte propre le même travail d'éclaircissement théorique et pratique qui mena les bolcheviques et les adhérents à la Troisième Internationale à élaborer les 21 conditions fondamentales qui les départageaient des autres partis authentiquement de gauche avec lesquels des alliances restaient possibles et plus encore des partis prétendument de gauche ayant déjà produit leurs lots de " renégats " authentifiés.

 

Pour ma part je ne conçois pas de parti communiste authentique qui ne souscrirait pas aux principes fondamentaux suivants :

 

(Pour de nouvelles "21 conditions")

a) La volonté sans faille d'abolir tout système d'exploitation de l'Homme par l'Homme. Naturellement la réalisation de cette volonté dépendant des conditions historiques, la direction sera naturellement privilégiée par rapport à la vitesse, qui risquerait de se révéler illusoire sans une adhésion librement consentie des masses. Un parti communiste et un mouvement communiste européen et international (à refonder d'urgence) qui ne tiendront pas ce cap auront indéniablement failli à leurs tâches historiques.

b) La reconnaissance sans aucune ambiguïté possible que seul le travail humain est créateur de valeur d'échange, qu'il ne saurait y avoir de compréhension des phénomènes économiques et sociaux hors d'une élaboration cohérente de la loi de la valeur exposée par Marx dans Le Capital et, qu'à l'exemple de nos prédécesseurs bolcheviques et communistes, nous devons savoir développer cet héritage culturel et scientifique pour répondre aux besoins d'une société de transition vers une meilleure régulation et une meilleure redistribution de la plus-value sociale, le contrôle systémique collectif de cette plus-value sociale dans le cadre d'une société communiste réalisée demeurant l'objectif économique et social ultime d'une telle société. Le droit au travail et le plein-emploi effectif en sont des corollaires obligés.

c) La défense sans faille d'une laïcité vraie garantissant le libre arbitre de tous, de ceux qui continuent de concevoir l'équilibre de leur psyché dans une spiritualité plus ou moins organisée autant que de ceux qui continuent d'affirmer ne reconnaître " Ni Dieu, Ni Maître, Rien Que Des Egaux ", ni d'avoir besoin d'aucun opium du peuple ni d'aucune amulette. Un effort soutenu visant à créer toutes les conditions matérielles de l'exercice du libre-arbitre et à préserver l'intégrité de la conscience humaine devra compléter la défense sans faille du principe élémentaire de la séparation de l'Eglise et de l'Etat. En particulier, il serait détestable et dangereux de faire de la schizophrénie ou d'autres phénomènes paraphréniques ou " paranormaux " la source occulte d'une " spiritualité " ou d'une " religiosité " qui abandonnerait ainsi par définition le devoir de chaque conscience humaine d'être responsable d'elle-même et redevable dans le même temps du destin de " ses frères ". Le schizophrène Abraham ne peut jamais être qu'une " figure " didactique, dans le meilleur des cas.

d) L'affirmation absolue de l'égalité des êtres humains dans le respect de leurs différences et la volonté sans faille et sans arrière-pensées d'utiliser activement la loi pour entériner cette égalité. Ceci implique le rejet le plus absolu de la pseudo-méritocratie bourgeoise à la Max Weber qui constitue le terreau de toutes les régressions grandes ou petites, admises ou inconscientes. Pour un communiste, toute prétendue " liste Schindler " demeure une insulte à la dignité et à la destinée humaine, peut-être la pire de toutes. Ceci implique au minimum deux préalables : le premier concerne les réformes égalitaristes du système d'enseignement ; le second concerne la défense du principe de l'égalité des rémunérations, principe qui fut toujours au cœur des revendications authentiquement égalitaires et communistes puisqu'il représente la négation pratique et éthique du fallacieux principe de " l'élection " ou de son pendant séculier le " mérite " lesquels, d'une manière ou d'une autre, renvoient sans cesse l'humanité à une conception de caste. La parité et les quotas, en particulier ceux qui reposent sur l'origine de classe, hors de toute logique incestueuse relevant des lettres de recommandation (ou pire encore de son expression paroxystique contenue dans le principe américain de " legacy " propre à favoriser la scolarisation d'un G. W. Bush et de tant d'autres comme lui) sont une nécessité incontournable : de fait, une fois débarrassée de la conception de classe du mérite qui est notoirement fallacieuse, il devient clair que l'organisation sociale de la production du savoir prime au-delà de tout autre facteur. Le reste n'est qu'idéologie inégalitaire trop commode pour une classe dominante cooptant l'intelligentsia par l'argent, par la promesse de la " mobilité sociale" et souvent par des " hochets " appropriés. Un système de redistribution qui ne chercherait pas à réduire l'éventail des salaires à un rapport maximal de 1 à 5 et l'éventail des revenus nets globaux à un rapport de 1 à 3 ne pourrait pas prétendre être conscient des enjeux dévoilés par la " plus-value sociale " ni prétendre être un système de transition tendant sincèrement vers l'égalité, la liberté et la fraternité.  

e) Une conception bolchevique des rapports dialectiques entre intérêt de classe du prolétariat et intérêt national qui ne peut être qu'une médiation nécessaire mais subalterne. Sans cette conception, il ne saurait y avoir d'internationalisme prolétarien, ni de conception de l'Etat multinational (et des droits des minorités nationales tels que reconnus, par exemple, par le Traité d'Helsinki qui impose désormais aux pays signataires des processus constitutionnels internes compatibles avec leur souveraineté), ni de conception de la coexistence pacifique nécessaire à l'expression du pluralisme socio-politique qui fut l'ancêtre de la Charte de l'ONU. Rappelons-nous que l'enchevêtrement ethnique et politique inextricable qui caractérise la planète ne peut pas se conjuguer sans horreur avec l'aveuglement calculé des " humanitaires " et de leurs maîtres " nihilistes éveillés " dans tous ces domaines ainsi qu'en témoignent leurs basses œuvres répétées mais pourtant tellement médiatisées et simultanément occultées par des médias serviles oubliant besogneusement les relations publiquement documentées de Ben Laden et d'al-Qaida avec Izetbegovic, Thaci et tant d'autres, y compris avec les terroristes Tchétchènes les plus dévoyés. Une couverture médiatique besogneusement entretenue avec le même souci amnésique des faits lorsque des Kouchner et de pitoyables orwelliens volontaires mais de petite envergure sont ensuite décorés par ce même Izetbegovic, tel ce pathétique Bernard-Henri Lévy célébrant sans gêne de pseudo " hussards de la république " pro-sionistes ... en Afghanistan ...pays martyr dont il a, comme on sait, une connaissance " opérationnelle ". Que de va-nu-pieds intellectuels se prenant pour des " nihilistes éveillés " et creusant eux-mêmes la tombe de leurs prochains et de leurs semblables sans prendre le temps de sentir le souffle brûlant déjà sur leurs cous qu'ils n'en finissent pourtant pas d'alimenter ! En tout état de cause un Martov ne saurait avoir raison contre un Trotski, voire contre un Staline, dans ce domaine : pour s'en convaincre, il suffit de reprendre le débat dans son contexte mais aussi à la lueur de l'attaque des forces exclusivistes contemporaines contre la démocratie (jugée n'être plus assez censitaire et alimentant toujours une dangereuse remise en cause de  " l'autorité " institutionnalisée de tant de pitres non ou mal élus) et contre la laïcité (jugée n'être plus qu'une idéologie égalitariste anti-caste et naturellement anti-nietzschéenne.)      

f) L'accès intégral à la justice. Tout d'abord l'exigence d'une constitution socialiste garantissant aussi pleinement les droits collectifs, en particluier les droits sociaux. Ensuite l'habeas corpus, la présomption d'innocence, le respect scrupuleux de la vie privée et de l'intimité des êtres, l'aide juridique, le respect sourcilleux des procédures, les garanties les plus fermes des droits des accusés, le droit à des traitements et à des peines compatibles avec la dignité humaine et le droit inaliénable à une réhabilitation pleine et entière des personnes ayant payé leurs dettes à la société. L'abolition de la peine de mort partout où elle est encore pratiquée reste une revendication marxiste et humaniste par excellence.

g) L'autonomie de pensée et d'action des forces authentiquement de gauche qui ne sauraient se mettre à la traîne de pitres patentés et d'autres valets atlantistes et diversement philo-nietzschéens mais qui sont aujourd'hui publiés de préférence jusqu'au sein des organes dits communistes. Ceci suppose entre autres des organes de presse, d'information et d'édition autonomes, porteurs d'une vision communiste alternative dans tous les domaines.

 

Paul De Marco, ex-professeur de Relations Internationales (Economie Politique Internationale)

Richmond Hill, le 8 mars 2003.  

 

 

 

1) Il va de soi que les offres antérieures concernant la cessation de tous ou d'une partie des bénéfices éventuels dérivés de la vente de toute autre édition au profit de bénéficiaires agréés par l'auteur de ces deux livres sont intégralement maintenues.

2) J'ai déjà souligné que ces braves " humanitaires " si friands des cotes d'écoute et de leur exposition médiatique n'ont jamais expliqué pourquoi leurs organisations devaient légitimement usurper la place d'autres organisations mieux établies et mieux fondées telle la Croix-rouge de H. Dunant qui, depuis la boucherie de Solferino, connaissait la valeur de la neutralité pour une organisation internationale de ce type. Les belles oeuvres de l'ingérence humanitaire consciemment ou inconsciemment mise au service de la pire ingérence politique, de la souveraineté limitée et du nettoyage idéologique depuis le Biafra, l'Afghanistan et le Kosovo ont de, quoi faire pâlir. On commence aujourd'hui à se rendre compte de la charge anti-onusienne et pro-impériale qu'elles contenaient, à n'en pas douter au grand dam de nombreux militants manipulés par les sempiternels " nihilistes éveillés ".

 

*Il est à la fois comique et intellectuellement désolant de voir l'ingéniosité de certains à décliner ce concept qui est le mien sans jamais en donner l'origine. Apparemment ce néologisme utilisé à dessein ne serait pas assez " scolaire " et l'un y va d'un substantif plus ou moins inspiré mais surtout plus inoffensif et moins explicite, l'autre d'une périphrase plus ou moins heureuse mais toujours passant besogneusement à coté de l'essentiel, et bien entendu de leur responsabilité, comme de la peste. J'ai, pour ma part, suivi le judicieux conseil de Roland Barthes qui encourageait l'emploi des néologismes chaque fois qu'ils s'avéraient être plus proches de la pensée exprimée par leurs nuances et leurs connotations spécifiques. De plus, je ne vois pas de nécessité de snober les termes en " isme ", cette affectation particulière destinée à occulter certains d'entre eux qui restent à mes yeux de " purs flambeaux ". D'autre part, comme ce concept ainsi que l'abnégation, le courage moral et l'honnêteté intellectuelle nécessaires pour le formuler sont les miens, on aura le bon goût et la décence me laisser le choix du terme qui convient  Pour le reste le style est aussi affaire de goût, c'est-à-dire qu'en définitive qu'il relève d'une esthétique de classe. La simplicité n'est pas la simplesse comme en témoigne Le Capital et la " complexité "  affectée est souvent un masque factice et scélérat. Il est, au demeurant, assez ignoble de prétendre juger le travail de celui à qui l'on a abusivement ôté les moyens institutionnels qui lui revenaient et tenté de briser les outils qu'il s'était lui-même largement forgé, vu les carences de l'éducation bourgeoise dispensée par tant de fantoches surnuméraires revêtus de l'habit académique, grassement payés mais à la poitrine creuse.    

 

On dirait qu'une malédiction particulière caractérise tous ceux qui pensent pourvoir traiter d'autres êtres humains comme des cobayes pouvant être soumis avec impunité à une surveillance policière de chaque instant ; qui pensent que leur voyeurisme criminel les autorise à exclure sans preuve les gens des fonctions qui leur reviennent de droit ; à persévérer dans leur déni de justice en n'hésitant pas à mentir sous serment ; qui, non contents d'avoir détruit la carrière et la vie des gens, pensent qu'ils peuvent encore avec la même impunité piller les concepts et les théories auxquels ils ont consacré leur vie sans la moindre compromission, avec l'intention de diminuer, voire de salir, ces concepts et ces théories en leur imprimant leur foncière incompétence professionnelle et morale ainsi que leurs interprétations racistes et de classe ; qui pensent également pouvoir, avec la même impunité, accuser les gens d'être " obsédés par la loi de la valeur ", c'est-à-dire par l'égalité fondamentale entre les Hommes. J'ai été et continu à être personnellement soumis à tous ces abus qui me privent sans droit de mon emploi universitaire. J'ai dénoncé ces pratiques illégales, illégitimes et avilissantes dans de nombreuses instances nationales et internationales à diverses reprises et jusqu'à l'UNESCO, mais en vain. J'ai épuisé tous les recours pour me heurter à chaque fois à un mur de silence et à une justice de classe totalement dévoyée. Par conséquent, puisque du fait de la ruine de ma carrière l'on ne m'a pas laissé d'autre choix, il ne me reste plus qu'à souhaiter, devant l'Histoire et les Hommes, à tous ceux qui de près ou de loin causent puis persistent à prolonger ces abus et ces exclusions, à tous ceux qui de près ou de loin persistent à me priver de mon emploi universitaire et des dédommagements qui me sont dus, que ma malédiction les frappe de plein fouet et que le malheur qu'ils causent en toute conscience aux gens et à leur famille leur soit compté sept fois en retour, aux Québécois et Canadiens, toutes " ethnies " confondues, en premier lieu.

 

 

Avertissement:

 

L'éventuel visiteur est avisé que les deux livres électroniques proposés ici ont été écrits et sont produits de manière artisanale. Le fichier correspondant à chaque livre est écrit avec Word 2000 et peut donc être lu avec ce logiciel de traitement de texte ou, présumément, tout autre logiciel compatible.

 

Pour vous faire une idée du style et du contenu de ces deux ouvrages, vous pouvez vous reporter immédiatement aux Avant-propos (voir ci-dessous).

 

Pour lire les Avant-propos tout de suite, cliquez une option ci-dessous :

Avant-propos de Tous ensemble (présenté ici dans un format Text Only)

Avant-propos de Pour Marx, contre le nihilisme (présenté ici dans un format Text Only)

 

Appel :

 

Toute maison d'édition progressiste qui voudrait conclure un accord avec les éditions La Commune pour republier ces livres sous forme de livres traditionnels (ou électroniques) sera la bienvenue. Lorsqu'un candidat sera choisi, cet appel sera retiré ce site.

 

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PRÉCIS D'ECONOMIE POLITIQUE MARXISTE.

(Ebauche)

1) Rapports d'exploitation ; 2) Rapport de distribution et 3) rapports juridiques (ou luttes et alliances de classe) 4) (Histoire de l'économie politique Livre IV du Capital oublié par les éditeurs.)

1) Rapports d'exploitation.

a) Valeur d'usage et valeur d'échange.

b) Fonction de production marxiste.

c) Formes de la plus-value ou plus-value absolue ; plus-value relative ; productivité et plus-value sociale.

2) Rapports de distribution : Reproduction Simple (RS) et Elargie (RE)

Armée de réserve, inflation, déflation et taux de change

RS-RE, fonctions de production individuelles et intermédiaires de distribution liant les cycles du capital aux fonctions de production productives formant la RS-RE de base.

Cycles du capital, crédit et système bancaire et financier.

Régime financier international

L'autonomisation du capital-argent ou spéculation érigée en système.

Passons au taux de change et à l'insertion des FS dans l'Economie Mondiale.

Pour une nouvelle définition de l'anti-dumping protégeant les trois formes du revenu des ménages.

3) Rapports juridiques simples et élargis (redistribution, époques de redistribution, alliances et luttes de classes)

L'Etat et la bureaucratie.

Voyons alors comment se décompose « v » et « pv » en pratique.

L'Idéal serait un communisme libertaire

4) Histoire de l'économie politique

(Comparez la RS marxiste et le système de Tougan-Baranovsky/Bortkiewicz)

(EXTRAIT de HI-HAN: L'OFFRE ET LA DEMANDE REINTEGREE DANS RS-RE)

Ajouts :

1 ) Pour la planification soviétique et les dégâts causés au socialisme réel par Liberman et Cie voir : « LE SOCIALISME MARGINALISTE OU COMMENT S'ENCHAINER SOI-MÊME DANS LA CAVERNE CAPITALISTE», 29 et 30 décembre 2014/5 janvier 2015, dans la Section Economie Politique Internationale du site www.la-commune-paraclet.com ; voir aussi les textes dans la section Pour le socialisme cubain dans le même site.

2 ) Pour la démocratie socialiste, voir le chapitre « Pour le socialisme cubain » dans Pour Marx, contre le nihilisme, Section Livres-Books dans le site www.la-commune-paraclet.com , ainsi que la Section du même nom dans ce même site.

3 ) Pour la spéculation voir le Livre III de 2005, dans la Section Livres-Books de www.la-commune-paraclet.com (utiliser le terme « montage » avec la fonction « rechercher » ), les essais « Credit without collateral » et « The Treasury and the FED B, Section Economie Politique Internationale, idem. Pour la différence essentielle entre profit, intérêt classique et intérêt spéculatif voir aussi « Dette publique et inepties marginalistes; le cas italien, 3 mars 2017 » dans http://rivincitasociale.altervista.org/dette-publique-et-inepties-marginalistes-le-cas-italien-3-mars-2017/

XXX

Rapports d'exploitation.

a) Valeur d'usage et valeur d'échange.

Tout bien échangeable a une valeur d'usage (vu) et une valeur d'échange (ve). Ceci vaut pour la force de travail humaine. Cependant cette dernière, contrairement aux autres marchandises échangées, est la seule qui par son activité, son travail, puisse transférer simultanément aux produits de ce travail ces deux caractéristiques. Toute machine ou tout procédé, y compris

ceux reposant sur l'Intelligence Artificielle, étant toujours le fruit d'un travail humain antérieur. L'échange est le règne de la commensurabilité; cependant pour établir un rapport d'égalité ou autre entre une marchandise ou des marchandises de même nature ou surtout de nature différente, il faut un étalon de mesure commun. La monnaie coquillage, or, argent, paper currency ne peut être qu'un équivalent général devant lui-aussi être évalué en référence d'un équivalent universel. Seule la valeur d'échange de la force de travail, mesurée par ce qu'il en coûte socialement pour la reproduire selon les époques du mode de production, peut scientifiquement prétendre à ce statut d'équivalent universel. La valeur d'échange de la force du travail est donc le seul étalon universel capable de rendre toutes les autres marchandises diverses commensurables entre elles et donc échangeables en pratique sur les différents marchés (troc muet, emporium, foires, marché, bourses etc.) Ceci se fait selon la forme dominante de l'échange qui n'est capitaliste que depuis quelques siècles. Mieux la valeur de la force de travail est le seul étalon permettant d'établir cet étalon universel de manière scientifique en expliquant la genèse du profit. Car c'est de la valeur de la force du travail et non de la ``valeur du travail`` qu'il faut parler comme le faisait à tort les classiques en commettant ce que Marx appelait un « syllogisme jaune ». En effet, si le travail humain était payé le fruit complet de son effort dans la production une fois déduit le coût du capital circulant cristallisé dans les produits, alors il serait impossible d'expliquer la genèse du profit : la marchandise serait strictement égale au coût des intrants, dont le travail humain. Adam Smith le fit d'ailleurs remarquer dans son ouvrage principal ; seul Marx eut le génie de résoudre cette énigme logique en développant l'aspect dual de toutes les marchandises, valeur de la force de travail incluse, tout en dégageant le trait distinctif du travail humain, celui d'être à la fois du travail passé payé comme un intrant quelconque dans la production selon ce qu'il en coûte pour le reproduire, et du travail vivant dont le fruit est accaparé uniquement par le possesseur des Moyens de production. En travaillant 8 heures le travailleur renouvellera en 4 heures de travail l'équivalent du panier de biens nécessaires socialement à sa reproduction mais le capitaliste, possesseur des Moyens de production, empochera le fruit des 4 autres heures de travail qui produisent les plus-values qui sont à l'origine du profit et que Marx appelle le surtravail. Ce dernier est donc le support en valeur d'usage de la plus-value donnée en valeur d'échange. La conclusion est irrévocable : le profit est le fruit du travail humain et devrait donc lui revenir en tenant compte du taux de réinvestissement sur échelle simple ou élargie. Le profit capitaliste est le fruit d'une expropriation et d'une exploitation du travailleur quel qu'il soit ce qui mène concrètement à son aliénation vu qu'il est ainsi séparé du fruit de son travail même s'il est médiatisé par la division du travail.

b) Fonction de production marxiste.

Elle s'écrit:

c + v+ pv = M.

Elle est le coeur micro-économique de tout l'édifice de l'analyse économique ; il mène à la macroéconomie (Reproduction simple ou Elargie) en la reflétant.

La fonction de production est une donnée empirique : on calcule simplement ce qu'il en coûte en intrant pour la production et le profit qu'on en tire. C'est aussi le cas pour l'introduction de nouveaux produits dont on calcule le coût des intrants et la plus-value selon la productivité relative mise en oeuvre pour les produire. Elle vaut donc tant pour l'entreprise que pour la branche ou le secteur (bien entendu elle vaut également pour la fonction de production sociale globale dans une Formation sociale donnée.) Ces données empiriques sont des épiphénomènes, les prix. Mais ils cachent l'axe réel autour duquel ils oscillent : la valeur. Car la concurrence, en particulier la mobilité du capital, finit par égaliser ces oscillations et tendre nécessairement vers la valeur.

Ici « c » est le capital constant ou capital circulant (« used-up » selon Sweezy) comprenant les matières premières, les machines et tout ce qui est nécessaire à l'organisation du procès de travail immédiat, incluant la bureaucratie interne qui n'est jamais que l'expression interne de la division du travail sociale.

De même « v » est le capital variable exprimé par le salaire ou mieux par le revenu des ménages; il est dit variable car il dépend des conditions de travail structurelles techniques, lutte des classes et normes civilisationnelles ce que Marx appelait les « conditions morales » - définissant le partage entre travail et plus-value ou rapport d'exploitation pv/v. La force de travail est l'unique facteur de production capable de créer des valeurs d'échange commensurables entre elles en tant que seul équivalent universel. En tant que tel le capital variable n'est pas seulement dual comme toutes les autres marchandises, il est la seule marchandise qui se présente à la fois comme travail cristallisé et comme travail vivant. Ainsi le salaire qui dépend de l'époque de production dans laquelle on vit, quantifie monétairement (ve) la force de travail dépensée dans la production : il correspond au « travail socialement nécessaire pour le reproduire » en ce qu'il permet au travailleur de reproduire sa force de travail au sein de son ménage compte tenu du fait que le travailleur fait toujours l'avance de sa possibilité de travailler (vu), le salaire n'étant jamais payé qu'après le travail fourni.

La plus-value (pv) exprime une vérité simple : aucune marchandise ne peut se vendre à son coût de production c +v pendant très longtemps sans ruiner le capitaliste. Il en va de même au stade animal. La production implique donc toujours un surplus et une avance de la part de la force de travail. Lorsque deux marchandises différentes se vendent au même prix disons A = B = 100 euros cela signifie deux choses. D'abord, du point de vue de la ve, le procès de production transfère à la marchandise A la ve contenue dans (c + v) à quoi s'ajoute un profit pv. Toute la question est de savoir d'où vient cet incrément pv sans qu'il ne rompe l'égalité entre A et B en se prétendant aléatoire (disons le ainsi, selon les voeux du possesseur des Moyens de production. La concurrence a tôt fait de disposer de tels voeux pieux ! Tout s'éclaire lorsque l'on tient compte de l'avance faite par le travailleur en termes de vu et de ve.

La force de travail est d'abord du travail cristallisé évalué en valeur ou en prix (le salaire) selon ce qu'il en coûte socialement pour la reproduire. La ve de A sera donc égale à la ve de c + la ve de v … plus la ve de pv dont il faut expliquer la genèse. Ceci s'explique par la valeur d'usage particulière de la force de travail humain par rapport à toutes les autres marchandises : en effet, seule la force de travail humain a le pouvoir de conférer à la marchandise sortant du procès de production à la fois une valeur d'usage nouvelle (ou « façon ») et une valeur d'échange compatible avec la commensurabilité de toutes les marchandises entre elles. Ainsi la force de travail apparaît à la fois comme travail passé dont la valeur d'échange ve est transmise intégralement à la marchandise produite (le salaire) et comme travail vivant : en tant que travail vivant il est capable de se dépenser au-delà de ce qu'il en coûte pour se renouveler. S'il faut 8 h pour produire A et 4 h pour produire l'équivalent du salaire, le fruit des 4 h supplémentaires représente un surtravail en terme de vu et donc une plus-value en terme de ve. Ce surtravail rapporté sur v représente le taux d'exploitation en ce sens que le surtravail produit par le travailleur est empoché par le possesseur des Moyens de production. En tant que plus-value, c'est-à-dire en terme de ve, pv rapporté au coût de production (c+v) représente le taux de profit qui s'écrit donc pv/c+v.

Le capital fixe et l'amortissement. En considérant le capital constant nous ne considérons pour l'instant dans la fonction de production que la part correspondant au capital circulant, dite par Paul Sweezy « used up », celle qui est transférée au produit. Les considérations supplémentaires concernant le capital fixe et l'amortissement ne nous concernent pas à ce stade et seront abordées lorsque nous parlerons du crédit et des cycles du capital concrétisés dans la reproduction.

Les ratios fondamentaux de la fonction de production.

La fonction de production permet de conceptualiser les ratios les plus importants qui sont strictement reliés entre eux. Prenons la fonction de production : c + v + pv = M

Ici v/C (où C = c +v) représente le taux de composition organique du capital, c'est-à-dire le rapport du travail vivant au numérateur sur tout le travail passé cristallisé dans le capital constant et dans le capital variable dépensés pour la production de M au dénominateur.

De même pv/v représente le taux de plus-value ou d'exploitation du travail. Ces deux taux principaux sont intimement liés, via la force de travail v. Pour faciliter les choses prenons C = 100. Le taux pv/v permettra alors de trouver la valeur de M. Du coup, si M reste pareil, il s'en suit arithmétiquement que la modification de la composition organique aura nécessairement un impact proportionnellement inverse sur le taux de plus-value.

Le taux de plus-value permet de déterminer le taux de profit noté pv/(c=v) autrement dit la plus-value rapportée sur l'ensemble du capital constant et du capital variable utilisé dans la production.

c) Formes de la plus-value ou plus-value absolue ; plus-value relative ; productivité et plus-value sociale.

Pour comprendre la plus-value absolue il suffit de poser la fonction de production et de faire varier seulement le temps pendant lequel elle s'exerce, toutes les autres variables étant maintenues constantes : l'analyse dit Marx est le microscope de la pensée. Du coup, il faudra ajuster proportionnellement les intrants permettant de produire plus de produits en plus de temps dans les mêmes conditions. Si l'on reporte le résultat sur une base C= c+v = 100 rien ne sera changé du point de vue structurel. En valeur absolue par contre plus de produits seront issus de cette journée de travail plus longue. Ce qui provoquera des ajustements par la mobilité du capital et du travail, sinon des recours légaux pour violation des normes hors heures supplémentaires légales : le recours soutenu à la plus-value absolue sous le Mode de production capitaliste (MPC) revient à un « travailler idiot », ce qui est forcément sans lendemain dans un mode axé sur la productivité vraie. Cependant la plus-value absolue caractérise tous les modes pré-capitalistes car sous ces modes les techniques évoluaient très lentement surtout dans le secteur agricole qui était prépondérant, la seule variable sur laquelle on pouvait agir en temps normal étant la durée du travail. Ce qui mènera d'ailleurs à des conquêtes civilisationnelles extrêmement importantes quoique généralement prises pour acquises (par exemple les fêtes religieuses non travaillées, les privilèges des corporations établissant des normes pour les Arts et Métiers. L'évolution du droit des travailleurs de la terre passant du statut d'esclave a celui de serf puis de métayer, tenancier etc. voir Marc Bloch et l'Ecole des Annales et surtout Marx sur la rente.)

La plus-value relative repose sur l'intensité conjoncturelle, tout le reste demeurant inchangé. Là aussi aucun changement structurel ne sera provoqué alors que le recours à cette forme d'extraction ne peut pas devenir la norme. C'est le cas des cadences infernales, en particulier sur les chaînes de montage ou encore des coups de collier momentanés ici et là, phénomènes qui faisaient également partie de la petite histoire des relations de travail soviétiques lorsqu'il fallait faire du chiffre in extremis pour respecter les objectifs quantitatifs du Plan (et sauver la peau des camarades managers moins enquiquinants ...)

La productivité est la forme d'extraction de la plus-value spécifique au MPC, mode de production qui repose sur le bouleversement incessant des techniques appliquées à la production et donc de la composition organique. Alors que les modes antérieurs thésaurisaient les richesses, le MPC repose sur l'accumulation constante du capital : le capital cesse d'exister s'il n'enfante pas plus de capital en exploitant toujours plus les travailleurs.

Ainsi avec une même durée de travail l'approfondissement de la composition organique permet de produire une quantité proportionnellement plus grande d'un même produit (ou d'un produit similaire étant donné l'élasticité.) Il est utile d'illustré les choses ici, ne serait-ce que pour faire ressortir la puissance de la fonction de production marxiste qui permet de contrôler simultanément les valeurs ou prix et les quantités des produits mais également des heures de travail mises en oeuvre, donc de travailleurs en chair et en os - ce que la fonction de production marginaliste n'est absolument pas capable de faire puisqu'elle repose sur une vision amputée de la valeur d'échange sans son support obligatoire en valeur d'usage, et tout particulièrement pour ce facteur de production spécial qu'est la marchandise force de travail humain. Le marginalisme comprend la productivité uniquement comme économie d'échelle soumise aux rendements croissants ou décroissants, ce qui est une fumisterie ; car, au mieux, elle correspond au stade de tâtonnement de la mise en oeuvre du procès de production (ou si on veut de l'équilibre des courbes d'offre et de demande sur le long terme selon les informations données sociologiquement) pour arriver à la norme optimale de production selon les normes ambiantes souvent légalisées par le taylorisme à part l'époque du libéralisme classique ou de la concurrence sauvage et celle du néolibéralisme actuel. A l'équilibre on est à la vitesse de croisière : belle analyse ! (pace Sraffa : voir ses critiques perspicaces mais incomplètes des années 20. Bref, des courbes d'offre et de demande court terme en prix aux courbes d'offre et de demande long terme des économies d'échelle stabilisées encore en prix, c'est une sacrée noria de pitre éveillés, c'est-à-dire marchant gaiement sans oeillères … Heureusement Böhm-Bawerk avait attiré l'attention sur le problème ex ante/post hoc : mais il s'applique au marginalisme le détruisant « roots and branches », pas à la loi de la valeur et au Capital de Marx.) A preuve, ce genre d'analyse typiquement bourgeoise est obligé de traiter l'essentiel, c'est-à-dire la technologie comme un facteur exogène puisque ne disposant pas du concept de composition organique c'est tout particulièrement le cas pour le pitre prétentieux et consciemment faussaire, Robert Solow, dans son article nobélisé de 1956.

Soit l'exemple suivant (€=euro; p=produit; h=heure):

c:80€        +  v:20€                +  pv:20€                 = M1:120€

80p/80h        20p/20h                 20p/20h                 = 120p/120h

Si la productivité s'approfondit de 1/4 en SI; nous aurions:

c:84€                +  v:16€                +  pv:20€                = M1:120€

105p/84h                 20p/16h                 25p/20h                 = 150p/120h

Noter ce qui se passe en v du point de vue de la vu et de la ve : c'est le coeur de la théorie de la productivité. Car en terme de vu on a une force de travail identique mais mettant en cause moins de travailleurs physiques qui sont « libérés » par l'approfondissement de la composition organique qui passe de v/C= 0,2 à v/C = 0,16. Mais la valeur d'échange de la force de travail est toujours la même et le ratio pv/v augmente de 1/4 tout comme le ratio de M'/M. C'est pourquoi Marx salue le côté révolutionnaire du MPC mais note qu'il est son propre fossoyeur dès lors que la cohérence est rompue entre l'évolution des forces productives et des rapports de production. Fatalement arrive un moment où même en introduisant des secteurs intermédiaires capables d'absorber les travailleurs constamment libérés y compris dans ces mêmes secteurs - ou en réduisant le temps de travail, le MPC est obligé de passer la main à un mode plus performant, à savoir le mode de production socialiste (MPS). Ce dernier repose sur une extraction supérieure et plus rationnelle de la plus-value, la plus-value sociale.

Noter une conséquence de la productivité capitaliste : le taux de profit reste inchangé ; par contre le volume du profit pour l'entreprise mettant en oeuvre une meilleure productivité augmente proportionnellement puisqu'elle sera capable de conquérir une plus grande part du marché disponible avec ses produits moins chers. Ceci est à la base des deux lois de motion fondamentales du MPC : la centralisation et la concentration du capital (et donc aussi à la base de la poussée coloniale ou impérialiste dans la tentative de lever les obstacles à l'accumulation lorsque le marché interne est saturé et que de nouvelles formes de production ne sont pas disponibles.)

La plus-value sociale exprime une idée simple : la plus-value pv étant produite par v elle doit revenir de droit aux travailleurs ; cependant, le MPS doit constamment élargir la reproduction afin de satisfaire toujours mieux les besoins individuels et sociaux tout en absorbant et en émancipant par la RTT le travail libéré grâce à l'augmentation constante de la productivité ; il s'en suit qu'il faut déterminer le partage optimal entre v et pv. Le libéralisme classique ou concurrence sauvage réduit v à sa plus simple expression, le travail individuel capitaliste forçant même le travail des enfants et des vieillards dans les mines. Les sociétés capitalistes avancées ont ensuite appris à passer du simple « salaire capitaliste individuel » au « revenu global net » des ménages. Ce dernier comprend les transferts effectués au titre des programmes sociaux, toujours contrôlés par le capital, mais qui constituent néanmoins une conquête sociale tout autant qu'une institutionnalisation de l'épargne des travailleurs cotisations sur la fiche de paie - opérant comme amortisseur social anti-cyclique. De même la structure fiscale moderne socialise une partie de la plus-value encaissée auparavant par les capitalistes individuels, permettant ainsi l'intervention de l'Etat dans l'économie au profit de l'ensemble des capitalistes (communisme du capital disait Marx) et accessoirement de la société en général pour cause de légitimation politique et idéologique. Cette socialisation accrue, qui connaîtra son achèvement avec le socialisme constitue ce que j'appelle la « plus-value sociale ». Elle est cruciale comme avaient commencé à le comprendre les keynésiens puisque même la régulation macro-économique bourgeoise (ne serait-ce que par les infrastructures, la recherche universitaire, les régimes de pension et de santé publics) favorise grandement l'accroissement de la productivité au niveau micro-économique. Il s'agit-là d'un fait massue qui échappe entièrement aux marginalistes et plus encore aux monétaristes de la politique de l'offre et de sa régressive public policy : leur ontologie bancale met ce fait patent hors de portée de leurs faibles radars idéologiques. Les faits parlent d'eux-mêmes.

En voici quelques-uns : a) Les programmes d'assistance sociale au coup par coup de Hoover, le champion du « rugged individualism » (déjà !), coûtaient beaucoup plus cher que le système pourtant encore partiel de la Social Security de F.D. Roosevelt, argument qui vaut dans tous les cas ; il suffit de rappeler que le système de santé privé américain gaspille plus de 16 % du PIB en laissant des dizaines de millions de personnes sans couverture, alors que le système européen, encore largement public quoique sabordé de l'intérieur, ne coûte encore que 10 à 11 % du PIB en moyenne ; il en va de même pour les régimes de pension ; b) Ainsi GM évita dernièrement la banqueroute uniquement grâce au plan de sauvetage fédéral, autrement le poids cumulé des pensions maison était devenu trop lourd à porter. C'est là un problème généralisé à toute l'industrie américaine qui explique à lui seul la cause principale de la désindustrialisation; c) La privatisation des entreprises publiques a bien détruit les syndicats qui y étaient représentés et transformé les citoyens « usagers » en simple « clients » ne méritant considération que lorsqu'ils sont solvables alors que la précarité se généralise, mais les services se sont dégradés ; ceci est particulièrement vrai en périphérie aggravant les disparités et les injustices régionales alors que les prix sont vite repartis à la hausse ; d) Ainsi que démontré dans Tous ensemble les infrastructures nécessaires par exemple pour répondre aux changements climatiques qui ont très peu à voir avec un effet anthropogène - voir mon Défi aux écologistes dans la section Commentaires d'actualité Mais elles ne sont pas prises en charge par le capital privé ; en effet, ce dernier étant soumis au court-termisme, il ne peut pas mobiliser les fonds considérables qui seraient nécessaires car ils ne pourraient être amortis que sur le moyen ou le long terme ; de plus il est si facile, en confondant climat et température et niveau local ou mondial, de blâmer le réchauffement climatique pour des désastres directement dus à la privatisation des entreprises publiques et à la destruction monétariste de l'assiette fiscale des Etats niveau local inclus servant entre autre à financer les infrastructures publiques. On transforme ainsi les Etats accusés d'être « interventionnistes » en Etats dits minimum bien que les « taxes expenditures » et autres exonérations et crédits d'impôt octroyés au seul bénéfice du capital coûtent énormément plus cher que les anciennes subventions directes, lesquelles répondaient de surcroît à une « longer view » (Baran) nationale, plutôt que de servir uniquement aux appétits destructeurs des transnationales imposant leur modèle impérial croisé de « gouvernance globale privée » antithétique aux Etats-nations. Ces dérives expliquent d'ailleurs les pitreries des soi-disant modèles californien (malgré Enron) et British-Colombien (Ce dernier, qui a du front tout autour de la tête, prétend même que l'Etat doit assumer les frais de construction pour transférer ensuite les infrastructures à vil prix au secteur privé pour qu'il les gère selon la vérité des prix qui, comme chacun sait, n'est révélée que par le « marché » sans autre spécification : on marche ici sur la tête, mais comme nous avons affaire au Frazer Institute, ceci ne saurait étonner personne! On peut multiplier les exemples.

Reste que le parachèvement de cette socialisation de la plus-value relèvera de la planification socialiste comme nous le verrons dans la section B). Cependant, il importe de souligner ici que le MPC lui-même est obligé de faire appel à la plus-value sociale moins pour humaniser son système que pour lutter contre ses esprits animaux ainsi que le notait Keynes, c'est-à-dire contre ses contradictions fondamentales. Autrement il se retrouve nez à nez avec la contradiction qui oppose la surproduction capitaliste à la sous-consommation des masses : Lénine rappelait qu'avec le MPC la production est sociale mais l'accumulation privée, rendant le système hautement instable. Nous verrons par la suite comment ceci influence la « structure de v ».

B) Rapports de distribution : Reproduction Simple (RS) et Elargie (RE)

L'allocation optimale des ressources en vue de produire de nouvelles ressources est au coeur de la science économique ; nous devons par conséquent analyser les rapports de distribution. La RS et la RE sont le seul moyen d'atteindre l'équilibre général tout en conservant la cohérence entre la microéconomie et la macroéconomie. Les théories économiques bourgeoises sont incapables de le faire. D'ailleurs cette incapacité retourne contre elle la critique létale que Böhm-Bawerk croyait, à tort, pouvoir adresser à Marx ; en effet, la théorie marxiste de la productivité rapports proportionnels inverses dispose d'un coup d'un certain nombre de raisonnements fallacieux, dont ceux concernant la soi-disant contradiction entre le schéma valeur et le schéma donné en prix de production, ceux concernant la tendance à la baisse des taux de profits, une idiotie qui confond taux et volumes de profit et ne remarque même pas que dans les esquisses retenues par d'autres pour former le chapitre du Livre III du Capital Marx parlait également de la contre-tendance … ainsi que de la rente…

On peut recomposer tout le schéma de la Reproduction en deux grands secteurs : le Secteur I des Moyens de production et le Secteur II des Moyens de consommation. Chacun de ces deux secteurs sera représenté par sa fonction de production marxiste agrégée. Il va s'en dire que l'on pourra de la même manière décomposer chacun de ses deux secteurs en sous-secteurs, en branches et en entreprises particulières. Mieux, la puissance de la fonction de production marxiste restant cohérente en termes de valeur (et de prix) ainsi qu'en termes de quantité, on pourra à loisir recomposer statistiquement les filières en tenant compte de la polyvalence de certaines entreprises ou branches. Pour faciliter la tâche on réduit chacun des secteurs pris empiriquement sur une base C = 100. Puis on applique les Equations de la Reproduction énoncées par Marx et formalisées de manière simple par Boukharine, car elles permettent d'exposer les proportions à respecter entre secteurs et donc l'équilibre systémique, le tout en respectant les cycles du capital et en assurant la cohérence dans les échanges impliqués.

Les Equations de la Reproduction Simple (RS) formant un système stable se reproduisant à l'identique serviront de base sur laquelle on élaborera ensuite les conditions prévalant pour la Reproduction Elargie (RE). Les voici sur la base des fonctions de production agrégées de SI et SII:

SI : c1(80)                 + v1(20)                 + pv1(20)         = M1(120 euros pour 120 Mp)

SII : c2(40)                 + v2(10)                 + pv2(10)         = M2 (60 euros pour 60 Cn)

Les Equations de la RS sont les suivantes :

c2 = (v1 + pv1)

M1 = (c1 + c2)

M2 = (v1+ pv1) + (v2 + pv2)

En appliquant les rapports proportionnellement inverses présidant aux modifications simultanées de la composition organique du capital (v/C) et du taux d'exploitation pv/v (la modification de pv/v donnant le pourcentage d'augmentation ou de décroissance de la productivité), on peut modifier la productivité sans entamer la cohérence en valeur, prix et quantité de la loi de la valeur ou encore de la RS. Mais nous aurons un Effet RS dû à la contraction dans le secteur non affecté et au travail libéré ; effet d'une importance capitale comme nous le verrons ensuite pour comprendre la théorie quantitative marxiste de la monnaie.

RS                                                                 RS + Armée de réserve (pv1'/v1'= 1,25; SII inchangé)

80 + 20 + 20 = 120 (120Mp)                         84 + 16 + 20 = 120 (150Mp)

40 + 10 + 10 = 60 (60Cn)                         36 + 9 + 9 = 54 (54Cn)

-----------------------                                   -------------------------------

        30                                                                 25 (AR= 5 en termes ex ante)

Notons ici deux éléments importants dans le schéma incluant la hausse de productivité : A) d'abord la création de l'Armée de Réserve (AR) du fait de la hausse de la productivité par laquelle la même force de travail en v1 en terme de Mp (leur valeur ayant baissée en sens inverse) signifie pourtant moins de travailleurs physiques. B) l'Effet RS : à savoir la contraction en valeur de SII, qui produit dans les mêmes conditions ante pour v/C et pv/v. Cependant, cette contraction en valeur montre que SII doit s'adapter à la demande sociale (i.e., respecter les Equations de RS-RE) ce qu'il fait en tenant nécessairement compte des prix relatifs. Ainsi 1 Mp valant maintenant 0,8 la fonction de production deviendrait 32 + 8 + 8 = 48. Mais en respectant la demande sociale la fonction de production s'établira à 36 + 9 +9 = 54.

Passons maintenant à la Reproduction élargie (RE.) Notons que le schéma fondé sur v/C et pv/v identiques dans SI et SII ne doit plus être considéré comme un cas particulier puisque le problème des rapports inverses en cas de changement de la productivité a été résolu.

Admettons que la moitié de pv1 soit réinvestie. (Nous notons : E = épargne et tE = taux d'épargne = E/pv.) La répartition du réinvestissement est notée en caractères gras.

t1                                                                         Réinvestissement                                 t2

                                                                                8 + 2 +(2)

SI : 80 + 20 + (10 + 10) = 120                         SI : 80 + 20 + (10 +10 ) =120                 SI : 88 +22+22=132

                                                                                4 + 1

SII: 40 + 10 + 10 = 60                                         SII: 40 + 10 + 10 = 60                         SII: 44 + 11 + 11= 60

La RS est sous-jacente à la RE mais la moitié de pv1 est réinvestie. Pour respecter les Equations de la Reproduction, SII devra suivre : et le fait nécessairement au même taux. En effet, la part de pv1 épargnée (ici 10) donnant le tE1 réinvesti se répartit en c'1(8) et v'1(2) selon la composition organique qui prévaut en SI. Par le biais des échanges ceci entraîne toujours, selon la composition organique prévalant en SII, c'2(2) et v'2(0,5). Or, ceci ne suffit pas pour assurer les équilibres; aussi les échanges porteront à la normalisation par l'anticipation : SII devant répondre à une demande réelle se trouvera portée à échanger plus de sa propre pv2 pour obtenir les Mp manquants; ceci se fait en respectant v/C, SII devra également couvrir les besoins supplémentaires en v'2. Une fois que l'on a « v » via le taux d'exploitation par le travail vivant on obtient automatiquement « pv ». Nous avons ainsi le résultat indiqué dans les schémas ci-dessus.

L'anticipation est une autre manière de dire que le taux de profit en système dynamique est forcément identique : mais il fallait le démontrer, ce qui est fait. (Notons que dès les Manuscrits parisiens de 1844 dans un trait de génie habituel, Marx dira que la « demande sociale » prime sur les épiphénomènes de la concurrence. Mais il lui fallait atteindre les Equations de la Reproduction après une longue étude des Physiocrates, de Sismondi et du Tableau de Quesnay pour établir la logique des Equations de la RS et de la RE (Livre II du Capital). En réponse à Gramsci commentant la méthode de Ricardo, Sraffa lui répondit en mentionnant les Manuscrits… de fait, dans ses prolégomènes Productions de marchandises par les marchandises Sraffa renvoie bien évidemment au « travail socialement nécessaire » de Marx, qu'il transforme ou occulte - en « panier de base », mais il le conçoit uniquement comme ve et non pas simultanément comme ve et vu (la valeur d'usage vu étant particulière pour cette marchandise-là : la force de travail se présentant à la fois comme travail passé et travail vivant, seule manière d'expliquer la genèse du profit par le surtravail). Du coup, il succombe au même défaut que tous les économistes bourgeois (depuis J.B. Say, Cournot et Walras et tous les autres à leur suite). Il s'interdit par là de comprendre le phénomène central de l'exploitation et donc la genèse du profit, dont le taux reste pour lui exogène. De plus, malgré ses critiques internes clairvoyantes mais incomplètes des rendements croissants et décroissants (années 20), Sraffa n'a pas de système de Reproduction rationnel : il emprunte le système de Tougan-Baranovsky et de Bortkiewics (v. Annexe)

substituant ainsi la manipulation d'une simple équation quadratique masquant le fétichisme de l'or et de la monnaie (i.e. équivalent général substitué à l'équivalent universel) à une théorie scientifique marxiste qu'il fallait compléter par l'insertion cohérente de la théorie de la productivité dans les Equations la RS et RE : ce que j'ai fait.)

Bien entendu, l'équilibre général abandonné à la « main invisible » ne crée que de l'inégalité et du gaspillage. Par exemple, la logique de l'anticipation ci-dessus peut parfaitement faire l'objet de l'optimisation par la planification socialiste. Abandonnée à une redistribution surdéterminée par la propriété privée elle ne mène qu'aux crises, encore augmentées du fait de la médiation bourgeoise par la monnaie. Pire, lorsque le capitalisme est confronté à des crises structurelles, il succombe à des tentations anti-libérales et nietzschéennes encore aggravées en Occident par le philosémitisme nietzschéen : cela mène à une diminution des revenus allant au prolétariat, mais aussi à des dépenses inutiles (dont les dépenses militaires superflues dans le cadre de la défense nationale comprise selon l'esprit et la lettre de la Charte de l'ONU.) Ceci dans le but de soutenir une croissance artificielle. Cette tentation fut bien exprimée par le Report from the Iron Moutain puis par la « politique de l'offre » monétariste actuelle.

Armée de réserve, inflation, déflation et taux de change

Lorsque l'on considère la valeur d'échange (ve) sans la valeur d'usage (vu), on succombe vite au fétichisme de la monnaie : ceci vaut particulièrement dans le cadre du MPC, lequel camoufle l'exploitation de la force du travail en occultant l'origine du profit. Ainsi, les facteurs de production sont liquéfiés dans leur forme monnaie de sorte que la monnaie apparaît comme engendrant de la monnaie, qui pose comme bien réel. De la sorte l'économie réelle disparaît derrière sa façade argent. Nous avons dit que la monnaie est un équivalent général qui doit être évalué à son tour en terme de l'équivalent universel, la valeur d'échange de la force de travail (laquelle inclut sa propre reproduction dans son ménage et au sein de la société). Voyons comment les choses se présentent en introduisant la monnaie comme médiation des échanges de la RS. Nous incluons le cas de la création de l'Armée de réserve (AR) du fait de la hausse de la productivité.

RS                                                                 RS + Armée de réserve (pv'1/v'1= 1,25; SII inchangé)

80 + 20 + 20 = 120 (120Mp)                         84 + 16 + 20 = 120 (150Mp)

40 + 10 + 10 = 60 (60Cn)                         36 + 9 + 9 = 54 (54Cn)

-----------------------                                         -------------------------------

        30€                                                                 25€ (ou bien 27,5€ si AR = 2,5€)

Nous remarquons que les échanges étant nécessairement bilatéraux (critique de PP. Rey à l'Accumulation du capital de Rosa Luxembourg) 30 € suffiront pour médiatiser tous les échanges de la RS; de même en principe 25€ pour le second schéma si l'on s'en tient à un schéma valeur abstrait de toute réalité sociale. Bien entendu le MPC n'est qu'une forme datée de société, qui est loin d'être idéale. On peut prétendre, comme le font les marginalistes et tutti quanti à part les marxistes, que la force de travail peut être liquéfiée à loisir. Il n'en reste pas moins que le passage du Schéma RS au schéma RS avec AR nous met en présence d'une force de travail v'1 = 16 euros = 20 Mp mais avec un nombre de travailleurs physiques diminué car « libérés » par la hausse de productivité. Ces travailleurs réduits au chômage doivent bien vivre et ce besoin irréfutable constitue la base fondamentale de la lutte de classe au sein du MPC, ce qui mène fatalement comme l'annonce Marx à son dépassement par une forme de production mieux à même de conjuguer le développement incessant des forces productives et les rapports citoyens de production. Soi-disant pour éviter la désincitation au travail les chômeurs ou travailleurs passifs reçoivent moins que les travailleurs actifs ( nous adoptons ici l'hypothèse d'une allocation AR équivalent à la moitié du salaire.) D'où vient AR?

Une forme de soutien capitaliste axée sur l'illusion monétaire consiste à émettre une masse monétaire salariale sociale plus grande que la masse monétaire salariale stricto sensu. Ceci permet bien de transférer à AR une partie des biens destinés à v par le biais de l'échange : avec pour conséquence que ceci produit le même effet inflationniste que la pluie monétaire mise en scène par Hume. Fatalement les dirigeants tenteront de contrôler ce processus d'érosion sans avoir à redistribuer plus équitablement les richesses sociales qu'ils accaparent (celles de pv). Ceci portera au développement de la politique monétaire et du système de la banque centrale capitaliste. De fait, la masse monétaire principale (masse salariale sociale) s'adaptera au soutien accordé à AR : or, on sait qu'avec le MPC ce soutien doit être inférieur au salaire le plus bas mais du moins depuis les enseignements de la Tennessee Valley Authority, ancêtre des statistiques selon Kuznets et de ses émules marginalistes un peu au-dessus du seuil de «maintenance ». Faute de quoi après 2 ans la force de travail souffrirait de carences telles qu'elle ne serait plus employable.

Posons ici que AR reçoive en soutien l'équivalent de la moitié d'une unité de v globale de sorte que AR= 30 - 25 = 5 AR = 2,5€ (en terme de « travail abstrait », abstraction faite de divers métiers impliqués dans la division du travail interne aux secteurs et intersectorielle, qui on le voit n'est pas le « travail simple » d'Adam Smith, ni le « travail du manoeuvre » de Jean Fourastié.) La « masse salariale réelle » de 25 euros devient la « masse salariale sociale » de 27,5 euros qui médiatise de facto les échanges, créant ainsi une « inflation structurelle » (il existe d'autres formes d'inflation ou, à l'inverse, de déflation) dont le taux sera 27,5/25 = 1,1. La bourgeoise ne perdit pas de temps pour découvrir le potentiel de redistribution inégalitaire de l'inflation (exemple tardif : Les Accords de Grenelle du Front national de l'atlantiste avant l'heure Léon Blum, lequel, curieux quiproquo, était convaincu d'appartenir « à la race de Herder »! ou encore l'ingénierie monétariste de guerre imaginée par le dr. Schacht contre le Traité de Versailles, dont Hilferding et la social-démocratie allemande ne se dissocièrent pas, instrumentalisant les Accords Dawes et ses séquelles et leur anti-bolchevisme pour réindustrialiser et réarmer l'Allemagne.) Le détail incluant les rotations est le suivant :

S = masse monétaire = masse salariale.

R = nombre de rotations; R = C/v + pv/v

M€ = valeur en euros du produit total = S x R

Ainsi nous aurions pour le capital total: 145/25 = 5,8; 29/25 = 1,16

=> M€ = 25 x 6,96 = 174€

Si on introduit AR en terme monétaire on tient compte de la différence, voilà tout. On aurait, en appelant « valeur-prix » cette expression inflationniste de la valeur:

S = masse salariale = 25€

Ss= masse salariale sociale = 25 + 2,5€ = 27,5 euros en schéma AR

Taux d'inflation = Ss/S

Rs= 6,96 R x taux d'inflation = rotations compte tenu de l'inflation.

Ms€ = produit total exprimé en "valeur-prix" i.e. compte tenu de l'inflation

L'Effet RS et les secteurs intermédiaires, ou la nécessité de la RTT et de la planification.

Si nous ajoutons une ligne supplémentaire aux deux schémas ci-dessus, celle du capital social (i.e. sa fonction de production globale serait la somme de (c1 + c2) + (v1+v2) + (pv1 + pv2) = (M1 + M2). La hausse de productivité libère la main-d'oeuvre en termes de travailleurs physiques. Et ceci se répercute via c2 dans le cas ci-dessus. Alfred Sauvy après les marxistes mais dans l'optique de la Planification Indicative et Incitative à la française notait que le « déversement » de la main-d'oeuvre, et donc son absorption dans de nouveaux sous-secteurs, n'était pas automatique. A part l'émigration normale ou coloniale il n'y a que deux moyens disponibles : le premier, limité, est la création de secteurs intermédiaires permettant la massification de vagues technologiques existantes. Conjointement avec l'institutionnalisation d'une partie de l'épargne salariale avec les programmes sociaux publics, ils sont à l'origine de l'expansion économique d'après la Seconde Guerre mondiale (automobile, électroménagers, transport et aéronautiques, loisirs etc.). J'ai dit que cette logique de massification est la vérité qui se cache derrière les cycles longs épiphénoménaux de Kondratiev en aidant à définir les « époques » du MPC (de même pour les « longues durées » de l'empiriste baconien Braudel pour les modes de production précapitalistes sous

hégémonie de la plus-value absolue; voir plus bas la discussion sur les différents modes ainsi que sur les ères civilisationnelles et les âges.) Mais fatalement ils suivent cette même logique de la productivité et des lois de motion qu'elle enclenche. De plus, les nouveaux secteurs intermédiaires ont tendance à être très intensifs en capital, de sorte qu'ils opèrent un déplacement plus onéreux en terme de main-d'oeuvre que le déversement escompté. L'autre moyen combattu idéologiquement par le capital, mais néanmoins inéluctable, reste la diminution légale de la durée du travail sans diminution du salaire (voir Marx sur "La dernière heure de Senior", un résumé abouti dans le Capital Livre I de ses analyses antérieures portant sur les conquêtes populaires en matière de durée du travail : dimanche puis fin de semaine, 7 ou 8 heures au lieu des 12 puis 10 heures antérieures, jours fériés et congés payés, âge de départ à la retraite etc..) Il se trouve que cette tendance inéluctable reste le seul moyen efficace de lever la contradiction principale du MPC entre surproduction et sous-consommation (à cela s'ajoute, avec l'Etat moderne plus consciemment redistributif, l'élément central de l'assiette fiscale et donc des revenus fiscaux). La difficulté pour le patronat ici tient à deux choses : d'abord les intérêts particuliers s'élevant contre le « communisme du capital » qui finit par prévaloir d'une manière ou d'une autre pour sauver le système; et ensuite, du fait que les FS sont en compétition entre elles, le lien entre productivité microéconomique et compétitivité macroéconomique représente une limite réelle. Or, le meilleur moyen de lever cette limite reste de la gouverner par la RTT optimale (ce qui sauve également la fiscalité) et par la plus-value sociale (sauvant ainsi la productivité microéconomique.) Le patronat tend à faire le contraire le plus suicidairement du monde s'il n'est pas rappelé à l'ordre par l'Etat et par les gouvernements ayant pour tâche minimum de discipliner les « esprits animaux » du mode de production capitalisme.

De surcroît la production capitaliste (la main invisible) se déroule en aveugle selon les besoins d'accumulation des capitaux individuels; ceci se fait donc nécessairement contre la logique sociale (accumulation privée et production sociale.) Au lieu de la RTT on nous sert donc le partage de la misère entre prolétaires (l'équilibre au seuil physiologique selon Solow et tous les marginalistes) plutôt que le partage du travail socialement disponible et des gains de productivité : ainsi, après l'introduction des 35 heures la semaine réelle restait en France de 39 heures en moyenne, alors qu'aux USA elle était de 34,5 h, de surcroît avec des conditions et des salaires précarisés, une assiette fiscale évanescente et une confusion chronique et suicidaire du coût du travail avec les coûts de production. Cette logique portée à son aboutissement est illustrée par la contre-réforme monétariste depuis Reagan et, en Europe, par la dérive actuelle de l'austérité s'incarnant dans la Règle d'or illégalement constitutionnalisée et le soi-disant Fiscal compact avec son désastreux calendrier de coupures effectués mur-à-mur sans état d'âme.

C'est bien entendu l'inverse qu'il faut faire : revenir à la planification et à la RTT optimale, ce qui sauverait également les cotisations sociales et l'assiette fiscale, et donc les possibilités régaliennes d'interventions positives dans les cycles de la reproduction pour en optimiser la cohérence dynamique. Le Kürtzarbeit et le chômage partiel sont des horreurs, même du point de vue sémantique : ils sont des avatars de l'anti-économique.

Il faut ajouter ici l'élucidation marxiste de ce que Sraffa appelait les valeurs de produits d'époques différentes. La hausse de productivité cause une contraction en c2. Mais rien n'empêche que ces Mp non utilisés en stocks ne réapparaissent par la suite; du fait, par exemple, en dehors des normes prévalentes, d'une augmentation temporaire de la durée du travail. Ou d'un accroissement en valeur absolue de la production, par exemple via l'intensité conjoncturelle. En fait, à part les stocks qui amortissent ces contractions, la production capitaliste moderne joue également sur la sous-utilisation de la capacité de production qui est usuellement de l'ordre de 80 %. Ceci vaut également pour le travail. C'est dû à l'établissement de la norme (dans la division du travail interne tout comme dans la moyenne des métiers internes) qui prévaut ordinairement et qui est encadrée légalement par le Code du travail et par la concurrence. De sorte que lorsque ces produits réapparaissent dans la production ils sont évalués à la valeur du moment selon les ratios fondamentaux de la fonction de production qui prévalent.

RS-RE, fonctions de production individuelles et intermédiaires de distribution liant les cycles du capital aux fonctions de production productives formant la RS-RE de base.

Dans nos Schémas jusqu'ici nous avons simplifié les cycles du capital analysés par Marx : nous avons introduit les masses monétaires sans introduire les sous-secteurs intermédiaires de distribution tels les entrepôts, les magasins en gros et en détail et leur marketing etc. Ceci était légitime puisque nous ramenions tout à deux grands secteurs SI et SII. Dans ce cadre il était possible de maintenir intact les moments de la production et de la réalisation tout en faisant ressortir les rotations principales ou systémiques. Nous avons pu ainsi dégager une loi essentielle de la Reproduction (ou équilibre général) grâce au réinvestissement : le taux de réinvestissement tE doit être identique en SI et en SII pour que l'équilibre soit maintenu (de fait nous avons vu que l'anticipation n'était qu'un effet de la demande globale.)

Dans une société complexe les industries et les sous-secteurs sont multipliés ; nous verrons que néanmoins cette multiplication repose toujours sur une série de sous-RS-RE sous-jacentes à la RS-RE principale de nos deux secteurs Mp et Cn à quoi tout peut se ramener. Nous verrons également par la suite que, dans une société complexe, le cycle global de la RS-RE est un cycle long de sorte que le crédit sera introduit pour permettre plus de flexibilité afin de servir de médiation pour les « lags ». Avant de passer à l'analyse du crédit il est utile d'introduire les cycles du capital, analysés par Marx, dans les Equations de la RS-RE (désormais élucidée pour ce qui est de la productivité.) Ceci va de pair avec l'analyse du rôle systémique de l'intermédiation non pas bancaire mais de distribution permettant la circulation et la réalisation sous forme argent des marchandises.

Notant par le signe « prime » l'accroissement sans lequel le capital n'existe plus sous forme de capital, je simplifie les cycles du capital en cycle argent A-A', cycle marchandise M-M' et cycle de production P-P'. Nous avons alors la concaténation suivante : A-M-P-M'-A' etc., soit le possesseur des Moyens de production a déjà de l'argent dans les mains du fait de

l'accumulation primitive (antérieure à la fois conceptuellement et historiquement) alors que la force du travail achetée par le salaire toujours payé après le travail accompli en tant que travail cristallisé fait aussi l'avance de son travail vivant lequel peut se déployer pour un temps supérieur à celui valant son salaire (autrement le capitaliste n'y verrait aucun avantage et son profit se réduirait à son propre salaire du fait de sa participation effective au procès de travail et de production immédiat, écueil sur lequel Adam Smith avait buté avec beaucoup d'honnêteté philosophique et scientifique.)

Sur cette base la concaténation est la suivante : le Possesseur des Moyens de production les achète avec son argent, il les réunit dans sa manufacture, usine ou lieu de travail et les met au travail ; il obtient ainsi de nouvelles marchandises qu'il vend à profit (résultat du surtravail converti en plus-value) obtenant ainsi plus d'argent qu'il n'en avait auparavant, ce qui lui permet de recommencer le cycle sur une échelle élargie formant l'accumulation propre au mode de production capitaliste. Les possesseurs des Moyens de production font ceci partout et donc dans les deux grands secteurs SI et SII qui forment la RS-RE. A la limite, sans intermédiaires de distribution, les échanges entre SI et SII pourraient être des échanges de trocs, encore qu'en introduisant les masses monétaires nous pouvons déjà analyser l'inflation structurelle dans toute sa pureté. La nécessité de l'argent qui permet la réalisation autonome des marchandises Mp et Cn et qui confère donc une plus grande flexibilité au système, pour assurer la boucle en principe sans fin (il faut pourtant compter sur les crises) de la concaténation des cycles du capital, vient de l'intermédiation distributive. Les entrepôts, magasins etc. font circuler les marchandises produites dans les fonctions de production productives comme telles, mais ils ajoutent une valeur de par leur contribution à la circulation et à la distribution des marchandises jusqu'à leur vente en gros et en détail (manutention, transport, marketing etc.).

Ainsi le secteur distribution est constitué par une série de fonctions de distribution partiellement autonomes mais nécessairement symétriques en SI et SII (lorsque l'équilibre dynamique est maintenu). Ce secteur a un autre rôle primordial : il permet la réalisation intermédiaire en argent des Mp et Cn ce qui permet, du moins en partie, de conférer plus de flexibilité (capitaliste ou de planification) aux deux secteurs productifs principaux SI et SII. Outre la fonction de production propre des sous-secteurs de distribution, ceci suppose un capital argent égal à (v1 + pv1) en SI et à (v2 + pv2) en SII. En cas de rupture momentanée ou systémique de l'équilibre entre les secteurs productifs, les stocks feront de coussins. On verra cependant que si l'équilibre productif n'est pas rétabli (selon la logique symétrique du taux de réinvestissement qui doit être, du moins sur le moyen terme, égal dans les deux secteurs), alors il y aura des conséquences (surproduction par accumulation des stocks et, via les prix, distorsions systémiques qui se répercuteront tant sur le marché domestique que sur le taux de change.) L'essentiel est de retenir que la distribution, sans changer la marchandise qu'elle fait circuler, lui ajoute un coût, précisément ce qu'il en coûte pour la faire circuler jusqu'au point de vente et à la vente effective.

Voyons comment ceci se présenterait pour la RS-RE. Nous aurions 1) schéma RS-RE agrégé, 2) schéma décomposé:

SI : 86 + 21,5 + 21,5 = 129 € (soit toujours 120 Mp ; 1 Mp =1,075€)

SII : 43 10,75 + 10,75 = 64,5 € (soit toujours 60 Cn ; 1Cn = 1,075€)

En notant les sous-secteurs distributifs SI entrepôt et SII entrepôt, la décomposition en fonction de production productive et distributive se présenterait comme suit :

SI:                         80         + 20         + 20         = 120 Mp

SI entrepôt  : 6 (40) + 1,5         + 1,5         = 9 €

SII entrepôt : 3(20)  + 0,75         + 0,75         = 4,5 €

SII:                         40         + 10         + 10         = 60 Cn

Dans le Schéma RS-RE agrégé les Equations de la RS sont évidentes car elles sont données en termes de valeur (ceci reste vrai si on fait varier la productivité). Mais le Schéma RS-RE décomposé montre comment l'équilibre prévaut en termes valeur et en termes quantitatifs (ce que le marginalisme ne peut mAme pas approcher avec ses statistiques et ses systèmes de comptabilité ineptes.)

Reste à analyser les Rotations dans ce système plus complexe (parangon de tous les autres possibles car il s'agit toujours de sous-RS-RE pour maintenir l'équilibre.) Nous connaissons la formule générale des Rotations dans les Equations de RS-RE de base : soit le nombre de Rotations R = C/v + pv/v. Cette équation des Rotations est déjà en soit supérieure à l'inepte tautologie de la circulation monétaire selon les marginalistes, car elle part de la variable centrale, la masse salariale, à la limite ajustée pour tenir compte de AR, ce qui produit l'inflation structurelle puisque le vrai équilibre repose sur le plein emploi. Les marginalistes partent de deux épiphénomènes faux : l'argent en circulation (aujourd'hui la FED ne calcule même plus M3 ce qui prouve bien, comme je l'ai fait noter ailleurs, par exemple dans mon Livre III, section Livres-Books de ce site, que ces gens ne comprennent rien à l'économie, et moins encore à l'inflation ou plus précisément aux inflations ou à leurs inverses. Rappelons que les opérations de Quantitative easing furent au départ lancées pour sauver les banques privées mais également dans l'espoir idiot de créer une forte inflation pour transférer le financement de la dette aux étrangers achetant les bons du Trésor, en particulier les Chinois, ce qui était parfaitement inepte; les faits confirment mes démonstrations mais personne ne s'en soucie plus ….)

Reste à voir la formule générale du nombre de rotations lorsque l'on introduit des sous-secteurs. La solution tient dans le fait que ces sous-secteurs et industries doivent être agencés en sous-RS-RE pour maintenir l'équilibre. Par conséquent, le nombre R sera le nombre R de base multiplié par le nombre de sous-RS-RE. On le voit le marginalisme est une série de puérilités et j'ai démontré qu'à partir de J.B Say puis de Solow et ali, cette puérilité masquée par de ridicules appareils mathématiques (comme les quadratiques de Tougan-Baranovsky et Bortkiewicz à l'origine), d'ailleurs contredits par l'arithmétique et par la logique, a une origine manipulatrice franc-maçonnique visant à masquer la loi de la valeur de Marx puisqu'elle met en question l'origine du profit et sa distribution. Il en va de même pour Cournot qui cherche lui aussi à poser des bases scientifiques à l'économie (positivistes en fait mais il ne fait pas la différence ; plus tard Bergson cherchera également à sortir la philosophie de sa scientificité, que ce religieux attardé qualifiera de « géométrique » en cherchant à critiquer Descartes et Kant et Marx et leur « athéisme », même et surtout lorsqu'il prend la forme d'un égalitarisme spirituel). Cournot le fit de deux manières : d'abord en éliminant la valeur d'usage (celle de la force de travail, en particulier) pour ne retenir que la valeur d'échange comme « utilité » non définie mais hiérarchisée (toujours selon une version forcément subjective semblable au « calcul des joies et des peines » de Menger et de von Mises); ensuite il se fonda sur Leibniz : les techniques, fruits des élites, produiraient les surplus nécessaires aux élites et à la subsistance des peuples qui leur sont subordonnés, ce qui est un moyen somme toute convenu et autosuffisant de défendre les privilèges. De fait, Leibniz était un grand penseur (il contribua une approche des proportions qui via la contribution oubliée de Marx mena aux dérivées ; il contribua également le calcul linéaire et les probabilités comme approches de la réalité à ne pas confondre avec une explication scientifique (à l'image des pitres du Cern et de leur « Boxon » (le terme me semble plus juste) de Higgs, atteint selon le niveau d'énergie de départ. Les savants ont tous très mauvaise conscience : comme l'expérience a coûté des dizaines de milliards personne ne souffle mot sur le fiasco, au contraire on fait mine de rien et on redemande des rallonges financières colossales: pour chaque niveau d'énergie on risque d'avoir un boxon pas un boson de Higgs en forme de probabilité (J'ai dit l'origine de ce drame plus pitrique que la fin de Nietzsche pitoyablement pendu au cou du cheval blessé : l'électron n'était au départ que le résultat théorique qu'une approche probabiliste ; or, aujourd'hui, on traque le parcours du photon et des savants sont capables déjà de suivre le parcours de nuages d'électrons : le chat de Schrödinger et son principe foireux supposément non-déterministe sans même savoir définir ce concept de manière non ambiguë en prend pour son rhume ; on pourrait peut-être les mettre en Bourse pour les financer sans nuire aux TGV et à la consommation électrique …Autosuffisance élitiste, en effet.) Reste que le capitalisme repose sur des rapports sociaux fortement appuyés par le machinisme et en particulier par la machine à vapeur : or, celle-ci est l'oeuvre de deux artisans Denis Papin d'abord, puis le forgeron anglais Thomas Newcomen (voir Science & Vie Septembre 2012, p 111,) inventeur de la « pompe à feu ». Aujourd'hui comme le remarquait déjà Althusser les innovations sont des oeuvres d'équipes, peu sont encore des oeuvres d'individus isolés reposant toujours sur un savoir social antérieur. (Pour le reste, on sait que les Romains connaissaient la traction à la vapeur mais l'utilisaient pour les jouets de leurs enfants : les rapports de production priment sur les techniques.)

Bref, revenons à nos moutons. Nous avons ici une première et cruciale illustration de l'aspect complémentaire de l'argent et des cycles du capital intégré dans les Equations RS-RS.

Suite demain

Nous pouvons maintenant passer à l'intérêt

Cycles du capital, crédit et système bancaire et financier.

Ceci se résume à la variation de l'anticipation par la médiation monétaire A) interne donc redistribution biaisée ou fortement priorisée (ce fut le cas de l'extrême développement des Mp pour Mp en URSS) B) importation et lags, et donc taux de change.)

Résumer la problématique du crédit tient de la gageure. Opérons d'abord quelques distinctions fondamentales. Les cycles du capital selon Marx sont trois : A-A', M-M', P-P' soit le cycle argent, le cycle marchandise et le cycle production. Tous trois sont entremêlés dans les procès de production immédiat et dans les Equations de la RS-RE; de plus dans le cadre du MPC ils doivent porter à un incrément (l'accumulation du capital par l'extraction de la plus-value donc le profit) noté ici par le symbole (') « prime ». Cependant toutes les formes, y compris les formes argent ou monétaire doivent en plus de la valeur d'échange désigner son support, la valeur d'usage. Lorsque ceci n'est pas le cas nous aurons à faire à la spéculation.

Le crédit lui-même ne doit pas être confondu avec la masse monétaire salariale ou sociale que nous avons déjà vue et qui suffit par ses rotations à assurer tous les échanges nécessaires à la Reproduction. Le salaire (v1 et v2) fait l'avance de son travail vivant prêt à être « tanné » dans la production au service du possesseur des Mp (v. Marx Capital, Livre I sur « Liberté, Egalité, Propriété et Bentham » p 726 Ed La Pléiade.) A la fin du procès de production immédiat il reçoit son salaire (argent qu'il convertit en Cn pour reproduire sa force de travail au sein de son ménage). On a vu que cette masse salariale suffit pour tous les échanges en situation d'équilibre i.e. lorsque les Equations de la RS-RE sont respectées. Le crédit pour sa part sert de médiation dans les cycles du capital mis en oeuvre par la Reproduction en ce qu'il permet de huiler ces circuits, ce qui est particulièrement le cas pour la recapitalisation à l'interne ou par l'importation puisque cette recapitalisation exige une mobilisation de grandes sommes d'argent pour un certain nombre d'années. En ce sens, la recapitalisation est différente du concept de réinvestissement que nous avons déjà vu (tE) qui ne concerne que le capital circulant noté « cc » (ou « used up »). La recapitalisation (notée Cap) concerne les immobilisations sous forme de capital fixe, ce qui implique nécessairement un tE dans « cc », selon l'usure, compte tenu de la part de « v » impliquée par la composition organique.

Ceci implique la naissance d'un système bancaire noté B avec un ratio prudentiel (disons de 1 à 5 ici) Bien entendu la possibilité de la mise initiale est supposée être acquise par l'accumulation primitive pour plus de facilité (mais nous pouvons très bien la faire émerger de la trésorerie des entreprises menant peu à peu à la spécialisation bancaire, ce qui fut historiquement le cas des compagnies mercantilistes de l'époque du capitalisme marchand jusqu'au capitalisme industriel qui fut pour sa part flanqué par le capitalisme bancaire et financier selon la division du travail, en passant d'une forme hégémonique du capital à une autre.)

Remarque essentielle: notre système bancaire, la banque B ici, est ontologiquement séparé de la gestion première de la masse monétaire fondamentale (masse salariale réelle ou sociale liée à AR) qui est gérée par la Banque centrale. Le mélange des deux est une déviance capitaliste qui mène comme nous le verrons à diverses perversions, toutes liées à l'autonomisation de la forme argent sans support « vu » en contrepartie donc dans l'économie réelle, donc à la spéculation dès lors que la Banque centrale renfloue le système bancaire sans autre logique que celle de sauver les banquiers.

Avant de passer à l'exposé, il convient de présenter le phénomène de la contraction économique en général, car il prévaudra avec l'introduction aveugle sans planification- du crédit capitaliste, du moins sectoriellement.

Supposons nos schémas RS canoniques :

A) 80 + 20 + 20 = 120                         B) 80 + 20 + (10 + 10) = 120

    40 + 10 + 10 = 60                             30 + 7,5 + (7,5)

Nous notons simplement ici que si SI retire 10 pv à la circulation interne à la FS export, stocks etc., il s'ensuivra, par l'échange et donc par la demande sociale, une contraction en SII (Notons déjà que les parades managériales capitalistes ont été développées : la surcapacité chronique en général de près de 1/5; les stocks (malgré les flux tendus); l'importation; et donc le crédit permettant tous ces lags.)

Nous pouvons alors passer à l'analyse des procès mis en oeuvre par le crédit. Bien entendu, comme l'argent ne crée pas de valeur en lui-même (sans contrepartie ce n'est que spéculation)

il s'ensuit que l'intérêt fait partie du profit mais non l'inverse (méthodologiquement, en bonne logique dialectique non aristotélicienne, ce sont des distincts et non des opposés.)

Nous supposons :

1) RS-RE avec v/C mêmes et pv/v mêmes.

2) une capitalisation (Cap) en SI uniquement de 5 euros. Celle-ci ira en cf mais avec un taux d'usure en 10 années ce qui implique la couverture de v1 selon le rapport v/c. Donc ici . cf1= 4,5 et .cc1= 0,4 avec .v1= 0,1 (total incrément dans la fonction de production .= 0,5)

Face à cela nous avons le système bancaire ici la banque B : Elle prête 5 euros à SI pour 10 ans à 1%. De sorte que SI devra rembourser au total (principal plus intérêt) 5,5, donc 0,55 euros tous les ans pendant 10 ans. Le taux d'intérêt tI = 1%, remboursement annuels = 5,5/10.

Il nous reste à tenir compte du taux d'usure (ici l'initiative est en SI.) Noter que l'intermédiation monétaire comme telle (avec un support « vu » en contrepartie dans économie réelle ou Equations RS-RE) ne se qualifie pas comme un secteur à part entière. C'est le cas de la banque centrale et du système bancaire : il en va ici comme du gouvernement et de la bureaucratie publique et privée : leur coût est intégré aux Equations. Avec la spéculation se sera différent, elle passera pour une partie nuisible du secteur SI : mais en changeant artificiellement sa composition organique et son taux d'exploitation, elle déséquilibrera SII et l'ensemble de la reproduction servant à satisfaire des besoins sociaux, laquelle sera usurpée à des fins uniquement spéculatives … ce qui est intenable (ne serait-ce que via le taux de change et les échanges externes.) Nous y reviendrons.

La fonction de production SI se présenterait en tenant compte du développement temporel (production, valorisation, nouvelle production) comme suit (avec Cap = 5 euros) SII suivra : nous notons Ctr, la contraction subie en SII, v/C et pv/v inchangés; ) t1 = départ; t2 = nouveau départ (Bien entendu à chaque ligne de SI correspond une ligne de SII dans le cadre de la RS-RE.)

SI):                 cf1                 + cc1                 + v1                 + pv1                         = M1

t1:                 800                 + 80                 + 20                 + 20                         = 120

Cap 5€:                            80                 + 20                 + 15 + 5                         = 120

Usure:         804,5         + 80,4                 + 20,1                 + 20,1                         = 120,6

t2:                 804,5         + 80,4                 + 20,1                 + 19,55 (20,1 - 0,55) (On soustrait ici l'intérêt payé à B)

SII)

t:                 400         + 40                 + 10                 + 10                         = 60

Crt:                                     35                 + 7,5                 + 7,5

t2 transitoire:                 39,65                 + 9,9125                 + 9,9125                         = 59,475 (On note la contraction potentielle)

t2 réel:                          40                         + 10                 + 10                         = 60

Nous avons ici une première approximation qui sera entièrement éclaircie lorsque l'on présentera par la suite un schéma introduisant formellement dans les fonctions de production et les secteurs à la fois l'intérêt et le sous-secteur de la distribution (entrepôts etc.) nécessaire pour tenir compte de la valorisation des marchandises en argent qui est ici assumée.

En t nous avons une situation RS en équilibre. Puis la décision est prise en SI de capitaliser l'équivalent de 5 euros en passant par le système bancaire, ce qui revient à retirer des Mp de la circulation en RS sauf pour ce qui est réinvesti (i.e. l'usure de cf de 1/10ème par an qui s'ajoute au capital circulant avec compensation pour v1 (i.e., 0,1 Mp supplémentaire devant être échangé pour l'équivalent en Cn.) Il se produit une contraction momentanée en SII mais les échanges menant vers t2 rétablissent l'équilibre, sauf pour la contraction permanente en SII provenant de la soustraction de l'intérêt dans le profit de SI.

Cependant SII dispose d'une capacité de production moyenne installée de c2= 40 et v2 = 10 avec pv qui suit selon pv/v = 1. Comme les Mp sont disponibles via les stocks internes (ou si on veut via les entrepôts qui autonomisent déjà en partie la fonction de production SI productive), il est clair que SII se rétablira à son niveau d'avant (40 + 10 + 10) que je note comme t2 réel. En effet, SII n'a aucune difficulté à s'adapter à la baisse (i.e. ses stocks et leur remise en production selon la logique des marchandises d'époques différentes) ou à égalité. L'adaptation à la hausse exige cependant une ponction dans le capital fixe avec mutatis mutandis une durée du travail allongée, une intensité conjoncturelle plus grande, ou bien, dans le meilleur des cas, par une hausse de la productivité.

Par conséquent si 0,55 Mp commence à s'accumuler dans les entrepôts où leur valorisation en argent nécessaire pour payer l'intérêt à la banque à lieu, SII y puisera la différence entre c2= 39,65 et 40 soit 0,35. Les Cn sont disponibles. L'accumulation réelle en stock sera de seulement 0,2 Mp. La contraction potentielle de 0,55 se transforme en une contraction dynamique de 0,2. Mais ceci reste une contraction qui aura même tendance à accumuler ses effets néfastes du fait de la cécité de l'allocation intersectorielle des ressources par la « main invisible » plutôt que par la Planification, au minimum Indicative et Incitative. La distribution apparaît donc comme une médiation dynamique non optimum. Nous connaissons déjà la réponse pour ce qui est de l'optimum dans l'équilibre général : tout comme pour le taux de réinvestissement voir démonstration ci-dessus cet optimum dynamique dans la RS-RE impliquerait le même taux d'intérêt (comme de réinvestissement) dans les deux grands secteurs.

Il y a donc bien un déséquilibre productif masqué par le sous-système distributif qui de A-A' s'arrête en partie à A-M ou si on veut A-Mp du moins pour 0,2 Mp.

Il reste que cette dangereuse accumulation des stocks peut ensuite induire une série de distorsions car la mise sur leur marché en même temps que les marchandises dernièrement produites faussera les prix de marché (sans remettre nullement en question la demande sociale et donc la loi de la valeur intégrée dans les Equations RS-RE comme nous l'avons démontré à la fin du livre Hi-Han, les âneries visuelles hallucinatoires des économistes bourgeois (démonstration que nous reprendrons plus bas.) Pire, les effets se feront sentir sur le taux de change.

Ceci est extrêmement important : en effet, nous savons déjà que l'intérêt est une soustraction du profit (lorsqu'il n'est pas spéculatif et qu'il a une contrepartie en valeur d'usage (vu) dans l'économie réelle.) De sorte que l'avantage du crédit pour la croissance est à relativiser ou du moins à comprendre au sein des données historiques et sociales. Car la contraction dynamique a un effet sur les stocks et sur AR, donc sur l'inflation structurelle.

De même, la confusion capitaliste entre la Banque centrale et le système bancaire est très dangereuse, d'autant plus que cette confusion s'ajoute à l'opération en aveugle de la « main invisible » entraînée par le seul motif du profit individuel, l'équilibre étant factice ou simplement asocial. L'allocation des ressources en terme de la RS-RE n'est pas optimale. Par contre, le système de crédit bancaire permet une flexibilité dans cette allocation des ressources pour ce qui est de la capitalisation en cf. Cependant, pour éviter la contraction sectorielle il faut intervenir simultanément et en proportion sur les deux secteurs à la fois, surtout lorsque une hausse de productivité découle de la capitalisation.

Soulignons que les taux d'intérêt génériques de la Banque centrale sont ici extrêmement nuisibles et provoquent de grandes distorsions tout en favorisant la production spéculative, peu ou pas reliée à l'économie réelle, un travers encore aggravé par le PIB marginaliste et ses recettes de cuisine. En réalité, il convient de se souvenir de l'analyse du camarade Boukharine dans son Economic theory of the leisure class http://www.marxists.org/archive/bukharin/works/1927/leisure-economics/introduction.htm liant le développement de la théorie de l'utilité marginale à la montée en puissance d'une nouvelle fraction de la bourgeoisie dépendante du crédit; de la même façon le développement historique de la banque centrale capitaliste répond à une exigence de classe : ses taux directeurs centraux servent simplement de façade idéologique assurant les capitalistes individuels d'une égalité formelle dans l'accès au crédit, une égalité formelle qui, bien entendu, disparaît face à la concentration et centralisation du capital réglant la puissance de capitalisation (concentration et centralisation du capital.)

C'est pourquoi un système de crédit rationnel exigerait que les banques soient fonctionnellement liées à leurs branches et leur secteur (ou filières) de référence. Elles agiraient alors simplement en modifiant leur levier financier selon les besoins d'expansion ou de concentration, ce qui se ferait selon les besoins systémiquement déterminés sans passer par les taux directeurs de la banque centrale qui eux gèrent uniquement les agrégats monétaires sans se préoccuper de la taille ou des besoins économiques réels (De surcroît, ces taux directeurs devraient uniquement servir à contrôler l'inflation dite structurelle et le taux de change. On a remarqué d'ailleurs qu'avec la spéculation érigée en système par la banque dite universelle, la FED ne calcule même plus M3 ...) Dans ce cas, le levier de ces banques publiques serait toujours très bas comme l'intérêt exigé : ce dernier doit uniquement assurer les frais de roulement sans avoir à dégager un profit autonome qui alors deviendrait une spéculation parasitant l'économie réelle, i.e. les Equations de la RS-RE. A la limite il serait possible pour la Planification de donner un levier aux trésoreries d'entreprises mais ceci serait très risqué et difficile à contrôler : d'où la division du travail par les banques fonctionnelles publiques permettant un contrôle sur l'émission des moyens d'échange pour des missions d'intérêt commun qui ne seraient pas restreintes à des motifs d'accumulation individuels et, de surcroît, transnationalisés. On voit que la planification sur des bases marxistes (la fonction de production recomposée selon les besoins au sein de la RS-RE) est ici nécessaire pour optimiser l'impact du crédit. Ou, du moins, la planification indicative et incitative dite à la française.

Il est utile de reprendre le schéma ci-dessus en intégrant à la fois l'intérêt et les entrepôts ce qui confirmera nos commentaires ci-dessus. Nous aurions ceci :

Situation départ :

SI :                         80                 + 20         + 20         = 120 Mp

SI entrepôt :         6(40)         + 1,5         + 1,5         = 9 € (en cc (40) = Mp qui circulent uniquement)

SI agrégé :         86                 + 21,5         + 21,5         = 129 € (1 Mp = 129/120 = 1,075 €)

                        ......................................................

SII entrepôt :         3(20)         + 0,75         + 0,75         = 4,5 €

SII :                         40                 + 10         + 10         = 60 Cn

SII agrégé :         43                 + 10,75         + 10,75         = 64,5 € (1 Cn = 1,075)

Notons que nous utilisons notre schéma RS-RE canonique le plus simple avec v/C et pv/v identiques; ceci facilite la présentation. Cependant, avec la résolution de la loi de la valeur pour la productivité intégrée dans la RS-RE, on est libre de coller à la réalité en prenant les fonctions de production sectorielles ou sous-sectorielles : la logique interne sera toujours maintenue. (En d'autres termes la résolution du problème de la productivité pour la loi de la valeur réintégrée dans les Equations RS-RE permet de traiter le cas des rapports fondamentaux identiques en SI et SII comme le cas le plus simple mais non pas comme un cas particulier.)

Notons également que en cc1 les 40 entre parenthèses (40) indiquent les 40 Mp devant circuler (v1 + pv1) et rien d'autre. Ces Mp circulent, ils ne servent pas pour façonner d'autres produits. Le sous-secteur entrepôt permet donc la transformation de ces Mp en argent pour SI productif, avec quoi il peut payer l'intérêt aux banques par déduction sur son profit : nous avons bien une économie entièrement monétisée (et non pas une économie de troc comme c'est le cas pour le marginalisme malgré les apparences … avec le marginalisme la monnaie n'est pas organique à la valeur mais constitue un marché indépendant devant être concilié (toujours très mal, en l'occurrence) aux autres marchés devant former l'aléatoire « équilibre général » comme « marché des marchés ».) La fonction de production entrepôt est peut-être légère en termes productifs mais suppose que ces intermédiaires-là aient en main la somme d'argent nécessaire à la valorisation-réalisation des Mp en argent (M-A). Cette capitalisation argent, qui vient logiquement et historiquement de l'accumulation primitive puis du crédit lui-même, n'ajoute rien à la valeur des marchandises contrairement à la partie productive de la fonction de production du sous-secteur distributif qui correspond aux coûts de transport, manutention, stockage, marketing et finalement de la vente effective.) Ceci vaut également pour les entrepôts en SII (Cn).

Introduisons maintenant l'intérêt en SI productif : via le crédit SI productif capitalisera 5 Mp dans son capital fixe dont la part 0,5 - allant annuellement à son capital circulant et à son capital variable selon la composition organique. Nous aurons :

SI :                         80,4                 + 20,1                 + 20,1                 = 120,06 Mp (pvd=21,0575; intérêt= 0,55€)

SI entrepôt :         6,03 (40,2)         + 1,5075          + 1,5075                 = 9,45 € (40,2 = Mp circulants)

SI agrégé :         86,43                 + 21,6075         + 21,6075         = 129,645 € (1 Mp = 129,645/120,06 = 1,075 €)

Avec intérêt :         86,43                 + 21,6075         + 21,0575 (+ 0,55 intérêt)

                        .............................................................................................

SII entrepôt :         3(20)                 + 0,75                 + 0,75                 = 4,5 €

SII :                         40                         + 10                 + 10                 = 60 Cn

SII agrégé :         43                         + 10,75                 + 10,75                 = 64,5 € (1 Cn = 1,075)

SI monétise 0,55 Mp dans le sous-secteur distribution. Si on s'en tenait à cela la contraction potentielle en SII serait de 0,55. Cependant, SII se reproduira dans ses conditions ante puisque les Mp pour se faire sont disponibles. De sorte que dans ces conditions la contraction dynamique sera de 0,215 €

Evidement, ce n'est pas une grande trouvaille que de dire que le sous-système RS-RE de la distribution autonomisant SI et SII productifs sert de coussin à la reproduction sur échelle élargie, du moins tant et aussi longtemps que les mêmes conditions ne prévaudront pas en termes d'intérêt et de réinvestissement dans les deux grands secteurs de la RS-RE. Encore fallait-il le démontrer en l'intégrant dans les Equations de la RS-RE. Or ceci corrige bien des âneries marginalistes, ces gens-là ne sachant pas ce qu'est l'équilibre général (le « marché des marchés » livré lui aussi à l'aveuglement de la « main invisible »), ni ce que peut être la différence entre intérêt et profit. Du coup, les crises n'existent que dans le malheureux chapitre d'histoire économique, puisque en théorie les cycles économiques n'existent pas s'ils existaient, théoriquement du moins, l'équilibre ne serait plus etc. … - et on peut ainsi aligner toute sorte de truismes marginalistes dont celui qui veut que la spéculation disparaît par elle-même en accélérant la formation de l'équilibre marginaliste etc., etc.…)

A contrario la planification, fut-elle partielle indicative et incitative- peut seule corriger les défauts ontologiques de la « main invisible » du marché capitaliste.

Régime financier international

Nous avons ici supposé que la capitalisation se fait de manière endogène car ceci permet de comprendre les effets qui s'ensuivent sans variables externes. Cependant, historiquement on sait que le crédit joue au niveau international (voir colonial et impérial : ce qui nous mène à l'évolution du système financier international et au rôle des barrières visibles ou invisibles et à la suzeraineté monétaire dans ce cadre.) Il est clair que si la monnaie d'un pays est acceptée internationalement, ceci permet au crédit de jouer un rôle important : mais ici aussi c'est toujours la même histoire, le crédit permet une allocation différente des ressources (dans ce cas par le pillage impérial ou colonial permettant une accumulation plus rapide dans les métropoles.) Ainsi le crédit capitaliste présentera à l'interne une contradiction (symbolisée

par les relations houleuses de Ford avec le banquier Morgan) visant la part du capital bancaire capitaliste autonomisé et parasite dans les volumes de réinvestissement dans l'industrie. La mise en bourse aggrave encore ce problème.

A l'extérieur ceci se traduit par la subordination des flux de capital et rappelons-nous de Günder Frank par le « développement du sous-développement » hors métropole (du moins lorsque ces pays se laissent subordonner, contrairement à certains pays dits émergents qui échappent à ce sort aujourd'hui, du moins s'ils continuent d'échapper aux sirènes de la financiarisation, c'est-à-dire de la spéculation ou secteur financier entièrement autonomisé et parasitant l'économie réelle.)

En fait, le recours au crédit interne ou externe ne vaut que s'il permet d'augmenter la production surtout via une meilleure productivité de manière coordonnée au sein de la RS-RE, en évitant la spéculation. Autrement dit les joint-ventures, appuyées par un système de crédit interne à très faible levier et très bas taux d'intérêt, seraient vastement supérieures. L'illusion contraire vient du fait que des éléments politiques idéologiques entrent en ligne de compte en prenant l'aspect de la soi-disant ouverture du marché, et de la nécessité d'obtenir des réserves étrangères par exemple grâce à l'appartenance à l'OMC. Un système dans lequel un grand pays offrirait des joint-ventures optimales sans cette soumission capitalistique serait vastement supérieur, surtout pour les pays en voie développement : le décollage économique serait plus rapide et bien plus harmonieux. En fait, la possibilité de produire des surplus alimentaires et énergétiques la société moderne est énergivore car la production est une transformation de « vu » en autres « vu » serait plus important que le crédit, du moins du point de vue des échanges internes et de la croissance réelle. Petit appel du pied aux camarades chinois ... pour le développement d'un système international différent fondé sur ces principes et sur les joint-ventures.

De sorte qu'il ne faut rien sacrifier dans l'illusion destructrice autonomisation financière nécessairement spéculative visant à faire émerger sa monnaie comme principale monnaie d'échange, en créant ainsi un biais destructeur en faveur des services spéculatifs eux-mêmes internationalisés. En fait cette stratégie n'est qu'une fuite en avant : elle mena tour à tour la GB puis les USA à la faillite, par le sacrifice de leur socle économique réel, et à la guerre pour protéger ces cycles spéculatifs. Il faudrait mieux réformer le FMI pour en faire une chambre de compensation avec des DTS afin d'assurer la flexibilité : la « puissance » viendra alors de l'intensité des échanges, elle-même dépendante des réseaux de joint-ventures mutuellement bénéfiques qui enrichiront les partenaires en les rendant ainsi solvables, plutôt que de les ruiner dans l'espoir de les asservir au profit de ses propres champions nationaux (voir actuellement la politique de l'Allemagne et de la France vis-à-vis du Sud européen pour l'exemple à ne pas suivre ou celle des USA versus Amérique latine dans les années 60-70-80 ou Afrique..)

Revenons un peu en arrière : lorsque SI retire de la circulation l'équivalent de l'intérêt, il le fait en termes de Mp mais il paie la banque en euros. D'où l'importance de la temporalité : la production, puis la valorisation qui, une fois achevée, permet le nouveau départ productif : mais avec une réallocation des ressources produites par l'échange. Rappelons que l'échange met en cause la masse salariale réelle (voire sociale avec AR) par les rotations. Ajoutons seulement ici une note tirée de Kalecki commentant Marx dans le contexte américain : les rotations sont plus rapides aux USA qu'en Europe simplement parce que le salaire est versé de manière hebdomadaire plutôt que mensuellement; (de même la spéculation court-termiste est aggravée par les rapports trimestriels ...) On sait que von Mises pensait que le jeune Friedman n'était qu'un « excentrique » (il avait du flair ...), la « high-speed money » de Friedman n'étant que la cumulation de ce fait avec la circulation des « greenbacks » généralisés sur le territoire car payés à la cavalerie dans l'Ouest contrairement à la Virginie qui se servait encore parfois de son tabac comme moyen d'échange. Petit détour qui nous incite à rester bien ancrés dans la fonction de production marxiste et dans les Equations de la reproduction lorsque nous parlons de « crédit »: autrement cela devient très dangereux. Par exemple, pour ce qui est de l'autonomisation du crédit, j'ai nommé le capital financier (Lafargue, Hilferding, Lénine) et plus particulièrement dans le contexte actuel la spéculation dans le cadre de la banque universelle reposant sur le « crédit sans collatéral » de facto car renflouée à répétition par la banque centrale ... ce qui est bien pire que le « pilote automatique » de Milton Friedman et représente une extraordinaire perversion du Wealth Effect de Pigou devenu le House Effect du pitre « maestro » Greenspan indépendamment de la structure de la courbe de demande et de l'accumulation des richesses pour les 10% voir 1% en haut de la pyramide.)

Modus operandi banque et bureaucratie comme gouvernement permanent (division du travail interne externe : le tout se résout dans plus-value sociale.)

Autrement formes reliées : primaire, secondaire et tertiaire (le tertiaire autonomisé en finance c'est la ruine : on en fait aujourd'hui l'expérience. Même l'OFCE semble l'avoir compris à retardement qui faisait l'apologie de la croissance contre l'industrie compensée par les nouveaux services juste après l'élection en espérant permettre la croissance et donc dégager un solde budgétaire primaire, preuve de l'ineptie et de l'incompréhension ambiante dans ces milieux ... d'ânes auto-sélectionnés dans le même paradigme. D'où la nécessité de surplus d'énergie et de surplus alimentaires pour RE. Démonstration.

L'autonomisation du capital-argent ou spéculation érigée en système.

Nous avons vu que toute marchandise a un caractère dual « ve » et « vu »; ceci vaut pour le capital-argent qui n'est jamais qu'une marchandise comme une autre présentant toutefois des caractéristiques spécifiques (homogénéité par partie aliquote comme pour l'or ou l'argent qui sont inoxydables, facilité de transport etc.) lui permettant d'opérer comme un équivalent

général; toute marchandise, sac de pommes de terre ou or, peut opérer comme équivalent particulier. De fait, les équivalents généraux doivent encore être évalués en terme de l'équivalent universel, la valeur d'échange de la force de travail. Marx a analysé en détail les cycles du capital. Il s'en suit que dans tous les cycles, du capital, de la marchandise et de la production toute valeur d'échange doit avoir une contrepartie en valeur d'usage, l'incrément éventuel venant de l'exploitation de la force du travail se traduisant en surtravail (vu) donc en plus-value (en terme de la valeur d'échange « ve ») donc en profit (rapporté sur le capital constant et variable nécessaires au procès de production dans lequel l'extraction se produit. Nous avons vu pourtant que l'argent peut produire de l'argent en tirant un bénéfice (A-A') : ceci se fait par l'intérêt bancaire déduit du profit. Il nous reste à analyser l'autonomisation entière du cycle A-A' par rapport à l'économie réelle. C'est la perversion suprême du mode de production capitaliste.

Voyons comment se présente les choses, comment on passe du cycle A-A' bancaire à l'émergence d'un secteur spéculatif (dit de services ou de services financiers, épitomes de l'économie dite « immatérielle », nuages aristophanesques des ânes bourgeois réduisant l'objet d'étude à une « dismal science ».)

Dans l'ordre chronologique et logique nous avons le capital marchand (les anciennes compagnies mercantilistes, disons jusqu'à Law.) Ceci nous donne l'accumulation primitive (et les premières colonies). Suit le capital industriel (voir Marx la Lutte des classes en France) encore axé sur la banque mais donnant déjà lieu à une distinction entre capital portefeuille (strictement bancaire) et capital financier (dans la définition précise qu'en donne Lénine dans l'Impérialisme stade suprême du capitalisme v. www.marxists.org) en corrigeant Hilferding, c'est-à-dire un capital argent participant directement à la production et à son organisation. De fait, la différence entre les deux formes est bien une différence de régime de propriété. Ce régime est issu de l'évolution des compagnies grâce aux chemins-de-fer en tant que compagnies par participations (voir les travaux pionniers de de Witt pour calculer le risque de chaque actionnaire ou participant ce qui concrétise la théorie plus abstraite des jeux de Blaise Pascal. http://en.wikipedia.org/wiki/Johan_de_Witt ) Sa forme achevée est la Bourse avec la société anonyme.

Il n'y a pas ici uniquement un passage entre forme de propriété et forme managériale selon la sociologie américaine mais surtout régime de propriété par actionnariat permettant de drainer l'épargne disponible, via la bourse, tout en préservant le contrôle (y compris par le biais des filiales) dans les mains des grands actionnaires, le plus souvent croisés (industriels, banquiers, fonctionnaires ou, du moins indirectement, politiques.) Nous avons-là une spécialisation, induite par le processus général de la division du travail, permettant le drainage de l'épargne vers l'industrie aux prises avec le double processus de la concentration et de la centralisation incarnant les lois de motion du MPC (les oligopoles et monopoles de Sraffa, Robinson et Chamberlain : production sociale, appropriation privée, précise Lénine. Aujourd'hui s'ajoute un raffinement dans la socialisation des pertes.)

Avec le capital financier nous restons cependant dans la même logique systémique selon laquelle l'intérêt avancé par la banque ou via la bourse est déduit du profit tiré de l'économie réelle (Les Equations de la RS-RE avec les rapports fondamentaux de la fonction de production.) De fait ceci prend une forme organisationnelle et légale précise. D'une part le rôle de la Banque centrale, ou BC, (d'abord en GB) se précise comme organe assurant la coordination privée des banques privées, en plus de la gestion de l'émission de la monnaie ayant seule cours légal. La BC se trouve donc à gérer les ratios contrôlant les réserves des banques placées chez elle droit de regard régalien en fait qui fait que l'on confond rapidement la BC avec une banque centrale publique même lorsque ceci n'est pas le cas. Elle le fait encore en exigeant un collatéral précis : selon un ratio prudentiel bancaire donné, toute nouvelle réserve déposée dans la BC activant le ratio pour de nouveaux crédits doit être justifié; en fin de compte par l'intérêt versé par l'économie réelle aux banques privées pour leur avance comme nous avons vu plus haut. La spécialisation du monde bancaire lui-même suit ce qui se résume par le cloisonnement fonctionnel des activités de drainage de l'épargne et du crédit. Ainsi émergent les 4 grands piliers du monde bancaire et financier. D'abord les banques de dépôts (originairement censitaires); ensuite, les banques commerciales faisant le lien avec le capital industriel (et son flanc emprunts publics) en particulier via la bourse; entre-temps, le développement des assurances, d'abord liées aux aléas du commerce mondial et du taux de change Etalon Or puis extrapolé aux formes primitives menant à l'assurance vie et aux pensions privées; enfin, les caisses populaires issues des caisses ouvrières et du monde coopératif, menant aux formes d'institutionnalisation de l'épargne des ménages (partie de la plus-value sociale) par l'Etat social.

Notons que si le schéma de base reste le même déduction mutatis mutandis de l'intérêt du profit -, cette forme d'accumulation mène fatalement à l'émergence de crises et de cycles économiques, tous les deux ontologiquement impossibles pourtant selon le paradigme marginaliste. Lequel est obligé d'ajouter subreptisement un malingre chapitre historique au « manuel » comme un Pater noster après confession secrète des péchés déclinant le péché originel au confessionnal, ou plus précisément comme indulgence de marchandisation opportuniste permettant de socialiser et de sélectionner les étudiant-e-s obéissants. Galbraith a offert une magnifique histoire de ces crises se présentant d'abord comme des bulles spéculatives à commencer par celle de la tulipe hollandaise. Disons seulement ici que la logique de la capitalisation outrée et de la déduction porte à des crises sectorielles d'où les bulles traditionnellement définies avec cependant des effets systémiques du fait de l'importante désorganisation de la cohérence de la RS-RE. Ainsi se dissipent dans le fait les illusions du « surprofit » lié aux oligopoles et monopoles : il n'est jamais que conjoncturel (signalé au minimum par un Price/Earning ratio exagéré) pour être vite dissipé par l'éclatement des bulles et par les crises.

Cette logique cyclique réelle du capitalisme est alors encore aggravée par la forme de régime monétaire international prévalent et surdéterminant le taux de change. Il suffit, par exemple, de se reporter aux magnifiques « essais de persuasion » de Keynes dont « les conséquences économiques de la guerre » pour voir le drame socio-économique réel qui se jouait dans les différents entre l'économiste anglais et Lloyd Georges par exemple (différents qui se jouaient sur « la peau et le os des travailleurs » expression que Gramsci utilisera également.) On sait que pour plus de flexibilité Keynes militait pour le dépassement de l'Etalon Or. Sa vraie

défaite arrivera plus tard face à l'Américain H. White durant les négociations de Bretton Woods menant à un Etalon Or-dollar qui sera ensuite abandonné 71-73 et 76 au profit d'un régime de changes flottants dont nous reparlerons sous peu.

Il nous reste à montrer le passage de l'intermédiation monétaire classique avec ses formes spécifiques et les crises qui en dépendent à l'autonomisation quasi-complète de l'intermédiation, soit la spéculation érigée en norme (de surcroît, marginaliste et plusieurs fois nobélisée depuis la mystification originale de Hicks, Solow et Samuelson : Veblen était un enfant de coeur boukhariniste-petit-bourgeois à côté de ces ânes-là très « éveillés » cela va de soi …). Ceci se résume en ce que j'ai appelé le « crédit sans collatéral » autrement dit l'illusion de pouvoir porter à son terme la fin du dualisme (ve-vu) érigée en « science » (bourgeoise : Hi-han! Hi-han!) en prenant appui sur le papier monnaie de Ricardo revu par J.B. Say, et en l'absence légale de tout ratio gouvernant les réserves déposées auprès de la BC ou tout ratio prudentiel bancaire : ce qui est concrétisé aujourd'hui par les différentes formes de Quantitative Easing et autres twists. En gros, l'illusion que le signe remplace la réalité, la narration théocratique philosémite nietzschéenne de surcroît, y compris dans le pays nouvellement ruiné qui dut endurer une Sarfatti et consorts , ou bien, en termes de cycles du capital marxistes, de la narration selon laquelle l'argent peut enfanter l'argent sans passer par la production (en gommant donc l'exploitation de la force de travail et les Equations de la RS-RE.) A-A' : l'argent mène à une accumulation sans fin de l'argent : « voilà Moïse et tous les Prophètes » comme ironisait Marx dans le Livre I du Capital, en sachant de quoi il parlait s'agissant des illusions de « l'homme aux écus ».

La différence ici vient du fait de l'émergence des services financiers comme secteur (ou sous-secteur) à part entière, mais néanmoins voulant imposer son hégémonie sur le reste de l'économie on ose à peine dire « réelle », vu la falsification marginaliste opérée par l'utilité marginale et par suite par le PIB … Nous avons-là le « crédit sans collatéral ». (Rappelons qu'il y avait avant la crise 2007-2008, 58 trillions de CDS et 596 trillions de OTC pour seulement 15 trillions de valeur réelle (voir http://www.bis.org/publ/otc_hy0805.pdf?noframes=1 La situation a empiré depuis 5) Sa contradiction intime tient dans l'impossibilité de facto de nier les ratios réserves à la BC et prudentiel sans finir par en payer les conséquences. Ceci est illustré de manière directe par le sauvetage à répétition des banques privées sur fonds publics, menant à la ruine de la fiscalité de l'Etat et, en fin de compte, à l'impossibilité de ce sauvetage continu par une BC dite autonome mais dont le bilan reste toujours financé par les Etats et donc par les contribuables : ceux-ci sont les seuls payants de dernier ressort, contrairement à la fable de la BC et de sa planche à billets comme « garant de dernier ressort ». Amplifié par le Big Bang boursier, le libre-échange entérine la fonction de production solowienne à l'OMC, menant à ce que l'on peut qualifier « d'équilibre des cimetières » (v. mon Livre III), un équilibre établi au seuil physiologique pour le facteur de production travail, vu uniquement sous le jour du salaire individuel hors ménage, maladie, chômage, pension et … loisir. Bien entendu, ceci affectera tant la fiscalité que les équilibres externes (pensez ce que serait la situation si les Chinois et les Japonais n'acceptaient plus d'acheter les Treasury Bonds de la FED … pour financer leurs propres exportations, sans trop se mouiller avec le dollar vis-0-vis de leurs autres partenaires avec qui ils signent des accords bilatéraux…)

Les étapes de cette autonomisation sont connues :

1) les effets pervers attendus du Système de Bretton Woods et de son Etalon Dollar-Or aggravé par le Plan Marshall et par le Gatt (effets résumés par Rueff au général de Gaulle avant le Kennedy Round, ce qui convainquit le général de convertir ses dollars en or à Fort Knox bien que la manoeuvre fusse qualifiée « d'inamicale » par le Département d'Etat …)

2) le système favorisant la substitution de la balance commerciale devenue chroniquement déficitaire, par la balance des paiements utilisant l'internationalisation des grandes banques et des MNC flanquées par la planche à billet et par la guerre permanente (stratégie de « roll-back » dangereusement ajoutée à celle, bipolaire, du « containement »); nous eûmes ainsi coup sur coup le 15 août 1971 la Surtaxe de Connally-Nixon, en 73 la suppression de la convertibilité du dollar en or, en 1976 la fin officielle du régime de Bretton Woods au Sommet de la Jamaïque et le début des changes flottants, ce qui aggrava la technique du hedging traditionnel déjà mise à mal par la digestion américaine interne des pétrodollars avec l'abrogation de la Régulation Q comme le mentionna le grand analyste financier Denizet;

3) La contre-révolution monétariste mise en pratique par Volcker-Reagan 79-82 jusqu'à la crise mexicaine et l'invention des tesobonnos (Brady plan et séquelles) et l'extension des plans de provisionnement des banques déductibles d'impôt … suivies de très près par le sauvetage qui fera école des Savings and Loans ce dernier épisode étant la conséquence logique du reaganisme destructeur des instances locales signalées par la faillite du comté de Orange; il était également annonciateur des pratiques qui suivront car s'il coûta la bagatelle de plus de $ 400 milliards, il informe aujourd'hui les pitres en charge, Bernanke en premier lieu, dans leur tentative d'éponger les injections de liquidités par le biais des divers QE (Dieu crée par fiat, le pitre par le signe et la narration très peu poétique mais très « liquides » en général : voir Fantasia L'Apprenti sorcier http://www.youtube.com/watch?v=cWZJcKM8pO0 );

4) L'accord de Plazza en 86 en fait une attaque dirigée contre le yen forcé de réévaluer, dans l'espoir de lancer une courbe en J du commerce extérieur américain jamais manifestée, ni en cette occasion ni dans toutes les autres qui suivirent jusqu'au Sommet de Doha entériné à Dubaï (20 sept 2003) menant à la réévaluation actuelle de l'euro échec qui mena à l'attaque par les CDS après le déclenchement ouvert de la crise actuelle en mars 2008. En parallèle nous eûmes le Big Bang boursier voulu par la City plus que par Wall Street - ce qui compléta la poussée vers le libre-échange (Alena puis OMC avec la globalisation de la fonction de production de Solow (Y= f(K,L) où L est ce que l'on veut pourvu que cela mène les salaires individuels au seuil physiologique, le reste, dont spécialement les cotisations pour les programmes sociaux étant alors suicidairement conçu comme un coût de travail excessif (!) nuisant à la flexibilité du facteur travail globalement liquéfié; (tout ceci malgré la faillite récente de facto de GM qui ne pouvait plus assumer les pensions maisons alors qu'elles seraient bien moins chères dans un système public mettant en oeuvre la logique de la mutualisation des risques et la solidarité nationale interprofessionnelle …) Mais le libre marché n'existe jamais que dans les paramètres qu'on lui crée : de sorte que l'anti-dumping adoptée à l'OMC exclut d'office toute référence aux normes écologiques et surtout aux normes sociales et au code du travail, y compris celles minimes entérinées par l'organisation éminemment monarchique et tripartite du BIT.

5) l'abrogation en 1999 du Glass-Steagall Act mis en place par le New Deal qui avait légiféré un strict cloisonnement fonctionnel du monde bancaire et financier - tout en initiant l'institutionnalisation de l'épargne par les cotisations versées pour la Social Security et les impôts stabilisant ainsi la logique du crédit capitaliste en un sens disons keynésien. Cette la financiarisation ou titrisation de l'économie vouée, dès le départ, à « fragiliser les meilleures signatures »: le symbole en furent les New Techs et leur capitalisation en bourse avec la création du NASDAQ selon un logiciel conçu à l'origine par nuls autres que le sieur Madoff et les siens ...

6) la fin de cette capitalisation boursière les P/E ratios d'une moyenne historique de 15 étaient passés à plus de 60 de la New Economy - par l'éclatement de la bulle, lequel fut précédé par la crise du bath et du rouble, tout ceci menant le pitre Greenspan, dit « maestro » par ses larbins et ses candides victimes, à soutenir ce qu'il savait être une « exubérance irrationnelle » : il se lançant donc dans sa forme personnelle du Wealth Effect que Pigou avait proposé contre Keynes une idiotie ne faisant pas la moindre part de la structure de la demande invoquée mais qui mena tout droit à la fiscalité ultra-régressive en faveur du 1% que l'on sait grâce à la pancarte d'une militante perspicace reprise ensuite par tous, moi, admiratif, inclus. Nous eûmes donc le House Effect qui via le Glass Steagall mena aux dérives sous forme de différents « conduits » ou « montages » dont les CDO mal nommés qui causèrent la crise des subprimes augmentée par le rôle tenu par des money funds. (L'abrogation du Glass Steagall en faisant disparaître le cloisonnement mélangera les 4 piliers financiers fonctionnels, banque de dépôt, banque commerciale, assurance et caisses ou credit unions, en faisant émerger des formes spéculatives nouvelles, dont les money funds, l'aggravation des hedges funds hors de la gestion traditionnelle des risques de change et les investment funds très spéculatifs et très fermés (même le gouverneur de la Bankitalia Fazio y fut mêlé, c'est dire à quel point ces fonds savaient être selects et entre-soi… )

7) la fin de ces âneries menant à la recherche de nouvelles sources de profits individuelles et stratégiques destruction préventive des rivaux économiques - par l'instrumentalisation des CDS sur la dette souveraine un comble d'absurdité puisque ce ne sont pas les banques privées qui garantissent la dette souveraine ni le cours légal de la monnaie, même aujourd'hui où la mise sur le marché des obligations d'Etat est retirée aux BC et confiée une dizaine de banques privées dites « primaires » qui exigent des taux d'intérêts aussi élevés que le veulent, subjectivement, leurs agences de cotation évaluant le soi-disant « risque pays » et autres possibles « événements de crédit » - mais qui, comme chacun sait, se refinancent auprès de la BC à très bas taux ... Ceci compléta le cycle menant à la fin des ratios, appliqués aux réserves ou encore prudentiels, soit les leviers financiers des banques : car les BC furent non seulement entièrement privatisées ou rendues entièrement autonomes avec un mandat précis dans le cas de la BCE, mais elles furent de surcroît soumissent aux banques privées dites primaires, de même que les Etats souverains voués par la haute finance spéculative à disparaître face à la « gouvernance globale privée » des grandes firmes transnationales dont les banques qui néanmoins ont besoin des Etats pour les recapitaliser, ne serait-ce qu'à travers les BC et leurs bilans. Ainsi les émissions d'obligations privées ou souveraines sont soumises à un groupe restreint de banques dites primaires moins d'une vingtaine, les mêmes qui ont trafiqué le euribor et le libor. Ensuite, ces banques primaires moyennant une forte commission voir Draghi oeuvrant pour Goldman Sachs en Grèce lors des négociations pour l'entrée dans l'eurogroupe lorsque les chiffres furent notoirement falsifiés revendent aux autres banques privées. Le tout flanqué par des agences de notation évaluant le risque de manière purement subjective ce qui est textuellement admis dans leurs pages d'accueil pour éviter les poursuites … Guerre économique donc par le biais de la perversion de la monnaie papier autonomisée mais néanmoins prétendant être hégémonique sur tout le reste, privé ou étatique.

8) Se joue aujourd'hui la dernière étape de ce cycle : la tentative d'ouvrir le marché chinois pour échanger aux Chinois du paper currency FED-Kerouac contre le fruit du travail des citoyens et des travailleurs chinois … i.e. leur faire accepter de manière subordonnée et ruineuse la théorie (sic) du cycle A-A' (bref depuis Mao les pieds bandés sont remplacés par de confortable chaussures, ce qui signale le point de non retour de qui a appris à marcher sur ses deux jambes.) Soulignons que la course entre l'Achille spéculatif et la tortue étatique est perdue d'avance par cette dernière tant que les règles du jeu ne seront pas changées. En effet, le shadow banking repose sur de gigantesques volumes de produits ou de « scraps » hors-bilan, et donc ne payant pas d'impôts alors même que l'interdépendance de ces échanges purement spéculatifs pèse de tout son poids. Par exemple, la si effrayante chaîne des CDS : en Grèce, les financiers, y compris Dallara du IFI, ont accepté des haircuts plutôt que la mise en branle possible de la chaîne en question …Si à ce jeu on a tout à coup peur de trop saigner le malade Europe, on s'en prend à l'Argentine; mais à ce jeu si la forme change le fonds reste identique; l'Italie faisant plus peur que la Grèce, on change uniquement de victime lorsque on évalue les risques dit systémiques de banques dites à tort « too big to fail » pour les sauver sur fonds publics, ce qui mène fatalement aux politiques d'austérité et par suite à la destruction de l'assiette fiscale nécessaire pour rembourser la dette publique. Après quoi, il faut trouver encore d'autres clients à saigner : ce n'est plus Maquis et le requin de la finance du Théâtre à quatre sous, mais c'est véritablement un étrange Golem fringué en docteur … Mabuse … néanmoins plusieurs fois nobélisé … et pour cause.

En résumé, si nous posons cette autonomisation en SI seulement comme sous-secteur SI Finance nous serons dans le même cas de figure que le capitaliste agricole confronté à la rente féodale : l'abrogation du Glass Steagall Act constitue l'équivalent de l'abrogation des privilèges de la Nuit du 4 août qui entérina tout le reste : fin des régimes féodaux locaux, laissez faire, laissez passer etc. Ce changement légal est important car du coup, la monétisation des campagnes aidant, la valorisation définie par la productivité supérieure du capitalisme agricole se trouve à mettre pression sur la rente féodale : par l'échange effectué sur le même marché avec la même monnaie d'échange; la pressurisation de la paysannerie et les luttes d'arrière-garde n'y feront plus rien : le féodalisme était condamné. La même chose se produit ici ; la productivité même factice de SI Finance s'impose à tout le système selon la loi interne de la productivité et de sa valorisation-réalisation. Nous disons interne car SI Finance émerge historiquement peu à peu et ses effets sont métabolisés de manière destructive: libéralisation, privatisation, précarité, fiscalité régressive etc., y compris au niveau local : ainsi après le comté d'Orange, la Californie au grand complet suivie dans la quasi-faillite, avec la grande majorité des Etats fédérés aujourd'hui … Nous connaissons déjà cette logique de la productivité hégémonique via la valorisation et l'échange.

Il nous reste à montrer le comble de ce processus, sa logique ad absurdum : lorsque l'autonomisation de SI Finance devient tel que ces conditions factices-symboliques A-A' passent pour réelles et s'imposent à tout le reste. Ceci est utile à démontrer car nous sommes ici en plein coeur des inepties connues sous le nom « d'économie immatérielle » (la plus immatérielle du lot étant bien sûr celle du signe argent enfantant seul de l'argent par parthénogenèse spéculative: et, foin des vielles critiques du fonctionnalisme, y compris les plus primitives déjà connues de Parsons et de Eaton, lorsqu'ils proposaient leurs systèmes et sous systèmes à relents wébériens et behavioristes inspirés notamment de Skinner et de Laborite, ce dernier magistralement critiqué par Alain Renais dans son magnifique Mon oncle d'Amérique .

Le problème est de savoir comment formaliser un système dans lequel ce que Marx appelle les « conditions morales » (i.e. les normes socio-économiques découlant des données civilisationnelles, constitutionnelles et légales, pour faire court) changent, de sorte que la logique des secteurs plus productifs échappe à la surdétermination systémique (Ceci correspond aux cas analysés plus haut, un changement de conditions morales résultant identique à la hausse ou à la baisse de la productivité dans le respect de l'évolution systémique des rapports fondamentaux : en terme d'électronique moderne ce serait un « reset » sur de nouveaux paramètres. C'est le cas par exemple après ce que Trotski appelait les « révolutions sociales », que se soit 1917 ou à l'inverse 1991…) En échappant à la surdétermination, ils peuvent alors reformuler le système selon leurs propres données de valorisation. C'est en fait ce qui se passe lorsque la société passe d'un mode de production à un autre plus performant : exemple entre tous, le passage de la rente féodale à la rente agricole capitaliste (qui une fois compris permet de cesser de concevoir la terre comme une « catégorie économique irrationnelle », ouvrant ainsi la voie à l'écomarxisme.) Ceci suppose bien entendu un changement des paramètres constitutionnels, soit par la voie pacifique, soit par la voie révolutionnaire. Reste à expliquer comment, malgré ce changement dans les « conditions morales », la cohérence de la valeur prime mais en enfantant d'autres contradictions proprement capitalistes: ceci est possible simplement parce que l'on peut remesurer le tout en une nouvelle unité commune reposant toujours sur la valorisation du travail vivant : pour autant ceci repose sur une double prémisse fausse, les marchandises réduites à la seule « ve » et un cycle A-A' déconnecté et hégémonique sur l'économie réelle, représentée par la RS-RE ou encore représenté ici par les trois cycles du capital Argent, Marchandise, Production, Nouvelle marchandise, Argent augmenté de la plus-value : A-M-P-M'-A'.

Dans notre schéma RS-RE précédant faisons émerger le sous-secteur SI Finance-spéculation (noté SI Spéc.) Nous lui supposons les caractéristiques prêtées à l'économie immatérielle : peu de capital fixe traditionnel mais forte capitalisation, privée ou boursière, relativement peu de travailleurs mais spécialisés selon les besoins (analystes, traders, les mangers roués des twenty-something envoyés au casse-pipe par les gradés comme à la guerre etc.) et un taux de plus-value extrêmement élevé. (Ex. BNP Paribas avec des actifs presque identiques au PIB de la France, un Produit Bancaire Brut de quelque 42 milliards et près de 200 000 employés dans quelque 80 pays dont 150 000 en Europe (en 2011) Voir encore la capitalisation de Apple Inc ou de Facebook.

En simplifiant encore dans notre exemple fictif général, nous ne présenterons pas ici le capital fixe (cf) mais uniquement le capital circulant (cc). Ce secteur SI Spéc. a maintenant le vent légal en poupe (se reporter aux phases historiques résumées ci-dessus.) Son taux d'exploitation est hégémonique et non subordonné. Au lieu d'être traité comme un changement de productivité classique il s'agit d'un changement de conditions morales : c'est-à-dire qu'en retenant la base comparative C = 100 afin de déterminer empiriquement les conditions de la fonction de production de SI Spécu., ce seront les rapports du reste de SI (Mp) et de SII (Cn) qui devront s'adapter malgré l'absurdité patente du cycle A-A' autonomisé (Lénine parle justement de « parasitage » par le capital financier autonomisé).

Nous avons ici les bases réelles de la pseudo-productivité marginaliste et de sa valeur ajoutée, confondant entièrement taux d'intérêt et de profit (rate of return) bien que ceci ne puisse jamais être autre chose qu'un mirage spéculatif. De fait, le travail vivant et sa revalorisation (généralisée par le marché de tous les intrants de la fonction de production via la titrisation y compris de cc) poussent ainsi au rétablissement de l'équilibre … capitaliste. Les phases données ci-dessus montrent que le processus se développa peu à peu, surtout depuis 79-82 et 1999. Il se fit assez rapidement, les éléments organisationnels ou légaux manquant étant ajoutés en cours de route au gré des crises internes ou internationales pour assurer cette hégémonie en rétablissant l'ancien système sur fonds publics plutôt que de permettre la purge du monde financier et du crédit spéculatif : dernier acte en date le Plan de Paulson (conçu en mars 2007 et mis en application à la lueur de la crise en mars 2008 (!), bien que sa logique en constituait une des causes centrales, voir mon site section Economie Politique Internationale) et les QE de Bernanke-Geithner.

On aurait deux cas principaux : 1) avec taux de profit pv/c+v identique car le capital spéculatif se développe peu à peu dans un système existant. 2) avec l'examen de la possibilité d'un secteur spéculatif ayant un taux de profit structurellement supérieur mais hégémonique lui-aussi sur le reste de RS-RE :

                        cc                 + v                 + pv                 = M

SI Spécu.         90                  10                   20                         = 120 (v/C=0,1; pv/v=2; pv/(c+v)=0,2)

.                        .....................................................................

SI ante                 80                  20                  20                        = 120

SII ante                 40                  10                  10                        = 60

(Notons ici que le produit de SI Spéc. n'est pas vraiment un Mp ordinaire mais de l'argent qui se transmue en titrisation d'intrants dans la fonction de production. On peut très bien considérer les produits de secteurs ayant les mêmes rapports fondamentaux comme des « unités de compte » - voir les tragiques et fallacieux débats de l' « échange inégal » (sic!) avec Arghiri Emanuel par exemple encore que ceci ne soit plus utile après notre élucidation de la théorie marxiste qui permet une comptabilité cohérente en quantité et en valeur simultanément (et même en prix, via l'appréhension scientifique des inflations etc.) : ici, le terme « unité de compte » peut être utile s'agissant du cycle A-A'. Question : dans quel rapport quantitatif et donc valeur? Réponse immédiate : selon le rapport de productivité relatif donné par pv/v : reconvertissez ces unités de compte en Mp de ce type-là, et vous en aurez 240 au lieu de 120 dans le SI normal (où 1 Mp = 1 euro). C'est d'ailleurs sur cette base que se fait la revalorisation via les échanges impliqués par la demande sociale, autrement dit les Equations de la RS-RE.

Dans un tel système nous retombons donc dans le cas de figure de la revalorisation surdéterminée par le secteur ayant une productivité plus forte (factice mais entérinée légalement, nous verrons les contradictions spécifiques ensuite). On a vu que c'est aussi le cas pour les stocks revalorisés lorsqu'ils sont remis dans les circuits à la valeur courante (il suffit d'ailleurs de voir la comptabilité d'entreprise), ce que Sraffa appelait les prix (valeurs) « d'époques différentes », question enfin élucidée par la théorie marxiste.

Nous pouvons alors recomposer la RS-RE en faisant la moyenne ce qui est autorisée ici s'agissant des mêmes termes pour SI et en ajustant SII.

SI Spéc.                         90 + 10 + 20 = 120

SI traditionnel:                 80 + 20 + 20 = 120

                                ..............................

SI agrégé                         170 + 30 + 40 = 240

D'où :

SI (C=100)                 85 + 15 + 20 = 120

SII                                 35 + 8,75 + 8,75= 52,5 (SII donné en termes RS-RE.)

Les rapports fondamentaux agrégés en SI forcent la restructuration mutatis mutandis en SII (avec les conséquences connues Effet RS-RE en c2 et AR etc…)

Notons ici que l'agrégation est un raccourci possible tant que l'on sait ce qu'il cache par exemple, en analysant le taux de réinvestissement dans ce cas de spéculation hégémonique et de titrisation générale.) Notons que les Equations de Marx, rétablies dans leur cohérence par la loi de productivité marxiste, permettent une ventilation puissante.

Par exemple notons :

c1 + v1 + p v1 = M1 (SI Spéc.)

c2 + v2 + pv2 = M2 (SI traditionnel Mp physiques)

c3 + v3 + pv3 = M3 (SII en Cn)

Les Equations RS seront simplement c3 = M1+M2 et ainsi de suite. De même, on peut ventiler SII en ses sous-secteurs. (Pour les filières se sera une recomposition statistique à des fins d'optimisation ciblées d'avance par exemple du crédit, afin de ne pas causer de déduction unilatérale.

Imaginons maintenant que la titrisation soit entière : l'agrégation de la RS-RE résultante poserait SI Spéc. comme SI dans son entier (tous les facteurs sont entièrement liquides) de sorte que les secteurs Mp sont relayés dans l'agrégation de SI, où on doit cependant respecter des règles de couverture quantitative avec les Cn (l'économie réelle qui ne disparaît jamais sous la narration marginaliste spéculative de l'argent roi), ce cas limite vers lequel on veut tendre aujourd'hui faisant alors sauter toutes les contradictions systémiques latentes, auxquelles s'ajoutent de surcroît les déductions provenant du capital portefeuille i.e. des investissements bancaires et de leurs déductions …

Tout pv spéc. est réinvesti par définition, y compris les bonus et stocks-options (sauf une petite part destinée à la consommation de luxe) et donc le taux d'investissement devant être égal par anticipation en SI et SII, SII suit mal en rognant les cotisations de v. Ceci mène alors à la privatisation ainsi qu'aux restructurations aux forceps pour assurer un ROE convenable.

Il va cependant de soi qu'en rognant la part allant à v, en particulier les cotisations sociales souvent remplacées par des exonérations d'impôt provenant de la fiscalité générale …évanescente! non seulement on démantèle l'Etat social et avec lui les stabilisateurs économiques, mais on réduit aussi l'assiette de la fiscalité générale. Pire, en confondant le « coût du travail » avec le « coût de production » on aura tendance à vouloir démanteler le code du travail afin de favoriser la précarité du travail et des salaires. Cette logique du seuil physiologique poussera même à exempter les très bas salaires de tout impôt sur le revenu, ce qui est un comble. Bien entendu, tout ceci est illogique du point de vue des cotisations sur la fiche de paie, comme du point de vue de la fiscalité qui devient ainsi évanescente à mesure que l'on veut faire peser sur elle tout le poids social. Mais il y a pire : ce que j'ai appelé la course perdue d'avance entre l'Achille spéculatif et la tortue étatique. En effet, en sous-estimant sans doute l'étendue du mal, on a pu dire que le spéculatif pèse entre 10 à 12 fois le poids de l'économie réelle. Or, une bonne partie de ce secteur spéculatif, en particulier pour le shadow banking, est hors bilan. Aucune taxe n'est payée sur cette masse gigantesque d'échanges s'effectuant souvent de gré à gré (OTC.) Pourtant, lorsqu'il s'agit de sauver les banques privées sur fonds publics les dirigeants sont obligés d'en tenir compte : pensez seulement aux haircuts en séries de la dette de la Grèce alors que la Grèce ne pèse que quelque 2 % de la zone euro, ces restructurations ayant été imposées pour éviter le déclenchement de la lourde chaîne des CDS sur cette dette souveraine! Il y a ici une autre contradiction létale que la planche à billet de la BCE (ses liquidités directes ou indirectes via les FESF et le MES) ne pourra pas résoudre; pire, ce recours à la planche a billet dans le cadre de la banque universelle pourra uniquement faire empirer les choses. Reste que le bilan de la BCE ainsi que les fonds du MES (pour le financement du MES voir, http://www.scribd.com/doc/107046134/ESM-Investor-Presentation ) ne tombent pas du ciel : ils sont financés par les Etats membres, et ce financement compte comme un ajout à la dette existante à financer aux taux que l'on sait, alors que la BCE continue à financer les banques privées à 1 % et moins.

En introduisant la spéculation comme un secteur autonome dans nos Equations de la RS-RE nous sommes à même de révéler un des angles morts par excellence du marginalisme : son incapacité ontologique à différencier entre intérêt et profit, et donc entre spéculation et économie réelle. Il reste que les épiphénomènes ont leur importance bien que la logique qui les explique se trouve ailleurs. Si le régime légal défend l'hégémonie de la banque universelle, il nous incombe d'en tirer les conséquences, en révélant les contradictions réelles et les médiations que les classes dirigeantes imaginent pour les masquer à défaut de les résoudre. Nous devons donc procéder à un double examen : celui des contradictions internes et celui des contradictions externes (dont celles engendrées par le taux de change.)

L'introduction du secteur spéculatif mène à une hausse sectorielle de la productivité, bien que ce soit une hausse factice. Cette hausse se propage puisque le taux de profit (pv/c+v) reste organiquement le même, entraînant le taux d'intérêt. Comme nous l'avons dit, le tout est factice puisque l'autonomisation du cycle A-A' phagocyte le cycle complet A-M-P-M'-A'. On est ici au-delà du simple effet de déduction du taux d'intérêt sur le taux de profit. Or, l'argent a cours légal même lorsqu'il est produit par des institutions bancaires et financières privées. De là la généralisation des effets pervers de la spéculation à tout le système.

Voyons d'abord les conséquences et contradictions internes.

A) Interne : nous nous trouvons ici dans le cadre de la politique de l'offre monétariste (la variation spéculative de la politique de l'offre classique de J.B Say, reprise ensuite par tous les théoriciens bourgeois dont Walras, par laquelle l'offre créerait sa propre consommation … Une autre manière de dire ceci est encapsulée dans le moto marginaliste selon lequel « s'il existe un besoin, il y aura une offre correspondante», le hic étant que l'on oublie de spécifier « besoin solvable ». Nous sommes ici dans le même angle mort que le Wealth Effect de Pigou qui ne s'inquiète nullement de la structure de la demande (sociale) en question. Pourtant, les conséquences pour l'emploi ainsi que pour les droits des travailleurs et pour la demande sociale réelle sont dramatiques.

Prenons le cas intermédiaire dans lequel SI = les deux fonctions de production commençant par c1 (spécu.) et c2 (Mp). Nous aurons :

SI :                         90 + 10 + 20 = 120

                        80 + 20 + 20 = 120

        ..............................

SI (base 100) :  5 + 15 + 20 = 120

SII :                         35 + 8,75 + 8,75 = 52,5

On voit d'un coup d'oeil la contradiction principale posée à l'économie réelle (les Equations RS-RE) : comme dans le secteur A-A' tout pv ou presque est réinvesti spéculativement (en fait même la rémunération est ici modifiée spéculativement via les preferred and common shares, les stocks options et les bonus et autres émoluments du genre) il ne reste qu'une petite partie, disons de Luxe, dépensée pour maintenir le standard de vie de ces dirigeants. Or, ceci peut théoriquement aller ad infinitum ne serait-ce les corrections imposées par les crises et l'impossibilité des sauvetages à répétition sur fonds publics dans le cadre des mêmes règles du jeu. L'accumulation capitaliste confondant ici intérêt et profit se nourrit d'elle-même sans intermédiaire. Mais en réinvestissant elle créée des conséquences puisque, comme nous l'avons montré plus haut, les investissements en SI et SII doivent être de taux identique pour conserver l'équilibre, au moins ex ante. Or, il est impossible dans ce cas de figure pour SI classique et pour SII de suivre à ce rythme.

Par exemple : admettons que pv1 soit réinvestie en entier; pv2 à moitié, ceci nous donne une moyenne en SI de 30/2= 15 avec un taux de réinvestissement de 15/20= 0, 75. SII doit suivre

au même taux, ce qui mène à une pvd3 = 2,1875 et TE3 = 6,5625. La part de la pv consommée par le capitaliste en SII choit, et il se trouve dans la position du propriétaire féodal face au capitaliste agricole (ou plutôt de Ford face à la Banque Morgan …Car la titrisation porte intérêt et dividendes de sorte qu'en marchant dans le sens d'une confusion toujours plus large entre intérêt et profit, tout investissement non spéculatif devient trop onéreux et doit être assumé par l'Etat, qui n'en peut mais selon les modèles Californien et BC déjà critiqués dans mon Tous ensemble. On comprend pourquoi Ford avait une dent contre les banquiers … Cette logique détruisant aussi la fiscalité, l'Etat ne peut plus jouer son rôle stratégique et la désindustrialisation règne en maîtresse.). De fait, pour conserver sa pvd à un niveau acceptable, il doit pressuriser sans fin sa force de travail, rogner progressivement tous les bénéfices accordés ainsi que le code du travail. Drame qui se joue aujourd'hui sous nos yeux. D'autres parades sont imaginées: comme la liquéfaction de tous les facteurs de production, travail, capital et technologie sur la bourse mondiale ouverte 24h sur 24. Mais ceci mène à des surcapitalisations boursières (New Techs par ex et P/E ratios grotesques, où même Apple est à la merci d'une vente ratée ou d'une attaque sur ses brevets.) Et surtout via la titrisation de parts croissantes de l'appareil productif et via le Roe ou court-termiste à toute la série des restructurations surtout à levier public (OPA) ou moins; les restructurations boursières sont alors saluées en bourse car elles enflent les bilans trimestriels mais elles détruisent ce qu'elles touchent.

Ajoutons que selon le ratio prudentiel bancaire en pleine dérive (il oscille maintenant entre 40 et 60 pour 1 au mieux, sans pourtant tenir compte du shadow banking hors bilan …) la capitalisation boursière prend des allures grotesques (voir Facebook par exemple); ceci a lieu sans pour autant que la part de v croisse. Et à cela s'ajoute la canalisation des effets de caisse énormes, des centaines de milliards aujourd'hui qui sont réinvestis en produits dérivés, y compris de gré à gré, ou même maintenus actuellement inactifs par peur des haircuts. Ainsi les CFO sont devenus hégémoniques sur les CEO, ayant même supplanté les anciens comptables internationaux, fins connaisseurs des paradis fiscaux bien connus de Vernon dans les années 70.

Ce qui symbolise cette dérive c'est, à sa base, la fonction de production bidon du pitre Robert Solow où Y = f (K, L) L étant ce que l'on veut, du plein emploi à l'emploi disponible (preuve qu'était bien en cours une manipulation intentionnelle de la Théorie générale de Keynes soulignant le rôle du plein emploi, de la monnaie et de l'intérêt dans son titre même, à moins de supposer que ces gens-la, Hicks et Samuelson compris, n'en aient même pas compris les bases, ce qui est douteux. La même manipulation solowienne vaut pour le dynamisme de Harrod importé des soviétiques et retraduit en termes marginalistes-keynésiens. Sauf que Solow, avec ses économies d'échelle infra-Sraffa des années 20, ne sait rien de la productivité et il est de surcroît obligé d'introduire la technologie de manière totalement exogène. Sans même être capable de faire la différence entre le libre marché disons classique (!) et les oligopoles et monopoles auxquels Sraffa, Robinson et Chamberlain étaient arrivés pour tenir compte, sinon de Marx, Lafargue et Lénine analysant la réalité du moins des descriptions de Hobson. Les New Dealers avaient fait le même constat sur la base du travail de Means sur les « big corporations » : ils en tirèrent argument pour trouver des contre-poids, syndicats, conventions collectives et Etat, le tout résumé par John Galbraith.) Or, cette fonction de production « razor hedge » globalisée est au coeur du régime de libre-échange; elle s'appuie

même sur une définition vicieuse de l'anti-dumping écartant d'office toute référence aux droits des travailleurs (dont les cotisations sociales qui sont un «salaire différé » etc.) et aux critères environnementaux. Ceci avec le levier de la mobilité du capital à l'heure de la monnaie électronique - pour mettre les travailleurs globaux en compétition directe entre eux, sur la base du seul salaire individuel nonobstant les périodes de non activité ne dépendant pas de la volonté du travailleur, et nonobstant la taille relative des ménages dans lesquelles la force de travail se reproduit nécessairement. Ceci alla de pair avec le monétarisme de Volcker-Reagan; s'y ajouta la dérive sans frein incarnée par la titrisation après l'abrogation du Glass Steagall Act.

Notez que si le cycle A-A' s'autonomise entièrement de sorte que le secteur des Mp totalement titrisé tombe dans SII, alors tout s'aggrave : le profit ne suit plus l'appétit de son parasite, l'intérêt spéculatif. Ainsi posons SI spécu., et SII incluant les Mp et les Cn (c2 et c3) Nous aurions :

SI spécu. :         90 + 10 + 20 = 120

SII (c2 + c3) :  30 + 7,5 + 7,5 = 45

Comme on le voit ici : la logique spéculative, le Roe et le reste, ne permettent plus à pv2 de suivre, de sorte qu'il faut encore rogner la part de v (d'ailleurs aujourd'hui même la situation des camarades Dalits s'aggrave … ce qui n'est pas peu dire.) Et il ne sert à rien de tenter de se refaire globalement, pas même sur la dette souveraine, via les CDS. Nous montrerons cela rapidement en revenant sur le taux de change et sur l'insertion des FS dans l'économie mondiale capitaliste. Au mieux, on recule les échéances en aggravant le prix à payer.

Il suffira d'ajouter un mot ici de la course perdue d'avance par la tortue étatique vendue à la gouvernance globale privée avec l'Achille spéculatif. Il ne faut pas de long discours pour démontrer que l'imposition de la fonction de production du pitre Solow à l'échelle nationale, régionale et globale détruit tant les cotisations sociales que la fiscalité de l'Etat (La « public policy », qui ne comprend rien ni à Smith ni à la plus-value sociale, parle de « crowding out » et pose des maximums de dépenses publiques qui ne font aucun sens sinon en référence à la volonté des élites d'instrumentaliser un retour au moins vers le niveau de taxation minime prévalent avant la première guerre mondiale et surtout avant le New Deal. En effet, pourquoi idéalement les dépenses publiques centrales devraient-elles être limitées à 12% ou au maximum 17 % du PIB? En vertu de quel principe sinon le transfert des richesses collectives à quelques parasites nocifs actifs dans la spéculation?)

Ainsi la part du shadow banking hors bilan donc hors taxe grimpe sans arrêt (les volumes de CDS et de OTC sont maintenant supérieurs à ce qu'ils étaient avant 2008, soit plus de 12 fois les avoirs économiques réels.) Or ces chaînes d'interdépendance bancaire comptent lors des crises (le soi-disant risque systémique; pensez simplement à la crise grecque, la Grèce pesant près de 2 % uniquement de l'Euro; pourtant, les banquiers et la plupart des hedge funds ont accepté les haircuts plutôt que de s'exposer à la mise en branle d'un « événement de crédit » un défaut qui aurait déclenché la chaîne des CDS; imaginez maintenant le scénario italien, espagnol, portugais, irlandais ou français en préparation et les autres. …) Donc les sauvetages se font sur argent public alors même que l'économie spéculative détruit l'assiette fiscale, qui ne suit plus, même pas dans les pays rançonnés par le capital comme la Grèce et l'Italie, pays dans lesquels les réformes dites structurelles, ont déjà été menées à terme, et où il reste très peu à couper et très peu à privatiser.

Mais les problèmes ne s'arrêtent pas là : il faut ajouter dans cette course démoniaque, les effets de la restructuration monétariste des banques dans le cadre d'un régime global de changes flottants. Depuis 1974, la Banque de France fut privatisée; et de surcroît elle ne pouvait plus financer directement et à bas coût la dette publique et parapublique. Ainsi la première contenue jusque là autour de 20 % du PIB commença à exploser malgré les plans d'austérité de la gauche. Avec l'euro la situation s'est aggravée. Aujourd'hui le mandat de la BCE a été allégrement violé à plusieurs reprises pour sauver les banques privées. La situation devient identique à ce qui prévaut aux USA, ce que j'ai qualifié de « crédit sans collatéral » (voir la section Economie Politique Internationale de ce site.) La banque centrale est autonome et privée, reliée à ses clients et patrons, les banques privées. Elle est soumise aux banques primaires qu'elle nourrit à 1 % et moins alors que ce petit groupe de banques primaires celles qui manipulent le libor et l'euribor ont seules le privilège d'écouler les obligations d'Etat, en y accolant des commissions mêmes frauduleuses voir Drahgi et Goldamn Sachs en Grèce lors de l'entrée dans l'eurogroupe et des spread via des agences de rating subjectives et inféodées ou complices. Dans ce système, les réserves excédentaires ne veulent plus rien dire dès lors que la BC est prête à ouvrir les vannes de la liquidité (QE à répétition) pour sauver les banques en difficulté. Ainsi le lien des banques avec l'économie réelle a disparu. En effet, auparavant les réserves excédentaires provenant des profits émanant des investissements productifs étaient déposées à la BCE ce qui justifiait ou limitait vers le haut et le bas le crédit que les banques privées pouvaient accorder à leurs clients par le biais du ratio prudentiel. Le lien n'étant plus, tout l'édifice est devenu fictif. Et ceci d'autant plus que le ratio prudentiel nominal (malgré les gimmicks de la Dodd-Frank et de Bâle III) est devenu grotesque, n'existant de facto plus puisque le shadow banking ne repose pas sur lui, alors que les QE à répétition sauvent les banques en crise car incapables de respecter le ratio.

Soulignons que toutes les tentatives de ségréger les activités à risque n'ont rien donné : le rapport Liikanen pourtant infra recloisonnement fut vite oublié le jour même de sa publication etc. Pour sa part, le projet d'union bancaire européen n'est qu'une tardive imitation de la recette de Paulson après la crise de 2008 lorsque Paulson mit sur la table un rapport écrit l'année précédente pour encenser et étendre les règles qui avaient contribuées à créer les conditions de la crise. Mais la logique est claire : les grandes banques sont liées directement à la FED et au Trésor de sorte que les ratios disparaissent de fait puisqu'elles sont toutes considérées « too big to fail ». Les petites banques, encore quelque peu encadrées, ne sont pas interdites de spéculation. Reste uniquement dans ce système de signes et de narration, les « maturités » de Cecchetti à la BIS. C'est reconnaissons-le une grande trouvaille: il suffit pour les banques de pouvoir tenir une 15ènne de jours sans engager trop de fonds propres, le temps nécessaire pour permettre la coordination visant à empêcher la mise en branle interdépendante et globale de la chaîne des CDS, tout en injectant les liquidités. Bien entendu, la fiscalité ne suit pas, et la réduction des salaires etc. creuse cette lacune : Trichet qui n'est pas un frustre comme le pitre Lordon qui, étant du métier, croit que les banques ont remboursé avait prévenu : le sauvetage à hauteur de 12 % du PIB a valu près de 30 % en réalité; forcément, un autre sauvetage de même ampleur n'est pas possible. Ergo : on tente de tout centrer sur la planche à billets et sur les injections sans limite de liquidités … mais le contribuable, ce proverbial « cochon de payant », à la fin se lasse (ce qui fait penser à certaines gravures républicaines dénonçant le fardeau de la dette uniquement porté par Jacques le fataliste et les siens … bref avant la Nuit du 4 août.)

Le cas limite ici serait celui dans lequel tous les secteurs SI et SII seront titrisés majoritairement; ce vers quoi on s'achemine à grands pas, vu que la destruction des Ever Green Granary du New Deal ainsi que des programmes de stabilisation comme la PAC mène déjà à la création de dérivés sur les denrées alimentaires; après quoi on blâme les agrocarburants (dont tout le monde sait qu'ils doivent être duaux et correspondre à un bon zonage agricole protégeant les terres arables) bien entendu sans dire un traître mot sur les effets dévastateurs des OGM : En l'occurrence, un chercheur exemplaire comme Gilles-Eric Séralini (v. S&V, Nov, 2012, p 68) voit son étude de long terme pionnière remise en cause par des pitres le plus souvent payés par les firmes coupables alors que ses résultats sont indéniables surtout du point de vue de la méthode et des probabilités. En plus son étude dura deux ans plutôt que quelques semaines comme c'est ordinairement le cas! Si quelques individus exposés en sortent sains le chercheur a effectivement fait une découverte supplémentaire concernant ce qu'il appelle les impacts génétiques (par ex. les femmes d'Ouganda auto-immunisées contre le sida.) Le tout est donc bien minable et en dit long sur la subordination servile de la science en France : Allègre n'est pas seul dans ce cas. Il représente un système et un ensemble d'enjeux économiques. Les études objectives confirment par contre mes dires : si Séralini passait à des espèces à cycle reproductif plus rapide, il conforterait très probablement ses résultats. (D'ailleurs les apiculteurs pointent vers le même problème lié à la durée des études.) Restera le problème du passage à l'homme mais ceci est une autre affaire.)

Bien entendu ces développements spéculatifs dans le domaine de la production vont se consolider dans le domaine des relations juridiques. Le droit de propriété capitaliste va s'adapter au fur et à mesure; on passera de la propriété capitaliste disons familiale ou personnelle à la propriété par action, d'où découlera le remplacement partiel des propriétaires par les managers. On voit d'emblée qu'une fois le crédit bancaire remplacé par le crédit spéculatif au départ le logiciel du Nasdaq dérivait d'un logiciel développé par Madoff et les siens, Madoff siégeant également à la SEC!!! - les formes de propriété néolibérales prennent le dessus, avec comme résultat celui de fausser la logique du réinvestissement vers le spéculatif à court terme. L'auto-investissement des entreprises cotées en bourse est limité au minimum par les rachats d'actions effectué dans le but de maintenir les cours effet zéro sur la productivité et par la nécessité de payer des dividendes quitte à se plaindre à tort d'une « double taxation » (tout comme des cotisations patronales et des impôts évanescents sur le capital! La redistribution si chère aux affreux pitres dits « néo-ricardiens » - les Pasinetti, Roncaglia et Paolo Sylos-Labini et autres de cette farine qui menèrent au soi-disant Patto sociale de 1992 lequel détruisit l'Italie de fond en comble avant même la crise actuelle devient alors une redistribution (des revenus) profondément inégalitaire, philosémite nietzschéenne. En Italie elle est de surcroît « spinellienne » malgré la Constitution née de la Résistance au nazifascisme.

B) Externe (et suzeraineté monétaire). Le MPC révolutionne sans cesse la productivité, c'est-là son apport historique révolutionnaire. Mais ce faisant il creuse sa propre fosse. Car il produit plus de marchandises à un prix plus bas en « libérant » la force de travail ainsi réduite à n'être qu'une Armée de Réserve. Lénine remarquait dans sa critique des nardoniky que le MPC n'était pas automatiquement à même d'utiliser de nouvelles technologies permettant de résorber la population ouvrière ainsi réduite au chômage. Cependant, la productivité élargissant les volumes de profit ceci donnait lieu à la concentration et à la centralisation du capital élimination des concurrents - puis à la nécessité de l'expatriation des capitaux ne pouvant plus s'employer utilement, sans modifications profondes, surtout sociales, dans une économie domestique saturée (« mature » dit Perroux, bref une économie qui mutatis mutandis ne peut plus croître et devrait se borner au seul renouvellement des stocks de marchandises et de services existants.)

Les échanges extérieurs du MPC visent donc à échapper à la saturation du marché interne, du moins en attendant que de nouveaux secteurs surtout intermédiaires puissent être introduits; le capitalisme marchand, mercantilisme avant lui, avait déjà exploré les marchés externes comme source d'intrants moins coûteux, ce qui fut vrai pour les produits de luxe épices, soie, fourrures etc. les matières premières industrielles et les esclaves- ainsi que les denrées alimentaires. De fait, Ricardo qui se situe à la charnière des deux systèmes milite pour le Repeal of the Corns Laws et des lois Elisabéthennes si chères à Polanyi (voire sa Grande Transformation ) simplement parce qu'il était possible d'importer du blé beaucoup moins cher des Dominions, en sachant que le pain constituait l'aliment principal de la classe ouvriers fortement urbanisée et donc fortement dépendante du prix du blé. Lénine synthétisa magistralement ce processus d'expansion du MPC à partir de sa lecture critique de Marx, Lafargue, Hobson, Hilferding, Rosa Luxembourg et tant d'autres. (Ceci inclura l'analyse du mir et des modes de production précapitalistes, sujet qui vit ensuite la belle contribution de P.P Rey.) Son schéma reposant sur la loi de la valeur et sur les lois de motions du MPC qu'elle déclenche reste incomparable: il suffit de le compléter et de l'affiner (les pitreries de Braudel, le type embusqué dans une bibliothèque pendant la guerre, contrairement à Marc Bloch, qui prétendra parler « d'économie-monde » tout en prêchant, à l'heure des monopoles et des oligopoles, la théorie réactionnaire d'ailleurs fausse selon laquelle la liberté était dépendante du marché, celui des petits épiciers et boucher du coin théorie ante-néolibérale de fait à laquelle les New Dealers américains avaient appris à ne plus croire sur la base de leur analyse des « big corporations » (Means puis Berle et Means), ce qui les poussa à inventer les contrepoids des conventions collectives et la farce idéologiquement défensive de l'antitrust (consolidation du vieux Sherman Act.)

Le Schéma est le suivant : le capital marchand avec l'accumulation primitive et les comptoirs, puis avec la pénétration à l'intérieur menant à l'établissement des colonies classiques. Le Capital industriel fut magistralement illustré par Marx dans ses oeuvres historiques sur la France avec le passage du capital bancaire au capital industriel suite au coup d'Etat de Napoléon le Petit - voir Luttes de classes en France, le 18 brumaire et La guerre civile en France notamment; voir aussi le grand, essentiel mais injustement négligé Paul Lafargue qui développa la théorie marxiste, y compris pour l'étude de la mythologie mais dont la contribution à l'étude du crédit fait le lien entre Marx et Hilferding et surtout Lénine. Avec le capital industriel nous aurons l'occupation des territoires pour permettre la construction des voies de communication canaux et chemins de fer nécessaires pour l'exportation des matières premières. Lénine montre magistralement comment ce processus dominé par la GB et la France mena à un partage impérial du monde qui portera à la Première guerre mondiale puis à la rivalité européenne élargie au Pacifique ambitions américaines et japonaises frontalement opposées avec une élite japonaise à l'étude de l'Occident envahisseur mais totalement polluée par Nietzsche puis à la seconde guerre mondiale entre camps capitalistes. En l'occurrence, face à la trahison des soi-disant démocraties, Staline avait su écarter pour un temps la menace tout en planifiant la défense de la patrie du socialisme avec les Plans quinquennaux, défense rendue obligatoire du fait du réarmement subreptice de l'Allemagne par les Usa et l'Occident en général (Plan Dawes et sa suite, rôle des Warburg allemands et américains réunis et autres, sans oublier Sarfatti, dans la montée de l'anticommunisme vite incarné dans le fascisme italien et le nazisme allemand.) Suivi, après la Seconde Guerre mondiale la mise en place des régimes complémentaires de Bretton Woods, du Gatt et des organisations jumelles FMI-Bird etc., à savoir l'internationalisation du capital productif (voir en particulier Christian Palloix et Günter Frank) et le néocolonialisme (voir l'étude magistrale menée sur le terrain au Congo par P.P Rey grand lecteur de Marx mais aussi du Polanyi analyste des sociétés pré-capitalistes, notamment au Dahomey.) A la limite on peut ajouter quelques descriptions utiles : Stephen Heymer, par exemple, parla de firme familiale puis nationale puis multinationale il n'avait pas pensé que cela puisse mener aux firmes transnationales actuelles rêvant même de privatiser le Pentagone … Ou encore les analyses de la technostructure à la Galbraith conçues consciemment à l'origine comme pendant public du système de contrepoids industriel mis en place par le New Deal avec la Social Security et les conventions collectives faisant face aux inévitables monopoles et oligopoles.

Cette évolution fit ensuite place à l'internationalisation de la bourse et de la titrisation (fin de Bretton Woods et changes flottants, contre-révolution monétariste, public policy, Big Bang boursier et financiarisation croissante de l'économie, surtout après l'abrogation du Glass Steagall Act en 1999.) Nous en sommes à la crise finale de cette époque caractérisée par l'usuelle fuite en avant des dirigeants feignant de croire en leurs propres inepties à la manière du solipsisme de l'évêque de Berkeley. Or, dans l'économie intime de l'idéologie servant à défendre l'hégémonie des systèmes en place, le solipsisme ne remplace pas plus la logique et le sens commun que la perception ne peut se substituer à la réalité ou encore le signe monétaire à la valeur réelle. (On connaît le verdict de l'analyse cognitive moderne : le reality check vient inévitablement soit par petites accumulations successives de faits niant la narration dominante, soit par le rejet brutal, selon la marche épistémologique-historique du savoir et des sciences.) La crise sera terrible; elle ne pourra être retardée momentanément que si la Chine choisit de se sacrifier sur l'autel du capital, et surtout du capital spéculatif, en remplaçant la planification et le crédit socialiste par la titrisation des actions et la levée des fonds en bourse. (A moins au minimum que la bourse ne soit organisée comme une institution de canalisation de l'épargne des Fonds Ouvriers et éventuellement étrangers selon la méthode des Seuils Tobin décrite dans Tous ensemble, afin d'optimiser l'allocation du crédit socialement disponible. L'avenue de banques publiques fonctionnellement liées à leurs secteurs et filières respectives est de loin supérieure ou plus « avancée » et va de pair avec les joint-ventures.) Espérons que cette dérive spéculative chinoise soit exclue. Le nouveau système mondial émergeant de la crise actuelle devra forcement inclure une nouvelle définition de l'anti-dumping permettant la mobilité qualitative du capital dans le respect des trois formes du revenu des ménages et donc des recettes cotisations et fiscalité- des Etats souverains, mais incluses dans des régimes d'intégration régionaux UE et mondiaux.

Si la logique de l'extériorisation du capital est donc bien comprise, il reste à la relier au taux de change et surtout à ce que Suzanne Strange appela la « suzeraineté » monétaire dont elle a bien décrit les privilèges. Le marxisme éclaire tout ceci. En effet, nous savons déjà qu'à l'intérieur d'une branche, d'un secteur ou d'une FS, c'est la productivité qui donne le « la » via le procès de valorisation et d'échange. Le taux de change des monnaies met simplement en cause ce que nous pouvons appeler le Capital total de la FS, soit le total reporté sur base 100 des fonctions de production de SI et de SII. Nous supposons d'abord des FS indépendantes protégées par des tarifs nationaux ou impériaux préférentiels etc. Nous pouvons ici faire abstraction des formes d'inflation en particulier de l'inflation structurelle liée au financement social de AR. Mais ceci peut être aisément réintroduit (à condition d'avoir de bonnes statistiques socialistes; autrement à l'instar de Keynes il faudra opérer avec ce que l'on a mais revu par des « rules of thumb ».

Comme la théorie marginaliste ne vaut rien, une utilisation critique des statistiques marginalistes, revues à la lueur de la logique de la RS-RE permettra une première approche , celle disons de l'histoire économique mais informée par la théorie marxiste entièrement élucidée, ce qui n'est même pas le cas de l'Ecole des Annales jusqu'ici puisqu'elle ignorait la loi de la productivité et incorporait au mieux les données économiques empiriques brutes parfois revues à la lueur du mètre diachronique proposé par J. Fourastié, soit le travail du manoeuvre et les miroirs, produits reposant sur des techniques stables pour toutes les sociétés précédant le capitalisme moderne (i.e., la redite pratico pratique du « travail simple » de Adam Smith.)

Ainsi le taux de change réel devient central et sous-tend ensuite les dérives et privilèges de la suzeraineté monétaire (on pourra prendre le taux pv/v comme marqueur différentiel de la productivité relative.) Voyons ceci rapidement en comparant deux FS à des degrés divers de développement et avec différents degrés d'insertion:

1) Premier cas d'ouverture des FS mais avec filiales (branch-plants) dans FS II :

FS I développée et titrisée                                                 FS II sous-développée et branch-plant

SI :  85 + 15 + 20 = 120                                                         SI branch-plant : 90 + 10 + 20 = 120

SII : 35 + 8,75 + 8,75 = 52,5                                                 SI local                  : 60 + 40 + 20 = 120

        ..........................…                                                        ........................................................

       120 + 23,75 + 28,75 = 152,5                                                                 : 150 + 50 + 40 = 240

                                                                                        SI (base 100)   : 75 + 25 + 20 = 120

                                                                                        SII                         : 45 + 30 + 15 = 90

                                                                                        ........................................................

                                                                                                               : 120 + 55 + 35 = 210

        (pv/v =1,21)                                                                pv/v = 0,64

Le taux de change réel est donné à la base par le différentiel de productivité des FS en considérant leur capital total (résumé des Equations RS-RE.) En ce sens, il tient déjà compte du degré d'insertion mais permet, en se référant aux RS-RE spécifiques, de traquer les balances externes (commerciale et des paiements.) Il faudrait ici rappeler la logique de la plus-value sociale pour les sociétés capitalistes avancées ou en phase de transition vers une forme de socialisme selon laquelle la productivité se réfère à la fonction de production microéconomique et la compétitivité se réfère à la fonction de production globale. Ici, le taux de productivité global donne le taux de compétitivité et par suite le taux de change.

Notons cependant que dans nos schémas dans la FS II une part de SI est contrôlée de l'extérieur ce qui la met dans le même cas que les firmes internes à la FS I vis-à-vis du crédit bancaire (une ponction par l'intérêt sur le profit) sauf que ici ceci se traduit par des outflows de capital (l'émission de monnaie locale pour éponger ses sorties, de même que l'expatriation des capitaux nationaux parfois plus élevés que la dette souveraine ce fut le cas du Mexique et de l'Argentine dans les années 80 et 90, et du sud européen aujourd'hui -, mène à des formes d'inflation destructives et par suite à un autoritarisme césarien. Günter Frank voyait dans ce procès le mécanisme intime du développement du sous-développement.

A l'inverse notons que dans SF I une partie est phagocytée par le capital spéculatif A-A'. Or, ceci mène à une productivité fictive qui néanmoins pèse de tout son poids par le biais du taux de change, surtout si celui-ci est aggravé par les privilèges de la suzeraineté. On comprend que cette falsification du concept de la productivité découle de la logique du marginalisme, qui ne fait pas de différence entre spéculation et économie réelle. Cette falsification va bien au-delà des erreurs de comptabilité internationale encore aggravées par les International

Accounting Standards en passe de s'américaniser comme le dollar et avec lui … ce que la Chine doit refuser en revenant à des statistiques et à une comptabilité moderne socialiste, strictement fondée sur les fonctions de production marxistes et les Equations de la RS-RE. Elle donne une très fausse idée de la productivité puisqu'elle est incapable de voir la ponction bancaire et le parasitage spéculatif qui apparaît comme productivité, le tout avec le remplacement de l'industrie par des services bureaucratiques traditionnels et de plus en plus simplement spéculatifs (ces derniers représentent déjà 9 % du PIB aux USA contre 3% il y a une quinzaine d'années). En importance relative estimée en PIB ils sont en passe de surpasser l'industrie et représentent déjà trois fois celui de l'agriculture!!! La théorie de l'utilité marginale (dernière unité produite, biens ou services, que ce soit un dérivé ou un OTC - ne peut pas faire ontologiquement la différence entre le réel et le spéculatif. Pire elle pousse en privilégiant les bénéfices à court terme au « parasitage » complet du profit réel par l'intérêt spéculatif.

Nous pouvons alors relier les étapes de l'internationalisation du capital portefeuille ou du capital industriel et productif puis strictement spéculatif à ce schéma de base.

Par exemple :

A) Si nous sommes dans un système de branch-plants, donc d'internationalisation du capital productif flanqué par le capital portefeuille résiduel (les banques suivent alors les multinationales dans le pays hôtes, ou go-between, pour leur faire crédit afin de permettre leur capitalisation contre les intérêts des pays hôtes), les outflows de capital mènent rapidement au sous-développement. On connaît bien cette logique perverse : Pour combler le trou épargne-investissement domestique dû aux outflows, les pays s'endettent, la dette appelant la dette en l'absence d'une inversion des outflows nationalisation etc. - donc à des taux d'intérêt toujours plus élevés et cumulatifs, ce qui rend cette logique de l'endettement souverain rapidement infernale. Ceci reste vrai pour les anciens Dominions (blancs) intégrés dans la Tradition dominante quoique de manière subalterne (Bond Head faisant office de Titus Oates, mais en infinis exemplaires etc. …) : Ainsi la subordination de l'appareil productif au lieu de prendre la forme latino-américaine portée à son paroxysme par les maquiladoras prendra la forme de l'Auto-pact US-canadien en échange de la destruction des firmes automobiles et d'avionique nationales, dont le Arow premier avion supersonique mis au point mais vite cédé. Avec l'Auto-pact se mettait en place une intégration continentale sous domination impériale, une partie de la production des pièces se faisant en périphérie mais au profit des stratégies des multinationales ayant leur siège social aux USA. Ceci faisant place avec le libre-échange à la fin de l'Auto-pact et à la négociation de « mandats » de production obtenus uniquement lorsque les gouvernements centraux et locaux de la périphérie mettent la main à la poche … pour préserver les emplois et une force de travail évanescente et toujours plus dualisée, tout en ruinant les provinces sur le long-terme. La titrisation accélérera ce processus de piratage. Restera le retour aux atouts usuels des hinterlands ( à la limite placés dans des réseaux dominants de communication selon une version de MacCulloch … ancêtre de Marshall McLuhan pour qui le « medium is the message ». En paraphrasant Marx nous dirons au contraire que la monnaie est un rapport social bien déterminé, ce qui nous renvoie à une théorie critique des « réseaux » de communication mondiaux surdéterminés par les modes de production.)

B) Si on passe à la titrisation hégémonique (Bourse, money markets, investment funds etc.) nous avons l'internationalisation du capital spéculatif entériné par les libéralisations, les privatisations en faveur de la bourse globale et de la « gouvernance globale privée » (voir sa description dès le départ par le BIT ref …), c'est-à-dire la prétention de remplacer les Etats nationaux, berceaux de la démocratie populaire citoyenne, par la démocratie ultra-censitaire de l'actionnariat privé en faveur d'un empire global, lui aussi soumis à la grande finance spéculative (« crédit sans collatéral ») Le tout étant caractérisé comme nous l'avons dit par la planche à billets remplaçant de facto les réserves excédentaires et les ratios prudentiels!!!

(Finir à partir des notes)

Passons au taux de change et à l'insertion des FS dans l'Economie Mondiale.

FS (I)                                                                         FS (II)

84 + 16 + 20 = 120                                                         80 + 20 + 20 = 120

36 + 9 + 9 = 54                                                         40 = 10 + 10 = 60

................….........                                                        ..................................

120 + 25 + 29 = 174                                                 120 + 30 + 30 = 180

On a déjà vu que le taux d'échange réel de base (sans AR donc sans inflations etc.) est donné par le différentiel de productivité, c'est-à-dire directement par le taux de plus-value pv/v comparé du capital total de FS (I) et de FS (II).

Ainsi la masse salariale totale de FS (I) est de 25 (i.e., pv/v up ¼) et celle de FS (II) 30 (abstraction de AR etc.). C'est bien à travers le différentiel de pv/v total que s'établit le taux de change de base. Il faut ensuite tenir compte des inflations. Puis il faut introduire l'intérêt bancaire (qui se répercute sur le taux de change qui s'en trouve faussé et mène éventuellement au biais systémique impliqué par la suzeraineté d'une devise sur les autres. (Une perversion impérialiste devant être corrigée par le retour au taux de change réel, selon la loi de la valeur marxiste.)

Reste le cas de spéculation inscrite en tant que telle dans les Equations RS-RE avec le néolibéralisme monétariste actuel. Dans ce cas, c'est pire mais cela passe par l'autonomisation du secteur spéculatif et non par l'émission bancaire; cette dernière ajoute ses propres dégâts.

Ce schéma général, susceptible d'inclure les inflations, l'intérêt et la spéculation, ouvre d'ailleurs à la plus-value sociale tout en étant confirmée par elle : à savoir par les formes classiques, Welfare ou monétariste de l'intervention de l'Etat au profit des entreprises y compris l'aménagement du contrat du travail et du code du travail. Ceci est facile à montrer : l'intervention se fait en respectant l'égalité formelle de tous les capitaux entre eux plain-level field - et les impôts comme les cotisations sont déduits de la « structure de v » au bénéfice de l'accumulation du capital. (En ce qui concerne « pv », c'est une supercherie car les cotisations patronales sont immédiatement passées sur les prix de vente, et donc payées par les travailleurs eux-mêmes qua consommateurs, ce qui dans le cas des échanges internationaux ajoute d'ailleurs aux privilèges de la suzeraineté: sur le dos des pays dépendants qui ne protégent pas leur monnaie et leur taux de change. Ce qui met en cause voir plus bas l'impérative nécessité d'une nouvelle définition de l'anti-dumping protégeant au minimum les trois formes du revenu des ménages.

Le taux de change ne valant que pour les échanges, il importe de bien distinguer les formes ou régimes que prennent ces échanges. Si nous posons RS-RE, d'où viennent les échanges et quelles fonctions jouent-ils? La Formation Sociale (FS) est une construction constitutionnelle souveraine; elle peut être nationale, régionale, voire impériale : les facteurs de production y circulent plus ou moins librement selon des prix déterminés par la productivité la plus haute. La FS est donc l'espace dans lequel se forme la valeur d'échange, et c'est bien pour cela que se pose la question du taux de change, même dans le cadre des régimes flottants et d'imbrication néolibérale globale. (De fait, le sauvetage des banques et des organisations financières pèse bien sur les entités étatiques ou supra-étatiques gouvernant ces espaces. Ceci ne saurait étonner les marxistes qui savent que cette même logique mena à la création des Etats-nations. Il n'est donc pas anodin de savoir que la valeur d'échange ne se forme pas au sein des firmes multinationales ou transnationales malgré leur utilisation abusive des paradis fiscaux et autres méthodes d'évasion : ne serait-ce que par le fait que les biens et services produits dans ces sous-espaces doivent être échangés avec d'autres.)

Ceci posé, la première forme d'échange nécessite des surplus dans la RS-RE courante ou à l'inverse des lacunes potentielles à combler en vue d'une croissance supérieure. Ceci est le cas pour les formes historiques pré-capitalistes (y compris pour l'empire romain organisant ses échanges internes mais également avec l'espace dit barbare («hic sunt leones » sur leurs cartes romaines de l'Afrique du Nord, par exemple.) En d'autres termes nous avons à faire à de simples importations et exportations, système qui mènera ensuite aux tarifs protégeant les FS nationales selon la leçon de l'Allemand List contre le libre-échangisme classique anglais lequel prévalu également sous cette forme selon les préceptes de « l'avantage comparatif » de Ricardo : laine anglaise produite industriellement et vins portugais artisanaux vendus à des gros buveurs de bière, le tout menant bien entendu à la ruine rapide du Portugal et à sa relégation à un état subalterne.)

Reste que ces importations ou exportations sont déterminées selon une RS-RE contrôlée nationalement dans sa FS d'origine. Du coup, les surplus à exporter ne rentrent pas dans la demande sociale interne et ne change pas fortement les prix, encore qu'ils exercent parfois une pression sur le sort des travailleurs d'où la recherche de moyens plus chiches de subvenir à leurs besoins de base, allant du Repeal of the Corn Laws à la grotesque et ruineuse redite par la « wal-martyrisation » actuelle.) On a vu que ce retrait est équivalent à celui des stocks, les marchandises rentrant éventuellement dans les circuits internes selon la logique prévalente de la valorisation. Pour les importations cependant, le tout est medié par le taux d'échange qui est toujours mal calculé : car le différentiel de productivité qui n'est pas un « échange inégal » oxymore à la pitre pondu par des Samir Amin repose sur une base concrète. Symptomatiquement, elle se dissipe d'ailleurs par les joint-ventures qui imposent des transferts de technologie comme le fit la Chine et non par les jérémiades de petits-bourgeois subalternes colonisés et indécrottables dans leur tête. Amin est de plus est un pitre avéré : il me lit, m'occulte et lorsque j'appelle à une nouvelle Internationale oecuménique mais strictement marxiste sans chiffre le voilà proposant tout de go de diriger une 5 ème, à lui tout seul, qui ne connaît pourtant rien à la loi de la valeur : « plus taré que ça tu meures » dit la banlieue ou la périphérie. Bref, il a l'air débile et tout le monde le sait : je n'ai même plus besoin d'en rajouter!)

S'ajoutent toutes les distorsions marginalistes dont la plus grave n'est pas l'inflation mais le contrôle par le Centre du crédit bancaire ou spéculatif. L'après-guerre a montré que le Centre dit démocratique n'a pas hésité à détruire la démocratie élue chaque fois qu'elle mettait des freins à la propriété privée, par exemple en soutenant le Chili de Pinochet ou l'Indonésie et les Philippines, inversant par la force l'onde positive de la Conférence de Bandung. Car, bien entendu dès l'instant où le crédit capitaliste une ponction même avant de devenir entièrement spéculatif - est muselé, les échanges perdent une grande partie de leurs aspects nocifs qui mènent autrement de manière impitoyable au développement du sous-développement.

Il est utile de reprendre la typologie de Gramsci développée ensuite par Galtung : Centre, Périphérie et ajoute, ce dernier, Semie-périphérie.

Il nous reste alors à voir très rapidement les principales formes d'insertion des FS. Bien entendu, ceci aura des répercussions différentes selon que les FS impliquées aient eu recours ou pas au « delinking » (comme ce fut le cas pour certaines du temps de l'URSS et avec l'arrivée en masse des nouveaux Etats indépendants membres à l'ONU, après Bandung.)

1) Capital portefeuille reposant sur le contrôle des flux du capital par le Centre et donnant lieu à une balance commerciale asymétrique malgré les tarifs.

2) Capital productif donnant toujours lieu aux flux de capitaux bancaires mais aussi à une organisation du commerce intra-firme qui rend en partie caduque la balance commerciale comme telle. (Quelque 50 % des exportations chinoises aux USA aujourd'hui ont pour origine les multinationales installées dans ce pays.)

3) Le capital spéculatif avec un passage accéléré à la propriété par actionnariat titrisation et la mise en bourse, celle-ci se globalisant. Nous avons alors tous les phénomènes décrits plus haut, causés par le parasitage de la RS-RE par le capital spéculatif; mais à ceci s'ajoute le problème de la suzeraineté monétaire (le dollar, et en partie les autres grandes monnaies de réserve) sur le taux de change en soi. Les flux de capitaux sont alors dominés par le régime de la gouvernance globale, les Etats capitalistes ayant d'abord abdiqués leur Ministère des finances et de l'économie à un Trésor internationalisé et soumis aux diktats du Fmi, ce dernier étant lui-même soumis à l'encombrant voisin d'en face à Washington, soit à la FED (Un déménagement du Fmi et de la Bird s'imposerait d'ailleurs avec révision des quotas et réforme du mandat et du rôle des DTS.) Aujourd'hui, le Trésor ne fait guère plus office que de ratio prudentiel de dernier recours pour maintenir le bilan d'une banque centrale soumise aux banques primaires et ordinaires, dites banques universelles. Ce qui ajoute une contradiction supplémentaire uniquement comprise à tort comme désindustrialisation et outsourcing puisque la valeur continue à se former dans la FS de référence alors que le capital et ses flux internationaux n'étaient soumis qu'à l'autocontrôle de la part des banques jusqu'à la crise de 2008. Aujourd'hui, il en va de même, mais se sont les Etats qui payent la note tant aux USA qu'en UE : dans celle-ci les Etats membres étant encore responsables de leur propre dette sans le moindre contrôle sur le taux de change de l'euro (qui pourtant reste un domaine conjoint), ni sur les taux directeurs, ceux-ci étant bien entendu contrôlé par la BCE selon la seule dynamique du Centre (J'avais d'ailleurs demandé dans mon Tous ensemble des ratios Cooke qui nous auraient évité les déboires du spread par leur seule présence tout comme les inepties sur les eurobonds : on a préféré suivre les inepties du genre de celles du pitre Mundell, aussi Prix Nobel que les autres et pour les mêmes raisons : mais personne ne demande de compte : pire ils en rajoutent!)

Pour une nouvelle définition de l'anti-dumping protégeant les trois formes du revenu des ménages et les normes écologiques.

(Il faut finir l'exposé sur le taux d'échange en tenant compte des prix constants et de l'insertion plus ou moins prononcée des FS respectives dans l'Economie Mondiale.)

Cependant, nous pouvons déjà énoncer l'essentiel pour ce qui est de l'opérationnalisation de la nouvelle définition de l'anti-dumping nécessaire pour gérer un régime commercial et monétaire international équitable. Car une bonne définition de l'anti-dumping règle par elle-même en amont les problèmes de comparaison les plus redoutables qui ont trait au taux de change.

Pour opérationnaliser le calcul de l'anti-dumping que faut-il? Il faut pour chaque FS déterminer la productivité globale puisque la monnaie, le crédit et la spéculation reportent le tout à ce niveau. On prend donc le rapport de productivité (pv/v) du capital total pour chaque FS. Pour que la comparaison soit juste il faut aussi tenir compte des :

- prix constants ou de l'impact des différentes inflations.

- Des trois formes de revenu des ménages (s'agissant de services publics la comparaison pourrait simplement se faire en termes de % du PIB par services rapportés aux services offerts eux-mêmes déterminés par le calcul spécifique de la productivité dans les industries de services, c'est-à-dire pour chaque service impliqué le type spécifique d'acte universellement accessible au bénéficiaire-citoyen et le temps d'attente. Bien étendu en tenant compte des droits acquis du travail afin de pousser à une émulation vers le haut.

Cette définition est alors facilement opérationnalisable, vérifiable et comparable entres secteurs et FS concernées. De plus, étant axé sur le calcul objectif de la productivité spécifique aux secteurs des services, ce système pousserait à l'émulation des meilleures solutions mondiales jugées en termes de droits du travail sous-jacents, ce qui pousserait à son tour à la plus grande recherche possible des bénéfices en terme de plus-value sociale sur la productivité micro-économique. En deçà, de ces Seuils les tarifs protégeraient les économies internes des FS et en particulier le plein-emploi qui serait le but ultime à atteindre selon la RTT maximum possible à un moment donné. Contrairement au libre-échange actuel flanqué par la grotesque fonction de production de Solow globalisée ce système pousserait à une émulation quantitative et qualitative vers le haut : les Formations sociales développées pourraient protéger leurs industries de manière équitable tout en distribuant les bienfaits du système à travers la RTT, alors que les Formations sociales émergentes pourraient protéger leurs industries, la concurrence internationale jouant à plein qualitativement lorsque le plein-emploi est assuré de même que les droits sociaux partout. De fait dans ce système les joint-ventures deviendraient la règle, mettant en jeu une mobilité qualitative nouvelle technologie du capital productif.

Nous aurions ici un système opérationnel relativement simple mais hautement efficace qui fonctionnerait pas « émulation » qualitative vers le haut, mesuré en progrès social et en bien-être pour les masses (le concept « d'émulation » étant ici entendu dans le sens communiste précis que lui a donné le camarade Ho Chi-Minh.)

XXX

Le système spéculatif :

Comment passe-t-on du système surdéterminé par un taux de profit 20/100 au nouveau système surdéterminé par le taux de profit spéculatif (factice car il s'agit d'un taux d'intérêt déguisé en profit, déjà intenable en soi …) 30/100?

Ceci se fait par le travail vivant placé dans les nouvelles conditions en termes de rapports fondamentaux mais avec une journée de travail de même durée, disons 7 h.)

De : […v…/…pv..] on passe à [..v../…pv…]

          20/20                                    10/30

Comme la base reste C=100 notre problème est déjà résolu. Mais ceci peut se vérifier par la logique de l'évolution des rapports inverses.

Rappel : 80 + 20 + 20 = 120 Euros = 120 Mp. Si la productivité grimpe de 1,25 pv/v = 20/16 et v/C = 16/(84+16). L'évolution se fait par v qui reste identique en termes réels Mp (20 Mp valent maintenant 16 euros) mais sa valeur baisse en proportion directe ce qui est bien le but de la manoeuvre de la hausse de productivité. La même chose prévaut dans notre cas de changement de conditions morales. Ecrivons d'abord le résultat puis tirons les conséquences.

SI FS                : 30 + 70 + 30 = 130

SI reformulé         : 90 + 10 + 30 = 130 (le SI ante était: 80 + 20 + 20 = 120)

SI nouveau        : 120 + 80 + 60 = 160

D'où :

SI (C=100)        : 60 + 40 + 30 = 130 (moyenne possible car tout est en termes identiques)

SII                         : 70 + 30 + 30= 130 (SII donné en termes RS-RE.)

On remarque ici plusieurs choses :

a) le sort subit par la force de travail : ce qui montre sous un angle nouveau l'inanité du seuil physiologique de Solow, le même qui cherchait à inclure de manière exogène la technologie pour donner un semblant de dynamisme à son système, qui se voulait critique de Harrod (!) Il y a intensification de l'usage de la force de travail avec le changement de conditions morales, ce qui est grave si ce n'est pas suivi pas la baisse de la durée du travail.

b) La ponction opérée par la titrisation autonomisée mais généralisée par la marchandisation en bourse etc. de cf et cc, affecte grandement le poids relatif des secteurs. (Nous devrons y revenir lorsque nous examinerons rapidement les liens entre les « secteurs » (descriptifs) primaire, secondaire et tertiaire.)

c) Si l'intérêt est une ponction sectorielle sur le profit qui mène à la crise par cycles (puisque la capitalisation se fait de manière incohérente selon l'inégalité dans les propriétés privées existantes qui biaise l'allocation socialement optimale des ressources disponibles), la spéculation, en confondant intérêt et profit, est une crise permanente : ce que démontre la situation actuelle en Europe et aux USA Revenir sur Achille et Tortue i.e. impact sur fiscalité.

(Toute marchandise a un côté dual : ve et vu. C'est pourquoi l'intérêt est déduit du profit. Une ve s'échangeant contre une ve avec intérêt sans autre support ne peut être que parasite par rapport à l'échange entre marchandises réelles dans l'économie réelle. (La circulation monétaire i.e. masses salariales plus rotations n'a rien à voir avec le crédit et a fortiori avec la spéculation. Ce sont ici des perversions capitalistes de l'autonomisation de la forme argent : Say-Ricardo menant par Cournot et Walras à une économique (marginaliste) uniquement fondée sur ve.

La BC et le système bancaire, l'intermédiation, la spéculation et la planification, les ratios etc.

Achille et la torture : les contradictions i.e., l'intérêt bouffe le profit (et détruit l'entreprise : ex. les investment funds, Roe, LBO, restructuration etc. ..) 2) la fiscalité et le shadow banking.

Les oeuvres d'art et les vins millésimés etc. … (selon le crédit et la spéculation : en général les valeurs dites refuges …)

Taux de change (RS sans AR; RS avec AR), insertion et échanges internationaux.

Les prix ne sont que des épiphénomènes des valeurs surdéterminés par RS-RE (v. démonstration dans « HI HAN! : LES ÂNERIES VISUELLES ALLUCINATOIRES DES ECONOMISTES BOURGEOIS. Ce qui n'est pas scientifique n'est pas marxiste, et vice-versa. » reproduite ci-dessous)

C) Rapports juridiques simples et élargis (redistribution, époques de redistribution, alliances et luttes de classes)

Rente et coexistence à dominance : ouvrir sur impérialisme versus RTT

Structure de v

Plus-value sociale.

Ecomarxisme

Le modèle d'ensemble est le plan en trois Livres du Capital, à quoi il faut ajouter le Livre IV qui n'est pas une dérive quaternaire mais la présentation de l'histoire de l'économie politique, ou si on veut, selon la distinction kantienne et marxiste essentielle entre méthode d'investigation et méthode d'exposition, l'abrégé de l'exposition réelle par l'histoire permettant l'exposition logique des trois premiers livres du Capital). Il s'appuie sur le schéma de la dialectique du matérialisme historique qui est donné ici avant le plan d'ensemble :

Nous pourrions résumer schématiquement comme suit :

Dialectique de la nature : nature ---//--> Homme (domaine des distincts : l'homme est nature mais l'inverse n'est pas vrai)

                                                        ||

Dialectique d'ensemble ou matérialisme historique : Sujet historique (identité contradictoire des deux dialectiques dans l'acte de se reproduire individuellement et socialement. Cet acte c'est le travail humain, seul créateur possible de la valeur d'échange. Le Sujet est dont ontologiquement un « bloc historique » (Gramsci)

                                                        ||

Dialectique de l'Histoire : mode antérieur (ex féodal) # mode actuel (ex capitaliste) (domaine des opposés : l'un ne peut dominer avec l'autre; tout au plus connaît-on des formes de coexistences à dominance transitoires

Noter que le lien entre Dialectique de la nature et dialectique de l'Histoire est incarné par le Sujet (être humain entendu comme « bloc historique » individuellement et comme classes sociales collectivement) ce qui place le matérialisme historique bien au-delà de la dualité irrémédiable de Descartes reprise par Ernst Bloch (Sujet/Object) et mieux encore au-delà de l'opposition des contraires passant par ''l'unité des contraires'' une idiotie dont fut coupable le grand Hegel et qui fait sombrer ses analyses toujours pertinentes des moments dialectiques dans un aristotélisme et un psychologisme parfois futile mais toujours de lecture ardue … Michelet avec sa simplification Thèse/Antithèse/Synthèse masqua le problème pour un temps. Le tout se déclinant selon la Méthode d'investigation et la méthode d'exposition marxiste (qui est au fond celle de la Critique de la raison pure du grand E. Kant que Marx dialectise car elle était steady state : le « concret pensé » de Marx étant le « concept a priori » de Kant mais historicisé, Kant faisant également (comme s'en souvient Althusser dans sa magnifique analyse méthodologique On the Materialist Dialectic, in La Pensée, août 1963, dans laquelle il distingue les différents niveaux P1, P2 etc.,) la différence cruciale entre lois générales (à quoi se bornera au mieux la sociologie de la connaissance) et lois universelles (dans un univers précis comme je l'ai fait remarqué, ce qui implique que l'on s'interroge sur les modes de transition ou d'interaction d'un univers à l'autre.) Mais Kant critiquait aussi vertement les paralogismes, surtout ceux utilisés à dessein pour tromper son monde par les pitres supposément « éveillés » de son temps. C'est d'ailleurs pourquoi Kant, un des plus grands et raffinés logiciens, ne fait pas toujours la différence entre distincts et opposés ce qui est nécessaire pour concevoir le devenir et sortir des fausses catégories aristotéliciennes. Ici réside d'ailleurs le seul bon apport de Croce dans sa jeunesse. Pour le reste Croce ne comprend rien à la loi de la valeur qu'il croit critiquer en ne sachant même pas distinguer durée et intensité du travail … :

« Marx dans les Matériaux (repris par Ch. Palloix) montre comment le procès de production immédiat contient un procès de travail et un procès (de production) de la valorisation. Palloix résume ainsi : Pi = Pv + Pw.

Partant de là je veux montrer :

1)que les rapports d'exploitation ont un triple aspect et que le nexus entre les trois rapports repose sur ce triple aspect.

a)Rapports d'exploitation objectifs qui désignent l'aspect matériel du procès de travail et qui est caractérisé par l'aspect objectif de l'exploitation i.e. plus-value absolue, relative, productivité ou plus-value sociale.

b)Rapports d'exploitation subjectifs:

b1) de distribution restreints : le rapport d'exploitation apparaît comme un rapport d'échange, c'est-à-dire d'allocation du produit. Chacun a son dû : le salaire ou le profit. Ces rapports de distribution dans le rapport d'exploitation masquent la réalité de la valorisation du capital qui repose sur l'appropriation d'une partie de la valeur d'usage du travail.

b2) juridiques : cependant ces rapports de distribution contenus dans le rapport d'exploitation sont entérinés par le contrat de travail dans lequel chaque partie contractante apparaît formellement libre, menant ainsi aux rapports juridiques au sein même de l'exploitation.

2)Rapports de distribution (au sens large ici et non confinés au stade des rapports d'exploitation.) Ces rapports de distribution renvoient aux politiques macro-économiques de l'Etat et incluent en particulier les politiques fiscales et monétaires et leurs effets sur la distribution/redistribution du revenu national et sur les échanges intersectoriels.

3)Rapports juridiques : ils incluent tout le cadre légal que l'Etat impose ou maintient sur la formation sociale nationale ; ce cadre légal définit aussi bien les rapports de propriété, de possession et dépossession que les normes de représentation politique, individuelle ou de groupe (i.e. le régime démocratique et ses formes particulières ; les lois et/ou statuts définissant les droits fondamentaux des individus et des groupes ; le statut légal des associations économiques ou autres (ex. Anti-trust law)

L'Etat et la bureaucratie.

Passons maintenant à l'analyse de la bureaucratie publique comme fonction de production détachée pour cause de division du travail, ou si on veut à l'analyse de l'Etat. Ceci fera d'ailleurs bien apparaître comme l'Etat bourgeois peut être dépassé par ce que j'ai appelé la « démocratie socialiste » (voir le chapitre « Pour le socialisme cubain » dans mon

Pour Marx contre le nihilsme ainsi que la Section Cuba de mon site) Ceci découle du fait que la bureaucratie est nécessaire puisqu'elle est un résultat de la division du travail, encore qu'elle doive être démocratisée. La démocratisation passe par la planification qui doit devenir le coeur de la démocratie socialiste allant de pair avec la Constitution garantissant le Domaine de la Liberté socialiste et le Domaine de la nécessité, ce dernier mettant en cause la planification et donc le travail.

Le pouvoir politique est la capacité pour un individu, un groupe ou la société dans son ensemble de procéder à l'allocation des ressources de la société en faveur de la société. C'est-là la définition classique du pouvoir politique (selon Marx et Duverger, si on veut.) Marx ajouterait qu'avant d'être redistribuées les ressources en question doivent bien entendu être produites, de sorte que l'allocation productive, à son meilleur la planification socio-économique, doit précéder la redistribution. La défense et la sécurité font partie de l'équation mais pas nécessairement puisque aussi bien il existe des économies de guerre (de fait durant la guerre, lorsque le gaspillage des ressources devenait potentiellement létal, le capitalisme passa rapidement à la planification de guerre et … au contrôle des prix … ce qui montre bien la supériorité absolue de la planification au dessus de la « main invisible » motivée par le seul profit individuel.)

Bien entendu, le rôle de l'Etat ne s'arrête pas là. Par Etat nous entendons le gouvernement et les Appareils d'Etat, dont la Constitution et la Justice de classe qui l'interprètent (voir la provenance sociologique des magistrats; voir aussi la critique de EP Thompson dans les pages portant sur la justice de classe de mon Livre II Pour Marx, contre le nihilisme.) L'Etat aurait donc également pour mission de créer les conditions matérielles, y compris les conditions institutionnelles et éducatives, permettant l'éclosion de personnalités émancipées; il le ferait selon les trois aspects principaux exposés par la psychoanalyse marxiste : laïcité et éducation à l'histoire des religions et du calendrier, parité, programmes sociaux, culturels et sportifs publics étendus.

Pour ce faire la politique devient affaire d'alliance de classes. On sait que le pluralisme bourgeois fut à l'origine censitaire et sexiste; le pluralisme actuel n'est qu'une série de concessions faites aux pressions exercées par les peuples (sur la question voir les Luttes de classes en France, Le 18 brumaire et La guerre civile en France de Marx), quoique trop souvent ces concessions accordées par la main gauche sont immédiatement reprises par la main droite. Ainsi l'éducation fut toujours une affaire de classe pour la bourgeoisie et pour les pires philosémites nietzschéens, à tel point que la sociologie bourgeoise consciente des avantages de départ imagina l'idéologie de la méritocratie et des « life chances » pour consolider ses avantages : le peuple, sous-représenté, doit lutter sur ce plan avec un bras lié derrière le dos. Et bien entendu ceci ne suffit pas car il s'y ajoute une sélection incestueuse de classe, comme le démontre à l'oeil nu la violation permanente de la loi des grands nombres, y compris dans la sélection opérée au sein de la bourgeoise et de la petite bourgeoisie. Le pluralisme bourgeois fait pire en conservant une série de monopoles : notamment celui de la sélection maçonnique s'opérant impitoyablement à tous les niveaux, en coulisse; celui de l'éducation et du temps libre à consacrer à la politique; celui du mode de scrutin et du financement des élections qui sont toujours « une dictature de la bourgeoisie » malgré la prétention d'offrir des choix (souvent par ailleurs bipartites, voire bipartisans ou transversaux …). Bien entendu, ce genre de pluralisme est fondamentalement antithétique à la démocratie vraie, y compris dans sa meilleure version parlementaire bourgeoise, strictement proportionnelle, comme c'était le cas en Italie de 1948 à la fin des années 80.

L'analyse de l'Etat est donc une forme inhérente aux sociétés d'exploitation de l'Homme par l'Homme de l'autonomisation de la bureaucratie sous la forme d'une fonction de production autonome qui sert, comme dirait Adam Smith, « l'intérêt général » mais comme chacun sait en fonction d'une interprétation de clase. Elle constitue donc ce qui tombe dans l'analyse des rapports juridiques. Il est question de la loi, loi de classe avant l'avènement du communisme, qui règle les rapports de classe institutionnalisés, en premier lieu le droit de propriété, le contrat de travail et les formes de redistribution nécessaires au maintien de l'hégémonie de la classe et de l'alliance de classes dominantes (ou bien sous un régime post-capitaliste nécessaire au bien-être général selon le principe « de chacun selon ses capacités, à chacun selon ses besoins ». Dans La critique du programme de Gotha Marx explique d'ailleurs comment la loi doit être inégale pour corriger les inégalités de classes, et Jules Guesde d'expliquer que, l'éducation devant être gratuite et toujours accessible, l'échelle salariale n'a pas d'autres raisons d'être que l'exploitation et la cooptation-légitimation des soi-disant classes moyennes, celles sur qui Bernstein fondait le salut du MPC et que Max Weber, revenu d'une grave dépression en Italie après la lecture du Capital, prétendait appuyer sur la « méritocratie » (de classe par sélection maçonnique et autres) en pervertissant d'avantage les « life chances » de Menger et von Mises. A la limite, dans une société rationnelle gouvernée par une RTT uniquement limitée par la productivité microéconomique et la compétitivité macroéconomique, les plus hauts salaires devraient aller aux emplois pénibles manuels puisque la RTT prend déjà en charge le reste avec les droits syndicaux et l'ergonomie; ces emplois pénibles devraient donc sinon jouir d'un salaire plus élevé du moins ils devraient bénéficier d'une retraite anticipée : nous savons qu'aujourd'hui, selon les professions considérées, les ouvriers meurent de 7 à 11 ans avant leurs dirigeants … Ce qui montrent à quel point la société bourgeoise est meurtrière pour la majorité de l'Humanité encore plongée par elle dans la Préhistoire.)

Un peu d'éclaircissement sur la définition de l'Etat, ou de sa forme dépérie socialiste et communiste, mérite quelques éclaircissements. Pour plus de facilité, nous continuerons d'ailleurs à parler d'Etat mais avec le qualificatif de socialiste ou de communiste, choix découlant de notre volonté de montrer que, dans la société de transition, l'argent comme moyen d'échange ne disparaît pas, pas plus que la division du travail et donc que la nécessité de l'échange. Par contre le rapport social qui le fonde change du tout au tout; le surtravail, à ne pas forcément confondre avec l'exploitation, ne disparaît pas mais la plus-value prend la forme de la « plus-value sociale » collectivement gérée et contrôlée; l'Etat de classe disparaît mais du fait de la nécessaire division du travail laisse en place la bureaucratie qui doit être démocratisée de fond en comble par la « démocratie socialiste » dont la planification constitue le coeur Démocratie socialiste qui exclut donc d'office le pluralisme bourgeois défendu par le pitre faussement « orthodoxe » Georg Luckas à la lueur de la contre-révolution manquée en Hongrie en 1956, une révolte éminemment classiste philosémite nietzschéenne découlant de la trahison avortée de Beria participant à l'assassinat de Staline en complicité avec les USA qui lui avaient garanti leur appui comme nouveau maître de l'Urss en échange de l'abandon de l'Europe de l'Est; comme on sait, ce qui échoua avec Beria réussit longtemps après avec Andropov et ses pitres sélectionnés dont Gorbatchev et Eltsine.)

Selon notre définition, le rôle de l'Etat est donc de créer les bases matérielles et institutionnelles de la Planification et de la redistribution des richesses. Pour la planification, il faut passer à travers le recueil, l'articulation et la distribution de l'information (en particulier les statistiques) permettant la Gestion des Equations de la RS-RE selon les choix socio-économiques jugées prioritaires. Les choses se présenteront très différemment selon que l'on se place dans le MPC et ses époques ou dans la transition égalitaire, hors MPC.

S'agissant d'allocation productive ou de consommation des ressources, à part les Equations de la RS-RE, l'essentiel tient dans le partage entre « v », le capital variable ou revenu du travailleur et « pv » la plus-value, en sachant que pour ces deux composants la mutualisation est plus efficace, que se soit en termes de programmes sociaux contributoires ou bien de « plus-value sociale » entièrement réalisée.

Pour éviter toute ambiguïté ici il est utile de passer par un continuum conceptuel qui irait en considérant la fonction de production et son résultat M, déduction faite du capital constant d'un partage de la somme (v + pv) fondé sur un « v » payant le seul travail individuel à la prise en charge des périodes d'inactivité. Au mieux le travail individuel était ramené au « seuil physiologique » selon le libéralisme classique durant lequel tous les membres de la famille, enfants et anciens compris, devaient travailler pour vivre , ce vers quoi les pitres éveillés néolibéraux philosémites nietzschéens actuels tentent de nous retourner de force, y compris en instrumentalisant la crise spéculative actuelle qu'ils entretiennent à dessein; ensuite suivit une prise en compte de l'inactivité forcée des travailleurs du fait de la vieillesse, du chômage ou de la maladie, ainsi que de la taille différentielle des ménages dans le sein desquels la force de travail se reproduit nécessairement ce qui implique une canalisation institutionnalisée donc plus efficace de l'épargne des travailleurs, via les cotisations salariales; enfin ce processus aboutit, dans le dépassement du MPC, à une structure de « v » couvrant tous les besoins sociaux restreints ou larges - ce qui en fait un amortisseur de crises très efficace même durant le MPC avancé -, et à une plus-value sociale (la propriété étant désormais collective, d'Etat ou sous forme de coops), cette plus-value sociale étant divisée pour une part en impôts servant à financer les infrastructures collectives d'intérêt général et pour une autre part correspondant au taux de réinvestissement analysé plus haut, dont la hauteur est déterminée par les Equations de la RS-RE selon les choix socio-économiques déterminés en commun.

Ce continuum permet également de comprendre les diverses époques du MPC dont l'Etat social ou keynésianisme ou encore Welfare State selon le sort fait aux trois rapports fondamentaux (rapports d'exploitation, de distribution et juridiques.)

Voyons alors comment se décompose « v » et « pv » en pratique.

Ce que j'ai appelé « structure de v » résume les trois composants du capital variable, soit le « salaire capitaliste individuel », le « salaire différé » (essentiellement la pension, l'assurance-chômage et la formation) et le « revenu global net » des ménages composé par les transferts aux ménages sous forme d'accès aux programmes sociaux et aux services publics. Le libéralisme classique n'admettait que le salaire capitaliste individuel, ce vers quoi les néolibéraux de nouveau philosémites nietzschéens tentent de « retourner ». L'Etat social, ou keynésien dans le monde anglo-saxon, comprendra que le capital avait intérêt pour soutenir l'emploi, donc une grande partie de la demande interne, de tenir compte des deux autres composants du revenu des ménages. Il le fit en institutionnalisant sous contrôle de l'Etat bourgeois les plans contributoires financés par les cotisations retenues sur la fiche de paie. Il y eut des batailles épiques, par exemple, pour le contrôle des fonds accumulés dans les régimes de retraite ou dans les régimes d'assurance-chômage, ou encore pour l'imposition de la logique de répartition comme c'est le cas en France. Aujourd'hui la globalisation de la grotesque fonction de production de Solow (Y= f (K, L), prouve que Solow et les autres ont voulu renverser la vapeur par rapport aux avancées théoriques et sociales résumées dans les travaux de Lord Beveridge et de Keynes. Pour ces derniers la propriété privée, quoique garantie, devait céder devant les droits sociaux, ce qui impliquait une économie mixte permettant l'intervention de l'Etat pour réguler le marché et le sauver de ses « esprits animaux » selon l'expression bien sentie de Keynes. Ou encore, une fois les limites de l'économie mixte atteintes, le recours à la planification socio-économique issue des Conseils Nationaux de Libération. (En effet j'ai souvent souligné le coup fatal porté au Multiplicateur de Kahn par le démantèlement douanier effectué par le Gatt puis parachevé par l'OMC, issue logique de la défaite du britannique Keynes devant l'américain H White à Savannah. C'est là une cause externe, qui agit cependant avec d'autant plus de force qu'elle est relayée par des contradictions internes. Ainsi j'ai souligné ailleurs, par exemple dans Tous ensemble, que Keynes reste un marginaliste quoique régulateur : à la fin son système de régulation capitaliste ne peut composer avec la contradiction principale du MPC, à savoir la contradiction opposant la surproduction et la sous-consommation du fait le la libération constante de la force du travail par la hausse incessante et obligée de la productivité. C'est d'ailleurs cet écueil fatal qui pousse les néolibéraux philosémites nietzschéens contemporains à refuser un plus grand partage des richesses et une démocratisation du régime de propriété pour tenter de revenir en arrière par la force brute et l'obscurantisme de masse, comme durant les années noires 20 et 30. Le Report from the Iron Mountain le disait clairement. Le « revenu annuel minimum garanti » de Milton Friedman le redit en d'autres mots encore prudents du fait de l'existence de l'URSS. Mais la réaction hystérique de la bourgeoisie suédoise au Plan Meidner est possiblement encore plus parlante puisque ses Fonds Ouvriers, par leur incomparable potentiel d'accumulation, avaient le potentiel de changer entièrement le régime de propriété en quelques courtes années. Depuis le démembrement de l'URSS on aura remarqué que de telles précautions oratoires sont devenues superflues : on nous vante désormais sans la moindre gène, même chez les soi-disant « socialistes », les mérites du Kürtzarbeit et du chômage partiel (sic!) allant de pair avec une divergence entre hauts et bas salaires jamais frôlée auparavant, tout en nous jouant le cinéma lugubre des nouvelles croisades philosémites nietzschéennes, les plus obscurantistes étant bien entendu celles visant les « ennemis » de l'intérieur, qualifiés en vrac de « terroristes. Par ceux que Trotski appelait « gangsters » et le grand économiste walrasien Maurice Allais des « bandits ». Bref, ces ânes patentés prétendent retourner au règne de la « déférence envers l'Autorité » autoconférée et garantie par le seul Marteau nietzschéen, la critique scientifique étant sujet au contrôle des flux de communications … eux-mêmes strictement autorisés. Le retour du bâton est forcement toujours garanti, « une fois encore » comme avait coutume de le dire leur Grand Maître syphilitique Nietzsche et ses maîtres que l'on sait, mais la prochaine fois sans le camarade Staline : car la critique fondamentale de l'exclusivisme cherchant à substituer le singulier à l'universel élaborée par Marx dans la Question juive incluse dans la Sainte Famille est un de pilier de l'égalité humaine et de l'émancipation laïque et républicaine de la pensée (Kant dirait de la raison.) J'ai reformulé ceci dans « Le lit du néonazisme » et son « Annexe » et en d'autres endroits comme l' « Eloge de la laïcité » et dans mon Pour Marx, contre le nihilisme. L'égalité vraie, y compris comme processus du devenir individuel et collectif reste le seul élément décisoire qui oppose les Hommes et les soi-disant surhommes auto-sélectionnés comme tels.

Aucun pays ne pouvant vivre de manière autarcique, il est également clair que le commerce international doit être régulé. Le libre-échange classique servait les puissances impériales plus développées provoquant des réactions protectionnistes à la F. List. Le Gatt de même que le Régime Monétaire de Bretton Woods servait les USA devenus, après la Seconde Guerre Mondiale, la première puissance industrielle et économique du monde, les autres ayant été dévastées par la guerre. Le libre-échange actuel devait servir les même intérêts par le biais de l'interdépendance asymétrique qui cependant ne se matérialisa jamais, ainsi que je l'avais prévu dès le départ (par exemple contre Kohane et Nye) : la productivité de l'économie réelle a changé de camp; les Usa devenus largement une économie de services de plus en plus spéculatifs sont, malgré les apparences, subordonnés au bon vouloir de leurs créanciers internationaux.

Ce qu'il importe de remarquer ici c'est l'importance de la définition de l'anti-dumping qui règle les échanges. Keynes voulait conserver un système de barrières tarifaires permettant de maintenir la cohérence productive de la GB (ses Préférences Impériales reformulées par le Commonwealth). Maurice Allais, quoique walrasien mais profondément républicain, avait suffisamment conscience de l'importance de l' « économie sociale » pour informer ses équations; en conséquence, il proposa un régime de Préférences communautaires garantissant des échanges équitables tout en reportant au niveau plus large de l'Union Européenne le régime tarifaire garantissant la cohésion productive, le tout jumelé à une réforme monétaire financière garantissant que le crédit soit mis au service de l'économie réelle plutôt que de la spéculation. Or, l'UE suivit rapidement la voie du libre-échange continental copié de l'Aléna. Elle s'ouvrit entièrement et remplaça ainsi l'intégration européenne par la soumission de l'Union Européenne à la « gouvernance globale privée ». Bien entendu, l'outil principal de cette soumission est l'acceptation par l'UE à l'OMC de la définition de l'anti-dumping voulue par les USA pour étendre leur libre-échange continental au reste du monde. Or, cette définition exclut d'office tout référence aux droits du monde du travail et aux critères environnementaux. Ceci a pour but de forcer la compétition sauvage entre les travailleurs de tous les pays, ce qui pousse à exiger de plus en plus de flexibilité sur le marché du travail : du coup, des trois formes du revenu des ménages seul le salaire capitaliste individuel, le plus bas possible, est acceptable : le reste apparaît comme un coût de travail excessif! Ainsi l'assurance-chômage est remplacée par le workfare (ou par son pendant européen Kürtzarbeit, ou chômage partiel (!) etc.), les régimes de retraite sont largement privatisés alors que l'âge de la retraite est repoussé l'idéal bourgeois est le retour au régime de retraite des origines : prétextant d'une logique actuarielle (capitaliste) celui-ci fixait l'âge de la retraite quelque trois années avant l'âge du décès dérivé de la longévité moyenne. Pour leur part, les services sociaux fondés sur l'assurance sociale sont remplacés par l'assistance publique fondée sur une fiscalité évanescente et donc, en bout de ligne, sur la charité privée toujours financée par les contribuables par le biais des tax expenditures et autres exonérations et crédits d'impôt, avec l'aspect moral bourgeois et/ou confessionnel qui est impliqué.

J'ai expliqué ailleurs - dans mon Livre III en particulier, voir par exemple pour faire vite la Note 15 sur John Galbraith que ce choix de l'anti-dumping néolibéral reposait sur un fait massue prévu par Marx : la productivité augmentant de même que la concentration et la centralisation du capital dans des marchés de plus en plus « matures » permettant hors introduction de nouveaux secteurs uniquement le renouvèlement des parcs existants de marchandises, on produit inévitablement plus de marchandises avec moins de travailleurs. De sorte que soit on partage le travail socialement disponible entre tous les citoyens des deux sexes aptes au travail, soit on tente un retour en arrière en forçant le partage de la misère entre les prolétaires le tout en fragilisant les « classes moyennes » au passage tout en engrossant le décile, voire le 1 % supérieur de la pyramide des revenus (privatisations, libéralisation, flat tax, tax-expenditures, exonérations et crédits divers au patronat etc. liés à la législation des 48, 60, 65 voire 72 heures de travail dans le cadre du micro-taylorisme et du workfare.) Bien entendu, une telle politique d'austérité régressive peut uniquement déclencher une spirale économique vers le bas, spirale que la finance spéculative peut difficilement enrayer, même lorsqu'elle ne pèse pas sur le financement de la dette publique.

Dans une société avancée la structure de « v » couvrirait tous les besoins sociaux, le salaire individuel ne servant qu'à garantir le choix de consommation individuel par le biais de la partie de l'épargne salariale non institutionnalisée que les travailleurs et les ménages réussissent à épargner selon leur mode de vie. Ce système loin de suffoquer les gens fausse critique démagogique de la droite suédoise apeurée par la logique impeccable du Plan Meidner d'origine libérerait les individus et les ménages de la peur du lendemain, tout en garantissant les choix individuels ainsi que la responsabilisation budgétaire individuelle. Le tout à moindre frais puisque les programmes publics mutualisant les risques et les coûts coûtent moins chers que leurs pendants privés (Aux USA la Santé gaspille plus de 16 % du PIB sans couverture complète, alors que le système public européen, du moins lorsqu'il n'était pas encore sabordé de l'intérieur, coûtait autour de 9 %, les coûts explosant aujourd'hui simplement du fait du paiement à l'acte des médecins et de l'absence d'un système de production et de couverture pharmaceutique entièrement public, à quoi s'ajoute le maintien dans le secteur public des actes lourds (ex plus de 80 des actes hospitaliers), ce qui est plus rentable allant systématiquement aux cliniques privées.)

On sait qu'en réalité derrière l'argument fumeux de la liberté opposée à l'assistentialisme social, se cache une stratégie froidement calculée de manipulation du sens commun et du ressentiment des masses … redirigée subrepticement contre elles-mêmes, les victimes divisées entre-elles étant poussées à s'en prendre aux autres victimes désignées comme boucs émissaires. En effet, les tax expenditures et les exonérations pour le capital sont les vrais programmes d'assistance lourds actuels; ils coûtent d'ailleurs autrement plus cher que les anciennes subventions directes qui elles produisaient des résultats probants, en particulier des services publics dignes du nom pour des usagers non encore considérés comme des clients dignes d'attention uniquement lorsqu'ils sont solvables; ces coûts parasitaires faisant d'ailleurs abstraction des obscènes rémunérations des managers et des patrons (salaires divergents non plus de 14 mais de 500 et plus), le tout coûtant en bout de ligne des fortunes en terme de fiscalité publique. Il ne s'agit pas ici du petit milliard des 75% d'imposition sur les hauts revenus, mais des 33 milliards de crédit d'impôt à l'outre-mer par exemple, sans compter les autres moins visibles, à quoi s'ajoutent les quelque 150 milliards d'évasion fiscale en Italie c'est plus du double - qui ne sont pas les quelques centaines de euros des soi-disant tricheurs de l'assurance sociale … Les tax expenditures ou dépenses fiscales sont estimées autour de 120 milliards et plus en France et au Canada : elles ont l'élégance toute bourgeoise de disparaitre des radars une fois accordées de sorte que le budget de l'Etat apparaît toujours précaire… (Dernier exemple : fin janvier 2013 : Monti continue de saigner l'Italie avec l'austérité imposée par la BCE; mais il peut débourser près de 4 milliards pour sauver les tricheurs de Monte dei Paschi di Siena : il le fait en épargnant les riches qui pour 10 % contrôlent déjà près de 48 % des richesses du pays, mais en faisant les poches des ménages les plus pauvres en alourdissant la taxe foncière sur la résidence principale qui, étrange coïncidence est calculée pour rapporter autant que ce qui est nécessaire pour sauver la banque; sauf que Monte dei Paschi c'est seulement 18 milliards d'euros de dérivés mal gérés; Unicredito, qui pèse près de la moitié du PIB italien c'est 118 milliards d'euros de dérivés connus, donc bien plus aujourd'hui … La méthode sera, est déjà, celles des sabreurs budgétaires philosémites nietzschéens du PS en France, appuyés par le Conseil constitutionnel et le Conseil d'Etat qui semblent se prendre pour la Cour du Luxembourg agissant pour réinterpréter à leur façon le droit au travail et l'égalité républicaine pourtant inscrits dans la Constitution de manière proéminente.) A ces coûts dérivant de la « public policy » issue du monétarisme il faut ajouter le lourd tribut exigé pour pallier les faillites comme celles de GM, de Peugeot PSA Finance etc. ou pire encore les monumentales faillites bancaires par des sauvetages publics à répétition !!! Comme on sait la culpabilité vaut pour la masse des croyants par pour les grands Prêtres…

La vraie raison se trouve dans la peur panique de la bourgeoise, celle d'abord conceptualisée dans le « retour à la nouvelle domesticité et au nouvel esclavage salarié » par le Report from the Iron Mountain puis, en ligne directe, par la Trilatérale et par un Huntington. Ce dernier, après avoir théorisé les « strategic hamlets » (politiques génocidaires menées contre le Vietnam et le Guatemala entre autres), théorisa également la hantise des soi-disant « rising expectations » des ouvriers qui ne pouvaient plus être contenues par l'inflation, celle-ci donnant lieu à la stagflation; du coup Huntington théorisa également le retour forcé a la « déférence envers l'Autorité », institutionnellement auto-conférée et non pas envers l'autorité de la science et de sa déontologie, celle en gros de calamiteux pitres comme les ânes bâtés auto sélectionnés du Nobel d'économie à part le grand Maurice Allais - et tant d'autres de même farine qui, à peine sortis du trou grâce aux communistes et à Staline, se prennent de nouveau pour des « maîtres du monde » et rêvent - vu qu'ils sont bien versés dans une langue morte en retard de plus de 2000 ans de reconstruire des temples "aveuglant la vue" (sic!).

Passons maintenant à pv. On a déjà vu par implication que le partage entre « v » et « pv » dépendait des luttes de classes et donc des époques du MPC. Le libéralisme classique n'étant axé que sur le salaire individuel, l'Etat social ou Welfare State complexifia la « structure de v » quoique sous hégémonie et sous contrôle capitalistes. Il reste qu'une partie de « pv » est toujours socialisée même sous le régime du libéralisme classique : Adam Smith comprenait d'ailleurs cette intervention de l'Etat capitaliste plus que les néolibéraux actuels partisans de la loi de la jungle et de la suppression de toutes les normes code du travail, environnement, anti-dumping. Adam Smith lui-même, le père de la « pin factory », était un fervent adversaire de l'apprenticeship car ce dernier était fortement lié à l'époque aux privilèges des corporations des arts et métiers qui bloquaient la marche vers la segmentation et la recomposition des tâches de la pin factory laquelle trouvera son achèvement dans le taylorisme. Il reconnaissait pourtant un « intérêt général » (défense, sécurité, éducation) tout comme un « intérêt général capitaliste » (ce que Marx reformulera ensuite comme « communisme du capital ».) Par exemple, les infrastructures servant à tous les capitalistes devaient par simple justice être financées par la contribution de tous les capitalistes. De la sorte, l'Etat bourgeois devait reposer sur un système de taxation moderne. La plus belle illustration de ce type d'imposition, qui en fait ouvre la voie à une première mouture de l'Etat providence, se trouve dans l'oeuvre magistrale de Thomas Paine. Paine, encore attaché à la propriété privée récompensant l'effort individuel, proposait néanmoins le maintien de l'égalité de départ pour tous en supprimant entièrement l'héritage de la propriété privée, ce qui reste révolutionnaire encore aujourd'hui.

Il suffit donc de jeter un rapide coup d'oeil à l'évolution historique de l'impôt depuis l'avènement de la bourgeoisie. Rapidement, une évidence se fait jour : compte tenu de la structure de « v », la « pv » se partagera selon les époques dans sa partie impôt et dans sa partie réservée au réinvestissement garantissant la reproduction élargie. La partie impôt est minime par rapport aux taxes portant sur les revenus du travail ou sur les citoyens en général. Même Friedman reconnaissait que les cotisations patronales été reportées sur les prix et donc payées par les citoyens en général en tant que consommateurs, ce qui montre toute l'imbécillité crasse de la tentative de basculement des cotisations sur la fiscalité générale en lieu et place de la renégociation d'une définition de l'anti-dumping protégeant les trois formes du revenu, donc l'emploi et donc l'assiette fiscale. (voir la « note 1) Il est conseillé de lire ce franc aveu dans le texte in, W. J Cohen & M. Friedman, Social security: universal or selective, American Institute for Public Policy Research, 1972, p 27. . » )

Mais venons-en au coup d'oeil rapide sur l'histoire de la taxation bourgeoise.

Avec le libéralisme classique politiquement censitaire, les entrées principales de l'Etat consistaient en revenus douaniers, en impôts primitifs sur la consommation quotidienne telle la gabelle, en impôt frappant les soi-disant vices des classes populaires (alcool et tabac, ce dernier comme le café et le thé ayant été par ailleurs introduits comme stimulants de la force de travail désormais soumise aux rythmes soutenus des cadences du travail salarié promis au taylorisme); en impôts minimes sur les revenus les plus élevés, c'est-à-dire des 300 000 et quelques citoyens mâles payant le cens ce qui donnait accès au statut d'électeur; en contraventions et confiscations diverses. Le tout dans le cadre des rapines coloniales et impériales.

L'époque de l'Etat social ou Welfare State voit l'instauration d'une « structure de v » comprenant salaire et cotisations, plus ou moins développée et plus ou moins publique, mais toujours avec une logique d'institutionnalisation de l'épargne privée des ménages mise au service des interventions de l'Etat capitaliste, redéfinissant ainsi les frontières entre « v » et « pv », mais selon des critères de classes. Pour ce qui concerne « pv » elle-même la structure fiscale se complexifia pour permettre à l'Etat capitaliste d'assumer ses fonctions socio-économiques. En particulier l'impôt sur le revenu fut généralisé selon une structure plus ou moins progressive à mesure que les nouveaux droits syndicaux permettaient au prolétariat de négocier ses conditions de travail face à des firmes publiques et privées de plus en plus oligopolistiques du moins en ce qui concerne les secteurs stratégiques. (V. Galbraith sur la théorie des contrepoids.) Cette tendance fut soutenue aux Usa d'abord par le manque de main-d'oeuvre durant la Seconde Guerre Mondial donnant plus de poids aux pressions ouvrières par ailleurs patriotes; puis par la massification des secteurs intermédiaires (automobiles, électroménagers, transports, loisirs etc.) et la libération de l'épargne forcée durant la guerre, afin de permettre une transition paisible à la reconversion d'après-guerre au contraire de ce qui arriva suite à la première guerre mondiale. (Exemple entre tous, voir la monté de l'irrédentisme dannunzien et du fascisme philosémite nietzschéen de Sarfatti-Mussolini en Italie du fait du chômage de masse et de la démobilisation.) Ailleurs ceci prit la même forme de massification mais selon la reconstruction, ensuite redirigée impérialement en Europe par l'Alliance atlantique et le Plan Marshall destinés à créer des sujets et des clients solvables aux industries américaines. (Un mot ici sur le Plan Baruch : en sachant que Staline ne pouvait que refuser, Baruch offrit la participation de l'Urss au Plan Marshall à conditions que l'Urss ouvrit et céda toute sa planification économique sous prétexte d'en déterminer les besoins; ce que Schuman fit sans problème malgré l'opposition du PCF et des syndicats, en particulier des mines et de la sidérurgie.)

Les impôts sur le capital furent d'ailleurs toujours minimes alors que le capital continua à jouir, au nom de la croissance plus que du plein-emploi, de fortes subventions directes remplacées aujourd'hui par les tax-expenditures (ou dépenses fiscales, plus de 120 milliards l'an en France, par exemple), les exonérations plus ou moins ciblées et les crédits eux aussi plus ou moins ciblés : or cette logique monétariste coûte énormément plus à la société que les anciennes subventions directes et crée moins d'innovations importantes (du genre caravelle, TGV, nucléaire public etc.), tout en sacrifiant l'emploi permanent ou même l'emploi tout court au nom de la « politique de l'offre » globalisée. De même, l'impôt sur les successions fut réformé. L'impôt sur la consommation fut généralisé sous forme de taxe sur la valeur ajoutée (TVA) taxe qui est fortement régressive; une série de prélèvements administratifs s'ajouta. Enfin, au niveau municipal prévaut la taxe foncière.

L'aspect de classe de cet Etat social ou Welfare est vite résumé en jetant un simple coup d'oeil à l'évolution des impôts majeurs : ainsi l'impôt sur le revenu frappant surtout les travailleurs et les classes moyennes inférieures ne jouissant pas des niches et échappatoires diverses a connu une augmentation extrême; cette augmentation fut contenue uniquement par le développement fulgurant du poids de la TVA, certes moins visible que la déclaration d'impôt annuelle ou les cotisations sur la fiche de paie, ce qui répondait à un besoin de légitimation de la bourgeoisie, tout en généralisant une structure extrêmement régressive. Les impôts sur le capital connurent une baisse elle aussi continue, alors que les nouveaux services financiers spéculatifs sont peu taxés ou souvent totalement oubliés par la logique marginaliste puisque des tonnes de « scraps » comme les trillions de OTC s'échangent de gré à gré échappant ainsi à toute forme de taxation, y compris la Taxe dite Tobin alors que les CDS et les OTC pèsent très lourds lors des sauvetages des banques sur fonds publics (ce que j'ai analysé comme course perdue d'avance entre la tortue étatique de plus en plus endettée à très forts taux d'intérêt (spread) et l'Achille spéculatif.)

En outre avec la contre-réforme monétariste lancée par Volcker, Reagan et Thatcher en 79 et 80 (voir mon « Les conséquences socio-économiques de Volcker, Reagan et Cie » mars 1985) l'Etat central fut soumis pieds et poings liés à la logique de la public policy induite par la « supply-side policy » : tout devant être libéralisé et privatisé selon la grotesque fonction de Laffer et Cie (digne de la serviette où elle naquit) l'Etat central devait diminuer son poids (!) sur l'espace de la production privée relivrée ainsi à ses « esprits animaux » et cherchant comme le diront les pitres Picketty et compère de Harvard à revenir au niveau de taxation d'avant la première guerre mondiale, soit à une taxation pire que la taxation libérale classique! Comme par ailleurs ces gens-là croient aux croisades au nom de leur Bien renversé contre le mal (égalitaire et citoyen), il ne pouvait être question de couper dans les dépenses militaires qui augmentaient malgré le démantèlement de l'URSS en 1991 (le soi-disant keynésianisme militaire des années 50 accompagnant la guerre de Corée remis à l'honneur par Reagan et Cie.) Il ne restait plus qu'à couper les autres dépenses de l'Etat, surtout les dépenses sociales, ce qui se fit avec la dernière perversité : en effet, la logique de la flat tax, déjà régressive en soi, prenant la forme des dépenses fiscales, le budget visible est toujours précaire tout surplus potentiel faisant l'objet de dépenses fiscales, d'exonérations et de crédits préventifs pour le capital et les nantis afin de disparaître des radars des commentateurs et économistes de régime les plus odieux étant sans doute les crédits éducation que seuls peuvent payer les bons salaires alors que les écoles et les universités sont privatisées et que les frais de scolarité deviennent inabordables pour la masse des étudiants livrée à la précarité à vie avec une pension évanescente. Ce budget structurellement fragilisé par ces dépenses fiscales permet ensuite de légitimer d'autres coupures (pendant que l'Etat sauvent les entreprises et les banques en s'endettant et que la FED et les banques centrales inondent la bourgeoisie de liquidités financées par le seul véritable « lender of last resort », c'est-à-dire le contribuable ordinaire et celui qui finit même par être exclu de l'impôt du revenu car son salaire est désormais trop bas.

Fidèle à cette logique, la contre-révolution reaganienne proposa la décentralisation néolibérale qui visait moins à rapprocher les services universels des bénéficiaires qu'à détruire les fonctions publiques, souvent fortement syndiquées, liés à ses services, facilitant ainsi les coupures. En prime, les Etats fédérés ne pouvant s'endetter, le transfert des services effectués sans transfert équivalent de points d'impôt mena à des coupures supplémentaires au niveau local. Or, ceci ne contribua pas à assainir les budgets (central ou locaux.) Au contraire, les niveaux locaux, malgré des services à la baisse ou privatisés en tout ou en partie, se virent contraint d'augmenter les impôts locaux : au final, la charge des impôts sur le contribuable augmente alors que ses droits de citoyen sont bafoués. En tenant compte des tax expenditures, qui une fois accordées drainent les ressources sans laisser de traces dans les budgets toujours au bord de la faillite, le tout est devenu grotesque : pour tout dire philosémite nietzschéen. De quoi relire Rights of Man de Thomas Paine et le Manifeste de Karl Marx, oeuvres intimement liées ...

Dans une société moderne enfin extirpée de la Préhistoire de l'exploitation de l'Homme par l'Homme, toute la plus-value serait socialisée. Dans sa Critique du programme de Gotha Marx montre comment ceci serait accompli : en déduisant de la valeur nouvellement créée dans la production ce qui revient aux travailleurs comités de gestion, équipe de recherche etc. inclus. Il faut alors déterminer le partage de la plus-value en soi entre les impôts et la part nécessaire au taux de réinvestissement dans la Reproduction Elargie. Che Guevara repris ce système simple et efficace et il en exposa les principes dans son article de février 64 « On the budgetary finance system » Che Guevara reader, Ocean Press 97, p 164, ce qui donna naissance au système cubain de presupuosto, aujourd'hui sous attaque par les capitalistes-roaders (voir la section cuba dans mon site.)

L'efficacité extrême du système de Marx repose que la fonction de production marxiste et sur la compréhension des besoins interstructurels de l'élargissement de la reproduction en minimisant les gaspillages. Malgré le fait que les Equations de la RS-RE ne reposaient pas encore sur la théorie marxiste de la productivité - permettant la cohérence à tous les niveaux, y compris monétaires Staline réussit par approximation à transformer son pays de pays sous-développé en superpuissance en seulement deux plans quinquennaux (l'économie dite de commande et de contrôle influencée par Oscar Lange est bien plus flexible et pragmatique qu'on l'a dit, quoique incomplète sans la connaissance de la théorie de la productivité). Staline fut un des plus grands et des plus honnêtes dirigeants communistes, capables de discuter avec les artistes contrairement aux philosémites nietzschéens infiltrés en surnombre qui l'ont assassiné (les preuves historiques sont indiscutables, y compris malgré l'instrumentalisation occidentale par le film Docteur Jivago, puisque en écrivant ce livre Boris Pasternak était en contact épistolaire soutenu avec Staline, comme beaucoup d'autres.) Il avait réglé la question de la productivité en pratique : soit en exigeant toujours la plus forte productivité possible ce qui ne permettait pas toujours de prévoir les besoins intersectoriels avec précision poussant en outre, il est vrai, à l'adoption partout et toujours de la concentration et centralisation monopolistiques … Pour ce faire, il fallait également pousser les secteurs de Moyens de production pour Moyens de production, achetant même lorsque ceci était possible la collaboration des ingénieurs occidentaux et leurs machines. Ceci poussa à une forte pressurisation de la paysannerie décrite par Deutscher qui prit la forme de la collectivisation des terres afin de préserver les masses paysannes, ce qui fut appuyé par Kaganovitch. Il importe de rétablir la vérité ici : la famine est surtout due à la guerre de frontière allemande - financée par les USA dont les Warburg via le Pan Dawes et ses séquelles. Ainsi les masses paysannes mirent fin à l'avancée des chars allemands ce qui est encore une fois peu indiscutable lorsque l'on ne trahit pas les archives : voir par exemple l'oeuvre magistrale de Gilbert Badia, Histoire de l'Allemagne contemporaine, en particulier le volume II, Ed Sociales, 1962. L'historien Badia eut accès aux archives Est allemandes avant leur possible maquillage ... Ceci expliqua également la diplomatie stalinienne d'avant guerre : trahit par les soi-disant démocraties les Usa vendront des armes et des biens à l'Allemagne nazie jusqu'en décembre 42, i.e., jusqu'à l'attaque sur Pearl Harbor, avec le cash and carry et recycla ensuite nombre de fonctionnaires et de policiers nazis dans la lutte anti-communiste. D'ailleurs, tous les historiens quelque peu sérieux, ne répondant pas à la reconnaissance du ventre comme autant de cabots domestiques, savent que Staline se fiant à sa planification avec une industrie de fait savamment repliée derrière l'Oural, savait qu'il ne pouvait contre-attaquer contre la formidable machine industrielle et de guerre allemande avant 43. Les faits lui ont donné raison. Avec Vorochilov, premier officier de l'Armée rouge formé par l'Armée rouge, le même qui avec Staline avait sauvé Volgograd au début de la révolution alors que l'Armée rouge sous la conduite de Trotski se repliait partout là aussi fait indiscutable - il avait donc planifié la résistance avec les moyens disponibles. En attendant les chars soviétiques conçus spécialement pour résister aux obus allemands et munis de canons tirant plus loin que les cannons des Panzers, ils développèrent des armes légères de courte portée mais à grande puissance de feu contre les fantassins: le fleuve faisant office de fossé anti-char : les ânes ont ri de Vorochilov et de sa stratégie avec une malice calculée: sauf que la stratégie de Vorochilov, qui donna de sa personne comme un vrai militant communiste sur le front avec ses soldats, permis de bloquer les Allemands à Leningrad, sauvant ainsi toute la zone stratégique Nord et forçant l'armée allemande à se morceler pour marcher vers Bakou et ses champs pétroliers, marche bloquée par l'héroïque résistance communiste à Stalingrad. Pendant ce temps, Staline préparait 4 divisions secrètes entièrement mécanisées pour la future offensive : elles furent prêtes en 43 et furent lancées dans la bataille pour sauver Moscou, déclenchant ainsi l'offensive de l'Armée rouge dont la rapidité força le débarquement allié en Normandie. Sans la planification stalinienne, et la défaite allemande à Leningrad, Stalingrad et Moscou, les Etats-Unis ne seraient jamais débarqués : ils auraient signés un partage du monde avec Hitler (que leur conseiller de Harvard Ernst Hanfstaengl avait tenté de polir surtout dans l'utilisation des médias modernes …) Le débarquement allié fut précipite simplement parce que l'Armée rouge ayant repris l'offensive vers l'Est et Berlin elle risquait de prendre le contrôle de l'Allemagne voir du continent tout entier. On sait que sur le front asiatique les Usa utilisèrent la bombe atomique sur Hiroshima et Nagasaki contre des Japonais tentant de négocier leur reddition, simplement pour intimider et bloquer la marche de l'Armée rouge sur le Japon.

En subordonnant le Domaine de la Nécessité à la planification, celle-ci est donc bien la seule garantie d'ouverture du Domaine de l'Egalité et de la Liberté, cette dernière n'étant, comme l'écrit si justement Lénine, que l'esthétique de l'égalité. Bien entendu, lorsque la dissuasion nucléaire écarte les dangers immédiats, il devient loisible de ralentir le rythme de l'accumulation et de l'élargissement. Après tout, comme le démontra Mao Zedong en pratique, l'interprétation laïque et marxiste de la phrase de Ranke est possible. « Toutes les époques sont potentiellement aussi près de Dieu » écrivait Ranke : avec une bonne théorie marxiste, une société extrêmement sous-développée et avec une forte démographie comme l'était la Chine, il fut néanmoins possible de créer une égalité citoyenne exemplaire, permettant un rapide développement socio-économique scientifique et culturel dans le cadre d'une « démocratie socialiste maoïste » parfaitement adaptée à son « époque » de redistribution (car le socialisme connaît lui aussi ses époques de redistribution.) La démocratie socialiste maoïste comprenait outre la planification, les communes, les brigades, le centralisme démocratique et la ligne de masse, le développement culturel pour tous, le développement rapide des sciences et des technologies, et la libre expression citoyenne dans le cadre de la Constitution socialiste, également via les Dazi Bao. Tenant compte de la logique des époques et de la prospérité croissante, on voit que la démocratie socialiste maoïste resterait d'un extrême raffinement, car elle pose l'égalité comme son Etoile polaire, mais peut et doit prendre des formes modernes, en particulier quant à la planification contrôle collectif du Domaine de la Nécessité et donc quant à l'allocation des ressources et à l'apprentissage de l'émancipation citoyenne par la psychoanalyse marxiste appliquée (laïcité, parité et programmes sociaux étendus.)

L'Idéal serait un communisme libertaire (expression redondante mais nécessaire).

La propriété serait strictement collective d'Etat ou coops, si on veut des PME revues selon l'expérience de Carmaux. Dans ce cadre, émergerait un droit de possession pour les biens individuels (ceci fut toujours le cas durant l'époque soviétique qui n'oubliait pas le mir.) La planification constituerait le coeur de la démocratie socialiste : elle reposerait sur les Equations de la reproduction de Marx exposées ci-dessus, les fonctions de production étant mises online grâce à des codes-barres électroniques permettant de colliger des statistiques socialistes instantanées tant en quantité qu'en valeur-prix, tout en organisant à souhait les sous-secteurs, les industries et les filières. Le reste étant affaire de protections constitutionnelles.

De cette manière, le Domaine de la Nécessité et le Domaine de la Liberté seraient également protégés, le premier étant la condition matérielle, institutionnelle et spirituelle si on veut du second éducation des consciences individuellement et collectivement responsables. La recherche constante de la productivité maximale libérerait le temps nécessaire à la liberté. Boris Vian, qui connaissait bien son Lafargue, parlait de la semaine de 2 jours. Elle n'est pas une utopie : disons seulement que la RTT est conditionnée uniquement pas sa possibilité matérielle dans une société à salaire égal pour tous : elle n'est freinée que par la nécessité de baisser simultanément l'âge de la retraite. La RTT reposerait sur une définition rationnelle de l'anti-dumping protégeant les trois formes du revenu des ménages, ce qui permettrait ainsi la mobilité qualitative diffusion des techniques du capital public - mais éventuellement aussi privé - de préférence par l'intermédiaire de joint-ventures fonctionnelles, chargées de mener à terme des projets précis impliquant des services ou des produits complexes. La perte de la propriété privée par une petite minorité parasite sera alors plus que compensée pour l'ensemble des citoyens. Ainsi que je l'ai avancé dans le chapitre sur le socialisme cubain de mon Pour Marx, contre le nihilisme chapitre à corriger marginalement afin d'être sûrs que le centralisme démocratique ne se muera pas en pluralisme bourgeois, système fondé par excellence sur l'antagonisme de classe savamment entretenu (la guerre de tous contre tous, Darwinisme social et économique inclus), ce qui se fait par l'élection directe à l'Assemblée populaire, alors que le coeur de la redistribution sera affaire de la « démocratie sociale et industrielle » impliquant des comités d'entreprise, de citoyens, d'académiques etc. voir à ce sujet les meilleurs projets du Printemps de Prague : on pourra se référer au textes édités par Sartre dans Le socialisme venu du froid . A ce système, il faudra uniquement ajouter des ateliers et des laboratoires à tous les niveaux afin de satisfaire collectivement des besoins non marchands à partir de l'utilisation d'une partie des surplus de la production normale. On aurait là un supplément de personnalisation des biens; cette personnalisation serait également incluse dans la R&D

(concours etc.) les produits devant d'abord être massifiés pour un cycle de vie moyen pour satisfaire les besoins de tous puis le renouvellement industriel se fait par des produits de haut de gamme permettant une accumulation de richesses vraies dans les ménages et non plus dans les boutiques des antiquaires pour servir les plus nantis. La vieillesse active serait alors concevable hors marchandisation alors que les monétaristes actuels la conçoivent uniquement comme une manipulation permettant de mieux saborder les pensions publiques et privatiser cette partie de l'épargne des ménages, du moins pour les ménages non paupérisés qui peuvent encore se le permettre. Le tout en maintenant les jeunes non fortunés au chômage partiel pendant une décennie et demie en moyenne, quant tout va bien (le CDI on le sait doit devenir un CDI de mission … et le noir philosémite nietzschéen est décrété être le nouveau blanc.) La vieillesse active pourrait alors se faire valoir tant dans les ateliers artisanaux volontaires que dans les autres occupations culturelles, sportives, sociales etc.

La structure de « v » sera la plus étendue possible ce qui garantira tant la mutualisation que l'accès égalitaire universel aux services. De sorte que la « pv » servira à couvrir les interventions infrastructurelles et les autres besoins de la Reproduction Elargie. Le salaire individuel monétisé le serait sans doute électroniquement chacun disposant de deux comptes, un compte courant et un compte d'épargne, ce qui permettra l'exercice du choix pour les décisions regardant la possession individuelle de biens exigeant une certaines mise (voitures etc.) selon la propension de chacun à économiser ou moins. Cependant ces économies redeviendraient publiques au décès, chaque génération vivant son égalité citoyenne selon les voeux de Thomas Paine; ceci ne concernerait pas les possessions familiales permises selon le régime de possession prenant le relais du vieux et destructeur régime de propriété privée (les individus selon leurs goûts pouvant échanger ces possessions privées pour d'autres, antiques ou modernes.) L'essentiel étant que chaque citoyen et chaque ménage se retrouve dans une situation d'égalité sans nuire à la personnalité. De fait, la possession permet une accumulation de haut de gamme donc une richesse sociale. Mais les ménages pourront également faire place pour qui le désire à des maisons de pension citoyennes. Mais dans tous les cas la socialisation des tâches quotidienne sera la plus poussée possible sans pour autant nuire aux espaces privés et à la satisfaction privée des besoins allégeant les petites misères quotidiennes (électroménagers etc. … on attendant toujours le robot qui fera le ménage et lavera la vaisselle pourtant simple à concevoir en faisant interagir par puces électroniques le robot et les plats et autres ustensiles, de sorte que le robot saurait où ils sont et aussi, après vérification, comment les manipuler et ainsi de suite. De même, la chute à linge pourrait être automatisée pour le triage, le lavage etc. … le dépoussiérage semble être la chose la plus compliquée … mais à salaire égal et avec socialisation des tâches et compte tenu des emplois pénibles, le problème n'est pas irrésoluble. Ceci est loin d'être tiré par les cheveux, car le socialisme devra traiter ces besoins humains en leur accordant la priorité qu'ils méritent, tout comme les services sociaux et la robotisation des tâches les plus lourdes, ainsi que des soins des malades et de la gérontologie. Lorsqu'il visitait ses concitoyens sur leurs lieux de travail ou de loisir, Staline demandait toujours si « on était un peu plus heureux qu'avant? », ce qui est le but ultime de la planification socialiste.)

Nul par contre ne serait jamais dans le besoin. En fait, au décès, les économies accumulées dans les comptes individuels donc non encore transformées en biens de possession seraient resocialisées et pourraient aller dans un fonds servant à garantir les besoins en surplus des franges plus fragiles ne pouvant avoir accès au travail actif, entièrement ou partiellement.

Tout ce qui n'est pas formellement interdit par la loi sera légal (Saint Paul le disait dans son Epître aux Corinthiens), l'éducation et le savoir-vivre faisant le reste. Les lois évolueront avec les sociétés. Par contre aucune entorse à la propriété collective ne sera tolérée pas plus que la dictature de la bourgeoisie ne tolère des entorses à la propriété privée. Simplement, les peines seront autres : la plus terrible étant l'interdiction de participer à la vie politique allocation des ressources pour 5 ans renouvelables au besoin, sans nuire aux droits sociaux et sans ostracisme car là résiderait la seule réhabilitation possible. Mais les ateliers procureront suffisamment de flexibilité avec la RTT et le temps libéré pour que chacun ait la possibilité d'exprimer sa créativité seul ou avec l'appui des collectifs locaux régionaux etc. Ceci libérera également la voie de l'innovation sans les contraintes bourgeoises de la marchandisation symbolisées par cette horreur absolue que sont les brevets (une expropriation du travail collectif accumulé, voire du patrimoine humain.)

On aura remarqué que le XXI siècle dispose de plus de potentiel productif qu'aucun autre siècle avant lui. Les âneries sur le « monde fini » ne sont que cela : des âneries, car il suffit de recycler en prévoyant les cycles de vie des produits en conséquence pour obtenir des résultats maximum tout en prévoyant le renouvellement naturel ou artificiel des ressources, et en développant des substituts massifiables ainsi que cela est énoncé dans mon écomarxisme (ex : biofuels duaux ou n'exigeant pas l'exploitation des meilleures terres arables etc.) Nous parlons ici d'une alternative fondée sur la croissance qualitative et quantitative la plus grande possible dans le respect de l'environnement naturel et social (principe de précaution), car le socialisme n'a que faire du credo criminel de la désincitation à la consommation pour les masses dans le but de protéger « l'empreinte écologique » terrifiante de 10 % de nantis (ce credo criminel de certains écologistes réactionnaires enfantés par le Club de Rome qui ne savait même pas ce qu'était une fonction exponentielle, remonte à très loin et pour l'époque moderne à Nietzsche et à ses rabbins réactionnaires, obscurantistes et racistes du même genre de ceux qui excommunièrent Spinoza et s'acharnèrent contre Marx avec l'appui de divers Steiner et d'autres … Les concepteurs du Report from the Iron Mountain furent les héritiers de Nietzsche et furent suivis par ceux de la Trilatérale huntingtonienne prêchant la fin à mettre aux « rising expectations » des travailleurs en provoquant simultanément le « retour de la déférence envers l'Autorité » auto-élue et non strictement scientifique selon la déontologie scientifique, la seule qui mérite qu'on s'y attarde un tant soit peu, sans sacrifier sa propre intuition dans le respect des canons méthodologiques. Dans cette clique de la Trilatérale fut également conçu le recours criminel aux nouvelles croisades via des « chocs de civilisations » (toujours Huntington) effectués par le recours à la guerre préventive, voire, en imitation des Israéliens, par le recours à la torture sous « contrôle médical » (!) comme le prêchèrent des Dershowitz et autres au coeur de Harvard et ailleurs, en conservant leur emploi. Voir à ce sujet ma théorie de l'écomarxisme dont l'Introduction et l'Annexe de mon livre III ainsi que l'article Défi aux écologistes dans la section Commentaires d'Actualité. (On sait que le projet de Nietzsche, raison pour lequel il est aujourd'hui ouvertement réhabilité par tant de pitres, était de former une classe de « surhommes »; pour arriver à cette fin il flirta avec une politique matrimoniale alliant les junkers et les juifs, ce qui explique bien des choses dont Rosenberg, Sarfatti, et tant d'autres et, logique exclusiviste obligeant, les réactions anglo-saxonnes wagnériennes de Chamberlain ainsi que celles catholiques wagnériennes d'origine. (voir mon « Nietzsche as an awakened nightmare » dans la section Livres de mon site.) Aujourd'hui, il ne faut pas creuser beaucoup en Occident pour voir comment cette politique matrimoniale a repris du poil de la bête, et pas uniquement aux USA. (Bien entendu, cette politique matrimoniale est à fond économique et politique, menant à la surreprésentation : la même chose prévalue en Urss, la parfumerie de Molotova y étant pour beaucoup (mais ceci me prit plus longtemps à comprendre) ce qui mena éventuellement le communisme à sa perte par pourritures et trahisons internes successives, Yeshov, ce Sade Section des Piques moderne en plus vulgaire, étant uniquement un exemple de ce processus général, bien que ses crimes soient aujourd'hui imputés honteusement à Staline par ceux-là même que Staline et les communistes sauvèrent des camps nazis, tout comme ceux de Sade furent imputés à Robespierre, autrement dangereusement tenu pour Incorruptible, et à la Révolution « mangeant ses enfants ».) Il est peu étonnant de voir ces exclusivismes croisés (dans tous les sens du terme) s'élever contre le métissage et la mixité sociale (que j'avais remis sur la table, par exemple dans Tous ensemble), y compris au niveau des quartiers … Leur hantise dépasse alors celle de leur fixation sur la propriété privée héritée.

Malgré cela, la fumisterie criminelle et obscurantiste des philosémites nietzschéens refait surface aujourd'hui comme du temps de Margherita Sarfatti et de Mussolini, ou des conseillers de Harvard et autres Warburg appuyant Hitler et Rosenberg pour bloquer l'émancipation des travailleurs et des peuples, et pour tenter de renverser le nouveau régime soviétique qui se renforçait à l'Est. Le projet reste le même : le retour forcé vers une société du nouvel esclavage et de la nouvelle domesticité imposant le partage de la misère entre travailleurs, le retour donc à une société inégalitaire, de caste et obscurantiste-théocratique. On a vu plus haut que c'est la raison pour laquelle les marginalistes à la Solow ont renversé le keynésianisme, y compris la dynamisation du système de Keynes par Harod s'inspirant de la planification soviétique et aussi pourquoi ces ânes s'auto-confèrent des Prix Nobel années après années en excluant académiquement, avec une férocité jamais atteinte en URSS, toute critique qui ne soit pas conforme au système marginaliste dominant, politique qui infante les pitres nécessaires pour la légitimation à la Krugman ou à la Roubini lecteurs renversants de mes mails sans autorisation ou pire encore à la Stiglitz.

Brassens écrit : « Dieu! Que la vie serait belle en toutes circonstances, si vous n'aviez tiré du néant ces jobards! » La société dispose aujourd'hui de tous les atouts pour un grand bond en avant civilisationnel, égalitaire et libertaire. Il faut par contre balayer ces jobards parasites, criminels et malintentionnés, de tout poil et de toute provenance.

D) Histoire de l'économie politique

: Physiocrates, Smith Ricardo, Say (Cournot) Walras, Marshall, Pigou, Keynes-Harrod (et les référents soviétiques tus inspirant la vision dynamique) Hicks et Samuelson, Solow et Friedman et tutti quanti (inclut les pitres néo-Ricardiens gueux italiens Passinetti etc fouillant les archives de Sraffa ami de Gramsci à Cambridge GB et imaginant le Pacte de social de 1992. La dispute sur la fonction de production de Samuelson et Solow (par étudiants interposés) et Robinson-Sraffa résolue par Paul De Marco, communiste calabrais.) Suit les ânes bâtés monétaristes (de Bachelier rejeté par Poincaré, à Hayek-Friedman et pire encore à Al Khouri, Jeffrey Siegel et autre pathétique Mandelbrot hors de leur discipline.)

ANNEXE : Comparez la RS marxiste et le système de Tougan-Baranovsky/Bortkiewicz :

M1 = c1 + c2

c2 = v1 + pv1

M2 = v1 + pv1 + v2 + pv2

Mais à l'illusoire manière de Tougan-Baranovsky/Bortkiewicz, soit:

c1 + v1 + s1 = c1 + c2 + c3

c2 + v2 + s2 = v1 + v2 + v3

c3 + v3 + s3 = s1 + s2 + s3

La troisième ligne représente la production de l'Or, censée correspondre à la monnaie et aux profits. Dans cette occultation idéologique les bourgeois sont bien sûrs coupables; mais les universitaires, payés sur fonds publics, le sont doublement!

EXTRAIT de HI-HAN: L'OFFRE ET LA DEMANDE

Dans l'extrait qui suit nous montrons comment aucun modèle de l'Offre et de la Demande ne peut faire abstraction des Equations de la Reproduction de Marx, c'est-à-dire de ce que l'on peut appeler ici la « demande sociale » en tenant compte rigoureusement aussi bien des quantités que des valeurs. Incidemment, ceci permet également de mieux comprendre la différence entre prix relatif, valeur et fausses unités de compte bourgeoises.

Extrait : valeur, « prix du marché » et demande sociale.

Nous allons exposer ici toute l'inanité de la théorie économique bourgeoise de manière à n'épargner aucune variante. Nous présenterons d'abord le schéma le plus pur de la demande sociale en valeur; puis nous présenterons les deux principales variantes des schémas d'offres et de demandes bourgeoises et marginalistes en prix mais réintégrées dans la logique surdéterminante de la demande sociale, ce qui expose sans appel les contradictions de cette idéologie bourgeoise des échanges qui se donne comme une science dans l'espoir de légitimer le règne de la marchandise et l'ordre bourgeois. Pour des produits, Mp ici, identiques, la première variante considérera une vente séquentielle des Mp de sorte que ceux appartenant à l'entreprise la plus productive se vendront en premier, les ventes totales étant déterminées par la demande sociale qui continue à s'imposer en sous-main; un écueil à éviter est celui des batchs, car ici la séquence et donc le batch est dicté par le cycle de la reproduction donc par la demande sociale et non pas par la seule condition micro-économique contenue dans la différence de productivité ; nous aurons donc un batch par cycle : ceci pour ceux qui voudraient éditer la critique marxiste à Senior dans le contexte reproductif dans lequel nous nous plaçons ici. Bien entendu, si les conditions systémiques ne changent pas, il suffit de prolonger la reproduction durant au moins deux cycles en traitant chacun de ces derniers comme des batchs.) La seconde variante considérera la situation prétendument scientifique (sinon réaliste) des marginalistes et autres tenants du prix établi par le « marché roi » : on supposera qu'indépendamment des conditions techniques prévalant dans les fonctions de production respectives, tous les Mp sont portés sur le marché en même temps, imposant un seul prix de vente, le soi-disant « prix d'équilibre du marché.» La lamentable inanité de cette théorie apparaîtra alors en plein jour ; au demeurant, à cette ineptie de la soi-disant concurrence (en fait redondante car la concurrence est déjà traitée dans l'écriture même de la fonction de production, non seulement pour les intrants du coût de production mais aussi pour les conditions techniques, organisationnelles et sociales présidant à l'établissement du taux d'exploitation et donc aussi du taux de profit, ce dernier ne devant pas être confondu avec les volumes de profit. Rappelons que dès 1844 Marx notait que les effets de la concurrence se neutralisant à moyen et long termes, la logique économique devait forcément résider ailleurs ….) Contrairement à ce que prétendait Jean-Baptiste Say, en lisant de travers la théorie monétaire de Ricardo, la science économique ne peut pas se départir de l'égalité de base entre les composants de sa fonction de production et son résultat, problème sur lequel avait déjà buté Adam Smith lorsqu'il ne parvenait pas à expliquer la genèse du profit sur la base de la théorie de la valeur travail, même en incluant la récompense pour la prise de risque. (Posons c + v = M à la Adam Smith. Si M, le fruit de la production égale le travail passé sous forme de capital plus le salaire des travailleurs, quid du profit ?) En fait, J-B Say avait mal compris le projet pro-Rothschild de la réforme monétaire ricardienne; de surcroît il avait totalement manqué l'essentiel : la « paper currency » ou papier monnaie ne pouvait avoir un rôle économique crédible qu'à condition d'être immédiatement convertible en Or, en plus d'être légalement garantie par l'Etat ; une solution elle-même partielle comme le démontra Marx puisqu'elle remplaçait un équivalent général métallique par un autre équivalent général papier, sans comprendre leur propre détermination par l'équivalent universel, la valeur d'échange de la force de travail. Say pécha également d'une autre façon en prétendant que l'offre précédait la demande ; cette ineptie qui remplace la demande sociale, donc les Equations de la Reproduction, par la primauté fallacieuse de la fonction de production microéconomique fut ensuite reprise par Walras, malgré la critique sévère et définitive de Marx. Il est illusoire et faux de substituer l'échange par deux formes distinctes et opposées de vente et d'achat, d'offre et de demande. On remarquera d'ailleurs, en le soulignant au crayon rouge, que le véritable problème économique n'est pas le prix unitaire de produits identiques appartenant à un même lot, mais bien celui de la possibilité d'un échange supposant la commensurabilité de marchandises diverses entre elles, ou bien, pour le dire selon l'exemple classique, entre un trépied et un lit comme le fait remarquer Marx au début du Livre I du Capital en référence à Aristote et à tous les économistes qui l'ont précédé. De fait, partout et toujours la production d'un surplus aliénable précède l'échange, alors que tout échange est forcément mutuel, à une demande répondant une offre, les deux renvoyant toujours à une forme de la division du travail, même primitive, comme cela est magistralement illustré par le troc, et plus encore par le « troc muet » bien connu des historiens et des anthropologues ou bien des lecteurs de l'Enéide. Pour autant, la distinction entre offre et demande n'est pas invalide ; mais justement elle ne sert qu'à la compréhension de la forme historique de la division du travail et des formes historiques de médiation monétaires (coquillages, métaux, papier etc.) qui permettent la réalisation des produits en autonomie relative par rapport au rythme des cycles de production-reproduction, et malgré l'existence ou non du crédit et de son développement. Par conséquent, ceci renvoie à la dynamique de la demande sociale, c'est-à-dire aux logiques mises en oeuvre par les Equations marxistes de la Reproduction. En référence à la fausse résolution simultanée de Tougan-Barnovsky, nous avons montré ci-dessus dans quelles inepties farfelues, n'ayant plus rien à voir avec le monde économique et socio-économique réels, pouvait mener cette séparation et liquéfaction des marchés, ensuite harmonisées dans un pseudo-équilibre général ou « marché des marchés ». Le détail critique ci-dessous devra mettre un point final à ces inepties idéologiques sans fondements scientifiques. De fait, nous sommes convaincus que le remplacement de l'heuristique hallucinatoire des diagrammes des offres et des demandes par le « concret pensé » de la Reproduction Simple marxiste représentera une avancée théorique civilisationnelle de première importance, puisqu'elle refondera le « sens commun » sur des bases scientifiques inattaquables et forcément sociales. Sera ainsi permis la sortie définitive de la préhistoire de l'Humanité et l'épanouissement de mentalités citoyennes en soi et pour soi.

3iv-b) Valeur et demande sociale quand survient une augmentation de productivité

Posons une situation de Reproduction Simple (RS) qui respecte les Equations de Marx-Boukharine. Posons une « journée » de travail de 8 heures. Posons pour simplifier sans trahir le sujet que le cycle de production soit égal à la « journée » de travail dans les deux secteurs. (Il suffit de penser aux rotations pour comprendre la rationalité de cette simplification : car, pour les produits et les ensembles-produits, les secteurs et les sous-secteurs, les rotations diffèrent sans que cela implique quoi que se soit de particulier pour la reproduction totale ; au demeurant ceci n'est pas un problème conceptuel mais un problème pour les statistiques

socialistes, encore à inventer sur la base de la loi de la valeur et des Equations de Marx à mettre en oeuvre par la Planification.) Posons qu'il y ait deux entreprises dans chaque secteur qui produisent pour chaque secteur un seul et même produit, soit un Moyen de production (MP) pour le SI, soit un Moyen de consommation (CN) pour le SII. (Dans notre présentation nous ne donnerons qu'une ligne en SII correspondant aux Equations de la Reproduction, mais ceci peut bien entendu être considéré comme la moyenne de deux entreprises produisant selon les mêmes conditions. En fait, ceci n'a pas d'importance ici puisque les variations introduites par la suite concerneront SI.) Pour chaque secteur le produit est considéré identique ou parfaitement élastique (nous ignorons pour l'heure les différences résiduelles concrètes induites par le nom ou la fiabilité reconnue de l'entreprise, par la marque, le design etc. …) Posons également que la capacité productive par chaque entreprise soit utilisée à 100% en prenant pour c, le capital constant, uniquement la partie « used-up » (on sait qu'en temps normal les entreprises tournent en général à 80 % de leur capacité, ce qui peut induire des mécanismes latéraux en ce qui à trait au volume de la demande sociale, quoique sans en modifier la logique ou le principe.) De plus, nous posons C = c + v = 100 afin de permettre une comparaison plus rapide. Voici donc les schémas de la RS :

Schéma A de départ (la ligne en caractères gras donne les valeurs, l'autre les quantités en termes relatifs, c'est-à-dire ici en Mp y compris pour SII ; la traduction des termes relatifs en d'autres termes relatifs (i.e. Cn en SII) ou en valeur ne pose pas de problème lorsque les rapports fondamentaux des fonctions de production, v/C et pv /v, sont cohérents entre eux) :

SIa)         : 80                20                 20                 = 120

                : 80Mp         20Mp         20Mp         = 120Mp

SIb)         :80                 20                 20                 = 120

                : 80Mp         20Mp         20Mp         = 120Mp

SII                 : 80                 20                 20                 = 120

                : 80Mp         20Mp         20Mp         = 120Mp

Pour illustrer plus facilement le mécanisme de la demande sociale comme déterminant de la cohérence des Equations de la RS (donc de la valeur d'échange) mais aussi du prix (et donc de l'inflation organique) nous traduirons la valeur en termes relatifs. Nous la donnerons donc en termes quantitatifs Mp puisque nous introduirons la modification de la productivité dans le Secteur I, celui des Mp. Mais ceci ne change rien : dans ce Schéma A de départ la composition organique (v/C) et le taux d'exploitation (pv/v) sont égaux uniformément dans les deux secteurs, de sorte que 1 Mp = 1 Cn = 1 euro. Il suffira ensuite de tenir compte du ratio de productivité qui vaut également comme ratio de valeur d'échange entre les produits.

Voyons maintenant ce qui survient lorsque la composition organique de SIa s'approfondit de 1/4, c'est-à-dire lorsque le même temps ou la même « journée » de travail produit un quart de plus de produits, donc avec une valeur unitaire proportionnelle inverse.

Schéma B en termes de Mp après augmentation de la productivité de 1/4 en S1a.

SIa                 : 84                 + 16         + 20         = 120

                105Mp         + 20Mp   + 25Mp         = 150Mp

SIb) ?

SII) ?

                80Mp         + 20Mp         + 20Mp         = 120Mp

Nous allons voir comment compléter ce schéma. Nous avons ici le triomphe du concept de « demande sociale » de Marx contre toutes les prétentions bourgeoises illustrées par la concurrence ou par l'offre et la demande (ensuite harmonisées dans la reproduction ou équilibre général par le biais de l'opération de la « main invisible ») ; ceci inclut toutes les prétentions petites-bourgeoises (de Tougan-Baranosvsky à Bortkiewics à Sraffa, à Emmanuel Arghiri et tant d'autres, sans oublier les ridicules Diafoirus de l'économie qui prétendaient améliorer les schémas de l'Offre et de la Demande en mettant à contribution rien de moins que la théorie du chaos ; voir à ce propos la Note 9 de mon livre III )

Posons que C1 et C2 pour SI, et C3 pour SII soient pris sur la base C = c + v = 100. Pour la suite soyons attentifs à ne pas confondre C majuscule qui égale à (c + v) avec c minuscule, le capital constant.

Nous savons que C1 est donné ainsi que c1, v1 et pv1

Sont donc donnés également C3 et c3 + v3 + pv3 (car leur condition n'a pas changé par rapport à leur condition de départ.)

Par les Equations de la Reproduction nous savons que c3 = (v1 + pv1) + (v2 + pv2)

De ce fait v2 + pv2 = c3 (v1 + pv1) (ou 80 45 = 35) en termes de Mp (utilisé comme équivalent général spécifique ou unité de compte)

Nous savons également que v2 = 17,5 (puisque pv2/v2 = 1 donc 35/2 = 17,5

Comme les conditions techniques en S1b n'ont pas changées, nous savons également que v2/C2 = 17,5/C2 = 0,2 donc C2 = 87,5

Ergo c2 = C2 - 17,5 = 70. (De fait v2/C2 = v2/(c2 +v2) = 17,5/70 = 0,2)

Il reste à rétablir la médiation monétaire (les lignes en valeur); elle est donnée par la composition organique la plus élevée. Ce qui donnera incidemment aussi le moyen de calculer l'inflation organique, du moins lorsque nous sortirons des schémas dans lesquels la valeur prédomine, par exemple grâce à la planification (ceci donne également le mode juste de calculer les prix constants, donc pour comparer rationnellement sur la base valeur. La seule variation inattendue peut venir du changement des conditions morales ou civilisationnelles, ce qui est alors affaire de méthode historique ou plus particulièrement de matérialisme historique, puisque toutes les autres variantes, historicisme inclus, sont très inférieures à la méthode développée par Karl Marx, sans excepter l'Ecole des Annales à son meilleur, c'est-0-dire avant de tomber dans les mains de Braudel, Wallerstein et compagnie, qui est très inférieure à Marx l0-dessus.)

Dans cette alternative les valeurs et les prix sont donc identiques.

Voici donc le Schéma B en termes de valeur-prix suite à l'augmentation de la productivité de ¼. Ici il n'y a pas de différence entre la valeur et le prix. Mais il importe déjà de substituer l'équivalent général spécifique ou unité de compte (i.e. le Mp) par l'équivalent général monétaire, ici calé sur la valeur d'échange de la force de travail. Ceci nous permet de restituer le schéma en valeur-prix, donc en termes économiques cohérents, y compris pour SII, bien entendu en respectant la valeur-prix relative des Mp et des Cn entre eux selon leurs conditions de production respectives.

SIa                : 84                 + 16         + 20                 = 120 euros

                105Mp         + 20Mp         + 25Mp                 = 150Mp

Sib)                 56                 + 14         + 14                 = 84 euros

                70Mp         + 17,5Mp + 17,5Mp        = 105Mp

SII                 64                 + 16         + 16                 = 96 euros

                80Mp         + 20Mp         + 20Mp                 = 120Mp

                64Cn         + 16Cn         +16 Cn                 = 96 Cn

Le terme valeur (ici également prix) est donné en euros selon des données connues, i.e. le fait que la composition organique de S1a est passée à v'/C' (0,16) / v/C (0,2) = 16/0,2 = 0,8, ce qui représente donc aussi la nouvelle valeur du Mp fondée sur le nouveau rapport d'exploitation, qui est naturellement l'inverse soit pv'/v' = 1,25. Nous aurons 120 euros pour 150 Mp en S1a, donc 1 Mp = 0,8 euros) La valeur du produit est déterminée par l'industrie ayant le taux de composition organique le plus élevé, c'est-0-dire la productivité la plus élevée, qui devient vite hégémonique sur le marché. De fait, cette industrie plus productive est capable de dominer via les volumes de vente, alors que le taux de profit reste systémiquement identique de manière organique d'une entreprise, d'une branche et d'un secteur à l'autre, de façon ex ante, la mobilité du capital ou concurrence entre capitaux entraînant également cette nécessité quoique de manière épiphénoménale. Notons en passant qu'il ne saurait y avoir de baisse tendancielle du taux de profit (une situation au mieux préliminaire à l'établissement de la fonction de production qui ne peut jamais être que structurellement et non ponctuellement donnée), cette BTTP étant une bêtise incompatible avec la loi de la valeur totalement élucidée suite à l'insertion de la productivité dans les Equations de la Reproduction. On se souviendra d'ailleurs que Destanne de Bernis ne parvint pas à trouver la moindre trace « empirique » de cette BTTP, et pour cause… ! Evidemment dans le Secteur II (deux) il convient de traduire les Mp en Cn, chose facile à accomplir puisque nous connaissons les deux compositions organiques respectives et dont la valeur relative du Cn par rapport au Mp.

Nous avons-là le schéma le plus pur de la demande sociale. Il devrait être clair qu'une fois résolus les problèmes des variations de productivité pour le Secteur I (un) on a également résolu le problème de la demande sociale en général, car pour le Secteur II les déductions sont encore plus simples puisque c3 = (v1+ pv1) + (v2 + pv2).

Dans le Schéma B nous connaissons plusieurs choses en termes valeur (traduit en termes de la valeur relative de Mp utilisée comme unité de compte, mais une unité de compte non farfelue cette fois-ci et qui, en outre, n'a pas à se substituer à une valeur indéterminable comme cela est le cas avec Sraffa ou Emmanuel Arghiri etc.) Nous savons que les conditions dans S1a ont changé et nous savons exactement comment. Nous savons également que les conditions en termes de valeur en SII sont restées les mêmes qu'avant (de plus nous avons postulé une capacité de production utilisée à 100%.) Nous savons aussi que la composition organique de l'entreprise S1b n'a pas muté, de sorte que peuvent changer uniquement le temps ou bien l'intensité relative, donc ponctuelle, du travail. En utilisant, les Equations de la Reproduction Simple de Marx-Boukharine, nous pouvons alors déduire les données relatives à S1b en tenant compte de l'équilibre produit par la demande sociale. Ceci devient la clé pour comprendre les prix, c'est-à-dire l'inflation organique qui ensuite est corrigée en se référant au prix constant (quoiqu'il ne s'agisse pas du prix constant factice auquel on arrive avec la méthode bourgeoise, qui recourt à une moyenne sans queue ni tête, mais bien plutôt à la valeur hégémonique donnée par la composition organique plus élevée.) » Fin provisoire de l'Extrait.

Sur la base de cet extrait, grâce à la variation qui prévaut entre S1a et S1b nous pouvons voir les déviances produites par toutes les formes de concurrence (soit que la vente se fasse sur le marché de manière différente en privilégiant la vitesse supérieure de S1a, soit que tous les MP sont portés ensemble sur le marché, en aveugle. Dans ces cas, le prix de marché variera mais les ratios organiques à la valeur demeureront inchangés, quoique dans une forme inflationniste organique dont il faudra ensuite tenir compte tant pour calculer les prix constants que pour conceptualiser une bonne politique monétaire qui bien entendu, n'a rien à voir avec les salades monétaristes conjuguées à la « supply-side economics ».

Il saute aux yeux que l'entreprise moins productive n'a aucune chance de prospérer sur le marché: son infériorité, en tout point identique à la propriété féodale hégémonisée par le capitalisme agricole, se manifestera par les volumes de vente qui eux-mêmes imposeront les lois de motion du capital, en particulier la concentration et la centralisation qui s'imposeront avec une nécessité d'airain. Le Schumpétérisme à l'envers qui vise à morceler la propriété du capital ne règle rien : il ne peut même pas retarder le mouvement général car il n'affecte pas les transnationales privées, se concentrant uniquement sur la destruction idéologique et crapuleuse des entreprises d'Etat au profit de crapules privées étroitement connectées au régime philosémite nietzschéen en place. Ceci vaut également pour la destruction des entreprises publiques et pour la création artificielle et hautement subventionnée de petits pseudo-entrepreneurs verts et écologiques, lesquels font par contre de parfaits petits démagogues sectaires et petits-bourgeois de la « désincitation » à la consommation de base du prolétariat sans se soucier outre mesure de leur propre empreinte écologique. En anticipant un peu on peut souligner le fait que la logique de l'accumulation capitaliste surtout contenue dans la recherche constante de la plus grande productivité possible contre la concurrence et dans les lois de mobilité du capital, explique pourquoi l'Antitrust ne fut et ne sera jamais qu'une ineffable foutaise démagogique sans aucune prise sur le réel, au même titre que le capitalisme des (petits) actionnaires et des managers (frauduleusement opposé au capitalisme des propriétaires ; v. Domhoff à ce sujet) ; de fait le Sherman Act naquît lors du passage, décrit par Stephen Heymer, du capitalisme familial au capitalisme national, alors que sa reformulation avec le second Roosevelt accompagna l'affirmation de ce que Heymer caractérisa comme le passage de la firme nationale à la firme multinationale, une tendance lourde décrite par les New Dealers comme Means dès les années 20 comme création des « Big corporations » auxquelles la politique et les relations industrielles devaient trouver des contrepoids permettant d'en arriver à une « démocratie industrielle », parmi lesquels les syndicats et les conventions collectives encadrées par la loi du travail nationale (et internationale via l'OIT.)

Retour donc à notre Extrait. Considérez par exemple ce schéma-ci introduisant une forme possible d'offre et de demande. On verra d'ailleurs que contrairement à la grotesque vulgate nobélisée si l'on veut jouer ce jeu-là, il n'existe pas un seul schéma possible, même en se fiant à l'hypothèse insensée de la concurrence parfaite, de sorte que la présentation standard est frauduleuse aussi de ce point de vue-là.

« 3iv-c) Valeur et demande sociale selon le mécanisme de l'Offre et de la Demande marginaliste quand survient une augmentation de productivité de ¼ dans une entreprise ou industrie du Secteur I.

Dans l'exemple le plus pur celui de la valeur donné antérieurement nous appliquons une règle réaliste simple : l'entreprise la plus productive impose son prix sur le marché ; les autres qui produisent le même produit n'ont d'autre alternative que de tenter de suivre en allongeant la durée du travail, en tournant les coins ronds, c'est-à-dire, en définitif, à disparaître du marché à moins de causer la croissance structurelle de leur propre productivité ou encore de bénéficier d'une intervention extra-économique qui mutatis mutandis pourra seulement retarder l'issue fatale de cette compétition marquée par le darwinisme social. En y regardant d'un peu plus près, la théorie de l'offre et de la demande est une parfaite ineptie qui n'aurait jamais dû avoir cours dans des manuels scolaires. Le problème économique par excellence est l'échange entre marchandises diverses et non pas le mécanisme de la vente de produits identiques en isolement de tout le reste. Nous sommes donc obligés d'approcher cette pseudo-théorie de la manière la plus scientifique possible en examinant les hypothèses les plus plausibles qui en découlent afin de les vérifier. Ces nouvelles hypothèses mises au test de la demande sociale s'imposent du fait de la démonstration de l'inanité profonde de la présentation habituelle du genre de celle de Samuelson que nous avons déjà vue ci-dessus. Par conséquent, nous commencerons par examiner un prix de marché correspondant à la moyenne du Secteur I (dont toutes les entreprises sont supposées produire le même produit.)

A partir du même schéma de Reproduction de départ, posons une augmentation de productivité de ¼ dans l'entreprise ou industrie S1a alors que la composition organique du capital demeure inchangée dans toutes les autres entreprises et secteurs. Pour le reste valent les présuppositions antérieures (journée de travail, cycle de production, capacité productive etc. …) Pourtant avant de recourir aux mécanismes « surdéterminés » (pour rendre ici l'hommage dû à Louis Althusser) de la demande sociale, nous verrons ce qui arrive lorsque nous chercherons à passer du stade fallacieux des courbes d'offres et demandes bourgeoises … ensuite abandonnées par ces théoriciens bourgeois à l'action providentielle (sic !) de la « main invisible » … lorsqu'il s'agit d'établir l'équilibre général (y compris celui conçu selon la manière de Walras comme « marché des marchés » entièrement liquéfié.)

Schéma C (Ce schéma est donné d'abord en termes Mp seulement ensuite on introduit la variation qui de la valeur porte au prix à travers le traitement bourgeois de l'offre et de la demande. Pour le lire convenablement il faut appliquer la même procédure déductive du schéma précédent pour compléter le schéma en termes quantitatifs. Le reste suit aisément de notre hypothèse d'un prix unique pour les Mp selon la quantité précisément déterminée par les Equations de la reproduction. Trouver les Cn dans SII est une simple question de termes relatifs. Voici donc le résultat):

SIa                : 92,647         + 17,647         + 22,0588         = 132,353

                  105Mp         + 20Mp          + 25Mp                 = 150Mp

SIIb:           61,7647 + 15,4411 + 15,4411         = 92,647

                  70Mp         + 17,5Mp + 17,5Mp         = 105Mp

...............................................................................................................

(SI)                 : 154,4117 + 33,088 + 37,5                 = 225

total)        :175Mp           + 37,5Mp + 42,5Mp         = 255Mp

................................................................................................................

SII                : 70,588          + 17,647  + 17,647         = 105,8823

                  80Mp          + 20Mp   + 20Mp                 = 120Mp

Ainsi qu'il apparaît d'emblée les mécanismes de l'offre et de la demande ne sont pas du tout transparents (ou rationnels) lorsque nous les mettons en contact avec l'inévitable surdétermination de la demande sociale. Faisons pourtant mine de rester dans le monde partiel et obscurantiste du capital dans lequel tout tient à l'envers sur la tête. Essayons donc de prendre la moyenne du Secteur I, ce qui revient à se fonder sur les données organiques (composition organique et taux d'exploitation) de ce Secteur I (Voir la ligne SI total du Schéma C.)

Ce qui nous intéresse ici c'est la structure produite par le changement de productivité. Nous aurons v'/C' (0,17647) sur v/C (0,2) = 0,882353. Ceci représente également le prix du nouveau Mp. Nous aurons automatiquement aussi pv'/v' = 1,1333 soit l'inverse de 0,882353.

La valeur est naturellement conférée par le secteur détenant la plus grande composition organique. Nous aurons donc ici : 1 Mp = 0.882353 e 1 Cn = 1.

Cela dit nous pouvons aussi obtenir le taux d'inflation organique (à ne pas confondre avec l'inflation structurelle liée à AR présentée dans Tous ensemble) Ce taux est causé par cette intermédiation de la concurrence conçue comme offre et demande. Au lieu d'avoir un échange bilatéral Mp = Cn avec l'intermédiation de la valeur qui survient de manière séquentielle en octroyant la priorité d'abord à l'entreprise la plus productive. Ici il semblerait que, peu importe la provenance du Mp, vu que le prix du marché correspond à la moyenne ( ce qui revient à dire que tous les Mp largement identiques sont portés dans le même lieu ou marché en même temps avant le début de la criée chère à Walras, si vous voulez …) En réalité, il n'en va jamais ainsi car il y a de bonnes chances pour que le produit issu d'un processus plus productif arrive plus rapidement sur le marché, jouissant ainsi d'une priorité à la vente (en plus des avantages liés à la marque etc. …) Feignons pourtant que les choses aillent comme les capitalistes aiment les présenter : dans tous les cas l'intermédiation inflationniste nous reporte toujours là où nous devons être, c'est-à-dire à la demande sociale. Ce qui signifie : ou bien que l'entreprise moins productive produira moins, à mesure que les ordres ne lui parviendront pas ou bien qu'il lui reste trop d'invendus (invendus qui disparaîtront de l'espace de la Reproduction ou bien pourront tout au plus réapparaître en compliquant d'avantage les choses côté prix comme « produits d'époques différentes » comme je l'ai démontré ailleurs ex. mon Livre III ce qui devrait être évident avec la nouvelle valeur qui correspond à la force de travail socialement nécessaire durant la période de vente nécessaire pour la reproduire.)

Ici l'inflation organique serait de 0,882353/0,8 = 1,102875.

En connaissant cette donnée nous pouvons alors assigner le prix aux produits. Par exemple pour c3. Ce stratégique c3 était de 64 dans le système antérieur ; maintenant il sera de 64 x 1,1029413 = 70,588.

Ce résultat n'est pas indifférent puisqu'il nous ouvre la porte pour le calcul de la productivité bien entendu de manière empirique mais correcte pour les entreprises, les industries et les secteurs (et le système reproductif en général, c'est-à-dire la compétitivité de la Formation sociale considérée) ; mais il nous permet également de mesurer correctement l'inflation organique afin de pouvoir ensuite la corriger avec le recours à des prix constants qui seront réellement des valeurs plutôt que des moyennes bourgeoises fallacieuses et approchées établies sur la seule base d'un prix moyen pour une année de référence établi comme indice = 100. De plus on voit que ceci change le mode de calculer la valeur en lieu et place de l'indice bourgeois donné comme « pouvoir d'achat », un concept totalement faux et de fait aussi fautif que la comptabilité (PIB etc.) capitaliste fondée sur des consommations fallacieuses (y inclus dans la sphère du crédit et du crédit spéculatif.) Bien entendu ceci ne dispose pas entièrement de la question générale de l'inflation qui doit également tenir compte de la différence entre masse salariale réelle et masse salariale formelle donc de l'Armée de réserve et du soutien socialement accordé à la force de travail passive), une tâche qui revient à la Banque centrale tout comme le contrôle de l'inflation importée ; (laquelle peut inclure toutes les autres surtout si le taux de change des monnaies est abandonné au marché capitaliste global …)

Quid O/D?

Comme nous l'avons vu l'offre n'est jamais indépendante de la demande sociale qui, en ce qui la concerne, ne dépend pas de l'opération aléatoire de la « main invisible » (un mécanisme providentiel bourgeois uniquement capable d'induire une irrationalité économique systémique, ainsi que de considérables gaspillages jamais susceptibles d'être contrôlés par l'économie bourgeoise, pas même par le biais de la gestion stupidement restrictive des stocks et par les flux tendus (just-in-time.)

Mp1 et Mp2 (en S1a et S1b) sont considérés identiques ou exhibant une très forte élasticité. Ceci est assez éloigné de la réalité du marché et de son organisation spatiale ou procédurale (Polanyi parle de « marchés » au pluriel ; le marketing et la publicité révèlent bien d'autres choses … Mais heureusement, il y a les manuels d'économie bourgeois pour rassurer les étudiant-e-s via une forte émondation cérébrale préliminaire … souvent moyennant de fort élevés frais de scolarité dans les universités privées …)

Dans notre Schéma C nous pouvons connaître rapidement l'offre maximale pour un cycle de production en ajoutant le produit de S1a à S1b (150 Mp + 120 Mp). Nous savons également que le prix ne peut jamais tomber sous le coût de production le plus bas (autrement ce serait la faillite assurée de l'entreprise fautive.) Reste à déterminer le prix de vente. C'est justement ici que commencent les hypothèses fallacieuses de J.B. Say et celles de Walras ou encore celles incluses dans les courbes d'offre et demande d'Alfred Marshall. Non pas le prix de vente « à long terme » comme on à coutume de le dire en répétant la belle note préliminaire de Marx dans les Manuscrits parisiens de 1844 mais plus exactement pour la durée du cycle reproductif analysé, qui ne peut pas être indépendant de la demande sociale. Nous avons vue comme cette dernière peut être déterminée sur la base des données organiques de départ, des données sur l'augmentation de la productivité et sur la base des Equations marxistes de la Reproduction.

Il reste alors à établir la médiation monétaire qui correspond au type de mécanisme choisi pour illustrer la concrétisation de l'O/D. (En ce qui me concerne je préfère la solution de l'échange séquentiel bilatéral selon lequel les produits de la firme plus productive arrive au marché avant … cependant comme nous le savons, sans vouloir tomber dans un kantisme de seconde classe, si les phénomènes étaient évidents nous n'aurions plus besoin de science … Si le mécanisme de l'O/D et celui complémentaire de la main invisible étaient vraiment capables de porter à un équilibre micro et macro simultanément nous pourrions nous dispenser de lire Das Kapital ou bien de recourir à la planification pour corriger transitoirement les manquements graves de la production capitaliste (oeuvre de ses « esprits animaux » selon Keynes …) Ou plutôt de la transcender une fois pour toute avec une rationalité supérieure respectueuse de l'harmonie entre la nature et l'Histoire, entre forces productives et rapports de production (républicains et égalitaires.)

Nous avons vu que lorsque l'on fait intervenir la médiation monétaire de manière rationnelle on crée une inflation organique qui peut dès lors être contrôlée puisque sa genèse ne constitue plus un mystère. Ici, tout comme dans le cas de la rente, donc le cas de la coexistence à dominance des modes de production, la production de la valeur (donc la forme monétaire dépouillée de l'inflation) est conférée par le taux de productivité le plus élevé, donc par la valeur d'échange de la force de travail capable d'agir comme équivalent universel de toutes les marchandises dans un système donné.)

Nous ferons ici deux remarques :

1) Si S1a vendait 150 Mp à 0,8 euro pièce et S1b 105 Mp à 1 euro pièce ceci rapporterait en tout 225 euros ; le prix unitaire à la fin du processus sera effectivement égal à 225/255 = 0,8823529 euro soit le prix unitaire composite du Secteur I

2) Nous pouvons donc appeler ce schéma, schéma de la valeur sectorielle ou encore, pour éviter les confusions, schéma du prix sectoriel. Ceci n'est pas indifférent puisque on peut y voir un élément important du point de vue des statistiques socialistes qui restent à développer; à savoir que selon l'étude des mécanismes de la demande sociale, on peut remonter du Secteur à la branche, voire aux entreprises qui les composent en réassignant à chacun son dû, selon les rapports fondamentaux (v/C et pv/v) qui y prédominent.

Disons encore un mot à propos des phénomènes inflationnistes qui ne parviennent pourtant pas à troubler la surdétermination des rapports fondamentaux (v/C et pv/v). A l'inflation organique retracée ci-dessus il faut ajouter celle structurelle émanent de la gestion du chômage et donc de la masse monétaire. Rappelons quelques éléments clés exposés dans Tous ensemble. Si nous supposons le schéma de départ usuel soit :

S1a : 80 20 20 = 120

S1b : 80 20 20 = 120

--------------------------------------

S1 : 160 40 40 = 240

___________________________

S2 : 80 20 20 = 120

La masse monétaire ici (plein emploi) est égale à la masse salariale

Puisqu'il y a plein-emploi, la masse monétaire sociale sera égale à la masse salariale (avec les rotations elle devient nécessairement égale au produit total)

Les rotations sont données par la somme (C/v) + (pv/v) du capital total (donné par la sommation des différents secteurs)

AR (« Armée de réserve ») est entendue ici comme la somme émise pour financer le soutien de la force apte au travail mais réduite au chômage ; cette somme et ses mécanismes relèvent de la forme de l'Etat capitaliste, Etat libéral, Etat social ou Welfare State, Etat social avancé (ce que l'on peut également appeler les « époques » reproductives du MPC.) En l'absence de la création de nouveaux secteurs intermédiaires

permettant l'absorption du moins temporaire de la force de travail ainsi libérée, ou encore de façon permanente mais cyclique grâce à la RTT, l'introduction de la productivité crée nécessairement du chômage et induit donc la nécessité de le financer- ne serait-ce que pour éviter les explosions sociales.)

Exemple : La masse monétaire S = v ; la masse monétaire ou salariale sociale notée Ss = v + AR.

Ergo l'inflation structurelle sera égale à Ss/S.

Nous avons là les linéaments de la véritable théorie quantitative marxiste de la monnaie.

Revenons à notre argument : les marginalistes ne comprennent rien de tout cela ; s'il y a du chômage cela est dû selon eux, non pas à une productivité croissante en l'absence de planification socio-économique décente, mais à un manque de flexibilité sur le marché du travail. Les Banques centrales bourgeoises font pire en étranglant systématiquement l'agrégat monétaire M1 correspondant grosso modo à la masse salariale, tout en laissant courir M2 et M3 qui au demeurant ne sont même plus taxés convenablement, de sorte que le laxisme régressif fiscal s'ajoute aux inepties monétaristes criminelles. Sauf que la réalité se moque des inepties successives de ces ânes. Nous devons donc considérer que le schéma offre et demande présenté antérieurement avec son inflation organique doit également être revisité pour introduire les effets de l'inflation structurelle qui pour sa part s'imposera ici tout naturellement par la médiation effectuée via le numéraire donc par l'hypothèse d'une masse monétaire ante celle du schéma de départ où v = 20 (Cette situation reflète d'ailleurs celle de l'Etat libéral classique avec des Banques centrales ignorantes et uniquement concentrées sur le taux d'échange et la gestion de l'Etalon Or lié au commerce international ; à ces lacunes monétaires s'ajoutaient des gouvernements reléguant la prise en charge du chômage à la famille élargie.)

Nous aurions donc le schéma sectoriel précédent augmenté du taux d'inflation structurel donné par le rapport Ss/S soit 60/50,735 = 1,1826

Schéma sectoriel :

S1 : 154,411 + 33,088 + 37,5         = 225

S2 : 70,588 + 17,647 + 17,647 = 105,88235

Ce qui donne le schéma inflation structurelle suivant (i.e., multiplié par le taux d'inflation via les échanges et la médiation monétaire)

S1 : 182,60 + 39,130 + 44,348 = 266,0885

S2 : 83,4784 + 20,869 + 20,869 = 125,21811

A partir de ce schéma de base il est facile d'introduire AR selon les conditions historiques puisque le taux Ss/S sera adapté aux circonstances avec des conséquences désormais prévisibles tant du point de vu interne qu'externe, par exemple l'inflation structurelle importée (voir Tous ensemble)

3iv-d) Cas fallacieux : Offre et Demande marginaliste pure, la demande sociale n'étant jamais prise en ligne de compte. (Révisée le 6 septembre 2009. )

Dans ce cas comme d'ailleurs pour tous les théoriciens marginalistes et bourgeois depuis J.B. Say, Senior, Walras, Marshall et tous les pathétiques modernes du genre de Samuelson et Solow, la microéconomie et la macroéconomie sont irrémédiablement séparées en deux

branches distinctes. (Ceci est occulté par le recours pratique à la fausse solution offerte par Auguste Walras et reprise par son fils Léon et par Schumpeter etc. … c'est-à-dire par la séparation entre science économique et économie sociale, cette dernière étant conçue comme un simple input politique, malgré les crises récurrentes qui démontrent exactement le contraire.) Dans ce cas les mécanismes précis de la demande sociale sont remplacés par la logique aveugle de la soi-disant « main invisible ». On suppose que du fait de la surcapacité productive en plus de la manipulation de la durée du travail, des stocks etc. on abolit temporairement les effets des cycles de reproduction, de sorte que S1a et S1b produisent leurs quantités prévues sans s'occuper de rien d'autre, en portant au marché le jour même le produit final de leur cycle journalier de la production, produits que rien ne distinguent des autres du même type, ni marque, ni rien d'autre. (Cas pourtant hautement improbable bien que cela corresponde bien à la manière bourgeoise de présenter les choses, surtout lorsque l'on nous offre béatement des courbes d'offres et de demandes marginalistes …) Prenons ces singeries au sérieux pour une seconde.

Nous obtiendrons alors le Schéma 3 suivant :

S1a)         : 84                 + 16         + 20         = 120

                105Mp         + 20Mp   + 25 Mp         = 150Mp

S1b)         : 80                 + 20         + 20         = 120

                80Mp         + 20Mp         + 20Mp         = 120Mp

..........................................................................................................

SII)                 : 80                 + 20         + 20         = 120

                80Mp         + 20Mp         + 20Mp         = 120Mp

On remarque d'emblée que le système ici proposé est hautement instable et incohérent.

Quoiqu'il en soit il est vrai que les marginalistes ne voient pas tout le système socio-économique, ils n'ont d'yeux que pour les entreprises dans la sphère de la microéconomie. Nous pouvons donc continuer notre examen sur la base de leurs propres présentations en ce qui concerne l'échange des Mp produits en SI. Comment adviendra cette vente, et à quel prix?

Vente et prix : 240 euros divisé par 270 Mp = ?

Il est clair que nous ne pouvons pas compléter puisque si l'offre connue est bien de 270 Mp (150 Mp en S1a + 120 Mp en S1b) la demande effective elle n'est pas connue et, en tout état de cause, ne peut pas être fournie dans ce système bourgeois et marginaliste.

Mais alors qu'arrive-t-il? Tout simplement, la demande qui n'est pas connue est remplacée par l'intermédiation monétaire. Pitoyable tour de passe-passe qui ne résout rien. Le problème à ce point réside dans le fait que nous sommes forcés d'oeuvrer avec un mètre élastique puisque l'intermédiation monétaire crée l'inflation durant le procès pendant lequel elle cherche à conclure l'échange en se contre-échangeant avec les Cn (c'est-à-dire dans sa tentative aveugle d'approcher par tâtonnement pour faire plaisir à Allais - la demande sociale donnée par les Equations de la RS-RE.)

Encore une fois le paradigme bourgeois fait eau de toute part ! Nous avons à faire à un paradigme puérile tout au plus utile pour alimenter la démagogie de masse des classes dominantes (un nouvel opium du peuple irrationnel mais cette fois-ci dépourvu de tout fondement, y compris ces « esprits animaux » qui concernent les grands prêtres (ou grands maîtres) qui propagent ces âneries en sachant pertinemment, depuis la démonstration de Marx, que ce sont bien là des âneries, au demeurant inhumaines puisqu'elles nient la réalisation de l'égalité humaine en défendant, par le recours au mirage entretenu du marché, la propriété privée fondée sur la production sociale et l'accumulation privée.)

Si d'aventure nous suivions les théoriciens bourgeois dans l'échange aveugle entre Mp contre monnaie sans nous occuper des Cn ou vice-versa, il arrivera qu'au second tour les corrections commencerons à s'imposer à travers le mécanisme interne de la demande sociale médiée par l'inflation organique. Mais ceci produira un gaspillage énorme d'énergie, de ressources naturelles et de produits finis : contrairement à ce que tout le monde répète en choeur, le mode de production capitaliste n'est pas fondé sur la consommation ; il repose en revanche sur une consommation irrationnelle et souvent induite comme telle, un mécanisme pervers qui produit systémiquement un énorme gaspillage croissant. Raison de plus pour s'attacher à la défense du marxisme et de l'écomarxisme. (Voir sur ce dernier concept l'Appendice de mon Livre III.)» Fin de l'Extrait.

Après révision nous pouvons présenter le schéma de l'offre et de la demande en aveugle de la manière suivante en partant d'une hypothèse entièrement congruente avec la cécité tant micro-économique que macroéconomique qui prévaut avec le marginalisme et toutes les théories économiques bourgeoises. Nous supposerons donc ici que S1a et S1b produisent en aveugle tout ce qu'ils peuvent produire et le portent sur le marché simultanément (autrement ils n'ont aucune information sur le prix d'équilibre, pas même probabiliste selon les études de marché) alors que S2 fait de même et ne modifie pas ses conditions de production malgré le prix relatif des Mp qu'il achète. Du coup, en disposant des données désormais déterminantes de S2 on peut reconstruire ce qui se passerait pour l'ensemble du système. Voyons cela dans le détail.

Le Schéma en aveugle donné en termes de Mp serait le suivant :

S1a : 105 + 20 + 25 = 150 Mp

S1b : 80 + 20 + 20 = 120Mp

-----------------------------------------------

S1 : 185 + 40 + 45 = 270Mp

________________________________

S2 : 80 +20 + 20 = 120 Mp

Nous savons que S1v + S1pv = c3 = 80

Le rapport S1pv/S1v est donné par 85/40 = 2,125 ergo : 85 : 2,125 = 40

Par rapport à la situation O/D dérivée de la situation en aveugle on aurait donc : 80/v = 2,125, donc 80 : 2,125 = 37,647

La pv effective (selon la situation O/D dérivée) sera 80 37,647 = 42,353 (preuve 42,353/37,647 = 1,125)

Il nous faut trouver C effectif (i.e. de la situation O/D dérivée)

Comme S1C/S1v en situation aveugle = 185/40 = 4,625

Ergo C effectif en O/D dérivée = 37,647 x 4,625 = 174,117388

Reste à répartir cette fonction de production sectorielle effective dérivée pour les parts respectives revenant à S1a et à S1b.

On sait que, par la médiation monétaire, le prix unitaire en vente aveugle sera de 240 euros /270 Mp = 0,888

On sait que S2 n'a pas changé ses rapports de production fondamentaux.

La question est : Comment de S2 c (80) peut-on déduire S1 v = pv donc la fonction de production sectorielle S1. Comment la départagée en S1a et S1b?

Nous avons vu comment on arrive à S1: 174,11738 + 37,647 + 42,353 = 254,11738. La seule question à résoudre est celle de la répartition en S1a et S1b si les ventes se font au même prix de marché (en aveugle)

Ce ne peut justement pas être par moitié.

Donc nécessairement cela devra se faire dans les mêmes rapports de contribution au marché ce qui est d'ailleurs la meilleure probabilité.

Donc S1 M ex ante = 150/270 = 0,555. Comme 270 x 0,555 = 150 ergo 254,11738 x 0,555 = 141,17632 Mp

S1b aura donc 254,11738 141,17632 = 112,94106 Mp

On peut dès lors calculer les invendus

S1a = 150 141,17632 = 8,82368 Mp

S1b = 120 112,94106 = 7,0589 Mp

Or, dans cette situation en aveugle de l' O/D ces invendus reviennent sur le marché et aggravent la situation, surtout pour S1b .

Au demeurant, cette situation comme toutes celles relevant de la théorie bourgeoise, ne peut pas s'extirper du problème que le pitre Böhm-Bawerk voulait imputer à tort à un Marx que, au mieux (mis à part les manipulations usuelles), il ne comprenait pas.

Problème ex ante/post hoc (en Mp)

S1a = 105 + 20 … + 25 # 141,17632 Mp (i.e. pv doit changer et donc aussi pv/C le taux de profit. Pv = 141,176 125 = 16,17632 ; pv/C = 16,17632/125 = 0,130)

S1b = 80 + 20 … + 20 # 112,94106 Mp (ergo pv = 112,94106 100 = 12,94106, donc pv /C = 12,94106/100 = 0,130.)

On notera que le taux de profit reste structurellement le même (sans avoir recours à une égalisation externe) Cependant, les volumes plus la dynamique enclenchée par les invendus favoriseraient S1a car sa productivité resterait effectivement supérieure même si ce genre de O/D, ou concurrence, en diminuerait les effets de manière passagère.

Car la situation s'aggrave irrémédiablement dès le prochain cycle de reproduction (i.e. post hoc.) Car cela revient à évaluer les fonctions de production techniques S1a et S1b selon le même prix unitaire des Mp en situation aveugle en produisant des effets de distorsion cumulatifs.

Cependant malgré cela on soulignera que c'est toujours la fonction de production marxiste qui explique le phénomène et ses épiphénomènes (i.e., v/C, pv/v et demande sociale c'est-à-dire les Equations de la Reproduction) et donc les dynamiques enclenchées par les volumes (et non le taux de profit) et, partant, les lois de motion du capital, soit principalement la concentration et la centralisation du capital ainsi que la création de AR et son impact inflationniste structurel (devant être géré par la planification et les cycles de la RTT, autrement cela sera géré par le partage de la misère ; voir là-dessus la Note ** et la Note 15 sur John Galbraith de mon Livre III.)

Conclusion

La concurrence est une incroyable ineptie marginaliste qui n'explique rien.

Les petites entreprises créées artificiellement par les néolibéraux sont une foutaise tout comme l'Antitrust. Car elles sont contraires à la nécessaire taylorisation, et produisent un énorme gaspillage. De plus, elles empêchent les cycles de la RTT. La concentration et la centralisation selon les données techniques sont inévitables comme le comprenait Schumpeter pour cela pessimiste sur le destin ultime du capitalisme. D'ailleurs les néolibéraux n'ont jamais tenté de morceler les grandes entreprises transnationales privées.

Mais la concentration et la centralisation socialistes doivent répondre aux impératifs de la planification en tenant compte de l'écomarxisme. Cela inclut les entreprises d'Etat et les coopératives. L'idéal reste la massification des produits jusqu'à maturation des marchés. Puis la prise de relais par la production en « short runs » personnalisés. Les entreprises d'Etat et les coopératives doivent retourner à être la norme socialiste dans ce cadre précis, avec la « démocratie socialiste » dûment intégrée dans la planification.

Les théories du don et du contre-don issues de l'anthropologie et de l'ethnologie bourgeoises mélangent valeur d'usage et valeur d'échange, y compris lorsqu'elles discourent sur les modes de production caractérisés par le « communisme primitif ». (le meilleur ouvrage bourgeois sur la question reste celui de Peter Blau, Exchange and power in social life, ed John Wiley and Sons, 1964 ; on notera ici l'expression « social life » pourtant comprise de manière a-temporelle, hors de la surdétermination par le mode de production, de la même manière qu'un Robert Dahl comprenait la « démocratie » comme un système dans lequel « chaque groupe de 4 avait potentiellement le même pouvoir que tout autre groupe de 4 », etc. , etc., …Mais il prenait soin de placer son analyse au niveau municipal.) Or, ce n'est qu'avec le socialisme que la socialité sous forme d'altruisme liée à la production non marchande de la valeur d'usage peut s'éclore. Dans mon Pour Marx, contre le nihilisme (voir le chapitre intitulé Pour le socialisme cubain, à la lueur des importantes corrections apportées ensuite concernant le « domaine de la nécessité », le « domaine de la liberté » et la « démocratie socialiste ») j'avais initié la discussion sur la création de Home Dépôts socialistes alimentés avec les surplus socialistes, le tout lié à des « ateliers nationaux » purement volontaires, d'ailleurs favorisés par le développement socialiste de la RTT qui , pour sa part, reste liée à la production de la valeur d'échange (Ce qui est très différent du modèle mixte entièrement failli pratiqué jadis dans la Hongrie socialiste, ou, pire encore, en URSS avec la perestroïka de Gorbatchev puisque, dans ces cas, la valeur d'usage souvent volée et détournée fonctionnait comme valeur d'échange alternative dans des marchés noirs rampants et destructeurs.)

Paul de Marco

Copyright © La Commune, Nov 26, 2012-Jan 29, 2013

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COMPENDIO DI ECONOMIA POLITICA MARXISTA

1) Rapporti di sfruttamento; 2) Rapporti di distribuzione; 3) Rapporti giuridici (o lotte e alleanze di classe.) 4) (Storia dell'economia politica, il Libro IV del Capitale spesso ignorato dagli editori.)

 

1) Rapporti di sfruttamento.

a) Valore d'uso e valore di scambio.

b) Funzione di produzione marxista

c) Forme della sovrappiù cioè sovrappiù assoluta; sovrappiù relativa; produttività e sovrappiù sociale.

2) Rapporti di distribuzione: Riproduzione Semplice (RS) ed Allargata (RE)

a) Armata di riserva, inflazione, deflazione e tasso di scambio.

b) RS-RA, funzioni di produzione individuali e intermedie di distribuzione legando i cicli del capitale alle funzione di produzione produttive che formano la RS-RA di base.

c) Cicli del capitale, credito e sistema bancario e finanziario.

d) Il regime finanziario internazionale.

e) L'autonomizzazione del capitale denaro o speculazione eretta in sistema.

f) Vediamo ora il tasso di scambio e l'inserzione delle FS nell'Economia Mondiale.

g) Per una nuova definizione dell'anti-dumping capace di proteggere le tre forme del reddito dei focolari.

3) Rapporti giuridici semplici e allargati (ridistribuzione, epoche di ridistribuzioni, alleanze e lotte di classe.

a) Lo Stato e la burocrazia

b) Vediamo allora come si scompone ''v'' e ''pv'' in pratica.

c) L'Ideale sarebbe un comunismo libertario

4) Storia dell'economia politica.

a) APPENDICE: Paragonate la RS marxista al sistema di Tugan-Baranovski/Bortkiewicz.

b) BRANO di HI-HAN: Le asinate visuali allucinatorie degli economisti borghesi. L'OFFERTA E LA DOMANDA.

Addenda:

1 ) Per la pianificazione sovietica e gli ingenti danni causati al cosiddetto socialismo reale da Liberman and Co, vedi : « IL SOCIALISMO MARGINALISTA O COME INCATENARSI SE STESSI NELLA CAVERNA CAPITALISTA. », 29 et 30 dicembre 2014/5 gennaio 2015, nella Sezione Economie Politique Internationale del sito www.la-commune-paraclet.com ; vedi pure i saggi nella Sezione Pour le socialisme cubain/For Cuban socialism nel stesso sito.

2 ) Per la democrazia socialista, vedi il capitolo « Pour le socialisme cubain » dans Pour Marx, contre le nihilisme, Sezione Livres-Books del sito www.la-commune-paraclet.com ; vedi pure la Sezione del medesimo nome nel medesimo sito.

3 ) Per la spéculation vedi il Livre-Book III del 2005, nella Sezione Livres-Books del sito www.la-commune-paraclet.com (utilizzare il termine « montage » con la funzione « Ricercare » ), i saggi « Credit without collateral » e « The Treasury and the FED B, nella Sezione Economie Politique Internationale, idem. Per la distinzione essenziale tra profitto, interesse classico e interesse speculativo, vedi pure « Debito pubblico e sciocchezze marginaliste; il caso italiano, 3 Marzo 2017 » in http://rivincitasociale.altervista.org/debito-pubblico-sciocchezze-marginaliste-caso-italiano-3-marzo-2017/

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RAPPORTI DI SFRUTTAMENTO

a) Valore d'uso e valore di scambio.

Ogni bene suscettibile di essere scambiato ha un valore di uso (vu) e un valore di scambio (ve). Altrettanto vale per la forza di lavoro umano. Pero quest'ultima, al contrario delle altre merci scambiate, risulta essere l'unica che, per sua attività, suo lavoro, possa trasferire simultaneamente queste due caratteristiche ai prodotti di questo lavoro. In definitiva, ogni macchina o processo di produzione, incluso quelli fondati sopra l'Intelligenza Artificiale, rimangono sempre prodotti del lavoro umano anteriore. Lo scambio è il regno della commensurabilità. Come sappiamo per stabilire un rapporto di uguaglianza o meno tra una merce o n merci di stessa natura, e sopratutto di natura diversa, abbiamo bisogno di un metro di misura comune. La moneta conchiglie, oro, argento, paper currency ecc non può mai essere più di uno equivalente generale il quale deve essere a sua volta valutato in referenza ad un equivalente universale. Solo il valore di scambio della forza del lavoro umano, misurata relativamente a quello che costa socialmente per riprodurla secondo le varie epoche del Modo di produzione, può scientificamente pretendere al statuto di equivalente universale capace di rendere tutte le merci diverse commensurabili tra di loro, e perciò capaci di essere scambiate su i vari mercati (scambio muto - troc muet -, emporio, ferie, mercati topologici o meno, borse ecc.) Questo scambio avviene secondo la sua forma dominante, lo scambio essendo un atto generico definito capitalista solo sin da qualche secoli. C'è di più: il valore di scambio della forza di lavoro è l'unico tale metro di misura adatto per stabilire, in modo interamente scientifico, un metro universale capace di spiegare la genesi del profitto.

In effetti dobbiamo parlare del valore di scambio della forza di lavoro umano invece di ''valore del lavoro umano'', come facevano a torto i teorici classici commettendo così quello che Marx chiamava ''un sillogismo giallo'' (prodotto di una pseudo-logica appunto incapace di distinguere tra valore di uso e valore di scambio; l'economia è affare di misura e dunque di valore di scambio.) Se il lavoro umano venisse pagato con il frutto completo dello sforzo messo in atto nella produzione una volta dedotto il costo del capitale circolante cristallizzato nei prodotti, allora sarebbe impossibile spiegare la genesi del profitto: la merce sarebbe strettamente uguale al costo dei componenti entrando nella sua produzione incluso il lavoro umano. Lo fece notare persino Adam Smith sin dall'inizio nella sua opera principale; solo Marx ebbe il rigore logico e il genio richiesti per risolvere questa enigma logica sviluppando l'aspetto duale di tutte le merci, valore di scambio della forza di lavoro incluso; lo fece dimostrando il carattere specifico del lavoro umano, cioè quello di essere simultaneamente lavoro passato pagato come un componente qualsiasi che entra nella produzione secondo quello che costa socialmente per riprodurlo, e lavoro vivo il quale frutto viene unilateralmente accaparrato dal proprietario dei Mezzi di produzione. Lavorando 8 ore il lavoratore rinnoverà diciamo in 4 ore l'equivalente del paniere di beni necessari socialmente alla sua riproduzione, mentre il capitalista, proprietario dei Mezzi di produzione intascherà il frutto delle altre 4 ore di lavoro le quali producono le sovrappiù che risulta essere alla base del profitto e che Marx chiamerà il sovralavoro. Questo ultimo è dunque un vettore o supporto in valore di uso della sovrappiù data per parte sua in valore di scambio. La conclusione è irrevocabile: il profitto è il frutto del lavoro umano e, in quanto tale, dovrebbe andare al ''lavoratore'' almeno una volta tenuto conto del saggio di re-investimento sopra scala semplice o allargata. Il profitto capitalista è dunque un esproprio che risulta dallo sfruttamento del lavoratore qualche sia menando direttamente alla sua alienazione perché viene così separato dal frutto del suo proprio lavoro mediato dalla divisione del lavoro.

b) Funzione di produzione marxista

Si scrive:

c + v + pv = M

Costituisce il cuore microeconomico del intero edificio dell'analisi economica, il quale conduce alla macroeconomia (Riproduzione Semplice o Allargata) al stesso tempo riflettendola.

La funzione di produzione marxista è un dato empirico: per ottenerla, si calcola semplicemente il costo degli input che entrano nella produzione assieme al profitto che ne si ritira. Questo prevale anche quando trattiamo dell'introduzione di nuovi prodotti; in questo caso, si calcola il costo degli input e della sovrappiù secondo la produttività relativa messa in opera per produrli. Questo vale dunque tanto per l'azienda quanto per l'industria o per il settore (ben intenso vale ugualmente per la funzione di produzione sociale globale in una data Formazione sociale.) Questi dati empirici sono epifenomeni, cioè prezzi. Ma mascherano l'asse reale attorno al quale oscillano: il valore di scambio. In effetti, la concorrenza, particolarmente sotto forma di mobilità del capitale, porta solo a gommare le oscillazioni e perciò a fare tendere il prezzo verso il valore.

Qui '' c '' rappresenta il capitale constante oppure meglio il capitale circolante (''used-up '' secondo Paul Sweezy) incluso le materie prime, le macchine e generalmente tutto quello che è necessario all'organizzazione del processo di lavoro immediato, tra quale la burocrazia interna sempre espressione interna della divisione sociale del lavoro.

Similarmente '' v '' rappresenta il capitale variabile espresso dal salario o, meglio ancora, dal reddito dei focolari. Viene detto variabile appunto perché dipende dalle condizioni strutturali nelle quali si svolge il lavoro condizioni tecniche, lotta di classe e norme di civiltà chiamate da Marx ''condizioni morali ''. Queste condizioni strutturali definiscono la spartizione tra lavoro e sovrappiù, cioè il rapporto di sfruttamento pv/v. La forza di lavoro è l'unico fattore di produzione capace di creare valori di scambio commensurabili tra loro perché costituisce l'unico equivalente universale. In quanto tale, il capitale variabile non è solo duale come tutte le altre merci, è anche la sola merce che si presenta simultaneamente come lavoro cristallizzato e come lavoro vivo. Cosicché il salario dipende ovviamente dall'epoca nella quale si vive, quantificando pero in termini monetari (ve) la forza del lavoro spesa nella produzione: corrisponde dunque al '' lavoro socialmente necessario per riprodurlo '' in quanto permette al lavoratore di riprodurre la sua forza di lavoro all'interno del suo focolare, tenendo conto del fatto che il lavoratore fa sempre l'anticipo (o avanzo) della sua possibilità di lavorare (la sua vu), il salario essendo solo pagato dopo che il lavoro sia stato effettuato.

La sovrappiù (pv) esprime una verità semplice: nessuna merce può vendersi al suo costo di produzione c + v per lungo tempo senza portare alla rovina del capitalista. La produzione implica dunque sempre un surplus e un avanzo da parte della forza di lavoro. Quando due merci diverse si vendono al stesso prezzo, diciamo A = B = 100 euro, questo significa due cose. Prima, dal punto di vista del valore di scambio (ve) che il processo di produzione trasferisce alla merce A il ve contenuto nei costi di produzione (c + v) ai quali si aggiunge un profitto pv. Tutta la questione si riassume nel capire da dove viene questo incremento pv senza pero rompere l'uguaglianza tra A e B e senza fare ricorso ad un suo carattere aleatorio (diciamo secondo quello che viene auspicato dal proprietario dei Mezzi di produzione. Di fatti, la pratica stessa della concorrenza confuta queste pie illusioni! Tutto diventa più chiaro quando si tiene conto dell'avanzo fatto al capitalista dal lavoratore in termini di vu e di ve. La forza di lavoro è prima di ogni altra cosa lavoro cristallizzato dunque valutato in termini di valore o di prezzo (il salario) secondo quello che costa socialmente per riprodurla. La ve de A sarà dunque uguale alla ve di c + più la ve di v … più la ve di pv della quale si deve pero ancora spiegare la genesi. Questo risulta dal valore di uso particolare dalla forza di lavoro umano rispetto a tutte le altre merci: in effetti, solo la forza del lavoro umano può conferire alla merce che esce dal processo di produzione simultaneamente un valore di uso nuovo (o sapere fare, façon) assieme ad un valore di scambio compatibile con la commensurabilità di tutte le altre merci tra di loro. Così la forza del lavoro appare simultaneamente come lavoro passato, la quale ve viene trasmesse integralmente alla merce prodotta (salario), e come lavoro vivo: in quanto lavoro vivo è capace di spendersi aldilà di quanto costa per rinnovarsi. Se necessitano 8 ore per produrre A e 4 ore per produrre l'equivalente del salario, il frutto di queste 4 ore supplementari rappresentano un sovralavoro in termine di vu e dunque una sovrappiù in termini di ve. Questo sovralavoro preso sopra v (i.e., pv/v) rappresenta il tasso di sfruttamento nel senso preciso nel quale il sovralavoro prodotto dal lavoratore è intascato dal proprietario dei Mezzi di produzione. In quanto sovrappiù, cioè in termine di ve, pv preso sopra il costo di produzione (c + v ) rappresenta il saggio del profitto il quale si scrive dunque pv/(c +v).

Il capitale fisso e l'ammortamento. Considerando il capitale costante teniamo conto per ora, nella funzione di produzione, solo della parte del capitale circolante detta da Paul Sweezy '' used up '' quella cioè che viene trasferita al prodotto. Le considerazioni supplementari relative al capitale fisso e all'ammortamento non ci concernano a questo punto ma saranno analizzate quando parleremo del credito e dei cicli del capitale concretizzati nella riproduzione.

I rapporti fondamentali della funzione di produzione.

La funzione di produzione permette di concepire i rapporti più importanti e strettamente collegati l'uno con l'altro. Prendiamo la funzione di produzione: c + v + pv = M.

Qui v/C (dove C = c + v) rappresenta il tasso di composizione organica del capitale, cioè il rapporto del lavoro vivo al numeratore sopra tutto il lavoro passato cristallizzato nel capitale costante e nel capitale variabile spesi nella produzione di M.

Similarmente pv/v rappresenta il tasso di sovrappiù o di sfruttamento del lavoro. Questi due tassi o rapporti principali sono intimamente legati tramite la forza del lavoro. Per facilitare le cose prendiamo C = 100. Il tasso pv/v permetterà allora di trovare il valore di M. Di conseguenza, se M rimane identico, ne segue in modo aritmetico che la modifica della composizione organica avrà necessariamente un impatto proporzionalmente inverso sopra il tasso di sovrappiù.

Il tasso di sovrappiù permette di determinare il tasso di profitto notato pv/(c+v), in altre parole la sovrappiù presa sopra l'insieme del capitale costante e del capitale variabile utilizzato nella produzione.

c) Forme della sovrappiù cioè sovrappiù assoluta; sovrappiù relativa; produttività e sovrappiù sociale.

Per capire cos'è la sovrappiù assoluta basta prendere la funzione di produzione facendo variare unicamente la durata del tempo durante il quale si esercita, tenendo pero tutte le altri variabili costanti: l'analisi dice Marx è il microscopio della ragione. Perciò, si dovrà aggiustare proporzionalmente gli input necessari per produrre più prodotti dato l'allungamento della durata del processo di produzione che si svolge pero in condizioni immutate. Se riportiamo il risultato sopra una base C = (c + v) = 100, non cambierà nulla dal punto di vista strutturale. In termini di valore assoluto per contro questa giornata di lavoro allungata darà più prodotti. Questo provocherà sicuramente meccanismi di aggiustamento se non altro tramite la mobilità del capitale e del lavoro, per non menzionare gli eventuali ricorsi legali per violazione delle norme tendo conto delle ore supplementari permesse. Ovviamente, il ricorso sostenuto alla sovrappiù assoluta nel Modo di produzione capitalista (MPC) ammonta ad un '' lavorare tondo (come l'O di Giotto)'', cosa necessariamente vana e senza avvenire in un modo di produzione fondato appunto sopra il continuo incremento della produttività reale. Non di meno la sovrappiù assoluta è caratteristica di tutti i modi di produzione pre-capitalisti, visto che con questi modi di produzione le tecniche evolvano molto lentamente, sopra tutto nel settore agricolo allora preponderante, l'unica variabile sopra la quale si poteva agire in tempo normale essendo appunto la durata della giornata di lavoro. Nonostante questo porterà a varie conquiste di civiltà di estrema importanza benché troppo spesso sottovalutate (ad esempio le feste religiose non lavorate, i privilegi delle corporazioni responsabili delle norme per gli Arti e Mestieri ecc. L'evoluzione del diritto dei lavoratori della gleba passando dal statuto di schiavo a quello di … servo -serf- poi di mezzadro métayer- , di tenancier e così via; vedi a questo soggetto Marc Bloch e l'Ecole des Annales e sopratutto il lavoro di Marx sulla rendita.)

La sovrappiù relativa è fondata sopra l'intensità congiunturale, tutto il resto rimanendo immutato. Anche qui non sarà provocato nessuno mutamento strutturale mentre si intuisce facilmente che il ricorso a questa forma di estrazione della sovrappiù non può diventare la norma essendo questa per essenza transitoria. E purtroppo il caso con le cadenze infernali praticate sopra le catene di montaggio o ancora con le spinte momentanee qui e la, fenomeni per altro conosciuti anche dalla piccola storia delle relazioni di lavoro sovietiche, quando diventava necessario fare '' cifra '' in extremis per darsi l'apparenza di avere rispettato il Piano (salvando così la testa dei compagni managers meno rompa scatole per dirlo nel vernacolare ...)

La produttività è la forma di estrazione della sovrappiù specifica del MPC, un Modo di produzione fondato sopra il mutamento incessante delle tecniche applicate alla produzione e dunque della composizione organica del capitale. Mentre i modi di produzione anteriori erano fondati sopra la tesorizzazione delle ricchezze, il MPC è fondato sopra l'accumulazione costante del capitale: il capitale smette di esistere se non partorisce altri incrementi di capitale con lo sfruttamento sempre più esteso dei lavoratori. Così, per una identica giornata di lavoro, l'approfondimento della composizione organica permette di produrre una quantità proporzionalmente più grande di un stesso prodotto (oppure, dato l'elasticità, di un prodotto simile.)

Risulta utile illustrare le cose a questo punto se non altro per mettere in valore la potenza della funzione di produzione marxista. Questa permette di controllare simultaneamente i valori o prezzi e le quantità di prodotti ma ugualmente le ore lavorate da ogni lavoratore, cosa che la funzione di produzione marginalista non è assolutamente capace di fare perché fondata sopra una visione amputata del valore di scambio sprovvisto dal suo supporto obbligato, cioè il valore di uso, in particolare quando si tratta del fattore di produzione speciale incarnato dalla forza di lavoro umano. Il marginalismo comprende la produttività solo come una economia di scala sottomessa ai rendimenti crescenti o decrescenti, una vera e propria inettitudine. Di fatti, nel migliore dei casi, corrisponde ai vari ciechi tentativi espressi nella messa in opera del processo di produzione ( o, se si preferisce, le varie tape poi dimenticate che si debbono affrontare per arrivare al punto di equilibrio delle curve di offerta e di domanda sopra il lungo termine, a secondo delle informazioni disponibili sociologicamente.) Questo per arrivare alla norma ottimale di produzione secondo le norme sociali, spesso legalizzate dal taylorismo, se si esclude l'epoca del liberalismo classico cioè quella della cosiddetta '' concorrenza selvaggia '' oppure del neoliberalismo attuale. Al punto di equilibrio viene raggiunta la velocità di crociera: bella analisi! (pace Sraffa: vedi le sue perspicace ma incompiute critiche interne degli Anni 20. Senza scherzare, dalle curve di offerta e domanda nel corto-termine stabilite sulla base dei prezzi, alle medesime curve ma sul lungo termine stabilite secondo le economie di scala sempre in termini di prezzi, si evidenzia una sbalorditiva noria di pitre '' svegli '', cioè di tizi che cammina allegramente senza paraocchi … Per fortuna Böhm-Bawerk aveva sottolineato il problema ex ante/post hoc : ma, a dire la verità, concerna il paradigma marginalista distruggendolo '' roots and branches '', e certo non la legge del valore, particolarmente quella esposta nel Capitale di Karl Marx.) Basta a provarlo il fatto che questo genere di analisi tipicamente borghese è obbligato di trattare l'essenziale, cioè la tecnologia, come un fattore esogeno, visto che non dispone del concetto di composizione organica questo risulta essere particolarmente il caso per il pitre pretenzioso e coscientemente falsario, Robert Solow, nel suo articolo nobelizzato del 1956.

Vediamo un esempio (qui €=euro; p = prodotto; h = ora )

c:80€         + v:20€         + pv:20€                 = M1:120€

80p/80h         20p/20h         20p/20h                 = 120p/120h

Se la produttività si approfondisce di 1/4 in SI; avremo:

c:84€         + v:16€         + pv:20€                 = M1:120€

105p/84h          20p/16h          25p/20h                 = 150p/120h

Notate qui come si presenta v dal punto di vista della vu e della ve: abbiamo qui il cuore della teoria della produttività. In effetti, in termine di vu abbiamo una forza di lavoro identica che pero concerna meno lavoratori fisici, i quali vengono '' liberati '' come conseguenza dell'approfondimento della composizione organica passata da v/C = 0,2 a v/C = 0,16. Ma il valore di scambio della forza del lavoro rimane sempre lo stesso mentre il ratio pv/v aumento di 1/4 come pure il ratio M'/M. Perciò, Marx elogiava l'aspetto rivoluzionario del MPC, notando pero che diventava il suo proprio affossatore nel momento in cui sarebbe rotta la compatibilità tra l'evoluzione delle forze produttive e quella dei rapporti di produzione. Fatalmente arriva un momento nel quale anche con l'introduzione di settori supplementari capaci di assorbire i lavoratori liberati in permanenza compreso in questi medesimi nuovi settori oppure con la riduzione del tempo legale di lavoro, il MPC è obbligato di dare precedenza ad un modo di produzione più performante e socialmente razionale, cioè il Modo di produzione socialista (MPS). Quest'ultimo è fondato sopra un'estrazione superiore e più razionale della sovrappiù, la sovrappiù sociale.

Notiamo ancora qui una conseguenza della produttività capitalista: in una data struttura di partenza, il tasso di profitto rimane immutato; per contro il volume del profitto, specificamente per l'impresa capace di mettere in campo una migliore produttività, aumenterà proporzionalmente dato che sarà capace di conquistare una più grande fetta del mercato disponibile con i suoi prodotti meno cari. Questo risulta essere la base delle due leggi di mozione fondamentali del MPC : la centralizzazione e la concentrazione del capitale (e dunque pure la base della spinta colonialista o imperialista nel tentativo di spazzare via gli ostacoli all'accumulazione del capitale specificamente quando il mercato interno diventa saturato mentre le nuove forme di produzione e i nuovi settori non sono ancora disponibili.)

La sovrappiù sociale esprime un'idea semplice: la sovrappiù pv essendo prodotta da v, essa dovrebbe doverosamente fruire ai lavoratori; purtroppo anche il MPS deve ampliare in permanenza la riproduzione per soddisfare sempre di più i bisogni individuali e sociali solvibili, liberando nel stesso tempo il lavoro per mezzo della Riduzione del Tempo di Lavoro resa possibile grazie a l'aumento costante della produttività. Né segue la necessità di determinare la spartizione ottimale tra v e pv. Il liberalismo classico o concorrenza selvaggia riduce v alla sua più semplice espressione nientemeno costringendo fanciulli e anziani ai lavori più duri, incluso nelle miniere. Le società capitaliste avanzate hanno subito imparato a transitare dal semplice '' salario capitalista individuale '' al reddito globale netto '' dei focolari. Questo ultimo comprende oltre al primo, il '' salario differito '' (ammortizzatori sociali, pensioni ecc.), come pure i trasferimenti operati nella forma di programmi sociali pubblici che vanno di pari passo con l'istituzionalizzazione del risparmio dei lavoratori i contributi sulla busta paga i quali operano come ammortizzatori sociali anti-ciclici. Similarmente, la struttura fiscale moderna socializza una parte della sovrappiù intascata anteriormente dai capitalisti individuali, permettendo così l'intervento strategico dello Stato nell'economia a benefico dell'insieme dei capitalisti (il cosiddetto ''comunismo del capitale'' secondo Marx) e, in modo accessorio, al beneficio della società in generale anche se solo a mo di legittimazione politica e ideologica.

Questa socializzazione più ampia conoscerà la sua massima estensione con il socialismo, mettendo allora in gioco quello che ho chiamato la '' sovrappiù sociale '' . Questa è cruciale. A tal punto che lo avevano già cominciato a intuire i Keynesiani dato che la regulation economica anche borghese (se non altro nella forma del finanziamento pubblico delle infrastrutture, della ricerca universitaria, dei regimi di pensioni e sanitari pubblici ecc.) favorisce fortemente l'incremento della produttività al livello microeconomico. Si tratta qui di un dato importantissimo anche se interamente offuscato dai marginalisti e più ancora dai monetaristi propagatori della ''politica dell'offerta'' supply-side economics - assieme alla sua regressiva ''public policy'': la loro zoppicante ontologia mette questa evidenza accecante fuori del campo visivo dei loro radar ideologici.

I fatti comunque parlano da se. Ecco alcuni di essi:

a) I programmi di assistenza sociale attribuiti al conta goccia del Presidente americano Hoover, il campione del '' rugged individualism '' (già allora!), costavano molto di più paragonati al sistema purtroppo ancora parziale della Social Security di F. D. Roosevelt, questo essendo un argomento valevole in tutti i casi. Basta ricordare che il sistema sanitario privato americano spreca più di 16 % del PIL, lasciando pero decine di milioni di cittadini senza copertura medica, mentre il sistema pubblico prevalente in Europa, benché oggi vittima del sabotaggio interno, costa solo tra il 10 al 11 % del PIL in media. Questo si verifica anche per i sistemi di pensioni.

b) In effetti, poco fa, GM scappò al fallimento soltanto grazie al piano di salvataggio federale, altrimenti il peso cumulato dei regimi di pensione di casa era diventato troppo oneroso, questo essendo un problema generalizzato per tutta l'industria americana, un problema che basta per stabilire da solo la causa principale della deindustrializzazione. In tanto ai Marginalisti piace sempre confondere il costo del lavoro sottolineato da loro e il costo di produzione da loro dimenticato perché mette in causa la razionalità dei managers e quella della gestione della FS (interdipendenza tra le scelte micro e macroeconomiche.)

c) La privatizzazione delle imprese pubbliche ebbe successo nel distruggere i sindacati ivi rappresentati, trasformando i cittadini da '' utenti '' in semplici '' clienti '' degni di considerazione solo quanto solvibili dal punto di vista monetario, questo proprio mentre la precarietà dilaga e la qualità e l'estensione dei servizi stessi ne patiscano. Queste conseguenze sono particolarmente evidenti in periferia dove si aggravano così le disparità e le ingiustizie regionali già esistenti, senza per potere mantenere la promessa di abbassare i prezzi.

d) Come dimostrato nel mio Tous ensemble, le infrastrutture sono necessarie ad esempio per adattarsi ai cambiamenti climatici che hanno poco da vedere con un presunto effetto antropogeno; vedi a proposito il mio Défi aux écologistes nella sezione Commentaires d'actualité. Ma non vengono prese in carica dal capitale privato. In effetti, questo essendo soggetto alla dittatura del corte termine, non può mobilitare i considerevoli fondi necessari dato che non potrebbero essere ammortiti a medio e lungo termine ad un livello compatibile con gli attuali ROE (return over equity). Di più, diventa così facile confondere clima e temperatura al livello regionale e mondiale, mettendo sul conto del riscaldamento climatico i vari disastri direttamente causati dalle privatizzazioni delle impresse pubbliche e dalla distruzione dell'assetto fiscale dello Stato incluso al livello locale -, trasformando così i Stati sovrani, accusati di essere '' interventistici '', in Stati servilmente assoggettati alla ''private globale governance'', cioè in cosiddetti ''Stati minimi'' benché le ''tax expendutures'' (o per eufemismo le ''spese fiscali'') assieme alle altre esenzioni ed i numerosi cunei, esoneri e crediti fiscali a beneficio del solo capitale. In realtà, questi costano molto più caro paragonati alle vecchie sovvenzioni dirette, le quali rispondevano almeno ad una '' longer view '' (Baran) nazionale, invece di servire unilateralmente le distruttrice voglie delle aziende transnazionali che impongono il loro modello imperiale crociato della '' governanza globale privata '' di natura diametralmente antitetica al quella dei Stati-nazioni. Queste derive spiegano comunque le pagliacciate dei cosiddetti ''modello californiano'' (malgrado Enron) e altri ''modelli British-Colombiani''. (Questo ultimo, posto interamente aldilà di ogni senso di vergogna, pretende che lo Stato deve assumersi i costi di costruzione a lungo termine, in modo da trasferire in seguito le infrastrutture a vile prezzo al settore privato incaricato della loro gestione per gioire (!) così della ''verità dei prezzi'', la quale come ben sappiamo, è solo rivelata dal ''mercato '' senza altre specificazioni: si cammina qui sopra la testa, ma dato che si tratta del Frazer Institute nessuno potrà pretendere di essere sorpreso! Si possono moltiplicare gli esempi.

Rimane che il processo necessario per portare a termine questa socializzazione della sovrappiù sarà opera della pianificazione socialista appunto come vedremo nella sezione B. Intanto, importa sottolineare qui che il MPC stesso è obbligato a ricorrere alla sovrappiù sociale non tanto per umanizzare il suo sistema ma piuttosto per lottare contro i suoi '' spiriti animali '', come le fece giustamente notare Keynes, cioè per lottare contro le sue contraddizioni fondamentali. Altrimenti rischia di trovarsi faccia a faccia con la contraddizione che oppone la sovraproduzione capitalista al sottoconsumo delle masse: Lenin sottolineava che il MPC è caratterizzato da una produzione sociale e da una accumulazione privata, rendendo così molto instabile l'intero sistema. Vedremo in seguito come questo influisce sopra la '' struttura di v ''.

2) Rapporti di distribuzione: Riproduzione Semplice (RS) ed Allargata (RE)

L'allocazione ottimale delle risorse con l'obbiettivo di produrre nuove risorse costituisce il cuore della scienza economica. La RS e la RE rappresentano l'unico mezzo per raggiungere l'equilibrio generale, conservando per intanto la coerenza tra microeconomia e macroeconomia. Le teorie economiche borghesi sono del tutto incapaci di farlo. Meglio, questa incapacità ribalta contro Böhm-Bawerk la critica che questi pretendeva indirizzare a Marx. In effetti, la teoria della produttività rapporti proporzionalmente inversi dispone ad un botto di un insieme di ragionamenti fallaci, tra i quali quelli relativi alla cosiddetta contraddizione tra valori e prezzi di produzione, quelli relativi alla tendenza al calo del tasso di profitto, un'idiozia pronte a confondere volumi e tassi di profitto senza nemmeno badare che nelle brutte copie, ritenute da altri in modo postume per formare il Libro III del Capitale, Marx notava anche le contro-tendenze … notando pure i problemi legati alla rendita …

Possiamo ricomporre l'intero schema della Riproduzione in due grandi settori: il Settore dei Mezzi di produzione e il Settore dei Mezzi di consumo. Ognuno di questi due settori sarà rappresentato dalla sua funzione di produzione marxista aggregata. Inutile dire che si potrà in modo simile decomporre ognuno di questi due settori in sotto-settori, in industrie e anche in impresse singolare. Meglio ancora, la potenza della funzione di produzione marxista rimanendo coerente in termine valore (e prezzi) come pure in termini quantitativi, potremo ricomporre con facilità le filiere economiche, tenendo conto della polivalenza di certe impresse e di certe industrie. Per facilitare le cose, si reduce per prima ognuno dei settori, o altro aggregato che sia, sopra una base C = 100. Poi si applicano le Equazioni della Riproduzione enunciate da Marx e formalizzate in modo semplice da Bucharin. In questo modo permettano di esporre le proporzioni da rispettare fra settori e dunque di concepire l'equilibrio sistemico, sempre rispettando i cicli del capitale e assicurandosi della coerenza negli scambi implicati.

Le Equazioni della Riproduzione Semplice (RS) formano un sistema stabile perché sono capaci di riprodursi all'identico e possono dunque servire di base sopra la quale si elaborano in seguito le condizioni dinamiche che prevalgano nella Riproduzione Allargata (RE). Eccole qui sulla base delle funzioni di produzione aggregate di SI e SII:

SI : c1(80) + v1(20) + pv1(20) = M1 (120 euro per 120 Mp)

SII : c2 (40) + v2 (10) + pv2 (10) = M2 (60 euro per 60 Cn)

Le Equazioni della RS sono le seguenti :

c2 = (v1 + pv1)

M1 = (c1 + c2)

M2 = (v1+ pv1) + (v2 + pv2)

Applicando i rapporti di proporzione inversa che presiedano alle modifiche simultanee della composizione organica del capitale (v/C) e del tasso di sfruttamento pv/v, si può modificare la produttività senza intaccare la coerenza in valore, prezzo e quantità della legge del valore o della RS. (La modifica di pv/v da la percentuale del aumento o della diminuzione della produttività.) Pero verificheremo un Effetto RS dovuto alla contrazione del settore non toccato dall'aumento di produttività e dal lavoro cosiddetto '' liberato ''. Questo Effetto è di importanza capitale come lo vedremo in seguito, sopratutto per capire la teoria quantitativa marxista della moneta.

RS                                                                         RS + Armata di riserva (pv1/v1= 1,25; SII immutato)

80 + 20 + 20 = 120 (120Mp)                                 84 + 16 + 20 = 120 (150Mp)

40 + 10 + 10 = 60 (60Cn)                                 36 + 9 + 9 = 54 (54Cn)

-----------------------                                                 -------------------------------

        30                                                                         25 (AR= 5 in termini ex ante)

Notiamo qui due elementi importanti nel Schema di destra che include l'aumento di produttività: A) Prima la creazione dell'Armata di riserva (AR) dovuta all'aumento della produttività, il quale fa si che la stessa forza di lavoro v1 in termine di Mp (il valore di scambio di ogni Mp essendo abbassato in senso inverso ) rappresenta pero meno lavoratori fisici. B) L'Effetto RS : cioè, la contrazione in valore del settore SII, il quale continua a produrre nelle stesse condizioni ante in quanto riguarda v/C e pv/v. Non di meno questa contrazione mostra che SII deve per forza adattarsi alla domanda sociale (cioè, rispettare le Equazioni della RS-RA) adattamento che avviene necessariamente tramite i prezzi relativi. Così, 1 Mp valendo 0,8 euro, la funzione di produzione diventerebbe 32 + 8 + 8 = 48. Ma rispettando la domanda sociale la funzione di produzione si stabilirà a 36 + 9 + 9 = 54.

Passiamo ora alla Riproduzione Allargata (RA). Notiamo che il schema fondato sopra v/C e pv/v, rapporti identici in SI e SII, non deve più essere considerato come un caso particolare dato che è già stato risolto il problema dei rapporti inversi nel caso interviene un cambiamento nella produttività.

Ammettiamo che la metta di pv1 sia reinvestita. (Notiamo : E = risparmio, e tE = tasso di risparmio = E/pv.) La ripartizione del reinvestimento sarà notata qui in grassetti.

t1                                                 Reinvestimento                                                 t2

                                                        8 + 2 + (2)

SI : 80 +20+(10+10)=120         SI : 80 +20+(10=10)=120                         SI : 88 +22+22=132

                                                        4 + 1

SII: 40 +10+10=60                         SII: 40 +10+10=60                                         SII: 44 +11+11=60

La RS rimane sotto-giacente alla RE, ma la metta di pv1 viene reinvestita. Per rispettare, le Equazioni della Riproduzione SII dovrà adattarsi: dovrà necessariamente farlo al stesso tasso. In effetti, la parte di pv1 risparmiata (qui 10) che da il tE1 reinvestito si distribuirà in c'1(8) e v'1(2) secondo la composizione organica prevalendo in SI. Tramite il meccanismo dei scambi questo provocherà sempre, secondo la composizione organica prevalendo in SII, c'2(2) e v'2(0,5). Ora, questo non basterà per assicurare gli equilibri; perciò il meccanismo dei scambi porterà alla normalizzazione per anticipazione: Essendo obbligato a rispondere ad una domanda reale, SII sarà incitato a scambiare più della propria pv2 per ottenere i Mp mancanti. Ma questo avviene rispettando il rapporto v/C, SII dovendo così coprire i bisogni supplementari in v'2. Una volta ottenuto ''v'', considerando il lavoro vivo si ottiene automaticamente la '' pv '' corrispondente tramite il tasso di sfruttamento. Si ottiene così il risultato già indicato nei schema esposti qui sopra.

L'anticipazione è solo un'altra maniera di dire che il tasso di profitto in un sistema dinamico rimane lo stesso: comunque sono cose che bisogna dimostrare come abbiamo fatto qui sopra e non solo affermare. (Notiamo che già con i suoi Manoscritti parigini del 1844, in un raggio di genio usuale, Marx affermava che la '' domanda sociale '' ha priorità sopra gli epifenomeni della concorrenza. Ma si doveva stabilire le Equazioni della Riproduzione dopo un lungo studio dei Physiocrates, di Sismondi e del Tableau di Quesnay per concepire la logica delle Equazioni della RS e della RA Libro II del Capitale. Rispondendo al commento di Gramsci relativo al metodo di Ricardo, Sraffa menzionò i Manoscritti … e, di fatti, nei suoi prolegomeni Produzione di merci per mezzo di merci Sraffa rinvia ben inteso al '' lavoro socialmente necessario '' di Marx, che trasformerà o piuttosto occulterà in un '' paniere base '' per di più concepito unicamente come ve e non simultaneamente come ve e vu (il valore di uso, vu, essendo particolare per questa specifica merce, cioè la forza di lavoro, che si presenta simultaneamente come lavoro passato e come lavoro vivo, unico metodo capace di spiegare la genesi del profitto riferendosi al sovralavoro.) Perciò, senza nessuna sorpresa, Sraffa cade nello stesso difetto in cui cadano tutti gli economisti borghesi (sin da J.B. Say, Cournot e Walras e tutti gli altri in seguito.) In particolare, il metodo di Sraffa, come tutti gli altri modelli borghesi, impedisce di afferrare il fenomeno centrale dello sfruttamento e dunque quello della genesi del profitto, il cui tasso rimane per lui esogeno. Di più, malgrado le sue lungimiranti ma incomplete critiche interne dei rendimenti crescenti e decrescenti (anni 20), Sraffa non dispone di un sistema di Riproduzione razionale: prende in prestito il sistema di Tugan-Baranosvki e di Bortkiewiczicz (vedi Appendice) fondato sopra la manipolazione di una semplice equazione quadratica atta solo a mascherare il feticismo dell'oro e della moneta che ne costituisce la base originale cioè, l'equivalente generale sostituito all'equivalente universale; questa pseudo-soluzione viene sostituita ad una teoria marxista scientifica che doveva essere completata con l'inserzione coerente della teoria della produttività nelle Equazioni della RS e della RA: dimostrazione definitiva offerta da me.

Ben inteso, l'equilibrio generale abbandonato alla '' mano invisibile '' crea solo ineguaglianza e sperpero. Ad esempio, la logica dell'anticipazione presentata qui sopra può essere oggetto di ottimizzazione socio-economica con il ricorso alla pianificazione socialista. Abbandonata ad una ridistribuzione sovra-determinata dalla proprietà privata non produce niente altro che crisi, ancora aumentata dalla mediazione borghese effettuata dalla moneta. Peggio ancora, quando il capitalismo viene confrontato alle crisi strutturali, diventa preda di tentazioni anti-liberali e nietzschiane ancora aggravate in Occidente dal filosemitismo nietzschiano. Questo porte dunque verso una diminuzione dei reditti del proletariato ma anche a spese inutili (ad esempio le spese militari superflue nel quadro della difesa nazionale concepita secondo l'Articolo 11 della Costituzione italiana quindi della Carta dell'ONU.) Questo col scopo di sostenere una crescita artificiale. Questa tentazione fu particolarmente ben illustrata dal reazionario Report from the Iron Mountain e poi con la cosiddetta '' politica dell'offerta '' monetarista attualmente egemonica.

a) Armata di riserva, inflazione, deflazione e tasso di scambio.

Quando si considera il valore di scambio (ve) senza il valore di uso (vu) si cade subito nel feticismo della moneta: questo vale particolarmente nel quadro del MPC, il quale maschera lo sfruttamento della forza di lavoro occultando così l'origine del profitto. In tal modo, i fattori di produzione vengono liquefatti nella loro forma monetaria in modo che la moneta appare come partoriente di nuova moneta, ponendosi come bene reale. In questo modo l'economia reale sparisce dietro la sua facciata monetaria. Abbiamo detto che la moneta è un equivalente generale il quale deve anch'esso essere valutato in termine dell'equivalente universale, il valore di scambio della forza di lavoro (la quale a suo turno include qui la propria riproduzione nel seno del suo focolare e della società in generale.) Vediamo come si presentano le cose introducendo la moneta come mediazione degli scambi nella RS.

Includeremo dunque il caso della creazione dell'Armata di riserva (AR) dato la crescita della produttività.

RS                                                         RS + Armata di riserva (pv1/v1= 1,25; SII immutato)

80 + 20 + 20 = 120 (120Mp)                 84 + 16 + 20 = 120 (150Mp)

40 + 10 + 10 = 60 (60Cn)                 36 + 9 + 9 = 54 (54Cn)

-----------------------                                 -------------------------------

        30€                                                         25€ (oppure 27,5 € se AR = 2,5 €)

Va notato che i scambi essendo necessariamente bilaterali (critica positiva di P.P. Rey all'Accumulazione del capitale di Rosa Luxemburg), 30 € basteranno per operare la mediazione tra tutti i scambi della RS. Altrettanto vale in principio per gli 25 € nel secondo schema se ci atteniamo ad un schema astratto di ogni realtà sociale. Ben inteso, il MPC rappresenta solo una specifica forma di società, non del tutto ideale. All'immagine dei marginalisti e di tutti quanti a parte i marxisti si può desiderare pretendere che la forza del lavoro possa essere liquefatta a volontà. Rimane che il passaggio del Schema RS al Schema RS con AR ci mette in presenza di una forza del lavoro v'1 = 16 euro = 20 Mp ma con un numero di lavoratori fisici diminuito perché '' liberati '' dall'aumento della produttività. Ma purtroppo questi lavoratori '' liberati '' debbono pure vivere, in modo che questa innegabile necessità costituisce la base fondamentale della lotta di classe nel quadro del MPC, menando fatalmente come annunciato da Marx al suo superamento con una forma di produzione più capace di coniugare l'inarrestabile sviluppo delle forze produttive con i rapporti di produzione cittadini.

Una forma di sostegno capitalista fondata sull'illusione monetaria consiste nell'emissione di una massa salariale sociale più grande della massa monetaria salariale stricto sensu. Questo permette di trasferire ad AR una parte dei beni destinati a v, operazione che avviene naturalmente tramite i scambi: con una conseguenza, cioè l'induzione del medesimo effetto inflazionista illustrato dalla pioggia monetaria messa in scena da Hume. Fatalmente i dirigenti tenteranno di controllare tale processo di erosione senza ridistribuire con più equità le ricchezze sociali da loro monopolizzate (quelle di pv). Questo porterà allo sviluppo della politica monetaria ed al sistema della banca centrale capitalista. Di fatti, la massa monetaria principale (massa salariale sociale) si adatterà al livello di sostegno accordato ad AR: pero, come ben sappiamo, col MPC questo sostegno deve per forza essere inferiore al salario più basso. Questo rimane vero anche sé almeno secondo gli insegnamenti della Tennessee Valley Authority, antenato delle statistiche secondo Kuznets e dei suoi seguaci marginalisti sempre un poco sopra la soglia di '' maintenance '', termine capitalista appropriatamente derivato dalla meccanica. La Tennessee Valley Authority aveva dimostrato che senza questo livello minimo di maintenance dopo due anni circa la forza di lavoro disoccupata non sarebbe rimasta produttivamente impiegabile. (Questo rimane vero per il '' reditto annuale minimo'' di Milton Friedman, ispirazione diretta delle più tardive e illusionistiche sciocchezze reazionarie del tipo del '' reditto cittadino '' a salsa grillina, ricavato pero tagliando la maggioranza delle pensioni di vecchiaia purtroppo già minime: come sappiamo miracoli non se ne fanno più, se non col sudore della fronte dei lavoratori attivi.)

Poniamo qui che AR riceva in sostegno l'equivalente della metta di una unita di v globale in modo che AR = 30 25 = 5 AR = 2,5 euro (cioè, in termine di '' lavoro astratto '', astrazione fatta dai diversi mestieri implicati nella divisione interna del lavoro settoriale e intersettoriale; come si vede si tratta di una concezione molto lontana dal concetto primitivo di '' lavoro semplice '' di Adam Smith o da quello di '' lavoro del manovale '' di Jean Fourastié.) La '' massa salariale reale '' di 25 euro diventa la '' massa salariale sociale '' di 27,5 euro che servirà a mediare de facto i scambi, creando così una '' inflazione strutturale '' il quale tasso sarà 27,5 / 25 = 1,1. (Come vedremo in seguito esistano altre forme di inflazione o all'inverso di deflazione.) La borghesia non perse molto tempo per scoprire il potenziale di ridistribuzione regressivo e disuguale dell'inflazione (esempio tardivo: gli Accordi di Grenelle del Front Populaire, atlantista prima dei suoi tempi, di Léon Blum, un dirigente che per un curioso equivoco era convinto di appartenere alla '' razza di Herder ''! Altro esempio, l'ingegneria monetarista di guerra immaginata dal Dr. Schacht contro il Tratto di Versailles, strategia appoggiata in effetti da Hilferding e dalla sociale-democrazia tedesca, e con la quale si cercava di strumentalizzare gli Accordi Dawes e le sue sequele incluso il loro anti-bolscevismo attivo - col fine di re-industrializzare e riarmare la Germania.) Il dettaglio che include le rotazioni è il seguente:

S = massa monetaria = massa salariale

R = numero delle rotazioni; R = C/v + pv/v

M€ = valore in euro del prodotto totale = S x R

 

Avremo così per il capitale totale : 145/25 = 5,8; 29/25 = 1,16

=> M€ = 25 x 6,96 = 174 €

 

Se introduciamo AR in termini monetari otteniamo naturalmente la differenza. Denominando questa espressione inflazionista del valore di scambio in senso stretto, ''valore-prezzo '', otterremo:

        S = massa salariale = 25€

        Ss = massa salariale sociale = 25 + 2,5 = 27,5 € col Schema AR

        Tasso di inflazione = Ss/S

        Rs = 6,96R x tasso di inflazione = rotazioni tenendo conto dell'inflazione.

        Ms € = prodotto totale espresso in '' valore-prezzo '', cioè il valore reale tenendo conto dell'inflazione.

L'Effetto RS ed i settori intermedi, cioè la necessità della Riduzione del Tempo di Lavoro (RTL) e della pianificazione.

Se aggiungiamo una linea supplementare ai due schema dati qui sopra, cioè quella del capitale sociale (dunque la sua funzione di produzione globale sarebbe l'aggregato di (c1 + c2) + (v1 + v2) + (pv1 + pv2) = (M1 + M2). La crescita della produttività libera la mano-d'opera in termini di lavoratori fisici. E questo avrà ripercussioni su c2 nel caso dato qui sopra. Alfred Sauvy dopo i marxisti ma nell'ottica della cosiddetta Pianificazione Incitativa e Indicativa francese faceva notare che il '' déversement '' o trasferimento della mano-d'opera, quindi il suo assorbimento nei nuovi sotto-settori, non era del tutto automatica. A parte l'emigrazione normale o coloniale esistono solo due metodi praticabili: il primo, limitato, consiste nella creazione di settori intermediari adatti a mettere in campo la massificazione delle onde di tecnologia già esistenti. Andando di pari passo con l'istituzionalizzazione di una parte del risparmio salariale tramite i vari programmi sociali contributivi e pubblici, questi sono all'origine dell'espansione economica verificatasi dopo la Seconda Guerra Mondiale (automobile, elettrodomestici, trasporto e aeronautica, turismo e loisirs ecc.) Ho già accennato il fatto che questa logica di massificazione risulta essere la verità nascosta dietro i cicli lunghi epifenomenali di Kondratiev, in modo che risultano molto utili per definire le '' epoche '' del MPC (idem per le '' longues durées '' dell'empirico baconiano Braudel per i vari modi di produzione pre-capitalisti sottomessi all'egemonia della sovrappiù assoluta; vedi qui sotto la discussione relativa ai vari modi di produzione assieme alle ere (… ère) di civiltà e le varie Età trascorse dall'Umanità.)

Ma fatalmente questi settori intermediari seguano la medesima logica trainata dalla produttività e dalle leggi di mozioni del capitale che da essa scaturiscano. Di più hanno tendenza a diventare capitale intensive, in modo che operano un spostamento molto più oneroso in termine di manodopera al contrario del déversement o trasferimento sperato. L'altro mezzo combattuto ideologicamente dal capitale ma non di meno inevitabile rimane la Riduzione legale del Tempo di Lavoro senza diminuzione del salario (vedi Marx sulla '' ultima ora di Senior '', un riassunto molto efficace della questione presentato nel Libro I del Capitale delle sue analisi anteriori relative alle conquiste popolari in materia di durata del lavoro: domenica e fine di settimana, 7 o 8 ore invece delle 12 e poi delle 10 ore quotidiane anteriori, giorni e settimane non-lavorativi, abbassamento dell'età pensionistica, ecc. ) Risulta pero che questa tendenza ineluttabile rimane l'unico mezzo efficace per risolvere strutturalmente la contraddizione principale del MPC, cioè quella che oppone la sovra-produzione al sotto-consumo (con l'avvenimento dello Stato moderno più cosciente della necessità della ridistribuzione, a questo va aggiunto l'elemento centrale costituito dal mantenimento, via la RTL, dell'assetto fiscale e contributivo e dunque delle entrate fiscali.) La difficoltà per il padronato si riassume qui in due punti: prima gli interessi particolari di certe frazioni del capitale opposte al cosiddetto '' comunismo del capitale '' o se si vuole al interesse generale di classe à la Adam Smith, il quale in un modo o in un altro prevale sempre alla fine per salvare il sistema dai suoi propri vizzi o '' spiriti animali '' per dirlo con Keynes. Secondo, dato che le Formazioni sociali sono in competizione l'una con l'altra, il legame tra produttività microeconomica e competitività macroeconomica costituisce un limite reale. Eppure il migliore metodo per passare oltre a questo limite rimane di governarlo con la RTL ottimale (in questo modo si sana anche la fiscalità come alludemmo prima.) Il padronato ha tendenza a fare il contrario trascinato dalla sua ideologia suicida, almeno quando non viene riportato al buon senso dallo Stato e dai governi che hanno per compito minimo quello di disciplinare questi '' spiriti animali ''.

Per di più, la produzione capitalista (la mano invisibile) si svolge in modo cieco secondo i bisogni dettati dall'accumulazione dei capitali individuali contro la logica sociale (accumulazione privata sulla base di una produzione sociale.) Invece della dovuta RTL e della spartizione del lavoro socialmente disponibile tra tutte le cittadine e i cittadini atti al lavoro, ci servano dunque la spartizione della miseria. Così, dopo l'introduzione delle 35 ore da parte dal governo della '' gauche plurielle'', la settimana reale rimaneva in Francia di 39 ore in media dunque con 4 ore pagate come ore supplementari mentre nei Stati Uniti era di 34,5 e per di più in condizioni e con salari precari, portando ad un assetto fiscale evanescente assieme ad una cronica e suicida confusione tra costo di lavoro e costo di produzione. Portata al suo termine questa confusione viene illustrata dalla contro-riforma monetarista messa in atto sin da Reagan e, in Europa, con la deriva attuale dell'austerità che va concretizzandosi nella cosiddetta Regola d'oro, oggi illegalmente costituzionalizzata con il cosiddetto Fiscal Compact assieme al suo disastroso agenda di tagli mura a mura effettuati senza nessuno stato di anima anche se purtroppo chiaramente insostenibili. (Nota aggiuntiva della fine Giugno 2013: l'agenda dell'austerità si rivela così osceno e ignorante che malgrado la sua illegale, insostenibile e disastrosa costituzionalizzazione non può essere rispettato, obbligando pure le istanze europee a sospendere le procedure per violazione verificata anche tenendo conto della definizione più lassista di ''deficit strutturale'', tutto questo con la speranza di fare risparmiare tuttalpiù 7 o 9 miliardi al governo italiano visto che il Paese salassato non può più trovarli o ricavarli con tagli aggiuntivi. Così la violazione frontale della nostra Costituzione dalle stesse istanze garanti, quelle che nella loro abissale ignoranza compradore credevano di potere rimpiazzare Marx e Gramsci con Enauidi, con la Trilaterale e con il gruppo Bildenberg per non menzionare il vecchio Galdio, rivelano il loro vero prezzo …tanto, ovviamente, valore non né hanno.)

Beninteso venne fatto tutto alla rovescia: si doveva invece ritornare alla pianificazione almeno strategica ed alla RTL ottimale. Questo, vale la pena ripeterlo, avrebbe salvato tanto i contributi sociali quanto l'assetto fiscale, e dunque le possibilità regaliana d'intervento positivo nei cicli della riproduzione in modo di ottimizzarne la coerenza dinamica. Il Kürtzarbeit e la precarietà (a volta chiamata senza ironia '' disoccupazione parziale '' …) sono degli orrori anche dal punto di vista statistico: in effetti sono solo avatari dell'anti-economia.

Va aggiunta qui la delucidazione marxista di quello che Sraffa chiamò il valore di prodotti di '' epoche diverse''. L'aumento di produttività causa una contrattazione in c2. Ovviamente niente può impedire che questi Mp non utilizzati rimasti in stock riappaiono in seguito nel mercato. Ad esempio, fuori delle norme prevalenti, tramite un aumento temporale della durata della giornata del lavoro. Oppure, con una crescita in valore assoluto della riproduzione, ad esempio tramite l'intensità congiunturale. Di fatti, a parte i stock che ammortizzano queste contraddizioni, la produzione capitalista moderna gioca ugualmente sopra il sotto-utilizzo della capacità di produzione la quale in tempo normale viene utilizzata solo attorno a 80 %. Questo vale ugualmente per il lavoro. E dovuto allo stabilimento della norma (nella divisione interna del lavoro, come pure nella media dei mestieri interni). La norma prevale normalmente e per di più viene legalmente regolata dal Codice di lavoro e dalla concorrenza. In modo che questi prodotti quando riappaiono nella produzione vengono valutati al valore di scambio prevalente a quel momento, dunque secondo i ratio fondamentali v/C e pv/v prevalenti.

b) RS-RA, funzioni di produzione individuali e intermedie di distribuzione legando i cicli del capitale alle funzione di produzione produttive che formano la RS-RA di base.

Fin qui nei nostri schema abbiamo semplificato i cicli del capitale analizzati da Marx: abbiamo introdotto le masse monetarie senza introdurre i sotto-settori intermediari di distribuzione (entrepôts) tali i magazzini all'ingrosso e (nel dettaglio) come pure il marketing ecc. Questo era legittimo perché si considerava solo due grandi settori SI e SII ai quali tutti gli altri erano riassunti. In tale quadro era possibile mantenere intatti i momenti della produzione e della realizzazione rendendo più ovvie le rotazioni principali o sistemiche. Abbiamo così potuto dimostrare la legge essenziale della Riproduzione (o equilibrio principale) grazie al reinvestimento: il tasso di reinvestimento tE deve essere necessariamente identico in SI e SII se si vuole mantenere l'equilibrio (di fatti, abbiamo visto che l'anticipazione è solo un effetto della domanda globale.)

In una società complessa, le industrie e i sotto-settori vengono moltiplicati: vedremo inseguito che questa moltiplicazione regge sempre sopra una seria di sotto-RS-RA sotto-giacenti alla RS-RA principale composta dai nostri due settori Mp e Cn ai quali tutto può essere sussumato. Prima di passare all'analisi del credito sarà utile introdurre i cicli del capitale, analizzati da Marx, nelle Equazioni della RS-RA (ormai delucidata per quello che riguarda la produttività). Questo va di pari passo con l'analisi del ruolo sistematico dell'intermediazione, non bancaria ma appunto di distribuzione che permette la circolazione delle merci e la loro realizzazione sotto forma monetaria.

Notando qui col segno (prime) l'aumento dovuto senza il quale il capitale cesserebbe di esistere sotto forma di capitale, semplifico i cicli del capitale in tre cicli, il ciclo denaro o monetario A-A', ciclo del capitale merce M-M' e ciclo del capitale produttivo P-P'. Otteniamo dunque la concatenazione essenziale seguente: A-M-P-M'-A' ecc., assumendo che il possessore dei Mezzi di produzione avrà già il denaro necessario nelle mani, grazie all'accumulazione primitiva (concettualmente e storicamente anteriore), mentre la forza del lavoro viene comprata con il salario sempre pagato dopo il lavoro compiuto in quanto lavoro cristallizzato fa sempre l'avanzo del suo lavoro vivo. Come sapiamo quest'ultimo può mettersi in opera durante un tempo superiore a quello necessario per riprodurre il salario (altrimenti il capitalista non ci troverebbe nessuno vantaggio, il suo profitto verrebbe limitato al suo salario, cioè al frutto della sua propria partecipazione effettiva al processo di lavoro e di produzione immediato, scoglio sopra il quale aveva urtato Adam Smith con grande onesta filosofica e scientifica.)

Prendendo spinta su questa base, la concatenazione è la seguente: il Possessore dei Mezzi di produzione le compra con il suo denaro, le riunisce nella sua manifattura, la sua fabbrica o il suo luogo di lavoro e le mette a lavorare; ottiene così nuove merci delle quali ricava un profitto (il risultato del sovralavoro convertito in sovrappiù), ottenendo così un incremento di denaro rispetto a quello posseduto prima; questo gli permette di ricominciare il ciclo sopra una scala allargata rendendo così concreta l'accumulazione del capitale specifica al modo di produzione capitalista. I possessori dei Mezzi di produzione si conducono sempre così e, di conseguenza, anche nei due grandi settori SI e SII che formano la RS-RA. Al limite senza intermediari di distribuzione i scambi fra SI e SII potrebbero essere scambi di troc, benché introducendo le masse monetarie possiamo analizzare il fenomeno dell'inflazione strutturale in tutta la sua purezza. La necessità del denaro si spiega dalla dovuta intermediazione distributiva; il denaro permette la realizzazione autonoma delle merci Mp e Cn conferendo dunque una più grande flessibilità al sistema, in modo di assicurare la perpetuazione di questa concatenazione in cicli in principio senza fine (se si fa astrazione delle crisi.) I depositi (entrepôts), magazzini ecc., fanno circolare le merci prodotte nelle funzione di produzione produttive in quanto tale, ma aggiungono un valore corrispondente al contributo dato alla circolazione ed alla distribuzione delle merci fine alla loro vendita in grosso o in dettaglio (manutenzione, trasporto, marketing ecc.)

Così il settore della distribuzione è costituito da una seria di funzione di distribuzione parzialmente autonome ma necessariamente simmetriche in SI e in SII (almeno quando viene mantenuto l'equilibrio dinamico.) Questo settore esibisce un altro ruolo primordiale: permette la realizzazione intermediaria in denaro degli Mp e dei Cn; questo permette, almeno in parte, di conferire più flessibilità (capitalista o pianificazione qualche sia il caso) ai due grandi settori produttivi principali SI e SII. Oltre la funzione di produzione propria dei sotto-settori di distribuzione, questo suppone un capitale denaro uguale a (v1 + pv1) in SI e a (v2 + pv2) in SII. In caso di rottura momentanea o sistematica dell'equilibrio tra i settori produttivi, i stock faranno ufficio di cuscinetto. Vedremo comunque che se l'equilibrio produttivo non viene ristabilito (secondo la logica simmetrica del tasso di reinvestimento che deve risultare identico almeno su medio e lungo termine nei due settori), allora ne seguiranno conseguenze più o meno gravi (sovraproduzione per mezzo dell'accumulazione dei stock, oppure, via i prezzi, distorsioni sistematiche che si ripercuoteranno tanto sul mercato domestico quanto sul tasso di scambio.) L'essenziale da ritenere qui sta nel fatto che la distribuzione, senza cambiare la merce che fa circolare, gli aggiunge un costo, cioè quello che costa per farla circolare e metterla in evidenza nel finale punto di vendita ed durante la vendita effettiva.

Vediamo come questo si presenterà per la RS-RA. Avremo 1) il schema RS-RA aggregato, 2) il schema dato nei suoi vari componenti.

SI : 86 + 21,5 + 21,5 = 129 € (dunque sempre 120 Mp ; 1 Mp =1,075€)

SII : 43 10,75 + 10,75 = 64,5 € (dunque sempre 60 Cn ; 1Cn = 1,075€)

Notando i sotto-settori distributivi SI magazzino (entrepôt) e SII magazzino, la decomposizione in funzioni di produzione e di distribuzione si presenterebbe nel modo seguente:

SI                         : 80 + 20 + 20 = 120 Mp

SI magazzino:         6 (40) + 1,5 + 1,5 = 9 €

SII magazzino        : 3(20) + 0,75 + 0,75 = 4,5 €

SII                         : 40 + 10 + 10 = 60 Cn

Nel schema RS-RA aggregato le Equazioni della RS sono evidenti perché sono date in termini di valore (questo rimarrà vero se facciamo variare il tasso di produttività). Ma il schema RS-RA disgregato mostra come l'equilibrio prevale in termine di valore e in termini quantitativi (cosa che il marginalismo non può neanche avvicinare con le sue statistiche e con i suoi sistemi di contabilità inetti.)

Rimane da analizzare le Rotazioni in questo sistema più complesso (paragone di tutti gli altri possibili perché si tratta sempre di sotto-RS-RA per potere raggiungere e mantenere l'equilibrio.) Conosciamo la formula generale delle Rotazioni delle Equazioni cella RS-RA di RS-RA di base: qui il numero di Rotazioni sarà R = C/v + pv/v. Questa equazione delle Rotazioni è già in sé superiore alla grottesca tautologia della circolazione monetaria secondo i marginalisti, se non latro perché prende inizio dalla variabile centrale, la massa salariale reale, al limite aggiustata per tenere conto dell'inflazione strutturale prodotta da AR, visto che il vero equilibrio deve per forza essere fondato sopra il pieno impiego. I marginalisti partano sempre da due epifenomeni falsi: il denaro in circolazione (oggi la FED non calcola nemmeno più M3, fatto che prova senza dubbio, come già spiegato altrove ad esempio nel mio Libro III accessibile nella Sezione Livres-Books di questo sito, che questa gente non capisce proprio niente all'economia e meno ancora all'inflazione o più precisamente alle inflazioni, oppure al lor inverso. Va ricordato che all'inizio i cosiddetti Quantitative easings furono ideati per salvare le banche private ma anche nell'idiota speranza di creare una forte inflazione in modo da trasferire il finanziamento del debito agli stranieri che compravano massicci volumi di buoni del Tesoro, in particolare i Cinesi, cosa totalmente inetta; di fatti, hanno subito confermato le mie dimostrazioni ma nessuno né ha cura … almeno in apparenza ….)

Rimane da mostrare la formula generale del numero di rotazioni quando introduciamo i sotto-settori. La soluzione risiede nel fatto che questi sotto-settori e industrie debbono essere organizzati in sotto-RS-RA per mantenere l'equilibrio. Di conseguenza, il numero R sarà il numero R di base moltiplicato dal numero di sistemi sotto-RS-RA. Come vediamo il marginalismo è formato da una seria di puerilità ho dimostrato che sin da J.B. Say e poi da Solow et ali, questa puerilità viene artificialmente mascherata con ridicoli apparecchi matematici (proprio all'immagine del uso delle quadratiche da Tugan-Baranosvki e Bortkiewicz all'origine) per altro contraddetti dall'aritmetica e dalla logica. Essi hanno una chiara origine manipolatrice massonica mirata ad occultare la legge del valore di Marx dato che quest'ultima mette in causa l'origine del profitto e la natura della sua distribuzione. Ne andava anche così con Cournot quando cercò anche lui a porre basi scientifiche alla disciplina (basi chiaramente positiviste ma Cournot non sa fare la differenza; più tardi Bergson cercherà anche lui ad estirpare la filosofia dalla sua scientificità, questo religioso attardato vedendola come filosofia '' geometrica '' nel suo tentativo di criticare Descartes, Kant e Marx per il loro temuto '' ateismo '' sopratutto quando prende la forma di uno egualitarismo spirituale.) Cournot lo fece in due maniere: prima eliminando il valore di uso (quello della forza di lavoro in particolare), in modo da potere concentrarsi unicamente sopra il valore di scambio dato come '' utilità '' non definita ma comunque gerarchizzata (sempre secondo una visione necessariamente soggettiva che porterà al vecchio e soggettivo '' calcolo delle gioie e delle pene '' di Menger e di von Mises. In secondo luogo, Cournot prenderà appoggio sopra Leibniz: le tecniche, considerate come frutto delle elite, produrrebbero i surplus necessari a queste stesse elite come pure alla sussistenza dei popoli a loro subordinati; tutto sommato questo rappresentava un modo molto tradizionale e autosufficiente di difendere i privilegi. Tutto andrebbe quindi per il meglio nel migliore mondo possibile almeno per il nostro pensatore rosicruciano benché il Pangloss di Voltaire finirà bonariamente impiccato: paradossale ma per cosi dire inevitabile conclusione di questo tipo di difesa del statu quo. Non di meno, Leibniz era un grande pensatore (contribuì fra l'altro un approccio delle proporzioni che tramite il contributo dimenticato ed occultato di Marx condurrà ai derivati; contribuì anche il calcolo lineare e le probabilità visti come approcci della realtà da non con fondere, almeno nella sua mente, con una spiegazione scientifica della realtà stessa - cioè all'immagine dei pitre del Cern con il loro '' boxon '' - il termine mi sembra più giusto di Higgs, raggiunto in modo probabilistico secondo il livello specifico di energia utilizzato in partenza! I scienziati attuali soffrano tutti di falsa coscienza caratterizzata: visto che l'esperienza costò decine di miliardi di euro nessuno osa rischiare un semplice fiato sul clamoroso fiasco, al contrario fanno tutti finta di essere stati testimone di un successo e chiedono colossali nuovi sussidi finanziari: per ogni livello di energia rischiamo di ottenere un nuovo boxon ma nessuno boson di Higgs in forma di probabilità. (Ho già detto altrove l'origine di questo dramma più buffo che la fine di Nietzsche pietosamente appeso al colo del cavallo ferito sotto la sua carriola: all'origine, l'elettrone era solo il risultato teorico di un approccio probabilistico. Ora, oggi, si è capace di seguire le traccie del fotone nel suo percorso, mentre altri scienziati sono già capaci di seguire il percorso di nuvole o clusters di elettroni: il gatto di Schrödinger e il suo fumoso principio presunto non-determinista senza neanche mostrare di sapere definire questo concetto in modo non ambiguo ne risultano travolti. Si potrebbe forse mettere questi boxon in Borsa per finanziarli senza nuocere al TGV ed al normale consumo elettrico … Autosufficienza elitista, come si vede.) Rimane che il capitalismo è fondato sopra rapporti sociali fortemente appoggiati dal macchinismo ed in particolare dalla macchina a vapore: ora, questa fu l'opera di due artigiani, Denis Papin prima e poi il forgiaro inglese Thomas Newcomen (vedi Science & Vie,settembre 2012, p 111) inventore della cosiddetta '' pompa a fuoco ''. Oggi come lo fece notare Althusser le invenzioni sono risultati di lavoro di squadre, poche rimangono ancora risultato di inventori isolati ma comunque sempre portati da un sapere accumulato anteriormente . (Per il resto sappiamo tutti che i Romani conoscevano già la trazione a vapore ma l'utilizzavano unicamente per i giocattoli dei loro figli : i rapporti di produzione hanno priorità sopra lo sviluppo delle tecniche.)

Ritorniamo al dunque. Abbiamo qui una prima e cruciale illustrazione dell'aspetto complementare del denaro e dei cicli del capitale reintegrato nelle Equazioni RS-RA.

Possiamo ora passare all'analisi dell'interesse.

c) Cicli del capitale, credito e sistema bancario e finanziario.

Questo si riassume nella variazione dell'anticipazione per mezzo della mediazione monetaria: A) interna e dunque con una redistribuzione sviata o fortemente priorizzata (fu il caso ad esempio per l'estremo sviluppo degli Mp per Mp nella USSR); B) importazioni e lags, quindi il tasso di scambio.

Riassumere la problematica del credito sembra una difficile scommessa. Operiamo per iniziare qualche distinzioni fondamentali. I cicli del capitale secondo Marx sono tre: A-A', M-M', P-P', cioè il ciclo denaro, il ciclo merce e il ciclo produzione. I tre cicli sono incrociati nei processi di produzione immediata e nelle Equazioni della RS-RA; di più, nel quadro del MPC, debbono produrre un incremento (l'accumulazione del capitale tramite l'estrazione della sovrappiù, quindi il profitto), il quale viene notato qui con il simbolo convenzionale '' prime '' ( ' ). Inoltre, tutte le forme, comprese quelle denaro e monetarie, debbono comunque ricoprire ambedue la forma di valore di scambio e il suo supporto, il valore di uso. Quando questo non si verificherà saremo allora confrontati alla speculazione.

Il credito stricto sensu non deve essere confuso con la massa monetaria salariale reale o sociale concetto che abbiamo già analizzato mostrando che basta da sola, tramite le sue rotazione cioè tramite la vera circolazione monetaria, per assicurare tutti gli scambi necessari alla Riproduzione. Il salario (v1 + v2) fa l'avanzo del suo lavoro vivo costretto ad essere (tanné) nella produzione eseguita al servizio del possessore dei Mezzi di produzione (vedi l'esemplare ed espressivo brano di Marx, Capitale Libro I sopra '' Libertà, Uguaglianza, Proprietà e Bentham '' p 726 Ed La Pléiade. In Italiano vedi la fine del Capitolo 4, Sezione II, in http://www.criticamente.com/marxismo/capitale/capitale_1/Marx_Karl_-_Il_Capitale_-_Libro_I_-_04.htm ) Alla fine del processo di produzione immediato il lavoratore riceva il suo salario. Lo riceva in denaro convertendolo in Cn per riprodurre la sua forza di lavoro nel seno del suo focolare. Abbiamo visto che questa massa salariale è sufficiente per tutti gli scambi in situazione di equilibrio, cioè quando le Equazioni RS-RA vengono rispettate. Il credito per parte sua serve alla mediazione operata nei cicli del capitale messi in moto dalla Riproduzione; si permette così la fluidificazione di questi circuiti. Questo risulta essere particolarmente il caso per la ricapitalizzazione interna o per l'importazione, dato che questa ricapitalizzazione esige la mobilitazione di enormi somme di denaro per un certo numero di anni. In questo senso, la ricapitalizzazione è differente dal concetto di reinvestimento che abbiamo già visto (tE). Quest'ultimo concerna solo il capitale circolante notate '' cc '' (o '' used up ''). La ricapitalizzazione (notata Cap) concerna le immobilizzazioni fate sotto forma di capitale fisso, il che implica necessariamente un tE per il capitale circolante ''cc '' valutato secondo l'usura e tenendo conto della parte di ''v '' implicata nella composizione organica.

Questo implica la nascita di un sistema bancario, notato B, dotato di un ratio prudenziale (diciamo qui di 5 per 1). Ben inteso la possibilità dell'apporto iniziale di capitale è supposta già data dall'accumulazione primitiva del capitale questo essendo comunque uno dato storico anche se un poco semplificato, ma possiamo benissimo farlo emergere dalla tesoreria delle imprese portando a poco a poco alla specializzazione bancaria come fu d'altronde storicamente il caso con le compagnie mercantilistiche dell'epoca del capitale mercante almeno fine al capitalismo industriale affiancato dal capitale bancario e finanziario ambedue emersi secondo la legge della divisione del lavoro, che fece passare così il capitalismo da una forma di egemonia ad un'altra.)

Rimarca essenziale: il nostro sistema bancario, qui la banca B, è ontologicamente separato dalla gestione di primo livello della massa monetaria fondamentale la massa salariale reale o sociale legata ad AR la quale viene gestita dalla Banca centrale (emissione, gestione ecc ...) La mescolanza dei due fenomeni rappresenta una déviance capitalista. Come vedremo porta a varie perversioni, tutte legate a l'autonomizzazione della forma denaro senza nessuno supporto '' vu '' in controparte, cioè nella sfera dell'economia reale; in modo che questo mena alla speculazione, sopratutto quando la Banca centrale accetta di salvare il sistema bancario emettendo liquidità senza altra ragione se non quella di salvare i banchieri privati.

Prima di passare alla dimostrazione, conviene presentare il fenomeno della contrazione economica in generale, dato che prevalerà con l'introduzione cieca senza pianificazione del credito capitalista, almeno al livello dei settori.

Supponiamo i nostri schema canonici RS

A) 80 + 20 + 20 = 120                 B) 80 + 20 + (10 + 10) = 120

    40 + 10+ 10 = 60                      30 + 7,5 + (7,5)

Notiamo semplicemente qui che se SI ritira 10 pv dalla circolazione interna alla FS export, stock ecc., - tramite lo scambio e dunque la domanda sociale ne seguirà una contrazione in SII (Notiamo già che le false risposte date dai marginaliste capitaliste sono già state sviluppate ed esaurite: la sovra-capacità cronica e generale di quasi 1/5; i stock, malgrado i flussi continui flux tendus; l'importazione, e quindi il credito pubblico e privato che permette tutti questi lags.)

Possiamo dunque passare all'analisi dei processi messi in opera dal credito. Ben inteso, come il denaro non crea valore di per se senza controparte non è mai altro che speculazione ne segue che l'interesse fa parte del profitto ma l'inverso non risulta vero (in gergo metodologico secondo una buone logica dialettica non aristotelica, diremo che si tratta qui di concetti distinti e non di opposti.)

Supponiamo:

1. RS-RA con v/C identici e pv/v identici.

2. Una capitalizzazione (Cap) in SI soltanto di 5 euro. Questa andrà in cf il capitale fisso ma con un tasso di usura in 10 anni, quadro che implicherà una copertura di v1 secondo il rapporto v/c. Dunque qui . cf1= 4,5 e Ecc1= 0,4 con Ev1= 0,1 (incremento totale nella funzione di produzione E= 0,5)

Di fronte a questo abbiamo un sistema bancario qui la banca B. Essa presta 5 euro a SI per 10 anni a 1%. In modo che SI dovrà rimborsare un totale (principale più interesse) di 5,5, dunque 0,55 euro ogni anni per 10 anni. Il tasso di interesse tI = 1%, i rimborsi annuali 5,5/10.

Rimane da tenere conto del tasso di usura (cui l'iniziativa viene da SI). Notiamo che l'intermediazione monetaria come tale (con il suo supporto '' vu '' in controparte nell'economa reale, cioè nelle Equazioni RS-RA) non si qualifica come settore a parte intera. Questo è il caso per la banca centrale e per il sistema bancario.: il loro costo viene integrato nelle Equazioni. Con la speculazione, le cose andranno diversamente perché la speculazione si presenterà come una parte nociva di SI: ma cambiando artificialmente la sua composizione organica e il suo tasso di sfruttamento, avrà come conseguenza di disequilibrare SII e dunque l'intera riproduzione necessaria per soddisfare i bisogni sociali, la quale sarà usurpata unicamente per servire fini speculativi … cosa purtroppo insostenibile, se non altro per causa del tasso di scambio e degli scambi esterni. Ritorneremo sopra questo argomento in seguito.

Tenendo conto dello sviluppo temporale (produzione, valorizzazione, nuova produzione), la funzione di produzione aggregata SI si presenterebbe nel modo seguente ( con Cap = 5 euro.) SII seguirà : notiamo Ctr, la contrazione subita in SII, v/C e pv/v rimanendo immutati. Notiamo, t1 = condizioni iniziali; t2 = nuovo inizio ben inteso ad ogni riga di SI corrisponde una linea di SII nel quadro di RS-RA).

SI)                 cf1                 cc1                 v1                 pv1                 = M1

t1                 800                 80                 20                 20                 = 120

Cap 5€                         80                 20                 15 + 5         = 120

Usura         804,5         80,4         20,1         20,1         = 120,6

t2                 804,5         80,4         20,1         19,55 (20,1 055) (viene qui sottratto l'interesse pagato a B)

SII)

t1                 400                 40                 10                 10                 = 60

Crt                                 35                 7,5                 7,5

t2 transitorio                 39,65         9,9125         9,9125         = 59,475 (Va notato la contrazione potenziale)

t2 reale                         40                 10                 10                 = 60

Abbiamo qui una prima approssimazione ma essa sarà interamente chiarita quando presenteremo in appresso un schema che introdurrà nelle funzioni di produzione e i settori ambedue l'interesse e il sotto-settore della distribuzione (magazzini o entrepôts ecc.) necessario per tenere conto della valorizzazione delle merci nella forma denaro qui già assunta.

In t1 abbiamo una situazione RS in equilibrio. Poi la decisione è presa in SI di capitalizzare l'equivalente di 5 euro disponibile tramite il sistema bancario. Di conseguenza SI ritirerà dei Mp dalla circolazione in RS, astrazione fatta di quello che sarà reinvestito (cioè, l'usura di cf di 1/10 esimo annuo aggiunta al capitale circolante con relativo compenso per v1 (cioè 0,1 Mp supplementare che deve essere scambiato con l'equivalente in Cn). Si produce una contrazione momentanea in SII ma i scambi che portano verso t2 ristabiliscono l'equilibrio, a parte la contrazione permanente in SII proveniente della sottrazione dell'interesse dal profitto in SII.

Pero SII dispone di una capacità di produzione media istallata di c2 = 40 e di v2 = 10 con pv che si adatta secondo il rapporto pv/v = 1. Come i Mp sono disponibili con i stock interni (o se si vuole tramite i magazzini i quali rendono autonomi almeno in parte la funzione di produzione SI produttiva), è chiaro che SII si ristabilirà al suo livello anteriore ( 40 + 10 + 10), dati che vengono notati qui t2 reale. In effetti, SII non ha nessuna difficoltà ad adattarsi al ribasso (cioè con i suoi stock e la loro rimessa nel circuito della produzione secondo la logica delle merci di epoche diverse) oppure per adattarsi in modo uguale. Per adattarsi in caso di aumento è necessario un prelievo (ponction) nel capitale fisso e mutatis mutandis una durata più lunga della giornata del lavoro, una intensità congiunturale più grande oppure, nel migliore dei casi, un incremento di produttività.

Di conseguenza se 0,55 Mp comincia a accumularsi nei magazzini (entrepôts) dove si concretizza la loro valorizzazione in denaro necessaria per pagare l'interesse alla banca, SII ne trarrà la differenza tra c2 = 39,65 e 40 cioè 0,35. I Cn sono disponibili. L'accumulazione reale in forma di stock sarà solamente 0,2 Mp. La contrazione potenziale di 0,55 si muterà in una contrazione dinamica di 0,2. Ma questo rimane una contrazione che avrà una tendenza ad accumulare i suoi effetti nefasti dato l'accecamento dell'allocazione delle risorse per mezzo della '' mano invisibile '' invece della pianificazione, al minimo Indicativa e Incitativa. La distribuzione appare dunque come una mediazione dinamica non ottimale. Conosciamo già la risposta per quello che riguarda l'equilibrio generale ottimale: come pure per il tasso di reinvestimento vedi la dimostrazione qui sopra questo livello ottimale dinamico nella RS-RA implicherebbe lo stesso tasso di interesse (come di reinvestimento) nei due grandi settori.

Esiste dunque un disequilibrio produttivo mascherato dal sotto-sistema distributivo il quale da A-A' si ferma in parte a M-M' o se si vuole A-Mp almeno per 0,2 Mp.

Rimane che, in seguito, questa pericolosa accumulazione dei stock può indurre una seria di distorsioni. Questo perché la loro messa sul mercato simultaneamente con le merci ultimamente prodotte avrà come effetto di falsificare i prezzi di mercato. Questo averà pero senza rimettere in questione la domanda sociale e dunque la legge del valore reintegrata nelle Equazioni RS-RA, come l'abbiamo dimostrato alla fine del libro Hi-Han! Le asinate visuali allucinatorie degli economisti borghesi dimostrazione ripresa qui sotto. Peggio ancora, gli effetti si faranno sentire sopra il tasso di scambio.

Questo è estremamente importante: in effetti, sappiamo già che l'interesse è una sottrazione dal profitto (almeno quando non è speculativo perché conserva una controparte, un valore di uso (vu), nell'economia reale.) In modo che il vantaggio del credito per la crescita deve essere relativizzato o almeno ad essere compreso nel quadro dei dati storici e sociali. Dato che la contrazione dinamica ha un effetto sopra i stock e sopra AR, dunque sopra l'inflazione strutturale.

Similarmente, la confusione capitalista tra la Banca centrale per sé ed il sistema bancario risulta molto pericolosa, se non altro perché questa confusione si aggiunge all'operato cieco della '' mano invisibile '' mossa dalla ricerca del profitto individuale, l'equilibrio essendo allora artificiale o semplicemente asociale. L'allocazione delle risorse in termine di RS-RA non è ottimale. Per contro, il sistema del credito bancario permette una flessibilità nell'allocazione delle risorse per quello che riguarda la capitalizzazione in cf. Pero, per evitare la contrazione settoriale si deve intervenire simultaneamente e in identica proporzione nei due settori, sopratutto quando un aumento di produttività scaturirà dalla capitalizzazione.

Va sottolineato che i tassi di interesse generici della Banca centrale sono qui estremamente nocivi e provocano grandi distorsioni perché incrementano simultaneamente la produzione speculativa, poco o per niente collegata all'economia reale, un difetto ancora aggravato dal PIB marginalista e dalle ricette di cucina che gli economisti né ricavano. In realtà, conviene ricordarsi dell'analisi del compagno Bucharin nel suo Economic theory of the leisure class http://www.marxists.org/archive/bukharin/works/1927/leisure-economics/introduction.htm nel quale si lega lo sviluppo della teoria dell'utilità marginale alla scalata egemonica di una nuova frazione della borghesia dipendente dal credito. In modo simile lo sviluppo della banca centrale capitalista risponde ad un'esigenza di classe: i suoi principali tassi centrali servono semplicemente di facciata ideologica per assicurare a tutti i capitalisti individuali una uguaglianza formale nell'accesso al credito. Si tratta di uguaglianza formale che, ben inteso, svanisce perché confrontata alla concentrazione ed alla centralizzazione del capitale che regolano la potenza di capitalizzazione (la concentrazione e la centralizzazione del capitale essendo le due leggi di mozioni principali del MPC.)

Ecco perché un sistema di credito razionale esigerebbe dalle banche di essere funzionalmente legate alle loro industrie ed ai loro settori (o filiere) di referenza. Agirebbero allora semplicemente modificando la loro leva finanziaria secondo i bisogni di espansione o di concentrazione, il che verrebbe deciso secondo i bisogni sistematicamente determinati, senza dovere passare dai tassi direttori della banca centrale che per parte loro dovrebbero solo servire per gestire gli aggregati monetari senza preoccuparsi della taglia o dei bisogni economici reali. (In oltre, questi tassi direttori dovrebbero solo servire a controllare l'inflazione detta strutturale e il tasso di scambio. Di più, dato l'emergenza della speculazione eretta in sistema dalla cosiddetta '' banca universale '', avremo notato che la FED non calcola più M3 …) In questo caso, la leva di queste banche pubbliche sarebbe sempre molto bassa come d'altronde il tasso di interesse richiesto: in un tale sistema, quest'ultimo deve solo assicurare i costi di amministrazione senza dovere fare emergere un profitto autonomo, il quale si trasformerebbe allora in una speculazione parassitaria dell'economia reale, cioè delle Equazioni RS-RA. Al limite sarebbe possibile per la Pianificazione conferire un effetto leva alle tesorerie delle impresse ma questo sarebbe molto rischiato e molto difficile da controllare: da qui la divisione del lavoro con le banche funzionali pubbliche utili per permettere un controllo dell'emissione dei mezzi di scambio necessari per assicurare missioni di interesse generale non limitate ad obbiettivi di accumulazione privati, per di più transnazionali. Si vede che la pianificazione concepita su basi marxiste (la funzione di produzione ricomposta secondo i bisogni espressi nel quadro della RS-RA) è necessaria per ottimizzare l'impatto del credito. Per lo meno se si tratta di pianificazione indicativa e incitativa cosiddetta alla francese.

Sarà dunque utile riprendere lo schema qui sopra integrando simultaneamente l'interesse e i magazzini o entrepôts per confermare i nostri commenti qui sopra. Avremo questo:

Situazione iniziale :

SI                         : 80                 + 20         + 20         = 120 Mp

SI magazzini         : 6(40)         + 1,5         + 1,5         = 9 € (en cc (40) = Mp pero unicamente quelli circolanti)

SI aggregato         : 86                 + 21,5         + 21,5         = 129 € (1 Mp = 129/120 = 1,075 € )

                        .........................................................................................

SII magazzini         : 3(20)         + 0,75         + 0,75         = 4,5 €

SII                         : 40                 + 10         + 10         = 60 Cn

SII aggregato         : 43                 + 10,75         + 10,75         = 64,5 € (1 Cn = 1,075)

Notiamo l'utilizzo del nostro schema RS-RA canonico più semplice con v/C e pv/v identici. Questo rende la presentazione più facile. Pero con la risoluzione della legge del valore per quello che riguarda la produttività coerentemente integrata nella RS-RA, siamo liberi di aderire alla realtà prendendo le funzioni di produzione settoriali o setto-settoriali: la logica interna sarà sempre mantenuta. (In altri termini, la risoluzione del problema della produttività per la legge del valore marxista re-integrata nelle Equazioni RS-RA permette di trattare il caso dei rapporti fondamentali identici in SI e SII come il caso più semplice ma non più come un caso particolare.)

Notiamo ugualmente che in cc1, i 40 messi in parantesi (40) indicano i 40 Mp che debbono circolare (v1 + pv1) e niente altro. Questi Mp circolano, ma non servono per fabbricare altri prodotti. Il sotto-settore magazzino entrepôt - permette dunque la trasformazione di questi Mp in denaro per SI produttivo, con il quale potrà pagare l'interesse alle banche mediante una deduzione sopra il profitto: abbiamo realmente a che fare qui con una economia interamente monetizzata (e non più solamente con una economia di troc come rimane purtroppo sempre il caso per il marginalismo malgrado le apparenze … in effetti, con il marginalismo la moneta non è organica al valore ma è trattata in un mercato indipendente che deve poi essere conciliato (sempre male per l'occorrenza) con gli altri mercati utilizzati per arrivare all'aleatorio '' equilibrio generale '', cioè sopra il '' mercato dei mercati ''.) La funzione di produzione magazzino entrepôt - è forse leggera in termini produttivi ma suppone che questi specifici intermediari abbiano in mano la soma di denaro necessaria alla valorizzazione-realizzazione dei Mp in denaro (M-A). Questa capitalizzazione sotto forma di denaro si manifesta storicamente e logicamente prima con l'accumulazione primitiva, poi con il credito stesso, ma non aggiunge niente al valore delle merci al contrario del contributo proveniente dalla parte produttiva della funzione di produzione del sotto-settore distributivo che corrisponde ai costi di trasporto, alla manutenzione, al stoccaggio, al marketing e finalmente alla vendita effettiva.) Questo vale ugualmente per i magazzini entrepôts - in SII (Cn).

Introduciamo ora l'interesse in SI produttivo: via il credito, SI produttivo capitalizzerà 5 Mp nel suo capitale fisso dai quali la parte 0,5 che va annualmente al suo capitale circolante ed al suo capitale variabile secondo la composizione organica. Avremo:

SI                      : 80,4                         + 20,1                 + 20,1                 = 120,06 Mp (pvd=21,0575; interesse = 0,55€)

SI magazzino : 6,03 (40,2)         + 1,5075                 + 1,5075                 = 9,45 € (40,2 = Mp circolanti)

SI aggregato : 86,43                 + 21,6075         + 21,6075         = 129,645 € (1 Mp = 129,645/120,06 = 1,075 € )

con interesse : 86,43                 + 21,6075         + 21,0575 (+ 0,55 interesse)

                        ...........................................................................................

SII magazzino : 3(20)                 + 0,75                 + 0,75                 = 4,5 €

SII :                         40                         + 10                 + 10                 = 60 Cn

SII aggregato : 43                         + 10,75                 + 10,75                 = 64,5 € (1 Cn = 1,075)

SI monetizza 0,55 Mp nel sotto-settore distribuzione. Se ci fermassimo qui la contrazione potenziale in SII sarebbe di 0,55. Pero, SII si riprodurrà nelle condizioni ante dato che gli Mp necessari per farlo sono disponibili. In modo che, in queste condizioni, la contrazione dinamica sarà di 0,215 €.

Ovviamente, non è una gran meraviglia dire che il sotto-settore RS-RA della distribuzione che rende SI e SII produttivi autonomi serve di cuscinetto per la riproduzione allargata, almeno finché le stesse condizioni non torneranno a prevalere in termini di interesse e di reinvestimento nei due grandi settori della RS-RA. Bisognava pero dimostralo integrandolo nelle Equazioni della RS-RA. Ora, questo corregge molte asinate proferite dai marginalisti, gente che non sa neanche cosa sia l'equilibrio generale (il ''mercato dei mercati '' purtroppo anch'esso abbandonato all'accecamento detto provvidenziale della '' mano invisibile '') e non sa neppure quale possa essere la differenza tra interesse e profitto. Perciò, strano a dire, le crisi non esistono in questo paradigma se non nei magrolini capitoli di storia economica, visto che in teoria i cicli economici non possono esistere di fatti, se esistessero, almeno dal punto di vista teorico, l'equilibrio non esisterebbe più … Si possono accumulare molti altri sofismi marginalisti tra i quali quello secondo il quale la speculazione non può essere permanente perché il suo manifestarsi accelererebbe il ritorno all'equilibrio marginalista ecc., ecc. … Questa suprema asinata fu anche utilizzata per legittimare il passaggio ai scambi flottanti al livello mondiale presunti portare stabilità … con le crisi a ripetizione che conosciamo: bath, rublo, New Techs, subprime, QE ecc....)

A contrario, la pianificazione anche se parziale indicativa e incitativa può solo correggere i difetti ontologici della '' mano invisibile'', il deus ex macchina del mercato capitalista.

d) Il regime finanziario internazionale.

Abbiamo supposto qui che la capitalizzazione avviene in maniera endogena dato che questo permette di comprendere gli effetti che né scaturiscano senza introdurre variabili esterne. Pero dal punto di vista storico sappiamo che il credito gioca al livello internazionale (anzi coloniale e imperiale: questo porta allo sviluppo del sistema finanziario internazionale ed al ruolo giocato dalle barriere visibili o invisibili come pure alla sovranità monetaria esercitata in questo quadro.) E chiaro che se la moneta di un paese viene accettata al livello internazionale, questo permetterà al credito di giocare un ruolo importante: ma anche qui si verificherà la stessa storia, il credito permettendo un'allocazione diversa delle risorse (in questo caso, i furti e la devastazione imperiale o coloniale sono mirati a sostenere un'accumulazione più rapida in metropoli.) Così, il credito capitalista presenterà sul piano domestico una contraddizione (simboleggiata dalle tumultuose relazioni di H. Ford con il banchieri Morgan) la quale concerna la parte del capitale bancario capitalista reso autonomo e parassita nei volumi di reinvestimento dell'industria. La messa in borsa aggrava ulteriormente questo problema.

Al livello esterno questo si traduce con la subordinazione dei flussi del capitale e ricordiamoci di Günder Frank - col cosiddetto '' sviluppo del sotto-sviluppo '' fuori della metropoli (almeno quando i paesi si lasciano subordinare, al contrario di alcuni paesi detti emergenti che oggi riescono ad evitare questo destino e continueranno a farlo a condizione di sapere resistere al canto delle sirene della finanziarizzazione, cioè della speculazione dunque del settore finanziario interamente reso autonomo che può solo parassitare l'economia reale.)

In effetti, il ricorso al credito interno o esterno vale solo se permette di aumentare la produzione sopratutto tramite una migliore produttività in modo coordinato nel seno della RS-RA, vietando pero le derive speculative. In altre parole le joint-ventures, appoggiate da un sistema di credito interno dotato con una bassissima leva finanziare ed un bassissimo tasso di interesse, si rivelerebbero infinitamente superiore. L'illusione contraria proviene dal fatto che gli elementi politici ideologici entrano in linea di conto prendendo pure l'aspetto della cosiddetta apertura del mercato, e della necessità di ottenere delle riserve di divise straniere ad esempio con l'appartenenza all'OMC. Un sistema nel quale un grande paese offrirebbe delle joint-venture, ottimali perché sprovviste da questa subordinazione capitalista, sarebbe immensamente superiore, sopratutto per i paesi in via di sviluppo: il decollo economico sarebbe più rapido e certamente ben più armonioso. In effetti, la possibilità di produrre dei surplus alimentari ed energetici la società moderna si rivela essere molto più energivore dato che la produzione è sempre una trasformazione di '' vu '' in altre '' vu '' - sarebbe più importante del credito, almeno dal punto di vista dei scambi interni e della crescita reale. Piccolo ''appel du pied'' ai compagni cinesi … per lo sviluppo di un sistema internazionale diverso, fondato sopra questi principi e sopra le joint-ventures.

In modo che non si deve sacrificare nulla per l'illusione distruttrice processo di crescita dell'autonomia finanziaria necessariamente speculativa che cerca a fare emergere la propria moneta come principale moneta di scambio mondiale, creando così una preferenza distruttrice a favore dei servizi speculativi pure loro internazionalizzati. In effetti, questa strategia rappresenta solo una fuga in avanti : portò al loro turno tanto la GB quanto i Stati Uniti al fallimento, per causa del sacrificio del loro zoccolo economico reale, e dunque portò al ricorso alla guerra permanente per proteggere questi cicli speculativi e tentare di fuggire alle estreme vulnerabilità che né risultano. (La teoria dell'integrazione americana dimostra di fatto una vera e propria ossessione con questi problemi di vulnerabilità e di turbolenze e con la loro prominenza (''saliency'') … cioè, prima di ricorrere a ripetizione ai rovinosi cosiddette ''grandi giochi'' ed alla pianificazione rivelata della rovina di tutti i rivali militari ed economici potenziali.) Sarebbe più utile riformare il FMI per farne una camera di compensazione con dei Diritti Speciali di Prelievo in modo da potere assicurare la flessibilità : la ''potenza'' verrebbe allora dall'intensità dei scambi, essa stessa dipendente dalla rete delle joint-venture mutualmente vantaggiose che arricchiranno i partners o soci internazionali, rendendoli in tal modo più solvibili, invece di cercare a rovinarli nella speranza di asservirli per il maggiore profitto dei cosiddetti ''campioni nazionali'' privati (vedi l'attuale politica della Germania e della Francia nei confronti del Sud europeo per l'esempio da non seguire; oppure quella degli USA versus l'America latina negli anni 60-70-80 o versus l'Africa, o meglio ancora quella che portò alla ''dottrina di guerra preventiva'' (illegale in diritto internazionale e frontalmente contraria alla Carta dell'ONU e dalle Convenzioni di Ginevra, se non al Articolo 11 della Costituzione italiano) , rivelata dai due documenti segreti del Pentagono e del State Department portati alla conoscenza del pubblico nel contesto della prima guerra del Golfo di Bush Sr.; vedi il mio Pour Marx, contre le nihilisme a questo soggetto )

Facciamo un passo indietro: Quando SI ritira dalla circolazione l'equivalente dell'interesse, lo fa in termini di Mp ma paga la banca in euro. Da qui l'importanza della temporalità: la produzione, e poi in seguito, la valorizzazione. Quest'ultima una volta compiuta permette il nuovo inizio produttivo: ma con una ri-allocazione delle risorse risultando dallo scambio. Va ricordato che lo scambio mette in causa la massa salariale reale (anzi sociale tenendo conto di AR) per le rotazioni.

Basta aggiungere qui una nota tirata da Kalecki commentando Marx nel contesto americano: le rotazioni sono più rapide nei Stati Uniti rispetto all'Europa semplicemente perché il salario viene versato ogni settimana nonché mensilmente (similarmente la speculazione di corto-termine verrà aggravata dai rapporti trimestrali ...) Sappiamo che von Mises pensava che il giovane Milton Friedman era solo un '' eccentrico '' (aveva intuito bene …), la '' high-speed money '' di Friedman essendo solo il cumulo di questo fato con la circolazione dei ''greenbacks'', così chiamati perché generalizzati sul territorio quando vennero pagati alla cavalleria spedita nell'Ovest, al contrario della Virginia dove ci si serviva a volta ancora del tabacco locale come moneta di scambio. Piccolo détour che dovrebbe incitarci a rimanere fermamente ancorati nella funzione di produzione marxista e nelle Equazioni della Riproduzione quando parliamo di moneta e di '' credito '' : altrimenti diventa molto pericoloso. Ad esempio, per quello che riguarda specificamente l'autonomizzazione del credito, ho accennato al capitale finanziario (Lafargue, Hilferding, Lenin) e più particolarmente nel contesto attuale la speculazione sistemica nel quadro della banca universale la quale è fondata sopra il '' credito de facto senza collaterale '' visto che deve essere salvata con ripetute iniezioni di liquidità da parte della banca centrale … Tuuto questo è di fatti diventato peggiore del '' pilota automatico '' proposto da Milton Friedman e rappresenta una straordinaria perversione del Wealth Effect di Pigou reincarnato nel House Effect di '' maestro '' Greenspanm indipendentemente della struttura della domanda e della sua curva e dunque dell'accumulazione delle ricchezze dai 10 % e più ancora dal 1 % situato all'apice della piramide dei reditti.)

Modus operandi della banca, della burocrazia come governo permanente (divisione del lavoro interna e esterna: il tutto risolto nella sovrappiù sociale.) Altrimenti le forme collegate: settori primario, secondario e terziario - il terziario diventato autonomo sotto forma finanziaria rappresenta la rovina delle Nazioni: se né fa oggi la cattiva esperienza. Anche l'OFCE sembra averlo capito con ritardo perché era solita fare l'apologia della crescita a scapito dell'industria, questa dovendo avere per compenso la crescita nei nuovi settori secondo quello che scrisse poco prima delle ultime elezioni in Francia. La speranza fallacia era di potere vedere emergere da questa crescita un avanzo primario budgetario, prova chiara dell'inettitudine e dell'incomprensione generale in questi milieu … di asini selezionati nel stesso paradigma. Da qui dunque, in contraddistinzione con queste scelte monetariste, la necessità di garantire surplus di energia e surplus alimentari per conservare una RE coerente. (vedi al soggetto l'Introduction del mio Livre III.)

e) L'autonomizzazione del capitale denaro o speculazione eretta in sistema.

Abbiamo visto che tutte le merci esibiscono un carattere duale '' ve '' e '' vu ''. Questo vale per il capitale denaro, il quale non è mai altro che una merce come un'altra che presenta comunque caratteristiche specifiche (omogeneità per parte aliquote all'immagine dell'oro o del argento, ambedue dei metalli inossidabili, facili da trasportare ecc.) Questo gli permette di operare come un equivalente generale; ogni merce anche un sacco di patate o un sacco di oro può operare come equivalente particolare. Purtroppo, gli equivalenti generali debbono ancora essere valutati col metro dell'equivalente universale, il valore di scambio della forza di lavoro. Marx ha analizzato in dettaglio i cicli del capitale. Ne segue che in tutti i cicli, del capitale, della merce e della produzione, ogni valore di scambio deve avere una controparte in valore di uso, l'incremento eventuale proveniente dallo sfruttamento della forza di lavoro che si traduce in sovralavoro (vu) dunque in sovrappiù (in termine del valore di scambio '' ve '') dunque in profitto (quando riportato sul capitale costante e sul capitale variabile necessari al processo di produzione nel quale l'estrazione si produce. Abbiamo visto purtroppo che il denaro può produrre denaro anche tirandone un profitto (A-A') : questo si fa tramite l'interesse bancario dedotto dal profitto. Ci rimane dunque da analizzare l'autonomizzazione interamente compiuta del ciclo A-A' rispetto all'economia reale. Qui risiede la perversione suprema del Modo di produzione capitalista.

Vediamo ora come si presentano le cose, come si passa effettivamente dal ciclo A-A' bancario all'emergenza di un settore speculativo (detto di servizi o di servizi finanziari, epitomi dell'economia dette '' immateriale '', nuvole aristofanesche degli asini borghesi molti propensi a ridurre il loro oggetto di studio in una '' dismal science ''. )

Nel ordine cronologico e logico abbiamo il capitale mercante (le antiche compagnie mercantiliste, diciamo fine a Law.) Questo ci da l'accumulazione primitiva (e le prime colonie). Segue il capitale industriale (vedi Marx La lotta delle classi in Francia) ancora appoggiato dalla banca ma dando già luogo ad una distinzione tra capitale portafoglio (strettamente bancario) e capitale finanziario (nella definizione precisa datagli da Lenin nel suo Imperialismo stadio supreme del capitalismo vedi www.marxists.org ) correggendo così Hilferding, cioè un capitale denaro capace di partecipare direttamente nella produzione e nella sua organizzazione. Di fatti, la differenza tra le due forme proviene da una differenza nel regime di proprietà. Questo regime fu partorito dall'evoluzione delle compagnie mercantiliste grazie alle ferrovie in quanto compagnie a partecipazioni (vedi ad esempio i lavori pionieristici di de Witt per calcolare il rischio incorso da ogni azionario partecipante in una data missione, lavori che concretizzarono la teoria dei giochi più astratta di Blaise Pascal. http://en.wikipedia.org/wiki/Johan_de_Witt ) Sua forma compiuta viene data dalla Borsa con le società anonime.

Non si tratta soltanto qui del passaggio tra una forma di proprietà e una forma manageriale secondo la sociologia americana ma sopratutto di un mutamento del regime di proprietà ora caratterizzato dall'azionariato il quale permette il drenaggio del risparmio disponibile tramite la borsa, preservando intanto il controllo (compresso tramite le filiale) nelle mani dei grandi azionari, il più speso organizzati in networks interconnessi (industriali, bancari, funzionari o, almeno indirettamente, politici.) Abbiamo qui una specializzazione, indotta dal processo generale della divisione del lavoro, che permette il drenaggio del risparmio verso l'industria per parte sua sempre alle prese con il doppio processo della concentrazione e della centralizzazione che incarnano le leggi di mozione del MPC (gli oligopoli e monopoli di Sraffa, Robinson e di Chamberlain: produzione sociale, appropriazione privata, precisa Lenin. Oggi si ci aggiunge una raffinatissima pratica della socializzazione delle perdite.)

Con il capitale finanziario restiamo pero nella stessa logica sistemica secondo la quale l'interesse avanzato dalla banca o via la borsa è dedotto dal profitto estratto dall'economia reale. (Le Equazioni della RS-RA con i rapporti fondamentali della funzione di produzione.) Di fatti, questo prende una forma organizzativa e legale precisa. Da una parte il ruolo della Banca centrale, o BC, (cominciando con la GB) va precisato come organo capace di assicurare la coordinazione privata delle banche private, in più della gestione dell'emissione della moneta che ha solo corso legale. Alla BC va dunque il compito di gestire i ratio che controllano le riserve delle banche depositate con essa diritto di controllo regio in effetti secondo il quale si confonde rapidamente la BC con una banca centrale pubblica anche quando questo non è certo il caso. Lo fa ancora esigendo un collaterale preciso: secondo il ratio prudenziale bancario dato, ogni nuovo credito fornito sopra la base del deposito di nuove riserve frazionarie presso la BC tramite l'attivazione del ratio dovrà essere giustificato; in fine dei conti questo processo viene giustificato -e in parte regolato - tramite l'interesse versato dall'economia reale alle banche private per il loro avanzo o credito - come abbiamo visto qui sopra. Se gli interessi ricavati dalle banche crollano l'opera del ratio avrà come effetto automatico di portare ad una riduzione dei nuovi prestiti bancari. La specializzazione del mondo bancario stesso segue, fenomeno che si riassume con la segregazione funzionale delle attività di drenaggio del risparmio e del credito. Così emergono i 4 grandi pilastri del mondo bancario e finanziario. Prima le banche di depositi (all'origine censitari); in seguito, le banche commerciali che permettono la connessione con il capitale industriale (ed il suo lato rappresentato dagli fondi emprunts pubblici) in particolare via la borsa; intanto, lo sviluppo delle compagnie di assicurazione, prima legate al rischio inerente al commercio mondiale e/o al tasso di scambio Gold Standard poi estrapolato alle forme primitive che portano alla assicurazione sulla vita, ed ai regimi di pensioni private; infine, le casse popolari nate dalle esperienze delle prime casse operaie e del mondo cooperativo, processo capillare che portò alle forme di istituzionalizzazione del risparmio dei focolari (parte della sovrappiù sociale) per mezzo dello Stato Sociale.

Notiamo che se lo schema di base rimane lo stesso deduzione fatta mutandis mutatis dell'interesse dal profitto questa forma di accumulazione porta fatalmente all'emergenza delle crisi e dei cicli economici, tutti i due fenomeni essendo purtroppo ontologicamente impossibile secondo il paradigma marginalista. Il quale si vede dunque costretto ad aggiungere surrettiziamente un anoressico capitolo storico nel '' manovale '' come un Pater noster inflitto dopo la confessione segreta dei peccati quotidiani declinando il peccato originale al confessionale, o più precisamente come indulgenza di mercificazione opportunista idonea a permettere la socializzazione e la selezione dei studenti più ubbidienti. Galbraith ha offerto una magnifica storia di queste crisi speculative che si presentano per prima come bolle speculative, a cominciare con quella degli tulipani olandesi. Diciamo soltanto qui che la logica della capitalizzazione oltranzista e della deduzione dell'interesse porta naturalmente a delle crisi settoriali quindi alle bolle speculative definite in modo tradizionale ma con effetti sistematici dovuti all'importante disorganizzazione causata nella coerenza della RS-RA. Così si chiariscano le illusioni del '' sovraprofitto '' legato agli oligopoli e monopoli: non rappresenta mai altro che un effetto congiunturale (fra l'altro segnalato se non altro da un Price/Earning ratio esagerato) effetto destinato dunque a dissiparsi con lo scoppio delle bolle e con le crisi.

Questa logica ciclica reale del capitalismo viene ancora aggravata dalla forma del regime monetario internazionale prevalente questo sovra-determina il tasso di scambio. Basta ad esempio riportarsi ai magnifici ''essays in persuasion'' di Keynes fra i quali ''Le conseguenze economiche della guerra'' per assistere al dramma reale giocatosi tra l'economista inglese e Lloyd Georges (concezioni differenti che si giocavano in realtà ''sulla pelle e le osa dei lavoratori'' secondo un'espressione utilizzata anche da Gramsci.) Sappiamo che Keynes militava per il superamento dello Gold Standard per ricavare più flessibilità. La sua vera sconfitta arriverà più tardi quando si confrontò con l'Americano H. White durante i negoziati di Bretton Woods che portarono al nuovo Standard Oro-Dollaro ponendo una parità di $ 35 per una onza troy di oro assieme alla convertibilit0, convertibilità e standard poi abbandonati per ovvie ragioni nel 71-73 e 76 in favore del regime di scambi flottanti dei quali riparleremo fra poco.

Ci rimane da mostrare il passaggio dell'intermediazione monetaria classica - con le sue forme specifiche e le crisi che ne dipendano all'autonomizzazione quasi-completa dell'intermediazione, cioè alla speculazione eretta in norma egemonica (ma in norma marginalista s'intende, anzi più volta nobelizzata sin dalla mistificazione operata da Hicks, Solow e Samuelson : senza dubbio, Veblen fu un principiante Bucharino-piccolo-borghese rispetto a questi asini super ''svegli''. Di fatti, il loro tentativo fu subito caratterizzato di ''keynesianismo bastardo''. Tutto questo può essere riassunto in quello che ho già definito come ''credito senza collaterale'', in altri termini l'illusione di potere portare al suo termine logico l'occultazione del dualismo (ve-vu) eretta in ''scienza'' (borghese: Hi-han! Hi-han!); una ''scienza'' che prende appoggio sopra la moneta di carta o paper currency di Ricardo rivisitata da J.B. Say, in assenza legale di ogni ratio adatto per governare le riserve depositate presso la Banca Centrale, in assenza dunque di ogni ratio prudenziale: questo viene oggi concretizzato dalle diverse forme di Quantitative Easing ed altri twists. In poche parole l'illusione che il segno rimpiazza oramai la realtà, che importa solo la narrazione teocratica filosemita nietzschiana come va di se anche nel paese nuovamente rovinato benché ebbe già a soffrire nel passato una Sarfatti e Co. Oppure, riformulato in termini marxisti di cicli del capitale, l'illusione propagata dalla narrazione borghese secondo la quale il denaro possa partorire denaro senza passare dalla produzione (gommando così lo sfruttamento della forza di lavoro e le Equazioni della RS-RA.) A-A': il denaro che porta ad una accumulazione senza fine di denaro: ''ecco Mose e tutti i profeti'' come ironizzava Marx nel Libro I del Capitale sapendo benissimo di cosa parlava quando si riferiva al uomo … ''aux écus''.

La differenza proviene qui dall'emergenza dei servizi finanziari come settore (o sotto-settore) a parte intera, ma come settore distinto che vuole nientemeno imporre la sua egemonia sul resto dell'economia - non si osa dire qui ''reale'', visto la falsificazione marginalista operata dall'utilità marginale e di seguito dalla contabilità borghese del PIL che ne discende … Abbiamo dunque qui il ''credito senza collaterale''. Va ricordato che prima della crisi del 2007-2008 c'erano $ 58 trilioni (US) di CDS e $ 596 trilioni di OTC per solo $ 15 trilioni di valore reale o assets (vedi http://www.bis.org/publ/otc_hy0805.pdf?noframes=1 Ben inteso, oggi la situazione è tornata ad essere molto peggiore …) La sua contraddizione intima risiede nell'impossibilità de facto di negare i ratio riserve supplementari depositate alla BC e prudenziali senza pagarne rapidamente le conseguenze. Questo viene illustrato in maniera diretta dal salvataggio a ripetizione delle banche private con fondi pubblici (il demagogicamente detto ''Salva Italia'' e in verità un Salva Banche incluso la Monte dei Paschi di Siena et tante altre …mandando pero l'Italia allo sfaccio per parecchie decade con l'illegittimo Fiscal Compact ...) Ovviamente questo porta alla rovina fiscale dello Stato e, in fin dei conti, all'impossibilità di effettuare questo tipo di salvataggio in permanenza tramite una BCE detta autonoma ma della quale il bilancio rimane purtroppo sempre finanziato dai Stati membri dell'Euro, dunque dai cittadini contribuenti: in realtà essi sono gli unici contributori di ''last resort'' al contrario della favola secondo la quale sarebbe la BC con la sua stampante di moneta ad essere il garante di ''last resort''. Amplificato dal Big Bang borsista (con la forte spinta di Thatcher e della City), il libero scambio santuarizza l'egemonia della funzione di produzione di Solow nella stessa OMC, portando a quello che ho definito come ''l'equilibrio dei cimiteri'' nel mio Livre-Book III, cioè un equilibrio stabilito sopra la soglia fisiologica al livello mondiale per il solo fattore di produzione lavoro, concepito unicamente sotto l'angolo del salario capitalista individuale fuori del focolare- dove la forza di lavoro purtroppo deve riprodursi - ed in astrazione totale di ogni considerazione per malattia, disoccupazione, pensione e … divertimento. Ben inteso, questo concernerà tanto la fiscalità quanto gli equilibri esterni (basta pensare qui a quello che sarebbe la situazione se i Cinesi e i Giapponesi smettessero di comprare i Treasury Bonds della FED … per finanziare le loro proprie esportazioni, senza prendere troppi rischi con il dollaro rispetto agli altri loro partners con i quali firmano già tutta una seria di accordi bilaterali ...)

Le tape di questo processo di affermazione dell'autonomia della speculazione sono ben conosciute:

1. Gli effetti perversi prevedibili del Sistema di Bertton Woods e del suo Dollaro-Gold Standard poi aggravati dal Piano Marshall e dal GATT (effetti riassunti da Rueff per il beneficio del generale de Gaulle prima del Kennedy Round, convincendo così il generale a convertire mese dopo mese i suoi dollari in oro a Fort Knox malgrado il fatto che la manovra venne qualificata di ''inamichevole'' dal State Department …)

2. Il sistema aveva per vizio di sostituire la bilancia commerciale diventata cronicamente deficitaria con la bilancia dei pagamenti sfruttando così l'internazionalizzazione delle grandi banche e delle MNCs americane ambedue appoggiate con la stampante di moneta e con la guerra permanente (non solo la Manifest Destiny ma il ''roll-back'', una strategia pericolosamente aggiunta a quella bipolare del ''containment''; si ebbe così, colpo dopo colpo, la Surtax all'importazione di Connally-Nixon imposta a sorpresa il 15 agosto 1971, la soppressione della convertibilità del dollaro con l'oro nel 73, la fine ufficiale del sistema di Bretton Woods al Vertice della Giamaica nel 1976, e l'inizio dei cambi flottanti i quali aggravarono in modo esponenziale la tecnica relativamente semplice del hedging tradizionale già messa male dalla digestione interna dei petrodollari con l'abrogazione della Regulation Q come fu ben spiegato dal grande analista finanziario Denizet.

3. La contro-rivoluzione monetarista messa in pratica da Volcker-Reagan sin dal 79-81 fine alla crisi messicana e all'invenzione dei tesobonos (Brady plan e le sue sequele) e all'estensione dei piani di approvvigionamento delle banche private deducibili dalle tasse … corso subito seguito dal salvataggio (quasi $ 500 miliardi) dei Savings and Loans che poi fece da modello; questo salvataggio era la conseguenza logica del Reaganismo distruttore delle istanze locali, fenomeno subito segnalato dal fallimento del Orange county. Dato l'assorbimento del grande costo questo salvataggio delle S&L annunziava in modo molto illusorio visto che l'eccezione non può mai pretendere diventare regola - le pratiche contemporanee; oggi questa esperienza informa i pitre in carica, Bernanke in primo luogo, nel loro vano e contraddittorio tentativo di sterilizzare le iniezioni di liquidità con i ripetuti QE. (Dio crea per fiat, il pitre per segno e per narrazione poco poetica ma molto ''liquida'' in generale: vedi Fantasia L'Apprenti sorcier http://www.youtube.com/watch?v=cWZJcKM8pO0 )

4. L'Accordo del Plazza del 86, in effetto un attacco diretto contro lo Yen forzato a rivalutarsi con la speranza di lanciare una curva in J del commercio estere americano che non si è mai verificata, né a questa occasione né in tutte le altre che seguirono fin al Vertice di Doha confermato da quello di Dubaï (20 sett. 2003) il quale portò alla grottesca sovra-valutazione attuale dell'euro. Questo fallimento portò poi al attacco americano dell'euro tramite i CDS dopo lo sgancio della crisi aperta nel marzo 2008. In parallele, abbiamo avuto il Big Bang borsistico voluto dalla City molto più che da Wall Street che veniva completare la spinta in favore dello libero scambio (Nafta, poi OMC con la globalizzazione della funzione di produzione di Solow ( Y = f (K,L) ) dove L è quello che si desidera purché questo possa portare i salari individuali capitalisti alla soglia fisiologica, il resto, inclusi i contributi e i programmi sociali essendo allora, ma in modo suicide, considerato come un costo di lavoro eccessivo (!) il quale nuocerebbe alla flessibilità del fattore lavoro globalmente liquefatto. (Tutto questo malgrado il fallimento recente di GM principalmente dovuto al fatto che non era più in grado di pagare le pensioni private di casa benché le pensioni risultano ovviamente meno onerose quando sono prese in carico dal sistema pubblico capace di godere della logica della mutualizzazione dei rischi e della solidarietà nazionale inter-categorie. In realtà, il libero scambio non esiste mai se non nei precisi parametri che gli si assegna: in modo che la definizione dell'anti-dumping adottata all'OMC esclude d'ufficio ogni riferimento alle norme ambientali e sopratutto alle norme sociali ed al codice del lavoro, compreso quelle minime sancite dall'organizzazione eminentemente ''monarchica' e tripartite, cioè l'Organizzazione Internazionale del Lavoro (OIL).

5. L'abrogazione nel 1999 del Glass-Steagall Act ideato dal New Deal per imporre una prudente segregazione funzionale del mondo bancario e finanziario iniziando simultaneamente la pratica dell'istituzionalizzazione di una parte del risparmio salariale con i contributi versati su busta paga per la Social Security e con la generalizzazione delle tasse sui reditti, stabilizzando così la logica del credito capitalista in un senso, diciamo, keynesiano. Sin dall'inizio questa finanziarizzazione o titolarizzazione dell'economia non poteva provocare altro che la ''fragilizzazione delle migliore firme'' trascinando il processo al suo complimento logico. Il simbolo di questa logica perversa fu l'emergenza e poi la fine brutale dei New Techs con la loro eccessiva capitalizzazione borsistica pronta a camminare di pari passo con la creazione del NASDAQ sulla base di un software concepito all'inizio da nessuno altri che il Signore Madoff ed i suoi …

6. La fine brutale di questa capitalizzazione borsistica i P/E ratio da una media storica di 15 erano passati a 60 per la New Economy con lo scoppio della bolla, scoppio preceduto dalla crisi del bath e del rublo, tutto questo portando il pitre Greenspan, detto ''maestro'' dai suoi servili seguaci e dalle sue candide vittime, a sostenere quello che sapeva benissimo essere una ''irrational exuberance'': si lanciò dunque nella sua personale interpretazione del Wealth Effect che Pigou aveva proposto come critica a Keynes una idiozia che non teneva neppure minimamente conto della struttura della domanda invocata ma che portò pero dritto alla fiscalità ultra-regressiva in favore del 1%, come ben sappiamo grazie al cartello di una perspicace militante ripresa in seguito da tutti, io ammirativo incluso. Si ebbe dunque il House Effect, il quale via l'abrogazione del Glass-Steagall Act portò alle derive attuali sotto forma dei differenti ''conduits'' o ''montages'' tra i quali i mal-nominati CDO che causarono la crisi dei subprime fortemente aggravata dal ruolo dei money funds. (L'abrogazione del Glass-Steagall Act fece sparire la segregazione funzionale mescolando i 4 pilastri finanziari funzionalmente distinti fin allora, cioè le banche di depositi, le banche commerciali, le assicurazioni e le casse popolari o credit unions, facendo così emergere forme speculative nuove, tra le quali i money funds, gli hedge funds ora fuori della gestione tradizionale dei rischi di scambio, e gli investment funds molto speculativi e rapaci ma molto chiusi (anche il governatore di Bankitalia Fazio fu all'epoca coinvolto, il che illustra bene a che punto questi invadenti funds sapevano essere select e ''tra di se'' …

7. La fine di queste asinate portò alla ricerca di nuove fonti di profitti individuali e strategici distruzione preventiva dei rivali economici tramite la strumentalizzazione dei CDS imposti sul debito sovrano un colmo di assurdità dato che non sono certo le banche private a garantire il debito sovrano e neppure il corso legale della moneta, cosa che si verifica anche oggi malgrado la messa sul mercato dei bondi di Stato non più direttamente dalla Banca centrale ma con l'intermediazione monopolistica di una decina di banche private dette ''primarie'' che esigono tassi di interesse così elevati quanto vogliono le loro agenzie di rating le quali valutano in modo soggettivo e in privato il cosiddetto ''rischio sovrano'' e l'eventualità dei cosiddetti ''eventi di credito', ovvero di crisi sistematiche capaci di portare al default puro e semplice mentre come ben sappiamo queste banche primarie, assieme a tutte le altre, si finanziano presso la Banca Centrale (BC) a tassi bassissimi … Questo completò il ciclo che portò alla fine effettiva dei ratio applicati alle riserve (o ratio prudenziali), cioè le leve finanziarie delle banche. Perché le BC furono non solo interamente privatizzate o resi totalmente autonome dal potere politico, ma, in oltre, furono sottomesse alle banche private dette primarie assieme ai loro Stati sovrani che la alta finanza speculativa globale destina al deperimento in favore della''global private governance'' sotto controllo delle grandi firme transnazionali fra le quali ovviamente le grandi banche. Purtroppo queste sono gigantesche firme coi piedi di argille, debbono perciò contare sui Stati sovrani per ricapitalizzarsi, se non altro tramite le BC e i loro bilanci (o bilanci appendici tali le Facilities di Trichet seguite dal FESF e dal MES e da altri OTM). Così le emissioni di bondi privati o sovrani sono ormai sottomessi ad un gruppo molto ristretto di banche primarie meno di una ventina in tutto, di fatti le stesse tra le quali quelle che hanno trafficato l'euribor ed il libor. Queste banche primarie impongono forti commissioni vedi Draghi quando lavorava per la Goldman Sachs in Grecia durante i negoziati che portarono all'entrata accelerata nell'Eurogruppo truccando notevolmente i dati ogni volta che rivendano alle altre banche o istituti. Il tutto viene appoggiato dalle agenzie di rating: come fu detto prima, queste valutano il rischio in modo totalmente soggettivo - cosa apertamente ammessa nelle pagine di accoglienza dei loro siti per evitare eventuali conseguenze giuridiche Si tratta dunque di una guerra economica combattuta tramite la perversione della monetata di carta (incluso la moneta elettronica e automatizzata) che pretende comunque imporre la sua egemonia sopra tutto il resto, tanto privato quanto statale.

8. Oggi assistiamo all'ultima tapa di questo ciclo: il tentativo di aprire il mercato cinese per scambiare ai Cinesi del paper currency del genere FED-Kerouac Kerouac come si sa scrisse il suo più grande libero sul famoso rollo per mancanza di carta adatta … - contro il frutto del lavoro dei cittadini e dei lavoratori cinesi … cioè, facendoli accettare in maniera subordinata e rovinosa la teoria (sic!) del ciclo A-A' interamente autonomizzato dall'economia reale, conservando pero il monopolio della stampante maggiore (in breve sin da Mao i piedi bandati sono rimpiazzati da confortevole scarpe indigene, segnalando, almeno si spera così, un punto di non ritorno e la capacità di continuare a ''marciare con le due gambe''.) Dobbiamo sottolineare qui che la corsa tra l'Achille speculativo e la Tartaruga statale è persa prima del suo inizio da quest'ultima almeno finché le regole del gioco non saranno modificate. In effetti, il shadow banking riposa sopra volumi giganteschi di prodotti finanziari, anzi di ''scraps'', fuori bilancio, dunque esentati di ogni tasse e prelievo, mentre l'interdipendenza di questi scambi puramente speculativi pesa e come sopra l'economia reale e sopra la fiscalità. Ad esempio tramite la temuta e orrende catene incrociata dei CDS: in Grecia paese che purtroppo rappresenta solo il 2 % del PIL dell'euro mentre per l'Italia si tratta di un poco più di 17 % - i finanziari, compresi Dallara dal International Institute of Finance (IIF) hanno accettato importanti haircuts pure di non fare scattare l'attivazione di questa catene … Visto le disastrose evoluzioni, se si comincia ad avere paura di troppo salassare il paziente Europa, si attacca allora l'Argentina; ma a questo gioco se la forma cambia, il fondo rimane identico. L'Italia facendo più paura della Grecia, si cerca di allentare la morsa, con l'abbassamento relativo del spread malgrado l'innalzamento inarrestabile del debito pubblico e la deteriorazione quasi finale dei conti pubblici e privati; cosa non si farebbe per evitare un haircut italiano? Sopratutto si cerca di cambiare la vittima principale nel valutare i rischi detti sistemici di banche presentate a torto come ''too big to fail'' per salvarli così con fondi pubblici ma senza controllo pubblico. Ma questo porta fatalmente alle attuali politiche di austerità e di conseguenza alla distruzione dell'assetto contributivo necessario per sostenere i programmi sociali (reditto globale netto) in parallelo con la distruzione del assetto fiscale anch'esso necessario per finanziare il debito pubblico. Dopo di ché si devono trovare altre vittime da svuotare del loro sangue: non si tratta più di Maquis e del squalo della finanza del Théâtre à quatre sous, ma bensì di un vero e proprio Golem mascherato in dottore … Mabuse … nientemeno più volte nobelizzato … come ben si capisce. (Nota aggiunta Agosto 2013: Sulla distruttrice spirale economica causata dalle politiche di austerità, vedi ad esempio il mio Livre III del 2005- , come pure la più recente recensione del libro THE BODY ECONOMIC: why austerity kills, by David Stuckler and Sanjay Basu, HarperCollins Publishers LTD, 2013. A critical review. nella sezione Book Reviews del mio sito.)

In riassunto, se poniamo questa autonomizzazione in SI unicamente come sotto-settore SI finanza, rimarremo nello stesso caso di figura del capitalista agricolo confrontato alla rendita feudale: l'abrogazione del Glass-Steagall Act costituisce l'equivalente dell'abrogazione dei privilegi compita nella Notte del 4 Agosto 1789 che permise tutto il resto: fine dei regimi feudali locali, laissez faire et laissez passer ecc. Questo epocale cambiamento legale è importante perché ad un botto, con l'aiuto della monetizzazione crescente delle campagne, la valorizzazione tale che viene definita dalla produttività superiore del capitalismo agricolo mette forte pressione sulla rendita feudale: per mezzo dei scambi liberi operati sul stesso mercato con la stessa moneta di scambio; la presurizzazione dei contadini e le lotte di retro-guardia non potranno più cambiare le cose: il feudalismo era condannato. La stessa cosa si produce qui; la produttività anche fasulla di SI Finanza si impone a tutto il sistema secondo la legge interna della produttività e della sua valorizzazione-realizzazione. Diciamo interna perché SI Finanza emerge storicamente poco a poco in modo che i suoi effetti vengono metabolizzati in maniera distruttiva: liberalizzazione, privatizzazione, precariato, fiscalità regressiva ecc, incluso al livello locale; così dopo il Orange county tutta la California seguì nel quasi-fallimento, come d'altronde la stragrande maggioranza dei Stati federati americani … Conosciamo già questa logica imposta dalla produttività egemonica per mezzo della valorizzazione e dello scambio.

Rimane da mostrare il colmo storico-logico di questo processo, la sua logica ad absurdum: quando l'autonomizzazione di SI Finanza diventa tale che le condizioni fasulle-simboliche A-A' appaiano e vengano accettate come reali, imponendosi perciò all'intero sistema. Questo risulta utile perché ci troveremo qui nel cuore di tutte le inettitudini conosciute sotto il nome di ''economia immateriale'' (la più immateriale di tutte essendo ovviamente quella del segno denaro che partorisce solo altro denaro, per così dire per partenogenesi speculativa; e trascurando le vecchie critiche al funzionalismo, comprese le più primitive già indirizzate a Parsons e Eaton quando proponevano i loro sistemi e sotto-sistemi funzionali a forti connotati weberiani e behavioristi ispirati notevolmente da Skinner e da Laborite, questo ultimo magistralmente criticato da Alain Renais nel suo magnifico Mon oncle d'Amerique.

Il problema consiste nel sapere come formalizzare un sistema nel quale quelle che Marx chiama ''condizioni morali'' (cioè, in breve, le norme socio-economiche sostenute dai dati di civiltà, costituzionali e legali) cambiano, in modo che la logica di questi settori più produttivi sono astratti dalla sovradeterminazione sistemica. (Questo corrisponde ai casi analizzati più sopra, un cambiamento nelle condizioni cosiddette morali che risulta identico alla crescita o alla decrescita della produttività nel rispetto dell'evoluzione sistemica dei rapporti fondamentali: in termini di elettronica moderna equivalerebbe ad un ''reset'' sulla base di nuovi parametri. Questo è il caso ad esempio dopo quello che Trockij chiamava ''rivoluzioni sociali'', tanto 1917 che alla rovescia 1991 …) Scappando alla sovradeterminazione possono allora riformulare l'intero sistema secondo i suoi propri dati di valorizzazione. E proprio quello che succede quando la società transita da un modo di produzione ad un altro più performante: un esempio tra tutti, il passaggio della rendita feudale alla rendita (profitto) agricola capitalista. In realtà, questo passaggio una volta afferrato mette fine all'erronea tendenza di considerare la terra come ''una categoria economica irrazionale'' come fecero i classici prima di Marx, apprendo così la strada alla teoria dell'ecomarxismo.) Ben inteso questo suppone un cambiamento nei parametri costituzionali, o per via pacifica o per via rivoluzionaria. Rimane a spiegare come, malgrado questo cambiamento nelle ''condizioni morali'', la coerenza del valore conserve la sua priorità ma non senza partorire altre contraddizioni specificamente capitaliste. Questo risulta possibile semplicemente perché possiamo rimisurare tutto con una nuova unità comune purché sia sempre fondata sopra la valorizzazione del lavoro vivo: non di meno questo riposerà sopra una doppia e falsa premessa, che le merci siano ridotte alla sola ''ve'', e che il sistema sia fondato sopra un ciclo A-A' ormai privo di connessioni anche se egemonico con l'economia reale sempre rappresentata dalla RS-RA o ancora rappresentata qui dai tre cicli del capitale che si ripetano secondo la logica dell'accumulazione capitalista: denaro, merce, produzione, nuova merce, denaro aumentato dalla sovrappiù ecc: in breve A-M-P-M'-A'.

Nel nostro Schema RS-RA precedente facciamo ora emergere il sotto-settore SI Finanza-Speculazione (notato SI Spec.) Supponiamo che abbia le caratteristiche attribuite all'economia immateriale: poco capitale fisso ma forte centralizzazione, privata o borsistica, relativamente pochi lavoratori ma specializzati secondo i bisogni (analisti, traders, manager furbetti dei cosiddetti twenty-something mandati al macello dai gallonati come durante la guerra ecc.) ed un tasso di sovrappiù estremamente elevato. (Ex BNP Paribas con attivi quasi di stesso volume del PIL della Francia e con un Prodotto Bancario Lordo di 42 miliardi con quasi 200 000 impiagati in più di 80 paesi dai quali 150 000 in Europa (nel 2011) Vedi ancora la capitalizzazione di Apple Inc o di Facebook.

Semplificando ancora nostro esempio fittizio generale, non presenteremo qui il capitale fisso (cf) ma solo il capitale circolante (cc). Questo settore SI Spec ha ora il vento legale in poppa (riportarsi alle fase storiche riassunte qui sopra). Il suo tasso di sfruttamento è egemonico, non è subordinato. Invece di essere trattato come un semplice cambiamento di produttività classico si tratta qui di un cambiamento di condizioni morali: cioè conservando la base comparativa C = 100 per determinare in modo empirico le condizioni della funzione di produzione di SI spec, saranno i rapporti di SI (Mp) e di SII (Cn) che dovranno adattarsi malgrado l'assurdità evidente del ciclo A-A' autonomizzato (Lenin parla giustamente dell'azione ''parassite'' operata dal capitale finanziario autonomizzato.

Abbiamo qui le basi reali della pseudo-produttività e del suo valore aggiunto, la speculazione confondendo interamente il tasso di interesse e di profitto (rate of return) benché questa confusione non possa mai essere altra cosa che un miraggio speculativo. Di fatti, il lavoro vivo e sua valorizzazione (generalizzata dal mercato di tutti i componenti o input della funzione di produzione tramite la titolarizzazione, compresso quelli del capitale circolante cc) spingono così al ristabilimento dell'equilibrio … capitalista. Le fasi date qui sopra mostrano che il processo si sviluppa poco a poco, sopratutto sin dal 79-82 e sin dal 1999. Il processo procede assai rapidamente, gli elementi organizzativi o legali mancanti essendo aggiunti camino facendo con il susseguire delle crisi interne o internazionali per stabilire saldamente questa egemonia risanando il vecchio sistema con fondi pubblici invece di permettere la purga salutaria del mondo finanziare e del credito speculativo: ultimo atto in data il Piano di Paulson concepito in marzo 2007 e messo in applicazione in risposta alla crisi in marzo 2008 (!), benché la sua logica costituiva una delle cause principali della crisi: vedi a proposito il mio sito ad esempio i saggi ''The Treasury and the FED'' e ''Credit without collateral''; basta poi dare un'occhiata ai QE di Bernanke-Geithner ed alle manovre equivalenti della BCE tra le quali il LTRO di 500 miliardi a 1% per tre anni di Draghi a favore delle banche (queste banche poi prestano allo Stato ai tassi conosciuti dagli Italiani e da tutti gli altri ...

Si otterrebbero due casi principali : 1) con tasso di profitto pv/(c+v) identico perché il capitale speculativo si sviluppa poco a poco in un sistema esistente. 2) con l'esame della possibilità di un settore speculativo con un tasso di profitto strutturalmente superiore ma egemonico anche lui sul resto della RS-RA:

                cc + v + pv = M

SI Spec.  90 10 20 = 120 (v/C=0,1; pv/v=2; pv/(c+v)=0,2)

                .................................................…..

SI ante         80 20 20 = 120

SII ante         40 10 10 = 60

(Notiamo qui che il prodotto di SI Spec non è veramente un Mp ordinario ma denaro che si trasmuta in titolarizzazione dei componenti input della funzione di produzione. Possiamo benissimo considerare i prodotti dei settori che hanno identici rapporti fondamentali come delle ''unità di conto'' vedi i tragici e fasulli dibattiti sullo ''scambio disuguale'' (sic!) ad esempio con Arghiri Emanuel anche se questo non è più utile dopo la mia delucidazione della teoria marxista; di fatti questa permette una contabilità coerente simultaneamente in quantità e in valore di scambio (e anche in prezzo, tramite l'apprensione scientifica delle inflazioni ecc.). Qui, il termine ''unità di conto'' può essere utile trattandosi del ciclo A-A'. Questione: in quale rapporto quantitativo e dunque valore? Risposta immediata: secondo il rapporto di produttività relativo dato da pv/v; basta allora riconvertire queste unità di conto in Mp di questo tipo, e né avrete 240 invece di 120 nel SI normale (dove Mp = 1 euro.) E proprio sopra questa base che si fa la rivalorizzazione tramite i scambi implicati dalla domanda sociale, in altre parole tramite le Equazioni della RS-RA.

In un tale sistema ricadiamo dunque nel caso di figura della rivalorizzazione sovra-determinato dal settore dotato da una produttività più forte (fasulla ma sancita legalmente, vedremmo le sue contraddizioni in appresso.) Abbiamo visto che questo è anche il caso per i stock rivalorizzati quando sono rimessi nei circuiti del valore corrente (basta comunque gettare un'occhiata alle procedure della contabilità delle imprese), cosa che Sraffa chiamava i prezzi (o valori) di ''epoche diverse'', questione infine delucidata dalla teoria marxista.

Possiamo allora ricomporre la RS-RA prendendo la media cosa autorizzata qui dato che tutto viene dato in termini identici per SI e poi aggiungendo SII.

SI Spec.                 : 90 + 10 + 20 = 120

SI traditionale        : 80 + 20 + 20 = 120

                        ....................................

SI agregato         : 170 + 30 + 40 = 240

Ergo:

SI (C=100)         : 85 + 15 + 20 = 120

SII                         : 35 + 8,75 + 8,75 = 52,5 (SII dato in termini RS-RA.)

I rapporti fondamentali aggregati in SI impongono la ristrutturazione mutatis mutandis in SII (con le conseguenze conosciute Effetto RS-RA in c2 e AR ecc ...)

Notiamo qui che l'aggregazione rappresenta una scorciatoia possibile almeno quando sappiamo cosa dissimula ad esempio, analizzando il tasso di reinvestimento in questo caso di speculazione egemonica e di titolarizzazione generale.) Notiamo che le Equazioni di Marx, ristabilite nella loro coerenza con la legge del valore marxista, permettano una decomposizione molto potente.

Ad esempio notiamo:

c1+v1+pv1 = M1 (SI Spec.)

c2 +v2+ pv2 = M2 (SI traditionale Mp fisici)

c3 + v3 + pv3 = M3 (SII en Cn)

Le Equazioni RS saranno semplicemente c3 = M1 + M2 e così via. Similarmente, possiamo decomporre SII nei suoi sotto-settori. (Per le filiere sarà una ricomposizione statistica mirata a fini di ottimizzazioni decise in anticipo ad esempio del credito, col fine di non causare nessuna deduzione unilaterale.

Immaginiamo ora che la titolarizzazione sia generale: l'aggregazione della RS-RA risultando porrebbe SI spec come SI nel suo intero (tutti i fattori sarebbero liquidi) in modo che i settori Mp vengono relegati nell'aggregazione di SI, dove comunque si devono rispettare regole di copertura quantitative con i Cn (cioè, l'economia reale che non può mai totalmente sparire dietro la narrazione marginalista del denaro-Re ) Questo è il caso limite verso il quale si tende oggi facendo così emergere tutte le contraddizioni latenti alle quali si aggiunge in oltre le deduzioni provenienti dal capitale portafoglio, cioè gli investimenti bancari e le loro deduzioni …

E ovvio che tutto pv spec., è reinvestito per definizione, compreso i bonus e i stock option (eccetto una piccola parte destinata al consumo di lusso) e dunque, dato che il tasso di investimento dovendo essere uguale per anticipazione in SI e SII, SII seguirà ma seguirà male essendo obbligato a tagliare i costi riducendo i contributi su busta paga di v. Questo porta allora alla privatizzazione come pure alle ristrutturazioni operate in modo chirurgico per assicurare un ROE accettabile.

Non c'è dubbio che tagliando nella parte destinata a v, in particolare nei contributi sociali spesso rimpiazzati da esoneri di tasse provenienti da una fiscalità generale … evanescente ! - non solo si smantella lo Stato sociale e con lui i stabilizzatori socio-economici, ma di più si reduce l'assetto fiscale generale. Peggio ancora, confondendo il ''costo del lavoro'' con il ''costo di produzione'' si avrà tendenza a chiedere lo smantellamento del codice di lavoro per favoreggiare la precarità del lavoro e dei salari. Questa logica della soglia fisiologica spingerà anche ad esentare i miseri salario più bassi di ogni tasse sul reditto, la cosiddetta ''no tax area'', il che diventa proprio un colmo. Ben inteso, tutto questo è illogico dal punto di vista dei contributi su busta paga, come pure dal punto di vista della fiscalità. Questa diventerà subito evanescente dato che si cercherà di trasferire su di essa tutto il peso sociale. Ma c'è ancora peggio: cioè, quello che ho definito come corsa tra Achille speculativo e Tartaruga statale. In effetti, sotto-stimando senza nessun dubbio l'estesa del male, si può dire che il settore speculativo, in particolare per quello che riguarda il shadow banking, è tenuto fuori bilancio. Nessuna tassa viene pagata da questa gigantesca massa di scambi, spesso effettuata da persona a persona (OTC). Pero quando si tratterà di salvare le banche private con fondi pubblici i dirigenti sono obbligati di tenerne conto: si pensa unicamente agli haircut effettuati in seria nella gestione europea e del FMI del debito della Grecia sapendo pero che la Grecia non pesa più di 2% della zona euro; come abbiamo già sottolineato, queste ristrutturazioni furono imposte in un clima di panico latente i giornali parlavano per fine del ''sequestro', di Dallara dai dirigenti europei durante lunghe trattazioni - per vietare l'attivazione della pesante catena dei CDS imposti sopra il debito sovrano! Abbiamo qui un'altra contraddizione letale che la stampante di moneta non potrà risolvere; peggio, questo ricorso alla stampante monetaria nel quadro della banca universale potrà solo produrre un ulteriore peggioramento. Rimane che il bilancio della BCE come pure i fondi del SME per il rovinoso finanziamento del SME vedi http://www.scribd.com/doc/107046134/ESM-Investor-Presentation non cadono dal cielo: sono invece finanziati dai Stati membri, ma, visto il deficit esistente, questo finanziamento conta come un'addizione al debito esistente finanziato con gli alti tassi di interesse che conosciamo, mentre la BCE continua a finanziare le banche private a 1 % o meno.

Introducendo la speculazione come un settore autonomo nelle nostre Equazioni della RS-RA siamo allora in grado di rivelare uno degli angoli morto per eccellenza del campo di visione del marginalismo: la sua incapacità ontologica a differenziare tra interesse e profitto e dunque tra economia speculativa e economia reale. Rimane che gli epifenomeni hanno la loro importanza benché la logica che li muove si trova altrove. Se il regime legale difende l'egemonia della banca universale, ci incombe tirarne tutte le conseguenze, rivelando le contraddizioni reali e le mediazioni che le classi dirigenti immaginano per mascherarle invece di cercare a risolverle. Dobbiamo dunque procedere a un doppio esame: quello delle contraddizioni interne e quello delle contraddizioni esterne (dalle quali quelle partorite dal tasso di cambio.)

L'introduzione del settore speculativo porta ad una crescita settoriale della produttività benché, in questo caso, questa sia fasulla. Questo aumento si propagherà all'intero sistema dato che il tasso di profitto (pv/(c+v) rimarrà organicamente lo stesso, influendo sul tasso di interesse. Come abbiamo detto, il tutto risulta fasullo perché l'autonomizzazione del ciclo A-A' fagocita il ciclo completo A-M-P-M'-A'. Siamo dunque qui ben aldilà del semplice effetto di deduzione del tasso di interesse sopra il tasso del profitto. Ma il denaro ha corso legale anche se viene prodotto dalle istituzioni bancarie e finanziarie private. Di qui la generalizzazione degli effetti perversi della speculazione a tutto il sistema.

Vediamo prima le conseguenze interne.

A) Interne : ci troviamo qui nel quadro della politica dell'offerta monetarista (supply-side economics), ovvero la variazione speculativa della politica dell'offerta classica operata da J. B. Say, e ripresa in seguito da tutti i teorici borghesi tra i quali Walras; secondo questa teoria l'offerta creerebbe automaticamente il proprio consumo … Un'altra maniera di dire questo viene sussumato nel moto - mega-magico - marginalista secondo il quale ''se esiste un bisogno, ci sarà sempre un'offerta corrispondente'', il guai essendo che si dimentica di specificare : ''un bisogno solvibile''. Siamo qui nello stesso angolo morto illustrato dal Wealth Effect di Pigou che presta poco attenzione alla struttura della domanda (sociale) in questione. Purtroppo le conseguenze per l'occupazione come pure per i diritti dei lavoratori e per la domanda sociale reale sono drammatiche.

Prendiamo il caso intermediario nel quale SI = le due funzioni di produzione che cominciano con c1 (spec) e c2 (Mp). Avremo:

SI                         : 90 + 10 + 20 = 120

                            80 + 20 + 20 = 120

          ...............................

SI (base 100)         : 85 + 15 + 20 = 120

SII                         : 35 + 8,75 + 8,75 = 52,5

Si vede con un semplice colpo d'occhio la contraddizione principale imposta all'economia reale (le Equazioni RS-RA) : come nel settore A-A' tutto pv o quasi viene reinvestito speculativamente; in effetti, anche la rimunerazione viene qui modificata speculativamente con le preferred and common shares, con i stock options e con i bonus ed altri emolumenti del genere. Rimane solo una piccola parte diciamo di Lusso spesa per mantenere lo standard di vita comunque eccessivo di questi dirigenti. Ora questo potrebbe teoricamente tendere verso l'infinito se non vi fossero le correzioni imposte dalle crisi e l'impossibilità dei salvataggi a ripetizione con fondi pubblici effettuati senza modificare le regole del gioco. L'accumulazione capitalista confonde dunque qui interesse e profitto nutrendosi da se stessa, senza intermediari. Ma, come abbiamo mostrato qui sopra, reinvestendo in questo modo crea delle conseguenze dato che gli investimenti in SI e SII debbono avere un identico tasso per conservare l'equilibrio almeno ex ante. Purtroppo, in questo caso di figura diventa impossibile per SI classico e per SII seguire questo ritmo.

Ad esempio: ammettiamo che pv1 sia reinvestita in intero, e pv2 solo a metà; questo ci darà una media in SI di 30/2 = 15 con un tasso di reinvestimento di 15/20 = 0,75. SII deve seguire al stesso tasso; questo porterà ad una pvd3 = 2,1875 e a tE 3 = 6,5625. La parte della pv consumata dal capitalista in SII scende e si trova nella stessa posizione del proprietario feudale messo a confronto col capitalista agrario (o più precisamente di H.Ford di fronte alla Banca Morgan … Questo perché la titolarizzazione produce interesse e dividendi in modo che camminando nel senso di una confusione sempre maggiore tra interesse e profitto, ogni investimento non speculativo diventerà troppo oneroso e dovrà essere preso in carica dallo Stato, il quale si troverà svuotato della sua sostanza secondo i modelli californiani o BC già criticati nel mio Tous ensemble. Si capisce così perché Ford aveva un piccolo dente sensibile rispetto ai banchieri ... Questa logica distrugge anche l'assetto fiscale dello Stato impedendoli di continuare ad assumere il suo ruolo strategico; così la deindustrializzazione diventerà la norma. Di fati, per conservare la sua pvd ad un livello accettabile, SII dovrà esercitare una pressione crescente sulla sua forza di lavoro, diminuendo progressivamente tutti i benefici accordati come pure le protezioni sancite dal Codice del lavoro. Questo dramma si sta giocando attualmente sotto i nostri occhi. Altre alternative o contromisure vengono immaginate, ad esempio la liquefazione di tutti i fattori di produzione, lavoro, capitale e tecnologia sulla borsa mondiale aperta 24 ore su 24. Ma questo induce forti sovra-capitalizzazioni borsistiche (ad es., i New Techs con i loro grotteschi P/E ratio; anche Apple non è immune ad una vendita fallita o ad un attacco sui suoi brevetti.) Oppure e sopratutto tramite la titolarizzazione di una parte crescente dell'apparato produttivo, o tramite il Roe o capitale a corto termine portando così a tutta una seria di ristrutturazioni operate il più spesso con una leva finanziaria (LBO, OPA e altri tipi di rapina speculativa di questo genere, ecc) Le ristrutturazioni borsistiche sono allora applaudite in borsa perché gonfiano i bilanci trimestrali ma purtroppo, come il Re Midas, distruggono quello che toccano.

Aggiungiamo che secondo il ratio prudenziale bancario attualmente in totale deriva (oscilla oggi tra 40 e 60 per 1, senza neanche tenere conto del shadow banking fuori bilancio …) la capitalizzazione prende allure burlesche (vedi ad esempio quella di Facebook). Questo succede senza che la parte devoluta a v cresca, anzi tutto il contrario. A questo si aggiunge la canalizzazione degli effetti di cassa a disposizione delle imprese- questi sono enormi, contando oggi centinaia di miliardi i quali sono reinvestiti in prodotti derivati, compresi quelli scambiati da persona a persona oppure mantenuti inattivi per paura delle haircut. Così i CFO sono diventati egemonici sopra i CEO, avendo anche soppiantato gli anziani contabili internazionali, esperti conoscitori dei paradisi fiscali cari a Vernon negli anni 70.

Quello che simboleggia tutta questa deriva è fondamentalmente la funzione di produzione fasulla del pitre Robert Solow dove Y = f(K,L), L essendo quello che si vuole, dal pieno impiego ai lavoratori disponibili, prova che era in azione una strumentalizzazione intenzionale della la Teoria generale dell'occupazione, dell'interesse e della moneta (The general theory of employment, interest and money, 1936) di Keynes, la quale sottolineava l'importanza capitale del pieno impiego, della moneta e dell'interesse nel suo titolo stesso; o allora si deve pensare che questa gente Hicks e Samuelson compresi non né avevano nemmeno compreso i fondamenti, il che è piuttosto dubbioso. La stessa manovra solowiana vale per il modello dinamico di Harrod importato dai sovietici ma ritradotto in termini marginalisti-keynesiani. Sfortunatamente, Solow con le sue economie di scala infra-Sraffa degli anni 20, non sa proprio niente della produttività, ed in oltre si trova obbligato ad introdurre la tecnologia in maniera totalmente esogena. Questo senza nemmeno essere capace di fare la differenza fra il libero mercato, diciamo classico (!), e gli oligopoli e monopoli ai quali Sraffa, Robinson e Chamberlain erano arrivati, per non dire niente di Marx, Lafargue e Lenin con le loro analisi della realtà anche descritta empiricamente da Hobson e Hilferding. I New Dealers erano arrivati allo stesso diagnostico sulla base del lavoro di Means relativo alle ''big corporations'' : né traiano argomento per immaginare dei contrappesi, sindacati, convenzioni collettive e Stato sociale, il tutto riassunto da John Galbraith.(Vedi pero la Nota 15 su J. Galbraith nella Sezione Italia del mio sito.) Ora questa funzione di produzione ''razor hedge'' forma il cuore del regime del libero scambio; si appoggia anche sopra una viziosa definizione dell'anti-dumping che impedisce ogni referenza ai diritti dei lavoratori (tra quali i contributi sociali che non sono altro che un ''salario differito'' ecc.) oppure ai criteri ambientali. Questo con la tremenda leva strategica conferita al capitale dalla sua mobilità nell'epoca della moneta elettronica in modo da costringere tutti i lavoratori su scala mondiale a entrare in competizione diretta l'uno con l'altro e, per di più, sull'unica base del salario individuale capitalista nonostante i periodi di inattività che non dipendono a fatto della volontà del lavoratore; e nonostante la taglia relativa dei focolari nei quali la forza di lavoro deve pur necessariamente riprodursi. In oltre, questo va di pari passo con il monetarismo di Volcker-Reagan; si aggiunge la deriva senza freno concretizzata dalla titolarizzazione generalizzata dopo l'abrogazione del Glass-Steagall Act.

Notiamo che se il ciclo A-A' si autonomizza interamente in modo che il settore degli Mp totalmente titolarizzato cade in SII, allora si aggrava ulteriormente tutto: il profitto non riesce più a seguire l'appetito del suo parassite, l'interesse speculativo. A mo di illustrazione, poniamo SI Spec., e SII includendo le Mp fisici e i Cn (c2 e c3). Otterremo questo:

SI spec.         : 90 + 10 + 20 = 120

SII                 : (c2 + c3) : 30 + 7,5 + 7,5 = 45

Come possiamo vedere qui: la logica speculativa, il Roe e tutte le altre pratiche speculative non permettono più a pv2 di seguire, in modo che si dovrà ancora intaccare la parte devoluta a v (va notato comunque che oggi anche la situazione dei compagni Dalits sta peggiorando … questo degrado non significa poco, la soglia fisiologica, figlia di un malthusianismo attardato, è un miraggio positivista e non ha niente di stabile essendo invece molto elastica; la longevità media degli operai nella Glasgow post-Thatcher-Blair era secondo quanto riportato pochi anni fa dal Le Monde diplomatique di 59 anni; quella dei Dalits è di attorno ai 40 anni ...) Ovviamente non servirebbe a niente tentare di riprendere pelo globalmente, neanche per il debito sovrano via i CDS. Mostreremo questo rapidamente ritornando sul discorso del tasso di scambio e sull'inserzione delle FS nell'Economia Mondiale Capitalista. Al meglio, si riporterà le scadenze nel tempo aggravando pero cumulativamente il prezzo da pagare.

Basterà dire qui due parole relative alla corsa perduta anche prima di iniziare da parte della Tartaruga statale venduta alla governance globale privata contro l'Achille speculativo. No necessitano lunghi discorsi per dimostrare che l'imposizione della funzione di produzione del pitre Solow su scala nazionale, regionale e globale distrugge tanto i contributi sociali quanto la fiscalità dello Stato. (La ''public policy'' senza capire niente né a Smith né alla sovrappiù sociale parla di ''crowding out'' e pone dei massimi alla spesa pubblica che non fanno nessun senso se non per la volontà dei dirigenti di strumentalizzare un ''ritorno'' almeno verso un livello di tassazione minime tale che prevaleva prima della Prima Guerra Mondiale, e sopratutto prima del New Deal. In effetti, perché si dovrebbe considerare livello ideale per le spese pubbliche centrali un livello limitato a dei massimi di 12 % o 17 % del PIB? In virtù di quale principio se non del trasferimento delle ricchezze collettive a qualche parassiti nocivi e per di più attivi nella speculazione?)

Così la parte del shadow banking, tenuto fuori bilancio dunque fuori tasse, sale senza fine (i volumi di CDS e di OTC sono oggi superiori a quello che erano prima del 2008, cioè più di 12 volte gli averi assets - economici reali.) Pero queste catene di interdipendenza bancarie contano durante le crisi (creano il cosiddetto rischio sistemico; pensate semplicemente alla crisi greca, la Grecia pesando attorno a 2 % soltanto nella zona euro; nonostante i banchieri e la più parte degli hedge funds hanno accettato gli haircut piuttosto che di rischiare ad esporsi all'attivazione di un ''evento di credito'' cioè ad un default che avrebbe sganciato la catena dei CDS; immaginiamo ora il scenario italiano, spagnolo, portoghese, irlandese o francese già in preparazione e tutti gli altri …) Dunque i salvataggi si fanno con soldi pubblici, proprio quando l'economia speculativa distrugge l'assetto contributivo e fiscale, il quale pena a seguire le evoluzioni sopratutto nei paesi presi al collo dal capitale come la Grecia oppure l'Italia, paese dove rimane purtroppo molto poco da tagliare o da privatizzare visto che le riforme dette strutturali furono già portate a termine o quasi.

Ma i problemi non si fermano qui: si deve aggiungere in questa maledetta corsa gli effetti della ristrutturazione monetarista delle banche nel quadro di un regime globale di scambi flottanti. Sin dal 1974, la Banca di Francia fu privatizzata ed in oltre non gli è più concesso di finanziare direttamente e a bassi costi il debito pubblico e para-pubblico. Così, il debito pubblico che era stato contenuto attorno a 20% del PIL cominciò ad esplodere malgrado i piani di austerità della sinistra. Con l'euro la situazione fu ulteriormente aggravata. Oggi, il mandato della BCE è stato allegramente violato a più riprese per salvare le banche private. La situazione diventa identica a quella che prevale negli Stati Uniti, situazione che ho qualificato di ''credito senza collaterale'' (vedi la sezione Economie Politique Internationale di questo sito.) La banca centrale è autonoma e privata, cioè strettamente collegata ai suoi clienti e padroni, le banche private. Viene sottomessa alle banche private dette primarie che par altro nutrisce a 1% e meno mentre questo piccolo gruppo di banche select - quelle che manipolano il libor e l'euribor hanno solo il privilegio di svendere le obbligazioni di Stato alle altre banche ed istituti aggiungendoci pero ingenti commissioni anche a volta fraudolente, vedi Draghi e Goldman Sachs in Grecia duranti i negoziati per l'entrate di questo paese nell'eurogruppo mentre influiscono sui spread via le agenzie di rating private, soggettive e infeudate o complici.

In questo sistema, le riserve eccedentarie delle banche non significano più niente visto che la BC è sempre pronte ad aprire i rubinetti della liquidità (QE a ripetizione) per salvare le banche in difficoltà. Così, il legame delle banche con l'economia reale è sparito. In effetti, in altri tempi, le riserve eccedentari proveniente dei profitti che emanano dagli investimenti produttivi erano depositati preso la Banca Centrale, un processo che agiva come un sistema di autoregolazione perché le nuove riserve giustificavano e limitavano al stesso tempo verso l'alto o verso il basso i volumi di credito che le banche potevano accordare ai loro clienti, rispettando appunto il ratio prudenziale. Il legame non esistendo più de facto, tutto l'edificio è diventato artificiale. Questo maggiormente perché il ratio prudenziale nominale ancora formalmente in vigore malgrado i giochetti della Dodd-Frank e di Bâle III) è diventato burlesco, la Banca Centrale con la sua disponibilità di iniettare liquidità fa ufficio di ratio nominale sotto-giacente, mentre il piani di salvataggio pubblici spesso effettuati senza nazionalizzazione rimangono i soli veri ratio effettivi. I ratio, de facto, non esistono più anche perché il shadow banking non viene regolato da essi, mentre i QE a ripetizione salvano le banche private in crisi ma in crisi proprio perché non sono più capaci di rispettare il ratio.

Va sottolineato qui che tutti i tentativi di segregare le attività a rischio non hanno prodotto niente: il Rapporto Liikanen, anche se molto timido e infra-risegregazione fu subito dimenticato il giorno stesso della sua pubblicazione ecc. Per parte sua, il progetto di unione bancaria europeo è solo una tardiva imitazione della ricetta di Paulson offerta dopo la crisi del 2008 quando Paulson mise sul tavolo come soluzione della crisi delle subprime un rapporto scritto un anno prima; questo venne fatto coprendo di incenso e estendendo proprio le regole del gioco che avevano contribuito in modo cruciale a provocare la crisi! Ma la logica è chiara: le grandi banche sono direttamente collegate alla FED ed al Treasury Department, in modo che i ratio spariscono de facto dato che le banche vengono considerate ''too big to fail''. Le piccole banche, ancora moderatamente inquadrate, non hanno nessuno divieto per quello che riguarda le attività speculative. In un tale sistema di segni e di narrazioni rimane solo da sorvegliare le ''maturità'' come consigliato da Cecchetti alla Banca dei Regolamenti Internazionali. Riconosciamo che si tratta qui di una vera ed autentica trovata (monetarista): basta per le banche assicurarsi di una copertura permettendo, nel quadro di Basilea III, di tenere una 15 di giorni senza ingaggiare troppo fondi propri, il tempo necessario cioè per permettere il coordinamento di salvataggio sopratutto mirato a impedire l'attivazione delle catene interdipendenti e globali di CDS, mentre le Banche Centrali iniettano liquidità.

Ben inteso la fiscalità pubblica non può seguire e la riduzione dei salari ecc contribuisce a peggiorare questa lacuna. Trichet non è certo un ''frustre'', come il pitre Lordon il quale, per sua parte, essendo del mestiere, crede che le banche hanno rimborsato i Stati, i danni a terzi e in generale alle Formazioni sociali incluso il cronico e poco paradossale ''credit crunch'' - non entrando nel calcolo. Cosa molto comoda ma che sarebbe stata risparmiata alla collettività se si fosse proceduto a minimo costo con il fallimento seguito dalla nazionalizzazione delle banche fallite per 1 euro simbolico per salvare i piccoli risparmianti e evitare il disastrosi ''credit crunch''; con l'uso della leva finanziaria media di 40 per 1 il Tesoro avrebbe modo di intervenire in modo massiccio ad un costo ridotto rispetto all'attuale sistema di salvataggi a ripetizione delle banche private senza nessuno controllo. Trichet aveva parlato chiaro: il salvataggio su fondi pubblici effettuato dopo il 2008 essendo costato oltre 12 % del PIL,ma in realtà quasi il 30 %, chiaramente non si può pensare che un altro salvataggio di simile grandezza sia immaginabile. Ergo, si cerca di centrare tutto sopra la stampante monetaria e sopra le iniezioni ''senza limiti'' di liquidità … ma il contribuendo, questo proverbiale ''cochon de payant'' a la fine non né può più. (Cosa che fa pensare alle vecchie litografie repubblicane francese usate per denunciare il peso del debito pubblico portato unicamente a dosso da Jacques le fataliste (Diderot) e i suoi ma con il Primo e Secondo Stato in coppa … cioè prima della Notte del 4 Agosto 1789.) (Nota aggiunta di fine Giugno 2013: Come si intuisce benissimo da quello che fu detto sopra relativamente al bilancio della BCE e delle BC in generale, anche questa manovra fondata sopra le liquidità ha i suoi limiti che non sono solo di ''rischio morale'', concetto caro alla Germania: in realtà, gli aiuti alla FESF e al MES sono finanziati con prestiti ad alti tassi sopratutto per paesi come l'Italia: cercando di sdoganarsi dal suo grottesco fallimento personale Monti stesso precisò che questi aiuti erano costati all'Italia attorno al 3 % del PIL di debito supplementare oggi neanche la Francia può contemplare nuovi debiti per il EMS per ''aiutare'', la Grecia e Cipro e dunque si è dovuto ricorre a nuovi trucchetti: il Fiscal compact fu interpretato con più flessibilità secondo il deficit strutturale, cioè conservando la corda delle banche universali sul collo degli Stati e dei lavoratori con la speranza di portare avanti le cosiddette riforme strutturali tagli aggiunti a tagli senza mettersi nella drammatica situazione della Grecia. Ad questo vano aggiunti gli haircut per la Grecia poi revisionati con la crisi di Cipro per farne pagare gli oneri ai proprietari di conti correnti, cioè quelli più piccoli che non possono spostare i fondi ad esempio verso la GB come fu il caso a Cipro. Si dice che i fondi sono protetti fine ad una certa soglia, pero vengono tassati di più. Questo modello di Cipro fu aggravato nel ultimo vertice europeo di fine giungo con la decisione di preparare una lista degli titolari di conti correnti, iniziativa che sembra ideata a permettere il fallimento ''ordinato'' delle banche nel quadro della Unione bancaria europea in processo di essere negoziata: in altre parole, formalmente pagano tutti in caso di fallimento, ma in realtà pagano quelli che non possono fuggire verso i paradisi fiscali. In questo modo, si cerca di arrivare a quello che Draghi e la BCE desideravano con il fallito abortito prima di nascere tentativo degli OMT, cioè il presunto tentativo di rompere il legame (disconnect) tra banche e finanza pubblica in caso di fallimento sistemico, ma senza cambiare le regole del gioco della banca universale: l'unico risultato concreto di questa sconcia strategia monetarista è l'innalzamento dello spread. La rovina dei piccoli risparmianti e l'aggravio del ''credit crunch'' alle piccole e medie imprese. Insomma, siamo sempre nel mondo pitre delle narrazioni filosemite nietzschiane. Nessuna sorpresa prevedibile dunque per il futuro prossimo.)

Il caso limite qui sarebbe quello nel quale tutti i settori SI e SII fossero titolarizzati in maggioranza; ed è proprio quello verso il quale si cammina a passi accelerati, visto che la distruzione reaganiana del Ever Green Granary e degli equivalenti mondiali trai quali dobbiamo includere i programmi di stabilizzazione europei della PAC - porta già alla creazione di derivati sui prodotti alimentari. Poi si accusano gli agrocarburanti benché tutti sappiano che debbono essere almeno duali e corrispondere ad una buona tutela del territorio (zonage agricole) che sia capace di proteggere realmente le terre coltivabili. Ben inteso queste accuse vengano lanciate demagogicamente senza che si dicesse una minima parola relativamente agli OGM. Purtroppo, un eminente ed esemplare ricercatore ingiustamente attaccato, Gilles-Eric Séralini (vedi Science & Vie, Nov, 2012, p 68) né ha recentemente dimostrato la pericolosità. Vedi il suo bello studio pionieristico compiuto per la prima volta sul lungo termine, studio oggi attaccato da pitre il più spesso pagati dalle imprese colpevoli allorché i suoi risultati non possono essere negati sopratutto dal punto di vista metodologico e per il suo delle probabilità. In oltre, la sua ricerca ecco il suo vero sbaglio agli occhi dei suoi vili detrattori durò più di due anni mentre gli studi ordinari durano solo qualche settimane! Se, come d'altronde fu fatto notare anche dal ricercatore stesso, alcuni soggetti dello studio risultano sani, allora al contrario di quello che si pretende, i risultati sono attendibili ma il ricercatore ha fatto una ulteriore scoperta che lui stesso collega giustamente agli impatti genetici da capire in sé, e certo non da utilizzare falsamente per invalidare gli altri risultati dello studio (ad esempio, il caso ''singolare'' delle donne dell'Uganda auto-immune al AID.) Perciò, tutto questo risulta molto miserabilista e meschino; né dice lungo sulla subordinazione della scienza agli interessi privati anche in Francia: Allègre non è il solo in questo caso. In verità, rappresenta un sistema con un insieme di poste economiche in gioco. I studi seri e oggettivi confermano per contro le mie tesi : di fatti, se Séralini passasse allo studio di specie con ciclo riproduttivo più corto, confermerebbe molto probabilmente i suoi risultati. Non a caso, gli apicultori puntano oggi verso lo stesso problema legato alla durata delle ricerche ... Rimarrà comunque il problema del passaggio delle ricerche all'uomo, ma questo è un altro affare.)

Ben inteso questi sviluppi speculativi nel dominio della produzione si consolidano nel dominio delle relazioni giuridiche. Il diritto di proprietà capitalista si ci adattò passi dopo passi. Per parafrasare Stephen Heymer, si transitò quindi dalla proprietà capitalista, diciamo familiare o personale, alla proprietà per azioni dalla quale discenderà la sostituzione parziale dei proprietari con i managers. Vediamo subito che una volta il credito bancario sostituito dal credito speculativo all'inizio il software del Nasdaq era derivato da un software sviluppato da Madoff e i suoi, Madoff sedendo pure alla SEC !!! - le forme di proprietà neoliberali prendono il sopravento, con il risultato di falsare la logica del reinvestimento in favore del settore speculativo di corto termine. L'auto-investimento delle imprese quotate in borsa è limitato al minimo dagli riacquisti di azioni effettuati col scopo di mantenere alte le quotazioni - effetto zero dunque sulla produttivitàreale e dalla necessità di pagare dividendi anche facendo il tifo poi contro la cosiddetta ''doppia tassazione'' per non parlare dei contributi padronali e delle tasse purtroppo evanescenti sul capitale! La ridistribuzione così cara ai burleschi pitre ''neo-ricardiani', i vari Pasinetti, Roncaglia, Paolo Sylos-Labini e tanti altri di questa stessa farina che portarono il Paese allo cosiddetto Patto sociale del 1992 che distrusse l'Italia dalla capo ai piedi anni prima della crisi attuale, diventò perciò una ridistribuzione (dei reditti) profondamente disuguale e filosemita nietzschiana. In Italia, in oltre, diventò subito ''spinelliana'' malgrado la Costituzione nata dalla Resistenza al nazifascismo.

B) Esterna (e signoreggio monetario). Il MPC sconvolge in modo rivoluzionario ed in permanenza la produttività, questo essendo proprio il suo apporto storico. Ma così facendo scava la propria fossa. Questo perché produce più merci ad un prezzo più basso ''liberando'' simultaneamente la forza del lavoro così ridotta a diventare una Armata di Riserva. Nel sua critica ai narodniki Lenin notava già che il MPC non era automaticamente capace di utilizzare nuove tecnologie capaci di riassorbire la popolazione così ridotta alla disoccupazione. Pero, la produttività incrementando i volumi di profitto, il processo stesso porta alla concentrazione e alla centralizzazione del capitale eliminando dunque i concorrenti e poi all'espatrio dei capitali incapaci di impiegarsi utilmente, almeno senza modifiche profonde, sopratutto sociali, in una economia già saturata (''matura'', dira François Perroux, in breve un'economia che mutatis mutandis non può più accrescere e deve limitarsi al solo rinnovamento dei stock di merci e di servizi esistenti.)

I scambi esteriori del MPC cercano dunque a vietare la saturazione del mercato interno, almeno finché nuovi settori, sopratutto intermediari, possano essere introdotti. Il capitalismo mercante, e il mercantilismo prima di esso, avevano ambedue già esplorato i mercati esterni come fonti di approvvigionamento meno onerose, cosa vera per i prodotti di lusso spezie, seta, pellicce, ecc , per le materie prime necessarie all'industria come pure i schiavi ed i prodotti alimentari. Di fatto, Ricardo, teorico situato alla confluenza dei due sistemi, militava per il Repeal of the Corn Laws e delle Leggi Elisabettane così care a Karl Polanyi (vedi il suo La Grande trasformazione) semplicemente perché era possibile importare grano a basso costo dai Dominions, questo sapendo che il pane era l'alimento principale della classe operai fortemente urbanizzata e dunque fortemente dipendente dal prezzo del grano. Lenin sintetizzò magistralmente questo processo di espansione del MPC a partire della sua lettura di Marx, Lafargue, Hobson, Hilferding, Rosa Luxemburg e tanti altri. Questo includerà l'analisi del mir russo e quella comparativa dei vari modi di produzione pre-capitalisti, soggetto che vide in seguito il bello contributo di Pierre-Philippe Rey. Il suo schema fondato sulla legge del valore e sulle leggi di mozione del capitale rimane incomparabile. Basta completarlo e affinarlo alla luce delle legge marxista della produttività, e dunque anche della comprensione della rendita. (Analisi molto diverse delle sciocchezze del pitre Braudel seppellito in una biblioteca durante la guerra, al contrario di Marc Bloch; Braudel ama parlare di ''economia mondo'' (per carità, non di Economia Mondiale Capitalista o altra) predicando in oltre, all'epoca dei monopoli e degli oligopoli, delle MNC e delle firme transnazionali la teoria reazionaria e per di più falsa secondo la quale la libertà era perennemente dipendente del ''mercato'', cioè per lui quello dei piccoli fruttaioli e macellai del rione, teoria in verità ante-neoliberale alla quale l'opinione pubblica dopo i New Dealers americani aveva imparato a non dare più retta sopra la base oggettiva della loro analisi delle ''big corporations'' (v. Means e poi Berle e Means.) Di fatti, questa evoluzione storica irreversibile spinse proprio i New Dealers ad inventare dei contrappesi socio-economici come l'allargamento dei diritti sindacali e delle loro convenzioni collettive assieme alla farsa ideologica difensiva di legittimazione dell'Antitrust consolidamento del vecchio Sherman Act.

Il Schema è il seguente: il capitale mercante con l'accumulazione primitiva e i suoi porti franchi (comptoirs), poi con la penetrazione all'interno ed eventualmente la colonizzazione classica. Il capitale industriale fu magistralmente illustrato da Marx nelle sue opere storiche sulla Francia con il passaggio del capitale bancario al capitale industriale in seguito del colpo di Stato di Napoléon le Petit vedi notabilmente Luttes de classes en France, il 18 brumaire et La guerre civile en France; vedi pure il grande, essenziale e ingiustamente negletto Paul Lafargue, il genere di Marx che sviluppò la teoria marxista compreso lo studio della mitologia; il suo contributo allo studio del credito rappresenta il tratto di unione tra Marx, Hilferding e Lenin. Con il capitale industriale avremo l'occupazione fisica dei territori per permettere la costruzione delle vie di comunicazione canali, ferrovie necessarie per l'esportazione delle materie prime. Lenin mostra magistralmente come questo processo fu dominato in particolare dalla GB e dalla Francia, paesi che istituirono una spartizione imperiale del mondo che porterà presto alla Prima Guerra Mondiale e poi, con le rivalità europee elargite all'Oceano Pacifico alla Seconda Guerra Mondiale, cioè una guerra tra campi capitalisti. (Notiamo che le ambizioni americane e giapponesi frontalmente opposte con una classe dirigente giapponese messa allo studio degli invasori occidentali inquinandosi così interamente con le teorie di Nietzsche.) Queste guerre imperialiste ebbero la loro importanza per il socialismo. In effetti, di fronte al tradimento delle cosiddette ''democrazie'' Stalin aveva saputo scartare per un tempo il pericolo mentre procedeva attivamente alla pianificazione della difesa della patria del socialismo con i suoi Piani quinquennali, difesa resa obbligatoria dal riarmamento surrettizio della Germani da parte degli Stati Uniti e dall'Occidente in generale (Piano Dawes e le sue sequele, ruolo dei Warburg tedeschi e americani riuniti ed altri simili, senza dimenticare la Sarfatti, nello sviluppo dell'anticomunismo presto sostituito con il fascismo italiano e il nazismo tedesco.) Seguì dopo la Seconda Guerra Mondiale l'emergenza e il consolidamento dei regimi complementari di Bretton Woods (le organizzazioni gemelle FMI-BIRD sfortunatamente localizzate a Washington di fronte della FED invece di Ginevra o altrove ...), e del GATT, cioè il movimento generale dell'internazionalizzazione del capitale produttivo (vedi in particolare Christian Palloix e André Günter-Frank) e del neocolonialismo (vedi in particolare lo studio di terreno magistrale effettuato nel Congo da P.P. Rey, grande lettore di Marx ma anche del Polanyi analista delle società pre-capitaliste, notevolmente nel Dahomey.) Al limite possiamo aggiungere alcune descrizioni utili: Stephen Heymer ad esempio parla di firme familiare, poi nazionali e poi multinazionali non aveva pensato che questo sviluppo possa proseguire fino all'emergenza delle firme transnazionali che sognano di privatizzare anche il Pentagono … O ancora, le analisi della tecnostruttura alla Galbraith coscientemente concepite all'origine come il pendente pubblico del sistema di contropesi socio-industriali messi in atto dal New Deal assieme alla Social Security e alle convenzioni collettive poste di fronte agli inevitabili monopoli e oligopoli.

Quest'evoluzione sboccò poi sull'internazionalizzazione della borsa e della titolarizzazione (fine di Bretton Woods e dei scambi flottanti, contro-rivoluzione monetarista, public policy, Big Bang borsistico e finanziarizzazione crescente dell'economia, sopratutto dopo l'abrogazione del Glass Steagall Act.) Siamo arrivati alla crisi finale di questa epoca caratterizzata dall'usuale fuga in avanti dei dirigenti che fanno finta di credere nelle loro proprie inettitudini alla maniera del solipsismo dello vescovo Berkeley. Nell'economia intima dell'ideologia che serve a difendere l'egemonia dei sistemi stabiliti, il solipsismo non rimpiazza né la logica né il senso comune, e nemmeno la percezione può sostituirsi alla realtà o il segno monetario al valore reale. (Conosciamo il verdetto dell'analisi cognitiva moderna: il reality check arriva inevitabilmente o tramite piccole accumulazioni successive di fatti che negano la narrazione standard, oppure con il rigetto brutale, secondo la marcia epistemologica-storica del sapere e delle scienze.)

La crisi sarà terribile. Potrà solo essere posticipata se la Cina sceglie di sacrificarsi sull'altare del capitale, e sopratutto del capitale speculativo, sostituendo la sua pianificazione e il suo credito socialista con la titolarizzazione delle azioni, e la capitalizzazione dei fondi necessari alle imprese tramite la borsa. (Almeno che, al minimo, la borsa non sia organizzata come un'istituzione di canalizzazione del risparmio dei Fondi Operai nazionali e eventualmente stranieri secondo il metodo delle Soglie Tobin descritto nel mio Tous ensemble in modo da ottimizzare l'allocazione del credito socialmente disponibile. La scelta in favore di banche pubbliche funzionalmente legate con la pianificazione alle loro filiere rispettive sarebbe, da gran lungo superiore o più ''avanzata'' ancora, essendo in oltre compatibili con le joint-venture.) Speriamo che questa deriva speculativa della Cina sia esclusa. Il nuovo sistema mondiale che emergerà dalla crisi attuale dovrà necessariamente includere una nuova definizione dell'anti-dumping che permetterà la mobilità tecnica qualitativa del capitale - diffusione delle migliori tecniche nel rispetto delle normi ambientali e delle tre forme del reditto dei focolari salario individuale capitalista, salario differito e reditto globale netto e di conseguenza nel rispetto delle ricette contributi e fiscalità necessarie ai Stati sovrani, anche se inclusi in regimi di integrazione regionali tipo UE e mondiali (in particolare una nuova OMC fondata sul fair trade.)

Se la logica dell'esternalizzazione del capitale è dunque ben capita, rimane da collegarla al tasso di scambio e sopratutto a quello che Suzanne Strange chiamò ''il signoreggio'' monetaria della quale ha descritto bene i privilegi. Il marxismo chiarisce tutta questa problematica. In effetti, sappiamo già che all'interno di una industria, di uno settore o di una FS, sarà la produttività a dare il ''la'' tramite il processo di valorizzazione e di scambio. Il tasso di scambio delle monete mette semplicemente in causa quello che abbiamo chiamato qui sopra il Capitale totale della FS, cioè il totale riportato su basa 100 delle funzioni di produzioni costitutive di SI e di SII. Supponiamo prima delle FS indipendenti protette da tariffi nazionali o imperiali preferenziali ecc. Possiamo fare astrazione qui delle forme di inflazione, in particolare dell'inflazione strutturale legata al finanziamento sociale di AR. Ma questo aspetto potrà facilmente essere reintrodotto ( a condizione di disporre di buone statistiche socialiste; altrimenti all'esempio di Keynes saremo costretti ad operare con quello che si ha a disposizione anche se rivisto secondo delle ''rules of thmbs'' storico-analitiche.

Dato che la teoria marginalista non vale una figa secca, un utilizzo critico delle statistiche marginaliste, riviste alla luce della logica della RS-RA permetterà una prima approssimazione, quella diciamo della storia economica ma una storia informata dalla teoria marxista interamente delucidata, cosa che non è neanche il caso con l'Ecole des Annales fin qui dato che ignorava la legge della produttività e cercava di incorporare dal meglio possibile i dati economici empirici lordi, a volta rivisti alla luce del metro diacronico proposto da Jean Fourastié, cioè il lavoro del manovale oppure i spechi, merce prodotta da tecniche stabili per tutte le società anteriori al capitalismo moderno (cioè, la ripetizione pratico-pratica del cosiddetto ''lavoro semplice'' di Adam Smith.)

Così, il tasso di scambio reale diventa centrale e sovra-determina in modo latente le derive e i privilegi dello signoreggio monetaria (potremo dunque prendere il tasso di pv/v come segno

differenziale della produttività relativa.) Vediamo questo rapidamente paragonando due FS con gradi diversi di sviluppo e con diversi gradi di inserzione:

1) Primo caso di apertura delle FS ma con filiali (branch-plants) in FS II :

FS I sviluppata e titrizzata                                         FS II sotto-sviluppata e branch-plants

SI : 85 + 15 + 20 = 120                                                 SI branch-plant : 90 + 10 + 20 = 120

SII : 35 + 8,75 + 8,75 = 52,5                                         SI locale                 : 60 + 40 + 20 = 120

..............................................                                  ......................................................…

120 + 23,75 + 28,75 = 152,5                                                                 : 150 + 50 + 40 = 240

                                                                                SI (base 100)         : 75 + 25 + 20 = 120

                                                                                SII                         : 45 + 30 + 15 = 90

                                                                                ...........................................................

                                                                                                        : 120 + 55 + 35 = 210

(pv/v =1,21)                                                                 pv/v = 0,64

Il tasso di scambio reale viene dato fondamentalmente dal differenziale di produttività delle FS considerando tutto il loro capitale totale (riassunto dalle Equazioni RS-RA.) In questo senso, tiene già conto del grado di inserzione ma permette, riferendosi alle RS-RA specifiche, di seguire l'andamento delle bilance esterne (commerciale e dei pagamenti.) Importerebbe ricordare qui la logica della sovrappiù sociale per le società capitaliste avanzate, o in fase di transizione verso una forma di socialismo secondo la quale la produttività si riferisce alla funzione di produzione microeconomica e la competitività alla funzione di produzione macroeconomica o globale dell'intera FS.

Notiamo pero che nei nostri schema, nella FS II una parte di SI è controllata dall'estero, situazione che la mette nello stesso caso di figura che le firme interne alla FS I confrontate al credito bancario (una sottrazione dell'interesse dal profitto), eccetto che qui questo sarà tradotto specificamente dagli outflow di capitale. Cioè, l'emissione di moneta locale necessaria per palliare queste uscite di capitale, come pure l'espatrio dei capitali nazionali a volte più elevato del debito nazionale fu il caso del Messico e dell'Argentina negli anni 80 e 90, come è il caso del Sud europeo oggi porta a forme di inflazioni distruttrici e di seguito ad una autoritarismo cesariano o bonapartista. Günter Franck vedeva in questo processo il meccanismo intimo dello sviluppo del sotto-sviluppo.

All'opposto notiamo che nella SF I una parte viene fagocitata dal capitale speculativo A-A'. Questo porta ad una produttività fittizia che nientemeno pesa fortemente tramite il tasso di scambio, sopratutto se questo è ulteriormente aggravato dai privilegi dello signoreggio. Abbiamo capito che questa falsificazione del concetto della produttività discende della logica del marginalismo perché non sa fare la differenza tra speculazione e economia reale. Questa falsificazione va ben aldilà degli errori della contabilità internazionale ancora aggravata dagli International Accounting Standards in via di americanizzazione come il dollaro … evoluzione che la Cina dovrà rifiutare ritornando a delle statistiche ed a una contabilità socialista moderna, strettamente fondata sopra le funzioni di produzione marxiste e sopra le Equazioni della RS-RA. Questo da una falsa idea della produttività perché risulta incapace di vedere la sottrazione bancaria e l'effetto parassita prodotto dalla speculazione che appare purtroppo come produttività, il tutto con la sostituzione dell'industria con servizi burocratici tradizionali e, in modo sempre crescente, con servizi semplicemente speculativi (questi ultimi rappresentano già 9 % del PIL nei Stati Uniti contro solo 3% una quindicina di anni fa.) In importanza relativa estimata in termini di PIL sono quasi già in posizione di sorpassare l'industria e rappresentano già tre volte il peso purtroppo cruciale del settore agricolo!!! La teoria dell'utilità marginale - ultima unità prodotta, beni o servizi, anche se sotto forma di derivati o di OTC non può fare ontologicamente la differenza tra il reale ed il speculativo. Peggio ancora dato che privilegia i profitti di corto termine spinge fortemente ad incrementare muro a muro gli effetti parassiti dell'interesse speculativo sul profitto reale. Possiamo allora collegare le tape dell'internazionalizzazione del capitale portafoglio o del capitale industriale e produttivo, poi ristrettamente speculativo, a questo schema di base.

Ad esempio:

A) Se siamo in un sistema di branch-plant - dunque di internazionalizzazione del capitale produttivo appoggiato dal capitale portafoglio residuale , le banche seguano allora le firme multinazionali per farli credito permettendo la loro capitalizzazione contro gli interessi dei paesi ospiti, perché gli outflow di capitale portano rapidamente al sotto-sviluppo. Questa logica perversa è ben conosciuta. Per rimediare alla discrepanza tra risparmio e investimento domestico causati dagli outflow, i paesi si indebitano, il debito chiamando il debito nell'assenza di una inversione degli outflow, ad esempio grazia alle nazionalizzazioni ecc. I tassi di interesse crescono in modo cumulativo, rendendo rapidamente infernale questa logica del finanziamento del debito sovrano. Questo rimane vero negli antichi Dominions (bianchi) integrati nella Tradizione dominante anche se in maniera subalterna (Bond Head facendo ufficio di Titus Oates, ma in esemplari infiniti …) Così, la subordinazione dell'apparato produttivo invece di prendere la forma latino-americana portata al suo parossismo dalle maquiladora prenderà la forma dell'Auto-pact canadese in scambio della distruzione delle firme automobilistiche e aeronautiche nazionali, tra quali il Avro Arrow primo aereo supersonico mai sviluppato. Con l'Auto-pact si iniziava una integrazione continentale sotto dominio imperiale, una parte della produzione del indotto facendosi in periferia mal al profitto delle strategie delle multinazionali con sede sociale nei Stati Uniti. Questo poi diede luogo al libero scambio nord-americano dunque alla fine dell'Auto-pact ed alla negoziazione di ''mandati'' di produzione ottenuti solo quando i governi centrali e locali della periferia mettano la mano alla tasca … per preservare l'occupazione con una forza del lavoro evanescente e sempre più dualizzata, mentre si rovinano le finanze pubbliche delle provincie sul lungo termine. La titolarizzazione accelererà questo processo di pirateggio. Rimarrà il ritorna alle dotazioni usuali degli hinterland (al limite inseriti nelle reti dominanti di comunicazione secondo la versione di MacCulloch … predecessore di Marshall McLuhan per il quale ''the medium is the message''. Parafrasando Marx diremo al contrario che la moneta è un rapporto sociale ben determinato, evidenza che ci rimanda ad una teoria critica delle ''reti'' di comunicazione mondiali sovra-determinati dai modi di produzione.)

B) Se si passa alla titolarizzazione egemonica (Borsa, money markets, investments funds, ecc.,) avremo l'internazionalizzazione del capitale speculativo sancito dalle liberalizzazioni, le privatizzazioni effettuate al beneficio della borsa globale e la ''private global governance'' (vedi la sua descrizione sin dal inizio fatta dal Organizzazione Internazionale del Lavoro ..ref …) cioè la pretensione di sostituire i Stati nazionali, culla della democrazia popolare esercitata da cittadini, con la democrazia ultra-censitaria dell'azionariato privato in favore di un impero globale, anche esso sottomesso alla grande finanza speculativa (''credito senza collaterale''.) tutto questo sviluppo essendo caratterizzato dal ricorso permanente alla stampante monetaria la quale sostituisce de facto i ratio prudenziale cioè la gestione delle riserve supplementari e i volumi più o meno legittimi del credito capitalista!!!

f) Vediamo ora il tasso di scambio e l'inserzione delle FS nell'Economia Mondiale.

FS (I)                                                         FS (II)

84 + 16 + 20 = 120                                         80 + 20 + 20 = 120

36 + 9 + 9 = 54                                         40 = 10 + 10 = 60

.................................                               .....................................

120 + 25 + 29 = 174                                 120 + 30 + 30 = 180

Abbiamo già visto che il tasso di scambio reale di base (senza AR dunque senza inflazione ecc.,) è dato dal differenziale di produttività, cioè direttamente dal tasso di sovrappiù pv/v paragonato al capitale totale di FS (I) e di FS (II).

Così la massa salariale totale di FS (I) è di 25 (cioè, pv/v cresciuta ¼) e quella di FS (II) 30 (astrazione fatta di AR ecc.) Sarà dunque per via del differenziale di pv/v totale che si stabilisce il tasso di scambio di base. Si deve poi tenere conto dei vari tipi di inflazione. Poi si dovrà ancora introdurre gli effetti del capitale bancario (i quali si ripercuotano sopra il tasso di scambio così falsato portando dunque eventualmente alle variazioni sistemiche implicate dai privilegi dello signoreggio esercitati da una divisa sopra le altre. Si tratta dunque di un'altra perversione imperialista da correggere con il ritorno al tasso di scambio reale, stabilito secondo la legge del valore marxista.

Rimane il caso di speculazione iscritto in quanto tale nelle Equazioni della RS-RA con il neoliberalismo monetarista attuale. In questo caso, è ancora peggio ma questo passa dall'autonomizzazione del settore speculativo e non dall'emissione bancaria; quest'ultima aggiunge pero le sue proprie perversioni.

Questo schema generale, suscettibile di includere le varie inflazioni, l'interesse e la speculazione, apre così alla sovrappiù sociale e di fatti viene confermata da essa: in breve con le forme classiche, Welfare o monetariste dell'intervento dello Stato al beneficio delle imprese, includendo la gestione del contratto di lavoro e del codice di lavoro. Questo può essere mostrato facilmente: l'intervento viene fatto rispettando l'uguaglianza formale di tutti i capitali fra di loro plain-level field e le tasse come pure i contributi vengono dedotti della ''struttura di v'' per beneficiare l'accumulazione del capitale. (In quanto a ''pv'' si tratta di una falsità in quanto i contributi padronali vengono immediatamente riportati sui prezzi di vendita e dunque pagati ancora una volta dai lavoratori qua consumatori, il che peggiora i privilegi dello signoreggio nel caso dei scambi internazionali; questo a spese dei paesi dipendenti che non proteggono la loro moneta e il suo tasso di scambio. Senza dubbio questo implica la rimessa in causa vedi più sotto l'imperativa necessità di una nuova definizione dell'anti-dumping capace di proteggere al minimo le tre forme di reditto dei focolari.

Il tasso di scambio vale solo per i scambi. Importa dunque distinguere le forme o regimi assunti da questi scambi. Se poniamo la RS-RA, dobbiamo chiedere: da dove provengono i scambi e che funzioni giocano? La Formazione Sociale (FS) è una costruzione costituzionale sovrana; può essere sovrana, supra-regionale anzi imperiale: i fattori di produzione circolano al suo interno con più o meno libertà secondo i prezzi determinati dalla produttività la più alta. La FS è dunque lo spazio nel quale si forma il valore di scambio, ed è proprio per questo che si pone la questione del tasso di scambio anche in regime di scambi flottanti e di interdipendenza neoliberale globale. Di fatti, il salvataggio delle banche e delle organizzazioni finanziarie pesa appunto sopra le entità statali o sovra-statali che governano questi spazi. I marxisti non saranno sorpresi perché sanno che questa logica portò proprio alla creazione storica dei Stati-nazioni. Non è dunque anodino sapere che il valore di scambio non viene definita nel seno delle firme multi o transnazionali malgrado il loro uso abusivo dei paradisi fiscali e altri metodi di evasione. Se non altro dal fatto che i beni e servizi prodotti in questi sotto-spazi debbono essere scambiati con altri.

Questo ammesso, la prima forma di scambio necessità dei surplus nella RS-RA corrente o inversamente delle lacune potenziali alle quale rimediare per assicurarsi una crescita superiore. E proprio il caso con le forme storiche pre-capitaliste, compreso per l'impero romano che organizzava i suoi scambi interni senza tramandare quelle con lo spazio detto barbaro (''hic sunt leones'' come appare sulle mappe romane dell'Africa del Nord, ad esempio.) In altri termini abbiamo a che fare qui a semplici importazioni ed esportazioni, sistema che porterà in seguito ai tariffi ideati per proteggere le FS nazionali secondo la lezione del Tedesco List formulata in reazione contro il libero scambio classico inglese, il quale prevalse sotto questa forma secondo i precetti del ''vantaggio comparativo', di Ricardo: lana inglese prodotta industrialmente contro vini portoghesi artigianali venduti a grossi bevitori di birra, tutto questo portando ovviamente alla rapida rovina del Portogallo ed alla sua relegazione ad un stato di subordinazione permanente, ben oltre la subordinazione temuta all'avanzo di Napoleone nella penisola iberica.)

Comunque queste importazioni ed esportazioni rimangono determinate secondo i dati della RS-RA controllata nazionalmente nella sua FS di origine. In modo che, i surplus destinati all'esporto no entrano nella domanda sociale interna e non cambiano fortemente i prezzi, anche se spesso esercitano una pressione sulle condizioni dei lavoratori da qui la ricerca di mezzi a buon mercato per assicurare i loro bisogni fondamentali, dal Repeal of the Cron Laws alla sua grottesca e moderna imitazione moderna che ho ironicamente battezzato ''wal-martirizzazione.'' Abbiamo visto che il ritiro delle merci dal circuito nazionale via l'esportazione equivale al ruolo dei stock, le merci rientrando eventualmente nei circuiti interni secondo la logica prevalente della valorizzazione. Pero per quello che riguarda le importazioni tutto viene mediato dal tasso di scambio sempre calcolato in modo erroneo: questo perché il differenziale di produttività che non è mai un ''scambio disuguale'', ossimoro à la pitre covato da vari Samir Amin et ali. riposa sopra una base concreta. In modo sintomatico questo si dissipa comunque con le joint-venture capaci di imporre dei trasferimenti tecnologici come fece la Cina, politica certo molta diversa delle geremiade di piccoli-borghesi colonizzati e terroni nella testa. Amin per di più risulta essere un pitre avverato; mi legge, mi occulta e quando chiamo per la formazione di una Nuova Internazionale senza cifre, ecumenica ma rigorosamente marxista eccolo a proporre un 5 esima, a lui solo, benché ovviamente non conosca niente alla legge del valore: ''plus taré que ça tu meures'' dice la banlieue o la periferia. Certo questo ha una aria ''débile'' e tutti lo sanno: non bisogna dunque aggiungere niente di più!)

Si aggiungono tutte le distorsioni maginaliste, la più grava non essendo l'inflazione bensì il controllo da parte del Centro del credito bancario o speculativo. Il dopo guerra ha mostrato che il Centro detto democratico non ha esitato a distruggere la democrazia eletta ogni volte che metteva dei freni alla proprietà privata, ad esempio sostenendo Pinochet in Cile, oppure vari dittatori in Indonesia o nelle Filippine rovesciando con la forza l'onda emancipatrice della Conferenza di Bandung. Ben inteso nel momento in cui il credito capitalista cioè una sottrazione anche prima che esso diventasse speculazione viene controllato dallo Stato, i scambi perdono una grande parte dei loro aspetti nocivi, portando spietatamente allo sviluppo del sotto-sviluppo.

Sarà forse utile riprendere la tipologia di Gramsci sviluppata poi da Galtung: Centro e Periferia, questo ultimo aggiungendo la Semi-Periferia.

Siamo dunque in grado di esporre rapidamente le principali forme di inserzione delle FS. Ben inteso, questo avrà delle ripercussioni diverse secondo che le FS implicate avranno o meno ricorso al ''delinking'' come fu il caso per alcune all'epoca dell'Unione sovietica, e con l'arrivo in massa dei nuovi Stati indipendenti membri dell'ONU, dopo Bandung.

1. Il capitale portafoglio fondato sopra il controllo dei flussi di capitale dal Centro e dando luogo ad una bilancia commerciale asimmetrica malgrado i tariffi.

2. Il capitale produttivo sempre legato ai flussi dei capitali bancari ma anche ad un'organizzazione del commercio intra-firme che rende in parte caduca la bilancia commerciale come tale. (Ad esempio OGGI attorno a 50 % delle esportazioni cinesi nei Stati Uniti hanno per origine le multinazionali americane stabilite in questo paese.)

3. Il capitale speculativo con un passaggio accelerato alla proprietà di azionariato titolarizzazione e la messa in borsa, questa globalizzandosi sempre di più. Verifichiamo allora tutti i fenomeni descritti qui sopra, fenomeni causati dall'azione parassita esercitata sopra la RS-RA dal capitale speculativo; ma a questo si aggiunge il problema dello signoreggio monetaria (il dollaro e in parte le altre grandi monete di riserva) sopra il tasso di scambio in se. I flussi di capitali sono allora dominati dal regime della ''private global governance'', i Stati capitalisti avendo prima ceduto il loro Ministero delle finanze e dell'economia ad un Tesoro internazionalizzato e sottomesso ai diktat del FMI, quest'ultimo essendo anch'esso sottomesso al suo ingombrante vicino di fronte a Washington, cioè la FED. (Oggi, una delocalizzazione del FMI e della BIRD s'imporrebbe assieme alla revisione dei quota ed alla riforma del loro mandato e del ruolo dei Diritti Speciali di Prelievo (DSP). Oggi, il Tesoro sembra essere ridotto a fare di ratio prudenziale da ultimo ricorso per mantenere il bilancio di una Banca centrale sottomessa alle banche primarie e ordinarie, tutte oggi diventate banche cosiddette universali. E questo aggiunge una contraddizione supplementare unicamente compresa a torto come desindustrializzazione e come outsourcing dato che il valore di scambio continua a formarsi nella FS di referenza mentre il capitale ed i suoi flussi internazionali veniva solo vigilato dall'autocontrollo esercitato da parte delle banche stesse fino alla crisi del 2007-2008. Oggi le cose rimangono così ma sono i Stati a pagare la nota salata tanto negli Stati Uniti quanto nella UE: in quest'ultima i Stati membri essendo ancora solo responsabili del loro proprio debito nazionale senza che il più minimo controllo sia effettuato sopra il livello dello tasso di scambio (che purtroppo è competenza congiunta) né sopra i tassi direttori; ben inteso, questi ultimi vengono determinati dalla BCE secondo l'egemonica dinamica del Centro (Non per caso, in Tous ensemble avevo chiesto l'adozione di ratio Cooke cosa che ci avrebbe evitato gli attuali danni legati allo spread soltanto con la loro presenza. Ci avrebbero pure vietato le inutili inettitudini relativi agli eurobond: la preferenza andò alle inette ricette di gente come Mundell, anche lui Premio Nobel come gli altri e per le medesime ragioni, ma nessuno chiede lor dei conti: peggio si aggiungo inettitudini a inettitudini, malgrado la limpida situazione attuale.

 

g) Per una nuova definizione dell'anti-dumping capace di proteggere le tre forme del reddito dei focolari.

(Si deve ancora finire l'esposizione del tasso di scambio tenendo conto dei prezzi costanti e dell'inserzione più o meno accentuata delle FS nell'Economia Mondiale.)

Non di meno possiamo già enunciare i punti cardini per quello che riguarda l'operazionalizzazione della nuova teoria dell'anti-dumping necessario per gestire un regime commerciale e monetario internazionale equo. Questo perché una buona definizione dell'anti-dumping solve per se stessa a monte i problemi di analisi comparativa i più ardui relativi al tasso di scambio.

Cosa serve per operazionalizzare il calcolo anti-dumping? Per ogni FS si deve determinare la produttività globale dato che la moneta, il credito e la speculazione rimandano tutto a questo livello. Prendiamo quindi il rapporto di produttività (pv/v) del capitale totale per ogni FS. Per fare si che l'analisi comparativa sia giusta dobbiamo tenere in linea di conto anche gli elementi seguenti :

        - i prezzi costanti cioè l'impatto delle diverse inflazioni.

         - le tre forme del reditto dei focolari (per quello che riguarda i servizi pubblici l'analisi comparativa potrebbe semplicemente svolgersi in termine di % del PIB per servizi riportati ai servizi         effettivamente offerti loro stessi determinati dal calcolo specifico della produttività nelle industrie dei servizi, cioè per ogni servizio considerato il tipo specifico di atto universalmente                 accessibile per il beneficiare-cittadino assieme al tempo spesso in coda ad aspettare. Ben inteso tenendo conto dei diritti acquisiti dal mondo del lavoro in modo da spingere ad una                  emulazione positiva.

Questa definizione risulta facilmente operazionalizzabile, verificabile e paragonabile tra i settori e le FS considerate. Di più essendo fondato sul calcolo oggettivo della produttività specifica ai settori dei servizi questo sistema spingerebbe all'emulazione dei migliori programmi mondiali allora valutati in termini dei diritti sotto-giacenti dei lavoratori, il che a suo turno spingerebbe verso la più grande ricerca possibile di benefici giudicati secondo la logica della sovrappiù sociale in relazione alla produttività microeconomica. Al di sotto di queste soglie, i tariffi proteggerebbero le economie interne delle FS ed in particolare il pieno impiego; questi costituirebbe in fatti la meta da raggiungere tramite la Riduzione del Tempo di Lavoro (RTL) massima possibile ad un dato momento. Al contrario del sistema di libero scambio attuale appoggiato come ben sappiamo dalla grottesca funzione di produzione di Robert Solow nella sua forma globalizzata questo sistema spingerebbe ad un'emulazione quantitativa e qualitativa positiva: Le Formazioni sociali sviluppate potrebbero proteggere le loro industrie in maniera equa distribuendone intanto i benefici attraverso la RTL, mentre le Formazioni sociale emergenti potrebbero proteggere le loro industrie, la concorrenza internazionale giocando a pieno qualitativamente quando il pieno impiego verrebbe assicurato assieme ai diritti sociali su scala globale. Di fatti, in tale sistema le joint-venture diventerebbero la regola, mettendo in gioco una mobilità qualitativa del capitale produttivo spinta dalle nuove tecnologie.

Si otterrebbe così un sistema operazionale relativamente semplice ma altamente efficace. Funzionerebbe per mezzo dell' ''emulazione'' qualitativa crescente, misurato in termini di progresso sociale e di ben essere per la massa dei cittadini il concetto di '' emulazione '', essendo inteso qui nel senso comunista preciso conferitoli dal compagno Ho Chi-Mingh.)

XXX

Il sistema speculativo:

Come si transita da un sistema sovra-determinato da un tasso di profitto 20/100 ad un nuovo sistema sovra-determinato dal tasso di profitto speculativo 30/100 (in realtà artificiale dato che si trata di un tasso di interesse mascherato in profitto, una cosa già insostenibile di per sé)

Questo arriva tramite il lavoro vivo messo in condizioni nuove in termini di rapporti fondamentali ma con una giornata di lavoro di identica durata, diciamo 7 ore.

Da : […v…/…pv..] passiamo a [..v../…pv…]

          20 / 20                                     10 / 30

Dato che la base rimane C = 100, il nostro problema è già risolto. Questo può essere verificato dalla logica dell'evoluzione proporzionale dei rapporti in senso inverso.

Richiamo: 80 + 20 + 20 = 120 Euro = 120 Mp. Se la produttività sale di 1,25 % pv/v = 20/16 e v/C = 16/(84 + 16). L'evoluzione si fa tramite v il quale rimane identico in termini reali Mp (20 Mp valgono ora 16 euro) ma suo valore si abbassa in proporzione diretta, il che costituisce l'obbiettivo della manovra della crescita di produttività. La stessa cosa prevale nel nostro caso relativo al cambiamento delle cosiddette ''condizioni morali''. Scriviamo per prima il risultato per tirane poi le conseguenze:

SI FS                : 30 + 70 + 30 = 130

SI riformulato        : 90 + 10 + 30 = 130 (SI ante era: 80 + 20 + 20 = 120)

SI nuovo                 : 120 + 80 + 60 = 160

Da qui :

SI (C=100)         : 60 + 40 + 30 = 130 (media possibile perché tutto è dato in termini identici)

SII                         : 70 + 30 + 30= 130 (SII dato in termini RS-RA.)

Notiamo qui alcune cose interessanti:

a) la sorte subita dalla forza del lavoro: questo ci mostra sotto un nuovo angolo la misera e fallacia soglia fisiologica di Solow, quello stesso che cercava di includere in maniera esogena la tecnologia nel suo sistema marginalista per conferirli una somiglianza di dinamicità volendosi per colmo critico a Harrod (!). C'è una intensificazione dell'uso della forza del lavoro con il cambio delle condizioni morali, evoluzione gravissima se non viene seguita dall'abbassamento della durata del lavoro.

b) La sottrazione operata tramite la titolarizzazione autonomizzata, ma generalizzata dalla mercificazione in borsa ecc, del capitale fisso (cf) e del capitale circolante (cc) influenza fortemente il peso relativo dei settori. (Ritorneremo sopra questo argomento quando esamineremo rapidamente i legami descrittivi entro ''settori'', cioè il primario, il secondario ed il terziario.)

c) Se l'Interesse è una sottrazione settoriale sopra il profitto, operazione negativa che porta alla crisi ciclica visto che la capitalizzazione avviene in modo incoerente secondo l'ineguaglianza delle proprietà private esistente che falsifica l'allocazione socialmente ottimale delle risorse disponibili -, la speculazione, la quale confonde interesse e profitto, crea una crisi permanente: questo viene dimostrato dall'attuale situazione nella EU e nei Stati Uniti. Ritornare dunque alla parabola di Achille e della Tartaruga, i.e., a l'impatto sopra la fiscalità.

(Ogni merce ha un lato duale: ve e vu. Ecco perché l'interesse viene sostrato dal profitto. Una ve scambiandosi contro un'altra ve addizionata dall'interesse ma senza nessuno altro supporto non può essere altro che parassita rispetto allo scambio tra merci reali effettuato nel ambito dell'economia reale. (La circolazione monetaria i.e., masse salariali più rotazioni, non ha niente a che fare con il credito e a fortiori con la speculazione. Si tratta qui di perversità capitaliste indotte dall'autonomizzazione sotto forma moneta: Say-Ricardo portando tramite Cournot e Walras ad un'economia - marginalista unicamente e falsamente fondata sopra ve.

La BC e il sistema bancario, l'intermediazione, la speculazione e la pianificazione, i ratio ecc.

Achille e la Tartaruga: le contraddizioni i.e., l'interesse ingoia tutto il profitto e distrugge l'impresa : es. gli investment funds, il Roe, i LBO, le ristrutturazioni ecc …) 2) la fiscalità e il shadow banking.

Opere d'arte e i vini pregiati ecc …. - secondo il credito e la speculazione : o in genere i valori detti di rifugio …

Tasso di scambio (RS senza AR; RS con AR), inserzione e scambi internazionali.

I prezzi sono solo gli epifenomeni dei valori sovra-determinati dalla RS-RA (v. la dimostrazione in Hi-Han! Le asinate visuali allucinatorie degli economisti borghesi. Quello che non è scientifico non è marxista e vice-versa, brano centrale riprodotto qui sotto.)

3) Rapporti giuridici semplici e allargati (ridistribuzione, epoche di ridistribuzioni, alleanze e lotte di classe.

Rendita e coesistenza a dominanza: aprire la problematica dell'imperialismo versus la RTL.

La Struttura di v

La sovrappiù sociale

Ecomarxismo.

Il modello generale rimane il piano in tre Libri del Capitale ai quali si deve aggiungere il Libro IV, non trattandosi qui di una deriva quaternaria mal della presentazione della storia dell'economia politica. O se si preferisce, secondo l'essenziale distinzione kantiana e marxista tra metodo d'investigazione e metodo d'esposizione, la versione abbreviata dell'esposizione reale operata dalla storia che permise l'esposizione logica dei tre primi capitolo del Capitale. Questo metodo si appoggia sopra il schema della dialettica del materialismo storico dato qui prima del piano generale (plan d'ensemble):

Potremo riassumere schematicamente così:

Dialettica della natura : natura ---//--->Uomo (dominio dei distinti: l'Uomo è natura ma l'inverso non è vero)

                                                        ||

Dialettica generale o materialismo storico: Soggetto storico (identità contraddittoria delle due dialettiche nell'atto di riprodursi individualmente e socialmente. Quest'atto è il lavoro umano, unico creatore possibile del valore di scambio. Il Soggetto è dunque ontologicamente un ''blocco storico'' (Gramsci).

                                                        ||

Dialettica della Storia: modo anteriore (es. feudale) # modo attuale (es. capitalista) dominio degli opposti : l'uno non può dominare l'altro; tutt'al più conosciamo forme di coesistenza a dominanza transitorie.

Importa sottolineare che il legame tra dialettica della natura e dialettica della Storia viene incarnato dal Soggetto (essere umano inteso individualmente come ''blocco storico'' e collettivamente come classe sociali) il che pone il materialismo storico ben aldilà della dualità irrimediabile di Descartes poi ripresa da Ernest Bloch (Soggetto/Oggetto) o meglio ancora aldilà dell'opposizione dei contrari transitando tramite la cosiddetta ''unità dei contrari'' un'idiozia della quale fu colpevole il grande Hegel, e che causò la deriva analettica finale dei suoi sempre interessanti momenti dialettici in un aristotelismo e un psicologismo a volte inutile ma sempre di lettura difficile … Con la sua semplificazione Tesi/Antitesi/Sintesi, Michelet dissimulò il problema per un tempo. Tutto deve pero essere declinato secondo il metodo di investigazione ed il metodo di esposizione marxista (che in fondo era il metodo della Critica della ragione pura del grande E. Kant che Marx dovette dialettizare perché era rimasto per così dire ''steady state'': il ''concreto pensato'' di Marx essendo il ''concetto a priori'' di Kant ma interamente storicizzato. Come seppe ricordarsi Althusser nella sua magnifica analisi metodologica intitolata On the Materialist Dialectic, in La Pensée del Agosto 1963 nella quale distingue i vari livelli analettici P1, P2 ecc..., Kant faceva ugualmente la differenza cruciale tra leggi generali alle quali si ferma la sociologia della conoscenza e le leggi universali in un universo preciso come ebbi già occasione di farlo notare altrove, il che implica di interrogarsi sopra i modi di transizione o di interazione di un universo con un altro.) Ma Kant criticava anche in modo acerbe i paralogismi, sopratutto quelli utilizzati in modo volontario per ingannare la gente, tessuti dai vari pitre ''svegli'' del suo tempo. Ecco perché Kant, uno dei più grandi e raffinati logici di tutti i tempi, non fa sempre la differenza tra distinti e opposti, cosa purtroppo necessaria per concepire il divenire e uscire delle false categorie aristoteliche. Di fatti, qui abbiamo l'unico buono contributo di Benedetto Croce offerto quando era ancora giovane. Per il resto, Croce non comprende un bel niente della legge del valore che non dimeno crede di potere criticare senza neanche sapere distinguere tra durata e intensità del lavoro ...:

''Marx nei suoi Matériaux ripresi da Christian Palloix mostra che il processo di produzione immediato contiene un processo di lavoro e un processo di produzione della valorizzazione. Palloix riassume così: Pi= Pv + Pw.

Partendo di qui voglio mostrare:

1. Che i rapporti di sfruttamento hanno un triplice aspetto e che il nexus tra questi tre rapporti è fondato sopra questo triplice aspetto.

 

a) Rapporti di sfruttamento obbiettivi i quali designano l'aspetto materiale del processo di lavoro, che viene caratterizzato dall'aspetto obbiettivo dello sfruttamento, i.e., sovrappiù assoluta, sovrappiù relativa, produttività e sovrappiù sociale.

b) Rapporti di sfruttamento soggettivi:

        b1) di distribuzione stretti : il rapporto di sfruttamento appare come un rapporto di scambio, cioè d'allocazione del prodotto. Ognuno ha quello che gli spetta: il salario oppure il                 profitto. Questi rapporti di distribuzione nel rapporto di sfruttamento mascherano la realtà della valorizzazione del capitale la quale è fondata sopra l'appropriazione di una partita del                 valore di uso della forza del lavoro.

        b2) giuridici : comunque questi rapporti di distribuzione contenuti nel rapporto di sfruttamento sono sanciti dal contratto di lavoro nel quale ogni partita contraente appare come         formalmente libera, portando così ai rapporti giuridici nel senso stesso dello sfruttamento.

2. Rapporti di distribuzione (nel senso largo qui perché non sono confinati ai rapporti di sfruttamento.) Questi rapporti di distribuzione rinviano alle politiche macro-economiche dello Stato dunque alla RS-RA - e includono in particolare le politiche fiscali e monetarie così come i loro effetti sopra la distribuzione/ridistribuzione del reditto nazionale e sopra i scambi intersettoriali.

3. Rapporti giuridici: Includono tutto il quadro legale che lo Stato impone o mantene sopra la formazione sociale nazionale: questo quadro legale definisce tanto i rapporti di proprietà, di possessione e de-possessione quanto le norme di rappresentanza politica individuale o di gruppo (i.e., il regime democratico e le sue forme particolari o epoche di ridistribuzione: le leggi e-o i statuti che definiscono i diritti fondamentali degli individui e dei gruppi; il statuto legale delle associazioni economiche e altre (es. l'antitrust).''

 

a) Lo Stato e la burocrazia

Passiamo ora all'analisi della burocrazia pubblica come funzione della produzione distaccata per causa di divisione sociale del lavoro, o se si vuole all'analisi dello Stato. In effetti questo chiarirà come lo Stato borghese può essere superato da quella che ho chiamato la ''democrazia socialista'' (vedi il capitolo ''Pour le socialisme cubain'' del mio Pour Marx, contre le nihilisme, assieme alla Sezione Cuba del mio sito) Questo discende dal fatto che la burocrazia è necessaria dato che risulta essere un risultato della divisione sociale del lavoro, benché deve ancora essere democratizzata. Questa democratizzazione passa dalla pianificazione la quale deve diventare il cuore della democrazia socialista capace di andare di pari passi con la Costituzione che garantisce il Dominio della Libertà socialista e il Dominio della Necessità, questo ultimo mettendo in opera la pianificazione e dunque l'uso del lavoro umano.

Il potere politico può essere definito come la capacità di un individuo o di uno gruppo oppure della società nel suo insieme di procedere all'allocazione delle risorse della società in favore della società. Questa è la definizione classica del potere politico (secondo Marx e Duverger se si vuole.) Marx aggiungerebbe che prima di essere ridistribuite le risorse in questione debbono ovviamente essere prodotte, in modo che l'allocazione produttiva, nella sua migliore espressione la pianificazione socio-economica, deve precedere la ridistribuzione. La difesa e la sicurezza fanno parte dell'equazione ma non necessariamente, dato che esistono purtroppo delle economie di guerra di fatti durante la guerra, quando lo spreco delle risorse diventa potenzialmente letale per le classi dominanti, il capitalismo ha subito ricorso alla pianificazione di guerra e … al controllo dei prezzi …. il che mostra bene la superiorità assoluta della pianificazione sopra la cosiddetta '' mano invisibile'' motivata dal solo profitto individuale.

Ben inteso, questo non esaurisce il ruolo dello Stato. Con il termine Stato intendiamo il governo e gli Apparati di Stato, tra i quali la Costituzione e la Giustizia di classe le interpreta vedi la provenienza sociologica dei magistrati; vedi pure la critica di EP Thmopson nelle pagine relative alla giustizia di classe nel mio Livre II intitolato Pour Marx, contre le nihilisme.) Lo Stato avrebbe dunque anche per missione di creare le condizioni materiali, compreso le condizioni istituzionali e educative, che permettano lo sbocciare di personalità emancipate: laicità e educazione alla storia della religioni e del calendario, parità, programmi sociali, culturali e sportivi ben inteso pubblici.

In modo che la politica risulta un affare di alleanze di classe. Sappiamo che il pluralismo borghese fu sin dall'origine censitario e sessista. Il pluralismo attuale è solo una seria di concessioni fatte sotto la pressione esercitata dai popoli sopra questa questione vedi Luttes de classes en France, Le 18 brumaire e La guerre civile en France di Marx -, anche se troppo spesso queste concessioni date dalla mano sinistra furono ritirate dalla mano destra. Così l'educazione rimase sempre un affare di classe per la borghesia e per i peggiori filosemiti nietzschiani, a tale punto che la sociologia borghese cosciente degli vantaggi goduti in partenza immaginerà l'ideologia della meritocrazia e delle cosiddette ''life chances'' per consolidare i suoi vantaggi : il popolo sotto-rappresentato deve lottare sopra questo terreno con un braccio legato dietro le spalle. E ben inteso questo non basta perché si ci aggiunge una incestuosa selezione di classe, come lo dimostra a occhio nudo la violazione permanente della legge dei grandi numeri, compreso nella selezione operata nel seno della borghesia e della piccola borghesia. Il pluralismo borghese fa ancora peggio conservando una seria di monopoli: notabilmente quello della selezione massonica che opera impietosamente ad ogni livello, ma dietro le quinte; quello dell'educazione e del tempo libero da consacrare alla politica; quello del modo di scrutino e del finanziamento delle elezioni che risultano sempre una ''dittatura della borghesia'' malgrado la pretensione di offrire scelte in realtà spesso bipartite, anzi bipartisan o trasversali … i partiti favoriti dal sistema condividendo lo stesso ''mind set'', per dirlo con termini americani. Così si può offrire un alternanza politica senza pericolo per il sistema. Modus operandi con lunghi antecedenti: ''Dobbiamo offrire l'apparenza e non la realtà della democrazia'', secondo la conclusione tirata da Sydenham dalla repressione inglese della Ribellione dei Patrioti operata dal suo predecessore il Wigh Lord Durham..) Ben inteso, questo genere di pluralismo è fondamentalmente antitetico alla democrazia vera, compreso nella sua migliore versione parlamentare borghese, strettamente proporzionale, come fu il caso in Italia dal 1948 alla fine degli anni 80.

L'analisi dello Stato mostra che lo Stato è una forma inerente alle società di sfruttamento dell'Uomo dal Uomo dell'autonomizzazione della burocrazia sotto forma di una funzione di produzione autonoma che serve per dirlo con Adam Smith l' ''interesse generale'' ma come sappiamo tutti in funzione di un'interpretazione di classe. Rappresenta così tutto quello che cade nello scopo dell'analisi dei rapporti giuridici. E questione di legge, la legge di classe prima dell'avvenimento del comunismo, legge che regola i rapporti di classe istituzionalizzati, in primo luogo il diritto della proprietà, il contratto di lavoro e le forme di ridistribuzioni necessarie al mantenimento dell'egemonia di classe e delle alleanze delle classi dominanti oppure, sotto un regime post-capitalista necessario al benessere generale secondo il principio ''da ognuno secondo le sue capacità,a ognuno secondo i suoi bisogni''.

Nella Critica del programma di Gotha Marx spiega in effetti come la legge deve essere disuguale per correggere le disuguaglianze di classe, e Jules Guesde spiega che l'educazione dovendo essere gratuita e sempre accessibile, la scala salariale non ha più nessuna raison d'être se non lo sfruttamento e la cooptazione-legitimazione delle cosiddette classe medie, quelle sopra le quali Bernstein fondava la salvezza del MPC e delle quali Max Weber, ritornato da una gravissima depressione curata con un viaggio in Italia dopo aver letto il Capitale, pretenderà appoggiarsi rivendicando per loro, a mo di apparenza di mobilità sociale, la ''meritocrazia'' di classe, passata al settaggio delle dovute selezioni massoniche o altre pervertendo in tal modo le ''life chances'' di Menger e di von Mises. Al limite, nella società razionale governata da una RTL unicamente limitata dalla produttività microeconomica e dalla competitività macro-economica, i salari più alti dovrebbero ricompensare i lavori più penibili lavori manovali dato che la RTL prende già in carica il resto con i diritti sindacali e con l'ergonomia; questi lavori penosi dovrebbero dunque beneficiare di un salario più elevato o almeno di una pensione anticipata: sappiamo che oggi, secondo le professioni considerate, gli operai muoiono in media da 7 a 11 anni prima dei loro dirigenti … Il che mostra a quale punto la società borghese è micidiale per la maggioranza della popolazione mantenuta da essa nella Preistoria umana.

La definizione dello Stato o della sua forma superata socialista e comunista merita di essere chiarita. Per semplificare continueremo a parlare di Stato ma con il qualificativo socialista o comunista, scelta che discende dalla nostra volontà di mostrare che in una società in transizione, il denaro come mezzo di scambio non sparisce, e neanche la divisione del lavoro, dunque la necessità della scambio. Per contro il rapporto sociale che lo fonda cambia interamente. Il sovralavoro, da non confondere con lo sfruttamento, non sparisce ma la sovrappiù prende la forma della ''sovrappiù sociale'' gestita e controllata collettivamente. Lo Stato di classe sparisce ma la necessaria divisione del lavoro lascia in piazza la burocrazia che deve essere democratizzata in tutti i suoi aspetti con il ricorso alla ''democrazia socialista'' dunque alla pianificazione che ne costituisce il cuore. Democrazia socialista che esclude d'ufficio il pluralismo borghese difeso dal pitre falsamente ''ortodosso'' Georg Lukacs alla luce della contro-rivoluzione mancata in Ungheria nel 1956, una rivolta eminentemente filosemitica nietzschiana causata dal tradimento abortito di Beria quando partecipò nel 1953 all'assassinio di Stalin in stretta complicità con i Stati Uniti, questi ultimi avendo garantito il loro appoggio al nuovo maestro putativo della Urss in cambio della retrocessione dell'Europa dell'Est. Come ben sappiamo oggi quello che fallì con Beria riuscì molto dopo con Adropov e i suoi pitre selezionati, in primo luogo Gorbatchov e Eltsine. Secondo la nostra definizione, il ruolo dello Stato consiste dunque nel creare le basi materiali ed istituzionali della Pianificazione e della ridistribuzione delle ricchezze. Per la pianificazione, si deve transitare dalla raccolta, l'articolazione e la diffusione dell'informazione (in particolare statistica) che permette la Gestione delle Equazioni della RS-RA secondo le scelte socio-economiche considerate prioritarie. Le cose si presenteranno in modo molto diverso a secondo che vanno viste dal punto di vista del MPC e delle sue Epoche, oppure nella transizione ugualitaria fuori del MPC.

Dato che si tratta di allocazione produttiva e di consumo delle risorse, a parte le Equazioni della RS-RA, l'essenziale tiene nella spartizione tra ''v'', il capitale variabile o reditto del lavoratore e la ''pv'', la sovrappiù, sapendo che per questi due componenti la mutualizzazione più efficace, in termini di programmi sociali fondati sui contributi, cioè in termini di ''sovrappiù sociale'' interamente realizzata.

Per evitare ogni ambiguità sarà utile transitare qui lungo un continuum concettuale che andrebbe tenendo conto della funzione di produzione e del suo risultato M, una volta dedotto il capitale costante dalla spartizione della somma (v + pv) spartizione fondata sopra un ''v'' ridotto che paga solo il lavoro individuale fine alla presa in carica dei periodi di inattività. Nel migliore dei casi il lavoro individuale era ristretto alla ''soglia fisiologica'' determinata secondo il liberalismo classico durante il quale tutti i membri della famiglia,, figli e anziani compresi, dovevano lavorare per vivere, situazione di nuovo auspicata da vari pire svegli neoliberali filosemiti nietzschiani attuali. Di fatti, sono anche pronti ad utilizzare la forza per ritornarci a quello stadio, incluso con la strumentalizzazione della crisi speculativa attuale alimentata ad arte. Poi seguì la presa in linea di conto dell'inattività forzata dei lavoratori dovuta alla vecchiaia, alla disoccupazione o alla malattia, come pure della taglia variata dei focolari nel seno dei quali la forza di lavoro si riproduce necessariamente; questo implica una canalizzazione istituzionalizzata dunque più efficace del risparmio dei lavoratori. Questo avviene tramite i contributi su busta paga. Questo processo sbocca, durante lo superamento del MPC, sopra una struttura di ''v'' capace di coprire tutti i bisogni sociali ristretti o larghi stabilendo così un ammortizzatore di crisi molto efficace anche nel periodo del capitalismo avanzato; alla fine questo processo parta alla sovrappiù sociale come forma di estrazione realizzata, la proprietà essendo finalmente collettiva, sotto forma statale o di coop. Questa sovrappiù sociale viene allora divisa per una parte in tasse per finanziare le infrastrutture collettive di interesse generale e, per un'altra parte, corrispondente al tasso di reinvestimento analizzato qui sopra, il quale tasso viene determinato dalle Equazioni della RS-RA secondo le scelte e le priorità socio-economiche determinate in comune.

Questo continuum permette ugualmente di afferrare le varie epoche del MPC tra le quali lo Stato sociale o keynesiano o ancora il Welfare State secondo la sorta fatta ai tre rapporti fondamentali (rapporti di sfruttamento, di distribuzione e giuridici.)

b) Vediamo allora come si scompone ''v'' e ''pv'' in pratica.

Quello che ho chiamato la ''struttura di v'' riassume i tre componenti del capitale variabile, cioè ''il salario capitalista individuale'', il ''salario differito'' (essenzialmente la pensione, la disoccupazione e la formazione) e il ''reditto globale netto'' dei focolari composto dai trasferimenti ai focolari sotto forma di accessibilità ai programmi sociali ed ai servizi pubblici. Il liberalismo classico non ammetteva che il salario capitalista individuale, verso il quale cercano di ''ritornare'' di nuovo i neoliberali contemporanei nuovamente filosemiti nietzschiani. Lo Stato sociale o keynesiano nel mondo anglo-sassone aveva capito che il capitale aveva interesse a sostenere l'impiego, dunque una grande parte della domanda interna, e a sostenere i due altri componenti del reditto dei focolari. Lo fece istituzionalizzando sotto il controllo dello Stato borghese i programmi contributivi finanziati dai contributi dedotti sulla busta paga. Ad esempio furono combattute epiche battaglie per il controllo dei fondi accumulati nei regimi di pensione questo continua oggi ad esempio con la privatizzazione del TFR o nei regimi di cassa integrazione, o ancora per l'imposizione della logica dei sistemi di ripartizione come è ancora parzialmente il caso in Francia.

Oggi, la globalizzazione della grottesca funzione di produzione di Solow (Y = f(K,L), prova solo che Solow e gli altri hanno voluto rovesciare il corso delle cose rispetto alle avanzate teoriche e sociali riassunte nei lavori di Lord Beveridge e di Keynes. Per questi ultimi la proprietà, anche se garantita, deve cedere davanti ai diritti sociali, questo implicando una economia mista che permette l'intervento dello Stato per regolare il mercato e per salvarlo dai suoi propri ''spiriti animali'', secondo la perspicace espressione di Keynes. O ancora, una volta i limiti dell'economia mista raggiunti, il ricorso alla pianificazione socio-economica nata nei cartoni dei Consigli Nazionali di Liberazione. (In effetti, ho spesso sottolineato il colpo fatale portato al Moltiplicatore di Kahn dal smantellamento doganale effettuato dallo Gatt poi portato a termine dall'OMC, conclusione logica della sconfitta del britannico Keynes contro l'americano H. White a Savannah. Questa è la causa esterna, la quale agisce con forza raddoppiata quando viene appoggiata dalle contraddizioni interni.

Così ho sottolineato altrove, ad esempio nel mio Tous ensemble che Keynes rimane un marginalista anche se regolatore: alla fine, il suo sistema di regolazione capitalista non può risolvere la contraddizione principale del MPC, cioè quella che oppone la sovraproduzione al sottoconsumo per causa della liberazione costante della forza di lavoro dalla crescita continua ma obbligata della produttività. E proprio questo scoglio fatale che spinge i neoliberali filosemiti nietzschiani contemporanei a rifiutare una più grande spartizione delle ricchezze ed una democratizzazione del regime di proprietà per tentare di ritornare in dietro usando la forza brutale assieme all'oscurantismo di massa, come durante gli anni neri 20 e 30. The report from the Iron Mountain lo diceva già chiaramente. Il ''reditto annuale minimo garantito'' di Milton Friedman lo ripeteva con altre parole più prudenti visto l'esistenza ancora all'epoca della URSS. Ma la reazione isterica della borghesia svedese al Piano Meidner parla possibilmente ancora più chiaro visto che i Fondi Operai, con il loro incomparabile potenziale di accumulazione, avevano la capacità potenziale di cambiare l'intero regime di proprietà in pochissimi anni. Sin dal smembramento della USSR si può notare che tali precauzioni oratorie sono diventate superflue: oramai ci vantano, senza la minima vergogna anche tra socialisti, i meriti del Kürtzarbeit e della disoccupazione parziale (sic!) che va di pari passi con una divergenza tra alti e bassi salari mai sfiorata prima, mentre ci offrano il lugubre cinema delle nuove crociate filosemitiche nietzschiane, le più oscure essendo ben inteso quelle mirate contro i ''nemici'' interni, qualificati globalmente come ''terroristi''. Questo proprio da quelli che Trostkij chiamava ''gangster'' e che il grande economista walrasiano Maurice Allais chiamava ''banditi''. In breve, questi asini patentati pretendono ritornare al regno della ''deferenza inverso l'Autorità'' auto-conferita e garantita dal solo Martello nietzschiano, la critica scientifica essendo soggetta al controllo dei flussi di comunicazione … loro stessi rigorosamente autorizzati (e controllati anche con il ricorso alla disinformazione sistemica oggi apertamente eretta come parte della ''guerra'', contro il presunto … ''terrorismo''). Il ritorno del bastone è necessariamente e sempre garantito, '' una volta ancora'' (''once again'') come solleva ripetere il loro Gran Maestro sifilitico Nietzsche in accordo con i suoi propri maestri ben conosciuti, ma la prossima volta senza il compagno Stalin: visto che la critica fondamentale dell'esclusivismo, sopratutto quando cerca di sostituire il singolare all'universale elaborata da Marx nella Questione ebrea inclusa nella Santa famiglia, rappresenta un pilastro dell'uguaglianza umana e dell'emancipazione laica e repubblicana del pensiero (Kant direbbe della Ragione.) Ho riformulato tutto questo nel mio ''Le lit du néonazisme'' e nel suo appendice (Annexe) come pure in altri testi tra i quali L'elogio della laicità e vari capitoli del mio Pour Marx, contre le nihilisme. L'uguaglianza vera, intesa come processo del divenire individuale e collettivo rimane l'unico elemento chiave (''decisoire'') che oppone gli Uomini ai cosiddetti sovra-uomini auto-selezionati come tali.

Nessuno paese al mondo può vivere in autarchia, così che diventa chiarissimo che il commercio internazionale deve essere regolato. Il libero scambio classico serviva le potenze imperiali le più sviluppate, provocando le reazioni protezioniste à la F. List. Il GATT come pure il Regime Monetario di Bretton Woods serviva i Stati Uniti diventati dopo la Seconda Guerra Mondiale la prima potenza industriale e economica al mondo, le altre nazioni essendo state devastate dalla guerra. Il libero scambio attuale doveva servire i stessi interessi mettendo a contribuzione l'interdipendenza asimmetrica la quale comunque non si materializzò mai, come d'altronde avevo previsto sin dal inizio (ad esempio nella mia critica di Keohane e Nye.) : la produttività dell'economia reale ha cambiato campo; i Stati Uniti sono diventati principalmente un'economia di servizi sempre più speculativi; non di meno, malgrado le apparenze, rimangano subordinati alla buona volontà dei loro creditori internazionali.

Importa notare qui l'importanza della definizione dell'anti-dumping nel regolare i scambi. Keynes voleva un sistema di barriere tariffarie capaci di mantenere la coerenza produttiva della GB (le sue Preferenze Imperiali riformulate dal Commonwealth.) Maurice Allais, anche se walrasiano ma profondamente repubblicano, aveva sufficiente coscienza dell'importanza dell' ''economia reale'' per informare le sue equazioni; di conseguenza, propose un regime di Preferenze comunitarie per garantire scambi equi, riportando al livello più largo dell'Unione europea il regime tariffare atto a preservare la coesione produttiva, il tutto coniugato con una riforma monetaria finanziaria capace di garantir che il credito sia messo al servizio dell'economia reale invece della speculazione. Purtroppo la UE seguì la strada tracciata dai Stati Uniti copiando il trattato di libero scambio continentale Nafta. Ma per colmo si aprì totalmente rimpiazzando l'integrazione europea con la sottomissione della UE alla ''private globale governance''. Ben inteso lo strumento principale di questa sottomissione fu l'accettazione da parte della UE all'interno dell'OMC della definizione dell'anti-dumping voluta dagli USA per estendere il loro libero scambio al resto del mondo. Importa sottolineare che questa definizione esclude ogni referenza ai diritti acquisiti del mondo del lavoro come pure ad ogni criterio di protezione ambientale. Naturalmente la conseguenza sarà di imporre una competizione selvaggia tra i lavoratori di tutti i paesi, spingendo così a chiedere sempre più flessibilità nel mercato del lavoro: in tal modo, delle tre forme del reditto dei focolari solo il salario capitalista individuale, quello più basso possibile, risulterà accettabile; il resto apparirà come un costo del lavoro eccessivo! In questo modo, i sistemi assicurativi e solidali creati per gestire la disoccupazione (casse integrazione ) vengono sempre più sostituite dal workfare oppure dalla sua forma europea di Kürtzarbeit, o disoccupazione parziale (!) ecc …), i regimi di pensione vengono largamente privatizzati mentre l'età pensionabile viene spostata in dietro nel tempo l'ideale borghese essendo il ritorno al sistema di pensione borghese di origine, cioè quello che, col pretesto della logica attuariale (capitalista), stabiliva l'età pensionabile a tre anni prima della morte secondo la longevità media. Per parte loro i servizi sociali fondati sopra l'assicurazione sociale vengono sostituiti con l'assistenza pubblica fondata sopra una fiscalità generale evanescente - crescita della disoccupazione e della precarietà -, e dunque, in fine, sopra la carità privata, sempre per parte sua finanziata dai contribuenti tramite le tax expenditures e gli altri esoneri e crediti fiscali ai quali si aggiunge per la società e per i ''beneficiari'' gli aspetti morali borghesi e/o confessionali necessariamente implicati.

Ho esposto altrove nel mio Livre III in particolare, vedi ad esempio un riassunto dell'argomento nella Nota 15 su John Galbraith tradotta in italiano nei Brani scelti disponibili nella Sezione Italia del mio sito che questa scelta dell'anti-dumping neoliberale è sempre fondata sopra un fatto cruciale dimostrato da Marx: la produttività aumenta secolarmente di pari passi con la concentrazione e la centralizzazione del capitale in mercati sempre più ''maturi' che permettano al infuori dell'introduzione di nuovi settori unicamente il rinnovo dei parchi di merci esistenti, in tal modo che si producono inevitabilmente più merci con meno lavoratori. Di conseguenza, o si procede alla spartizione del lavoro socialmente disponibile tra tutti i cittadini idonei al lavoro di entrambi i sessi, oppure si tenta di operare un ritorno in dietro imponendo la spartizione della miseria tra i proletari nel processo indebolendo le ''classe medie'' mentre si ingrassa il decile, oppure meglio il 1 % superiore della piramide dei reditti (privatizzazioni, liberalizzazioni, flat tax, tax expenditures, esoneri, cunei e crediti fiscali diversi al beneficio esclusivo del padronato per di più legati alla legislazione europea delle 48, 60, 65 anzi 72 ore di lavoro settimanali ma con intermittenza nel quadro del micro-taylorismo e del workfare.)

Ben inteso, una tale politica di austerità regressiva può solo sganciare una spirala economica verso il basso, spirale che la finanza speculativa può difficilmente arrestare, anche quando non pesa direttamente sopra il finanziamento del debito pubblico.

In una società avanzata la ''struttura di v'' coprirebbe tutti i bisogni sociali, il salario individuale servendo allora unicamente per garantire la scelta di consumo individuale per via della parte del risparmio salariale non istituzionalizzata che i lavoratori e i loro focolari riescono a risparmiare secondo il loro modo di vita specifico. Questo sistema non strangolerebbe affatto la gente questa è una falsa critica demagogica utilizzata dalla destra svedese impaurita dalla logica impeccabile del Piano Meidner di origine ma libererebbe gli individui e i focolari dalla paura dell'indomani, mentre si garantirebbe le scelte individuali assieme alla responsabilità budgetaria degli individui. I costi di un tale sistema sarebbero modesti dato che i programmi sociali pubblici mutualizzano i rischi; così costano meno caro rispetto ai loro rivali privati. (Ad esempio, i Stati Uniti sprecano più di 16 % del PIL per un sistema sanitario privato che non garantisce una copertura completa e universale, mentre il sistema pubblico europeo costava attorno a 9 % in media prima dell'esplosione attuale dei costi semplicemente provocata dal pagamento all'atto dei medici e dall'assenza di un sistema di produzione e di copertura farmaceutica interamente pubblico. A questi costi sistemici si aggiungono quelli derivati dal fatto che si mantiene nel sistema rimasto ancora pubblico gli interventi più pesanti ad esempio più di 80 % degli interventi ospedalieri difficili mentre quello che risulta profittevole viene sistematicamente trasferito al sistema privato; questo permette poi di argomentare in favore dell'inefficienza del settore pubblico e della sua ulteriore privatizzazione …)

In realtà, sappiamo che dietro l'argomento fallace della libertà contrapposta all'assistenzialismo sociale si annida una strategia di strumentalizzazione freddamente calcolata per influenzare il senso comune e favorire il ''risentimento'' delle masse … ridiretti in modo surrettizio contro loro stesse, le vittime essendo divise tra loro e spinte a prendersela con le altre vittime designate come capri espiatori. In effetti, oggi, le tax expenditures e i scudi fiscali al beneficio del capitale sono i veri e pesanti programmi di assistenza attuali. Costano in realtà molto più caro che le vecchie sovvenzioni dirette, le quali producevano almeno risultati verificabili in particolare nei servizi pubblici degni del nome per gli utenti non ancora considerati come clienti solo degni di attenzione quando giudicati solvibile dal punto di vista pecuniario. Di più questi costi parassitari fanno astrazione delle oscene rimunerazioni dei managers e dei padroni (i salari non divergono più del 1 a 14 in media ma del 1 a 500 e a volte ancora di più se si tiene conto di tutte le forme di rimunerazione, stock options ed il resto …) Questo sistema di ridistribuzione dei reditti regressivo costa ovviamente una fortuna in termine di fiscalità pubblica. Non si tratta qui del piccolo miliardo da ricavare con il 75 % di imposizione degli alti reditti definiti in senso strettissimo, ma ad esempio dei 33 miliardi di crediti fiscali per l'Outre-mer, senza contare gli altri meno visibili, ai quali si aggiungono (sempre per la Francia) i 150 miliardi di euro di evasione fiscale più del doppio nel caso dell'Italia che sono una tutt'altra cosa paragonate a le qualche centinaia di euro causati dal uso fraudolente del sistema sociale pubblico. Così le tax expenditures, o spese fiscali (!), sono stimate attorno a 120 miliardi di euro in Francia e in Canada: ma hanno l'eleganza tutta borghese di sparire sotto i radar una volta conferiti, in modo che il budget statale appare sempre precario … (Ultimo esempio: fine gennaio 2013, Monti continua a dissanguare l'Italia con l'austerità imposta dalla BCE; ma non di meno poteva sborsare più di 4 miliardi di euro per salvare i furbetti di Monte dei Paschi di Siena; lo fece pure risparmiando quel 10 % di ricchi che controllano ormai più di 47 % delle ricchezze del Paese, ma svuotando le tasche dei focolari più poveri tramite l'aumento della tassa fondiaria (IMU) che grava sulla residenza principale, aumento che guarda caso è calcolato per coprire quello che serve per salvare, sempre con fondi pubblici, la Monte dei Paschi. Purtroppo la Monte dei Paschi detiene solo 18 miliardi di derivati mal gestiti; Unicredito il quale pesa più della meta del Pil italiano ha accumulato più di 118 miliardi di derivati almeno quelli conosciuti un totale in crescita continua …

Il metodo utilizzato sarà, è già, quello dei macellai budgetari filosemiti nietzschiani del PS in Francia, appoggiati da uno Conseil costitutionnel e da uno Conseil d'Etat che sembrano sempre di più prendersi per la Corte del Lussemburgo operando per interpretare in loro maniera il diritto al lavoro e l'uguaglianza repubblicana purtroppo ancora sancita in modo prominente dalla Costituzione, per tacere la competenza esclusiva dei Stati membri in materia di diritti e di programmi sociali.) A questi costi derivanti della ''public policy'' indotta dal monetarismo si deve aggiungere il pesante tributo imposto ai contribuenti per salvare dalla bancarotta imprese come GM, Peugeot PSA Finance ecc, ecc, o peggio ancora per quello che riguarda le clamorose bancarotte bancarie con salvataggi pubblici ormai a ripetizione!!! Come ben sappiamo il senso di colpevolezza vale solo per la gran massa dei credenti, non per i Grandi Preti …

La vera ragione sta nel panico risentito dalla borghesia, prima il panico che cerca di esorcizzare con il suo ''ritorno a una nuova domesticità e una nuova schiavitù salariale'' già teorizzato nel Report from the Iron Mountain e poi, in linea diretta, dalla Trilaterale e da Samuel Huntington. Quest'ultimo, dopo avere teorizzato i ''strategic hamlets'' (le politiche genocidiarie condotte contro il Vietnam e il Guatemala tra altri paesi) teorizzò anche il spettro delle cosiddette ''rising expectations'' da parte dei lavoratori proprio quelle che non potevano più essere controllate dall'inflazione perché questa degenerava in stagflation. Così Huntington teorizzò il ritorno forzato alla ''deferenza verso l'Autorità'', istituzionalmente auto-conferita e certo non la dovuta deferenza verso l'autorità della scienza e della sua deontologia. Si trattava dunque di una deferenza verso ''l'Autorità'' dei calamitosi pitre che operano come asini da basto auto-selezionati con il Nobel d'economia eccezione fatta del grande Maurice Allais - e tanti altri della medesima farina, gente a pena uscita dai suoi buchi grazie ai comunisti ed a Stalin, ma che non di meno pretenderebbe nuovamente prendersi per i ''maestri del mondo'' sognando visto che sono specialisti di una lingua morta in ritardo da più di 2000 anni di ricostruire dei tempi cosi ''lucenti da aciecare (abbagliare) la vista'' (sic!) secondo la rivelatrice frase biblica.

Passiamo ora alla pv. Abbiamo già visto per implicazione che la spartizione tra ''v'' e ''pv'' dipendeva delle lotte di classe e dunque delle epoche del MPC. Il liberalismo classico era fondato sopra il solo salario individuale capitalista. Lo Stato sociale e il Welfare State resero più complessa la ''struttura di v'' ancorché sotto egemonia e sotto controllo capitalista. Rimane che una parte della ''pv'' è sempre socializzata anche sotto il regime del liberalismo classico: di fatti, Adam Smith capiva il ruolo di questo intervento statale più che i neoliberali attuali, campioni della legge della giungla e della soppressione di tutte le norme codice del lavoro, criteri ambientali, anti-dumping ecc. Adam Smith stesso, il padre della ''pin factory'', era un fervente avversario dell'apprendistato (apprenticeship) perché all'epoca questo ultimo era fortemente collegato ai privilegi delle corporazioni degli Arti e Mestieri, le quali bloccavano la marcia verso la segmentazione e la ricomposizione dei compiti produttivi operati dalla pin factory, compito poi ripreso con zelo dallo taylorismo. Riconosceva comunque un ''interesse generale'' (difesa, sicurezza pubblica, educazione) come pure un ''interesse generale capitalista'' (proprio quello che Marx riformulerà con la sua espressione di ''comunismo del capitale''.) Ad esempio, le infrastrutture essendo utili a tutti i capitalisti dovevano, secondo un semplice principio di giustizia, essere finanziati con contributi versati da tutti i capitalisti. In tale modo, lo Stato borghese doveva riposare su un sistema di tassazione moderno. La più bella illustrazione di questo tipo di prelievo, che in effetti apre la porta alla prima forma di Welfare State,si trova nell'opera magistrale di Thomas Paine. Paine, ancora attaccato alla proprietà privata concepita come giusta ricompensa dello sforzo individuale, proponeva pero il mantenimento stretto dell'uguaglianza in partenza per tutti, sopprimendo perciò interamente la trasmissione ereditaria della proprietà privata, proposta che rimane rivoluzionaria ancora oggi.

Basterebbe dunque dare un rapido colpo di occhio all'evoluzione storica della tassazione sin dall'avvenimento della borghesia. In breve, risulta un'evidenza: tenendo conto della ''struttura di v'', la ''pv'' sarà spartita secondo le epoche nella sua parte imposte e nella sua parte riservata al reinvestimento necessario per garantire la riproduzione allargata. La parte imposta gravando sul capitale e sulla proprietà privata è minima rispetto alle tasse prelevate sopra i reditti del lavoro o sopra i cittadini in generale. Anche Milton Friedman riconosceva che i contributi padronali venivano sempre riportati sopra i prezzi e dunque pagati ancora una volta dai cittadini in generale in quanto consumatori, evidenza che dimostra l'inaudita imbecillità del tentativo di trasferire questi contributi sopra la fiscalità generale invece di rinegoziare una nuova definizione dell'anti-dumping capace di proteggere le tre forme del reditto dei focolari, dunque capace di proteggere l'impiego e di conseguenza l'assetto fiscale. (Vedi la Nota 1, in Tous ensemble. E consigliata la lettura di questa franca confessione nel testo originale in W. J. Cohen & M.Friedman, Social security: universal or selective, American Institute for Public Policy Research, 1972, p 27. . '' )

Ma ritorniamo al rapido colpo d'occhio sopra la storia della tassazione borghese.

Con il liberalismo classico politicamente censitario, le entrate principali dello Stato consistevano in reditti doganali, in imposte che gravavano su i cosiddetti vizzi delle classe popolari (alcoli, tabacco, quest'ultimo come il caffè e il tè essendo stati introdotti come stimolanti della forza di lavoro ormai sottomessa alle cadenze sostenute del lavoro salariale promesso al taylorismo); in imposte minime sopra i reditti più alti, cioè attorno a 300 000 cittadini maschi che pagavano il censo dando loro accesso al statuto di elettore; ed in multe e confische varie. Tutto ciò nel quadro delle rapine coloniali e imperiali.

L'epoca dello Stato sociale o Welfare State inaugura l'instaurazione di una nuova ''struttura di v'' includendo salario e contributi, struttura più o meno sviluppata e più o meno pubblica secondo i paesi, ma sempre secondo una logica di istituzionalizzazione del risparmio privato dei focolari, risparmio messo al servizio degli interventi dello Stato capitalista, in modo da ridefinire così le frontiere tra ''v'', e ''pv'', ma sempre secondo criteri di classe. Per quello che riguarda più direttamente la ''pv'', la struttura fiscale crescerà in complessità col fine di permettere allo Stato capitalista di assumersi le sue nuove funzioni economiche. In particolare, le tasse sul reditto (irpef) furono generalizzate secondo una struttura più o meno progressiva man mano che i nuovi diritti sindacali permettevano al proletariato di negoziare le sue condizioni di lavoro con le firme pubbliche o private ambedue sempre più oligopolistiche almeno per quello che riguardava i settori strategici. (V. John Galbraith sulla teoria dei contrappesi.) Questa tendenza fu sostenuta nei Stati Uniti dato la scarsità relativa della mano-d'opera durante la Seconda Guerra Mondiale. Questo diede più peso alle pressioni esercitate dagli operai per altro in modo patriotico. Poi seguì la massificazione dei settori intermedi (automobile, elettrodomestici, trasporti, divertimento ecc.) e la liberazione del risparmio costretto durante la guerra, così da permettere una transizione pacifica con la riconversione del dopo guerra al contrario di quello che arrivò dopo la Prima Guerra Mondiale (Esempio tra tutti, lo sviluppo dell'irredentismo dannunziano e del fascismo filosemite nietzschiano di Sarfatti-Mussolini in Italia causati dalla crescita drastica della disoccupazione di massa ancora aggravata dalla smobilizzazione dei soldati dopo l'armistizio.)

Altrove questo prese la stessa forma di massificazione ma secondo la ricostruzione del dopo guerra, poi ridiretta in salsa imperiale in Europa dalla Alleanza atlantica e dal Piano Marshall ambedue destinati a creare dei soggetti e dei clienti europei solvibili per le industrie americane. (Mi si conceda qui una nota relativa la Piano Baruch: sapendo benissimo che Stalin poteva solo rifiutare, Baruch offrì alla URSS di partecipare al Piano Marshall in cambio dell'apertura completa della pianificazione sovietica agli esperti americani col pretesto di determinare in modo equo i bisogni tra tutti gli alleati. Questo tipo di sottomissione e di dipendenza non causò pero nessuno problema a uno come Schuman malgrado l'opposizione del PCF e dei sindacati, in particolare nel settore miniere e siderurgico.)

Le tasse sopra il capitale furono sempre minime benché il capitale continuasse a gioire, in nome della crescita valutata in termine di PIL ben più che in nome del pieno impiego, di forti sovvenzioni dirette oggi sostituite dalle gigantesche ma invisibili tax expenditures (le cosiddette spese fiscali, che ammontano oggi a più di 120 miliardi di euro in Francia) e dagli esoneri più o meno mirati o dai cunei, scudi ed altri crediti fiscali anch'essi più o meno mirati ad illusori obbiettivi. In realtà, questa logica monetarista costa enormemente più alla società rispetto alle vecchie sovvenzioni dirette e crea meno innovazioni con un reale valore strategico (ad esempio, le caravelle, il TGV, il nucleare civile ecc ...) Tutto questo avviene sacrificando l'impiego permanente o l'impiego tout court in nome di una ''politica dell'offerta'' globalizzata. Similarmente, le tasse sopra le (grandi) successioni furono riformate, cioè in gran parte abolite. Al contrario, le tasse sopra il consumo furono generalizzate sotto forma di IVA, una tassa di natura fortemente regressiva. Una seria di prelievi amministrativi vi si aggiunsero. Infine al livello municipale e locale prevalgano le tasse locali (foncière).

L'aspetto di classe di questo Stato sociale o Welfare State viene subito riassunto dando un semplice sguardo all'evoluzione delle tasse più importanti. Così, la tassa sul reditto che colpisce tutti i lavoratori e le classi meno agiate - che non usufruiscono delle nicchie e delle scappatoie diverse ha conosciuto un aumento estreme. Questo aumento fu contenuto soltanto dallo sviluppo folgorante del peso relativo dell'IVA, certo meno visibile e politicamente sensibile della dichiarazione annuale del reditto o dei contributi direttamente prelevati su busta paga. Si rispondeva così ad un bisogno di legittimazione della borghesia (tassa poco visibile ma ''uguale'', per tutti !!!), mentre si generalizzava una struttura fiscale indiretta altamente regressiva.

Per quello che riguarda le tasse sul capitale ci fu uno abbassamento continuo; e di fatto i nuovi prodotti finanziari speculativi sono tassati pochissimo e spesso totalmente dimenticati dalla logica marginalista dato che tonnellate di ''scraps'' come i trilioni di OTC che si scambiano informalmente di mano a mano non sono toccate dalla tassazione neanche dalla cosiddetta Tassa Tobin, mentre i CDS e gli OTC pesano un peso tremende quando si tratta di operare il salvataggio delle banche private con fondi pubblici (evoluzione da me analizzata come una corsa perduta prima dal suo inizio tra l'Achille speculativo e la Tartaruga statale: vedi nella Sezione Livres-Books il saggio Uscire dall'euro non serve, serve abolire la banca cosiddetta universale.)

Di più, con la contro-riforma monetarista lanciata da Volcker, Reagan e Thatcher nel 79-80 (vedi il mio '' Les conséquences socio-économiques de Volcker, Reagan et Cie '' mars 1985, nella Sezione Economie Politique Internationale di questo sito) lo Stato centrale fu interamente sottomesso alla logica della ''public policy'' indotta dalla ''supply-side policy'' : tutto doveva essere liberalizzato e privatizzato secondo la grottesca funzione di Laffer e Cie (degna del tovagliolo dove nacque) lo Stato centrale dovendo diminuire il suo peso (!) sopra lo spazio della produzione privata di nuovo abbandonato ai suoi ''spiriti animali'' mentre cerca, come lo diranno in inglese i pitre Picketty e compare di Harvard, a ritornare al livello di tassazione prevalente prima della Prima Guerra Mondiale, cioè ad una forma di tassazione peggiore di quella liberale classica! D'altronde dato che questa gente credono alle crociate fatte al nome del Bene rovesciato contro il ''male'' (necessariamente ugualitario e cittadino), non poteva essere questione di tagliare nelle spese militari. Al contrario, queste aumenteranno in modo esponenziale malgrado lo smantellamento della USSR nel 1991 (cioè, il cosiddetto ''keynesianismo militare'' degli anni 50 che accompagnò la Guerra di Corea e rimesso in campo da Reagan e Cie. I Stati Uniti teorizzarono così la necessità di potere menare di fronte tre conflitti militari maggiori, spendendo cosi da soli più degli altri Stati. ) Rimaneva dunque solo da tagliare nelle altre spese dello Stato, sopratutto nelle spese sociali. Questo avvenne con grande perversità: in effetti, la logica della flat tax, già regressiva in sé, prese la forma delle cosiddette spese fiscali, degli esoneri ed altri crediti preventivi in favore del capitale e dei più agiati in modo da sparire dai radar dei commentatori e degli economisti di regime una volta attribuiti i più odiosi essendo sicuramente i crediti educazione che solo possono pagare chi gioisce già di un buono salario mentre le scuole e le università sono privatizzate, e mentre i costi di scolarità diventano sempre più inabbordabili per la massa degli studenti abbandonati alla precarietà a vita con una pensione illusoria, se non evanescente. Questo budget reso strutturalmente fragile dalle cosiddette spese fiscali permette poi di legittimare altri tagli col pretesto del ritorno al equilibrio finanziare (mentre lo Stato salva le imprese e le banche private indebitandosi letalmente nel processo, e mentre la FED e le altre banche centrali inondano la borghesia di liquidità in realtà finanziate dall'unico reale .. ''lender of last resort'', cioè il proverbiale Pantalone, il contribuente ordinario, e anzi quello che finisce col essere totalmente escluso dalle tasse sul reditto (la oscena ''no tax area'') dato che il suo ''salario'' è oramai troppo basso.

Fedele a questa logica, la contro-rivoluzione reaganiana propose la decentralizzazione neoliberale. Al contrario di quello che si dice, questa non cercava ad avvicinare i servizi dagli utenti, ma cercava invece a distruggere le funzioni pubbliche, spesso fortemente sindacate, e legate ai servizi sociali, facilitando così i tagli. Per colmo, i Stati federali non potendo indebitarsi antenato reaganiano del nostrale Patto di stabilità interno -, il trasferimento dei servizi al livello locale effettuato senza trasferimento di potere di tassazione equivalente, portò automaticamente a tagli supplementari ma questa volta al livello locale più politicamente e sindacalmente disgregato. Ovviamente questo non servì affatto a consolidare il budget (centrale o locale) al contrario, i livelli locali, malgrado servizi rivisti al ribasso o privatizzati interamente o in parte, furono obbligati ad aumentare le tasse locali; alla fine, il peso fiscale sopra i contribuenti aumentò mentre i loro diritti in quanto cittadini diminuirono e furono calpestati. Tenendo conto delle tax expenditures, le quali come fu detto spariscono al momento in cui vengono conferite, svuotando ad arte i budget mantenuti così sempre al margine del fallimento, è diventato tutto molto grottesco: alla verità, è diventato tutto filosemite nietzschiano. In modo, che si dovrebbe subito rileggere Rights of Man di Thomas Paine assieme al Manifesto di Karl Marx, opere strettamente legate ...

In una società moderna finalmente estirpate dalla Preistoria dello sfruttamento dell'Uomo dall'Uomo, tutta la sovrappiù sarebbe socializzata. Nella sua Critica del programma di Gotha Marx mostra come questo avviene: deducendo dal valore nuovamente creato nella produzione quello che spetta ai lavoratori - comitati di gestione, squadre di ricerca ecc. incluse. Si deve allora determinare la spartizione della sovrappiù in se tra le tasse e la parte necessaria al tasso di re-investimento nella riproduzione allargata. Che Guevara riprese questo sistema tanto semplice quanto efficace e né espose i principi nel suo articolo di febbraio 64 '' On the budgetary finance system '' Che Guevara reader, Ocean Press 97, p 164, pensiero che produsse il sistema cubano del presupuesto, oggi messo sotto attacco dai capitalisti-roaders (vedi a proposito la sezione Cuba nel mio sito.)

L'efficacia estrema del sistema di Marx è fondato sopra la funzione di produzione marxista e sopra la comprensione dei bisogni inter-strutturali per l'allargamento della produzione minimizzando i sprechi. Malgrado il fatto che le Equazioni della RS-RA non erano ancora fondate sopra la teoria marxista della produttività la quale permette la coerenza a tutti i livelli, compresi monetari - Stalin riuscì col metodo dell'approssimazione a trasformare il suo paese sotto-sviluppato in una superpotenza in solo due piani quinquennali (l'economia detta di commando e controllo influenzata da Oscar Lange era ben più flessibile e pragmatiche di quello che si dice oggi, benché incompleta senza la conoscenza della teoria della produttività.) Stalin fu un dei più grandi e dei più onesti dirigenti comunisti, capace di discutere con gli artisti al contrario dei filosemiti infiltrati in sovranumero che lo hanno assassinato (le prove storiche sono indiscutibili incluso, malgrado la strumentalizzazione occidentale compiuta dal film Docteur Jivago, dato che mentre scriveva questo libro Boris Pasternak era in contato epistolare sostenuto con Stalin, come d'altronde tanti altri.) Aveva risolto la questione della produttività in pratica: cioè esigendo sempre la più grande produttività possibile senza pero potere sempre prevedere i bisogni intersettoriali con precisione spingendo sempre, è vero, alla concentrazione e alla centralizzazione monopolistica … Il fatto sta che dal punto di vista pratico la taylorizzazione permette di avvicinare la produttività ottimale nei processi di produzione. Per questo si doveva ugualmente spingere i settori dei Mezzi di produzione per i Mezzi di produzione, comprando anche quando era possibile la collaborazione degli ingegneri occidentali e le loro macchine. Questo provocò una grande pressurizzazione dei contadini bene descritta da Deutscher la quale prese la forma della collettivizzazione delle terre per preservare le masse contadine, politica appoggiata da Kaganovitch. Qui, importa ristabilire la verità: la carestia fu soprattutto dovuta alla guerra frontaliera tedesca menata con oltre 100 000 uomini guerra finanziata dagli Stati Uniti tra i quali i Warburg via il Piano Dawes e le sue sequele. Eventualmente, grazie alla collettivizzazione, le masse contadine misero fine all'avanzata dei carri armati tedeschi cosa ancora una volta non discutibile quando non si tradiscono gli Archivi: vedi ad esempio l'opera magistrale di Gilbert Badia, Histoire de l'Allemagne contemporaine, in particolare il volume II, Ed. Sociales, 1962. Il grande storico Badia ebbe accesso agli archivi della Germania dell'Est molto prima del loro possibile occultamento …

Questo spiega anche la diplomazia staliniana prima della guerra (Vedi ad esempio Louis Aragon Les communistes). Tradito dalle cosiddette democrazie i Stati Uniti continueranno a vendere armi e merci alla Germania nazi fine al dicembre 1942, cioè fine all'attacco giapponese su Pearl Arbor, con il cash and carry e riciclò poi dopo guerra numerosi funzionari e poliziotti nazi nella loro lotta contro il comunismo. In effetti, tutti i storici un poco seri sanno che Stalin si fidava alla sua pianificazione con un'industria saggiamente ripiegata dietro l'Ural, sapendo che non poteva contra-attaccare contro la formidabile macchina industriale e di guerra tedesca, all'epoca la più potente del mondo, prima del 1943. I fatti gli diedero ragione. Con Voroshilov, primo ufficiale formato dall'Armata Rossa, lo stesso che con Stalin aveva salvato Volvograd all'inizio della rivoluzione bolscevica quando l'Armata Rossa comandata da Trockij si ritirava ovunque qui ancora si tratta di un fatto non discutibile basta guardare le mappe di guerra dell'epoca aveva pianificato la resistenza con i mezzi disponibili. Aspettando di avere a disposizione i carri armati sovietici specialmente concepiti per resistere ai tiri tedeschi e muniti di cannoni a più grande portata di quelli dei Panzers, i Sovietici svilupparono armi leggere di corta portata ma di grande potenza di fuoco contro i fanti: il fiume facendo ufficio di fossa anti-carri di fronte a Leningrad. Asini patentati hanno cercato con malizia calcolata di fare ironia contro Vorochilov e la sua strategia: salvo che senza la strategia di Vorochilov, il quale diede della sua persona come un vero militante comunista sul fronte con i suoi soldati, permise di bloccare i Tedeschi a Leningrad, salvando così tutta la zona strategica del Nord e forzando l'armata tedesca a spezzarsi in più pezzi per camminare verso Bakou e i suoi campi petroliferi, marcia bloccata dall'eroica resistenza di Stalingrad. Nel frattempo, Stalin preparava in grande segreto 4 divisioni armate interamente meccanizzate per la futura offensiva: furono pronti come previsto nel 43 e furono lanciate a sorpresa nella battaglia per salvare Mosca, sganciando così l'offensiva dell'Armata Rossa con una rapidità che forzò lo sbarco alleato in Normandia.

Senza la pianificazione staliniana e senza la sconfitta tedesca di fronte a Leningrado, Stalingrado e Mosca, i Stati uniti non sarebbero mai sbarcati: avrebbero firmato una spartizione del mondo con Hitler (che il loro consigliere di Harvard Ernest Hanfstaengl aveva tentato di educare e di formare sopratutto nel utilizzo dei nuovi mezzi di comunicazione ...) Lo sbarco alleato fu accelerato semplicemente perché l'Armata Rossa aveva ripreso la sua offensiva verso l'ovest in modo che Berlino rischiava di perdere il controllo della Germania, se non dell'intero continente ... Sappiamo pure che sul fronte asiatico gli USA usarono la Bomba Atomica a Hiroshima e (quella al plutonio) a Nagasaki contro il nemico giapponese che cercava allora di negoziare la sua resa, semplicemente per intimidire e bloccare la marcia dell'Armata rossa, più vicina, contro il Giappone.

Subordinando il Dominio della Necessità alla pianificazione, quest'ultima si rivela come l'unica garanzia di apertura concreta del Dominio dell'Uguaglianza e della Libert0, quest'ultima essendo secondo Lenin l'estetica dell'uguaglianza. Ben inteso, quando la dissuasione nucleare allontana i pericoli immediati, diventa possibile rallentare il ritmo dell'accumulazione e dell'allargamento (la corsa quantitativa agli armamenti andando rifiutata in favore di una strategia qualitativa e diplomatica.) Dopo tutto come venne dimostrato in pratica da Mao Zedong, l'interpretazione laica e marxista della frase di Ranke è possibile: ''Tutte le epoche sono potenzialmente similarmente vicino di Dio'' scriveva Ranke: con l'aiuto di una buona teoria marxista, in una società estremamente sotto-sviluppata e perdi più con una forte demografia come la Cina, fu comunque possibile creare un'uguaglianza cittadina esemplare, capace di produrre un rapido sviluppo socio-economico, scientifico e culturale nel quadro della ''democrazia socialista maoista'' perfettamente adattata alla sua ''epoca'' di ridistribuzione (visto che il socialismo conosce anch'esso le sue epoche di ridistribuzione.) La democrazia socialista maoista includeva oltre la pianificazione, le comune, le brigate, il centralismo democratico e la linea di massa, lo sviluppo culturale per tutti, lo sviluppo rapido delle scienze e delle tecnologie, e la libera espressione cittadina nel quadro stretto della Costituzione socialista, anche via i Dazi Bao ed i comizi operai e cittadini. Tenendo conto della logica delle epoche e della prosperità crescente, vediamo che la democrazia socialista maoista rimarrebbe di un estremo raffinamento perché pone l'uguaglianza umana come la sua Stella polare, ma può e deve prendere forme moderne, in particolare per quello che concerna la pianificazione controllo collettivo del Dominio della Necessità e dunque per quello che riguarda l'allocazione delle risorse e l'apprendimento dell'emancipazione cittadina con la teoria della psicoanalisi marxista applicata (laicità, parità, e programmi sociali estesi.)

c) L'Ideale sarebbe un comunismo libertario (espressione ridondante ma necessaria.)

La proprietà sarebbe rigorosamente collettiva di Stato o in forma di cooperativa, se si vuole delle PMI riviste secondo l'esperienza di Carmaux. In questo quadro emergerebbe un diritto di possessione per i beni individuali, come fu sempre il caso durante l'epoca sovietica la quale non si dimenticava del mir.) La pianificazione costituirebbe il cuore della democrazia socialista: sarebbe fondata sopra le Equazioni della riproduzione di Marx esposte qui sopra, le funzioni di produzione essendo messe online grazie ai bar codes elettronici che permettano di raccogliere e di articolare le statistiche socialiste in modo istantaneo tanto in quantità quanto in valore-prezzo, organizzando così con massima flessibilità i sotto-settori, le industrie e le filiere. Il resto essendo affare di protezioni costituzionali.

In questa maniera, il Dominio della Necessità e il Dominio della Libertà sarebbero ugualmente protetti, il primo essendo la condizione materiale, istituzionale e spirituale

se si vuole del secondo trattandosi di educazione delle coscienze individualmente e collettivamente responsabile. La ricerca costante della produttività massimale libererebbe il tempo necessario per godere della libertà. Boris Vian, autore ricco di una formazione scientifica e letteraria, conosceva bene il suo Lafargue, perciò parlava della settimana di 2 giorni. Non è più un'utopia. : diciamo semplicemente che la RTL è condizionata unicamente dalla sua possibilità materiale in una società a salario uguale per tutti. Verrebbe unicamente frenata dalla necessità di abbassare simultaneamente l'età pensionabile. La RTL sarebbe fondata sopra una definizione razionale dell'anti-dumping capace di proteggere le tre forme del reditto dei focolari; questo permetterebbe la mobilità qualitativa diffusione delle migliore tecniche del capitale pubblico, ma eventualmente anche private. Questa diffusione averebbe di preferenza via l'intermediazione delle joint-venture funzionali , incaricate con il compito di portare a termine progetti precisi implicando servizi o prodotti complessi. La perdita dei privilegi della proprietà privata da parte di una piccola minoranza parassita sarà allora più che compensata per l'insieme dei cittadini.

Come ho già dimostrato nel capitolo relativo al socialismo cubano nel mio Pour Marx, contre le nihilisme capitolo a correggere marginalmente per assicurarsi che il centralismo democratico praticato all'interno del Partito non si trasmutasse in pluralismo partitisco borghese, sistema fondato per eccellenza sopra l'antagonismo di classe maliziosamente nutrito (la guerra di tutti contro tutti, Darwinismo sociale e economico incluso), che avviene con l'elezione diretta all'Assemblea popolare, mentre il cuore del sistema di ridistribuzione sarà affare della ''democrazia sociale e industriale'', questa implicando i comitati di imprese, di cittadini, di accademici ecc … - vedi a questo soggetto i migliori progetti scaturiti della Primavera di Praga ad esempio nei testi pubblicati da Jean-Paul Sartre nel suo Le socialisme venu du froid .

A questo sistema, si dovrà solo aggiungere delle botteghe e dei laboratori a tutti i livelli per soddisfare in modo collettivo dei bisogni non mercificati a partire dell'utilizzazione di una parte dei surplus della produzione normale. Si otterrebbe così un supplemento di personalizzazione dei beni. Questa personalizzazione sarebbe ugualmente inclusa nella R&D (concorsi ecc …) i prodotti dovendo essere prima massificati per un ciclo di vita media per soddisfare i bisogni di tutti in modo che il loro rinnovamento industriale si farebbe poi con prodotti di alta gamma short runs o artigianali - che permettano un'accumulazione di ricchezze vere nei focolari e non più nelle botteghe degli antiquari per il solo uso e benefico dei agiati.

La vecchiaia attiva sarebbe allora concepita fuori dei cicli della mercificazione mentre per i neoliberalisti monetaristi attuali viene concepita solo come una manipolazione atta a rovinare le pensioni pubbliche ed a privatizzare questa parte del risparmio dei focolari, almeno per i focolari non pauperizzati che possono ancora permetterselo. Tutto questo mantenendo i giovani meno agiati alla disoccupazione parziale durante una decade e mezzo in media, almeno quando va tutto bene (visto la sempre insufficiente ''flessibilità sul mercato del lavoro'' anche in uscita (!), come ben sappiamo, il Contratto a tempo indeterminato CTI - deve trasmutarsi in un CTI di missione di tre giorni in media … cosicché il nero filosemite nietzschiano viene decretato essere il nuovo bianco .) La vecchiaia attiva potrebbe allora valere nelle botteghe artigianali volontarie come pure nelle altre occupazioni culturali, sportive, sociali ecc …

La ''struttura di v'' sarà la più estesa possibile questo garantirà la mutualizzazione dei salari assieme al accesso ugualitario e universale ai servizi pubblici. In modo che la ''pv'' servirà a coprire gli interventi infrastrutturali e gli altri bisogni inerenti alla Riproduzione Allargata. Il salario individuale monetizzato assumerebbe due forme elettroniche, ognuno godendo di due conti ''bancari'', un conto corrente ed un conto di risparmio. Questo sistema agevolerebbe la facoltà di esercitare una vera scelta per quello che riguarda il possesso individuale di beni e servizi che esigono una certa spesa (vetture, elettrodomestici, divertimento, formazione e allenamento culturale o sportivo ecc.) questo avvenendo secondo la propensione individuale a risparmiare. Comunque questo risparmio ridiventerebbe pubblico dopo il decesso, ogni generazione vivendo la sua uguaglianza cittadina secondo l'ideale auspicato da Thomas Paine. Questo non concernerebbe le possessioni di famiglia permesse secondo il regime di possessione che sostituirebbe il vecchio e distruttore regime di proprietà privata (secondo i loro gusti, gli individui potrebbero scambiarsi queste possessioni private trasmesse da generazione a generazione per altre, antiche o moderne.) L'essenziale essendo che ogni cittadino ed ogni focolare si ritrova in una situazione di uguaglianza senza nuocere allo sviluppo delle personalità termine come si vede del tutto differente di quello di individualità darwiniane o filosemite nietzschiane.

In realtà, il regime di possessione permette un'accumulazione generale alto di gamma (La vera ricchezza delle Nazioni.) Ma i focolari potranno ugualmente essere sostituiti per chi lo desidera da spazi collettivi, campus o case di pensione cittadini dando in questo ultimo caso la priorità alla prolungazione dell'autonomia personale in un contesto più collettivo ed più organizzato. (Il concetto della Cité Radieuse di Le Corbusier può dunque essere rivisitata anche al livello dei quartieri ecc …) Ma in tutti i casi la socializzazione dei compiti quotidiani sarà la più estesa possibile senza pero nuocere ai spazi privati ed alla soddisfazione privata dei bisogni adatti ad alleggerire le piccole miserie del quotidiano (elettrodomestici ecc., in attesa del robot che farà pulizia e laverà i piatti e gli altri attrezzi, comunque facile da concepire facendolo interagire con chip o bar codes elettronici con questi in modo che il robot saprebbe esattamente dove si trovano e anche, dopo verificazione quasi istantanea, come manipolarli e così via. Similarmente, la raccolta dei panni sporchi potrebbe essere automatizzata per il triage, il lavaggio ecc., la rimozione della polvere essendo forse il compito più delicato e complesso … ma a salario uguale, e… tenendo conto degli impieghi penosi, il problema non sembra irrisolvibile.

Questo non è fantasia, dato che il socialismo dovrà trattare questi bisogni umani quotidiani dandoli priorità, assieme ai servizi sociali ed alla robotizzazione dei compiti più pesanti e ardui, senza dimenticare i bisogni specifici dei malati e quelli legati alla geriatria moderna. Quando visitava i suoi concittadini nei loro luoghi di lavoro o di divertimento Stalin chiedeva sempre ''se erano un poco più felice di prima?''; lo spirito di questa domanda risulta essere l'essenza della pianificazione socialista.)

Per contro, nessuno verrebbe mai lasciato nel bisogno. Di fatti, al decesso, le economie accumulate sopra i conti individuali dunque non ancora trasformate in beni di possesso sarebbero risocializzate e potrebbero andare in un Fondo specialmente istituito per servire a garantire i bisogni supplementari dei gruppi più deboli che non possono avere accesso al lavoro attivo, interamente o parzialmente.

Tutto quello che non sarebbe espressamente proibito dalla legge sarebbe legale (San Paolo lo diceva già nella sua Epistola ai Corinzi ), l'educazione e il sapere vivere facendo il resto. Le leggi evoluirebbero con le società. Per contro, nessuno scarto commesso contro la proprietà collettiva sarebbe tollerato certo non di meno che la dittatura della borghesia tollera il più piccolo scarto contro la proprietà privata. Semplicemente, le pene sarebbero diverse: la più terribile essendo l'interdizione di partecipare alla vita politica allocazione delle risorse per 5 anni rinnovabili se necessario, senza pero nuocere ai diritti sociali e senza ostracismo, visto che si mirerebbe sempre alla riabilitazione.

Le botteghe artigianali procurerebbero una flessibilità sufficiente con la RTL ed il tempo libero per permettere ad ognuno di avere la possibilità concreta di esprimere la sua propria creatività, solo o con l'appoggio di collettivi locali, regionali ecc.

Va notato che il XXI secolo dispone di un potenziale produttivo più importante di tutti i secoli anteriori. Le asinate relativo al ''mondo finito'' sono solo asinate perché basta solo riciclare prevedendo di conseguenza i cicli di vita dei prodotti in modo da ottenere risultati ottimali mentre si provvederebbe al rinnovo naturale o artificiale delle risorse, anche sviluppando i sostituti massificabili nel modo già enunciato nel mio ecomarxismo (ad esempio i biofuel duali o quelli che non necessitano lo sfruttamento delle migliori terre agricole ecc .)

Si tratta qui di una alternativa fondata sopra la crescita qualitativa e quantitativa la più grande possibile nel rispetto dell'ambiente naturale e sociale (principio di precauzione), visto che il socialismo non ha niente a che fare con il credo criminale della desincitazione al consumo predicato alle masse con l'obiettivo di proteggere ''l'impronta ecologica'' terrificante dei 10 % più ricchi (questo credo criminale viene anche propagato da certi ambientalisti reazionari partoriti dal Club di Roma che non sa neanche cosa sia una funzione esponenziale, risale a molto tempo fa, e per l'epoca moderna a Nietzsche e a suoi rabbini reazionari, oscurantisti e razzisti del stesso tipo di quelli che scomunicarono Spinoza e si accanirono contro Marx con l'appoggio dei vari Steiner ed altri … Gi ideatori del Report from the Iron Mountain furono gli eredi di Nietzsche e furono seguiti da quelli della Trilaterale huntigtoniana. Quest'ultima predicava la fine delle ''rising expectations'' nutrite dai lavoratori cercando di provocare nel stesso tempo ''il ritorno alla deferenza verso l'Autorità'' auto-eletta e certo non rigorosamente scientifica e rispettosa della deontologia scientifica, l'unica che merita qualche rispetto, senza pero mai sacrificare la propria intuizione ma sempre nel rispetto dei canoni metodologici. In questa clicca della Trilaterale fu ugualmente concepito il ricorso criminale alle nuove ''crociate'' via i cosiddetti ''chocs di civiltà'' (sempre ideati dal ebreo-americano Huntington), chocs effettuati con il ricorso alle guerre preventive, oppure, imitando gli Israeliani, con il ricorso alla tortura ''sotto controllo medico'' (!) come non esitò a predicarlo l'ebreo-americano Dershowitz con altri nel cuore stesso di Harvard ed altrove, conservando pero il loro impiego accademico. Vedi a questo soggetto la mia teoria dell'ecomarxismo tra cui la mia Introduction e l'Appendice del mio Livre III intitolato Keynésianisme, Marxisme, Stabilité Economique et Croissance (anche disponibile in inglese; alcuni Brani scelti essendo disponibili nella Sezione Italia del mio sito) come pure l'articolo intitolato Défi aux écologistes disponible nella sezione Commentaires d'actualité del mio sito.

Sappiamo che il progetto di Nietzsche, ragione per la quale viene oggi apertamente riabilitato da tanti pitre, era di formare una classe di ''sovrauomini''; per arrivare a tal fine flirtò con una politica matrimoniale alleando i Junker gli ebrei, il che spiega molte cose tra le quali i casi di Rosenberg o di Sarfatti, e di tanti altri simili indoli. Per via della logica esclusivista, spiega pure la reazione anglo-sassone wagneriana di Chamberlain, come pure quelle reazioni cattoliche wagneriane di origine (vedi a questo proposito il mio '' Nietzsche as an awakened nightmare '' nella sezione Livres-Books del mio sito.) Oggi, in Occidente, no si deve scavare molto per vedere come questa politica matrimoniale ha ripreso pelo, ma non solamente negli USA. Ben inteso questa logica matrimoniale è a fondo economico e politico, portando sempre alla solita sovra-rappresentanza: la stessa cosa prevalse nella USSR, la profumeria di Molotova spiegando molte cose ma questo mi ha richiesto molto tempo per capirlo il che portò eventualmente il comunismo alla sua perdita per via di putrefazione e di tradimento successivi, l'ebreo Yeshov, il nano Sade Section des Piques moderno ma in più volgare, essendo solo un esempio di questo processo generale, benché i suoi crimini siano oggi scelleratamente messi al conto del compagno Stalin proprio da quelli che Stalin e i comunisti salvarono dai campi nazisti (ma che, fedeli al loro sistema esclusivista, preferiscono cantare gli l'elogio del industriale nazi Schindler e del suo contabile ebreo Stern). Nel stesso modo i crimini di Sade spingendo alla politica di Terrore, furono imputati a Robespierre, altrimenti pericolosamente tenuto per Incorruttibile, creando così la favola della ''Rivoluzione che mangia i propri figli''. Risulta così poco sorprendente vedere questi esclusivismi crociati (in tutti i sensi della parola) innalzarsi contro il métisage e contro la mixité sociale (che avevo rimesso sul tavolo già nel mio Tous ensemble), compreso al livello dei quartieri, dunque delle scuole ecc. … La loro paura panico sovra-passa allora quella provocata dalla loro fissazione sopra la proprietà privata ereditata.

Malgrado questa, la criminale e oscurantista ciarlataneria dei filosemiti nietzschiani ritorna oggi alla superficie proprio come al tempo di Margherita Sarfatti e di Mussolini, o dei consiglieri di Harvard e altri Warburg che appoggiavano Hitler e Rosenberg per bloccare l'emancipazione dei lavoratori e dei popoli, e per tentare di rovesciare il nuovo regime sovietico che andava rafforzandosi a l'Est. Il progetto rimane lo stesso: il ritorno forzato verso una società della nuova schiavitù e della nuova domesticità che impone la spartizione della miseria tra i lavoratori, dunque il ritorno ad una società della disuguaglianza, una società di casta e oscurantista teocratica.

Abbiamo visto qui sopra che questa è proprio la ragione per la quale i Marginalisti come Solow hanno rovesciato il keynesianesimo, compreso la versione dinamica del sistema di Keynes ad opera di Harrod che si ispirava dalla pianificazione sovietica. Ma è anche la ragione profonda referenza verso l'autorità- per la quale questi asini auto-selezionati si conferiscono incestuosamente dei Premi Nobel anni dopo anni mentre escludono accademicamente, con una ferocia mai tentata nell'URSS, ogni critica che non sia conforme al sistema marginalista dominante capace di partorire i pitre necessari per la legittimazione di massa, tale Krugman o Roubini lettori rovescianti dei mie mails senza autorizzazione o peggio ancora come Stiglitz.

Brassens scriva: ''Come fosse bello il mondo in ogni circostanze se non fossero stati tirati fuori dal nulla questi affaristi.'' La società dispone oggi di tutte le carte per potere compiere un grande balzo in avanti dal punto di vista della civiltà e dell'uguaglianza

libertaria. Pero bisogna prima spazzare via questi affaristi esclusivisti, parassiti, criminali e malintenzionati di ogni sorta e di ogni e provenienza.

4) Storia dell'economia politica.

Fisiocrati, Smith, Ricardo, Say (Cournot), Walras, Marshall, Pigou, Keynes, Harrod (e Myrdal) e le loro referenze sovietiche taciute che ispirarono la versione dinamica. Hicks, Samuelson, Solow e Friedman e tutti quanti incluso i pitre neo-ricardiani ruffiani italiani Passinetti ecc.- che andarono a cercare dentro gli archivi di Sraffa amico di Gramsci a Cambridge GB ed immaginarono il Patto sociale del 1992. La controversia relativa alla funzione di produzione di Samuelson e Solow tramite studenti usati come proxies e Robinson-Sraffa, controversia ormai risolta da Paul De Marco, comunista calabrese- Seguano gli asini da basto monetaristi dal Bachelier rigettato da H. Poincaré, a Hayek-Friedman o peggio ancora a Al Khouri, Jefferey Siegel e tanti altri patetici Mandelbrot operando fuori della lor0 disciplina.)

a) APPENDICE: Paragonate la RS marxista al sistema di Tugan-Baranovski/Bortkiewicz.

Ecco le Equazioni della RS di Marx:

M1 = c1 + c2

c2 = v1 + pv1

M2 = v1 + pv1 + v2 + pv2

Da paragonare all'illusoria maniera di Tugan-Bortkiewicz cioè:

c1 + v1 + s1 = c1 + c2 + c3

c2 + v2 + s2 = v1 + v2 + v3

c3 + v3 + s3 = s1 + s2 + s3

La terza linea rappresenta la produzione dell'Oro, data per corrispondere alla moneta ed ai profitti!!! In questa puerile occultazione ideologica i borghesi sono ben inteso colpevoli: ma gli universitari pagati confondi pubblici lo sono doppiamente!

b) BRANO di HI-HAN: Le asinate visuali allucinatorie degli economisti borghesi. L'OFFERTA E LA DOMANDA.

Nel brano che segue mostreremo come nessuno modello della Offerta e della Domanda possa mai fare astrazione delle Equazioni della Riproduzione di Marx,cioè di quello che possiamo chiamare ''la domanda sociale'' tenendo conto rigorosamente tanto delle quantità, quanto dei valori. Di fatti, questo permette ugualmente di capire meglio la differenza tra prezzi relativi, valori e false unità di conto borghesi.

Brano: valore, prezzo di produzionee domanda sociale.

Ci proponiamo qui di esporre tutta l'inanità della teoria economica borghese in modo da non trascurare nessuna delle sue varianti. Presenteremo prima il schema più puro della domanda socialedato in valori; poi presenteremo le due principali varianti dei schema borghesi e marginalisti di offerta e di domanda in termini di prezzi, ma reinseriti nella logica sovra-determinante della domanda sociale. In questo modo si esporrà senza appello possibile le contraddizioni di questa ideologia borghese dello scambio, la quale vorrebbe presentarsi come scienza nella speranza di legittimare il regno delle merci e l'ordine borghese.

Per dei prodotti identici, qui dei Mezzi di produzione (Mp), la prima variante considererà una vendita sequenziale dei Mp, in modo che quelli che appartengano all'azienda più produttiva verranno venduti prima, le vendite totali essendo determinante dalla domanda sociale che continua ad imporsi sotto-mano. Uno scoglio ad evitare risulta essere quello dei batch, dato che la sequenza qui considerata, dunque il batch, viene dettato dal ciclo di riproduzione, e di conseguenza dalla domanda sociale, invece di essere determinata dalla unica condizione microeconomica contenuta nella differenza di produttività. Avremo dunque un batch per ciclo: questo detto per tutti quelli che sarebbero altrimenti tentati di ri-editare la critica marxista a Senior nel contesto riproduttivo nel quale ci situiamo qui. Bene inteso, se le condizioni sistematiche non cambiano, basterà prolungare la riproduzione durante almeno due cicli, trattando ognuno di questi come dei batch. La seconda variante analizzerà la situazione, presumibilmente scientifica (se non del tutto realista), proposta dai marginalisti ed dagli altri epigoni del prezzo stabilito dal mercato Re: indipendentemente dalle condizioni tecniche prevalenti nelle funzioni di produzione rispettive, si supporrà che tutti gli Mp saranno portati al mercato nel stesso tempo, imponendo così un unico prezzo di vendita, il cosiddetto prezzo di equilibrio di mercato. La lamentabile inanità di questa teoria appare allora nella piena luce del giorno; intanto, a questa inettitudine, della presunta teoria della concorrenza (realmente ridondante, visto che la concorrenza viene già trattata nella scrittura stessa della funzione di produzione, non solo per gli input del costo di produzione ma anche per le condizioni tecniche, organizzative e sociali che presiedano al stabilimento del tasso di sfruttamento e dunque del saggio del profitto, quest'ultimo non dovendo mai essere confuso con i volumi di profitto.)

Va ricordato che già nel 1844 Marx notava che gli effetti della concorrenza neutralizzandosi sul medio e lungo termine, la logica economica doveva per forza risiedere altrove ... Al contrario di quello che pretendeva Jean-Baptiste Say , quando leggeva la teoria monetaria di Ricardo a ritroso, la scienza economica non può fare almeno dell'uguaglianza di base tra i componenti della funzione di produzione e il suo risultato, problema sul quale era già cascato Adam Smith quando realizzò di non pervenire a spiegare la genesi del profitto sulla base della teoria del valore del lavoro, anche includendo la ricompensa per la presa di rischio. (Poniamo c + v = M alla maniera di Adam Smith. Se M, il frutto della produzione è uguale al lavoro passato sotto forma di capitale più il salario dei lavoratori, quid del profitto?)

In realtà, J-B Say aveva capito alla rovescia il progetto pro-Rothschild della riforma monetaria proposta da Ricordo. Si acclama all'unanimità l'edizione di Sraffa; a giusto titolo. Ma ecco un aspetto tipicamente passato sotto silenzio che si deve ricavare leggendo tra i righi. Il finanziamento delle guerre napoleoniche aveva fatto esplodere il debito dello Stato inglese, debito finanziato in particolare dalla casa Rothschild affiancata dai suoi soggetti americani come la Morgan e i suoi predecessori. Anche propagando messaggi falsi relativi all'esito della battaglia di Waterloo per comprare tutti i titoli inglesi venduti in fretta dai più creduli, fatto capitale che arricchi straordinariamente il ramo inglese della casa Rothschild. Solo che, particolarmente in tempo di guerra, era pericoloso trasportare per mare, attraverso l'Oceano Atlantico, le tonnellate di oro necessario: meglio dunque ricorrere al vecchio trucco del riconoscimento del debito scritto sopra un pezzo di carte e pagato sul posto dalle filiale all'estero. Trucco che Ricardo, vecchio trader ebreo arricchito grazie alla conoscenza della manipolazione relativa all'esito della battaglia di Waterloo, subito convertito e sposato con una donna inglese per penetrare l'Establishment politico inglese, generalizzò, ma in modo da lasciare i banchieri come d'altronde oggi in Italia unici proprietari della Banca cosiddetta centrale, e convenientemente confusa con un'istituzione pubblica.

Inoltre Jean-Baptiste Say aveva negletto l'essenziale: la paper currencyo moneta di carta di Ricardo poteva avere un ruolo economico credibile solo a condizione di essere immediatamente convertibile con l'Oro. Una soluzione anch'essa parziale come dimostrato da Marx, dato che rimpiazzava un equivalente generale metallico con una altro equivalente generale di carta, senza capire che la loro determinazione specifica, come d'altronde quella di ogni merce, dipendeva dal equivalente universale, il valore di scambio della forza di lavoro. Say peccò di un altra maniera nel suo pretendere che l'offerta precede la domanda; questa inettitudine messa al posto della domanda sociale, dunque delle Equazioni della riproduzione, conferendo una priorità fallace alla funzione di produzione microeconomica, fu in seguito ripresa da Léon Walras, malgrado la critica severa e definitiva di Marx a J-B Say. Risulta illusorio e falso sostituire lo scambio con due forme distinte ed opposte di vendita e di compra, di offerta e di domanda.

Si nota intanto, sottolineandolo con penna rossa, che il vero problema economico non è la determinazione del prezzo unitario di prodotti identici appartenente allo stesso mucchio ma, al contrario, quello che risiede nella possibilità di un scambio che suppone la commensurabilità di tutte le merci diverse tra di esse; oppure dicendolo nel modo classico, lo scambio tra un treppiedi e un letto come lo fa notare Marx all'inizio del Libro I del Capitale in referenza a Aristotele. Di fatti, sempre e ovunque la produzione di un surplus alienabile precede lo scambio, mentre ogni scambio rimane necessariamente mutuale, a una domande rispondendo una offerta, le due rinviando sempre ad una forma della divisione del lavoro, anche primitiva, come fu magistralmente illustrato con il troc, e più ancora con il troc mutoben conosciuto dai storici e dagli antropologi come pure dai lettori della Eneide. Comunque, la distinzione tra offerta e domanda rimane valide; più giustamente serve soltanto alla comprensione della forma storica della divisione del lavoro e delle forme storiche di mediazione monetarie (conchiglie, metalli, carta ecc.,) che permettano la realizzazione dei prodotti, in autonomia relativa rispetto al ritmo dei cicli di produzione-riproduzione, e malgrado l'esistenza oppure meno del credito e del suo sviluppo. In conseguenza, questo ci rinvia alla dinamica della domanda sociale, cioè alle logiche adoperate dalle Equazioni marxiste della Riproduzione. Rispetto alla falsa risoluzione simultanea di Tugan-Baranovsky, abbiamo mostrato qui sopra le burlesche inettitudini che non hanno più niente a che vedere con il mondo economico e socio-economico reale, ma potevano invece condurre ad una separazione ed a una liquefazione dei mercati, armonizzati in seguito tramite il presunto equilibrio generale, ovvero tramite il mercato dei mercati.

Il dettaglio critico proposto qui sotto metterà un punto finale a tutte queste inettitudini ideologici prive di ogni fondamento scientifico. Siamo intimamente convinti che la sostituzione dell'euristica allucinatoria dei diagrammi dell'offerta e della domanda con il concreto pensatodella Riproduzione Semplice marxista rappresenterà un'avanzata teorica e di civiltà di prima importanza. Essa permette di rifondare il senso comunesopra base scientifiche inattaccabili e ontologicamente sociali. Ci sarà così concesso l'uscita definitiva della preistoria dell'Umanità e il sbocciare di mentalità cittadine in se e per se.

3iv-b) Valore e domanda sociale quando avviene un aumento di produttività in un settore.

Poniamo una situazione di Riproduzione Semplice nel rispetto delle Equazioni di Marx-Bucharine. Poniamo una giornatadi lavoro di 8 ore. Poniamo, per fine di semplificazione senza tradimento del soggetto, che il ciclo produttivo sia uguale alla giornatadi lavoro in ambedue settori. (Basta pensare alle rotazioni per capire la razionalità di questa semplificazione: Per i prodotti semplici e gli ''insieme-prodotti'', i settori e i sotto-settori, le rotazioni differiranno senza che venga implicato la minima cosa particolare per la riproduzione totale. In effetti, questo non è un problema concettuale ma un problema pratico per le statistiche socialiste ancora tutte da inventare sulla base della Legge del valore e delle Equazioni della Riproduzione integrate dentro il sistema di Pianificazione come voleva Marx.) Poniamo che vi sono due aziende in ogni settore che producono per ogni settore un prodotto, dunque un Mezzo di produzione (Mp) nel Settore Uno (SI), e un Mezzo di consumo (Cn) nel Settore Due (SII). In ambedue i casi sarà un prodotto identico o eminentemente elastico (ignoriamo per ora le differenze concrete residuali come il nome dell'impresa e l'affidabilità, il marchio, gli attributi di design o altri ecc.). Poniamo altrettanto che la capacità produttiva di ogni aziende sia utilizzata a 100%, prendendo per c, cioè il capitale costante solo il capitale used up(in realtà le aziende girano ordinariamente attorno a 80 % della capacità istallata, il che può indurre meccanismi laterali per quanto riguarda il volume della domanda sociale, ma senza pero modificare la logica ed il principio.) Di più, prendiamo C = (c + v) = 100 per potere paragonare più facilmente. Abbiamo dunque i nostri soliti diagrammi della RS:

Schema A di partenza: (La linea in grassetti da i valori, l'altra le quantità in termini relativi, cioè qui in Mp, incluso per SII; la traduzione dei termini relativi in altri termini relativi (i.e., Cn in SII) o in valore non pone nessuno problema quando i rapporti fondamentali delle funzioni di produzione, v/C e pv/v sono coerenti tra loro.)

SIa                 : 80                 20                 20                 = 120

                  80Mp         20Mp         20Mp        = 120Mp

SIb)         : 80                 20                 20                 = 120

                  80Mp         20Mp         20Mp         = 120Mp

SII                 : 80                 20                 20                 = 120

                  80Mp         20Mp         20Mp         = 120Mp

Per illustrare più facilmente il meccanismo della domanda sociale come determinante della coerenza delle Equazioni della RS (dunque del valore di scambio) ma anche del prezzo (e dunque dell'inflazione organica) diamo il valore in termine relativo, cioè in termine di Mp, visto che introdurremo la modifica di produttività nel Settore Uno. Ma questo non cambia

niente: in questo Schema A di partenza, la composizione organica (v/C) e il tasso di sfruttamento (Pv/v) è uniformemente uguali nei due Settori, in modo che 1 Mp = 1 Cn = 1 euro. Basterà poi tenere contro del ratio produttivo che vale pure come ratio di valore tra i prodotti.

Vediamo ora cosa succede se la composizione organica in SIa si approfondisce di un quarto, cioè se nel stesso tempo o giornata di lavoro produce un quarto di prodotti in più dunque con un valore proporzionalmente inverso. Avremo:

Schema B in termini di Mp con aumento di produttività di ¼ in SIa .

SIa                 : 84                 16                 20           = 120

                  105Mp         20Mp         20Mp = 150Mp

SIb) ?

SII

                  80Mp         20Mp         20Mp = 120Mp

Come si presenterà SIb?

Abbiamo qui il trionfo del concetto di domanda sociale di Marx contro tutte le pretese borghesi di concorrenza anche sotto forma di offerta e domanda (poi armonizzate nella riproduzione con la mano invisibile.) Un trionfo che naturalmente si verifica pure contro tutte le pretese piccolo-borghesi (da Tugan-Baranovski e Bortkiewicz a Sraffa ed a Emmanuel Arghiri e tanti altri, senza dimenticare quelli ridicoli Diafoirus dell'economia che pretendevano migliorare i schemi di Offerta e Domanda utilizzando la teoria del caos ... a questo proposito vedi la Nota 9, del mio libro III )

Poniamo C1 et C2 per SI et C3 per SII dove C = c + v = 100 come basa poi tenendo conto dei valori assunti nelle Equazioni RS-RA.

Sapiamo che C1 è dato come pure v1 e pv1

Sono dunque dati pure C3 e c3 + v3 + pv3.

c3 = (v1 + pv1) + (v2 + pv2)

In effetto v2 + pv2 = c3 (v1 +pv1) (o 80 45 = 35) in termine di Mp (equivalente singolare)

Sapiamo anche che v2 = 17,5 (visto che pv2/v2 = 1 dunque 45/2 = 17,5

Sapiamo pure che v2/C2 = 17,5/C2 = 0,2 dunque C2 = 87,5

Ergo c2 = C2 -17,5 = 70. (Di fatti v2/C2 = v2/c2 + v2 = 17,5/ 70 + 17,5 = 0,2

Rimane solo ristabilire la mediazione sotto forma di moneta data dalla composizione organica più elevata. Questo da pure l'inflazione organica (e il modo per calcolare i prezzi costanti, ovvero per paragonare i dati sopra una base valore.) L'unica variazione inattesa potrà provenire dal cambiamento delle condizioni morali o di civiltà, evento che ci rimanderebbe allora al metodo storico ed in particolare al metodo del materialismo storico. Perché anche l'Ecole des Annales nella sua migliore espressione, cioè prima di cadere nelle mani dei vari Braudel, Wallerstein & Co, risulta molto inferiore a Marx su questo capitolo.

In questa alternativa i valori e i prezzi sono dunque identici.

Schema B in termini valore-prezzo con aumento di produttività di ¼ in SIa . Qui non c'è differenza tra valore e prezzo. Ma importa già sostituire l'equivalente generale specifico (i.e., il Mp) con l'equivalente generale monetario, qui fondato sopra il valore di scambio della forza di lavoro. Questo ci permette di restituire il schema in valori-prezzi, dunque in termini economici coerenti, compreso per SII, ben inteso rispettando il valore-prezzo relativo degli Mp e dei Cn tra loro secondo le loro condizioni di produzione rispettive.

SIa                 : 84                 16                 20                 = 120 euro

                105Mp         20Mp         20Mp         = 150Mp

SIb)         : 56                 14                 14                 = 84 euro

                70Mp         17,5Mp         17,5Mp        = 105Mp

SII                 : 64                 16                 16                 = 96 euro

                80Mp         20Mp         20Mp         = 120Mp

                64Cn         16Cn         16 Cn         = 96 Cn

Il termine valore (qui anche prezzo) viene dato in euro secondo dati conosciuti, cioè il fatto che la composizione organica di SIa è passata da v'/C' (0,16) / v/C = 0,2 = 0,16/0,2 = 0,8 (che rappresenta dunque anche il nuovo valore del Mp (il nuovo rapporto di sfruttamento è naturalmente pv'/v' = 1,25 cioè l'inverso.) Il valore viene dato dalla industria con il più alto tasso di composizione organica, cioè dalla industria con la massima produttività che diventa naturalmente egemonica sul mercato. (In effetto, la mobilità del capitale induce ugualmente questa necessità ma in un modo epifenomenale.) Di fatti, questa industria più produttiva è capace di dominare tramite i volumi di vendita, mentre il tasso di profitto è sistematicamente uguale in modo organico, ex ante. Niente calo del saggio medio del profitto qui (una cosa che al massimo può succedere prima dello stabilimento della funzione di produzione), una sciocchezza incompatibile con la Legge del valore totalmente delucidata, dunque inserita nelle Equazioni della Riproduzione. Ovviamente nel settore due conviene tradurre i Mp in Cn, cosa facile visto che conosciamo le due composizioni organiche e dunque il valore del Cn rispetto al valore del Mp.

Questo è il schema più puro della domanda sociale. Una cosa dovrebbe risultare chiara: Una volta svolto il problema per le variazioni di produttività nel Settore Uno si è svolto il problema della domanda sociale in generale, visto che nel Settore Due le deduzioni sono ancora più facili da ottenere, dato che c3 = (v1 + pv1) + (v2 + pv2). Mentre C = c + v = 100.

Nel Schema B sappiamo parecchie cose in termini di valore (tradotti qui in termini del valore relativo di Mp utilizzato come unità di conto). Sappiamo che le condizioni in SIa sono cambiate e sappiamo esattamente come; sappiamo anche che le condizioni in termine di valore in SII sono rimaste come prima (e abbiamo postulato una capacità di produzione di 100%). Sappiamo pure che la composizione organica dell'azienda SIb essendo immutate, può variare solo il tempo di lavoro o l'intensità relativa. Utilizzando le Equazioni delle Riproduzione semplice di Marx-Bucharine, possiamo allora dedurre i numeri relativi a SIb tenendo conto dell'equilibrio prodotto dalla domanda sociale. Questo diventa la chiave di tutto per capire i prezzi, cioè l'inflazione organica che poi viene corretta riferendo al prezzo costante, non con il metodo borghese di una media senza senso, ma al valore egemonico della composizione organica più alta.'' (Fine provvisoria del Brano.)

Sopra la base di questo Brano, grazie alla variazione che prevale tra SIa e SIb, possiamo vedere le deviazioni prodotte da tutte le forme di concorrenza (o che la vendita avviene sopra il mercato in maniera diversa privilegiando la velocità superiore in SIa, oppure che tutti i Mp siano portati insieme sul mercato, in modo cieco. In questi casi, il prezzo di mercato varierà ma i ratio organici al valore rimaneranno immutati, benché in una forma inflazionista organica della quale si dovrà poi tenere conto tanto per calcolare i prezzi costanti quanto per concettualizzare una buona politica monetaria questa ben inteso non ha niente a che vedere con le minestre monetariste coniugate con la ''supply-side economics''.

Salta agli occhi il fatto che l'impresa meno produttiva non avrà nessuna chance di prosperare sopra il mercato: la sua inferiorità, in ogni aspetto identica a quella della proprietà fondiaria egemonizzata dal capitalismo agricolo, si manifesterà tramite i volumi di vendita, i quali al loro turno imporrano le leggi di mozione del capitale, in particolare la concentrazione e la centralizzazione concretizzate con una sorta di necessità ferrea. Il ''Schumpeterismo alla rovescia, (vedi il mio Tous ensemble) mirato alla segmentazione della proprietà del capitale non regola niente: tale strategia non può fare altro che rallentare il movimento generale dato che non affetta per niente le aziende transnazionali private, concentrandosi invece sopra la distruzione ideologica e scellerata delle imprese di Stato, falsamente dette monopolistiche, per il profitto dei furbetti privati strettamente legati al regime filosemite nietzschiano al potere. Questo vale ugualmente per la distruzione delle imprese pubbliche e per la creazione artificiale e altamente sovvenzionata di piccoli pseudo-imprenditori verdi e ambientalisti, i quali si comportano per contro come perfetti piccoli demagoghi settari e piccolo-borghesi della ''desincitazione'' al consumo predicato alle masse del proletariato senza mai preoccuparsi della loro propria impronte ecologica. Anticipando un poco possiamo sottolineare che la logica dell'accumulazione capitalista sopratutto contenuta nella ricerca costante della più grande produttività possibile contro la concorrenza e nelle leggi di mobilità del capitale, spiega perché l'antitrust non fu mai e non sarà mai che una ineffabile cavolata demagogica senza nessuna presa sul reale (buona in somma per vari Monti subalterni e creduli, gli altri usando l'azione distruttrice dell'antitrust per favorire i loro ''campioni nazionali'') al stesso titolo che il capitalismo dei (piccoli) azionari e dei managers fraudolentemente opposti al capitalismo dei proprietari v. Domhoff a questo capitolo). Di fatti il Sherman Act nacque durante la transizione, descritta da Stephen Heymer, dal capitalismo familiare al capitalismo nazionale mentre la sua riformulazione con il secondo Roosevelt (FDR) accompagnò il passaggio della grande firma nazionale alla firma multinazionale, tendenza pesante descritta dai New Dealers come Means già negli anni 20 prendendo atto della creazione delle cosiddette ''big corporations'' alle quali la politica e le relazioni industriali dovevano trovare dei contropesi per arrivare ad una ''democrazia industriale'' capitalista tollerabile (Darhendorf, Dunlop, Kerr etc e J. Galbraith), tra i quali i sindacati e le convenzioni collettive strettamente inquadrate dai codici del lavoro nazionali (e dalle leggi internazionali via l'Organizzazione Internazionale del Lavoro.)

Ritorniamo dunque al nostro Brano. Consideriamo ad esempio questo schema qui sotto che introduce una forma possibile di offerta e di domanda. Vedremo in fatti che, al contrario della grottesca vulgata nobelizzata, se si vuole giocare a questo gioco, non esiste nessuno schema possibile, anche affidandosi all'ipotesi insensata della concorrenza perfetta, in modo che la presentazione standard è fraudolente anche da questo punto di vista.)

3iv-c) Valore e domanda sociale secondo l'operato della Offerta e Domanda marginalista quando avviene un aumento di produttività di ¼ in una azienda o industria di uno Settore.

Nel esempio più puro quello del valore dato anteriormente abbiamo applicato una regola semplice: l'impresa la più produttiva impone i suoi prezzi sul mercato; le altre che producono lo stesso prodotto non hanno nessuna altra alternativa se non quella di tentare di seguire il ritmo allungando la durata del lavoro, girando gli angoli rotondi e cioè, in definitiva, a sparire dal mercato a meno che non siano capaci di provocare la crescita strutturale della loro propria produttività o ancora di potere beneficiare di un intervento extra-economico il quale mutatis mutandis potrà solo ritardare l'esito fatale di questa competizione marcata al segno del darwinismo sociale. Guardandoci di più vicino, la teoria dell'offerta e della domanda è una vera e autentica inettitudine che non avrebbe mai dovuto entrare nei libri scolastici. Il problema economico per eccellenza è lo scambio tra merci diverse e non il meccanismo della vendita di prodotti identici in isolamento di tutto il resto. Siamo dunque obbligati di testare questa pseudo-teoria della maniera più scientifica possibile esaminandone le ipotesi più plausibili che ne discendono per essere in grado di verificarle. Queste nuove ipotesi messe al test della domanda sociale si impongono dal fatto della dimostrazione dell'inanità profonda della presentazione usuale del genere di quella offerta da Samuelson che abbiamo già esposto qui sopra. Di conseguenza, cominceremo con l'esame di un prezzo di mercato corrispondente alla media del Settore I (nel quale le imprese sono supposte produrre lo stesso prodotto.)

A partire dello stesso schema di Riproduzione di partenza, poniamo sempre un aumento di produttività di ¼ nella azienda o industria SIa mentre le composizione organiche rimangono uguale nelle altre industrie e settori. Per il resto valgono le presupposti anteriori (giornata di lavoro, ciclo, capacità produttiva ecc...) Pero, prima di ricorrere ai meccanismi sovra-determinati(tanto per rendere omaggio al grande Louis Althusser) della domanda sociale, vedremo cosa succede quando cerchiamo di passare dal stadio fasullo delle curve di Offerta e Domanda borghesi, poi abbandonati da questi teorici borghesi alla provvidenza della mano invisibile... all'equilibrio generale (incluso quando questo viene concepito al modo di Walras come ''mercato dei mercati'' dunque, per forza, liquefatto.)

Schema C (questo Schema viene dato prima in termini Mp e poi viene introdotto la variazione che dal valore porta al prezzo tramite il trattamento borghese dell'offerta e della domanda. Per leggerlo facilmente si deve applicare la stessa procedura del schema precedente per completare lo schema in termini quantitativi. Il resto segue da se visto la nostra ipotesi di un prezzo unico per i Mp secondo la quantità precisamente determinata dalle Equazioni della Riproduzione. Trovare i Cn in SII diventa dunque una semplice questione di termini relativi. Ecco il risultato):

SIa                : 92,647                 + 17,647                 + 22,0588         = 132,353

                105Mp                 + 20Mp                 + 25Mp                 = 150Mp

SIIb                : 61,7647         + 15,4411         + 15,441                 = 92,647

                70Mp                 + 17,5Mp         + 17,5Mp         = 105Mp

...............................................................................................................

(SI)                 : 154,4117         + 33,088                 + 37,5                 = 225

totale)        :175Mp                 + 37,5Mp         + 42,5Mp         = 255Mp

................................................................................................................

SII                : 70,588                 + 17,647                 + 17,647                 = 105,8823

                80Mp                 + 20Mp                 + 20Mp                 = 120Mp

Può sembrare già chiaro che i meccanismi dell'Offerta e della Domanda non sono del tutto trasparenti (o razionali) quando le mettiamo a contatto diretto con la sovra-determinazione della domanda sociale. Ma facciamo finta che siamo rimasti nel mondo parziale ed oscurantista del capitale nel quale tutto sembra reggere alla rovescia sopra la testa. Proviamo allora a prendere la media della produzione del Settore Uno, ricorrendo così ai dati organici (tassi della composizione organica e dello sfruttamento) del Settore Uno (vedi riga SI totale nel Schema C)

Interessa la struttura prodotta dal cambiamento produttivo. Avremo dunque : v'/C' (0,17647) sopra v/C (0,2) = 0,882353 . Questo rappresenta anche il prezzo di un nuovo Mp. Avremo automaticamente pv'/v' = 1,1333 cioè l'inverso di 0,882353.

Il valore viene conferito naturalmente dal settore con la composizione organica più elevata. Avremo dunque qui 1 Mp = 0.882353 e 1 Cn = 1.

Ma possiamo anche ottenere il tasso di inflazione organico. (Questo non deve essere confuso con l'inflazione strutturale legata alla Armata di riserva (AR) come esposto in Tous ensemble) Il tasso di inflazione organico viene causato da questa intermediazione della concorrenza concepita come Offerta e Domanda. Invece di avere un scambio bilaterale Mp = Cn con l'intermediazione del valore che avviene in modo sequenziale, con priorità prima all'industria più produttiva, qui sembrerebbe che non importa la provenienza o priorità cronologica del Mp visto che il prezzo del mercato corrisponde alla media (Sarebbe dire che tutti i Mp largamente identici vengono portati nello stesso spazio, o mercato topologico, prima della criée, se preferite ...) In realtà, non è così. Il prodotto più produttivo arriva prima sul mercato o gode sempre di una priorità alla vendita (marchio ecc.) Ma fasciamo finta che sia così: in ogni caso, l'intermediazione inflazionista ci riporta sempre dove dobbiamo essere, via la domanda sociale. Il che vuole dire : l'azienda meno produttiva produce meno, man mano che non arrivano gli ordini e che gli rimangono gli invenduti, sapendo che questi spariscono dal sistema della Riproduzione, e possono tutt'al più intervenire, complicando ulteriormente le cose sul lato dei prezzi, come prodotti di epoche diverse. Ma in questo caso, come io ho mostrato altrove e come dovrebbe essere ovvio, riconvertiti con il valore nuovo che corrisponderebbe alla forza del lavoro necessaria nel periodo di vendita effettivo per riprodurli.

Qui l'inflazione organica sarebbe del 0,882353/0,8 = 1,102875.

Conosciuto questo dato possiamo allora dare il prezzo dei prodotti. Ad esempio per c3. Questo strategico c3 era di 64 nel Schema anteriore; ora sarà di 64 x 1,1029413 = 70,588.

Non è un risultato da poco, visto che questo ci apre le porte non solo al calcolo della produttività in modo empirico per le aziende, le industrie o i settori (ed il sistema riproduttivo in generale, cioè la competitività della Formazione sociale.) Ci permette anche di misurare accuratamente l'inflazione organica in modo da potere poi correggere con i prezzi costanti che significano realmente valore, invece di significare una media borghese appoggiata solo sopra un anno preso come indice = 100. Di più si vede che questo cambia il modo di calcolare il valore senza dovere ricorrere al fallace indice borghese dato in termine del potere di acquisto, calcolo completamente falso e tanto cattivo quanto il PIL capitalista fondato sopra falsi consumi (incluso nella sfera del credito e del credito speculativo.) Ovviamente, questo non esaurisce la questione dell'inflazione che deve pure prendere in linea di conto la differenza tra massa salariale reale e massa salariale formale (dunque tra Armata di Riserva e sostegno sociale alla forza di lavoro passiva), compito affidato alla Banca centrale, come pure dell'inflazione importata. Quest'ultima può includere tutte le altre, soprattutto quando il tasso di scambio delle monete viene abbandonato al mercato globale capitalista ...

Quid per l'O/D?

Come abbiamo visto l'Offerta non è mai indipendente della domanda sociale che da parte sua non dipenda dalla mano invisibile(la quale può solo indurre irrazionalità economica sistematica e sprechi considerevoli mai controllabili dall'economia borghese, neanche con l'idiotismo della gestione restrittiva dei stock effettuata con il ricorso al just-in-time.

Mp1 e Mp2 (in SIa e SIb) sono considerati identici oppure dotati di alta elasticità Cosa assai lontana dalla realtà del mercato e della sua organizzazione spaziale e processuale (Karl Polanyi parlava di mercatial plurale; il marketing e la pubblicità rivela molto del resto ...Per fortuna ci sono i manuali di economia borghese per rassicurare i studenti producendo pero surrettiziamente una forte emendazione cerebrale preliminare ... anche contro ingente pagamento, nelle università private ...

Nel nostro Schema C possiamo conoscere rapidamente l'Offerta massima per un ciclo di produzione aggiungendo il prodotto di SIa a quello di SIb (150MP + 120Mp). Sappiamo anche che il prezzo non può mai cadere sotto il costo di produzione più basso (altrimenti la ditta fallirebbe.) Rimane da determinare il prezzo di vendita. Ecco dove cominciano le ipotesi fasulle e le equazioni di J.B. Say oppure quelle di Léon Walras oppure le curve figurative di Marshall. Ovviamente, il prezzo di vendita, non tanto a lungo terminecome si sol dire ripetendo la bella nota preliminare di Marx nei Manoscritti parigini del 1844, ma più precisamente per la durata del ciclo riproduttivo analizzato, non può essere indipendente della domanda sociale. Abbiamo vista come questa può essere determinata sulla base dei dati organici di partenza, su quella dei dati di aumento della produttività, e sulla base delle Equazioni della Riproduzione.

Rimane allora da stabilire la mediazione monetaria che corrisponde al tipo di meccanismo scelto per l'O/D. (A dire vero, personalmente mi andrebbe molto meglio lo scambio bilaterale sequenziale, in modo che i prodotti dell'azienda più produttiva partono prima ...ma come si sa, senza volere cadere in un kantianismo di seconda classe, se i fenomeni erano ovvi, non ci sarebbe più bisogno di scienza ... Se il meccanismo della O/D e della mano invisibileerano davvero capaci di portare all'equilibrio micro e macroeconomico allo stesso tempo, non ci sarebbe bisogno di leggere Das Kapital o di ricorrere alla regolazione oppure alla pianificazione per correggere transitoriamente i fallimenti del modo di produzione capitalista (opera dei suoi "spiriti animali" secondo Keynes...) oppure per superarlo con una massima razionalista rispettosa dell'armonia tra natura e storia, tra forze produttive e rapporti di produzione (repubblicani ed ugualitari).

Abbiamo visto che quando si fa intervenire la mediazione monetaria in modo razionale si crea una inflazione organica che può essere controllata perché la sua genesi non rappresenta più un mistero.

Qui, come d'altronde per il caso della rendita, e dunque per il caso della coesistenza a dominanza di vari modi di produzione, la produzione del valore (dunque la forma monetaria sprovvista di inflazione) viene conferita dal tasso di produttività più elevato, cioè del valore di scambio dalla forza di lavoro capace di agire in un dato sistema come equivalente universale delle merci.

Noteremo due elementi:

1. Se S1 vendesse 150 Mp a 0,8 euro e SIb 105 Mp a 1 euro ognuno questo rapporterebbe 225 euro; il prezzo unitario alla fine del processo sarà effettivamente uguale a 225/255 = 0,8823529 euro cioè, il prezzo unitario composite del Settore I

2. Possiamo chiamare questo schema, schema del valore settoriale o ancora, per evitare ogni confusione, schema del prezzo settoriale. Questo non è un risultato indifferente dato che si può ricavarne un elemento importante per le statistiche socialiste, ancora tutte da sviluppare; cioè, secondo lo studio dei meccanismo della domanda sociale, possiamo risalire dal Settore all'industria, ed anche alle imprese che le compongono ridistribuendo ad ognuna di loro quello che li tocca, a secondo dei rapporti fondamentali (v/C e pv/v) predominanti in ciascuna di loro.

 

Aggiungiamo questa precisione a proposito dei fenomeni inflazionisti che non riescono pero a inquinare la sovra-determinazione dei rapporti fondamentali (v/C e pv/v). A l'inflazione organica rintracciata qui sopra dobbiamo aggiungere l'inflazione strutturale indotta dalla gestione della disoccupazione e dunque della massa monetaria. Vanno ricordati per memoria alcuni elementi chiave tratti del mio Tous ensemble. Se supponiamo il schema di partenza usuale:

S1a : 80 20 20 = 120

S1b : 80 20 20 = 120

--------------------------------------

S1 : 160 40 40 = 240

___________________________

S2 : 80 20 20 = 120

La massa monetaria (qui con pieno impiego) sarà uguale alla massa salariale.

Dato che siamo in situazione di pieno impiego, la massa monetaria sociale sarà uguale alla massa salariale (con le rotazioni diventa necessariamente uguale al prodotto totale.)

Le rotazioni vengono date dalla somma (C/v) + (pv/v) del capitale totale (dato dalla sommazione dei diversi settori.)

AR (Armata di riserva) viene intesa qui come la somma emessa per finanziare il sostegno della forza atta al lavoro ma ridotta alla disoccupazione; questa somma assieme ai suoi meccanismi rilevano della forma dello Stato capitalista, Stato liberale, Stato sociale o Welfare State, Stato sociale avanzato (ciò che possiamo anche chiamare le epocheriproduttive del Modo di Produzione Capitalista (MPC.) In assenza di creazione di nuovi settori intermediari capaci di assorbire almeno in modo transitorio la forza di lavoro così liberata, o ancora in modo permanente ma ciclico tramite la Riduzione del Tempo di Lavoro, l'introduzione della produttività crea necessariamente disoccupazione e induce dunque la necessità di finanziarla se non altro per evitare le esplosioni sociali.)

Esempio: La massa monetaria S = v; la massa monetaria o salariale sociale notata Ss = v + AR.

Ergo, l'inflazione strutturale sarà uguale a Ss/S.

Abbiamo qui i lineamenti dell'autentica teoria quantitativa marxista della moneta.

Ritorniamo al nostro argomento: I marginalisti non intuiscono niente a tutto questo; se c'è disoccupazione per loro sarà dovuto non ad una produttività reale in crescita nell'assenza di pianificazione socio-economica decente, ma ad una semplice mancanza di flessibilità sul mercato del lavoro. Le Banche centrali borghesi fanno peggio strangolando sistematicamente l'aggregato monetario M1, il quale corrisponde grosso modo alla massa salariale, mentre lasciano correre M2 e M3, aggregati che non vengono neanche tassati in modo equo (si pensa in Italia al misero 12,5 % prelevato sopra la plusvalenze), in modo che questo lassismo fiscale regressivo si addiziona alle conseguenze delle inettitudini monetaristi criminali. Nonostante questo, la realtà si infischia delle sciocchezze a ripetizione di questi asini. Dobbiamo dunque considerare che il schema Offerta e Domanda presentato anteriormente con la sua inflazione organica deve essere rivisitato per introdurre gli effetti dell'inflazione strutturale la quale, per parte sua, si imporrà naturalmente tramite la mediazione effettuata dal numerario, dunque dall'ipotesi di una massa monetaria anteriore a quella del schema di partenza ovvero v = 20 (Intanto, questa situazione rifletta quella del Stato liberale classico dotato di Banche centrali ignoranti e unicamente concentrati sopra il tasso di scambio e dunque la gestione delle riserve in oro nel quadro di un regime cosiddetto di Gold Standard legato al commercio internazionale; a queste lacune monetarie si aggiungono dei governi pronti a rimandare il peso della disoccupazione sopra le spalle della famiglia allargata.)

Avremo dunque il Schema settoriale precedente aumentato dal tasso di inflazione strutturale dato dal rapporto Ss/S cioè 60/50,735 = 1,1826

Schema settoriale :

S1 : 154,411 + 33,088 + 37,5 = 225

S2 : 70,588 + 17,647 + 17,647 = 105,88235

Da qui si trae il schema di inflazione strutturale seguente (moltiplicato dal tasso di inflazione tramite i scambi e la mediazione monetaria.)

S1 : 182,60 + 39,130 + 44,348 = 266,0885

S2 : 83,4784 + 20,869 + 20,869 = 125,21811

A partire di questo schema di base diventa facile introdurre AR secondo le condizioni storiche verificate, dato che il tasso Ss/S sarà adattato alle circostanze con conseguenze ormai prevedibili tanto dal punto di vista interno quanto esterno, ad esempio l'inflazione strutturale importata (vedi Tous ensemble)

3iv-d) Caso fallace: Offerta e Domanda marginalista pura, la domanda sociale non viene presa in linea di conto (Rielaborato il 6 settembre 2009)

In questo caso come d'altronde per tutti i marginalisti e i teorici borghese sin da J-B-Say, Senior, Walras, Marshall ed i patetici moderni come i vari Samuelson e Solow, la micro e la macroeconomia sono separate. (Questo avviene con la falsa soluzione di Auguste Walras ripresa dal figlio Léon e da Schumpeter ecc ... cioè la separazione metodologicatra la scienza economica e economia sociale, quest'ultima essendo concepita come input politico malgrado le crisi ricorrenti che dimostrano il contrario.) In questo caso, i meccanismi precisi della domanda sociale sono rimpiazzati dall'operato cieco della cosiddetta mano invisibile. Visto la sovra capacità produttiva più lo sfruttamento della durata, dei stock ecc., si suppone che si aboliscono temporaneamente gli effetti dei cicli produttivi, in modo che S1a e S1b producono le loro quantità senza badare a niente altro, portando il prodotto finale al mercatonello stesso giorno, supponendo in oltre che questi prodotti non vengono distinti da marchi ecc. (Caso molto improbabile ma così fanno le ipotesi dell'economia borghese fondate sopra le curve dell'offerta e della domanda.) Per un attimo prenderemo queste scemenze sul serio.

Otteniamo allora il Schema 3:

S1a)         : 84                 + 16         + 20         = 120

                105Mp         + 20Mp         + 25 Mp = 150Mp

S1b)         : 80                 + 20         + 20         = 120

                80Mp         + 20Mp         + 20Mp         = 120Mp

..........................................................................................................

SII)                 : 80                 + 20         + 20         = 120Mp

Si nota che il sistema qui supposto è altamente instabile e incoerente.

Comunque i marginalisti no vedono tutto il sistema, vedono solo le imprese nella sfera microeconomica. Possiamo dunque continuare sopra le loro proprie base per quanto riguarda lo scambio dei Mp. Come avviene la vendita, a che prezzo?

Vendita e prezzo: 240 euro divisi da 270 Mp = ?

E chiaro che non possiamo completare perché se l'offerta è conosciuta (150Mp + 120Mp), la domanda è sconosciuta e non può essere fornita in questo sistema borghese e marginalista.

Ma allora cosa succede? Arriva che la domanda sconosciuta viene rimpiazzata con l'intermediazione della moneta. Il guai è che a questo punto si opera con un metro elastico dato che l'intermediazione della moneta crea inflazione nel processo in cui cerca di chiudere lo scambio scambiandosi con i Cn, cioè, avvicinandosi empiricamente - par tâtonnement, per fare piacere à la Allais ... -, dal meccanismo della domanda sociale dato dalla Equazione della RS/RE.)

Ancora una volta, il paradigma borghese e marginalista fa acqua da tutte le parte! Si tratta di un paradigma puerile tutt'al più buono per la demagogia di massa. Un nuovo oppio del popolo irrazionale ma questa volta senza nessuna base, neanche in termini di spiriti animaliche invece riguardano i gran preti (o gran maestri) che propagano queste sciocchezze sapendo benissimo, sin dalla dimostrazione di Marx, che sono sciocchezze. Asinate calcolate ma tra l'altro inumane perché negano la realizzazione dell'uguaglianza umana difendendo invece, con il miraggio del mercato, la proprietà privata fondata sopra la produzione sociale e l'accumulazione privata.

Se seguiamo i teorici borghesi nel scambio cieco tra Mp contro moneta senza badare ai Cn, o vice versa, succede che al secondo turno le correzioni cominciano ad imporsi tramite il meccanismo interno della domanda sociale, mediata dall'inflazione organica. Pero questo produce un enorme spreco di energie e di prodotti: Il modo di produzione capitalista non è fondato sul consumo come si sole dire; invece, è fondato sopra consumi irrazionali, e spesso indotti, che producono un enorme spreco congenito! Ragione supplementare per difendere il marxismo e l'ecomarxismo (sopra quest'ultimo concetto, vedi l'Appendice del mio Libro III.) Fine del Brano.

Dopo rielaborazione possiamo presentare il schema di offerta e domanda raggiunto in maniera cieca nel modo seguente partendo da un'ipotesi interamente congruente con la cecità tanto microeconomica quanto macroeconomica che prevale con tutte le varianti del marginalismo e tutte le teorie economiche borghese. Supporremo dunque qui una produzione alla cieca da S1a e da S1b di tutte le quantità che possono produrre per portarle sul mercato simultaneamente (altrimenti non dispongono di nessuna informazione sul prezzo di equilibrio, nemmeno probabilistico e dato dai studi di mercato); intanto S2 agisce in modo simile e non modifica le condizioni di produzione malgrado il prezzo relativo dei Mp che compra. Ne segue che conoscendo ormai le condizioni determinanti in S2 possiamo ricostruire quello che accaderebbe per l'insieme del sistema. Vediamo come si volgono le cose nel dettaglio.

Il schema alla cieca dato in termini di Mp sarebbe il seguente:

S1a : 105 + 20 + 25 = 150 Mp

S1b : 80 + 20 + 20 = 120Mp

-----------------------------------------------

S1 : 185 + 40 + 45 = 270Mp

________________________________

S2 : 80 +20 + 20 = 120 Mp

Sappiamo pero che S1v + S1pv = c3 = 80

Il rapporto S1pv/S1v viene dato da 85/40 = 2,125 ergo: 85 : 2,125 = 40

Rispetto alla situazione O/D derivata dalla situazione alla cieca avremo dunque: 80/v = 2,125, dunque 80 : 2,125 = 37,647

La pv effettiva (secondo la situazione O/D derivata) sarà 80 37,647 = 42,353 (prova 42,353/37,647 = 1,125)

Dobbiamo ora trovare C effettivo (i.e., la situazione O/D derivata)

Come S1C/S1v nella situazione alla cieca = 185/40 = 4,625

Ergo C effettivo in O/D derivata = 37,647 x 4,625 = 174,117388

Rimane a distribuire questa funzione di produzione settoriale effettiva derivata nelle parti rispettive che toccano a S1a e S1b.

Sappiamo dalla mediazione monetaria che il prezzo unitario di vendita alla cieca sarà di 240 euro/270 Mp = 0,888

Sappiamo che S2 non ha cambiato i suoi rapporti di produzione fondamentali.

La questione diventa dunque: Come di S2 c (80) si può dedurre S1 v = pv, dunque la funzione di produzione settoriale S1. Come ridistribuirla tra S1a e S1b?

Abbiamo visto come si arriva a S1: 174,11738 + 37,647 + 42,353 = 254,11738. L'unica questione da risolvere è quella della ridistribuzione tra S1a e S1b se le vendite si realizzano al stesso prezzo di mercato (cioè, alla cieca)

Ovviamente, non potrà essere a metà metà.

Dunque necessariamente la ripartizione dovrà farsi secondo i stessi rapporti di contribuzione al mercato, cosa che corrisponderà alla migliore probabilità.

Dunque S1 M ex ante = 150/270 = 0,555. Come 270 x 0,555 = 150 ergo 254,11738 x 0,555 = 141,17632 Mp

S1b avrà dunque 254,11738 141,17632 = 112,94106 Mp

Possiamo allora calcolare gli invenduti

S1a = 150 141,17638 = 8,82368 Mp

S1b = 120 112,94106 = 7,0589 Mp

Pero in questa situazione di O/D alla cieca questi invenduti ritornano sopra il mercato aggravando ancora la situazione, soprattutto qui per S1b.

Problema ex ante/post hoc (in Mp)

S1a = 105 + 20 … + 25 # 141,17632 Mp (i.e. pv deve cambiare e dunque anche pv/C il tasso del profitto. Pv = 141,176 125 = 16,17632 ; pv/C = 16,17632/125 = 0,130)

S1b = 80 + 20 … + 20 # 112,94106 Mp (ergo pv = 112,94106 100 = 12,94106, dunque pv /C = 12,94106/100 = 0,130.)

Noteremo che il tasso di profitto rimane strutturalmente uguale (senza ricorrere ad una qualunque equalizzazione esogena.) Comunque, i volumi oltre la dinamica messa in moto dagli invenduti favorirebbero S1a, dato che la sua produttività rimarrebbe effettivamente superiore anche se questo tipo di O/D, o concorrenza, ne diminuirebbe gli effetti in modo transitorio.

In effetti, la situazione si aggrava irrimediabilmente con il ciclo seguente di riproduzione (i.e. post hoc.) Perché questo ammonta a valutare le funzioni di produzione tecniche S1a e S1b secondo lo stesso prezzo unitario degli Mp in situazione cieca, producendo i stessi effetti di distorsione cumulativi.

Malgrado tutto ciò sottolineeremo che è sempre la funzione di produzione marxista a spiegare il fenomeno e i suoi epifenomeni (i.e., v/C, pv/v e domanda sociale, cioè le Equazioni della Riproduzione) e dunque le dinamiche scatenate dai volumi (e non dal saggio del profitto), e dunque le leggi di mozione del capitale, cioè principalmente la concentrazione e la centralizzazione del capitale come pure la creazione di AR ed il suo impatto inflazionista strutturale (che deve essere controllato dalla pianificazione e dai cicli di RTL, altrimenti questi fenomeni saranno tutelato dalla spartizione della miseria; vedi a proposito la Nota * e la Nota 15 su John Galbraith nel mio Libro III)

Conclusione.

La concorrenza è una incredibile inettitudine marginalista incapace di spiegare qualunque cosa.

Le piccole imprese creati artificialmente dai neoliberali sono delle pagliacciate all'immagine dell'Antitrust. Perché sono contrarie alla necessaria taylorizzazione e producono un incredibile spreco (in Italia con 90 % delle impresse con meno di 10 impiegati si raggiunge una evasione fiscale ufficialmente valutata dunque sottovalutata di attorno a 270 miliardi di euro annui, sarebbe a dire quasi ¾ del finanziamento annuo del debito nazionale ... Ma in questo mondo si sostiene anche una clientela vulnerabile sempre sull'orlo della legalità pronte a difendere un ordine sociale quasi-mafioso oltre che clientelare.) In oltre queste piccole imprese servano per spartire la miseria tra i lavoratori, impedendo fortemente la messa in opera dei cicli della RTL. La concentrazione e la centralizzazione secondo i dati tecnici sono inevitabili, incarnano una tendenza storia capita da così bene da Schumpeter che questo lo portò ad una visione pessimista del destino finale del capitalismo. Di fatti, i neoliberali non hanno mai tentato di frammentare le grandi imprese transnazionali private.

Ma la concentrazione e la centralizzazione socialista debbono rispondere agli imperativi della pianificazione tenendo conto dell'ecomarxismo. Questo include le imprese di Stato e le cooperative. L'ideale rimane la massificazione dei prodotti fine alla maturazione dei mercati. Possono seguire in appresso la produzione di short runspersonalizzati. Le imprese di Stato e le cooperative debbono ritornare ad essere la norma socialista in questo quadro preciso, con la democrazia socialistaorganicamente integrata nella pianificazione.

Le teorie del dono e del contro-dono nate dall'antropologia e dall'etnologia borghese mescolano valore di uso e valore di scambio, incluso quando discorrono sopra i modi di produzione caratterizzati dal comunismo primitivo. (Il migliore libro borghese che tratta di questo soggetto rimane quello di Peter Blau Exchange and power in social life, ed John Wiley and Sons, 1964 ; va notato qui l'espressione '' social life '' comunque intesa in modo a-temporale, fuori della sovra-determinazione dal modo di produzione, nel stesso modo che un Robert Dahl intendeva la '' democrazia '' come un sistema nel quale '' ogni gruppo di 4 persone ha lo stesso potere di ogni altro gruppo di 4 persone. '', ecc., ecc. ...ma prendeva la precauzione di limitare la sua analisi al livello municipale.) In tanto, solo con il socialismo può sbocciare la sociabilità sotto forma di altruismo legato alla produzione non mercificata del valore di uso. Nel mio Pour Marx, contre le nihilisme (vedi il capitolo Pour le socialisme cubain, alla luce delle cruciali correzioni poi aggiunte relative alla problematica del '' dominio della necessità '', del '' dominio della libertà '' e della '' democrazia socialista '') avevo iniziato la discussione relativa alla creazione di Home Depots socialisti forniti con i surplus socialisti, insieme legato a degli '' ateliers nationaux '' o botteghe nazionali, totalmente volontari, ed inoltre favoreggiati dallo sviluppo socialista della RTL. Per parte sua questa RTL rimarrebbe legata alla produzione del valore di scambio. (Questa scelta è molto differente del modello mista interamente fallito tale che fu praticato nell'Ungheria socialista, o, peggio ancora, nella Unione Sovietica con la prestroika di Gorbachev, dato che in questi casi, il valore di uso rubato e sviato funzionava come valore di scambio alternativo nei rampanti e distruttori mercati neri.)

3iv-e) Riassunto: I tre schemi della riproduzione: Schema valore = prezzo; schema media di S1; schema marginalista come puro concetto fallace.

Schema valore = prezzo

Ci situiamo qui in un contesto di pieno impiego visto che la presenza dell'Armata di riserva usualmente creata dal aumento di produttività quando non viene assorbita (sovra-capacità non utilizzata, nuovi settori ecc.) Si tratta del Schema B in termini valore-prezzo con aumento di produttività di ¼ in SIa dato sopra. Per memoria

SIa                 : 84                 + 16         + 20         = 120 euro

                105Mp         20Mp         20Mp         = 150Mp

Sib)                 : 56                 +14                 + 14         = 84 euro

                70Mp         17,5Mp         17,5Mp        = 105Mp

SII                 : 64                 +16                 + 16         = 96 euro

                80Mp         20Mp         20Mp         = 120Mp

                64Cn         16Cn         16 Cn         = 96 Cn

Qui le cose sono semplici il valore viene determinato (misurato) dalla composizione organica più elevata che conferisce così una moneta razionale (equilibrio generale) corrispondente al valore della forza di lavoro (equilibrio universale) Uno Mp = 0,8 euro (uno Cn = 1 euro)

Qui si applica il meccanismo della produttività introdotto nelle Equazioni della riproduzione in modo lucido ex ante perché la pianificazione può progettare sulla base di dati conosciuti, i dati prodotti corrisponderanno comunque al valore = prezzo. I sprechi saranno eliminati (purché i controlli di qualità incluso la corrispondenza ai gusti dei lavoratori qua consumatori venga rispettata.) Sarà la pianificazione a insufflare la razionalità del sistema. Incluso quando si tratta di Riproduzione allargata : cioè della parte del prodotto finale da consacrare alla crescita qualitativa e quantitativa (sovrappiù sociale nella forma pura. Vi ricorderete che una delle critiche false indirizzate al Stalinismo fu di avere strangolato i contadini per favorire la crescita dell'industria necessaria per sconfiggere il nazifascismo. Deutscher dice che ci furono prelievi del 40 % mettendo in pericolo la riproduzione agricola. In effetti, tale prelievo non è contro-produttivo; la realtà fu che la collettivizzazione delle terre era pensato come progetto politico ed economico nel stesso tempo (la distruzione dei kulaki come classe sociale reazionaria ed alleata alla contro-rivoluzione) mentre l'Ucraina era devastata dai controrivoluzionari organizzati come para-militari da Hindenburg con l'aiuto degli Occidentali, in particolare la GB e gli Stati Uniti. In realtà, la rinegoziazione del Piano Dawes almeno due volte contro la volontà della Francia perché contraria al Trattato di Versailles avvenne proprio per permettere la ri-militarizzazione mascherata della Germania contro l'Unione Sovietica. I para-militari di Hindenburg erano più di 100 000 non una decina ed applicavano già la politica che poi diventerà il Piano Est di Hilter. (vedi Gilbert Badia già citato qui sopra.) Intanto, con due piani quinquennali Stalin riuscì a portare l'Industria sovietica ad un grado superiore rispetto alla prima potenza industriale del mondo negli anni Trenta, cioè la Germania. Di fati il fascismo e anche il Dr. Schacht si ispireranno della potenza della pianificazione ma con uno tutt'altro scopo; anche gli Americani e gli Inglesi adottarono certi principi di pianificazione durante la guerra per causa di forza maggiore. Vedi al proposito Sweezy e Magdoff.)

3iv-f) Emergenza della sovrappiù sociale: Ruolo della burocrazia privata e burocrazia pubblica nella riproduzione

Quello che manca nella sua forma figurativa al schema di riproduzione in generale è il ruolo della burocrazia. Questa deve essere intesa come parte inevitabile e necessaria della divisione del lavoro che si aggiunge al ruolo regio o sovrano dello Stato (burocrazia), assieme ai servizi sociali. In chiaro, si tratta di tutto quello insieme di input indiretti nella produzione. Questo comprende la pubblica amministrazione, l'educazione nazionale, i servizi sociali, e le imprese ed altre attività pubbliche, nel senso di attività statali o parastatali, dedicate alle infrastrutture, i trasporti, ed in generali i beni di utilità pubblica. Quando si tratta di un sistema pianificato, questo non è un problema. In effetti, il contributo burocratico pubblico può essere concepito come facendo parte proporzionalmente dei dati intrinsechi ma resi autonomi dei nostri settori.

La razionalità economica spingerà al trasferimento di una parte della burocrazia privata delle imprese verso aziende di servizi specializzate o meglio ancora per favorire una concorrenza equa tra tutte le imprese piccole o grandi verso il settore pubblico. Questo sarà ancora più ovvio quando si tratterà di un modo di produzione socialista nel quale viene abolita la differenza tra settore privato e settore pubblico. Importa capire che questo aspetto della divisione del lavoro rappresenta quello che Marx concepiva come lavoro improduttivo, cioè, un lavoro in realtà socialmente molto produttivo ma non direttamente produttivo. (Si potrà forse pensare che lavoro improduttivofu una espressione infelice; ma questo è dovuto al fatto che in queste pagine Marx si muoveva ancora in quello spazio mentale tipicamente smithiano che intendeva criticare. Sappiamo che per Adam Smith il ruolo dello Stato doveva rispondere all'interesse generale oppure lasciare lo spazio al privato. Proprio perciò doveva essere finanziato da tutti i capitali, cioè da tutti gli agenti economici che ne traevano profitto. Ma Smith si muoveva ancora in una società dove la spesa maggiore dello Stato erano il militare e le infrastrutture legate al militare. Colbert e dopo di lui i Fisiocrati francesi, legati alla difesa delle manifatture nazionali, avevano un linguaggio un poco diverso, che Marx ritroverà alla luce della critica del Tableau economico di Quesnay. Ed è proprio nel Libro II, cioè quello dedicato alla Riproduzione, che importano le distinzioni relative alla burocrazia ed al lavoro improduttivo. Ad esempio, Marx illustrava l'argomento con il ruolo dell'educazione nazionale e del maestro nella formazione della forza di lavoro degli operai, oppure con quello del ingegnere ecc ... La modernizzazione della società, l'approfondimento ulteriore della divisione del lavoro, daranno ragione a Marx, il quale anticiperà chiaramente quello che ho chiamato la sovrappiù sociale(ad esempio nel Manifesto e poi nella Critica del programma di Gotha.) Importano sempre il fondo e la logica dell'argomento, non i singoli termini presi fuori contesto. Qui come altrove deve contare il concetto, non la terminologia.

Max Weber parlerà di razionalità burocraticasenza capire che qui si trattava dell'abbozzo di una cosa importantissima, anzi vitale per lo sviluppo socio-economico, cioè per il concetto della sovrappiù sociale. Per i Bolscevichi come Lenin la cosa era chiara: da un lato il capitalismo, cioè la produzione sociale spregiudicatamente associata all'accumulazione privata con ingentissimi sprechi, dall'altro la razionalità socio-economica raggiunta con la pianificazione. La borghesia darà comunque ragione senza ammetterlo ai Bolscevichi quando instaurerà la pianificazione di guerra e il controllo dei prezzi e l'aumento dei salari e dei diritti sociali per fare fronte ai pericoli creati dalle due guerre mondiali. Con la divisione del lavoro e lo sviluppo dello Stato sociale (o se si vuole dello Stato capitalista ormai pronte ad intervenire sempre di più nell'economia, anche in modo diretto, tramite i servizi sociali, i lavori pubblici, le aziende statali, le leggi finanziarie keynesiane ecc...) si manifesta la crescita dell'autonomia della sovrappiù sociale. Questa crescita viene raggiunta rafforzando la coerenza socio-economica della Formazione Sociale nazionale o sopranazionale per mezzo della regulation o della pianificazione cosiddetta incitativa e indicativa, o, meglio ancora, della pianificazione socialista. Da essa dipende la gestione della produttività microeconomica e della competitività strutturale o macroeconomica delle Formazioni sociali.

La gestione può essere pro-attiva dando luogo ad una regulation economica keynesiana o post-keynesiana. Per sfortuna può anche manifestarsi in modo negativo con la sua assenza imposta dai dirigenti politici. Ad esempio, con l'attuazione del monetarismo, del neoliberalismo e dello smantellamento dello Stato Sociale. I teorici borghesi amano le opposizioni primitive di tipo aristotelici; così oppongono sempre in modo ideologico (cioè con il ricorso al libertarismo anomico di von Hayek et ali ...) lo Stato keynesiano detto interventistaallo Stato neoliberale detto non-interventistao minimo. Ma si capisce che

il secondo implica un'ingerenza molto più massiccia nell'economia ma compiuta esclusivamente al benefico del capitale: ad esempio, per smantellare i diritti acquisiti dai lavoratori assieme ai servizi sociali, oppure per liquidare la solidarietà nazionale raggiunta tramite una fiscalità pubblica e progressiva.

Negli ultimi 25 anni vennero così trasferiti dai salari ai profitti, senza nessuna controparte se non il dilagare della precarietà e della povertà, oltre il 10 % del PIL nel quadro di una Repubblica '' fondata sul lavoro ''. In fatti, questi sono purtroppo tutti aspetti protetti nelle costituzioni del dopo-guerra, come pure nella Carta onusiana dei diritti universali individuali e sociali. Questo smantellamento sistematico richiede dunque un attivismo anticostituzionale frontale e lo svuotamento delle prerogative statali al beneficio della private global governance. (In Italia, si aggiunge il spinellismo direttamente antinazionale e ormai falsamente attuatocon il federalismo fiscale. Questo modifica in modo totalmente anticostituzionale ma con l'unanimità trasversale della classe politica e della magistratura attuale gli articoli centrali della nostra costituzione per la distribuzione del potere ai vari livelli, cioè in particolare gli articoli 117-121.)

L'importanza della sovrappiù sociale derivata della divisione del lavoro non viene mai ammessa dai reazionari qua economisti borghesi (in particolare, dai marginalisti e dai monetaristi). Loro vedono solo mercati discreti e separati ma sempre liquefatti in modo da potere creare (illusoriamente) un mercato dei mercatidovo si raggiungerebbe l'equilibrio generale. Con la scuola detta della public policy(formalizzazione della reazione reaganiana e neocon, con grandi e degni addetti italiani alla Brunetta ...) si arriva a volere privatizzare e liquefare anche quelle attività di interesse generale attribuite allo Stato da Adam Smith! Con un piccola riserva ovviamente, d'altronde comprovata dalla deriva californiana di Enron per l'elettricità, emblema delle vecchie cosiddette public utilities. Oggi queste ultime vengono mercificate come beni comunida parte di quelli social-democrati reaganiani anche pronti a privatizzare l'acqua, genti venali che non vuole più sentire parlare di impresse statali, né al livello nazionale, né al livello regionale, né al livello municipale. Pero, con la debacle di Enron, questi reazionari hanno capito che il capitale speculativo a corto-termini non permetteva di trasferire questi settori al privato senza prendere alcune precauzioni; così hanno immaginato di lasciare l'impegno di finanziare le infrastrutture che richiedono investimenti di lungo termine, dunque poco profittevoli, allo Stato, a carica poi allo Stato di cedere a ribasso, spesso per un euro simbolico, queste infrastrutture al settore privato. Operazione legittimata (sic!) con il dogma secondo il quale il mercatoprodurrebbe la massima allocazione delle risorse tra tutti i clienti(Notare che non si parla più di utentima di clienti.) Questo avviene senza badare al fatto che sin da 30 anni tutte queste esperienze reaganiana-monetariste dimostrano che tali trasferimenti del pubblico al privato implicano dei sprechi ingenti, e distruggono la qualità e l'accessibilità universale dei servizi ai cittadini (Vedi ad esempio uno degli ultimi casi italiano con la privatizzazione scellerata di Alitalia; esempi di questa dilapidazione dei beni pubblici c'è ne sono ormai centinaia, tra i primi quella emblematica della Telecom.)

In verità, come fu già sottolineato nel mio Tous ensemble, si cerca coscientemente di fare del Schmupeterismo alla rovescia: In altre parole si crede, nel tipico spirito filosemite nietzschiano, di potere rovesciare la marcia del capitalismo verso sempre più concentrazione e centralizzazione, ricreando artificialmente una piccola borghesia clientelare per difendere il sistema. Solo che questa piccola borghesia di miriade di miseri piccole imprese si ritrova subito nel stesso caso di figura dei contadini francese dopo l'operazione degli assignâts, presto obbligati a vendere i titoli di proprietà ai notabili, notai e farmacisti del luogo, descritti da Flaubert in Madame Bovary, o meglio ancora da Marx nella seria storica dedicata alle lotte di classe ed alla guerra civile in Francia, in particolare il 18 Brumaire . In questo capo lavoro assoluto di storia marxista, Marx accusa il populismo cesarista di Napoléon le Petit di ridurre questi piccoli contadini, di nuovo strangolati dai debiti, a sacchi di patateframmentati, senza volontà e senza coscienza di classe propria, aprendo così la strada alla necessaria teoria dell'alleanza di classe tra proletariato e contadini per l'emancipazione comune. (Un'operazione moderna calcata sopra gli assignâts o vouchers, in inglese - fu effettuata nella Russia di Eltsine e della sua camarilla includendo Beresovski, Gussinski e tutti questi ladri comuni, arricchiti con l'esproprio delle ricchezze collettive, preliminarmente divise in piccole parti distribuite ad ogni lavoratore per potere inizialmente legittimare questo furto sleale. Con la distruzione dei salari e dei servizi sociali, i lavoratori furono rapidamente costretti a vendere questi vouchers al ribasso arricchendo pochi oligarchi, moltissimi provenienti dei ranghi dei soliti sovra-rappresentati ma godendo dell'appoggio del potere eltsiniano e dei suoi maestri occidentali ...) Intanto, questi nuovi imprenditori creati dal Schumpeterismo alla rovescia per mezzo delle liberalizzazioni e delle privatizzazioni ed oggi col ricorso al vangelo dell'ecologia borghese - invece di mostrarsi servilmente bersteiniani, gridano alla sparizione delle classe medie, anche nei Stati Uniti. Segno che questo rovesciamento contro natura non ha un grande avvenire davanti a se. Perciò, in Tous ensemble avevo detto che era invece arrivato il tempo di Carmaux... tramite la necessaria creazione dei Fondi Operai ecc. (Vedi pure nel stesso libro, la critica dei beni comunie dei modellicaliforniani e british-columbiani, assieme alla difesa dei beni pubblici offerti da imprese pubbliche, che è una tutt'altra cosa ... Nel spirito della sovrappiù sociale si avvertiva di non tagliare il ramo sul quale si era confortevolmente seduti... Fu invano. Non ascoltarono neanche i socio-democratici ... once again.)

Uno degli esempi più eloquenti di questi sprechi doviti alla privatizzazione e liberalizzazione dei servizi pubblici, e dunque a contrario dell'importanza della sovrappiù sociale, rimane quello del settore della Sanità. Io ripeto sempre che il Sistema sanitario privato americano spreca 16 % del PIL, lasciando 47 milioni di cittadini senza nessuna copertura, mentre il sistema pubblico europeo di accesso universale costa solo 10 % del PIL in media. (Non di meno si distrugge attivamente il sistema europeo, e si fa propaganda per l'eutanasia smerciata con un scellerato testamento biologico, malgrado il fatto che gli operai muoiono già tra 7 a 11 anni in media prima dei loro manager....Intanto la stragrande maggioranza delle operazioni pesanti vanno al settore pubblico mentre le cliniche private prendono la maggioranza dei casi leggeri dunque profittevoli perché pagati in gran parte con soldi pubblici ...) Idem per le pensioni pubbliche. Va ricordato che il più grosso problema di GM proveniva appunto dal peso delle pensioni dell'azienda mentre le concorrenti europee ed altre beneficiano del sistema pubblico che permette di centralizzare i fondi, e dunque di massimizzare i benefici attuariali sulla base del sistema delle assicurazioni pubbliche e del sistema di ripartizione. Non di meno si cerca oggi di distruggere il sistema pensionistico pubblico ... Evidentemente, questa deriva reaganiana aumenta gli oneri delle imprese. Abbiamo già fatto allusione alle ragioni strutturali del quasi fallimento delle imprese come GM, Chrysler e GE ecc; lo sfascio non finisce qui: Malgrado le delocalizzazioni e l'outsourcing coniugati ai paradisi fiscali, questo spreco ideologicamente motivato della sovrappiù socialeporta alla rovina della bilancia del commercio e della bilancia dei pagamenti americane, lasciando il dollaro senza copertura internazionale se non quella offerta dalla US Army (dopo l'Iraq ...) Così sparisce pure la fiducia sempre più difficile da sostenere dei partner sociali che hanno saputo sfruttare questa idiozia borghese, i.e., la cosiddetta interdipendenza asimmetrica... (Vedi la Cina versus i salvataggi obbligati di Fannie Mae, Freddie Mac e di AIG ecc. ...)

Tutti i Stati moderni senza eccezione furono obbligati dalla crescente divisione del lavoro a creare una Pubblica Amministrazione estesa ed efficace. Il tipo di burocrazia è così importante dal punto di vista socio-economico e culturale da diventare un vero e proprio elemento ''decisorio'' dei regimi politici basati sopra modi di produzione simili, oppure diversi. La Repubblica francese, seguita dalla Francia di Napoleone e fino a De Gaulle, aveva anticipato questo ruolo in modo repubblicano ed ugualitario. Perciò, scelse di rendere l'educazione pubblica laica e gratuita e di creare le prime versioni di quelle che diventeranno le Grandes Ecoles, in modo da potere formare i quadri pubblici necessari alla gestione della res-pubblica. Questo spinse Weber (e Kojève, il quale aggiungerà elementi tipicamente funzionalisti ed internazionalisti del tipo propagati da Mitrany e dalla vecchia scuola diplomatica dell'integrazione) ha concepire la burocrazia, non solo come necessaria alla razionalit0sistemica del sistema, ma pure come un elemento vitale delle pretese democratiche borghese delle classe medie che si appoggiavano sopra una meritocrazia sancita da veri concorsi (anche se sempre falsificati se non dalle raccomandazioni, al minimo dal bagaglio culturale familiare e dalla selezione universitaria di classe all'entrata ed all'uscita). Una burocrazia pubblica clientelare incarna in generale una caratteristica dei regimi detti autoritarie spesso populisti, anche se non totalmente fascisti, come hanno spiegato vari teorici dell'America del Sud negli Anni 60 e 70. Non si tratta in genere di Stati indipendenti e potenti ma di Stati caratterizzati dalla dipendency e dal servilismo go-between.

Va notato perciò il non-detto di Weber e di Kojève relativo alla burocrazia e a tutte le elite: Sin dal passaggio della democrazia liberale classica, per nascita censitaria, al suffragio universale ed all'educazione pubblica sotto le spinte delle lotte di classe viz Marx op citato relativo alla Francia le classe dirigenti hanno istituito un potere parallelo, fondato sopra la selezione preliminare a tutti i livelli dalle logge massoniche e sopra l'asservimento del processo elettorale alla logica del denaro e della pubblicità di massa, ovviamente controllata dai privati. (In Italia, il capo del governo controlla ormai anche la gran parte delle rete pubbliche della RAI che rimangono ...) Tale sistema permette loro di pensare la burocrazia come il vero governo permanentee difficilmente amovibile al contrario dei governi del giorno a volta ben intenzionati (vedi il caso emblematico del governo di sinistra guidato da François Mitterrand e dalla sinistra francese prima e dopo il ... 1983 .... Per non parlare di Allende versus i militari ed in particolare il ministero dell'aviazione nelle mani della CIA e direttamente di Kissinger.) In Europa, si aggiungono i tecnocratici di Bruxelles in un sistema democratico europeo ancora inesistente o quasi, e comunque peggiore ancora di quello fondato sul censo neoliberale classico (Vedi il ruolo delle istanze europee sui servizi sociali, le pensioni, l'educazione e le fondazioni private, le direttive sulla settimana di 65, 68 o 72 ore di lavoro legali, e la militarizzazione interna ed esterna ...ecc... i.e., la santificazione della concorrenza senza freni come principio cardine di interpretazione del balordo mini-Trattato di Lisbona. (Trattato purtroppo rigettato nei paesi dove la prima versione fu sottomessa a referendum. Intanto, negli ultimi anni, questa regola di interpretazione principale era comunque anticipata da una Corte del Lussemburgo attivista ma spesso fuori dalle sue competenze!!! Va ricordato che l'articolo F, 3, 3b del Trattato di Maastricht sempre in vigore permette ai Stati nazionali membri della UE di proteggere le imprese pubbliche; a questa concessione fatta ai socialisti per fare accettare la redazione del Trattato venne aggiunta un'altra, necessaria per superare l'ostacolo dei referendum. Cioè quella di un secondo turno europeo in favore dell'Europa sociale. Questa Europa, sempre più minata dai soliti sovra-rappresentati che non esitano più a volere imporre le loro fasulle radici all'Europa (malgrado l'Epopea di Gilgamesh, Spinoza e tutto il resto ...) assieme alla sostituzione canaglia di una volgare Shoah esclusivista alla Resistenza comune al nazifascismo e alla deportazione, viene oggi tradita dall'interno e svenduta alla global private governancedi gente senza collaterale proprio (soprattutto in termini di produzione di sovrappiù.) ma appoggiata dall'imperialismo ed dal filosemitismo nietzschiano americano.

Abbiamo già accennato all'importanza negativa dal punto di vista della produttività e della competitività delle Formazioni sociali nazionali (e sopranazionali, secondo i domini di competenza) della delegazione dei compiti burocratici della Pubblica Amministrazione al settore privato. Dobbiamo solo aggiungere una rapida critica della razionalità economica propagata dalle cosiddette Schools of public policy con le loro regressioni economicamente irrazionali (voodoo economics.) Il problema di fondo non è tanto come valutare il prezzo giusto (o il valore) di un servizio ma come misurare la produttività della pubblica amministrazione. Dovrebbe essere ovvio che non si può pretendere sottomettere questa offerta di servizi pubblici alla logica microeconomica del capitale. E neanche a quella della domanda proveniente da un gruppo di clienti; gli utenti non sono clienti differenziati secondo il potere di acquisto respettivo ma dei cittadini costituzionalmente uguali tra loro, anche quando si tratta di persone morali tali le imprese. Dal lato delle imprese, i servizi pubblici partecipano a rendere la concorrenza più equa, cosa perfettamente capita dai New Dealers che perciò agirono su quadro normativo per abolire quelli elementi di legge della giungla che falsavano la concorrenza e diminuivano così la massima produttività raggiunta in un quadro legale rispettato da tutti i soggetti messi in concorrenza tra loro.

A questo va aggiunto l'aspetto competitività macro-economica che influisce in retroazione sopra la produttività microeconomico come teorizzato dal concetto di sovrappiù sociale. In questo contesto, la produttività per l'amministrazione pubblica non può limitartisi alla taylorizzazione dei compiti ed alla qualità del servizio formalmente offerto, ma anche alla soddisfazione del cittadino utente (che finanzia il sistema con le sue tasse) e dal massimo accesso universale tecnicamente possibile prescritto dalla Costituzione. Una analizzi ancora più elaborata terrà conto del moltiplicatore economico nazionale e locale, la localizzazione di un ufficio statale o para-statale rappresentando un elemento di stabilita socio-economica. A volte la funzione pubblica se inquadrata da regole e da sindacati autenticamente rappresentativi per garantire la qualità del lavoro e dei servizi può agire come un potente stabilizzatore dell'impiego, in particolare per i giovani che operano così una ottima transizione al mondo del lavoro. A tutto questo, tramite la divisione del lavoro descritta sopra, si aggiunge l'impatto della soprappiù sociale proveniente da un buona gestione della dialettica micro e macro-economica, come pure dell'inserzione della Formazione sociale nell'Economia Capitalista Mondiale. Perciò, le tendenze alla distruzione della pubblica amministrazione e dei beni pubblici teorizzata dalle Public policy schools entrano chiaramente in una logica filosemita nietzschiana del tutto contraria a quella delle logica dell'efficienza socio-economica della Formazione sociale. Come descritto nel mio terzo Libro, Keynésianisme, Marxisme, Stabilité Economique et Croissance, in particolare nelle Nota ** e Nota 15 su John Galbraith (tradotte in Italiano nella sessione Italia del mio sito, vedi i Brani scelti) la borghesia filosemita nietzschiana transnazionale aversa alla spartizione dei guadagni secolari di produttività ottenuti tramite la riduzione dell'orario del lavoro e l'incremento del salario differitoe del reddito globale nettodei focolari, preferisce implementare, con la forza e la demagogia, un ritorno ad una società di nuova schiavitù e di nuova domesticità. Per riuscirsi deve perciò distruggere i Stati nazionali luoghi della sovranità del popolo in favore della private global governancemaestra del nuovo Impero putativo. (In Italia, con in nostri spinelliani trasversali ci sono quasi già ...) Si cerca dunque tutto ad un botto, ma invano, di rovesciare tanto Schumpeter quanto Paul Lafargue e Emile Pacault, cioè Marx ... roba da finire come Nietzsche pietosamente appeso al colo del cavallo ferito. Per sfortuna non sono sempre i colpevoli che pagano i danni socio-economici causati, compresi le deportazioni silenziose (eg. Palestina) e le sanguinosi come inutili crociate interne ed esterne ... Dato che questi balordi pitre si permettono di propagandare che i comunisti erano peggio dei nazifascisti, viene da dire: La prossima volta, senza Stalin e senza i comunisti!

E facile mostrare che tutte le deregolamentazioni e privatizzazioni (due esempi per tutti, il trasporto aereo o l'acqua) hanno portato a sacrificare prima il servizi offerti alle zone periferiche, poi la qualità dei servizi, ed infine la sicurezza. (Vedi la critica dei pseudo-modelli californiani o british-columbiani nel saggio Biens publics: sauvons ce qui peut encore être sauvé nella seconda parte di Tous ensemble. Va sottolineato che i beni pubblici offerti da imprese pubbliche, nel senso di statale o parastatali, sono l'antitesi dei beni comuniconcepiti come beni di utilità generale offerte da imprese private ma finanziati con soldi pubblici, compreso le spese infrastrutturali a lungo termine incompatibili con il Roe in cambio di un magro regolamento pubblico. La nozione rinnegata di bene comunenacque all'interno di un UNESCO traumatizzato dal ritiro americano (questo implicando la drammatica perdita della quota massima di finanziamento dell'organismo onusiano) e dalle pressioni reaganiane. No serve poi intrattenere la confusione semantica così cara al centro-sinistra blairista, soprattutto in Italia; di fatti uno come Riccardo Petrella, attirato in Puglia perché appoggiato da vari pitre del suo stesso tipo, fu rapidamente confrontato con il fatto che la gente capiva in buona fede i termini ''beni comuni'' come servizi pubblici offerti dal settore pubblico a tutti i livelli, anche al livello municipale, e non dal settore privato.)

Questo perché un servizio di necessità pubblica non può razionalmente essere soggetto alla logica del capitale a corto-termine, soprattutto quando questo viene reso hyper-speculativo su scala mondiale, tramite gli equity funds, il Roe e via dicendo. Oggi purtroppo la borghesia ha adottato nuovamente un agenda filo-semita nietzschiano. La sua logica intima è quella già delucidata nella Nota 15 sopra John Galbraith nel mio terzo Libro (vedi la sessione Livres/Books nel mio sito http://la-commune-paraclet.com oppure nella tradizione italiana nella Sessione Italia.) In riassunto, l'aumento secolare della produttività libera molto più forza di lavoro di quanto il sistema incluso i settori intermedie sia capace di assorbire. Non serve dividere ogni impiego permanente in due o tre impieghi precari, come fu fatto nei Stati Uniti e poi imitato in ogni angolo del pianeta anche se con molto più mimetismo in Italia (Legge Biagi ecc.). Sempre secondo lo stesso modello, non serve illudersi del potenziale dell'economia dei servizi almeno quando questa non regge sopra l'economia reale. Ad esempio l'industria dei derivati finanziari (quelli 56 trilioni di CDS e 596 trilioni di OTC che secondo la BRI reggono sopra solo 15 trilioni di contratti reali ...)

Senza la riduzione legale del tempo di lavoro con la medesima paga iniziale ma con un ''reddito globale netto'' crescente (a misura che i servizi sociali vengono sviluppati), senza dunque una migliore ridistribuzione della sovrappiù sociale tra salario e capitale, questa tendenza secolare diventa disastrosa. Implica la dequalificazione della massa dei lavoratori e la sovra-qualifica di una minoranza, rendendo finalmente inutile attorno a 80 % della forza di lavoro attiva. Si dimostra così che questo nuovo e spietato malthusianismo segnale l'incapacità del modo di produzione capitalista di conciliare lo sviluppo della produttività (progresso ed efficienza) con lo sviluppo dei rapporti di produzioni tra cittadini, uguali tra di loro. L'Agenda filosemita nietzschiano conclude allora alla necessità di un ritornosoft al fascismo, cioè ad una società di nuova domesticità e di nuova schiavitù. Ovviamente una tale società non ha più bisogno di una efficace Pubblica Amministrazione fondata sopra una selezione scolastica. Questa viene rimpiazzata con quella difesa in Così parlava Zaratustra ... e praticata con scelleratezza massima a Salò come fu denunciato ad esempio da Pier Paolo

Pasolini nel film omonimo. Come già analizzato nel mio terzo libro, questo agenda filosemita nietzschiano intende aprire tutto il dominio nazionale o sopranazionale dunque responsabile democraticamente verso la sovranità popolare della Pubblica Amministrazione all'egemonia della cosiddetta global private governancein un ritorno transnazionale verso le vecchie Case mercantiliste. Per fine questo odio di caste auto-elette per lo Stato-Nazione ha portato alla privatizzazione degli eserciti nazionali al profitto di bande mercenarie filosemite nietzschiane. In questo modo, un banchiere Ebreo-Americano come Royatyn può fare apertamente l'apologia nel Le Monde e nel Le Monde diplomatique della flat taxa profitto delle grandi imprese transnazionali incaricate di provvedere alla Sicurezza sociale dei loro impiegati e commensali (il 20 % della forza di lavoro attiva, più i loro domestici?) Queste sciocchezze, affiancate dalla teoria e dalla pratica vuota della interdipendenza asimmetrica, non hanno solo rovinato i Stati Uniti e quei Stati che vollero emulare il loro modello in meno di due decenni, ma vengono oggi concretamente confutati dalla crisi finanziaria-economica che, al contrario di quello che viene applicato con le politiche di austerity, spinge ad interventi nazionali massicci ed a riforme pensate nel senso di una maggiore ricomposizione dei servici sociali pubblici e di accesso gratuito. Non per niente, la riforma emblematica del mandato del presidente Obama è quella della Sanità malgrado sia già fortemente compromessa prima di nascere. Ma un Brunetta sarà sempre un Brunetta, cioè un traduttore di terza classe di direttive formulate altrove!

Rimane da capire come si calcola la produttività microeconomicadi una burocrazia pubblica. Chi capisce il senso del concetto di sovrappiù sociale e della distinzione tra produttività e competitività della Formazione sociale considerata non ha bisogno di grandi sviluppi. Basta dire che una amministrazione pubblica o privata produce un servizio che entra nel processo di produzione immediato e nel processo di riproduzione. Il criterio di misura della produttività o dell'efficienza della burocrazia risiede prima nella soddisfazione dei cittadini-utenti o delle persone legali non fisiche (aziende, associazioni ecc). Dal punto di vista interno questa efficienza implica un buono sistema manageriale idoneo alla funzione che si deve assumere nell'interesse generale (organizzazione del lavoro, come pure dello spazio fisico necessario per canalizzare il flusso degli utenti ecc...) Le procedure sono spesso standardizzate (SOP o Standard Operating Procedures) e dunque soggetti ad una taylorizzazione ed automazione soprattutto quando questo contribuisce a diminuire le liste di attesa, incrementando la trasparenza sistematica e la soddisfazione degli utenti. (Ad esempio, il governo Prodi aveva iniziato una procedura di semplificazioni per il rilascio dei documenti; un dei nodo più ardui rimane l'accertamento ai vari livelli burocratici per le aziende e le associazioni, destinato a diventare un vero inferno con il federalismo fiscale visto che, a parte le piccolissime aziende del Balordo Modello del Nord-Est, le aziende più efficaci debbono per forza muoversi al livello nazionale e multinazionale.)

Alla fine dei conti una burocrazia sarà efficace se la sua organizzazione della parte che li tocca della sovrappiù sociale necessariamente al livello nazionale e a volte sopranazionale potenzia la produttività microeconomica e la competitività macro-economica della Formazione sociale rispetto alle altre FS concorrenti. Spesso questo significa l'incremento funzionale della pubblica amministrazione invece del suo snellimento reaganiano mercantile. In effetti, nel quadro dei cicli della Riduzione del Tempo Legale del Lavoro, dentro questi parametri dati dal PIL ma correlati alla produttività e alla competitività, la PA deve servire per assorbire e formare una parte della forza di lavoro specialmente con gli impieghi per i giovani. In questo modo si preserva pure la domanda di consumo interna dei focolari e la fiscalità diretta (tasse) e indiretta (contributi) necessaria ad ogni Formazione sociale nazionale che vuole conservare la possibilità di intervenire nell'economia in modo indicativo e incitativi. Altrimenti si è invariabilmente forzato di intervenire in catastrofe in tempo di crisi proprio in un contesto nel quale lo Stato si è già eviscerato al profitto di un settore privato spesso ladrone e transnazionalizzato (incluso i paradisi fiscali!) Per finire notiamo che la public policy neoliberale reaganiana è totalmente incompatibile con i principi cardini della nostra Costituzione partigiana.

Paul De Marco

Copyright © La Commune, Nov 26, 2012-Jan 29, 2013

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SYNOPSIS OF MARXIST POLITICAL ECONOMY

(Draft)

(1) Relations of exploitation; 2) Relations of distribution; 3) Juridical relations (namely class struggles and class alliances); 4) (History of political economy, Book IV of Capital forgotten by many editors.)

1) Relations of exploitation

a) Use value and exchange value;

b) The Marxist function of production;

c) The forms of surplus value namely absolute surplus value; relative surplus value; productivity; and finally social surplus value.

2) Relations of distribution: Simple Reproduction (SR) and Enlarged Reproduction (ER)

Reserve Army, inflations, deflation and rate of change.

SR-ER, individual and intermediary functions of production at the distribution level linking the cycles of capital to the functions of production at the production level thus forming the basic SR-ER systems.

Capital cycles, credit, banking and financial system

International financial regime

The autonomisation of money-capital or speculation as the dominant system

Let us consider the rate of change and the insertion of the Social Formations (SF) within the World Economy.

For a new definition of the anti-dumping capable to protect the three forms of household revenue.

3) Juridical relationships, in a strict and wider sense (redistribution, redistribution epochs, class alliances and class struggles)

The State and the bureaucracy

Let us examine how « v » and « pv » are structured in practice.

The Ideal would be a libertarian, free-thinking communism.

4) History of political economy

(Compare the Marxist SR with the system imagined by Tugan-Baranovsky/Bortkiewicz.)

Appendix on Supply and Demand: Excerpt from « Hi-Ha! The donkish visual hallucinations of bourgeois economists: » Supply and Demand reintegrated in the SR-ER framework.

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Addenda :

1 ) For Soviet planning and the hug damages caused to so-called real socialism by Liberman and his ilks, see : « MARGINALIST SOCIALISM OR HOW TO CHAIN ONESELF IN THE CAPITALIST CAVERN », December 29 and 30, 2014/ January 5, 2015 in the International Political Economy of the site www.la-commune-paraclet.com ; see also the essays in the Section For Cuban socialism in the same site site.

2 ) Pour la démocratie socialiste, voir le chapitre « For Cuban socialism » dans Pour Marx, contre le nihilisme, Section Livres-Books dans le site www.la-commune-paraclet.com , ainsi que la Section du même nom dans ce même site.

3 ) For speculation see the Livre-Book III de 2005, in the Livres-Books Section of www.la-commune-paraclet.com (use the term « montage » with the Search function ), the essays « Credit without collateral » and « The Treasury and the FED B, in the International Political Economy Section , idem. For the crucial

distinction between profit, classical interest and speculative interest see also « Public debt and Marginalist shibboleths ; Italys case, March 3, 2017 Bin http://rivincitasociale.altervista.org/public-debt-and-marginalist-shibboleths-italys-case-march-3-2017/

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Relations of exploitation.

Use value and exchange value.

Every exchangeable good or service or commodity has a use value (uv) and an exchange value (ev). This remains true for human labor which can be bought and sold on the market like any other commodity. However, contrary to all the other exchangeable commodities, human labor power is the only element which can simultaneously transfer these two characteristics to the products of its activity. Any machine or process, including those founded on Artificial Intelligence, is always dependant on a prior expansion of labor power, both manual and intellectual.

However, the exchange between commodities must rest on their commensurability. In order to establish a relation of equality or inequality between commodities of an identical nature, and above all of a different nature, one needs per force a common standard of measure. Any commodity can serve as a mean of exchange, or if you will, of barter, even a sack of potatoes; but it would only be a singular equivalent. Historically, less cumbersome means of exchange were chosen. Money shells, gold, silver, paper currency etc can only embody a general equivalent which in its turn needs to be evaluated in terms of a universal equivalent.

The exchange value of human labor power, and only it, can scientifically pretend to the status of universal equivalent. It can achieve this comparing feat without adding dissimilar terms « apples and bananas » so to speak because it can objectively be measured in terms of what it actually costs socially to reproduce it according to the epochs of the mode of production in which it is expanded. The exchange value of human labor power is thus the only universal standard which is capable to make all the different commodities commensurable among themselves, and thus exchangeable in practice in the various markets (silent barter, emporium, fairs, markets, stocks exchanges etc.). This happens according to the dominant form of exchange, exchange itself having become capitalist exchange only since the last few centuries.

Indeed, the exchange value of human labor power is the only standard which can permit the scientific establishment of a universal standard of measurement thus making it possible to account for the genesis of profit. One must take great care not to confuse the exchange value of « human labor power » and the so-called « value of labor », a serious confusion made by Classical Political Economy and which the impeccable logician Marx denounced as a « yellow syllogism ». In effect, suppose that human labor were paid the equivalent of the full amount of its effort expanded in production. In that case, once you deduct the costs of circulating capital crystallized in the products used during that production process, it would be strictly impossible to explain the genesis of profit: The commodity would be strictly equal to the costs of the inputs including that of labor power.

Adam Smith was the first to note this contradiction in his main book; only Marx showed the logical acumen necessary to solve this theoretical enigma. Of course, he did so thanks to his development of the dual aspect of all commodities, including that of the human labor power considered as a commodity, while underlining the distinctive trait of human labor, that which consists in being simultaneously past or crystallized labor power and living labor. As crystallized labor it is paid like any other production input exactly what it costs socially to reproduce it. This is the salary. As living labor it reproduces the salary plus a surplus which is pocketed as profit by the owner of the Means of production. Assume that the worker toils for 8 hours and that he can renew the basket of commodities socially necessary to reproduce himself in 4 hours, then the capitalist as the owner of the Means of production will pocket the product of the other 4 hours of human labor expanded in the production process: These 4 hours constitute the « surplus value » which is the base of profit. Marx rightly calls this a « surplus labor » because it is expanded over and above the 4 hours necessary to reproduce the worker's salary.

This surplus labor is thus the concrete support in terms of use value of the surplus value given in exchange value terms as profit. The conclusion is straightforward and irrefutable: Profit is the result of human labor expanded in the production process and should thus rightfully belong to it, taking due account, of course, of the necessary rate of re-investment on a simple or enlarged scale, such as the case may be, to keep the process going. Capitalist profit is thus the fruit of an expropriation and of an exploitative process exerted over the worker, whoever s/he may be. It is a process which concretely leads to his/her alienation simply because s/he is thus separated from the fruit of his/her own labor even when this estrangement is mediatised by the social division of labor.

b) The Marxist function of production

It is written thus:

        c + v + pv = M

Constant capital is noted as « c »; « v » is variable capital, « pv » is surplus value and « M » is the product of this function of production.

It constitutes the microeconomic core of the whole edifice of economic analysis; it naturally leads to macroeconomic (Simple and Enlarged Reproduction) reflecting it at the same time.

The function of production is given empirically: We first simply calculate what each input costs to initiate production and what profit this produces. This is also the case when entirely new products are introduced: Here too one evaluates the costs of the inputs and the surplus value derived according to the specific productivity displayed for this production. Thus the Marxist function of production is very powerful and versatile; it holds true as much for the enterprise as for the industry or the sector (and, of course it equally holds for the « social function of production » summarizing the global productive process in a given Social Formation.) These empirical data however are given as epiphenomena, that is to say as prices. However, they only mask the real axis around which they oscillate, namely the exchange value. This is because competition, especially intended as capital mobility, must fatally equalise these oscillations necessarily tending toward the exchange value. To phrase if differently: We can empirically take the empirical data of the Marxist function of production for the duration of the whole reproduction cycle and this would correspond to the exchange value as the short term price oscillations would self-eliminate due to competition as Marx already pointed out in his Parisian Manuscript of 1844. A mainstream hence strictly speaking false Marginalist approximation would be given in terms of constant prices.

Here « c » means constant capital or circulating capital («used up» capital as Paul Sweezy called it); in includes the raw materials, the machines and everything necessary to the immediate process of production, including the internal bureaucracy which only represents the internal expression of the social division of labor.

Similarly « v » represents variable capital as it is expressed by the salary or better still by the revenue of the households. It is said to be variable because it depends on the structural conditions imposed on labor. These may be technical, class struggles or « civilizational » norms, namely what Marx calls the « moral conditions ». They define the division between labor power and surplus value, in other words the relation of exploitation noted pv/v. Human labor power is the unique factor of production which is capable to create these exchange values commensurable between themselves since it alone can pretend to be the universal equivalent. As such the variable capital is not only dual as any other commodity, it also is the unique commodity which can simultaneously take the forms of crystallised and living labor. Thus, the salary or wage, which depends on the specific epoch in which it is expanded, quantifies in monetary terms (ev) the labor power expanded during the production process: It corresponds to the « labor power socially necessary to reproduce it » because it allows the worker to reproduce his labor power within his household, taking due account of the fact that the worker always offers in advance his possibility to work (uv), the salary or wage always being paid after the actual work has been expanded.

The surplus value (pv) only expresses a simple truth: No commodity can ever be sold at its cost of production (c + v) for long without leading to the ruin of the concerned capitalist. The same holds true for primitive societies or in the animal realm. Production always implies a surplus and an advance made by the human labor power. When two different commodities are sold at the same price, say A = B = 100 euros, this means two things. First, from the point of view of exchange value (ev), the process of production transfers to the commodity A the ev contained in (c + v) to which is added a profit pv. In other words, the exchange value of A (or of B) is equal to the sum of the exchange value of the components of the respective function of production, including surplus value. Second, the whole question consists in knowing whence does this increment pv comes from without it breaking the equality already noted between A and B. Of course, we know that it does not help analytically or otherwise to pretend that pv is just materializing at that precise level by chance as a reward for risk taking (which is exactly the pretense and wishful thinking of the owners of the Means of production.)

The capitalist market, like any other form of exchange, cannot be governed, at least not without serious instability, by arbitrary mark-up prices (not even by Thomas Aquina's « just » or « administrative » prices.) In fact, competition itself soon dissipates these kind of wishful thinking! Everything becomes clear, however, as soon as we take due account of the advance made by the worker in terms of use value (uv) and of exchange value (ev). Human labor power is first of all crystallized labor power in term of exchange value or price (the salary) according to what it costs socially to reproduce it. The exchange value of A is thus equal to the exchange value of c + v ... plus the exchange value of pv, this last begging for a clarification of its own genesis. This mystery is explained by the use value inherent to the human labor power relative to all other commodities: In effect, only human labor power is capable to confer simultaneously, to a commodity churned out by the production process, a new use value (« façon » or tradesmanship) as well as a new exchange value compatible with the commensurability of all commodities between themselves. Chance, or subjective factors do not enter into play and under its epiphenomenal oscillations (prices) the equality is a real and objective economic equality. Thus, human labor power simultaneously appears as past or crystallised labor the exchange value of which is entirely transferred to the produced commodity (the equivalent of the salary) and as living labor: As we have seen above, in the form of living labor it is capable to expand itself over and above what it costs socially to reproduce itself. If it takes 8 hours to produce A and 4 hours to produce the equivalent of the salary, the fruit of the remaining 4 hours of work represent a surplus labor in terms of use value and a surplus value in terms of exchange value.

Therefore, for A to equal B, their respective function of production must produce the same exchange value whatever their internal fundamental ratios. It follows that if A is different from B, this difference sends us back to a different function of production but this difference can still be strictly valued in exchange value terms: The Marxist function of production based on the Labor theory of value alone makes this commensurability possible, from the inside so to speak.

The surplus labor over v (namely pv/v) defines the rate of exploitation because the surplus labor produced by the worker is being pocketed by the owner of the Means of production. In terms of surplus value, that is to say in terms of exchange value, pv over to total cost of production (c + v) defined the rate of profit and is thus written as pv/(c+v)

Immobilized capital and depreciation. Looking at constant capital we will initially consider the function of production only in its part which corresponds to circulating capital, termed by Paul Sweezy as « used-up » capital, namely that of constant capital transferred to the product. Supplementary considerations concerning fixed or immobilized capital, as well as depreciation, does not concern us at this early stage but will be dealt with when we will discuss credit and the circuits or cycles of capital embodied in reproduction.

The fundamental ratios of the function of production.

The function of production allows us to conceptualize the most important economical ratios. Of course, they are organically linked to each others. Let us consider the function of production, namely:

c + v + pv = M

Here v/C (where C = c +v) represents the rate of organic composition of capital, that is to say the ratio of living labor in the numerator over passed labor crystallized in constant capital and in variable capital used-up in actual production in the dividend.

Similarly pv/v represents the rate of surplus value or the rate of exploitation of labor. These two main rates are intimately linked through the dual aspect of the labor power v. To simplify without betraying the matter at hand, let us assume that C = 100. The rate pv/v will then allow us to derive the value of M. Consequently, if M remains the same in exchange value terms, it will arithmetically follow that the modification of the organic composition of capital will necessarily exert an inversely proportional effect on the rate of surplus value. (If you start with a fixed sum divided in two parts and then changed this division without changing the initial sum, both parts must move in a proportionally inverse amount: Arghiri Emanuel said beautifully that mathematics are the shorthand of logic, and for this reason the most complex mathematics cannot argue against arithmetical and logical evidences, unless they are used to mask a philosemite Nietzschean obscurantist and socially harmful narrative. The more so because this concerns the very center of modern economics, namely the law of productivity.)

The rate of surplus value allows us to determine the rate of profit, which is written pv/(c+v), in other words the surplus value over the sum of the constant and variable capital used-up in the actual production.

c ) The forms of surplus value, namely absolute surplus value; relative surplus value; productivity and social surplus value.

Absolute surplus value. To apprehend absolute surplus value it suffices to write the function of production and to change the variable time or duration of work, keeping all the other variables constant: As Marx wrote, analysis is the microscope of thought. In so doing one will have to proportionally increase the inputs necessary for the production of the goods produced in the same conditions but during a longer period. The increase will manifest itself in absolute terms but naturally when we re-write the function of production on the basis C = (c + v) = 100, we notice that nothing has changed from the structural point of view. In absolute value terms, of course, more products will be churned out during a longer working process. This will provoke some adjustments through the mobility of capital and labor, or else it will trigger legal recourses for unfair competition and violation of the norms; these usually provide the legal framework regulating the use of overtime.

A sustained recourse to absolute surplus value within the Capitalist Mode of Production (CMP) would amount to a deleterious « work stupid » attitude, a ruinous dead-end choice in a Mode based on the constant increase of real productivity. That being said, absolute surplus value was the characteristic surplus value extraction form for all pre-capitalist modes of production. These were characterized by a slowly evolving technical process above all in the agricultural sector that was preponderant at the time, so that the sole variable on which one could act in normal time was the duration of work itself. Nevertheless, this led to extremely important civilization conquests albeit generally taken for granted. On the social side of it, these included for instance, the religious holidays exempted from work, the privileges of the corporations which established the prevailing norms for Arts and Tradesmanship. Thus slowly the legal status of the land workers passed from slavery to serfdom and later to sharecropping and other form of land-tenure.(See Marc Bloch and the Ecole des Annales and above all Marx himself on the subject of land rent and of comparative modes of production.)

Relative surplus value rests on transient intensity, strictly determined by changing circumstances, all other variables being held constant. Here too no structural modifications will be witnessed especially as this fluctuating form of extraction of surplus value cannot establish itself as the prevailing norm. We are talking here about an unsustainable accelerated pace of work, in particular on the Taylorised lines of production - or else are meant the occasional, if recurrent, accelerated paces of work that characterized the Soviet industrial relations when it was necessary to churn out the numbers in extremis to respect the objectives of the Plan (and to save the skin of those comrades managers who happened to be less intrusive ...)

Productivity is the specific form of extraction of surplus value on which the CMP rests. This is because the capitalist mode of production incessantly needs to develop the technical know-how applied to the production process and thus to incessantly deepen the organic composition of capital. While pre-capitalist modes of production hoarded wealth, the CMP rests on the constant accumulation of capital: Capital ceases to exist as soon as it cannot produce more capital through the increased exploitation of the workers. Thus with an identical duration of work, the deepening of the organic composition of capital causes the production of a proportionately greater quantity of products of a given type (or of a different but similar product characterized by a great elasticity), making them proportionately cheaper and thus more «competitive ».

It might be useful to illustrate things here, if only to highlight the potency of the Marxist function of production; indeed, it allows us to simultaneously account for value or prices as well as for the quantity produced and for the hours of work, thus the number of workers in flesh and bones actually employed. This is something which the Marginalist function of production is utterly incapable to achieve simply because it does rest on an amputated understanding of exchange value taken in total abstraction from its unavoidable support in use value, particularly for the special commodity embodying human labor as a factor of production. Contrary to what Marginalists like to pretend, human labor is not a factor of production like any other, its « life » and needs cannot be reduced to the life and needs of a machine, not even of a sophisticated robot.

As we know, Marginalism understands productivity uniquely as a function of economy of scale, governed by increasing or decreasing returns, a pure shibboleth. Indeed, at best, economy of scale sends us back to the successive practical approximations that take place when the process of production is initiated (or, if one prefers and changes the perception angle, to the long term equilibrium of the supply and demand curves established according to sociologically given sets of information.) The question posed by the owner of the Means of production is a pragmatic one: To produce M, what is the optimal objective amount of inputs that I need to use? This is done in order to arrive at the optimal function of production within the framework of current norms. As we know these are often legalized in their ex ante technical and managerial Taylorist forms, contrary to the earlier epoch of classical liberalism or wild competition which was groping to establish them pin factory -, or, on the contrary, to present day neoliberalism, which trys to blur the structuring impact of these norms.

When such equilibrium is reached, we are at cruising speed: Such a pertinent analysis! (pace Piero Sraffa: see his perspicacious critiques of increasing and decreasing returns dating back to the Twenties, in http://cruel.org/econthought/texts/sraffa/sraffa25.pdf and in http://laprimaradice.myblog.it/media/00/00/275278622.pdf ) . In brief, we go from short-term supply and demand curves given in prices to long-term economies of scale still stabilized according to prices, an incredible windmill worthy of awakened pitres, who are able to go endlessly round and round without blinders ... Luckily Böhm-Bawerk had drawn attention on the ex ante/post hoc problem: But, as a matter of fact, it raises lethal problems for Marginalism destroying all its versions « roots and branchs » and certainly not, as he liked to pretend, to the Marxist Law of Value exposed in Marx's Capital. Indeed, contrary to the Equations of Simple and Enlarged Reproduction which we will see later, Marginalism is ontologically unable to link micro and macro-economics. An added proof can be adduced by the fact that this type of specifically bourgeois analysis is obliged to treat the essential, namely technology, as an exogenous factor simply because it does not have any concept of organic composition of capital. This is particularly the case for the pretentious and consciously falsifying Robert Solow in his nobelized article of 1956.

Let us consider the following example (€=euro; p=product; h=hour):

c:80€                 v:20€                 pv:20€                 = M1:120€

80p/80h                 20p/20h                 20p/20h                 = 120p/120h

If productivity deepens 1/4 in SI; we would have:

c:84€                 v:16€                 pv:20€                 = M1:120€

105p/84h                 20p/16h                 25p/20h                 = 150p/120h

Note what happens here in v from the point of view of the use value (vu) and of the exchange value (ve): This contains the very heart of the scientific theory of productivity. This is because in terms of (vu) we have a labor power identical before and after the modification of the productivity but embodied in less physical workers who are « freed » by the deepening of the organic composition of capital, which goes from v/C = 0,2 to v/C= 0,16. Yet, the exchange value of the labor power remains the same although the ratio pv/v increases by ¼ as well as the ratio of M'/M. This is why Marx hailed the revolutionary historical aspect of the CMP, noting however that it also would transform it into its own grave digger as soon as the coherence between the relations of production and the productive forces would break. Fatally the time comes when even the introduction of intermediary sectors can no longer absorb the workers who are constantly freed up by increased productivity including in these very same sectors. A time will even eventually come when the reduction of the legal working day will no longer do the trick, forcing the CMP to be replaced by a more efficient mode, namely the Socialist Mode of Production (SMP). This last does rest on a superior form of surplus value extraction, namely what I called following Marx, « social surplus value ».

Note an inescapable consequence induced by capitalist productivity properly understood: The rate of profit remains unchanged; however the volume of profit for the more productive enterprise increases proportionally because it will be able to win a greater part of existing markets with its cheaper but identical products. Indeed, this constitutes the basis of the two fundamental laws of motion of the CMP: Centralization and concentration of capital. In a similar fashion it explains the colonial or imperialist push, which is part of an attempt to lift the obstacle facing the accumulation process when the internal market is saturated and new forms of production are not yet available.

The social surplus value expresses a straightforward idea: The surplus value pv being produced by v, it should therefore be returned to v as a right. However, even the SMP must constantly enlarge the scale of reproduction in order to better satisfy individual and social needs, while absorbing the labor force constantly freed up by the constant tendency to increase productivity through the recurrent legal reduction of the working time (RWT).

It follows that one must determine the optimal sharing between v and pv. Classical liberalism or wild competition reduces v to its most simple expression, the individual capitalist salary thus forcing children and seniors to work, even in the mines. Advanced capitalist societies eventually learned to go from the bare « individual capitalist salary » to the « global net revenue» of the households. This last includes the transfers to households in the form of access to social programs, which are nevertheless always controlled by capital; nonetheless they do represent a social conquest as much as the institutionalization of a part of the worker's savings the payroll social contributions - which acts as an anti-cyclical social stabilizer. Similarly, the modern fiscal structure does socialize a part of the surplus value pocketed before by the individual capitalists, thus allowing for the intervention of the State in the economy for the benefit of the whole capitalist class (the communism of the capitalists as Marx called it) and, in an ancillary fashion, for the benefit of society as a whole if only to satisfy political legitimization and ideological needs. This increased socialisation, one which will be brought to its logical conclusion by Socialism, does constitute what I call « social surplus value ».

As Keynesians had started to understand, this is a crucial under-lying tendency because even bourgeois macro-economic regulation (say for infrastructures, university research and R & D, public pension and health-care regimes) greatly favours micro-economic productivity increases. We are dealing here with a heavy fact, yet one which nevertheless totally escapes the Marginalists' comprehension, and even more that of the Monetarists who are wedded to the supply-side economic policy and its regressive public policy: Their shaky ontology puts this heavy fact beyond the reach of their weak ideological radars. Facts nonetheless speak for themselves. We will list some of them:

a) In the end, the social assistance programs created case by case by Hoover, the champion of « rugged individualism» (already then!) did cost much more than the albeit partial but institutionalized Social Security created under F.D. Roosevelt. This remark has a general value. It suffices to recall that the American private health-care system wastes more than 16 % of GDP annually but leaves millions of persons without any coverage. For its part, the European system, still public but now unfortunately sabotaged from within, only costs around 10 to 11 % of GDP on average. And the same can be said about pension regimes.

b) Thus GM was recently salvaged from bankruptcy by the massive intervention of the federal State. Without this aid it would have collapsed under the sheer weight of the accumulated but unsustainable in-house pension regime. This is a problem that is generalized to the whole American industry, one which in and by itself explains much of the current deindustrialization process.

c) The privatization of state-owned enterprises successfully destroyed the strong unions that represented the workers. This transformed these citizens from entitled beneficiaries into mere customers who are worthy of consideration only when they are solvent. This transformation takes place at a time when the same privatization process greatly increases the tendency to generalize the precariousness of the labor force, and when the coverage and the quality of the services offered diminish. This is even more the case in the periphery, a trend which aggravates the regional disparities and the injustices already experienced. Meanwhile, after an initial decrease the prices of the privatized services quickly go up again and their universality and quality deteriorate.

d) As demonstrated in my Tous ensemble, the necessary infrastructures are neglected by short-term private capital and by revenue-strapped neoliberal States. This concerns, in particular, those infrastructures needed to answer the needs created by climate change, although it has nothing to do with anthropogenic effects. (The argument is made in my Défi aux ecologists in the Section Commentaires d'actualité of this same site.) Yet, these are not taken into consideration by private capital unless heavily subsidized. This is because it is subject to a short-term profit horizon, and for this reason it is not able to mobilize the considerable funds, which would otherwise be necessary to accomplish the task, simply because the costs could not be absorbed in the medium and long terms.

Moreover, when one confuses climate and temperature, as well as local and global levels, it proves surprisingly easy to blame climate warming for disasters directly induced by the privatization of public, state-owned enterprises, and by the Monetarist destruction of the fiscal base available to the State including at the local levels . And yet this fiscal base is necessary, among other things, to finance public infrastructures. Thus the States which are being accused to be « interventionist States » are forcefully transformed in so-called « minimum States » despite the fact that « tax expenditures » together with many other kinds of fiscal exonerations and credits for the sole benefit of capital end up costing much, much more than the old direct subventions ever did. At least these subventions were answering what Paul Baran so aptly termed the « longer view » of capital, instead of feeding uniquely the insatiable and destructive appetite of big transnational firms, which are now trying to impose their crusading imperial model known as « private global governance »; and they attempt to do so even at the domestic level, although it is frontally antithetical to the existence of the Nation-State.

These deleterious tendencies go a long way to explain the disastrous pitreries of the so-called Californian model (despite Enron!) or its British-Colombian counterpart. This last, from the top of its derisory righteousness, would even pretend that the State must pay for the long-term construction costs in order to later transfer the completed infrastructures at a low cost to the private sector, which would manage them according to the logic of market prices since, as we are told, only a free market is truly efficient. Of course, this amounts to walking on one's head, sometng barely surprising since we are dealing here with the Frazer Institute! Such emblematic, if laughable, example can be multiplied at will.

As we will see in Section B, the completion of this socialisation of surplus value will be the result of socialist planning. However, we have already emphasised the fact that the CMP itself is obliged to make recourse to social surplus value. In truth, it does not do so to humanize its own processes but rather, as was noted by Keynes, in an attempt to contain its own « animal spirits » and to escape its own contradictions. Capitalism is perennially faced by its fundamental contradiction that pits capitalist overproduction against the under-consumption of the masses, albeit it gets cyclically more difficult to manage than usual: Lenin recalled that, with the Capitalist Mode of Production, production is social while accumulation is private, thus turning the system into a very unstable one. We will see later how this actually influences the « structure of v » and therefore social demand.

B) Relations of distribution: Simple Reproduction (SR) and Enlarged Reproduction (ER)

The optimal allocation of resources destined to the production of new resources forms the very heart of economic science. Consequently, we need to analyse the relations of distribution. The Simple Reproduction (SR) and the Enlarged Reproduction (ER) are the sole means available to reach the « general equilibrium » and at the same time to maintain the necessary coherence between micro and macro-economics. All versions of bourgeois economics are utterly unable to do so. There clearly is some satisfaction in noting that this evidence turns against itself the so-called lethal critique wrongly offered by Böhm-Bawerk against Marx. In effect, the Marxist theory of productivity inversely proportional ratios disposes in one single shot of many fallacious reasonings. This includes of course those concerning the presumed contradiction, which was said to exist between the value schema and the schema given in prices of production, and those concerning the so-called tendency of the rate of profit to fall. The latter is a pure idiocy which confuses rate and volumes and moreover one which does not even notice that in the drafts chosen by others to form Book III of Capital Marx himself also discussed counter-tendencies ... as well as land rent ...

We can recompose the whole Reproduction schema with only two main sectors: Sector I, the sector of the Means of production, and Sector II that of the Means of consumption. Each of these two sectors will be represented by its own aggregate Marxist function of production. It goes without saying that in a like manner we will be able to decompose each of these two main sectors in their constituting sub-sectors, branches and industries, and even specific enterprises. Moreover, by the sheer potency of the Marxist function of production, which remains coherent in terms of value (and prices) as well as in terms of quantities, we will be able to statistically recompose the filières, thus taking into consideration the polyvalence of specific enterprises and industries.

To easy our task we proceed by reducing each of these sectors taken empirically on a basis C = 100. Then we apply the Equations of Reproduction enunciated by Marx and formalized by Bukharin, because they allow us to expose the proportions that need to be respected between sectors and thus the systemic equilibrium; this is done by simultaneously respecting the cycles of capital and by insuring the coherence of the implied exchanges.

The Equations of Simple Reproduction (SR) form a stable system which reproduces itself on an identical scale. On its basis, we will then be able to analyse the conditions that prevail in an Enlarged Reproduction (ER) framework. On the basis of the aggregate function of production for S I and S II, they are as follow :

SI : c1(80) + v1(20) + pv1(20) = M1(120 euros for 120 Mp)

SII : c2(40) + v2(10) + pv2(10) = M2 (60 euros for 60 Cn)

The Equations for SR are the following:

c2 = (v1 + pv1)

M1 = (c1 + c2)

M2 = (v1+ pv1) + (v2 + pv2)

Applying the proportionally inverse relations which oversee the simultaneous evolution of the organic composition of capital (v/C) and of the rate of exploitation pv/v (the modification of pv/v giving us the percentage of increase or decrease of productivity), we can modify productivity without affecting in any way, shape or form, the coherence in value, price and quantity terms or that of the SR equilibrium system. However, in that case, there will be what I called a SR Effect due to the induced contraction in the sector that is not internally affected by the change in productivity, and due to the amount of « liberated labor », which forms the Reserve Army of the proletariat. We will see later that this SR Effect is of crucial importance to the understanding of the Marxist quantitative theory of money.

SR                                                                 SR + Reserve army (pv1'/v1'= 1,25; SII unchanged)

80 + 20 + 20 = 120 (120Mp)                         84 + 16 + 20 = 120 (150Mp)

40 + 10 + 10 = 60 (60Cn)                         36 + 9 + 9 = 54 (54Cn)

-----------------------                                 -------------------------------

        30                                                                 25 (RA= 5 in terms ex ante)

Let us note two important elements in the schema above which incorporates the rise of productivity :

A) First, the resulting creation of the Reserve Army (RA) as a consequence of the rising rate of productivity by which the same labor power in v1 in terms of Mp (since the value has decreased in an inverse proportion) nevertheless implies less physical workers;

B) The SR Effect: To wit, the contraction in value terms of S II, which for its part continues to produce in the same conditions as before, its ratios v/C and pv/v remaining unchanged. However, this contraction in value shows that S II must adapt to social demand (i.e., it must respect the Equations of SR-ER) something it does by taking into account relative prices. Thus 1 Mp is now worth 0,8 euro so that the function of production for S II will become 32 + 8 + 8 = 48. However respecting the social demand the function of production will establish itself at 36 + 9 + 9 = 54.

Let us now look at Enlarged Reproduction (ER) or, if you will, dynamic equilibrium. Let us note here that the schema based on identical rates of v/C and pv/v for both S I and S II does no longer need to be considered as a particular case. This is because the coherence issue has been solved by the proportionally inverse evolution of the ratios as the rate of productivity changes.

Let us suppose that half of pv1 is re-invested. (We note: E = saving and tE = rate of saving = E/pv.) The allocation destined to re-investment is noted in bold characters.

t1                                                         Réinvestissement                                                 t2

                                                                8 + 2 + (2)

SI : 80 +20+(10+10)=120                 SI : 80 +20+(10 +10)=120                                 SI : 88 +22+22=132

                                                                4 + 1

SII: 40 +10+10=60                                 SII: 40 +10+10=60                                                 SII: 44 +11+11=60

The SR system is underlying that of the ER system, however half pv1 is re-invested. To respect the Equations of Reproduction, SII will have to follow the movement: And does so necessarily at the same rate. In fact, the part of pv1 saved (here 10) which gives us the re-invested tE1 is allocated in c'1 (8) and in v'1 (2) according to the prevailing organic composition of capital in S I. By means of the systemic exchanges, this will always necessarily cause the adaptation in S II according to its own prevailing organic composition of capital , namely here c'2 (2) and v'2 (0,5). Yet, this is not sufficient to insure the equilibrium. Hence, the exchange dynamic will lead to a normalization by anticipation: In fact, S II will have to meet a real demand and to do so it will be led to exchange part of its own pv2 to obtain the necessary Mp. This is done respecting v/C, S II being therefore equally forced to cover the extra needs of v'2. Once we have « v » thanks to the rate of exploitation and the logic of living labor we automatically obtain « pv ». We thus reach the result indicated in the above schemas.

The anticipation is another way of saying that the rate of re-investment in the dynamic system is necessarily identical in both sectors: But this had to be demonstrated, which is now done. (Let us note that in one of his usual genial remark Marx, as early as his Parisian manuscripts of 1844 emphasised the crucial fact that « social demand » has pre-eminence over the price epiphenomena emanating from the competition regime. Yet, he still had to formulate his Equations of Reproduction. He did so after a long study of the Physiocrates, of Sismondi's annual revenue, and of the Tableau of Quesnay which allowed him to formulate the logic of the Equations of SR and of ER (Book II of Capital). Answering Gramsci's comment on the method used by Ricardo, Sraffa answered him pointing to the Manuscripts ... and in fact in his prolegomena embodied in his Production of commodities by means of commodities, Sraffa obviously send us back to the Marx's « socially necessary labor » , a concept which he transforms or mystifies into a « basic basket » of goods. However he conceives of it only in reifying terms of exchange value (ve) and not as simultaneously exchange value (ve) and use value (vu). Of course, the use value in question is very particular for this specific commodity: The labor power presenting itself simultaneously as past and living labor, which is the only way to scientifically explain the genesis of profit through the exploitation of surplus labor which causes the emergence of surplus value. In so doing Sraffa falls prey to the same unilateral defect that plagues all bourgeois economists ever since J. B. Say, Cournot and Walras and all the others after them. He consequently deprived himself of any means to understand the central problem of exploitation and thus the genesis of profit. Consequently, the rate of profit is always and necessarily given by Sraffa in an exogenous fashion. Moreover, despite his internal and farseeing albeit incomplete critiques of the increasing and decreasing returns (in the Twenties), Sraffa never reached a coherent and rational reproduction system: He takes the system invented by Tugan-Baranosvky and Bortkiewics (see Appendix) substituting in this way to the Marxist scientific theory the manipulation of a simple quadratic equation, one which masks a gold and money fetishism (i.e. the general equivalent being substituted to the universal equivalent); the former only needed to be completed by means of the coherent insertion of the theory of productivity within the Equations of SR and of ER: which I did.)

Of course, the general equilibrium abandoned into the grip of the « invisible hand » only induces inequality and waste. For instance, the logic of anticipation described above can very well become the object of socialist planning. Abandoned to a redistribution process over-determined by private property, it only leads to crisis, but one which is still aggravated by the bourgeois mediation of money. Worse still, when capitalism is confronted to structural crisis, it falls prey to anti-liberal and Nietzschean instincts; these are still compounded in the Western World by philosemite Nietzscheism: This leads to a diminution of the revenues accruing to the proletariat but also to many useless spending (first of all the type of military spending which would otherwise be useless for national defense especially when it is inscribed in the collective security framework defined by the UN Charter.) This is done with the scope of sustaining an artificial growth. It is a temptation that was neatly expressed in the Report from the Iron Mountain and now by the « supply-side » current Monetarist policy.

Reserve army, inflation, deflation and rate of change.

When we consider the exchange value (ve) without the use value (vu), we rapidly become slave to the fetishism of money: This is particularly the case within the framework of the CMP, because it occults the exploitation of the labor force by way of mystifying the origin of profit. The factors of production are liquefied in their money form making money appear as if it engenders money by itself, while pretending to be as good as real as any other. In such a fashion, real economy disappears behind its money facade. This is then enshrined in the fallacious Marginalist concept of GDP. (for a short but fundamental critique of the GDP see « Que mesure vraiment le PNB » Jacques Barraux, Economia, No 15, septembre 1975.) We have already noted that money is a general equivalent which must itself be evaluated in terms of the universal equivalent, the exchange value of labor power (one which includes its own reproduction in its household and in society.) Let us now see how things present themselves when we introduce money as a mediation in the schemas of SR. We include here the case pertaining to the creation of the Reserve Army (RA) because we also introduce a change in productivity.

SR                                                                 SR + Reserve Army (pv'1/v'1= 1,25; SII unchanged)

80 + 20 + 20 = 120 (120Mp)                         84 + 16 + 20 = 120 (150Mp)

40 + 10 + 10 = 60 (60Cn)                         36 + 9 + 9 = 54 (54Cn)

-----------------------                                 -------------------------------

        30€                                                                 25€ (or else 27,5€ if RA = 2,5€)

We note here that the systemic exchanges being necessarily bilateral (see the positive critique addressed by PP. Rey to the Accumulation of capital by Rosa Luxemburg) 30 € will suffice to mediatise all the exchanges necessary in SR. Similarly, in principle, for the second schema 25 € will suffice if we only take into account a value schema abstracted from social reality. Of course, the Capitalist Mode of Production is but a dated form of society, one which is far from perfect. One could pretend as all Marginalists actually do that the labor force can be liquefied at will, the physiological level for equilibrium being established on that liquid basis (!) and even on the global market. Yet, if the salary pays the worker, both cannot be entirely confused. Be it as it may, it nevertheless remains that the transition from the SR schema to a SR schema that includes the Reserve Army (RA) faces us with a labor force v'1 = 16 Euros = 20 Mp but with a number of physical workers lowered just because a rise in productivity does « liberate » part of the labor force previously employed. If that was not the case, productivity would have no appeal whatsoever for capital. These liberated workers thus reduced to unemployment must nevertheless survive. This necessity constitutes the fundamental basis of class struggle within the CPM, a process, which according to Marx fatally leads to its overcoming by a new mode of production that will be more effective in conjugating the continuous development of the productive forces with the relations of production compatible with full-employment and full citizenship for all.

As we know, in order to avoid any so-called incentive to laziness on the part of the unemployed masses though, in reality, to keep the lowest salary as low as it can be the passive workers receive less than the lowest paid active workers. Here we adopt an hypothetic allocation to RA equal to half the salary. But from whence does RA in its money form comes from?

One form of capitalist assistance funded on the monetary illusion consists in printing a social salary mass over and above the real salary mass stricto sensu. This allows the transfer to RA of a part of the goods destined to v through the exchange process: As a consequence this causes the same inflationary effect as the « monetary rain » staged by Hume. Fatally the leaders will attempt to control this erosion process without having to redistribute more equitably the social wealth they pocket (over and above the surplus value pv.) This leads to the development of the monetary policy and to the system of the capitalist central bank. In effect, the main salary mass (the social salary mass) will adapt to the level of « maintenance » afforded to RA: And we know that within the framework of the CMP, this level must be lower than the lowest salary but just above the level called of « maintenance » at least since the teaching of the Tennessee Valley Authority, the forerunner to the statistics according to Kuznets and its Marginalists followers which remarked that otherwise after two years below the « maintenance » level the labor force would suffer various forms of deficiency that would make it unemployable.

Let us assume here that RA will receive as assistance support the equivalent of half a unit of global v so that RA = 30 25 = 5 RA = 2,5 € (i.e., in term of « abstract labor », an « abstraction » derived from the different trades implied in the division of labor internal to the sectors and sub-sectors, something which, as we can see, cannot be reduced to « simple labor » as conceived by Adam Smith, or to the « work of the laborer » (travail du manoeuvre) according to Jean Fourastié.) The « real salary mass » amounting to 25 € becomes the « social salary mass » amounting to 27,5 € which will mediatise de facto the exchanges. This will automatically create a « structural inflation » (note that there exist other forms of inflations or, in the reverse, of deflations) the rate of which will be 27,5/25 = 1,1.

The bourgeoisie did not lose time in discovering the potential for unequal redistribution emanating from inflation. (A perfect example of this will be found in the Accords de Grenelle by the Front populaire led by the Atlantist « willing » before his time, Léon Blum, one who, by a curious quid pro quo was convinced to belong to the « race of Herder »! Or again in the warfare monetary engineering devised by Dr. Schacht against the Versailles Treaty, which was backed-up by Hilferding and by the German social-democracy, all the way manipulating the Dawes Accords and its sequels including its inherent anti-bolshevism aimed at the re-industrialisation and re-armament of Germany. Note that the German social-democracy refused any common front with the German communist party unless it be done on its own renegade philosemite Nietzschean standpoint: The same is happening « once again » today with respect to the workers' movement, but with the difference that the present leaders of most European communist parties are now themselves renegade and philosemite Nietzschean. The idea is to control both the agenda and the debate, only permitting the « authorized flows of communications » ... See my Book II entitled Pour Marx, contre le nihilisme on that specific question. Or in Italian my Contra-pitre in the section Italia of my site.)

The detail which includes the rotations presents itself as follow:

        S = monetary mass = salary mass.

        R = number of rotations; R = C/v + pv/v

        M€ = value in euros of the total product = S x R

Hence we will have for total capital: 145/25 = 5,8; 29/25 = 1,16

        => M€ = 25 x 6,96 = 174€

If we now introduce RA in monetary terms, we must take into account the difference, and that is all. If we chose then to call « value-price » this inflationary expression of value we have:

        S = salary mass = 25€

        Ss= social salary mass = 25 + 2,5 € = 27,5 euros in the Schema RA

        Rate of inflation = Ss/S

        Rs = 6,96 R x rate of inflation = rotations when accounting for inflation.

        Ms€ = total product expressed in "value-price" i.e. taking inflation into account.

The SR Effect and the intermediary sectors, or the necessity for a legal Reduction of Working Time (RWT) together with an adequate planning.

If we were to add a supplementary line to the two schemas above, namely that which corresponds to social capital, its function of production would be the sum of (c1 + c2) + (v1 + v2) + (pv1 +pv2) = (M1 + M2). The productivity increase liberates manpower in terms of physical workers. And, in the case above, this impacts the whole system via c2. Alfred Sauvy after the Marxists but in the perspective of the Post-War French Indicative and Incitative Planning - had already underlined a crucial fact which he called the « déversement » of manpower. He meant its absorption into new sub-sectors, one in no way automatic.

Aside from emigration ordinary or colonial there exists only two ways to proceed: The first, limited, consists in the creation of intermediary sectors which are based on the massification of existing technology waves. Jointly with the institutionalisation of a part of personal saving (payroll deductions) coterminous with public social programs, they explain the economic expansion witnessed after the Second World War (automobile, domestic appliances, transport and aeronautics, leisure and entertainment etc.) I have already said elsewhere that this massification logic forms the kernel of truth nested in the long and epiphenomenal cycles of Kondratiev; and as such they help define the « epochs » of the CPM (as well as the « longues durées » of the Baconian empiricist Braudel for the pre-capitalist modes of production placed under the hegemony of absolute surplus value; see below the discussion concerning the different modes as well as the civilisation era and the historical Ages.)

Fatally however these intermediary sectors too follow the same productivity logic and the same laws of motion which it triggers. Moreover, the new intermediary sectors now have a tendency to be very capital intensive, so that they cause an onerous shifting in term of manpower compared to what could be expected in terms of déversement. The other way available, though ideologically fought against tooth and nails by capital albeit in the long run it always imposes itself, lays in the legal diminution of the labor time without salary cuts (see on the subject « The last hour of Senior » in Capital Book I in which Marx gives us a masterful résumé of his earlier analysis of the popular conquests embodied in the legal reduction of the duration of work: Sunday and then weekends off; 8 and 7-hour day in lieu of the earlier 12 and 10, statutory holydays and paid holydays, lowering of the pension age etc ...)

It just happens that this ineluctable tendency remains the only efficient way to lift the main contradiction of the CMP, which opposes overproduction to under-consumption. To this realization and with the more conscious redistribution policies adopted by the modern State, must be added the strengthening of the crucial fiscal base and thus of fiscal revenues. The difficulty for the business circles lays in two main considerations: First, particular interests are pitted against the « communism of capital », which in any case ends up prevailing in a way or another in an attempt to save the system from itself. Second, since the various Social Formations are in competition among themselves, the link that ties microeconomic productivity and macroeconomic competitiveness is indeed a real one. Yet, the best way to lift this limit resides in the recourse to the optimum RWT (which equally consolidates the fiscal base) and in the recourse to social surplus value (thus consolidating the microeconomic productivity by its retroactive macro action.) Business elites tend to do the opposite in a suicidal fashion as long as it is not lectured by the capitalist State and by its governments whose minimal role it is to to discipline the « animal spirits » of the Capitalist Mode of Production. (Poulantzas called it the « relative autonomy of the State ».)

Moreover, the capitalist competition (the invisible hand) plays its part blindly according to the accumulation needs of individual capitals. Social needs are mere afterthoughts, as it is fallaciously believed that where there is a need there will be a supply, an infantile affirmation that forgets to add that the need in question must be cash-worthy to be heard ...Thus this private accumulation necessarily affirms itself against the social logic (private accumulation corresponding to social production.) We are therefore served the sharing of poverty among the workers and the employees (the equilibrium being at the physiological level according to Solow and to all the Marginalists), in lieu of the RWT which would induce the sharing of socially available work together with that of productivity gains among equal citizens: Thus after the enactment of the legal 35-hour week, the effective working week in France was a 39-hour week, whereas in the USA it was at 34,5 hours but in the framework of precarious working conditions and salary, accompanied by a vanishing fiscal base and by a chronic and suicidal confusion between labor cost and production cost. With the latter you would focus on the management competence, organization, productivity, planning etc -, with the first you only mouthwash with more and more « flexibility », though the Earthly day is still fixed at 24-hour, and you would blame the « rising expectations » of the workers; fortunately in doing so, you sabotage social demand hence your own economic growth; and if you push it too far as is the case today, you induce a dreadful negative spiral. (See Austerity kills, in the Section Books Review of this site.) Brought to its completion this Monetarist logic is illustrated by the Monetarist counter-reformation which unfolds in America since Reagan. In Europe, it is illustrated by the present destructive conceptual and practical wandering caused a peculiar brand of economic austerity embodied in the irrational so-called Golden rule (a continental remake of the Graham-Rudman) and its accompanying Fiscal compact which sets a strict agenda for wall-to-wall privatization and remorseless spending cuts for at least the next twenty years to come.

Of course, the reverse policy should be implemented: Coming back to strategic planning and to an optimum RWT, a policy course that would equally save the social contributions (payroll social contributions) and the fiscal base, which in turn would strengthen the Regalian means of the State, giving it power to intervene in the cycles of reproduction with the aim of optimizing its dynamic coherence. Kürtzarbeit and the generalizing of part-time employment are true horrors even from a strictly semantic point of view: They are but late avatars of anti-economics.

We can add here the Marxist elucidation of what Sraffa called the value of products emanating from different epochs. The rise in productivity causes a contraction of c2. However, nothing impedes these unused Mp now in stocks to reappear later in the production process. For instance, outside prevailing norms, because of a temporary increase in the duration of work. Or, of an increase in absolute value in terms of production, for instance as might be caused by the recourse to a higher occasional intensity. In effect, aside from the stocks which do cushion these contractions, the modern capitalist production also plays on the under-utilisation of the production capacity, which usually gravitates around 80 % of installed capacity. This remains true for labor.

This is due to the establishment of the norm - in the internal division of labor as well as for the average of the internal trades and labor processes - that prevails ordinarily, and which is legally ordered by the Labor Code and by competition. So that when these products do reappear in the production circuits, they are evaluated with the current value standard given by the prevailing fundamental ratios in the actual functions of production.

SR-ER, individual and intermediary distribution functions of production which link the cycles of capital to the productive functions of production that constitute the basic SR-ER.

Up until now in the Schemas we have presented so far we have simplified the cycles of capital analyzed by Marx: We have introduced the monetary masses without introducing the intermediary sub-sectors of distribution such as the warehouses for wholesale and retail products, as well as the accompanying marketing etc. This was legitimate because we had subsumed everything under two main sectors S I and S II. Within this framework it was possible to hold intact the various moments of production and of realization, at the same time emphasizing the main or systemic rotations. We were then able to extract the essential law of Reproduction (or, if you will, of general equilibrium) thanks to the logic of re-investment: The rate of re-investment tE must be identical in S I and in S II in order to maintain equilibrium. Indeed, we saw that the anticipation involved was merely an effect of the global social demand.

In a complex society however the industries and sub-sectors are multiplied; we will nevertheless see that this multiplication always rests on a series of sub-SR-ER, which underline the main SR-ER with our two sectors producing Mp and Cn . We saw that everything can be subsumed under this main SR-ER schema. Later we will equally see how, in a complex society, the global cycle of SR-ER is a long cycle so that credit will be introduced to permit more flexibility since it will act as a mediation for the «lags ». Before we go to the analysis of credit, it will be useful to introduce the cycles of capital analysed by Marx, in the Equations of SR-ER (now totally elucidated as far as the crucial theory of productivity is concerned.) This goes hand in hand with the analysis of the systematic role played by intermediation, although we are not dealing with banking intermediation here but with a distribution intermediation which allows the circulation and realisation in money form of the commodities.

Let us note by the sign « prime » the increment without which capital would cease to exist in its form as capital: I simplify here the cycles of capital in a money cycle A-A', a commodity cycle M-M' and a production cycle P-P'. We then obtain the following concatenation: A-M-P-M'-A', etc., that is to say the owner of the Means of production already holds money in his hands due to primitive accumulation (a process which as Marx explained is both conceptually and historically anterior to the CMP proper); with it, he buys the labor power in exchange of a salary the latter is always paid after the work had been accomplished; thus, the laborer or employee bought as crystallized labor power always makes the advance of his/her living labor to the employer, a living labor which can be deployed for a longer duration than that strictly corresponding to the duration necessary to reproduce its salary (if this were not the case the capitalist would see no advantage in the process and his profit would be reduced to his own salary earned through his/her actual participation in the labor process and to the immediate production process, a stumbling block which Adam Smith himself faced with philosophical and scientific honesty.

On this basis the concatenation is a follow: The Owner of the Means of production buy the « factors of production » with his money, he gathers them in his manufacture, his plant etc., and put them to work; in this way he obtains new commodities which he sells for a profit (resulting from the surplus work transformed into surplus value), and he thus obtain more money that he started with; this result allows him to restart the cycle on a grander scale, a process which constitutes capitalist accumulation as such. The owner of the Means of production does this everywhere and thus also in the two main sectors which enter into the SR-ER. At a minimum, without distribution intermediation, the exchange between S I and S II could take the shape of barter, although with the introduction of the monetary masses we can already analyse structural inflation in all its purity. The necessary use of money makes the autonomous realization of the merchandises Mp and Cn possible and this maintains the apparently endless loop (account must however be taken of crisis) a loop inherent to the concatenation of the cycles of capital, but as such the concatenation is derived from the existence of the distributive intermediation process. The warehouses, storages etc., regulate the circulation of commodities produced in the productive functions of production as such; but in so doing they add to them a value derived from their contribution to the circulation and to the distribution of the said commodities up to their point of sale and to their effective sale, either wholesale or retail (handling, shipping, transport, marketing etc.)

Therefore, the sector of distribution is constituted by a series of partial functions of distribution but necessarily symmetrical in S I and S II (at least when the dynamic equilibrium is maintain.) This sector displays another primordial role: It allows the intermediary realisation in money terms of the Mp and Cn and this, at least in part, confers more flexibility (capitalist or planning ) to the two main productive sectors S I and S II. Aside from the function of production specific to the sub-sectors of redistribution, this presupposes a money capital equal to (v1 + pv1) in SI and to (v2 + pv2) in S II. In case of a momentary or systemic break in the equilibrium prevailing between these productive sectors, the stocks will act as cushions. We will see however that the productive equilibrium might not be re-established according to the symmetrical logic of the rate of re-investment, one which needs to be equal in both sectors, at least in the medium term. In this case, there will be inevitable consequences: Over-reproduction by accumulation of stocks and, via the prices, systemic distortions, which will spread on the domestic market as well as on the rate of change. The essential resides in the realisation that distribution, without changing the commodity that it helps circulate, adds to it a cost, precisely what it costs to ensure its circulation up to the point of sale and until the effective sale itself. It is a result of the social division of labor.

Let us look at how this would present itself for the SR-ER. We would have 1) an aggregate schema SR-ER; and 2) a schema decomposed into its constituting functions of production.

SI : 86 + 21,5 + 21,5         = 129 € (thus always 120 Mp ; 1 Mp =1,075€)

SII : 43 10,75 + 10,75          = 64,5 € (thus always 60 Cn ; 1Cn = 1,075€)

Noting the distributive sub-sectors in S I as S I Warehouse and in S II as S II Warehouse, the decomposition into the respective functions of production and functions of distribution will present themselves in the following fashion:

SI:                         80                 + 20         + 20         = 120 Mp

SI Warehouse:  6 (40)         + 1,5         + 1,5         = 9 €

SII Warehouse : 3(20)         + 0,75         + 0,75         = 4,5 €

SII:                         40                 + 10         + 10         = 60 Cn

In the aggregated schema SR-ER, the Equations of the SR are self-evident because they are given in value terms (this remains true if we change the productivity rate). However, the decomposed Schema SR-ER shows how the equilibrium prevails in terms of value and in quantitative terms (something all versions of Marginalism cannot even phantom with their inept statistics and their fallacious accounting system.)

It remains to analyse the Rotations in this somewhat more complex system, a paragon for all other possible systems because it always stages sub-SR-ER schemas in order to maintain the equilibrium. To repeat what was said for the anticipation, this is concretely forced by the mechanism of the social demand embodied in the Equations of SR-ER, it is not assumed a priori.) We know the general formula of Rotations in the basic SR-ER Equations: Namely, the number of Rotations R = C/v + pv/v. This equation of Rotations is already in and by itself vastly superior to the inept tautology of monetary circulation offered by the Marginalists. This is because its point of departure resides in the central variable, the salary mass, which sometime needs to be adjusted at the margin to take RA into account, an addition which then produces structural inflation since the only real equilibrium rests on full-employment. The Marginalists start with two fallacious epiphenomena: First, the amount of money in circulation is an exogenous quantity even with respect of the Marginalist magnitude of GDP, an ontological problem which the so-called bourgeois quantitative theory of money is unable to solve (note that nowadays the FED does not longer bother to calculate the monetary aggregate M3, which goes to prove, as I have done elsewhere, for instance in my Book III available in the Livres-Books section of this same site, that these people actually understand precious little if at all about the economy and even less when it comes to inflation or more precisely inflations in the plural or its reversed manifestations. Let us recall that the Quantitative easing operations were initially thought to engineer a high inflation with the hope of transferring the cost of debt financing to those foreign buyers of Treasury Bonds, in particular the Chinese, something which was totally inept in more ways than one, and is now proven utterly false; yet, not surprising, no one would say boo ... being dismal experts of their dismal science, if you will ... Be it as it may, the facts now confirm my own analysis. Second, given this initial confusion the circulation rate of money becomes a tautological affaire based on unaccountable magnitudes. My Marxist quantitative theory of money accounts for both the salary mass and for the circulation rate namely the rotations.

Remains to analyse the general formula pertaining to the number of rotations when we introduce the sub-sectors. The solution resides in the fact that these sub-sectors and industries must be arranged in sub-SR-ER to maintain the equilibrium, such as it is given the stocks and the possible concractions. Consequently the number of R will be the number of R multiplied by the number of SR-ER, including the sub-systems. We see then that Marginalism is nothing other than a series of ineptitudes I have demonstrated that starting with J.B. Say and later again with Robert Solow et al., these series of puerile ineptitudes are masked by ridiculous mathematical pseudo-apparatuses (such as the quadratics of Tugan-Baranosvky and Bortkiewics in the beginning), that is to say the fallacious apparatuses which are contradicted by the most basic arithmetic and by logic. These series of ineptitudes have a precise origin in the free-Masonic lodges' attempts to mystify the Law of Value of Marx, simply because it questions the origin of profit and its iniquitous distribution.

It is similar with Cournot since he too searched for ways to establish scientific bases for economic analysis (positivists basis in fact but he does not seems to be able to make the difference. Later Bergson, still immerse in religion, will also attempt to extract philosophy from its scientificity, qualifying it as « geometrical » in a clear attacks to Descartes, Kant and Marx and to their « atheism », especially when this last assumes the form of a spiritual egalitarianism.) Cournot did so in two manners: first, he eliminated the use value (that of labor power in particular) so as to retain only the exchange value re-baptised « utility», but a non-defined albeit hierarchical utility (as we know this is similar to the subjective version of the « calculus of joys and pains » proposed by Menger, von Mises and the whole Austrian School.) Second, he based himself on Leibniz: Technology, wrongly understood as the fruit of the elites, is said to produce the surpluses necessary for both the elites and for the sustenance of their subordinated people, which clearly amounts to a rather stale and self-righteous rhetoric churned out to defend class privileges. No doubt, Leibniz was a great thinker; he also contributed an approach to proportions which, via the forgotten contribution of Marx, led to derivatives. He thus contributed linear calculus and probabilities as approaches to reality which, at least in his own mind, were not to be confused with a well-rounded scientific demonstration as the pitres from the CERN now do in particular with their « boxon », this spelling seeming to me much more adequate of Higgs, a pseudo-particle reached according to the initial level of energy. Quite simply, modern physics knew the electron only indirectly as a probability, hence it could be here and there simultaneously (!), so that as the Model became more mathematically abstruse as it turned upon its own artefacts, the Model sloppily got confused with reality. (Added in November 2013: Probably remembering Fermi as Le Monde rightly recalled, the Cern got the Nobel Prize not for the boson, which now seems infinite in potential quantity, but instead for having used an interesting « mechanism » ... Nontheless, the ignorant and servile media ignoring all about Leibniz's monadology and fed by both ignorant and self-satisfied insider experts, still talk about the particle of god ... gosh! ) Many savants nowadays do suffer from a very bad false consciousness: As this experience did cost dozens of billions, no one dare say a word about the fiasco; quite the contrary everyone make an effort to the contrary and ask for more financial resources: And therefore, for each level of energy input we will most certainly obtain a new « boxon » - but no boson of Higgs always offered in its probability form. Elsewhere I had pointed to the origin of what looks now as a more pitric drama than the end of Nietzsche « pitifully » suspended on the neck of the wounded horse: the electron was at the beginning the mere theoretical result of a probabilistic approach. Yet, today, scientists are able to track the path of a photon and others are now able to follow the paths of clouds of electrons: The Schrödinger's cat and his fallacious uncertainty principle, supposedly non-determinist though always unable to define this term in a non-ambiguous fashion, is thus demolished in practical terms. Perhaps these boxons could be quoted on the Stock market to self-finance themselves without diminishing the resources allocated to the TGV or to the domestic consumption of electricity, although I doubt these people would dare take the risk despite their faith in the « market »... Self-sufficiency of the elites, indeed. The situation is worse in economics but this has nothing to do with its presumed social science status. The fact is that the division between hard and soft sciences is dated, wrong and ill-intentioned: Marxist dialectics unifying the dialectics of nature and the dialectics of History in the overall dialectics demonstrates why, as is summed up briefly below. As it stands today modern physic cannot account for 90 % or more no one is really sure - of its own object of study: Which, no doubt, makes it the paradigmatic model for bourgeois social sciences to follow ... )

It remains that capitalism rests on social relations heavily backed by the reliance on productive forces and machines and in particular, at its beginning, on the steam engine. Yet, the steam engine did not result from the inventiveness of the elites as Leibniz would have it, but instead from that of two tradesmen, Denis Papin first and later the English blacksmith Thomas Newcomen (see Science et Vie, September 2012, p 111), the inventor of the « pompe à feu ». Today as noted by Althusser the inventions originate with teams, very few are still the result of isolated individuals who, in any case, owe their knowledge and knowhow to a previously accumulated social knowledge. (As we know, the Romans already knew the steam engine but restricted its use to their children' toys, they could rely on an abundant cheap chattel of slaves: Production relations always have priority over technology.)

Let us come back to the task at hand. We have here the first and crucial illustration of the complementary aspect of money and of integrated cycles of capital within the Equations of SR-ER.

To be followed tomorrow.

We can know come to the analysis of the interest.

Cycles of capital, credit and banking and financial system.

This can be summed up by the variation of the anticipation operated by the monetary mediation A) internal, thus implying a biased redistribution or at least one that is heavily hierarchical (this last can be seen in the extreme development of Mp for Mp in the former USSR) B) importation and lags, and thus the rate of change.

To sum up the problematic of credit is somewhat of a wager. Let us first establish a few fundamental distinctions. The capital cycles according to Marx are three: A-A,' M-M', P-P', in other words the money cycle, the commodity cycle and the production cycle. All three are intertwined within the immediate processes of production and in the Equations of the SR-ER; moreover in the framework of the CMP they must produce an increment (the accumulation of capital through the extraction of the surplus value, hence the profit) This increment is noted here with the symbol (') « prime ». However all the forms, including the money or currency forms must not only designate the exchange value but also its support, the use value. When this proves not to be the case we are then dealing with speculation.

Credit itself must not be confused with the monetary salary mass, real or social which we already have seen and which suffices with its rotations to insure all the exchanges necessary for the Reproduction. The salary (v1 and v2) makes the advance of its living labor power ready to be pressed like a lemon in a production placed at the service of the owner of the Mp (v. In Book I of Capital Marx's chapter « Freedom, Equality, Property and Bentham » p 726 in the Ed La Pléiade.) We have seen that this salary mass suffices for all the exchanges in an equilibrium situation, i.e., when the Equations of SR-ER are respected. For its part credit serves as a mediation in the capital cycles put to work in the Reproduction; this is because it oils the circuits so to speak, and this is particularly the case for internal recapitalisation or for imports, since this recapitalisation imposes a mobilisation of huge sums of money for a certain number of years. In this specific sense, recapitalisation is different from the concept of re-investment which we have already seen (tE). This is because it only concerns circulating capital noted « cc » (or used-up). The recapitalisation (noted Cap) concerns the immobilisations effectuated in the form of fixed capital, which necessarily implies a tE in « cc », according to its parts of the recapitalisation currently used and also taking into account the part that concerns « v » to respect the current organic composition of capital.

This implies the emergence of a banking system, here noted B, one endowed with a prudential ratio (let us say here of 1 for 5.) Of course, to simplify without betraying the subject, the possibility of the initial outlay is supposed to be given by the previous primitive accumulation. (Nonetheless, we can easily have it emerge from the enterprise's own cash-flow, which slowly leads to the banking specialisation, an evolution that was historically verified for the mercantilist companies during the epoch of merchant capital and up to the affirmation of industrial capital, this last being flanked by banking and financial capital according to the prevailing division of labor, and passing from an hegemonic form to the other.)

Essential remark: our banking system, here noted as bank B, is ontologically separated from the first-line management of the fundamental monetary mass (either the real salary mass or the social salary mass that accounts for RA) which is managed by the Central bank, an institution which will emerge after the private banks. Confusing both is merely a capitalist deviancy that leads, as we will soon, see too many perversions, all linked to the autonomisation of capital in the money form deprived of any use value support as a counterpart, that is to say in the ambit of the real economy; and thus it will lead to speculation as soon as the Central Bank takes upon itself to bail out the banking system without any other logic than that of saving private bankers, big banks being deemed « too big to fail ».

Before we pass to the exposé, we must look at the phenomenon of economic contraction in general. This is because it will prevail with the blind introduction i.e., without the benefice of planning of the capitalist credit, at least sectorally speaking. Let us start with our canonical SR schema:

A) 80 + 20 + 20 = 120                         B) 80 + 20 + (10 + 10) = 120

    40 + 10 + 10 = 60                             30 + 7,5 + (7,5)

We simply note here in schema (B) that if S I does withdraw 10 pv from the internal circulation of the Social Formation (SF) export, stocks etc., it will naturally follow, through the exchange mechanism and thus through the social demand mechanism, a contraction in S II. (We note already that the counter-moves by the managerial capitalists have already been developed, and include the chronic overcapacity which generally reach 1/5; the stocks, despite the so-called just-in-time flows; imports; and thus also credit which eases all these implied lags.)

We can then proceed with the analysis of the processes unleashed by credit. Of course, as money does not create value by itself (and without counterpart is is nothing but speculation) it follows that interest is part of profit but the reverse is not true (methodologically speaking, in term of a good non-Aristotelian logic, we are dealing here with distinct concepts and not with opposite concepts.)

We will assume:

SR-ER with v/C identical and pv/v identical

A recapitalisation (Cap) in S I of only 5 euros. This will go to cf but with a rate of depreciation over 10 years which implies that v1 needs be covered according to the existing ratio v/c. Therefore here . cf1 = 4,5 et . cc1= 0,4 with . v1= 0,1 (total increment in the function of production . (c+v) = 0,5)

Corresponding to that we have the banking system, here bank B: It lends 5 euros to S I for a 10-year period at 1 %. Thus S I will have to reimburse globally (principal plus interest) 5,5 and thus 0,55 euros every year for 10 years. The rate of interest tI = 1%, the annual interest payment = 5,5/10.

It remains to take into account the rate of depreciation (here the initiative comes from S I). Note that the monetary intermediation as such (with a « vu » support as a counterpart in the real economy or in the SR-ER Equations) does not qualify as a sector strictly speaking. That is the case for both the central bank and for the banking system; this is tantamount to government and bureaucracy, both public and private: Their cost is integrated in the Equations. When we will introduce it we will see that the case is very different for speculation, because speculation establishes itself as an obnoxious and parasitic part of the sector S I: by artificially changing its organic composition and its rate of exploitation, it destabilises SII and thus the whole reproduction which is geared to the satisfaction of social needs, since this will be overridden to satisfy strictly speculative ends ... something which is not tenable (if only because of the working of the rate of change and the dynamics of external exchanges.) We will come back on this later.

Taking into account the temporal development (production, valorisation, new production), the function of production S I would present itself as follow. We assume Cap = 5. Hence S II will follow suit: We will note as Ctr, the contraction suffered in S II, v/C and pv/v remaining unchanged. Similarly, t1 = initial departure; t2 = second departure. Of course, each line in S I corresponds to a line in S II in the framework of SR-ER.

SI)                 cf1                 cc1                 v1                 pv1                 = M1

t                 800         80                 20                 20                 = 120

Cap                 5€                 80                 20                 15 + 5         = 120

Usure        804,5         80,4         20,1         20,1         = 120,6

t2                 804,5         80,4         20,1         19,55 (20,1 055) (we substract here the interest paid to B)

SII)

t                 400                 40                 10                 10                 = 60

Crt                                 35                 7,5                 7,5

t2 transitory 39,65         9,9125         9,9125                         = 59,475 (We note the potetial contraction)

t2 real                          40                 10                 10                 = 60

We obtain here a first approximation but one that will be totally elucidated later when we will present a schema which will formally introduce in the functions of production and in the sectors the interest and the sub-sector of distribution (warehouses etc.) Both are necessary in order to take into account the valorisation moment of the commodities in money form, something that is for now simply assumed.

In t1 we have a situation SR in equilibrium (i.e., the Equations of SR are respected.) Then the decision is made in S I to capitalise the equivalent of 5 euros by recourse to the banking system, something which amounts to the withdrawal of Mp from the circulation in SR except for what is re-invested (i.e., the 1/10th per year depreciation of used-up fixed capital (cf) which adds itself to the circulating capital with the implied compensation for v1 (i.e., 0,1 Mp extra must be traded to acquire the equivalent in Cn form.) A momentary contraction will ensue in S II; however, the exchanges which inexorably lead to t2 will re-establish the equilibrium, except for the permanent contraction induced in S II as a result of the subtraction of the interest from the profit in S I.

Nonetheless, S II still retains an average installed capacity of production equivalent to c2 = 40 and v2 = 10 with a pv induced according to the current ratio pv/v = 1. As the Mp are available thanks to internal stocks (or, if we prefer, thanks to the warehouses which already autonomize in part the productive function of production in S I), it becomes clear that S II will re-establish its own level ex ante (40 + 10 + 10), a result noted here as t2 real. In effect, S II has no difficulty to adapt itself on the way down (i.e., thanks to its stocks and their renewed availability in production according the the logic of commodities of a different epoch), or at a par. However, the adaptation in the case of an increase demands a subtraction from the fixed capital and, mutatis mutandis, a lengthening of the duration of work, a greater conjunctural intensity, or, in the best of cases, an increase in productivity.

Consequently if 0,55 Mp start accumulating in the warehouses where their valorisation in money terms, necessary to re-pay the interest to the bank, happens, then S II will derive from it the difference between c2 = 39,65 and 40 that is 0,35. The Cn are already available. The real accumulation in stock will amount to only 0,2 Mp. The potential contraction of 0,55 will transform in a dynamic contraction of only 0,2. However, this remains a contraction that displays a tendency to accumulate its nefarious effects because of the blindness of the intersectoral allocation of resources by the « invisible hand » mechanism rather than by Planning, or at a minimum Incitative and indicative Planning. The distribution thus appears as a non-optimal dynamic mediation. We already know the answer as far as the optimum of general equilibrium is concerned: As much as the optimum of re-investment see demonstration above this dynamic optimum within the SR-ER would imply the same rate of interest (thus of re-investment ) in the two main sectors.

Therefore there is a real disequilibrium in productive terms that is masked by the distributive sub-system which from A-A' will stop in part to A-M or, if one prefers, to A-Mp at least for 0,2 Mp.

It remains that this dangerous accumulation of stocks can later induce a series of distortions. This is because they are brought to the market at the same time as the newly produced commodities and that will distort the market prices (without in any way questioning the social demand and thus the Marxist law of value duly integrated within the Equations of SR-ER, as we have already demonstrated at the end of the book Hi-Ha! The donkish visual hallucinations of bourgeois economists (a demonstration which we reproduce below.) Worse still, the effects will be felt on the rate of change.

This is extremely important: Indeed, we already know that the interest is only a subtraction from profit (at least when it is not purely speculative and it still has a counterpart in use value terms (vu) in the real economy.) Consequently the advantage of credit for growth must be understood in relative terms, or at the very least it must be understood within the framework of social and historical data. This is due to the dynamic contraction which impacts the stocks as well as RA, and thus the structural inflation.

Similarly, the capitalist confusion between central bank and the banking sector is very dangerous indeed. The more so because this confusion will add itself to the blind operation of the « invisible hand », and because it is uniquely motivated by individual profit, the equilibrium it produces is fallacious or simply asocial. The allocation of resources in terms of SR-ER is far from optimal. Nonetheless, the banking credit system will afford a certain flexibility when proceeding to the allocation of resources as far as the capitalisation in fixed capital (cf) is concerned. However, in order to avoid the sectoral contraction it is necessary to intervene simultaneously and in the same proportion in both sectors, above all when an increase in productivity is induced by the capitalisation.

Let us underline here that the rates of interest from the central bank are extremely harmful because they do provoke great distortions while unilaterally benefitting speculative production, one that is little or not at all linked to the real economy. This harmful aspect is still aggravated by the Marginalist GDP and its cookbook recipes. In reality, one must recall the analysis of our comrade Bukharin in his Economic theory of the leisure class http://www.marxists.org/archive/bukharin/works/1927/leisure-economics/introduction.htm in which he linked the development of the theory of Marginalist utility to the rise of a new fraction of the bourgeoisie, one whose resources and hence power rested on credit. Similarly, the historical development of the capitalist central bank evolves to answer a class exigency: Its main rates only serve as an ideological façade aimed at insuring all individual capitalists a formal equality in access to credit, but it is a formal equality which, of course, disappears when confronted with the existing centralisation of capital that regulates the dynamic of capitalisation (i.e., the concentration and centralisation of capital.)

This is exactly why a rational credit system would impose a functional tie to their dedicated branches or sectors (or even clusters of industries, namely filières.) They would then simply act through the modification of their prudential ratio which is also a financial lever in accordance to the expressed needs induced by expansion and concentration; this would then be done according to expressed and evaluated real needs instead of through the main rates of the central bank, which for their part should be limited to the management of the monetary aggregates without being preoccupied by the size of economical real needs. (Moreover, the role of these main rates should only be to control what we called structural inflation as well as the rate of change. We have noted elsewhere that as soon as speculation prevailed as a system through the hegemony of the so-called « universal bank », the FED stopped calculating M3 ...)

In this case, the financial lever of these preferably public banks would always be very low as well as the rate of interest demanded: This last having to cover uniquely the day-to-day operations without any necessity to earn an autonomous profit, which would then amount to a speculation that would tap in a parasitic fashion into the real economy, i.e., the Equations of SR-ER. At the very least, Central Planning could always grant a financial lever to the private treasury of the enterprises but this would become quite risky and above all somewhat difficult to regulate: Hence, the welcome division of labor through these public functional banks, because they would permit a strict control of the issuing of exchange instruments for specific tasks of common interest not restricted by pure individual accumulative drives (the Hobbesian « acquisitive mentality » in which Man is said to be a wolf for Man.) As we know these accumulative drives are now transnationalized and thus even more harmful. As we can see planning on Marxist bases (the function of production recomposed according to needs in the framework of SR-ER) is here necessary in order to optimise the positive impact of credit. Or at least a so-called French Indicative and Incitative Planning.

It is useful to return to the schema which integrates both interest and warehouses that was presented above because it will confirm our analysis.

Situation of departure t1:

SI :                                 80                 + 20         + 20                 = 120 Mp

SI warehouse :                 6(40)         + 1,5         + 1,5                 = 9 € (en cc (40) = Mp which circulate only)

SI aggregated :                 86                 + 21,5         + 21,5                 = 129 € (1 Mp = 129/120 = 1,075 €)

                                ...............................................................…..

SII warehouse :         3(20)         + 0,75         + 0,75                 = 4,5 €

SII :                                 40                 + 10         + 10                 = 60 Cn

SII aggregated :         43                 + 10,75         + 10,75                 = 64,5 € (1 Cn = 1,075)

Note that we use here our most basic canonical SR-ER schema with v/C and pv/v identical. This makes the presentation so much simpler. However, given the resolution of the law of value for productivity within the framework of SR-ER, we are free to stick to reality by taking the sectoral and sub-sectoral function of production empirically: The internal logic will always be the same. (In other terms, the resolution of the problem of productivity for the law of value integrated within the Equations of SR-ER allows us to treat the case of identical fundamental ratios in S I and S II as the most basic case but not as a particular case.)

Let us note equally that in cc1 the 40 placed in parentheses (40) indicate the 40 Mp which must circulate (v1 + pv1) and nothing else. These Mp do circulate, they do not enter in this specific line (function of distribution) in the fabrication of other goods. The sub-sector warehouse thus allows the transformation of these Mp in money for S I productive, and with this money S I will then be able to pay the interest owed to the banks thanks to a deduction from its own profit: We are actually dealing with an entirely monetized economy (and not a primitive barter economy as is always the case with the Marginalist paradigm despite appearances and pretences to the contrary ... This is because with Marginalism money is not organically given by value but does instead constitute a different and independent market, which must then be reconciled always badly as a matter of fact with the other markets, which are said to form the « general equilibrium », this last resulting from what Léon Walras called « the market of the markets ».)

The function of production warehouse is perhaps light in productive terms but it supposes that these specific intermediaries do hold in their hands the considerable amount of money necessary for the valorisation-realisation of the Mp in money terms (M-A). This capitalisation in the form of money, which logically and historically comes from the primitive accumulation of capital and then from credit itself, adds absolutely nothing to the value of the commodities contrary to the part corresponding to the productive function of production of the distributive sub-sector that corresponds to the transportation costs, handling, storage, marketing and finally effective sale.) This remains true for the warehouses in S II (Cn).

Let us now introduce the interest in S I productive: Via its access to credit S I productive will capitalise 5 Mp in its fixed capital; of this, a part (0,5) will go annually into circulating capital and into variable capital according to the organic composition of capital. We thus have:

SI :                         80,4                 + 20,1         + 20,1                 = 120,06 Mp (pvd=21,0575; interest = 0,55€)

SI warehouse : 6,03 (40,2)         + 1,5075         + 1,5075                 = 9,45 € (40,2 = Mp circulating)

SI aggregated : 86,43                 + 21,6075 + 21,6075         = 129,645 € (1 Mp = 129,645/120,06 = 1,075 €)

With interest :         86,43                 + 21,6075 + 21,0575 (+ 0,55 interest)

                        ................................................................................…..

SII warehouse : 3(20)                 + 0,75         + 0,75                 = 4,5 €

SII :                         40                         + 10         + 10                 = 60 Cn

SII aggregated : 43                         + 10,75         + 10,75                 = 64,5 € (1 Cn = 1,075)

S I monetized 0,55 Mp in the sub-sector of distribution. If we would stop here, the potential contraction in S II would be of 0,55. However, S II will reproduce itself in its own conditions ex ante since the Mp to do so are available. Consequently, in these conditions the effective dynamic contraction will equal to 0,215 €.

Obviously, one does not need to be a rocket scientist to note that the sub-system SR-ER of distribution does render autonomous the productive sectors S I and SII as it cushions the mechanism of Enlarged Reproduction, at least as long as the same conditions will not be restored in terms of interest and of re-investment simultaneously in both main sectors of SR-ER. But this needed to be demonstrated by duly integrating these mechanisms within the Equations of SR-ER (which also act as proof.) No doubt that this does correct many donkish fallacies proffered by Marginalists. As we know, these people have no clue whatsoever as to what really does constitute the general equilibrium which they hold so dearly (i.e., the « market of markets » one that is itself abandoned to the blind working of the « invisible hand »); nor do they have any inkling about the essential difference between interest and profit. Consequently, the crises do not exist except in the miserable and solitary chapter dealing with economic history in the textbooks, since in theory the economic cycles cannot exist indeed if they existed at all, at least theoretically, the equilibrium itself would cease to exist ... In a similar fashion we can enumerate all sorts of Marginalist truisms including the infamous one according to which speculation i.e., bubbles would disappear by itself because its presence would accelerate the return to the Marginalist equilibrium etc., etc., ... (Note added in November 2013: This explains why three proponents of the so-called « efficient markets », at most biased by compartmental variables, were chosen for the last pseudo-Nobel prize in economics, in fact granted by an ultra-reactionary Swedish Central Bank. ... Yet, universities are often publically funded, and more perniciously still new students are lead to confuse donkeys' braying for scholarly research ... and so the merry-go-round and its rigmarole continue happily in philosemite Nietzschean circles. Hi-ha! Hi-ha!)

A contrario, only planning, be it partial Indicative and Incitative can correct the ontological defects of the « invisible hand » inherent to the capitalist market.

The international financial regime.

Our supposition here was that capitalisation happens in an endogenous fashion. This was because we had to understand the effects induced without any meddling from external variables. Historically, however, we know that credit plays at the international level, even when it is colonial and imperialistic; which forces us to consider the evolution of the international financial system as well as the role played by visible and invisible barriers, and thus by the influence exercised by the monetary seigniorage and suzerainty in this context. It is clear that if the money of a country is accepted internationally, this will confer to that nations credit an important role. Here too it is always the same story, because credit permits a different allocation of resources (in this case, this includes the imperialist and colonial pillaging aimed at sustaining a more rapid accumulation in the metropolis.) Thus at the domestic level capitalist credit will fall prey to a contradiction, one neatly symbolized by the tempestuous relations that endured between the industrialist H. Ford and the banker Morgan. This directly concerns the portion of the capitalist banking capital made autonomous and parasitic which is part of the volumes of capital that is re-invested in the industry. The emergence of the stock exchange will aggravate things still further.

At the external level, this is translated by the subordination of the flows of capital and, recalling the great theorist André Günder-Frank, by the « development of under-development » outside the metropolis. This is the case for these countries which accept their subordination, contrary to others so-called emerging nations which today are able to escape this fate, and will continue to do so at least if they resist the sirens of financialization, that is to say of speculation embodied in an autonomous financial sector grafted as a parasite over the body of real economy.

In fact, the recourse to internal or external credit is worth it only if it can help increase production in a coordinated manner within the framework of SR-ER especially thanks to a greater productivity , thus avoiding any speculation proper. In other words, the recourse to joint-ventures, backed by an internal credit system endowed with a low financial lever and offering a very low rate of interest, would be vastly superior. The contrary illusion comes from the fact that many ideological and political elements enter into account. This takes, as it were, the aspect of an open global market, the latter allegedly offering an easier access to foreign currency and borrowing for instance thanks to the appurtenance to the WTO.

A system in which a country would offer optimal joint-ventures deprived of this capitalist subordination would be vastly superior, especially for the emerging countries: The so-called « economic take-off » (pace Rostov!) would be far more rapid and harmonious. In fact, given that modern society is more energy-dependent because production is a transformation of « vu » into different « vu » including in the TIC sectors, the possibility to produce food and energetic surpluses would be economically more important that access to credit, at least from the point of view of internal exchanges and of real economic growth. This is also intended as a comradely hint to the Chinese comrades ... in favor of the development of a different international financial system solidly based on these principles and on mutually beneficial joint-ventures. Sane economic development requires developed and cash-worthy partners, unless one wishes to reign over the ruins of potential rivals to be destroyed by illegal and ill-advised preventive wars, as is the current philosemite Nietzschean capitalist practice.

Consequently. nothing should be conceded to the destructive illusion of financial autonomy, thus necessarily speculative, because this leads to the attempt to establish one's own money as the main means of exchange, thus creating a destructive bias in favor of speculative services and parasitic sectors which are themselves internationalised. This is especially the case when the national accounting is done in terms of the Marginalist GDP.

In effect, this strategy is nothing but a forward escape: It brought alternatively the UK and later the USA to de facto bankruptcy, through the suicidal sacrifice of the real economic base, and then to war meant to protect these speculative circuits. Indeed, the remaining hope of the USA to maintain its slippery hegemony in an economically multilateral world, is to remain the sole military superpower with the backing of its philosemite Nietzschean Atlantist subordinated « allies ». This explains both the illegal preventive war doctrine, the destructive and unconditional backing of Zionist Apartheid in the Middle East, and the flagrant violation of Articles IV and VI of the Non-Proliferation Treaty.

It would therefore be better, and in my opinion long overdue - see my Tous ensemble to proceed with the in-depth reform of the IMF in order to transform it into a compensation chamber based on the Special Drawing Rights (SDR) capable to insure more flexibility: The « power » would then emanate from the intensity of exchanges, itself dependent on the mutually beneficent networks of joint-ventures; these, in turn, will enrich the trading and economical partners making them cash-worthy, instead of ruining them with the hope to enslave them to one's own alleged « national champions » wedded only to their « global private governance». (See the current policies practiced by Germany and France and by the USA in the years 60-70-80s, and those by the same with respect to the so-called Third Word and Africa in particular ...)

Let us backtrack a little: When S I withdraws from the circulation an amount equivalent to the interest, it does so in terms of Mp but it pays the bank in euros. Hence, the crucial importance of chronology or dialectical moments: The production followed by the valorisation once completed allows the new productive departure; but it does so with a reallocation of the produced resources effectuated by the exchanges. Let us recall that the exchange implies the real salary mass through the rotations (or the social salary mass when RA is present.) Let us simply add here a note drawn from Kalecki, in his comment on Marx in the American context. He pointed out that the rotations are more rapid in the USA than in Europe simply because the salary is paid out weekly rather than monthly. In a similar fashion short-term speculation is aggravated by the quarterly reports ... As we know von Mises thought that the young Milton Friedman was an « eccentric » and he knew what he was talking about .... The « high-speed money » of Friedman being only the coupling of this fact with the circulation of the « greenbacks »; these were generalized on the whole land when they were paid out to the cavalry including in the West, contrary to Virginia which at the time was still using its tobacco as a mean of exchange.

This little detour incites us to remain firmly anchored in the Marxist function of production and in the Equations of reproduction when we speak of « credit »: Otherwise, it all becomes very dangerous indeed. For instance, as far as the autonomy of credit is concerned, I used the term financial capital (Lafargue, Hilferding, Lenin) and more particularly in the current context the term speculation in the framework of the so-called « universal bank ». This new form of banking capital rests upon a de facto « credit without collateral » so defined because these are huge banks with Achilles's heels since they now need to be recurrently bailout by the central bank. Their own capital is often inadequate with respects to the requirement implied by their own prudential ratios which do not even take their huge « shadow banking » activities into consideration ...Which admittedly is far worse than the « automatic pilot » of Milton Freidman and represents an extraordinary perversion of Pigou's Wealth Effect later transformed into the infamous House Effect of the « maestro » pitre Greenspan of course, this was done independently of the structure of the demand curve and of the accumulation of wealth in the hands of the 10% and even the 1 % at the top of the pyramid.)

Modus operandi of the bank and of the bureaucracy as the permanent government (internal and external division of labor: All being subsumed in the concept of « social surplus value ».)

Otherwise the related forms: Primary, secondary and tertiary sectors (the tertiary sector autonomized in the financial speculative form leads to ruin, as proven by currents facts. Even the OFCE seems to have understood it albeit with much delay. It was singing the apology of growth through the substitution of the industrial sector by the new services just after the presidential election in France; in such way, it was hoped to induce growth so as to derive a primary budgetary surplus, a proof of the ineptitude and the generalized incomprehension in these milieus ... of real donkeys auto-selected within the same fallacious paradigm. From this the necessity for food and energy surpluses to back-up ER. Demonstration.

The autonomy of capital-money or speculation erected as a system.

We have seen that every commodity has a dual character « ve » and « vu ». This remains true for the capital-money which is nothing other than a commodity like any other. Albeit it has with some specific characteristics, for example homogeneity for each of its parts as is the case for gold and silver which are also largely immune to oxidation, and the relative ease which with they can be transported etc. These characteristics allow money to operate as a general equivalent. All commodities, including a bag of potatoes or of gold, can operate as a particular equivalent. In fact, all general equivalents must still be evaluated in terms of the universal equivalent, the exchange value of the labor force. Marx has analysed the cycles of capital in great details. It follows that in all cycles of capital, of commodity or of production, any exchange value must have a use value counterpart, the eventual increment coming from the exploitation of the labor force translating itself in surplus work (hence, in vu terms) and therefore equally in surplus value (hence in exchange value terms) and therefore in profit (when pv, the surplus value, is taken over both the constant and variable capital (C = c + v), both being necessary to the production process in which the extraction of surplus value does happen.) Nonetheless, we have already seen that money can give birth to money and draw a profit from it (A-A'): This is done through the banking interest deducted from profit. It thus remains to analyse in greater detail the entire autonomisation of the cycle A-A' in relation to the real economy. It does indeed constitute the supreme perversion of the Capitalist Mode of Production.

Let us look rapidly at the chronological and logical unfolding. First, comes merchant capital (the old mercantilist companies, say, up until John Law.) This gives us the primitive accumulation as well as the first trade counters, soon followed by the first colonies.) Industrial capital follows suite (see Marx's Class struggles in France), a form of capital still backed by the bank but with an increasing distinction now being made between portfolio capital (strictly banking) and financial capital (in the precise definition given to the term by Lenin in his incomparable Imperialism, the highest stage of capitalism (see www.marxists.org ); in this masterpiece, Lenin corrected Hilferding's theory, showing that capital in its money form was now participating directly in the production process and in its organisation. In fact, the difference between the two forms is indeed a difference in the regime of property. This regime is born from the the evolution of the old companies thanks to the railroad organized as participating companies (see the pioneering work of de Witt to the calculus of the risk incurred by each associate or participant in the maritime companies, a calculus which concretized the more abstract game theory of Blaise Pascal http://en.wikipedia.org/wiki/Johan_de_Witt .) Its completed form is, of course, embodied in the Stock Exchange and the quoted anonymous society.(check: Ltd, incorporated)

Here we are not only witnessing a transition from a specific form of property and a specific form of management (according to the American sociology; see the excellent Domhoff), but above all a transition to a regime of property characterised by shareholding. This structure permits the tapping of the available saving, via the Stock Exchange, while preserving control (including the control of branch-plants) into the hands of the big shareholders, more often than not crisscrossed control involving industrialists, bankers, former civil servants, and more or less directly politicians with adequate contacts. We are dealing here with a specialisation induced by the overall process of division of labor, one which allows the tapping into the private saving for the benefice of a set of industries faced with the two-pronged process of concentration and centralisation of capital, that is to say with the two main laws of motion of capital. In strictly descriptive terms we have the oligopolies and monopolies of Sraffa, Robinson and Chamberlain, that is to say, social production for private accumulation as Lenin did specify. Today must be added the socialisation of losses for strictly private benefits (bailout etc.).

With financial capital we remain in the same systemic logic which saw the interest advanced by the bank or via the stock exchange subtracted from the profit realized in the sphere of real production (namely the Equations of SR-ER with the fundamental ratios of the function of production.) In fact, this takes a precise organisational and legal form. On the one hand the Central Bank or CB (as it first developed in the UK) affirms itself as an organ in charge of the coordination of the private banks; at the same time it affirms its role in regulating the issuing of currency which alone has legal tender. The CB is thus in charge of the management of the prudential ratios. It thus regulates the fractionnary reserves deposited by the private banks. It benefits here from the devolution of a Regalian privilege of the State albeit the capitalist Central Bank is often confused with a State or public central bank even when this is not the case. It does so by demanding a precise collateral: Depending on the given prudential ratio, any new reserve deposited in the CB will activate the ratio thus allowing more credits; consequently, it must be justified. In the end, it normally comes from the interest earned by the banks in their lending to the real economy as we have seen above.

The specialisation of the banking universe follows and that was summed up by the functional segregation of the activities which was mainly geared toward the regulation of the tapping into general saving (deposits) and that centered on the allocation of profits to the business world. We thus witnessed the emergence of the four (4) main pillars structuring the banking and financial world. This functional segregation was the gist of the New Deal's Glass-Steagall Act which was abrogated in 1999 through the unleashing of Rubinomics see: Rethinking Robert Rubin By William D. Cohan on September 20, 2012 http://www.businessweek.com/articles/2012-09-19/rethinking-robert-rubin#r=read ) We first had the deposit banks which were necessarily Censitarian. Then came the commercial banks which eventually linked up with industrial capital (and its public loans side), in particular through the use of the stock exchange. Meanwhile, the development of insurance companies came about; they were first linked to the uncertain fate of international trade and of the rate of change which was then governed by the Gold Standard; soon they were extrapolated into the primitive forms which eventually led to life insurance companies and private pensions plans. Finally, the credit unions or caisses populaires emerged from the workers' funds and from the cooperative movement, this later leading to the institutionalization of household saving (a part of « social surplus value ») by mean of the Social or Welfare State.

We note that although the basic schema remains the same namely, deductions mutatis mutandis of interest from profit this form of accumulation fatally leads to the emergence of crisis and to the economic cycles, both ontologically impossible as such when looked at from the perspective of the Marginalist paradigm. This paradigm is obliged to surreptitiously add an anorexic historical chapter to its « textbooks » as a Pater noster after a secret confession of minute sins spelling out the Original Sin, or more precisely as an opportunistic and merchandised indulgence which makes it possible to socialize and to select the most obedient students. Galbraith has offered a magnificent history of these crises which present themselves at first as speculative bubbles, starting with the Holland's tulips.

Summing it all up here we can say that the perverted logic of capitalization and that of deduction fatally leads to sectoral crisis hence the bubbles as they are traditionally defined. Nevertheless, these crises induce systemic consequences due to the important disorganization of the coherence of the SR-ER. Thus plain facts help dissipate the illusions linked to the so-called « superprofit » allegedly linked to oligopolies and monopolies: This superprofit is never more than transitory (and it is signaled among other indicators by an exaggerated Price/Earning ratio); furthermore, it is quickly evaporated by the bursting of the bubbles and by the crisis.

This real and cyclical logic of capitalism is still aggravated by the form taken by the prevalent international monetary and financial regime which over-determines the rate of change. For instance, it suffices to look at the magnificent « essays on persuasion » by Keynes, among which his « economic consequences of peace », to realize the socio-economic drama which actually unfolded when his view diverged from those of Lloyd-Georges. (Nevertheless, according to Keynes these were not mere conceptual and political divergences since they were played over in the « flesh and bones » of the workers, an expression although used by Gramsci.) We know that to obtain more flexibility, Keynes argued in favor of the abandonment of the Gold Standard. His true defeat came at the hands of the American H. White during the Bretton Woods negotiations which led to a Gold-Dollar Standard later abandoned by steps in 71-73-76 in favor of a free float regime which we will discuss shortly.

There remains to show the transition from the classical monetary intermediation with its specific forms and the inherent crisis that characterize it to the quasi-complete autonomy of the monetary intermediation, namely speculation erected as the norm (and what is more, a Marginalist norm crowned many times with the pseudo-Nobel prize ever since the post-World War II mystification operated by Hicks, Solow and Samuelson: Veblen was just a candid kid with a petit-bourgeois Bukharian heart when compared to these very « awakened » and self-sufficient donkeys, obviously …)

This is all summed up by what I called « credit without collateral », in other words by the illusion that one could bring to its logical conclusion the end of the original dualism (ve and vu) and erected the result as a « science » (that is to say a bourgeois science: Hi-ha! Hi-ha!) The whole miserable sophistry is presumed on the illusion created by the paper currency of Ricardo as it was revisited by J. B. Say, and on the more recent legal absence of any real prudential ratio governing the reserves deposited in the Central Bank. This now takes the form of the recurrent Quantitative easings and other twists. In brief, we are dealing with the illusion that the sign can substitute for reality and narratives for objective History. Moreover, these are theocratic philosemite Nietzschean narratives, including in the country « once again » ruined today, the very country which yesterday had to endure people like Margherita Sarfatti and consorts and others such. In terms of Marxist cycles of capital, these narratives would pretend that money can give birth to money in a very strange parthenogenesis without having to go through production first. Of course, this is nothing but a silly argument tantamount to Say's attempt to erase the exploitation of the labor force and the Equations of SR-ER. In the cycle A-A', money leads to an endless if groundless - accumulation of money, « here lie Moses and all the Prophets » as Karl Marx ironically exclaimed in Book I of Capital, knowing well what to expected from « l'homme aux écus », the usurer who monopolizes the purse.

The crucial difference comes from the emergence of financial services as a distinct sector (or sub-sector), but one which desires to impose an unquestioned hegemony over the rest of the economic sphere - we do not dare add « real » any longer given the Marginalist falsification operated by the adoption of the so-called « marginal utility » and aggravated later by the adoption of the Marginalist GDP … What we have here is strictly speaking « credit without collateral». (Let us recall that before the 2007-2008 crisis there were 58 trillions of CDS and 596 trillions of OTC for only 15 trillions of assets see http://www.bis.org/publ/otc_hy0805.pdf?noframes=1 .The situation got worse since then. On «credit without collateral see the homonymous essay in the Section International Political Economy of this same site; see also the essay « The Treasury and the FED ».)

Its intimate contradiction rests in the de facto impossibility to negate the prudential ratios, governing the reserves deposited at the CB. This cannot be done without, sooner or later, having to pay the consequences. This is now neatly illustrated by the recurrent bailing out of the private banks with public funds or, indirectly, through the printing of liquidities by the CB , a process which leads to the destruction of the fiscal base available to the State. And, in the end, it equally leads to the impossibility to continue with these direct and indirect bailouts by a central bank said to be autonomous but whose balance sheet ultimately depends on State's funds and thus on the taxpayers. In effect, the taxpayers are the only true contributors of last resort, contrary to the fable of a CB and its printing press acting as the « guarantor of last resort ».

Amplified by the Big Bang operated on the global stock exchange, global free trade sanctified the Solowian function of production within the WTO. This leading to what can be qualified as « the equilibrium of cemeteries » (see part III of my Book III Keynesianism, Marxism, Economic Stability and Growth, 2005), that is to say an equilibrium to be established on the physiological threshold for the peculiar factor of production embodied in the labor force. This post-Mlathusian physiological threshold is univocally seen from the sole perspective of the « individual capitalist salary » taken in abstraction form any consideration for the household in which, nevertheless, labor power necessarily reproduces. It is also taken in abstraction of such mundane considerations as sickness, unemployment, retirement age etc … and leisure and entertainment.

Naturally this will affect the fiscal revenues as well as the equilibrium of the external balances. Just think how the situation would look like if the Chinese and the Japanese would stop buying Treasury bonds … and they only do so to finance their own exportations in the USA, thus disconnecting themselves from the danger posed by the dollar in order to establish their own bilateral accords with their other trade partners …

The historical steps leading to this autonomisation can be summed up as follow:

        1) The materialization of the perverse effects expected from the System of Bretton Woods and its Gold-Dollar Standard, still aggravated by the Marshall Plan and by the GATT. (These were summed up by         Jacques Rueff to the general de Gaulle before the Kennedy Round, thus convincing the general to convert France's earned dollars in gold from Fort Knox despite it being termed as an « inimical » act by the State         Department.)

        2) The progressive dismantling of tariffs by GATT favored the substitution of the trade balance, which had become chronically deficient for the US, with the balance of payments backed by the internationalization         of the great US banks and Multinational enterprises, both sustained by the printing press of the FED and by permanent warfare (i.e., the « roll-back » strategy dangerously added itself to the bipolar « containment         » policy.) A series of crisis ensued. The first came in the form of the unilateral Connally-Nixon Surtax imposed on August 15, 1971 with the vain hope to remedy the chronic trade deficit; then, in 1973, there                 followed the de facto end of the convertibility of the dollar in gold, and then in 1976 the official end of the Bretton Wood system was announced at the Jamaica Summit, thus ushering into the free-float regime. This         in turn provoked the dangerous and limitless development of the traditional hedging, a technique which had already been aggravated by the internal digestion of the petrodollars following the abrogation of                         Regulation Q, as was nicely reported at the time by the great financial analyst Denizet

       3) The monetarist counter-revolution implemented by the tandem Volcker-Reagan started in 1979-1980 and took a twist for the worse in 1982 with the Mexican crisis and the ensuing invention of the tesobonos (        the Brady plan and its sequels), as well as the strengthening of the provisioning for the now vulnerable banks, but a provisioning deductible from taxes and thus paid in fine by the taxpayers. (On this                                 counter-revolution see my « Les conséquences socio-économiques de Volcker-Reagan et Cie.», March 1985, in the International Political Economy section of this same site). This was closely followed by the         precedent setting of the huge (a little less than half a trillion dollars) bailout of the Saving & Loans; this last episode representing the logical consequence of Reaganism, a policy that had destroyed the stability of         States and local governments, as was quickly evidenced by the bankruptcy of the Orange County. Given its magnitude, this gave a foretaste of the practices which will follow, and today it informs the many pitres in         charge, Bernanke first of all, in their tentative to soak up the huge injections of liquidities made with repetitive QE and other such maneuvers (God created by fiat, the pitre instead does it by sign and by a rather         un-poetic though very « liquid » narrative: see Fantasia: The sorcerer Apprentice in http://www.youtube.com/watch?v=cWZJcKM8pO0 )

The Plaza Accord of 86 was nothing but a disguised attack against the yen forcing its re-evaluation with the hope of launching a J curve for the US foreign trade, something that never materialized neither then nor during the the others similar maneuvers which followed up to the Doha Summit then reinforced at Dubai (Sept. 20, 2003), Dubai being the summit where we can trace the genesis of the present political overvaluation of the euro vis-à-vis the US dollar well above the level of its creation, which was close to parity. This failure led to the attack against the euro unleashed in the form of CDS just after the beginning of the enduring present crisis in March 2008. Simultaneously we had the Stock Exchange Big Bang ideated by the City more than by Wall Street. This was a move that completed the drive for global free-trade (Nafta and then the WTO which enshrined the globalization of Solow's function of production, according to which Y = f (K,L) and where L is whatever you want, full-employment or current employment; this is a parametric choice which forces the individual capitalist salary towards its global physiological level, the rest, among which the payroll deductions to finance social programs being conceived as excessive labor cost (!) This is done in the most suicidal manner because these social programs are thought to impede labor flexibility, labor presumably being a factor of production like any other and as such amenable to total liquefaction in the money form … (Note that these kinds of inept beliefs still prevail among the business and governing elite despite the recent fiasco of GM, a big firm that could no longer afford to pay for its own in-house pension scheme. Nonetheless, it is plainly obvious that these pension schemes would be far less expansive thanks to the implementation of a logic conjugating the mutualisation of risks with national and interprofessional solidarity …) Yet, the so-called free market only exist within the precise parameters in which it plays its role: free market is always a legal creation, even when it is by default, for instance the trading that goes on in the colossal shadow banking. It follows from this globalization of Solow's « razor hedge » vision that the anti-dumping definition adopted by the WTO excluded any reference to ecological norms and above all social norms and to the labor code, including in its minimum version sanctioned by the eminently monarchist and tripartite ILO. This definition united with the globalization of the Solowian function of production obviously plays havoc with both workers' rights and welfare and with the fiscal revenue of the State.

The abrogation of the Glass Steagall Act in 1999. This crucial legislation devised by the New Deal had enforced a strict functional separation within the banking and financial world. This happened as the New Deal was initiating to institutionalize a part of saving through the payroll contributions. This was devised to fund Social Security. It also provided for the generalization of the income taxes thus stabilizing the logic of capitalist credit in what could be called a Keynesian way. This post-1999 financialization and securitization of the economy was doomed from the beginning to cause what French analysts then called the « corruption of the best signatures »: This was quickly symbolized by the New Techs and their irrational capitalization through the Stock Exchange, a deleterious tendency still compounded by the creation of the NASDAQ according to a software originally conceived by no other that Madoff and his ilks …

With the unfolding of the so-called New Economy trumpeted to be exempt from the trade cycles, the P/E ratio had gone from an average of 15 to more than 60. The end of the capitalization through the stock exchange thus came with the bursting of the New Techs bubble, an event that had been preceded by the crisis of the bath and the rubble. Yet, this led the pitre Greenspan, nicknamed « maestro » by his mignons as well as by his candid victims, to back up what he nevertheless called an « irrational exuberance » : He thus devised his personal form of the Wealth Effect which Pigou had offered as a critique of Keynes an ineptitude which does not even minimally account for the structure of the invoked demand, a puerile fallacy which nevertheless informed the ultra-regressive fiscal policy cynically implemented in favor of the known 1 % - widely known thanks to the sign of a perspicacious demonstrator in the US, one that was admiringly adopted by all. We thus had the House Effect. Thanks to the new deleterious context created by the abrogation of the Glass-Steagall Act, it inexorably led to new ill-advised practices such as the various « conduits » or « montages » among which the (badly termed) CDO. These were the main cause behind the subprime crisis, although it was aggravated by the role played by the money funds. (The abrogation of the Glass-Steagall Act had brought to an end the functional separation of the banking and financial sector in 4 great pillars, namely deposit banks, commercial banks, insurances funds and credit unions or caisses. This led to the emergence of new forms of speculation, of which those engineered by the money funds, and the deleterious rise of hedge funds. These were now very far from the traditional hedging operations required to protect real economic initiatives against inherent risks, especially in a global context. The excessively speculative and closed investment funds demanding unsustainable ROE were equally to blame (even the then governor of Bankitalia Fazio was involved, which says a lot about the perniciousness of these very select funds …)

The last embodiment of these ineptitudes led to new sources of individual and strategic profit i.e. the Doctrine of preventive destruction of all rivals , namely the malicious manipulation of the CDS slapped on the sovereign debt. This is truly the summum of absurdity because the private banks do not guaranty the sovereign debt or the legal tender of money even if, in today's Monetarist world, the sale of State bonds was taken out of the hands of the central bank and entrusted for a heavy fee to a dozen of so-called « primary banks ». These typically demand very high interest rates which are in turn conveniently and subjectively evaluated by their own or associated rating agencies which calculate the so-called « sovereign risk » as well as the probability of other so-called « credit events » (or default). Yet, as everyone knows these same private banks refinance themselves through the central bank at very low rates (now nominally close to zero …) This, in effect, completed the cycle that led to the de facto ending of the prudential ratios , applied as we know on the fractionary reserves and defining the possible financial lever. Indeed, the central banks were not only entirely privatized or rendered entirely autonomous; they were also surreptitiously subordinated to the private banks, the so-called primary banks, and with them the sovereign States too and their Treasury. Speculative finance now openly advocates the demise of the Nation-State in favor of its own and that of other transnational firm's« private global governance B. This is done despite the fact that they all have to rely on the States and their national taxpayers to bail them out, if only through the liquidity operations of the central banks which fatally reflect upon their balance sheets and hence on the taxpayer as the sole guarantor of last resort. As we said, the sale of State or private bonds is now entrusted into the hands of a few primary banks around twenty globally -, the same which have manipulated the euribor and the libor. As was plainly illustrated by Draghi's work on behalf of Goldam Sachs in Greece during Greece's negotiations that led to its entrance into the Eurozone when the numbers were notoriously falsified, these primary banks then sell to the other private banks for a heavy commission. As we said earlier, they are helped in the process by rating agencies which act subjectively as is openly stated in their homepage to avoid lawsuits. In short, this amount to an economic war waged through the manipulation of the initial perversion of paper currency now entirely operating at electronic speed in an autonomous speculative form, which nonetheless pretends to extend its hegemony over everything else, be it private or public.

Today we are witnessing the last station of this cycle on its own Via crucis: namely the tentative to open the Chinese market in order to trade a FED-Kerouac paper currency against the hard-won fruit of the labor of the Chinese workers and citizens … i.e., a push to entice them to accept, obviously in a subordinated and ruinous fashion, the fallacious theory (sic!) resting on the autonomy of the cycle A-A'. (However since Mao the bandaged feet were replaced with comfortable shoes, which should normally signal a non-return point for all those who have learned to walk on both legs.) We should underline here that the race between the speculative Achilles and the stately Turtle is lost by the latter even before it starts, at least as long as the same rules of the game prevail. Indeed, the shadow banking is based on gigantic volumes of products or even on plain « scraps » traded outside the financial institutions and away from their balance sheets. This means that they do not pay any taxes even though the global interdependency of these speculative exchange weighs heavily upon the system. Take for instance the frightening CDS chain: In Greece the bankers, including Dallara from the IIF, have accepted haircuts rather than be faced with the triggering of the said chain… Yet, Greece accounted for only around 2% of the Eurozone GDP, whereas Italy's share then was a little more than 17 % (it is now reduced to around 15 % today.) Of course, if the main players of this game are too afraid to medicate the sick man Europe, their attention turns toward other potential victims, of which Argentina. If the form varies, the substance remains the same. Italy being more frightening than Greece, it needs to be handled carefully, and spread's level become delicate and very diplomatic affairs; you cannot squeeze too much blood out of a weakened patient. Hence, the rating agencies' look for other victims when they have to proceed with the evaluation of the sovereign risk or of the systemic risk of banks said to be « too big to fail ». And yet, instead of letting the market purge itself through the bankruptcy of the failed banks, these are bailout from the public purse. Alas! As the rating agencies themselves came to realize, this leads to the tightening of austerity measures and consequently to the destruction of the fiscal base of the State, making the reimbursement of the debt almost impossible. And thus new victims are always sought after: We are not dealing here with Maquis and the finance shark from the Threepenny opera, but rather with a singularly strange Golem dressed as a doctor … Mabuse … but nonetheless honored with many Nobel Prizes … as could have been expected.

In résumé, if we assume this financial autonomisation in S I only as a sub-sector called S I Finance, we would be in the same situation as the capitalist farmer found himself when confronting the feudal land rent: The abrogation of the Glass-Steagall Act constitutes the equivalent of the abrogation of privileges during the Night of August 4, a momentous event which cleared the road for the French Revolution. It signaled The end of local feudal regimes, laissez faire et laisser passer, etc. This legal change is important because it accelerated the monetization of the countryside and with it the road to the determination of valorization as defined not by privileges but instead now by the higher productivity of capitalist farming, which placed an unbearable pressure on feudal land rent: This was done by mean of the exchanges which were now carried out on the same market with the same means of exchange. The pressure placed by the feudal landlords on their own peasantry longer and more intense work, heavier levies etc., and other such rearguard struggles would no longer be able to change the course of History: Feudalism as a dominant mode of production was doomed.

The same thing happens here. The productivity of S I Finance even though plainly fake does nevertheless impose itself through the use of money to the whole system according to the internal productivity law and its valorization-realization. We say « internal » here because S I Finance emerges historically little by little, and its effects are metabolized albeit in a destructive fashion: Liberalization, privatization, precariousness of work, regressive fiscal policy etc., including at the local level. Thus after the Orange County, it is now the turn of California as a whole to walk toward bankruptcy but this time in company of the great majority of the federated States… We already know the effect of hegemonic productivity via the valorization process and exchange.

It remains to demonstrate the absurd end-point of this process, its logic ab absurdum: That is to say, when the autonomization of SI Finance becomes such that the fake-symbolical A-A' conditions are accepted as real and are moreover allowed to impose themselves on everything else. It is important to demonstrate how this process unfolds because we are dealing here with the very heart of the inept conception known as « immaterial economy ». The most immaterial of the lot of course corresponds to the money sign, which alone gives birth to money, as it were by a speculative parthenogenesis; and, notwithstanding the old critiques addressed to functionalism, including in its most primitive form developed by Parsons and Eaton. They had proposed their systems and sub-systems marked by many Weberian and behaviorist influences, the latter being inspired most notably by Skinner and Laborite. A magisterial critique of Laborite will be found in Alain Renais magnificent movie Mon oncle d'Amérique. (A good American critique of functionalism aside from strictly Marxist authors can be found in Chilcotte …)

The problem consists in knowing how to formalize a system in which what Marx called « moral conditions », alluding to the « moral disciplines » of the curriculum of the time. To put it briefly, the socio-economic norms induced by the civilizational, constitutional and legal context, actually do change. Then the logic which normally links all functions of production in the Equations of reproduction under the hegemony of the highest productivity (the inverse fundamental ratios) remains, but in a different context. In terms of modern electronics, we would be faced with a « reset » but on new systemic parameters. This was the case for instance after what comrade Trotsky called « social revolutions », be it 1917 or the reverse in 1991… By escaping the over-determination, they can then reformulate the system according to their own data relative to valorization. It is although basically what happens when a mode of production is overcome by a more efficient one. The best example of this, is afforded by the transition from feudal land rent to the rent or more precisely the profit of the capitalist farmer. Once it is understood, this transition allows us to cease considering land as an « irrational economic category », thus opening the road to what I called ecomarxism.

Of course, this also supposes a change in the constitutional parameters, be it achieved by the peaceful road or by the revolutionary road. On these new two alternatives see my « Réformes démocratiques révolutionnaires ou lamentable Rossinante du réformisme » in the second part of my Tous ensemble, Books section of my site.) But we still need to explain how, despite this change in « moral conditions », the coherence of the law of value continues to hold sway, but does so by giving birth to new and yet entirely capitalist contradictions. This is possible simply because we always can re-measure everything with a new unit as long as this new unit is as universal as the previous one because, now as before, it still rests on the valorization of living labor. Nonetheless, this rests on a double and fake premise, namely that commodities are reduced to the sole exchange value (ve) playing itself over in a cycle A-A' entirely disconnected yet hegemonic over the real economy represented and by the SR-ER Equations, or represented here by the three cycles of capital respectively in the form Money, Commodity, Production, New commodity, Money augmented with a surplus value: A-M-P-M'-A'etc.

In our previous SR-ER system let us inscribe the emergence of the sub-sector S I Finance-speculation (noted here as S I Spec.) We assume that it displays the characteristics attributed to the immaterial economy, namely little fixed traditional capital but strong capitalization, private or coming from the stock exchange; a relatively low number of employees, because they are capital intensive, but specialized according to needs. The employees typically include analysts, traders and those cunning managers of otherwise speeded twenty-somethings sent straight to the frontlines by the higher-ups as in any other war, etc.. Of course, they have a very high rate of surplus value. (Ex. BNP Paribas with assets almost identical to the GDP of France, a Banking Gross Product of 47 billion and close to 200 000 employees in some 80 countries among which 150 000 in Europe (in 2011). See also the capitalization of Apple Inc and of Facebook and others.)

Simplifying further our general and fictitious schema without betraying the subject, we will avoid using the fixed capital (cf) considering only circulating capital (cc). This sector S I Spec., now sails under the wind see the historical phase painted with a broad brush above. Its rate of exploitation is hegemonic and no longer subordinated. Instead of being treated as a classic change in productivity, it is now taken for what it is, namely a parametric change or a change in moral conditions. Consequently, if we retain the comparative base C = 100 in order to empirically determine the conditions of the function of production of S I Spec., it will then be the relations of the remaining S I (Mp) and S II (Cn) which will have to adapt despite the plain absurdity so patent in an autonomized cycle A-A' (Lenin spoke rightly of the « parasite » effect induced by financial capital.)

We have here the real basis of the Marginalist pseudo-productivity and of its value-added concept, one which utterly confuses rate of interest and rate of profit (or rate of return), although such confusion can only be a speculative mirage. In effect, living labor and its re-valorization induce a tendency toward the reaffirmation of equilibrium … capitalist equilibrium, of course. The more so because speculation is generalized by the market to all the input entering into the function of production via securitization, including that concerning circulating capital.

The various phases given above show how this process developed slowly above all since 79-82 and in particular since 1999. It happened relatively quickly, the missing organizational and legal elements being added along the road. This went through the dramatic punctuation offered by the domestic and international crisis with the aim of consolidating this hegemony; it was achieved through the stabilization of the existing system out of the public purse instead of allowing, as the presumed law of the market would demand, the purging of the financial world and of speculative credit. The last major act was played by the Paulson Plan, one that had been conceived in March 2007 thus in tune with the tendencies that led to the crisis, but nonetheless offered in March 2008 (!) as a remedy for the crisis. (On this, see the section International Political Economy of this same site, in particular the essays « Credit without collateral » and « The Treasury and the FED. ») to which were soon added the QE devised by Bernanke-Geithner.

We would then have two main situations: 1) With a rate of profit pv/ (c + v) identical given that speculative capital develops little by little in the existing system. 2) With the examination of the possibility of a speculative sector with a rate of profit structurally superior but hegemonic over the rest of the system subsumed by the Equations of SR-ER:

                cc         + v                 + pv                 = M

SI Specu. 90         10                 20                 = 120 (v/C=0,1; pv/v=2; pv/(c+v)=0,2)

                ....................................................…..

SI ante         80         20                 20                 = 120

SII ante         40        10                 10                  = 60

(Let us note here that despite the utter liquefaction of the entire economy in money terms, S I Spec is in no way, shape or form an ordinary Mp, but money which transmutes into the securitization of the inputs of the function of production. We can very well consider the products of sectors displaying the same fundamental ratios as « units of account » - see for instance the tragic and fallacious debates over « unequal exchange » with Arghiri Emanuel although this is no longer useful after our elucidation of the Marxist theory, which alone allows a coherent and simultaneous accounting both in terms of quantity and in terms of value (and even in terms of prices, thanks to the scientific understanding of inflation etc.). Here, the term « unit of account » can be useful since we are dealing with the cycle A-A'. Question: in which quantitative and thus in which value ratio? Automatic answer: According to the relative ratio of productivity given by pv/v. Thus, one just needs to reconvert these units of account given in Mp of that specific kind, to obtain 240 instead of 120 in the S I normal (where 1 Mp = 1 euro.) Naturally, it is on this basis that one arrives at the revalorisation accomplished via the exchanges implied by social demand, in other words by the Equations SR-ER.

In such a system, we are falling back to the instance of revalorisation which happens when it is over-determined by a stronger productivity. A fake one to be sure but nonetheless one materialized, so to speak, legally. We will look at the induced contradictions later. We have seen that it is also the case for the stocks after they are re-valued when they are reintroduced into the circuit of current value (in any case, it suffices to look at the firm or business accounting). This is what Sraffa called the prices (values) of « different epochs », a problematic now entirely elucidated by Marxist theory.

We can then recompose SR-ER using the average something we are authorized to do here since we are dealing with data given in the same terms for S I and S II.

S I Spec:                 90         + 10         + 20         = 120

S I traditional         80         + 20         + 20         = 120

.......................................................................

S I aggregated         170        + 30         + 40         = 240

Hence:

S I (C = 100)         80         + 15         + 20         = 120

S II                         35         + 8,75         + 8,75         = 52,5 (S II given in terms SR-ER)

The fundamental aggregated ratios in S I force the restructuration mutatis mutandis in S II (with known consequences such as Effect SR-ER in c2 and RA etc ...)

Let us note here that this aggregation is a legitimate shortcut as long as we know what is behind it. For instance, through the analysis of the rate of reinvestment in the case of a hegemonic speculation and a general securitization. Note that the Equations of Marx, re-established in there coherence by the Marxist law of value, allow for a very potent set of equalities.

For instances:

        c1+v1+pv1 = M1 (SI Spéc.)

        c2 +v2+ pv2 = M2 (SI traditional Mp in physical terms)

        c3 + v3 + pv3 = M3 (SII in Cn)

The resulting SR Equations will simply be c3 = M1 + M2 and so on and so forth. Similarly, we can approportion S II in its own sub-sectors. (For the filières this will only entail a statistical recomposition to meet optimum goals as planned ahead, for instance for credit, so as not to cause a unilateral deduction.)

Let us imagine now that securitization is complete: The aggregation of SR-ER which will result would then posit S I Specu. as S I taken globally, all the factors being now considered entirely liquid. In that manner, the traditional sector Mp strictly speaking will be relegated in the aggregation of S I. This is because the real economy never disappears behind the Marginalist narrative of the Mighty Money). This case represents a limit toward which the capitalist world now tends, one which triggers all the latent systemic contradiction to which are added the deduction induced by portfolio capital, i.e., the banking investments and their deductions ...

By definition, all pv Spec., is re-invested, including the bonuses and stocks-options (except a relatively small part destined to luxury consumption) and thus the rate of investment having to remain equal by anticipation in both S I and S II, S II follows as it can through the lowering of the contributions which are part of v (in particular payroll social deductions.) This then leads to privatisation and to forceful restructuring all exclusively meant to insure an acceptable ROE.

We thus witness the inexorable attrition of the part going to v, in particular social contributions which are often replaced by tax exemptions in line with a regressive general fiscal policy ... but a rapidly dwindling one! It goes without saying that this leads to the dismantlement of the Welfare State, and with it of the so-called economic stabilizers, but consequently the general fiscal basis is drastically reduced. Worse still, through the confusion of the « cost of labor » with the « cost of production », the deleterious tendency is to equally dismantle the Labor Code in order to increase labor flexibility, or more precisely the precariousness of work and of working earnings. To cap it all, this logic of the physiological threshold will induce the exemption of the lowest salaries from any income taxes. Of course, all this is illogical from the point of view of payroll social contributions, as much as from that of fiscal policy, because the later is forced to decrease while it must bear all the resulting social burden.

But there is even worse: Namely what I called the race between the speculative Achilles and the Stately Turtle. In effect, although this certainly is an underestimation, it was lately reported that the speculative sector weighs between 10 to 12 times the real economy. However, part of the speculative sector, in particular for the shadow banking, is off the books. No tax is paid by this gigantic mass of exchange often taking place in the form of OTC. However, when the time comes to bailout the private banks out of the public purse, the governments are obliged to take it into consideration: Think only of the consecutive haircuts in Greece, a country that only weighs 2 % of the euro zone, this restructuring having been imposed to avoid the triggering of the heavy CDS chain slapped on this sovereign debt! There is here a lethal contradiction, one which the printing press of the ECB (with its direct or indirect injections of liquidities, such as the LTRO, the FESF and the MES) can in no way resolve. Worse still, this recourse to the printing press in the framework of the universal bank can only make matter much worse. It remains that the balance sheet of the ECB and of the MES funds (for the financing of the MES see, http://www.scribd.com/doc/107046134/ESM-Investor-Presentation ) do not fall from the sky. They are financed by the member States, and this financing is counting as an addition on the existing sovereign debt to be financed at very high rates of interest while the ECB continues to finance private bank at 1 % and less.

By introducing speculation as an autonomous sector in our SR-ER Equations we are able to reveal one of the main dead angle of Marginalism: Its ontological incapacity to differentiate between interest and profit, and thus between speculation and real economy. It remains that the epiphenomena do have their importance, although the logic that explains them is nested elsewhere. If the legal regime defends and protects the hegemony of the universal bank, we need to draw the consequences, by revealing the real contradictions and the ensuing mediations that are imagined by the leading class imagine to mask them instead of resolving them. We must therefore proceed with a double exam: First the internal contradictions and second the external contradictions, among which those engendered by the rate of change.

The introduction of the speculative sector leads to a sectoral rise in productivity albeit a fake one. This increase propagates itself because the rate of profit pv/(c + v) remains organically the same, thus leading to the rate of interest. As we said earlier, it is all fake because the autonomization of the cycle A-A' sucks the blood of the entire cycle A-M-P-M'-A'. We are here very far from the simple deduction effect caused by the rate of interest on the rate of profit. However, money enjoys legal tender even when it is produced by the private financial and banking institutions. The generalization of the perverse effects of speculation to the whole system follows.

Let us first see the consequences and the internal contradictions.

        A) Internal: We find ourselves here within the framework of the supply-side Monetarist policy, that is to say the speculative variations of the classical supply-side theory in vogue since J. B. Say, one that was later         adopted by all bourgeois theoreticians including Léon Walras. It squarely holds that supply creates its own demand or consumption ... Another way to express this is encapsulated in the Marginalist motto                 according to which « if there is a need, there will always be a corresponding supply». We are here in the same dead angle as that produced by the Wealth Effect of Pigou, an economist who does not bother much                about the necessity to question the effective structure of the (social) demand in question. Nevertheless, the consequences for employment, as well as for the rights of workers and employees and for the real social         demand, are dramatic.

Let us take the intermediary case in which S I = both functions of production starting with c1 spec. and c2 Mp. We would have:

        SI :                         90 + 10 + 20 = 120

                                80 + 20 + 20 = 120

                                ................................

        SI (base 100) : 85 + 15 + 20 = 120

        SII :                         35 + 8,75 + 8,75 = 52,5

We see in a blink of an eye the main contradiction raised for the real economy (the SR-ER Equations): Since in the sector A-A' all pv or almost all is reinvested speculatively (in effect the remuneration is here modified speculatively via the preferred and common shares, the stock options, the bonuses and all the other emoluments of this kind), there only remains a small part, which we can call Luxury, spent to maintain the standard of living of these leaders. However, this could theoretically go to infinity if it were not for the corrections imposed by crisis and for the impossibility to effectuate recurrent bailouts out of the public purse at least within the same rules of the game. Capitalist accumulation confuses interest and profit and thus feed on itself without intermediaries. However, through its reinvestment it creates ominous consequences since, as we showed it above, the investments in S I and in S II must per force have an identical rate in order to maintain the ex ante equilibrium. And yet, it is impossible in this case when viewed from the perspective of the classical S I and for S II to follow the rhythm.

For instance: Let us assume that pv1 is reinvested entirely; pv2 by half only, this will give us an average in S I of 30/2= 15 with a rate of reinvestment of 15/20= 0,75. S II must follow at the same rhythm, which leads to a pvd3 = 2,1875 and tE3 = 6,5625. The part of pv that is consumed by the capitalist in S II falls, and he will inexorably find himself in the position of the feudal landlord faced by the capitalist farmer (or rather, he will find himself in the position of the industrialist H. Ford faced by the Morgan banking house ...Because securitization bears interest and produces dividends so that by marching in the direction of a greater confusion between interest and profit, all non-speculative investments become too onerous and must be taken in charge by the State, in fact a ruined State. This will naturally take the allure of the mechanisms of the so-called Californian (Enron) and BC « models » already discussed in my Tous ensemble. We now understand why Ford had a sour tooth for bankers ... (see in http://usa-the-republic.com/international%20jew/Index.htm .)

Because this logic also destroys the fiscal base, the State is no longer able to play its strategic role and deindustrialisation reigns supreme. To preserve its own pvd at an acceptable level, the capitalist in S II must squeeze restlessly his labor force, progressively eliminating all its existing benefices as well as the protective clauses in the labor code. This drama plays today under our own eyes. Other parades are imagined: Such as the total liquefaction of all factors of production (work, capital and technology) on the World stock exchange opened 24-hour a day. Necessarily, this leads to overcapitalisation (for instance the New Techs and their grotesque P/E ratios; even giants like Apple or Samsung are now at the mercy of a badly managed promotion sale or of an attack on its patents.) Above all what is implied is the securitization of increasing parts of the productive apparatus which via the short-term Roe causes a series of restructuration often achieved through a lever effect (LBO, OPA etc). Such speculative restructuration are hailed by the stock exchange because they pump up the quarterly reports and yet like King Midas they destroy what they touch.

Let us add that the prudential ratio of banks are now vanishing away. It now oscillates between 40 to 60 for 1 at best, but without taking into account the huge shadow banking hidden off the books ... Because of this the capitalisation through the stock exchange assumes grotesque allures (see Facebook for instance). This all happens without a corresponding increase of the part accruing to v. To this must be added the canalisation of the cash available to the private firms they are enormous today, amounting to hundreds of billions of dollars. Paradoxically, this vast amount of cash is now reinvested in derivative products, including scraps or OTC, or even nowadays kept idle for fear of the credit crunch and of the haircuts. Thus, the CFOs are now becoming hegemonic over the CEOs, they even have substituted the old international accountants, experts in fiscal paradises who were so well analysed by Vernon in the Harvard Business and Administration School in the early Seventies.

What symbolized best this drifting is, at depth, the yellow function of production of the pitre Robert Solow where Y = f (K,L), L being whatever one wants, full employment of available employment (a clear proof, if one was needed, that an intentional manipulation of Keynes's General theory was here at play simply because it attempted to stabilize the working of capitalism over the notion of full-employment, the variable through which the money and interest dynamics had to be economically understood even if that meant what Keynes called « the euthanasia of the rentier ». (Hence Keynes's full title testifies for his main work). Alternatively, we would have to suppose that these people, Hicks and Samuelson included, had not even understood the argument, which is doubtful. As a matter of fact Solow's target was Harrod because he had silently used his knowledge of Soviet planning to produce his dynamic continuation of Keynes's steady state general theory. Idem for Solow's clumsy attempt to deal with productivity with the exogenous introduction of the variable technology. That being said, the same fundamental critique remains valid for the dynamic model of Harrod who like Keynes remains a Marginalist, but one who at most wants to regulate capitalism to save it from its own » animal spirits ».

All of them rely on the Marginalist economies of scale to approximate the dynamic of productivity and do so despite Sraffa's critiques dating back to the Twenties. On these terms, they cannot even differentiate between the classical free market (!) and the oligopolies and monopolies analysed by Sraffa, Robinson and Chamberlain, to say nothing of their ignorance of Marx, Lafargue and Lenin who apprehended the reality of the capitalism of their time; they even ignored the pregnant description offered by Hobson. On the contrary, the New Dealers had arrived at the same conclusion mainly on the basis of the work done by Means on the emergence of the « big corporations » : They drew from it the crucial concept of counterweights in the form of empowered unions, legally enforced collective agreements and a strategic role for the State, all summed up later by John Galbraith (A concise critical appraisal of J. Galbraith can be found in the Note 15 on John Galbraith of my Book III, in the section Livres-Books of this site.)

This « razor hedge » function of production offered by Solow with its equilibrium at the physiological level whatever that remake of Malthus might mean is now globalised, and as such constitutes the very heart of neoliberal free trade. It relies on a very vicious definition of anti-dumping enshrined in the various free-trade deals, as well as in the WTO; it puts aside any reference to ecological norms and to workers' right (including the social payroll contributions which when everything is told remain nothing other than a «differed salary »). To this is added the strong lever offered capital by its global mobility and what is more, in the epoch of electronic money. This grants it the power to pit all workers all over the world in direct completion among themselves, on the sole basis of their capitalist individual salary notwithstanding the period of idleness (« through no fault of their own »), and notwithstanding the relative size of the households in which the labor force necessarily reproduce itself. This policy went hand in hand with Volcker-Reagan's Monetarism; the endless drifting induced by securitization after the 1999 abrogation of the Glass Steagall Act made matters worse. Of course if the cycle A-A' becomes entirely autonomous so that the sector of the traditional Mp is totally liquefied by securitization and falls in S II then everything goes from bad to worse: Profit cannot no longer meet the demands made by speculative interest, its parasite. In fact, free-traders differentiated between the so-called soft sectors to be sacrificed and the New Economy to be supported; others like L. Summers openly advocated the delocalisation of the so-called old and polluting industries in the Third World because, among other things, the Bhopal tragedy had demonstrated that the damages eventually paid out to the victims were negligible as opposed to the huge amounts paid out in court settlements in the US.

Thus, if we assume here that S I has become entirely speculative as SI Spec., then S II will now include both the traditional Mp and the Cn (c2 and c3), we would obtain:

SI Spec. : 90 + 10 + 20 = 120

SII (c2 + c3) : 30 + 7,5 + 7,5 = 45

As we can see here the speculative logic, the Roe and all the rest, do not allow the possibility to pv2 to follow the trend, so that it must tap into part of v (as we know today even the conditions imposed on the Dalits comrades is getting worse … which says it all.) And it does not help to try to save oneself on the global level, not even with the sovereign debt via the CDS. We will show this rapidly by looking at the rate of change and at the insertion of the Social Formation within the Capitalist World Economy. At best, the fateful deadlines are postponed only to increase the price that will eventually have to be plaid.

It would suffice here to add a word about the lost race of the Stately Turtle, now sold to the private global governance, against the speculative Achilles. It does not necessitate long discourses to show that the national, regional and global imposition of Solow's function of production destroys both the social conquests payroll contributions and the fiscal base of the State. Together with von Hayek's capitalistic anomism and Friedman's Monetarism, it nevertheless informs the current neoliberal « public policy »; it is a version that even fails to understand Adam Smith, let alone the crucial importance of social surplus value; it speaks of « crowding out » and pretends to impose maximum ceilings on public spending although these make no sense except for the will (« will to power » in its Monetarist form) of the elite to forcefully engineer a return towards the minimalist level of taxation prevailing before the First World War and above all before the New Deal. The latter generalized income taxes because with its socio-economic counterweights it had caused the workers' salary and the households' revenue to rise, making it possible to finance the post-war reconstruction and prosperity. In effect, why should the ideal level of central government spending be around 12 % or 17 % of GDP? In virtue of what principle if not the suicidal transfer of collectively produced wealth to a few and destructive and parasitic speculators?

Thus, the share of the shadow banking off the books continues to rise (the volumes of CDS and OTC are now superior to what they were before 2008, that is more than 12 times the real economic assets.) Yet, these chains of financial and banking interdependency do weight their full weight during the crisis causing what is called « systemic risk ». An idea of its magnitude is given by a glance at the Greek crisis, Greece weighing roughly 2 % of the eurozone; yet, the bankers and most hedge funds did accept the haircuts rather than having to live through the emergence of a « credit event » - in effect a default that would have triggered the CDS chain. Imagine now the Italian, Spanish, Portuguese, Irish or French scenarii now in preparation as well as many others ... Thus the bailouts are paid for out of the public purse, even as the same speculative economy destroys the fiscal base, now utterly diminished even in the countries ransomed by capital such as Greece and Italy, countries where their remains precious little to cut or to privatize.

However, the problems do not end here. One must add to the devilish race, the effects induced by the Monetarist restructuring of the banks in the framework of a global free float regime. From 1974, the Banque de France has been privatized; moreover, after that date she could no longer finance the sovereign and para-public debt directly on the primary market as she had done before. Thus, the sovereign debt which has been contained around 20 % of the GDP, started to rise inexorably despite the austerity plans imposed by the Left. With the euro, things only got from bad to worse. Nowadays, the mandate of the ECB has been cavalierly violated many times just to save the private banks. The situation has become identical to that prevailing in the USA, one characterised by what I have called « credit without collateral » (see the homonym essay in the section International Political Economy of this site.)

The central bank is autonomous and private; it is linked to its clients and patrons, the private banks. It is subordinated to the very few primary banks which it nurtures with interest rates at 1 % or less, while this small group of primary banks the same which manipulated the libor and euribor have the privilege to sale State bonds on the primary market, a task they carry for a heavy commission even at time fraudulently, see Draghi and Goldman Sachs in Greece during the negotiations leading to Greece's entrance into the Eurozone. To that are added ridiculous spreads fixed according to the evaluation of complicit and and often affiliated rating agencies. In such a system, the surplus reserves have become meaningless as the central bank is always ready to come to the rescue of shaky banks (with the recurrent Quantitative easing etc.) The crucial link between the banks and the real economy is irremediably broken.

In fact, up to that point, the surplus reserves deposited by the bank in the central bank had to come from the profits derived by their productive investments, a mechanism which justified or limited the higher or lower level of credit offered by the private banks to their clients according to the prudential ratio. The link being broken, the whole edifice has become as fake as a Potemkin village and it is simply crumbling now. Of course, it does not help when the nominal prudential ratio (despite the gimmicks from the Dodd-Frank and Basel III) becomes grotesque, its existence having de facto disappeared. This situation is made even worse by the fact that the weight of the shadow banking is not even taken into consideration and by the repetitive injections of liquidities just to save the banks and keep them afloat.

Nonetheless, all tentatives to re-segregate the risky activities did not lead anywhere: The Liikanen report which shied away from asking a return to the functional banking segregation that prevailed after the enacting of the Glass Steagall Act was rapidly forgotten on the very same day it was unveiled. For its part, the project to create a European banking union is nothing but a belated imitation of the recipes offered by Treasury Paulson in 2008 but which he took from a report written the year before to praise the existing rules and to propose their generalisation although they had led to the current crisis. Yet, the logic is crystal clear: The great banks are linked directly to the FED and to the Treasury so that the prudential ratios have de facto disappeared as most banks are judged « too big to fail ». The small banks, which are still less regulated, are no longer prohibited to operate on the speculative markets.

What remains in this tight system of signs and narratives are the « maturities » of Cecchetti at the International Settlement Bank (ISB) at Basel. We must admit that this is quite a discovery: It is enough for opaque banks to ensure that they can face eventual crisis during 15 days without having to deplete their own assets, that being the time necessary to allow for a crisis coordination aimed at impeding the triggering of the global and interlinked CDS chains. This allows the central banks to come to the rescue and inject new liquidities in the system. Naturally public fiscal policy cannot follow such a rhythm and, as we know, the lowering of salaries and the destruction of existing employment deepens the crisis: Trichet who was certainly not a « frustre » as the pitre Lordon who being from the trade is sincerely convinced that the banks have reimbursed the costs (?) of their bailouts had warned that the first bailout having had a cost of more than 12 % of GDP and around 30 % when all was told, no new bailout of that magnitude was thinkable. Ergo, everything is made to gravitate around the printing press and thus around the injections of liquidities said to be «limitless » ... albeit the taxpayer, who is now collectively called a « pig » by a sort of philosemite Nietzschean if rather trite semantic reversal, in the end gets very tired to foot the bill, and starts felling just like Jacques le fataliste and other like him ... just before the Night of August 4.)

The determining instance here would be that in which both sector S I and S II are totally subject to securitization. This is exactly the goal toward which society is walking at an accelerated pace given that the destruction of the Ever Green Granary instituted by the New Dealas well as the stabilization programs such as PAC the European common agricultural policy already leads to the creation of derivative products slapped on food production. Of course, biofuels were blamed despite the fact that everyone knows they have to be dual or have to correspond to a good agricultural zoning that would impose strict rules to protect arable land within what I called a « food and agricultural sovereignty strategy ». But this blaming game is played without proffering a single word about the devastating effects of genetically modified organisms (GMO). In fact, an exemplary researcher like Gilles-Eric Séralini (v. Science & Vie, Nov, 2012, p 68) saw his pioneering long-term study questioned by various pitres more often than not paid by the same guilty firms, even though his results are irrefutable from the point of view of the methodology and probabilities used. Moreover, his study lasted two (2) years instead of the usual few weeks! If some exposed subjects in his study do remain healthy, the researcher would have in fact produced a supplementary discovery concerning what he calls genetic effects (see for instance the Uganda women who are auto-immunized against Aids.) The whole media debate was therefore really grotesque and speaks dramatically to the servile subordination of science in France and elsewhere: Allègre is far from alone! It all represents a system and a cluster of economic interests. Objective studies so far confirm what I had written: And if Séralini would extend his long-term study to species with a much shorter reproduction cycle, he would most probably confirm his findings. (In any case, the bee keepers are now pointing towards the same problem linked to the duration of the studies.) It will then remain to extend the studies to Man, which is something else.

Of course, these speculative developments right in the domain of production will be consolidated in the domain of juridical relations. The capitalist property right will adapt with time; we will go from a capitalist property that could be called familial or personal to a shareholding property, resulting in the partial substitution of the owners by the managers (see Domhoff.) We see at a glance that once banking credit is replaced by speculative credit at the beginning with the NASDAQ software developed by Madoff and his ilks, Madoff also sitting at the SEC! , the neoliberal forms take the upper hand. The result is that the logic of reinvestment is falsified by speculative hence short-term speculation. At a minimum, the auto-investment of the enterprises listed in the stock exchange is limited by the repurchase of one's own shares, so as to keep quotations high with a zero effect on real productivity; it is also limited by the necessity to pay dividends while complaining about an alleged « double taxation » (a complaint which extends to the entrepreneur's share of payroll social contributions and de facto vanishing taxes on capital!

Concerning the entrepreneur's payroll contributions, it might be essential in the current cynical neoliberal context, to recall that even Milton Freidman had conceded namely that the entrepreneur does not pay them at all since they are passed on to the consumers through prices. Hence, workers and employees pay both their own shares as workers and employees as well as the boss's share as consumers. See: W. J Cohen & M. Friedman, Social security: universal or selective, American Institute for Public Policy Research, 1972, p 27. ) This illustrates the inanity of the so-called « redistribution theory » professed by the various Passinetti, Roncaglia and Paolo Sylos-Labini and other such people who led Italy's Left into the so-called Patto sociale of1992, an inept and ill-advised policy which destroyed Italy roots and branches in a few years before leading to the current terminal crisis. As is undeniably proven by facts this inept « redistribution policy » demonstrably and patently becomes a redistribution (of revenues) one that is deeply unequal and filosemite Nietzschean. Thus, 10 % of the population control 48 % of Italy's wealth, while the highest public servants and parliamentarians are paid much more than the European average to keep them servile and brainless. In Italy, this filosemite Nietzschean « march towards midnight » is moreover « Spinellian » in nature, it is surreptitiously and now overtly opposed to our Constitution born from the struggle against Nazifascism. (On the infiltration and inegalitarian drive see the Manifesto di Ventotene, http://www.mfe.it/ventotene.htm, in particular its ending paragraphs concerning the infiltration of the labor unions and leftist groups in general, something which sends us back directly, as testified by the Archives, to the CIA-AFL-CIO post-war policy in Europe.)

        B) External (and monetary seignioriage and suzerainty to borrow from Susan Strange.) The Capitalist Mode of Production ceaselessly revolutionizes productivity. This is its specific and revolutionary contribution to the History of Mankind. In so doing however it digs its own grave. This is because it produces more commodities at a lower price during the same labor time, but does it by « freeing » part of the employed labor force which is thus reduced to the status of a Reserve Army. In his criticism of the Narodnikys Lenin remarked that the CMP is not automatically able to use the new technology necessary to absorb the working population thus reduced to unemployment. Nevertheless, a greater productivity also increases the volumes of profit, this triggering the concentration and centralisation of capital elimination of the competitors. It then leads to the unavoidable expatriation of capital which can no longer be employed meaningfully, at least without deep modifications, particularly of a social nature, in a saturated domestic economy (« mature » economy to use Francois Perroux's term, in brief an economy which mutatis mutandis can no longer grow and must limit itself to the renewal of the existing stocks of commodities and services.)

The external exchanges of the CMP serve as an attempt to by-pass the saturation of the domestic market, at least until new sectors, particularly intermediary sectors are introduced. Merchant capital, and mercantilism before it, had already explored the external markets as a source of less costly inputs. This had already been verified for luxury goods such as spices, silk, furs etc; it soon extended to the first industrial raw materials together with the slave trade as well as to agricultural goods. In effect, Ricardo, who happened to be at the transition between both regimes, did militate in favor of the Repeal of the Corn Laws and of the Elizabethan Laws so dear to Karl Polanyi (see his Great Transformation) simply because it was possible to import wheat at a much cheaper price from the Dominions, knowing that bread was the main and most sensible part of the alimentation of the urbanized working class, whose bare survival was therefore utterly dependent on the price of wheat.

Lenin synthesised in a brilliant fashion this expansionary process of capital from his critical reading of Marx, Lafargue, Hobson, Hilferding, Rosa Luxemburg and many others. (This included the analysis of the Mir and of the pre-capitalist modes of production, a subject that later witnessed the important contribution by Pierre-Philippe Rey, in part discussed in English by Foster-Carter.) His scheme, based on the Marxist labor law of value and on the laws of motion of the CMP which it triggers, remains unmatched. It merely suffices to refine and complete it. It is very different from Baudrel's pitreries, one who remained in a library during the war, as opposed to Marc Bloch, but pretends to speak of an « economie monde» (whatever this inversion might really mean), while preaching the reactionary and patently false theory according to which freedom was strictly dependant on the market, that of the corner shop, of the butcher and of groceries stores. Of course, Braudel does not see the necessity to specify which freedoms are coterminous with the market and at what degree for the moneyed actor in that (perfect?) market. This at a time when monopolies and oligopolies had already asserted themselves to the point where even the American New Dealers had already applied themselves to un-learn the perfect competition model thanks to their analysis of the emergence and affirmation of the « big corporations » (see, Means and later Berle and Means.) This updated analysis pushed them to militate in favor of real counterweights such a collective bargaining, or more ideological ones such as the defensive Antitrust (the New Deal's consolidation of the old Sherman Act.) so useful for legitimation purposes.

The general Schema is the following: First comes Merchant capital together with the primitive accumulation of capital and with the trade counters, soon to be followed by the penetration inside the land that led to the foundation of classical colonies. Industrial capital followed; it was brilliantly illustrated by Marx in his historical work on France in which he analysed the transition from banking capital to industrial capital, following the coup d'Etat of Napoleon III (said « le petit ») see his Class struggles in France, the 18 Brumaire and Civil war in France most notably; see also the great, essential and unfortunately undervalued Paul Lafargue who developed Marxist theory, including for the study of mythology, and whose contribution to the study of credit offers the transition from Marx to Hilferding and more particularly to Lenin. With industrial capital will come the actual occupation of the territories to allow the construction of the means of communication roads, canals and railroads mainly necessary for the export of raw materials. Lenin clearly shows how this led to an imperial hence inequitable sharing of the World between the main Powers, then dominated by the UK and France, and thus to First World War. This was later followed by an extension of these rivalries to the Pacific Ocean. The American and Japanese ambitions were soon at a loggerhead but the Japanese elites were now well versed in the study of the invading West and thus equally polluted by philosemite Nietzscheism, from which they built their own form of racist exclusivism. Later came the Second World War again pitting opposed capitalist camps one against the other.

As a matter of fact, confronted with the treason of the so-called democracies, Stalin had to maneuver to postpone the Nazi threat for a while gaining time to plan the defense of the Socialist fatherland with the 5-Year Plans. This higher-level defense was made urgent by the surreptitious rearmament of Germany by the USA and by the West in general (the Dawes plan and its sequels, including the rise of anticommunism soon embodied by Italian fascism and by German social-nationalism, which in particular saw the role played by the German and American Warburg working hand in hand, and many others of this kind, without forgetting Margherita Sarfatti, the Jewess lover and financer of Mussolini.)

After the Second World War there followed the implementation of the complementary regimes of Bretton Woods, GATT being added to the creation of the twin organisations IMF and BIRD (or World Bank), namely the regime characterized by the internationalisation of productive capital (see in particular Christian Palloix and Günter Frank) and by neocolonialism (see the essential field study conducted by PP Rey, a great connoisseur of Marx and of Polanyi; the latter himself a great analyst of pre-capitalist societies, notably of Dahomey.) Perhaps one can add here such useful descriptions as were proposed for instance by Stephen Heymer: he talked about the family firm becoming a national firm and later a multinational firm he had not foreseen that this could lead to the pretense of transitional firms to do away with nations and Nation-States and even to privatize the Pentagon ... Or again the analysis of the techno-structures à la Galbraith consciously conceived, in the origin, as the public side of the counterweight system implemented by the New Deal with Social Security and collective bargaining legally established to counterbalance the weights of the inevitable private oligopolies and monopolies.

This evolution was later followed by the internationalization of the Stock Exchange and of the securitization (end of Bretton Woods and emergence of the free float regime, Monetarist counter-reformation, public policy, the global Big Bang on the stock exchanges engineered by the City, and the increasing finanzialization of the economy, a process which gathered speed after the abrogation of the Glass Steagall Act in 1999.) We are witnessing now the final crisis of this epoch of capitalism characterized by the usual forward escape of leaders who now would pretend to believe in their own academically cultivated ineptitudes, thus falling prey to the solipsism so dear to Bishop Berkeley and even showing their inept reading of Thus spoke Zarathustra, which would cause Nietzsche to exclaim: hi- ha, hi-ha! Oblivious of the fatal boomerang.)

However within the intimate economy of the defensive ideology of the dominant systems, solipsism can no more replace logic or common sense than perception can substitute to reality. Similarly, the monetary sign cannot substitute for real value. We all know the verdict of modern cognitive analysis: Reality checks inevitably come either through successive accumulations of facts that negate the dominant narrative, or in the form of a brutal rejection caused by a deep crisis, in accord with the epistemological-historical evolution of knowledge and sciences. The crisis will be dramatic. It will perhaps be delayed momentarily if China chooses to sacrifice itself on the altar of capital, above all of speculative capital, replacing planning and socialist credit with the securitization by way of shares and the raising of capital through the stock exchange. Unless, at the very least, the said stock exchange be organized as a socialist institution aimed at the canalization of the saving from previously organized Workers' Funds and Sovereign funds and eventually tolerated foreign investments. This should be done according to the method of the Tobin Threshold laid out in my Tous ensemble, so as to maximise socio-economically the allocation of socially available credit. The alternative of public banks functionally linked to their respective sectors and filières is far superior and more « advanced » than private banking and bourgeois central banks and furthermore it goes hand in hand with joint-ventures.

The new world regime emerging from the present crisis will necessarily have to include a new definition of anti-dumping able to protect the three forms of household revenues as well as fiscal revenues social contributions and taxes necessary to the sovereign State. This new definition would reinforce the new regional and global integration setups, such as the EU, Nafta etc, without in any way, shape or form impeding the qualitative mobility of capital. This new definition of anti-dumping would indeed open the door to the mutually beneficial New Economic World Order discussed in the 70s.

When the logic of externalization of capital is well understood there still remains to link it to the rate of change and above all to what Susan Strange called monetary « seigniorage » and « suzerainty » the privileges of which she described so aptly. Marxism illuminates the whole question. Indeed, we already know that inside a branch, a sector of a Social Formation (SF), it is productivity that set the tone through the valorization process and the exchange. The rate of change of money only concerns what we can call the total or social capital of the SF, that is to say the total reduced to a base C = 100 of the functions of production composing S I and S II. We thus first suppose that the SF are protected by tariffs national or imperial preferences etc. Here we can make abstraction of the different forms of inflation, in particular structural inflation linked to the social treatment of RA. But this can easily be introduced in the analysis (at least if we had good socialist statistics; otherwise following Keynes we have to operate with credible « rules of thumbs ».

As the Marginalist theory is not worth a penny, a critical use of Marginalist statistics, revisited in the light of the logic imposed by SR-ER, will give us a first approximation, that which is granted by economic history, but one which will be informed by a Marxist theory now entirely elucidated. This is a criteria which not even the Ecole des Annales was able to meet since it ignored the law of productivity and was therefore incorporating as best as it could the empirical raw economic data, sometimes reviewing them at the light of the diachronic standard proposed by Jean Fourastié, namely the work of the laborer or the production of mirrors, a kind of product which rested on very stable technical conditions for all societies that had preceded modern capitalism (i.e., a re-take of the « simple labor » proposed by Adam Smith).

Thus the real rate of change become central and underlines later the drifting and privileges derived from monetary suzerainty (we can take the rate pv/v as the differential revealing stick of relative productivity. Let us see this rapidly through the comparison of two SF at a different degree of development and a different degree of insertion:

        1) First case of opening of the SF but with branch-plants in SF II:

        FS I developed; with securitization                                         FS II under-developed with branch-plants

        SI :                         85 + 15 + 20            = 120                                 SI branch-plant : 90 + 10 + 20 = 120

        SII :                         35 + 8,75 + 8,75 = 52,5                                 SI local :                   60 + 40 + 20 = 120

                                 .........................................                         ......................................................…

                                120 + 23,75 + 28,75 = 152,5                                                 : 150 + 50 + 40 = 240

                                                                                                SI (base 100) : 75 + 25 + 20 = 120

                                                                                                SII :                         45 + 30 + 15 = 90

                                                                                                ...................................................….

                                                                                                                        : 120 + 55 + 35 = 210

                                (pv/v =1,21)                                                 pv/v = 0,64

The real rate of change is basically given by the differential in productivity of the SF considering their total capital (the résumé of the SR-ER Equations.) In this specific sense, it already takes into account the degree of insertion but it allows, by reference to specific SR-ER, to track the external balances (trade and payments.) We must perhaps recall here the logic of social surplus value for the advanced capitalist societies or those in tune with a transition towards a form of socialism according to which productivity refers to the microeconomic function of production and the rate of competitiveness refers to the global function of production. Here the rate of global productivity gives us the rate of competitiveness and thus the rate of change.

Let us note that in our schemas in the SF II a part of SI is controlled from outside. This puts it in the same case as that of the internal firms in SF I vis-à-vis of banking credit (a deduction from interests on profit), except that here this translates into outflows of capital. The issuing of money by the local government's attempt to compensate for this outflows naturally leads to destructive forms of inflations and consequently to a Bonapartist authoritarianism . This policy is compounded by the expatriation of national capital, which often amounts to a greater size than the national debt as was the case for Mexico and for Argentina during the 80 and 90, and for the South of Europe today. Günter Frank saw in this process the very mechanism of what he called the « development of under-development ».

Conversely, let us note that in SF I a part is eaten up by the speculative capital A-A'. Of course, this leads to a fake macro productivity or competiveness, one which nevertheless weighs all its weight through the rate of change, especially if it is aggravated by the privileges of suzerainty (i.e., if the currency is accepted as a main reserve currency world-wide.). We now understand that this falsification of the concept of competitiveness flows from the logic of Marginalism, given that it is unable to distinguish between speculation and real economy. This falsification works well with the errors induced by international accounting, still aggravated by the International Accounting Standards now in a rapid process of Americanization in tandem with the dollar ... something which China must refuse in order to come back to modern socialist statistics and accounting rules strictly based on the Marxist function of production and on the SR-ER Equations.

It gives a very bad idea of productivity and competitiveness since it is unable to apprehend the banking deduction and the speculative parasitic mechanism which passes for higher productivity instead; this being still aggravated by the replacement of industry with the traditional bureaucratic services (public and private) and more and more by speculative services (the latter already represents 9 % of the US GDP as against 3 % some 15 years ago.) In relative importance respect to GDP they are fast overtaking the weight of industry and already represent 3 times that of agriculture!!! The theory of marginal utility (the last unit produced, goods or services, be it a derivative product or an OTC cannot ontologically differentiate between real and speculative. Worse by favoring short-terms benefits it induces a total « parasitic » tapping of real profit by speculative interest.

We can then link the main stages of the internationalisation of portfolio capital, of industrial capital and of production capital and then of strictly speculative capital to this basic schema.

For instance:

If we are in a branch-plant system, thus in the context in which the internationalisation of production capital is flanked by the residual portfolio capital (the bank then follow the multinationals in the host or go-between countries, to grant them credit in order to allow their capitalisation against the interests of the host countries), the outflows of capital lead rapidly to under-development. We all know this perverse logic: To mend the domestic saving-investment gaps caused by the great outflows of capital, the concerned countries indebt themselves and as debt commands more debt in absence of the inversion of the capital flows, for instance through nationalisation etc., they do so at an ever greater and cumulative rates of interest, so that this logic of sovereign endebtment quickly becomes infernal. This remained true for the Dominions (White) despite the fact that they were integrated in the dominant Tradition although in a subaltern fashion (Bond Head substituting for Titus Oates, but in an infinite number etc., ...) Thus the subordination of the productive apparatus instead of taking a Latin-American form, with the maquiladoras at their paroxysm, will take the form of the Canadian Auto-pact in exchange for the destruction of all the domestic automotive and aeronautical national firms, of which the Arow the first supersonic airplane to fly which was nevertheless immediately sacrificed after the first test flights. With the auto-pact a continental integration was put in place under imperial domination, so that a negotiated volume of parts was manufactured in the periphery but in line with the benefits and strategies of the multinationals which always had their Head Offices in the USA. This was later substituted by the free-trade deal, the Auto-pact giving way to more precarious negotiated « mandates » of production obtained when the central and local governments are willing to dish out the subventions and other forms of aids ... in order to preserve employment and a vanishing labor force, one that in any case was increasingly dual, an overall process which ends up ruining the provinces over the longer terms. The securitization will accelerate this parasitic and pirating process. What will remain is the return to the usual cards in the hands of hinterlands, at best inserted in dominant networks of communication according to a colonial version of MacCulloch ... the predecessor of Marshall McLuhan for whom the « medium is the message ». Paraphrasing Marx, we will say instead that money is nothing other than a social relation of production, which sends us back to a critical theory of the global communication « networks » that are always over-determined by the modes of production.

If we now go to the stage of hegemonic securitization (global stocks exchanges, money markets, investment funds, hedge funds etc.) we will obtain the internationalisation of speculative capital as it is enshrined by liberalisation, and privatizations in favor of a global stock exchange fronting for the so-called « private global governance » (see the description given from the very beginning by the ILO ref ...), that is to say the pretense to replace the Nation-States, cradles of citizenship and democracy, by a ultra-Censitarian democracy representing the unequal shareholders and their aspirations for a global empire, it too entirely subordinated to the great speculative finance (in fact, «credit without collateral »). The whole thing being characterised as we said earlier by the printing press substituting de facto for the logic of fractional reserves and thus of prudential ratios.

(to be finished from the notes)

Let us now look at the rate of change and at the insertion of the SF in the World Economy.

        FS (I)                                         FS (II)

        84 + 16 + 20 = 120                         80 + 20 + 20 = 120

        36 + 9 + 9 = 54                         40 + 10 + 10 = 60

        ..............................                 ...............................

        120 + 25 + 29 = 174                 120 + 30 + 30 = 180

We have already seen that the real rate of change (without RA and thus without inflations) is given by the global productivity or competitiveness differential, that is to say directly by the relative rate of surplus value pv/v of total social capital in SF I and in SF II.

The salary mass of SF I is equal to 25 (i.e., pv/v up ¼) and that of SF II is equal to 30 (in abstraction of RA etc.). Thus it is through the differential of pv/v total that the basic rate of change is established. This been acquired we can then move on to take inflations into account. And then we can introduce the banking interest (which will impact the rate of change falsifying it and leading eventually to a systemic bias implied by the suzerainty of a currency over the others. (An imperialist perversion which needs to be corrected by the return to the real rate of change given in Marxist value terms.)

There remains the case of speculation inscribed as such in the SR-ER Equations by the present neoliberal Monetarism. In this case, the situation is only worse but implies the autonomisation of the speculative sector rather that the mere banking issuing of money, although this last adds its own harmful effects to it.

This general Schema is susceptible to account for inflations, interest and speculation; it also leads to a better understanding of social surplus value and is confirmed by it. To wit, by the classical forms, Welfare or Monetarist, of State intervention for the sole benefit of the private enterprises, including the adaptation of the Labor code and labor contracts. This can be easily shown: The intervention is done respecting the formal equality of all capitals between themselves plain-level field. Thus taxes as well as social payroll contributions are deducted from the « structure of v » for the benefit of the accumulation of private capital. (As far as « pv » is concerned, it is but a joke given that the contributions paid up by the enterprise is passed on to the sale prices, being thus paid by the workers qua consumers; of course, when we are in a context of international exchanges this can only add to the privileges of suzerainty: It happens at the expense of dependent countries that are unable or unwilling to protect their own currency and their rate of change. What is involved see below is the imperative necessity to adopt a new definition of the anti-dumping, one that would be capable of protecting the three forms of the household revenue.

The rate of change being operative only for exchanges, it is important to distinguish the forms or regimes taken by these exchanges. If we setup a SR-ER system, whence come the exchanges and what function do they play? The Social Formation (SF) is a sovereign and constitutional construction. It can be national, regional, and even imperial: The factors of production circulate within it more or less freely according to the prices scale defined relative to the higher productivity. Thus, the SF is the space in which the exchange value is formed and this is exactly why the question of the rate of change is raised in the first place, even within the framework of a free-float regime and of a global neoliberal interdependency. (In effect, the bailouts of the banks and other financial institutions do weigh on the State or supra-state entities that govern these spaces. Marxists will not be surprised by this, if only because they know that the same capitalist logic led to the creation of the Nations-States in the first place. It is not without importance to note that the formation of the exchange value scale does not happen inside the multinational or transnational firms despite their abuse of fiscal paradises and of many other fiscal evasion tricks; if only because the goods and services produced in these sub-national spaces must be exchanged against others.)

This been understood, the first form of exchange does necessitate some sort of surplus in the current SR-ER, or conversely some potential gaps to be filled by imports to insure a greater growth. This is the case for the pre-capitalist forms experienced in the History of Mankind (including the Roman empire which had organized its internal exchanges taking into account the space outside of it and denominated as barbaric (from the etymology: who speaks an un-understandable language.) On Roman maps we can read « hic sunt leones » to designate non-Roman Africa. In other terms, we are dealing with simple imports or exports, a system which later will lead to tariffs devised to protect the national SF, in accordance with the lesson of the German theoretician F. List. As we know List had argued against the classical British free trade which also prevailed under this form according to the precepts of the « comparative advantage » of Ricardo: English wool industrially manufactured against craft-produced Portuguese wine sold to great beer drinkers, such a system rapidly causing the ruin of Portugal and its relegation to an enduring subaltern status.

It does remain that these imports and exports are determined according to a SR-ER system nationally controlled in the SF of origin. Because of this the surpluses needed to export do not enter into the internal social demand, and therefore do not modify importantly the prices, although they do exert a pressure on the fate of the workers. Indeed, from this follows the capitalist search to find cheaper way to insure the basis needs of the proletariat, from the Repeal of the Corn Laws to the grotesque and ruinous current but ill-thought out sequel in the form of what I called «wal-martyrisation ». We have seen that this withdrawal is tantamount to the formation of stocks, the commodities being eventually re-introduced in the internal circuits according to the prevalent logic of valorisation.

However, as far as imports are concerned, everything is mediated by the rate of change, one which is always badly calculated. This is because the global productivity or competitiveness differential never is an « unequal exchange », an oxymoron à la pitre laid off by such pitres as Samir Amin; on the contrary it rests on a concrete basis. Symptomatically, this vanishes with the recourse to joint-ventures, especially when these last demand real technology transfers as China did, instead of repeating the useless petit-bourgeois, subaltern and colonized whining of such uncouth characters. In truth, Amin is a verified pitre: He reads me, contributes to my occultation and when I call for a new and ecumenical but strictly Marxist International without any numeral, he quickly takes upon himself to propose a 5th , probably to be led by himself, one who knows precious little of the Marxist Law of Value. I can almost hear the banlieue and the periphery shout aloud: « More idiotic than that can hardly be », and there is no need to add anything else! (Or perhaps there is. Added Nov. 2013: After the murderous coup d'Etat in Egypt against the democratically elected President Morsi by the military cast advised by Israel and the US, this Samir Amin defended it publicly. We might have guessed it, anyway.)

Are added to this all the Marginalist distortions of which inflation is not the greatest compared to the unilateral control of banking credit and speculation by the Center. The post-War era has illustrated how the so-called democratic Center did not hesitate one second to destroy elected democracies every time they attempted to regulate private property. For instance, they did this by arming and advising Pinochet in Chile or, before that, in the Philippines, Indonesia and elsewhere, in order to reverse by brute force the positive emancipation waves that had followed the Bandung Conference. Of course, as soon as capitalist credit a deduction even before it becomes totally speculative is muzzled, exchanges loose a great deal of their negative character, which otherwise inexorably leads to the development of under-development.

It is useful to propose anew here the typology of Antonio Gramsci, which was later developed by Galtung: Center and Periphery, Galtung adding the concept of Semi-Periphery. We can then rapidly illustrate the main forms of insertion of the SF. Of course, the effects will be different whether or not the implied SF have recourse or not to « delinking » (as was the case, at least for some of them at the time of the USSR and with the massive arrival of new independent States in the UN membership, after Bandung.)

Portfolio capital resting on the control of the capital flows from Center and producing an asymmetrical trade balance despite the tariff barriers.

Given that productive capital always induce banking capital outflows as well as an intra-firm commercial organization, which makes the trade balance as such obsolete. (Remember that around 50 % of Chinese export to the US today originates from the American multinational firms installed in China.)

Speculative capital with rapid transition to shareholding property securitization and the listing on the stock exchange now increasingly globalized. We then witness all the phenomena described above and caused by the parasitic effect on the SR-ER by speculative capital. And this adds to the adverse impact of monetary suzerainty (the US dollar and in part the other leading reserve currencies) on the rate of change as such. The flows of capital are then dominated by the private global governance regime, the capitalist States having first abdicated their Ministries of Finance and of Economy to an internationalised Treasury, now closely subordinated to the IMF diktats and through those to the diktats of the worrisome front door neighbor in Washington, namely the FED. (A delocalization of the IMF and of the Bird is now well overdue together with the revisions of their quotas as well as the reform of their mandate and of the role of SDR or Special Drawing Rights.) Today, the Treasury acts only as the de facto prudential ratio of last resort necessary to sustain the balance sheet of a central bank now subordinated to the so-called select primary banks and to ordinary banks, all currently emulating the « universal bank » model. This adds a supplementary contradiction one which is solely and wrongly understood as deindustrialization and outsourcing since the exchange value scale continues to be defined in the national Social Formation (SF). This is done while capital and its international flows are only subject to the auto control of the banks, at least up to the crisis of 2008. Today, things are the same, except that the sovereign States have to foot the bills, in the USA as in the EU and elsewhere. In the EU the member States are still solely responsible for their own debt without any control over the rate of change of the euro (which nevertheless remains a joint power), or on the main interest rates, these being controlled unilaterally by the ECB according to the needs of the Center of the Eurozone. (In my Tous ensemble I had asked for proper Cooke ratios to be determined in its own SF by each member central bank of the ECB within a fluctuation margin defined collectively; this proposal would have spared us many ineptitudes including that of the impossible Eurobonds. The plain ineptitudes of people such as the pitre Mundell, who is also a Nobel Prize like the others and for the same reason, were retained instead: But no one asks for reparations for these ruinous ineptitudes, and so they are free to add more of the same stamp!)

For a new definition of anti-dumping capable to protect the three forms of the household revenue and the ecological norms.

(The exposé on the rate of change needs to be completed to take into account constant prices and the more or less pronounced insertion of the respective SF in the World Economy.)

However, we can already enunciate the essential elements with regard to the operationalizing of the new definition of anti-dumping, which proves necessary to manage a fair trade and financial international regime. We must underline the fact that a good anti-dumping definition sets the parameters and thus solves upstream many of the most difficult problems inherent in evaluating and comparing rates of change.

What is needed to operationalize the anti-dumping calculus? We must evaluate the global productivity or competiveness of each SF since money, credit and speculation send us back to that level. To insure the validity of the evaluation when we are comparing SFs we need to consider:

The constant prices or the impact of the various types of inflations

The three forms of the household revenue. As far as the public services are concerned this could simply be done in terms of % of GDP for each program in relations to the services effectively offered, evaluating these in turn with respect to the specific productivity in these services industries; in this case, the productivity calculus needs to take into account the structure of the service actually offered and universally accessible or not by the beneficiary-citizen, as well as the waiting time. Of course, taking into account the acquired rights i.e., the labor conquests so as to push for a positive international emulation.

This definition is then easily made operational, verifiable and comparable between the concerned sectors and SFs. Moreover, being based on the objective calculus of the specific productivity of the service sectors, this system would entice the emulation of the best worldwide solutions as judged in terms of the underlining workers' rights, which in turn would entice a greater research for the possible benefits in terms of social surplus value over the micro-economic productivity. Below these thresholds the tariffs would protect the domestic economy of the SF and in particular full-employment which would be the ultimate goal to reach according to the maximum possible Reduction of the legal working time; the emerging Social Formations could for their part protect their own industries, international competition playing its full role qualitatively speaking when full-employment would be insured along with social safety nets, conceived as citizens' rights. In fact, if this system the joint-ventures were to become the rule, it would induce a qualitative mobility new technologies of production capital.

We would then have a relatively simple but highly efficient operational system, one that would function thanks to a qualitative « emulation », measured in terms of social progress and welfare for the masses ( the concept of «emulation » being here understood in the precise communist sense given to it by the comrade Ho Chi-Mingh.)

XXX

The speculative system.

How do we go from the system over-determined by a rate of profit 20/100 to the new system over-determined by the speculative rate of profit 30/100? (Albeit fake because we are dealing here with a rate of interest disguised in rate of profit, although already untenable per se ...)

This is done by way of living labor placed in new productive conditions in terms of the fundamental ratios but with a day of work unchanged as to its duration, say 7 hours.

From: [ ...v.../...pv...] we go to : [...v.../...pv...]

                20/20                               10/30

As the base remains C= 100 for comparative purposes, our problem is already resolved. But this can be verified by the logic of the proportionally inverse evolution of the ratios.

Let us recall: 80 + 20 + 20 = 120 Euros = 120 Mp. If the productivity rises from 1,25 [ (pv/v = 20/16 and v/C = 16/(84+16) ]. The evolution happens through v which remains identical in real terms Mp (20 Mp now cost 16 euros) but its exchange value decreases in direct proportion which is exactly the objective of the capitalist maneuver leading to a productivity increase. The same thing prevails in our case staging a change in moral conditions. Let us write the consequences and draw the conclusions.

        SI F-S                 30 + 70 + 30 = 130

        SI reformulated: 90 + 10 + 30 = 130 (le SI ante was: 80 + 20 + 20 = 120)

        SI new                 120 + 80 + 60 = 160

Whence:

        SI (C=100)         60 + 40 + 30 = 130 (average made possible since everything is given in identical terms)

        SII                         70 + 30 + 30= 130 (SII given in terms RS-RE.)

We note many things here:

The fate suffered by the labor force: It shows from a different perspective the ineptitude of Solow's physiological threshold, the same economist who tried to include in an exogenous manner technology to give a semblance of dynamism to his system, built as a critique to Harrod (!). There is an intensification of the use of the labor force going hand in hand with the change in the moral conditions, which is rather serious if it is not followed by a lowering of the duration of work.

The deduction operated by the autonomised securitization but generalized by the commoditisation of the fixed capital (cf) and of the circulating capital (cc) thanks to the stock exchange etc., does affect greatly the relative weight of the sectors. (We will have to return on the subject when we will examine rapidly the link between the (descriptive) primary, secondary and tertiary « sectors ».

Interest and speculative interest differ. Interest is a sectoral deduction on profit which leads to crisis ordinarily expressed by the so-called Trade cycles (since the capitalisation is done in an incoherent manner according to the inequality of the existing private property which skews the socially optimum allocation of available resources in favor of the greatest. Speculation as such confuses interest and profit, and thus is nothing else than a state of permanent crisis: This is demonstrated by the present situation in Europe and in the USA. We must return to the race between Achilles and the Turtle i.e., specifically the impact on fiscal policy.

(Every commodity has a dual aspect: ve and vu. This is why interest is subtracted from profit. If a ve is exchanged for a ve with an interest added but without a different support, it can only be parasitic in relation to the exchange which goes on between real commodities in the real economy. Note that the monetary circulation i.e., salarial masses plus rotations has nothing to do with credit and a fortiori with speculation. These are capitalist perversions linked to the autonomization of the money form: Say-Ricardo leading through Cournot and Walras to a (Marginalist) economy uniquely based on exchange value disconnected from any use value.

The Central Bank and the banking system, intermediation, speculation and planning, the prudential ratios.

Achilles and the Turtle: the contradictions etc., interest eating up profit and destroying the enterprise: ex., the investment funds, Roe, LBO, restructuring etc., 2) fiscal policy and shadow banking.

The works of art and old wines etc. ... (according to credit and speculation: in general the values considered as safe-havens ...)

Rate of change (SR without AR; SR with AR), insertion and international exchanges.

The prices are only epiphenomena expressing the values over-determined by SR-ER (see the demonstration in HI HA! THE BOURGEOIS ECONOMISTS' DONKISH VISUAL HALLUCINATIONS. What is not scientific is not Marxist and vice-versa. See below.)

Juridical relationships, in a strict and wider sense (redistribution, redistribution epochs, class alliances and class struggles)

Land rent and coexistence with dominance: This should bring us to discuss imperialism versus the Reduction of the Working Time (RWT)

Structure of v

Social surplus value.

Ecomarxism

The overall model is the Plan in three Books of Marx's Capital, to which must be added the Book IV. The latter did not represent a quaternary drifting but a presentation of the history of political economy, or if we prefer, according to the Kantian and Marxist essential distinction between the investigation and the exposition methods. Investigation looks at the real exposition made by History itself, this historical unfolding making it possible to derive the logical exposition laid out in the first Three Books of Capital. Marx, clarifying the old analytical trajectory between the particular and the general or universal (Aristotle corrected by Kant), illustrated this inverse and complementary theoretical processes with reference to the scientific discovery of the new Darwinian biology saying that « the anatomy of Man opens the door to the understanding of the anatomy of other primates » etc. The highest form is more transparent and clarifies the logic of previous forms. Similarly he points out that capitalism as a more advanced historical stage unveiled the secret of labor law of value that was previously occulted by status relationships: The cold logic of the market mades it possible to understand the duality in itself, and thus the rationality of economic relationships.) Marxs plan which we tried to implement relies on the dialectic schema of historical materialism given here before the overall plan:

We could schematically sum it up as follow:

        The Dialectics of nature: Nature ---//--» Man (This is the domain of the distincts: Man is part of nature but the reverse is not true)

                                                     ||

        Overall dialectics or historical materialism: The historical Subject (the contradictory identity of the two dialectics in the act of reproducing himself individually and socially. This act is nothing other than human         labor, which alone can produce exchange values. The Subject is thus ontologically an « historical bloc» to borrow from Gramsci.

                                                    ||

        The Dialectics of History: The previous mode of production (ex. Feudal) stands in opposition (#) to the current mode (ex., capitalist). This is the domain of opposites: One cannot dominate simultaneously with         the other; at best, there can prevail for a while a coexistence under the dominance of one mode.)

We should underline here that the link between the Dialectics of nature and the Dialectics of History is embodied by the Subject (a human being understood as a « historical bloc » individually and as social classes collectively.) This situates historical materialism well above the irremediable duality of Descartes later re-proposed with a pseudo-Leibnizean twist by Ernst Bloch (Object/Subject). Better still it situates it above the opposition of contrary concepts said to transit through the « unity of opposites » towards a new synthesis, a plain ineptitude adopted by Hegel himself, and one which makes his analysis, though always interesting, of the dialectical moments slip into an Aristotelian bent and into an often futile psychological volubility, albeit always abstruse ... With his simplification as Thesis/Antithesis/Synthesis, Michelet did mask the problem for a time. Everything is clarified by reference to the twin Marxist Method of investigation and exposition (which, deep down, is that of the Critique of pure reason of the great I. Kant whom Marx succeeded in making dialectical from its original stead state form: The « concrete in thought » of Marx is the « a priori concept » of Kant but finally historicized, Kant taking great pain also to emphasize the crucial difference between general laws (to which, at best, is confined bourgeois science and notably the sociology of knowledge in the social fields) and universal laws (in the framework of a precise universe as I had opportunity to remark, which implies that one interrogates himself on the modes by which the transition from one universe to the other happens without falling in the often vacuous metalanguage phraseology .) The great Louis Althusser, faced with an incomplete labor law of value, did remember the gist of this Kantian-Marxist lesson in his magnificent methodological analysis entitled On the Materialist Dialectic, in La Pensée, August 1963, in which he distinguished between the various levels P1, P2 etc ... The English version is available in www.marxists.org . Of course, Kant was a vehement and acerbic critique of what he called paralogisms One might recall that the Pythagorean Plato stages Socrates's denunciation of sophisms and Sophists ...; Jesus too was obviously very Pythagorean for instance with respect to the exclusivist and already then obsolete Law of the Old Testament. Kant's most acerbic condemnations were especially reserved for those paralogisms used knowingly to mislead the people and churned out by the various pitres supposedly «awakened » of his own time. This made him one of the most subterranean and potent force behind the French egalitarian revolution. Nevertheless, Kant's lack of historical training he had started with modern astronomy explains exactly why, despite being one of the greatest and most refined logician of all times, does not always distinguish between distinct and opposites, although the distinction is necessary in order to conceive historical becoming and extirpate oneself from the Aristotelian categories. For him the mystery of becoming is a natural phenomenon ex., the transition from youth to old age which at least forces the analyst to be clear about his categories which as Herder's species could evolve in degree but not in nature. Indeed, here resides the unique worthy contribution by Benedetto Croce during his youth. For the rest, Croce does understand precious little of the Marxist Labor Law of Value which he nevertheless pretends to criticize ignoring the basic difference between the duration and the intensity of work ...

« Marx in the Matériaux in the Ed. La Pléiade used by Christian Palloix shows how the immediate process of production contains a labor process and a process (of production) of valorisation. Palloix sums it up in the following fashion: Pi = Pv + Pw

Starting from this I want to show:

That the relations of exploitation have a triple aspect and that the nexus between these three relations rests on this triple aspect.

Objective relations of exploitation which designate the material aspect of the labor process and which is characterized by the objective aspect of exploitation i.e., the extraction of absolute surplus value, relative surplus value, productivity and social surplus value.

Subjective relations of exploitation:

        b1) of distribution but restrained: The relation of exploitation appears as an exchange relation, that is to say of allocation of the product. Everyone has his/her due: The salary or the profit. These relations of         distribution inside the relation of exploitation mask the reality of the valorisation of capital which rests on the appropriation of a part of the use value of labor.

        b2) Juridical: However these relations of distribution contained inside the relations of exploitation are sanctioned by the labor contract in which each party to the contract appears formally free, thus leading to         the juridical capitalist relations inside exploitation itself.

Relations of distribution: (in the wider or macro-economic sense here and not only confined at the micro-economic level of the relations of exploitation). These relations of distribution send us back to the macro-economic policy implemented by the State. In particular they include the fiscal and monetary policies and their effects over the distribution/redistribution of the national revenue and on intersectoral exchanges. This is summed up by the Marxist Equations of Simple and Enlarged Reproduction.

Juridical relations: They include the whole legal framework that the State imposes or maintains on the corresponding National Social Formation; this legal framework defines the relations of property as well as of possession or depossession, together with the norms pertaining to political representation, individual or collective (i.e., the democratic regime with its specific forms; the laws and/or status which define the fundamental rights of the individuals and groups; the legal status of the economic or other associations (for instance the antitrust law)

The State and the bureaucracy.

Let us now pass on to the analysis of the public bureaucracy as a function of production detached from the production process due to the social division of labor, or if one prefers to the analysis of the State. This will reveal how the bourgeois State superseded by the recourse to what I called « socialist democracy » (see the chapter « Pour le socialisme cubain » in my Pour Marx, contre le nihilisme as well as the Section on Cuba in my site. The only revision made on the mentioned chapter was to state that in no way should we confuse the inside working of democratic centralism with bourgeois pluralism, but this should have been obvious. This sort of confusion was illustrated by the infiltrated G. Lukacs who did not shy away from manipulating Lenin's theory in order to appear as an « orthodox » and remain within the dominant power circles, something Karl Korsch did not buy from the very beginning without waiting for the philosemite Hungarian counter-revolution of 1956 to understand what the stake was.)

This follows from the fact that bureaucracy is necessary because it is the result of the social division of labor, albeit it still needs to be democratized. This democratisation can only be accomplished by the Plan. Socialist planning alone can guarantee the Domain of socialist Liberty and the Domain of socialist Necessity, the latter implying planning and thus the collective management of labor.

Political power is the ability for an individual or a group or for society collectively to proceed with the allocation of society's resources for the benefit of society. This is the classical definition of political power (according to Marx and Duverger, if you will). Marx would have added that before they can be redistributed the resources must be produced, so that the productive allocation which at best means socio-economic planning must precede redistribution. Defense and security are part of the equation but not necessarily since so-called war economies do exist. (In fact, during the war, when waste of resources became potentially lethal, capitalism resorted rapidly to war planning and ... to price control ... which does undeniably show the absolute superiority of planning above the « invisible hand » motivated only by individual profit.)

Of course, the role of the State does not end here. By State we mean the Government and the State Apparatuses, among which the Constitution and the class Justice which interprets it. (See the sociological origins of the magistrates; see also the critique of E.P. Thompson in the pages relative to justice in my Book II Pour Marx, contre le nihilisme.) The mission of the State would equally entail the creation of the material, included institutional and constitutional, conditions that are necessary to allow for the development of emancipated personalities. It would accomplish this respecting the three main aspects developed in my theory of Marxist psychoanalysis (available in the second part of my Book II), namely a) Laicity or separation of church and State; this implies the teaching of the critical history of mythology, religions and the development of the calendar; b) Gender equality (parity); c) Extended and public social, cultural and sport programs.

Thus politic becomes an alliance of classes affair within the general framework of class struggles. We know that bourgeois pluralism was originally Censitarian and sexist. Current pluralism is just a series of concessions granted under the pressure exercised by the people (on the question of popular conquests see Marx's The class struggles in France, The 18 Brumaire and Civil war in France) albeit more often than not granted with the left hand and soon taken back by the right hand. For instance, education was always eminently a class affair for the bourgeoisie and for the many philosemite Nietzschean pitres, to the point that bourgeois sociology, always so conscious of the influence of initial privileges, imagined the ideology of « meritocracy » and that of the « life chances » to consolidate its own advantages: The people, under-represented everywhere, must fight in this domain with an arm tied behind its back. As if this were not enough, an incestuous class-biased selection process is added, this being evidently demonstrated to the naked eye by the permanent violation of the law of great numbers, leading to the current over-representation of specific groups, including in the selection operated within the bourgeoisie and the petite-bourgeoisie.

Bourgeois pluralism is even worse because it forcefully maintains a series of monopolies: notably that of the Masonic selection, pitilessly operated at all levels but in the backstage; that of education and of free available time to spend doing politics; that of the electoral system including the media representation and the financing of political parties and political campaigns which now amount to a real « dictatorship of the bourgeoisie » exercised through the control of private property and money, despite the pretention to offer political choices (most often over-determined by a bipartisan system sharing the same transversal « mind set » ...) Of course, this type of pluralism is fundamentally antithetical to a real democracy, including in its best parliamentary bourgeois version, strictly proportional, as was the case in Italy from 1948 to the 80s. As a matter of fact, capitalist democracy, far from being always republican due to its (Burkean) insistence on Tradition, started as liberal democracy, a rigorously Censitarian and sexist form. When the capitalist dominant classes were forced to grant the universal and secret ballot they quickly reverted back to behind the stage Masonic selection processes; one of their great master, the syphilitic Nietzsche had explained the demo-cratic dangers of numbers. The exclusivist control counter-measures also characterized bourgeois class education.

The State is thus a form inherent to the societies characterised by the exploitation of Man by Man and its analysis must concern the autonomous development of the bureaucracy through History in the guise of an autonomous function of production which serves, as Adam Smith could have said, the « general interest », but as we all know according to a class interpretation. It therefore constitutes what would fall under the analysis of juridical relations (see above). Law is here of the essence, but it is a class-oriented law, and will remain so until the establishment of communism, and as such it manages the institutionalised class relationships, in the first instance property rights, the labor contract and the redistribution forms necessary to maintain class hegemony and the dominate class alliances.

In a post-capitalist regime it would manage what is deemed necessary for the general well-being conceived according to the principle « from each according to ones own capacity, to each according to ones needs ». In his Critique of the Gotha program, Marx explains that the law must be unequal to correct class inequality, and Jules Guesde explained that since public education should be mandatory, free and always accessible, the current salary scale has no other justification except the exploitation and the cooptation-legitimization of the so-called « middle classes »; in short, exactly those groups on which the renegade Bernstein rested his hopes for the salvation of capitalism and which Max Weber, back from Italy after a very serious mental depression provoked by his reading of Capital, pretended to comfort with the concept and practice of « meritocracy ». He meant class-biased meritocracy strongly reinforced by Masonic pre-selections, an interpretation that perverted even more the initial theory of « life chances » proposed by Menger and von Mises. At the very least in a rational society governed by the Reduction of the Working Time (RWT) only limited by the maximum achievable microeconomic productivity and macroeconomic competitiveness, the greatest salaries should logically go to the most painful work - namely manual labor since the RWT already manages the other types of the labor process with the Labor Code, union rights and ergonomics. These arduous and painful types of work should therefore enjoy a higher salary or, at the very least, they should see the pension age lowered: As we know today depending on the situation workers tend to die from 7 to 11 years before their managers ... Which goes to show to what extend bourgeois society is murderous for the majority of Humanity, which it forcefully keeps chained in the Prehistory of Humankind.)

We should now present some elucidations concerning the definition of the State, and of its communist form corresponding to the positive demise of the antecedent socialist form. To make the discussion easier we will continue talking about the « State » but with a qualification either socialist or communist. This choice follows from our wiliness to demonstrate that, in a transition society, money like a mean of exchange does not disappear, no more than the social division of labor, and thus the necessity of the exchanges. On the contrary, the social relation in which exchanges are based is now entirely modified. Surplus work, which should not be necessarily confused with exploitation, does not disappear, no more than the corresponding surplus value, but this last takes the positive form of « social surplus value » one that is collectively managed and controlled. The State and its apparatuses do not disappear; instead, given the necessary division of labor. The State relies on the bureaucracy which must therefore be democratized from top to bottom by recourse to « socialist democracy », the heart of which is constituted by socialist planning Socialist democracy excludes bourgeois pluralism as defended by the fake « orthodox » Leninist Georg Lukacs in the light of the failed Hungarian counter-revolution of 1956, a revolt eminently reactionary and philosemite Nietzschean; it followed directly from the treason of Beria who had participated in the murder of Stalin with the complicity of the USA. In fact, the United States had promised him its backing as the new master of the USSR in exchange for his abandonment of Eastern Europe. As we know what failed with Beria succeeded much later with Andropov, one who always lied about his origin just like Beria, and with his handpicked pitres and traitors Gorbatchev and Yeltsin among others.)

According to our definition, the role of the State consists in the creation of the material and institutional basis of socialist freedoms, which it does through Planning and thus through an equitable redistribution of socially produced wealth. Planning forms the core of the Domain of Necessity in which free individual citizens discipline themselves through their voluntary socio-economic association for the common good; hence, planning must go through the gathering, articulation and diffusion of the information (particularly in the form of statistics) which permits the management of the Equations of SR-ER according to socio-economic choices effectuated thanks to a socially determine priority list. Things are very different indeed whether we look at them from the standpoint of the CMP and its epochs or from the point of view of an egalitarian transition out of the historically exhausted capitalist mode of production.

When dealing with the productive allocation or consumption of resources, aside from the Equations of SR-ER, the essential elements are contained in the sharing that prevails between « v » the variable capital or revenue of the worker and « pv », the surplus value or profit, knowing that for these two components mutualisation is far more efficient, be it in terms of contributory social programs payroll deductions or in terms of entirely realised « social surplus value ».

To avoid any ambiguity here it will be useful to go through a conceptual continuum. This will be done considering the function of production and its result M, after the deduction over constant capital, so that the continuum will involve different forms of sharing of the amount (v + pv). The starting point is based on a « v » which pays only the individual capitalist salary reduced to its « physiological threshold » according to classical liberalism, that is to say a system under which all the members of the family, children and seniors included, had to work to live, a situation towards which the awakened neoliberal philosemite Nietzschean pitres want to forcefully push all workers' back. This is a strategy that entails the cynical management of the present speculative and economic crisis artfully fed on purpose. Later there followed a capitalist management of the periods of inactivity of the labor force, old age, unemployment and sickness, as well as of the different size of the households inside which the labor force necessarily reproduces. This implied an institutionalised thus more efficient canalization of the workers' savings, by way of payroll deductions. This process will then lead, through the overtaking of the CMP, to a « structure of v » that will cover all social needs, intended on a restricted or wider sense turning this into a very efficient counter-cyclical tool against crisis even under an advanced CMP. It will also lead to the affirmation of « social surplus value » (property being now collective in a State of cooperative form) this social surplus value being in turn divided for a part in taxes necessary to finance the infrastructures corresponding to the general interest, and for another part corresponding to the necessary rate of re-investment analysed above; the extent of this reinvestment is determined by the SR-ER Equations according to the socio-economic choices arrived at collectively by means of socialist democracy.

This continuum also facilitates the understanding of the various epochs of the CMP of which the Social or Keynesian or Welfare State according to the importance granted to the three fundamental relations (relations of exploitation, of distribution and juridical.)

Let us now see how « v » and « pv » are structured in practice.

What I called the « structure of v » sums up the three components of variable capital, namely the « individual capitalist salary», the « differed salary » (essentially pensions, unemployment insurance and training) and the « global net revenue » of the household which on top of the first two includes the transfers accruing to the households in the form of social programs including foods stamps ! and public services. Classical liberalism considered only the individual capitalist salary, a situation towards which the new neoliberal philosemite Nietzscheans now try to «return ». The Social State or its Anglo-Saxon version as the Keynesian State, will eventually come to understand that capital had an interest in favoring full-employment, thus supporting a great part of internal demand. It will thus take into account the other two components of the household revenues.

It did it by institutionalising under the control of the capitalist State the contributory plans financed by payroll deductions. There were epic battles, for instance, to determine the control of the funds accumulated in the pension funds or in the unemployment funds, or in alternatively for the legislation of the logic of repartition as was the case in France. Today, the globalisation of the grotesque function of production of Solow (Y = f (K,L), only proves that Solow and the others were willing to reverse course with respect to the theoretical and social advances neatly summed up in the works of Lord Beveridge and of Keynes. For these two personalities private property, though guarantied, had to give way to insure social rights, which implied a mix economy and the intervention of the State to regulate the market in order to save it from its own « animal spirits », according to the apt expression of Keynes. Or still, once the limits of the mix economy are reached, the recourse to the socio-economic planning devised by the Liberation National Councils.

(In fact, I have often insisted on the fatal blow laid against the Multiplicator of Kahn by the tariff dismantling achieved through GATT and then thoroughly completed by the WTO, a logical conclusion to the defeat of the British Keynes to the American H. White at Savannah. We are here dealing with an external cause but one which plays more dramatically because it is favoured by internal contradictions. As I have underlined, for instance in my Tous ensemble, Keynes remains a Marginalist although one who is favorable to State regulation: In the end his system of capitalist regulation cannot deal with the main contradiction of the CMP, to wit the contradiction that opposes overproduction and under-consumption due to the constant freeing of the labor force by means of unavoidable and ceaseless increases in productivity.

It is indeed this fatal pitfall which pushes the contemporary neoliberal philosemite Nietzscheans to refuse of greater and more equitable sharing of wealth and a democratisation of the regime of private property, in order to attempt a «return » to obscurantism and inequality by brute force, similar to the situation that prevailed during the black years of the 20s and early 30s. The Report from the Iron Mountain stated this ambition very clearly. The « guaranteed annual minimum revenue » proposed by Milton Freidman said it again differently, albeit in a more prudent fashion given the existence of the USSR. However, the hysterical reaction of the Swedish bourgeoisie when it was confronted to the Meidner Plan is possibly even more explicit. The incomparable accumulation logic of the Meidner's Workers' Funds had the potential to completely change the property regime in a few years. Ever since the dismantling of the USSR we can see that such oratory precautions have become superfluous: We are now shamelessly sold, including by so-called «socialists », on the merit of Kürtzarbeit and « chômage partiel » (sic!), a regressive policy choice that goes hand in hand with a never seen before discrepancy between high and low salaries.

Meanwhile we have to endure the macabre philosemite Nietzscheans' new crusades, the most obscurantist being of course those aimed at the internal «enemies » qualified without distinction as « terrorists ». This strategy is carried out by those whom Trotsky called « gangsters » and whom the great Walrasian economist Maurice Allais called « bandits ». In brief, these patented and often tenured donkeys now pretend to return to the « deference to Authority », by which they mean a self-conferred authority, one guaranteed by the Nietzschean hammer, any scientific and objective critique being subject to preventive academic exclusion and to the strict control of the «authorized communications flows ». The boomerang effect will necessarily be devastating and History proves that is it guaranteed « once again », as used to say their syphilitic Great Master Nietzsche and his own masters whom we know, but the next time it will be without Stalin: Because the fundamental critique of exclusivism which always attempts to substitute its own singularity to universality as explained by Marx in his Jewish question included in his Holy Family (see www.marxsits.org ), is the pillar of Human equality and of secular and republican emancipation of the Human Mind (Kant would say: Of Reason). I have updated this in my « Le lit du néofascisme » and in its « Annexe » as well as in other places such as the « In Praise of Reason » see section Racism/Exclsuvism/Fascism of this site) and in my Pour Marx, contre le nihilisme (section Livres-Books of the same.) True equality, understood both as an individual and collective becoming process, remains the sole « deciding » element that opposes Mankind and the putative but self- chosen Overmen or elected races as such.

No countries can live in an autarchic state. It is, however, equally clear that international commerce must be regulated. Classical free trade served the interests of the most developed imperial powers thus provoking the protectionist reactions such as List's. GATT as well as the Monetary Regime of Bretton Woods served the USA, a country that had become the first industrial and economic power after the Second World War, all its rivals having been destroyed. The current version of global free trade follows the same logic and attempts to manipulate a so-called « asymmetrical interdependency ». But it is one which never materialized as planned as I had warned form the very beginning (for example, in my critique of Keohane and Nye). The productivity of the real economy had changed camp; the USA have now become an disproportionate services economy, and what is more these services are increasingly speculative; and thus despite appearances they are subordinated to the good will of their international creditors.

It is worthwhile noting here the crucial importance of the definition of anti-dumping which defines the parameters in which exchanges happen. Keynes wanted to retain a system based on negotiated tariff barriers in order to maintain the productive coherence of the UK (with its Imperial Preferences reformulated by the Commonwealth.) Maurice Allais, though Walrasian but deeply republican, had a good understanding of the crucial importance of the « social economy » to inform his equations; consequently, he proposed a regime of European Preferences (Préférences communautaires) to guarantee equitable exchanges while shifting at the larger level of the European Union (regional bloc) the tariff regime necessary to preserve the productive coherence. This was to be coupled with a monetary and financial reform aimed to guaranteing that credit be available to the real economy rather than to speculation. Instead the EU rapidly followed in the footsteps of the free-traders and copied Nafta. Then it quickly opened its markets entirely replacing the classical European integration with a subordination of the EU to « private global governance ».

Of course, the main tool used to implement this subordination was the acceptance by the EU at the WTO of the anti-dumping definition demanded by the USA in order to extend their own free-trade continental area to the rest of the World. It is important to realize that this definition of anti-dumping excludes off-hand any reference to labor rights and to social programs as well as to environmental norms. This has an immediate effect: It induces the direct competition of all workers the world over, which leads the business class to continuously demand greater labor « flexibility » on the « labor market ». Consequently, of the three forms of revenue of the households, only the individual capitalist salary is acceptable and yet only at its lowest possible level. The rest is always presented as an excessive labor cost! In such a way unemployment insurance is replaced by workfare (or by its European version, be it Kürtzarbeit or chômage partiel etc. ), pension plans are largely privatized while the retirement age is pitilessly postponed the bourgeois ideal remains a return to the initial pension plans: Pretesting an actuarial bourgeois logic, the optimal plan would again be one in which the retirement age would be on average around three years lower than the average age of death (a cynical calculus, the cruelty of which is being compounded by the fact that the workers who contribute most to these plans die on average 7 to 11 years before their managers ...)

As far as they are concerned social services based on the principle of social insurance are quickly replaced by public assistance programs based on a vanishing fiscal base and thus destined at the end of the line to be replaced by private charity. Of course, private charity is always financed by the tax payers through the so-called tax expenditures and many other such fiscal gifts; of course, it always come on the basis of « means tests » and what is more slapped with a philosemite Nietzschean bourgeois and confessional moralism cynically fabricated for the specific use of the mass of citizens now seen a mere « chandalas » see my Nietzsche as an awakened nightmare in the Livres-Books section of this site.)

I have shown elsewhere in particular in my Book III, for instance in the Note 15 on John Galbraith to speed up things that this choice in favor of a neoliberal anti-dumping rested on a massive fact demonstrated by Marx: Productivity increases alongside the concentration and centralisation of capital inside markets which are increasingly « mature ». In such circumstances, outside the introduction of new sectors, these markets can only allow the renewal of existing parks of commodities simply because more products of a given type are produced with less physical workers. Consequently, either the sharing of available work among all citizens apt to work takes place, or else we will witness a return to an illusory past in which only misery is shared among all the workers. This being done along with the attrition of the so-called middle classes, while the decile or worse the 1% on top of the revenue pyramid continues to get richer (privatization, liberalisations, flat tax, tax expenditures, exonerations and fiscal gifts for the capitalists, in exchange for the legislation of a 48, 60, 65 and even 72 hour working week in the framework of workfare and micro-Taylorism.) To be sure, such a regressive austerity policy can only trigger a negative economic spiral, a spiral which the speculative finance can hardly block or even slow down even when it does not yet weigh heavily on the sovereign debt.

In an advanced society the « structure of v » would cover all social needs, the individual capitalist salary being used only to insure an individual consumption choice; this happens through the part of saving of the non-institutionalised salary that the employees and the households succeed in putting aside during their life. Far from suffocating the individuals a fallacious and demagogical critique once levied by a Swedish Right scared to death by the Meidner Plan. It would instead free the individuals and the households from the fear of an uncertain future, and at the same time it would guarantee the individual choice and the sense of individual responsibility. This would be insured at a low cost for society because public services that mutualise the risks do cost much less than their private counterparts which cannot even insure universal access. (In the USA, the private health system costs more than 16 % of GDP leaving close to 47 million without coverage; on the contrary, the European public system guarantying universal access, at least before it started to be sabotaged from within, did cost around 9 %; these costs are now exploding simply because of the fact that doctors are paid by the act, and because of the absence of a public system of drugs production and insurance (public pharmacare). To these structural lacunae, must be added the channelling into public hospitals of most of the heavy procedures ex., more than 80 % of heavy hospital intervention , the most profitable going preferably to the private clinics and sector.

We know that, in reality, behind the fallacious argument of freedom, demagogically opposed to the alleged dependency produced by social assistance, is hidden a cynical and cold strategy which manipulates common sense to produce resentment in the midst of the working and middle classes ... this resentment being surreptitiously turned against themselves, the divided victims being enticed to blame other victims indicated as scapegoats. In effect, the tax expenditures and the exonerations for capital are the only real and heavy current assistance programs. They cost considerably more that the old direct State subventions, which were at least producing calculable benefits, in particular in the public services worthy of the name for the beneficiaries who were not yet considered as mere clients worthy of attention only when cash worthy.

These parasitic costs make abstraction of the obscene remuneration of the managers and owners of capital (the salary scale that used to diverge from 1 to 14 now goes from 1 to 500 and much more ...) Necessarily this does cost a fortune in terms of the available fiscal base. This cost has nothing to do with the small billion derived from the fake 75% tax on high revenues imposed lately in France. Considering France as an instance what is meant is the 33 billion of fiscal credit for oversea, together with the other many but less visible billions to what must be added some 150 billion in fiscal evasion in Italy it is double that amount . This stands no comparison to the few small thousand of euros lost because of alleged frauds in the social programs ... As for tax expenditures, also called fiscal spending, they gravitate towards 120 billion and more in France and in Canada: But they have the ineffable bourgeois elegance to disappear from the radars once granted, so that the State budget is made to appear constantly precarious, legitimizing in this way more austerity and more spending cuts ...

Last example, end of January 2013: Monti continues to empty Italy of its blood with the austerity demanded by the ECB. And yet he has not difficulty at all to disburse the 4 billion euros necessary to save the con artists in charge of the management of the bank Monte dei Paschi di Siena. He does it by sheltering the rich whose 10 % on top already control 48 % of the national wealth, but has no qualms going into the pockets of the poorer households, increasing municipal taxes on the main residence, an increase which strangely is calibrated to produce the same amount necessary to save Monte dei Paschi. Except that Monte dei Paschi only has 18 billion in shaky derivatives; Unicredito, which weights around half the GDP of Italy, has 118 billion of them, at least for what is known to date ...

No doubt, the method will be, and already is , that of the budget cutters even among the philosemite Nietzschean PS in France, duly backed by a Conseil constitutionnel which seems to take itself for the Court of Luxemburg, and which furthermore takes upon itself to reinterpret the constitutionally guaranteed right to work and the republican equality.

To top it off, to these drifting costs of Monetarist « public policy », one must also add the heavy tribute now demanded to avoid bankruptcy such as GM's, or that of Peugeot PSA Finance etc. Or the truly monumental and unsustainable cost dished out repetitively to bail out chronically fragile private banks!!! As we can see, the sense of guilt is for the masses of the faithfuls alone, it does not concern in the least the wealthy and their Great Priests ...

The real reason is to be found in the panic felt by the bourgeoisie, reviving its old demons. For instance, it now attempts to unearth the concept of a « return to a new domesticity and a new salaried slavery » proposed years ago by the Report from the Iron Mountain; later, following directly from this Report, came the Trilateral and Huntington's proposals. The latter was the theoretician of the « strategic hamlets » (the genocidal policies implemented in Vietnam and Guatemala among other nations;) he then theorized the obsessive Trilateral's attack against the alleged « rising expectations » of the workers that could no longer be contained by inflation without provoking a devastating stagflation. Huntington also conceptualised the forced return to the « deference to Authority », that is to say to institutionally self-conferred authority that had nothing to do, on the contrary, with the deference due to scientific method and deontology; in short, the authority of scoundrelous pitres also doubling as auto-selected and patented donkeys crowned by the pseudo-Nobel Prizes of Economics and many others of the same ilk, with one exception, that of the great Maurice Allais. These, lately out of their holes thanks to the communists and to Stalin, now take themselves « once again » for the « masters of the Earth » and dream given that they are well versed in a revived dead language exhibiting a conceptual black hole of more than 2000 years to reconstruct temples said to «blind the eyes » (sic ! )

Let us now move to pv. We have already seen by implication that the sharing between « v » and « pv » depends on the class struggles and therefore on the epochs of the CMP. Classical liberalism was only based on the individual capitalist salary. Later, the Social or Welfare State made the « structure of v » more complex and operationalized it under the hegemony and the direct control of capital. It remains that a part of « pv » is always socialised even under the classical liberal regime. Adam Smith understood the importance of this intervention by the capitalist State better than the present neoliberals these have turned into apologists of the law of the jungle to be implemented through the suppression of all norms labor code, environment, anti-dumping. Adam Smith himself, the father of the « pin factory » was a fervent adversary of apprenticeship because during his time it was tightly linked to the privileges of the corporations and tradesmanship, which blocked the progression towards the segmentation and recomposition of the production tasks theorized by the « pin factory » model, one which opened the way to Taylorism. He recognized however that there was a « general interest » (defence, security, education) as well as a « general interest of the capitalists » Marx reformulated it as the « communism of capital »). For instance, infrastructures serve all capitalists alike, and thus simple justice requires that they be financed by their contribution as a class. In this way, the bourgeois State should rest on a modern taxation system. The most beautiful illustration of this type of taxation, which would open the road to the first version of the Welfare State, can be found in the magisterial work of Thomas Paine. Paine, still attached to private property when it rewards individual effort, had nonetheless proposed to maintain the original equality for all with the total suppression of succession laws which allow its transmission and inheritance, something which remains quite revolutionary even today.

It suffices to glance rapidly at the historical evolution of taxation since the advent of the bourgeoisie. Painting with a wide brush a evidence immediately pops up: Given the specific « structure of v », « pv » would be shared according to the different epochs in one part corresponding to taxation and another to re-investment in order to ensure Enlarged (capitalist) Reproduction. The part corresponding to taxation was minimal with respect to the taxation weighing on labor revenue or on citizens in general. Even Friedman did recognized that the employer's deductions intended to match labor's payroll deductions were transferred on prices, and thus paid again by the workers qua consumers, something which shows the total and rather crass inanity of the current attempt to shift payroll deduction onto the general (and vanishing) taxation base. This is done instead of negotiating a new definition of the anti-dumping capable to protect the three forms of the household revenue, and therefore full-employment, hence also the internal demand and the fiscal base itself. (See the Note 1 of Tous ensemble. It is recommended to read Friedman's franc statement in the original text in W. J Cohen & M. Friedman, Social security: universal or selective, American Institute for Public Policy Research, 1972, p 27. . . » )

But let us come back to our rapid overview of bourgeois taxation policy.

With classical liberalism, a sexist and Censitarian system, the main State revenues consisted in tariffs, primitive taxation on daily consumption such as gabelle tax on salt -, and in various taxes laid upon the so-called vices ... of the popular classes (mainly alcohol and tobacco this last, as much as coffee and tea, having been massively introduced as stimulant for a work force now subjected to the sustained rhythms and cadences conceived by Taylorism. It also consisted on symbolic taxation on the higher revenues, those of some 300 000 male citizens who were rich enough to pay the « cens » giving them the right to vote. There also were speed tickets and such, as well as various forms of confiscations. This in the overall context of the raids upon the colonies' wealth.

The epoch of the Social or Welfare State saw the instauration of a « structure of v » that now included the individual salary plus the payroll social deductions. These last were more or less developed and more or less public but always subjected to the logic of the institutionalization of the private savings of household thus canalized to finance the interventions of the capitalist State. Of course, this redefined the frontier between « v » and « pv », but according to class criteria. As far as « pv » is concerned the fiscal structure became more complex to allow the capitalist State to discharge its socio-economic functions. In particular the income tax was generalized according to a more or less progressive structure; this went hand in hand with the conquest of new unionsrights that granted to the proletariat the legal possibility to collectively negotiate their working conditions and salaries with the big public or private enterprises, especially as these were becoming increasingly oligopolistic in the strategic sectors. (See Galbraith on the counterweight theory.)

In the USA, this trend was strengthened by the lack of manpower during the Second World War, thus re-enforcing the weight of the workers' organisations which were also the main supporters of the War effort. It was later strengthened by the massification of new intermediary sectors (automobiles, domestic appliances and utilities, transportation, leisure etc), and by the liberation of the pent-up or forced wartime saving which permitted the peaceful reconversion to the post-war economy, contrary to what had happen after the First World War. (One example among many is illustrated by the raise of D'Annunzio irredentism preceding the raise of the philosemite Nietzschean fascism cooked up by the Jewess Margherita Sarfatti et al. for her clown and lover Mussolini with the aim of countering the radicalisation of the mass of the unemployed a phenomenon that was further aggravated by the mass demobilization of the often young soldiers.)

Elsewhere this took the same massification form tied-up to reconversion, soon to be imperially subordinated in Europe by the Atlantic Alliance and to the Marshall Plan destined to create subjects and cash worthy clients for the American industries. (One word here about the Baruch Plan: Knowing that Stalin could only refuse, Baruch offered the participation of the USSR to the Marshall Plan but only on condition that the USSR would open all its central planning with the pretext to fairly determine needs among the « allies ». Schuman had no qualms in accepting such strategic subordination despite the opposition of the PCF and of the unions, particularly in the mines and metallurgical sectors.)

Taxation on capital was always minimal even as capital continued to benefit from strong direct subventions, in truth in the name of growth rather than full-employment. These are now replaced by tax expenditures (otherwise known as fiscal spending, to the annual tune of 120 billion euros in France for instance), and by more or less targeted fiscal exonerations and credits. In reality, this monetarist fiscal policy costs far more to society at large than the old direct and targeted subventions ever did; and they demonstrably create less structuring innovations such as the Caravelle, TGV, public nuclear plants etc., etc.) Meanwhile, they are lavished at the expense of employment because of the ideological belief in the globalized « supply-side economics». Moreover, as far as capital is concerned, the taxation on succession was reformed to favor wealth accumulation, while taxation became regressive. The taxation on consumption was generalized in the new form of a value-added tax (TVA), a tax form which as everyone knows is brutally regressive. A new series of administrative levies (fees) was added. On the municipal level, the property tax prevails but is often made regressive by the choice of a convenient base year to avoid the market value swings in specific upper-hand areas.

The class aspect of this Social or Welfare State is rapidly summed up when we look at the evolution of the main taxes: Thus the income tax levied on all the employees, workers and lower-end middle classes who cannot make use of the many fiscal holes - had witnessed a post-war tremendous increase. This increase was only contained by the even more tremendous development of the value added tax (ex. TVA), certainly less visible than the annual income tax return or than the payroll social deductions. This taxation choice simply answered a bourgeois need for legitimacy, while generalizing the most regressive taxation alternative. The taxation on capital witnessed an inexorable downtrend, which is still continued even as speculative financial services are taxed at a very low level or not at all: Indeed, they are often forgotten altogether by the Marginalist-Monetarist logic simply because tons of « craps » and trillions of OTC are exchanged from hand to hand in the opaque « shadow banking » sub-system and are thus below the taxation radars; this remains true for the badly-termed and even more badly-cooked-up Tobin Tax even though the CDS and OTC now weights more than they did just before the massive bailout of private banks after 2007-2008. (I have analysed this as a race between the speculative Achilles and the Stately Turtle, the later being increasingly indebted and increasingly at higher rates of interest due to its recurrent bailout of that new speedy « road runner » (Meep! Meep!) Achilles.

Moreover with the Monetarist counter-reform launched by Volcker, Reagan and Thatcher in 79-80 (see my « Les conséquences socio-économiques de Volcker, Reagan et Cie », March 1985 in the International Political Economy of this site), the central State was entirely subordinated to the peculiar public policy induced by the Monetarist « supply-side economics » : Everything had to be liberalized and privatized according to the grotesque curve offered by Laffer and others (in truth, it is worthy of the napkin on which it was written). According to these analysts, the State had to minimized its weight and its role to free space for private property, but a private property now subjected again to its own « animal spirits » and actively searching for ways, as the pitres Picketty and compadres from Harvard openly hoped, to return to the level of taxation practised before the First World War, that is to say, to a taxation form more regressive than that of classical liberalism. Note added in Nov. 2013: Their hope has now become reality but contrary to what they would demagogically pretend this is leading the World into a situation more serious than that experience during the Great Depression. For the comparative revenue share of the higher 10 % as far back as the late 30s see: http://www.zerohedge.com/news/2013-11-12/7-more-years-low-rates-and-then-war )

Since these people pretend to believe in the crusades of their reversed Good against the Evil of egalitarianism and citizenship, the reduction of the colossal military spending was never in question despite the dismantlement of the USSR in 1991 (the so-called « military Keynesianism » of the 50s, which accompanied the collapse of steel and industrial production in the US thus leading to the Korean War, was then emulated by Reagan and by his current successors.) In such a deleterious context there only remained to cut other public spending, first of all social spending, which was accomplished with perfect cynicism and perversity. In effect, the logic of flat tax, already regressive per se, also took the form of tax expenditure causing the visible budget to always appear precarious any potential budgetary surplus being quickly and preventively eliminated by more fiscal spending, exonerations and credits to capital and to the rich, thus conveniently disappearing from the radars of the media commentators and of servile economists. The most odious of these being without a doubt the education credits, which can only benefits the households that do pay a fair amount of income taxes, and this at a time when schools and universities are privatized, and when tuition fees skyrocket and become utterly unaffordable for the mass of students abandoned to a life of precariousness with a nil or vanishing pension.

This State budget structurally weakened by the tax expenditures permits the masochist legitimization of new taxes in the name of budget equilibrium enforced by law Graham-Rudman now copied in the EU in the shape of the Fiscal compact. Such regressive policy choices are implemented as the State continues to bail out the private banks and enterprises out of the depleted public purse; furthermore, it does this though new debts, while the FED and the private banks shower the bourgeoisie (the 10 % and 1 % on top) with massive injections of liquidities (Draghi calls them potentially limitless ...) In reality these are financed by the only true «lender of last resort », namely the ordinary taxpayer, the same who increasingly ends up excluded from the income tax scale because his salary is too low and barely allows him to survive with two and sometime three part-time jobs.

True to this logic, the Reaganian counter-revolution proposed a neoliberal decentralisation that aimed demagogically to bring together the universally accessible services and the beneficiaries, while in fact the real objective was to dismantle the public bureaucracy linked to these services, one which was often highly unionized, thus making spending cuts easier. Moreover, the States in the USA being legally prohibited to incur debt, the transfer of services without equivalent tax room or revenues led to supplementary cuts at the local level. And yet this did not help equilibrate the budgets (central and locals). On the contrary, despite lower level services and complete or partial privatization, the local governments were obliged to raise taxes: In the end, the tax burden increased simultaneously with violation of the social rights of the citizens (Nonetheless, these social rights are part and parcel of the Un Declaration of Fundamental Rights ... Moreover, in the Obamacare case, the US Supreme Court reconfirmed by default than the Federal has spending power that cannot be questioned when stated as such, especially for Welfare programs, although present Monetarist governments prefer to formulate their half-backed reforms in terms of commercial freedoms and such ... The New Dealers knew better.) Of course, once we input the budgetary cost of the endless tax expenditures, which as we said earlier once granted disappear neatly from the radars and perennially weakens the budget, the whole thing becomes grotesque: In a precise phrase it becomes « once again » philosemite Nietzschean. Which should entice us to re-read again Thomas Paine's Rights of Man (the first anti-Burkean and thus anti-regressive and anti-exclusivist modern manifesto), as well as Marx's Manifesto, both works being intimately linked...

In a modern society at last extirpated from the Prehistory of exploitation of Man by Man, the whole surplus-value would be socialised. In his Critique to the Gotha program Marx shows how this could be accomplished: Deducting from the exchanged value newly created in production what accrues to the employees including the management councils and the research teams etc there would remain to determine the optimum sharing of the remaining value between the taxes and the part reserved to re-investment necessary to ensure Enlarged Reproduction. Che Guevara took up this straightforward and efficient proposal and elaborated on it, exposing his own principles in his crucial article of February 1964 entitled « On the budgetary finance system » Che Guevara reader, Ocean Press 97, p 164. His analysis led to the emergence of the Cuban presupuosto practice, now under pernicious attacks by the capitalist-roaders (see the section dedicated to Cuba in my site.)

The extreme efficiency of Marxs system rests on the Marxist function of production and on the understanding of the intersectoral needs of Reproduction on a greater scale, thus minimizing wastes. Despite the fact that the Equations of SR-ER did not yet rest on an entirely elucidated Marxist theory of productivity one which alone allows the coherence at all levels, including at the monetary level, as I have demonstrated Stalin had succeeded through approximations to transform his under-developed country into a superpower with only two 5-Year plans. Indeed, the so-called command and control economy influenced by Oscar Lange was very much more flexible and pragmatic than is now understood, albeit it was incomplete without the fully elucidated Marxist law of productivity.

Stalin himself who enticed Lange to work in the USSR, was one of the greatest and more honest communist leaders, one capable to discuss with artists contrary to what is now propagandized by the surnumerary and infiltrated philosemite Nietzscheans who assassinated him. (The historical proofs are not under discussion, despite the Western manipulation carried out, for instance, with the film Doctor Jivago, since while he was writing this masterpiece Pasternak had a sustained epistolary exchange with Stalin, like many others artists.) He had solved the question of productivity by Bolshevik practice: That is to say always demanding the highest productivity possible, albeit this could not always foresee the intersectoral needs precisely. And probably through a confusion of economies of scale with productivity, this led to the adoption everywhere and always of the concentration and centralisation in the form of monopolies and often in the form of specialized production cities. To meet in practice these productivity needs, it was necessary to lend a greater attention to the sector of Means of production producing Means of production, to the extent that these were bought, together with the Western engineers, whenever that was possible.

Fatally this led to an increased pressure on the peasantry well described by Isaac Deutscher through the collectivisation of land so as to preserve the masses of peasantry, a policy backed by Kaganovitch (one of the rare Soviet leader who, as far as I know, did not attempt to mask his own role in Ukraine by accusing Stalin.) It is important to re-assert truth here: The famine was mainly due to the frontier war conducted by the German more than 100 000 soldiers disguised a Free Corps -, and financed by the USA, among which the German and American Jewish Warburg, via the Dawes Plan and its sequels. This is also why the mass of the peasantry broke the advance of the German Panzers a truth made unquestionable by the German defeat and by the Archives: See for instance the exemplary work of Gilbert Badia, Histoire de l'Allemagne contemporaine, in particular the volume II, Ed. Sociales, 1962. The historian Badia had full access to the East German Archives before they could be distorted ...

This equally explains the Stalinist diplomacy before the war: Betrayed by the so-called democracies Stalin had to gain time. We all know that the USA did continue selling arms to the Nazis until December 1942, i.e., until the attack on December 7, 42 on Pearl Harbor, the so-called cash and carry policy; furthermore, immediately before and after the German rendition, the United States and Canada were active in recycling many Fascist and Nazi civil servants, policemen and scientists in preparation of its renewed anti-communist struggle. In fact, no serious historian, who is not motivated by belly gratitude like domestic pets, can negate that even before the beginning of the war, Stalin had started to move his heavy industry behind the Urals, because he was already conscious that he could not defeat the powerful German industrial-military machine before the completion of two 5-Year Plans, namely before 1943. Facts proved him right.

With Voroshilov, the first officer of the Red Army trained by the Red Army, the same who saved Volgograd with Stalin at his side at the beginning of the Revolution when the Red Army under Trotsky was retreating everywhere an unquestionable fact, just look at the maps and the territories controlled by it ... , he had planned the resistance with the available means. While Soviet tanks could be specifically conceived and mass produced to resist German shells and be fitted with performing canons with a longer reach, small arms with relatively small reach were massively produced giving the Soviets a great fire power against foot soldiers: The great rivers, particularly at Leningrad, acting as a strong anti-tank barrier. Many donkeys have laughed at Voroshilov and his strategy, with a calculated malice. Among those who laughed maliciously were the same Western officers who knew about Vorochilov's Marxist and ground-breaking analysis of motorized vehicles and tanks in modern warfare, his analysis relying on the Renault armored vehicles that had been first used in the last stages of the First World War.

In truth, Voroshilov's strategy together with his abnegation on the front lines, and under fire with his soldiers like a true communist militant, made it possible to block the German Army at Leningrad thus saving the strategic Northern region and forcing the German army to split itself up in order to march on Baku and its oil fields, a march blocked by the heroic Communist Resistance at Stalingrad. Meanwhile, Stalin had prepared 4 divisions fully armed with the latest Soviet weapons in total secrecy: They were ready as planned in early 43 and were launched in the battle to save Moscow, initiating the great counter-offensive of the Red Army. This then came with such a force and rapidity that it forced the « allies'» landing in Normandy. Without Stalin's Bolshevik planning and the colossal German defeat at Leningrad, Moscow and Stalingrad, the USA would never have landed: They would have signed a new deal sharing the world with Hitler (whom their own advisor from Harvard Ernst Hanfstaengl had been entrusted to polish especially as far as the use of modern media was concerned... Note also that the Italian Resistance group which had captured Mussolini decided to judge and execute him only because, in the context of the Yalta compromise, the USA was already negotiating in order to put him back on power under their own hegemony. In fact, Mussolini's Jewess lover Sarfatti always kept her entrance in the USA. In France, if it had not been for General De Gaulle, they would have re-instated Maréchal Pétain. None of this is questionable.)

The Allies landing in Normandy was speeded up simply because the Red Army was now on the march towards the East and towards Berlin, menacing to quickly take full control of Germany and even of the whole continent. (Note that the first landing at Dieppe had been planned as a failure but one that was masked by a notoriously incapable leader but of the royal family, Mountbatten; the English and American policy was still that of killing two birds with one stone while pretending to answer Stalin's call for the opening of a European Western Front, a call widely backed up by all anti-Nazi forces including inside the US. ) We also know that on the Asian front the USA used the A-Bomb twice on Hiroshima and Nagasaki against a Japanese army which had started to establish diplomatic contacts in order to negotiate the rendition; of course, this was done only to intimidate the Red Army which was poised to march down on Japan from the North.

In conclusion: Bolshevik planning saved Humankind from the horrors of the philosemite Nietzschean versions of Fascism and Nazism. No other system or regime can claim as much in the whole History of mankind, not even Sparta at Thermopiles.

In any case as far as the superiority of economic planning is concerned we have already seen that the capitalist regime itself does not hesitate to implement it in times of war when the waste inherent in the mechanism of the so-called « invisible hand » could spell defeat.

Subordinating the Domain of Necessity to planning, this domain becomes the sole guarantee for the opening of the Domain of Equality and Liberty, this last being as Lenin rightly notes the Esthetics of Equality. The exercise of liberty for all citizens equally presupposes the production of its material and institutional conditions. Of course, when nuclear dissuasion puts aside immediate threats, it becomes possible to slow down the rhythm of accumulation and enlargement of reproduction on a larger scale, if one is smart enough to avoid the quantitative arms race.

After all, as Mao Zedong did demonstrate, the Marxist interpretation of the secular phrase of Ranke is possible: « All epochs are potentially as near to God. » wrote Ranke. With a good Marxist theory and practice, a very underdeveloped and dependent society with a huge demography such as China, it was nevertheless possible to create an exemplary citizen's equality, one which allowed a rapid socio-economic , scientific and cultural development in the framework of a « Maoist socialist democracy », one perfectly adapted to its « epoch » of redistribution (because Socialism too is marked by its epochs of redistribution.) The Maoist socialist democracy included planning, the communes, the brigades, democratic centralism and the mass line, the cultural development for all, the rapid development of science and technology, as well as the freedom of expression for the citizens in the framework of the socialist Constitution and also via the Dazi Bao. Taking into account the logic of the epochs and the generalized increase in social prosperity, we can see that the Maoist socialist democracy would retain its extreme refinement because it would maintain Human Equality as its Guiding Star. Understandably, it must and can take modern forms, in particular as far as planning is concerned i.e., the collective control of the Domain of Necessity and thus as far as the allocation of resources and apprenticeship of citizen emancipation by means of the applied theory of Marxist psychoanalysis (laicity or the separation of church and State, gender parity and extended social program collectively paid and universally accessible.)

The Ideal would be a Libertarian Communism (a necessarily redundant expression).

Property would strictly be collective State-owned or cooperatives, Small enterprises being organised in coops following the example of Jean Jaurès's Carmaux. In this framework, a possession right would emerge for personal goods (this was always the case during the Soviet era in which the Mir was never totally forgotten.) Planning would form the very heart of socialist democracy; it would embody the Marxist Equations of Reproduction analysed above, the functions of production being online thanks to the electronic bar-codes and Internet object technology, thus permitting the real-time gathering and articulation of socialists statistics in quantity as well as in value-price; this would make the organisation of sub-sectors, industries and filières very easy. The rest being a simple affair of constitutional protections.

In this way, the Domain of Necessity and the Domain of Liberty would equally be protected, the first being the material institutional and spiritual condition of the second embodying the education of individuals and collective consciousness taking their own responsibility, or in Marx's terms the recovery of man by Himself. The constant search for the maximum productivity would free the time necessary to cultivate liberty. Boris Vian, who knew his Lafargue very well, talked about a 2-Day working week. This is no longer a Utopia. Let us only say that the Reduction of Working Time (RWT) is conditioned uniquely by the material possibility in a society based on an equal salary for all: It is opposed only by the necessity to simultaneously lower the retirement age. The RWT would rely on a rational definition of the anti-dumping geared to protect the three forms of the household revenue; this would equally trigger the qualitative mobility of public capital i.e., diffusion of the best technology , but eventually also of private capital, preferably through functional joint-enterprises, mandated to set up and implement specific projects implying services or the production of new complex products. The demise of private property now only serving a small parasitic minority, which monopolises the Means of production necessary for the whole collectivity, would be largely compensated for the great majority of citizens. It would in any case be partially substituted by a regime based on possession rights.

Socialist democracy is the best road to the future, as I had proposed in the chapter on Cuban socialism in my Pour Marx, contre le nihilisme. This chapter was marginally corrected later to insure that democratic centralism be not confused with bourgeois pluralism, a system eminently funded on an adversarial class antagonism artfully maintained (the war of all against all dear to the « acquisitive mind » analysed by Hobbes, later transformed into a social and economic Darwinism).

Socialist democracy would feature elections to the popular assembly but in a system in which the heart of redistribution happens within planning through the «social and industrial democracy » that would imply enterprise committees flanked by citizens, consumers, and academic's sand other councils see on this subject the best projects imagined by the Prague Spring in 68, these having been made available with a very useful introduction by J. P. Sartre in his Le socialisme venu du froid. To this system would have to be added the workshops and labs at all levels in order to satisfy collectively non-merchant needs with the use of a part of the surpluses emanating from normal productions. We would then enjoy a supplement of personalisation of some goods. This personalisation would equally be included in the R&D (concourses etc.), the products having first to be massified for an average life cycle to satisfy the needs of all, although later the industrial renewal of the existing parks would be done through higher-end products, which would induce an accumulation of real wealth in the households, instead of confining this into antiquarian shops to assuage the needs of the wealthy.

So-called active old age would then be conceivable out of the merchant sphere as opposed to the present Monetarist strategy. This conceives it uniquely as a manipulation aimed at sabotaging the existing public pension plans in order to privatize these accumulated savings of the households, at least for those households that can still pay for them. This is further done with a postponement of the retrieving age, which fatally induces mass unemployment or at best the precariousness on the growing ranks of the less fortunate Youth, who must now wait on average close to a decade and in some places, as Italy, even more to land a permanent job. (As we know, the present CDI French acronym that stands for contract of an undetermined duration is fast becoming a mission CDI, the duration of these missions often extending to only 3 days ... Truly philosemite Nietzschean black is now being called white.) Active old age could thus contribute knowledge and experience to the voluntary socialist national ateliers (workshops and labs) as well as to the other chosen cultural, social and sport activities etc.

The « structure of v » would be as extended as it could this guaranteeing both the mutualisation of risks and an equal access to universally accessible social programs. In this way, the surplus value (« pv ») will be used to cover the infrastructural needs and the other needs induced by the logic of Enlarged Reproduction. Of course, the individual salary would remain monetized, but this would certainly take the form of two electronic union credit accounts, one a checking account and the other a saving account. This would permit the free exercise of responsible individual choice for all those decisions concerning individual acquisition, hence possession of individual good necessitating a certain amount of cash (cars, etc), according to the saving propensity of each. However the savings accumulated and unused would become publicly owned after death, each generation living its citizen's equality according to the wish of Thomas Paine. This would not concern family possessions salaries would be largely equal anyways which are allowed under the regime of possession. This will advantageously and more equitably substitute for the old, unfair and socially destructive private property regime (the individuals according to taste will be able to exchange these private possessions for others, antiques or modern.)

The essential element being that all citizens and all households would find themselves in a situation of equality without feeling constrained because the system would favor rather than stultify the development of emancipated personalities. In fact, this possession regime would induce a higher-end accumulation of real wealth and thus a real social wealth. Yet, the households can also give way for those who would prefer it to citizens' pension houses. In all cases, the socialisation of daily tasks will be as advanced as possible without detracting from the private spaces and from the private satisfaction of needs which have the potential to lift some of the weight imposed by the many small miseries of daily tasks (domestic appliances etc ... we still wait for the robot, which will do the cleaning up and wash the dishes, one that would nevertheless be easy to conceive if only we allow for electronic chips and bands (Internet object etc) to interact with the robot and the plates, pots and pans and others such utensils so that the robot would always know where they are and what they are and after verification the electronic artificial senses have a wider spectre than the human's how to manipulate them, and so on and so forth. Then these functions and possibilities will impact on the overall design (for instance the washing-mashing would be redesigned to better fit the robotics as well as the material used etc.) Similarly the chute à linge could be robotized with a better triage etc... Be it as it may, vacuuming the proverbial dust seems to be be the hardest domestic task of all ... but in a society governed by essentially equal salaries and RWT, with the socialisation of tasks and taking due account of the painfulness of specific employments, the problem is not at all impossible to resolve. This is not farfetched, since socialism will have to treat all these fundamentally human needs, giving them the priority that they deserve, on the par with social services and the robotization of the heavier tasks, as well as the care due to the sick and to advanced and humane geriatric care. When he visited his fellow citizens in their working or leisure places, comrade Stalin proverbially used to ask if they were « happier than before? », which, when everything is told, is the very goal of socialist planning.)

No one will be left in needs. In fact, at death, the savings accumulated into the individual saving accounts and not used not yet transformed into possession goods would be socialised and could go into a Fund targeting the needs of the most vulnerable fringe groups which cannot through no fault of their own have access to active employment either partially or entirely.

Everything that is not formally prohibited by the law would be legal (Saint Paul already said it in his epistle to the ... Corinthians), education and savoir-vivre or good manners would do the rest. The laws would evolve with the societies they govern. Yet, no attack to collective property would be tolerated no more than today's dictatorship of the bourgeoisie allows any small infringement on the inequitable rights of private property. Simply the legal sanctions would be very different. The most terrible would be the prohibition to participate in public life, that is to say in the crucial allocation of resources through the social and industrial democracy linked to planning , for a 5-year period. This sanction would be renewable according to needs, but without infringing on social rights and without ostracism, because in this open attitude resides the possibility of rehabilitation.

However the socialist ateliers will afford enough extra-flexibility to Planning. With the RWT and liberated time, these would make it possible for all to express his/her creativity alone or with the backing of local collectives etc. This will equally open the gate for a new type of innovation without having to feel the bourgeois constraints emanating from the commoditisation symbolised by the absolute horror embodied by private patents. (In effect patents are just an expropriation of cumulated collective and social knowledge and work, and often they represent a direct expropriation of the Human cultural and genetic heritage. In fact, with a new global anti-dumping definition, private patents would become indifferent and archaic, and could finally be deposited to the UNESCO for universal access. In fact, I strongly believe that the Nation that would be bold enough to travel on this road - new anti-dumping definition and shared patents - will dominate trade, even if at the beginning, the sharing will be bilateral.

It is worth noting that the XXIst century has at its disposition more productive potential than any other century before it. The absurd ineptitudes concerning the « finite world » are nothing but that: Absurd ineptitudes. This is because it suffices to plan recycling, and do so by planning the life cycle of the products in consequence, so as to maximize expected results. This needs to be done simultaneously with the planning of the natural or artificial renewal of resources, and with the development of massifiable substitutes as was enunciated in my ecomarxism (for instance, dual biofuels or those that do not require the exploitation of the best arable lands etc.) We are arguing here for an alternative based on the greatest possible qualitative and quantitative growth, in the respect of the natural and social environment (principle of precaution). Indeed, socialism has nothing to do with the criminal credo of reverse incitement to consumption (desincitement) only reserved to the masses. This was nothing but a late sequel of Huntington's end to the « rising expectations » of the workers ... It had only one aim, namely to protect the terrifying « ecological footprint » of the 10 % on top of the revenue pyramid (including Al Gore.)

This criminal credo of too many ecologists who followed in the footsteps of the Club of Rome without even knowing what a exponential function was like, goes far back. For the modern epoch it sends us back to Nietzsche and his reactionary, obscurantist and racist rabbis of reference, the same kind as those who excommunicated Spinoza and persecuted Marx with the backing of many Steiner and others ... The forces behind the American Report from the Iron Mountain were true heirs to Nietzsche and were soon followed by the Huntingtonian Trilateral, which preached the end of « rising expectations » to the workers' simultaneously provoking the « return to deference to Authority » - self-chosen authority, of course, the opposite of the scientific approach and of the respect due to scientific deontology, the sole authority that deserves any respect, without sacrificing ones own intuition but always in the respect of methodological canons.

In this Trilateral clique was equally conceived the criminal recourse to new crusades by ways of the so-called « civilisation clashes » (always churned out by the same Jewish Samuel Huntington.) These were to be enshrined in a Doctrine and implemented through the recourse to « preventive wars », or even, as the American Jew Dershowitz and others were allowed to preach in Harvard and elsewhere without losing their jobs, with recourse to torture under medical control as practiced by Israel. See on the subject my Ecomarxism in the Introduction and the Appendix of my Book III, Keynesianism, Marxism, Economic Stability and Growth as well as in my article Défi aux écologistes in the Section Commentaires d'actualité of this same site.

(We know that of Nietzsche's project, and the reason why he is openly rehabilitated by so many pitres, was to form a class of « overmen ». To do so he flirted with a matrimonial policy uniting the Jews and the Junkers, which explains many things among which Rosenberg's choice and behavior (even his knowledge and calculated absence in the Conference that led to the Protocol of Wannsee, January 20, 1942), as well as Sarfatti's and many others; to which must be added, since we are dealing here with an exclusivist logic, the Anglo-Saxon Wagnerian reactions of the British Chamberlain as well as those coming from the Wagnerian but catholic camp. (See my Nietzsche as an awakened nightmare in the section Livres-Books of my site.) Today, one must not dig too deep in the Western World to see how this matrimonial policy was revisited, and not only in the USA. Of course, this matrimonial policy has an economic and political layer, but always leads to over-representation. The same thing prevailed in the former USSR and mainly explains its ultimate demise. Thanks notably with the perfume factory of Molotova something which took me longer to understand, but something which inexorably led Bolshevik communism to its ruin by successive layers of rot and betrayal. For instance, the Jew Yeshov, this modern Sade from the Section des Piques but in a more vulgar guise, illustrates perfectly this general process of infiltration, although his crimes were gratuitously imputed to Stalin and to the communists by those whom they had nevertheless saved from the Nazi camps. This happened in the same fashion with which Sade's crimes were imputed to Robespierre, who otherwise was dangerously seen by the masses as the « incorruptible ». With the degenerate Terror largely inspired by Sade and his accomplices, the Revolution could be portrayed as fatally « eating up her own children ». It is therefore little surprising to see these new exclusivist crusaders (in all senses of the word) speak out against «métissage » and against the « social mixity » which I had re-proposed for instance in my Tous ensemble, including at the neighborhood level ... Their obsessive panic is here even greater than their fixation on the hereditary private property of the Means of production. (On this hysterical and pathological and racist fear see my article « Separation » arguing against the silly French-Jewish pitre Finkielkraut.)

Despite all of this the criminal and obscurantist fraud of philosemite Nietzscheans re-emerges today as in the time of Margherita Sarfatti and Mussolini, when advisers from Harvard and other Warburg backed Hitler and Rosenberg just to block the emancipation of the workers and peoples, and to destroy the new Soviet Regime which was consolidating itself in the East. The project remains the same: The forced « return » to a society of new domesticity and new salaried slavery, one which would impose the sharing of misery amongst all workers and employees, and thus a very unegalitarian and obscurantist-theocratic cast society. We have seen above that this is one of the main reason for which the Marginalists like Solow reversed Keynesianism, including the dynamic version of Keynes offered by Harrod who in turn was inspired by Soviet planning. It also explains why these tenured donkeys self-confer to themselves pseudo-Nobel Prizes of economics year after year remember deference to Authority ? They do so while excluding tightly from university any critique that is not conform to the dominant Marginalist system. They do so with a savagery never seen in the USSR, a policy which breeds the many pitres necessary for legitimacy purposes such as Krugman or Roubini reversing readers of my emails without authorisation or even worse à la Stiglitz.

Brassens wrote: « God! How life would be beautiful to enjoy in all circumstances, if you had not taken these affarists out of their nothingness! » Today, society has all the cards in its hands to accomplish a great civilisation leap forward, based on equality and general emancipation. But to do so these parasitic, criminal and ill-intentioned affarists of all ilks and provenance have to be pushed aside, once and for all.

4) History of political economy.

The Physiocrates, Smith, Ricardo, Say, (Cournot), Walras, Marshall, Pigou, Keynes-Harrod (and the hidden Soviet references that inspired the dynamic version), Hicks and Samuelson, Solow and Freidman and tutti quanti (including the grotesque Italian neo-Ricardians Passinetti etc who went though Sraffa's Archives in Cambridge UK Sraffa had been a friend of the Communist leader Gramsci , and who legitimized the ruinous so-called Social Pact of 1992. The dispute over the function of production opposing Samuelson and Solow (by student proxies) and Robinson-Sraffa and resolved by Paul De Marco, Calabrian Communist.) There followed the Monetarist donkeys (from Bachelier rejected by Poincaré, to Hayek-Freidman and worse still by al Khouri, Jefferey Sachs and other pathetic Mandelbrot outside his discipline (Mandelbrot could not make the Grandes Ecoles and emigrated in the US; he righteously pretended to apply chaos theory to the historical series of the Dow Jones, ignoring how prices are formed and knowing nothing at all of exchange value and of the Equations of SR-ER! But, you know, he is the specialist of « fuzzy logic » and he looked for the « equation of god » Leibniz must have laughed his head off, given his conscious reversal done in his Monadologie originally written in French - against modern philosophy which was attempting to question not so much the authority of god (or Good), but rather that of those who would pretend to speak in his steady because they are convinced that they have no soul and are self-chosen.

APPENDIX: Compare the Marxist SR with the system of Tugan-Baranovsky/Bortkiewicz:

The following are the Equations of Marxist Simple Reproduction strictly based on the Marxist function of production for both main Sectors:

        M1 = c1 + c2

        c2 = v1 + pv1

        M2 = (v1 + pv1) + (v2 + pv2)

And this is the illusory system of Tugan-Baranovsky/Bortkiewicz:

        c1 + v1 + s1 = c1 + c2 + c3

        c2 + v2 + s2 = v1 + v2 + v3

        c3 + v3 + s3 = s1 + s2 + s3

The third line represents the production of gold, given as corresponding to profit and money. In this gross mystification, the bourgeoisie is guilty, of course. But academics or presumed such are doubly guilty, and what is more, they are directly or indirectly paid out of public funds!

Excerpt from HI-HA: Supply and Demand reintegrated into the SR-ER framework.

In the Excerpt that follows we show how no model of Supply and Demand can make abstraction of Marxs Equations of Reproduction, which are a « concrete in thought » of universal value and not merely a simulation model of a purported general value. That is to say, Supply and Demand cannot be dealt with in abstraction of what we can call here « social demand », rigorously taking into account both quantities and values. Incidentally, this equally allows a better understanding of the difference between relative prices, value and false units of account.

Excerpt: value, « market price » and social demand.

We will expose here the overwhelming inanity of bourgeois economic theory without sparing any possible variation. We will first present the purest schema corresponding to social demand in value terms; then we will present two principal variations of the bourgeois and Marginalist schemas of supply and demand. This approach will definitively expose all the contradictions inherent to this bourgeois theory of exchange, which pretends to be scientific in the hope to legitimize the absolute domination of commodity and that of the corresponding bourgeois socio-political order. For given identical products, Means of production, noted as Mp here, the first variation will consider the sequential sale of the Mp, so that those which belong to the most productive enterprise will be sold first, total sales being determined by social demand which continues to impose itself, albeit in a subterranean fashion.

A stumbling block to avoid is that which pertains to batches. Here the sale sequence and therefore the batch is dictated by the full cycle of reproduction, that is to say, by the social demand rather than by the sole socio-economic condition residing in the difference between respective productivity. We thus will have a batch by cycle: This being said for those who would be tempted to emulate the Marxist critique to Senior in the present context in which we are situating our discussion. Evidently, if systemic conditions remain unchanged, it will suffice to prolong the reproduction during at least two cycles (or more) while treating each of these as batches. The second variation will consider the supposedly scientific (if not entirely realist) situation dear to the Marginalists and to the other epigones of prices, as arrived at through the marketestablished as the new god-king: We will therefore suppose that independently from the technical conditions which prevail within the respective functions of production, all the Mp are brought to the market at the same time, thus imposing a unique sale price, in other words, a price determined by the equilibrium market price. The very sad inanity of this theory will then appear in the full light of day; in the end, the ineptitude embodied in so-called competition will be exposed.

(Competition is quite redundant given that it is already accounted for in the very act of writing down the production function. This is true for the inputs but equally for the technical, organizational and social conditions presiding to the establishment of the ratio of exploitation, and therefore also of the rate of profit, this last being carefully kept distinct from the volumes of profit. Let us recall that as soon as 1844, Marx underlined the following evidence: Since the effects of competition are naturally neutralizing themselves in the medium and long terms thanks to the mobility of capital then, necessarily, economic logic needs to reside somewhere else …)

Contrary to Jean-Baptiste Say's affirmations, induced by a wrongheaded reading of Ricardo's monetary reform proposals, economic science cannot do away with the basic equality that must prevail between the components of production, and its end result, a problem that had bedeviled Adam Smith when he found himself at a loss to explain the genesis of profit on the basis of his own labor law of value, even when he went as far as including a reward for the owner of the means of production (capital or land) for risk taking. (Let us assume c + v = M like Adam Smith did. If the fruit of production equals past labor embodied in capital plus the wages of the workers, quid of profits?) In fact, J-B Say had misunderstood the pro-Rothschild project contained in Ricardo's monetary reform.

(Sraffa's edition of Ricardo's works is unanimously acclaimed and rightly so. However, here is an aspect typically glossed over, forcing one to carefully read between the lines. Financing the Napoleonic Wars caused the explosion of the debt in the UK, a debt financed with the help of the Rothschild House backed by its American subjects such as the Morgan. This was also done propagating false messages relatively to the Battle of Waterloo, a rumor that allowed Rothschild to buy all the State securities sold in the panic by the most credulous investors. This was perhaps the single most crucial development in the extraordinary enrichment of the English branch of the Rothschild House. It goes without saying that, in time of war, it is particularly hazardous to transport large amounts of gold across the Atlantic Ocean. Better then to reverse to the old trick consisting in the recognition of a debt payable to the holder and written on an easily transported piece of paper; a branch or a trusted banker in the country of destination is all that is needed to make the system efficient, given some bilateral traffic. Ricardo was a Jewish trader who made a fortune emulating the Rothschild, particularly during the Waterloo episode; he then converted and married an English woman to penetrate the UK Establishment and the Westminster arenas where legislation is passed. With his paper currency, he thus proposed the generalization of the old banking trick, but in so doing he was careful as is still the case in Italy, today to leave the central bank, which is necessary to manage the system, squarely into the hands of private bankers. This had an enormous legitimizing advantage because the so-called central bank easily passed for a purely national institution, in any case for one that was precious in order to serve so-called national interests.)

Returning to J-B Say it is obvious that he had happily forgotten the most crucial element: namely, for the paper currencyto acquire a credible economic role the unique hope was to be immediately convertible into Gold, aside from obtaining the State guarantee to become legal tender. And yet, this was only a partial solution as Marx quickly demonstrated, because it simply replaced a metallic general equivalent with another general equivalent in the form of paper currency. It did this without understanding the determination of the value of both by the universal equivalent, represented by the exchange value of labor power.

Say's views were faulty in another way. He boldly affirmed that supply creates its own demand; this gross ineptitude, thought off to replace social demand and therefore the logic of the Equations of Reproduction with the priority given to the microeconomic production function, was quickly taken up by Léon Walras, despite the severe and definitive critique Marx had already levied against Say's typically circular reasoning. It is but an illusion to substitute exchange with two distinct and opposed forms of selling and buying, or supply and demand. In effect, one will soon note, underlying it with a red pen, that the real economic problem does not lie with the unit price of similar products belonging to the same production batch, but instead with the very possibility to exchange commodities in general, which supposes the commensurability of diverse commodities among themselves. Or, to phrase it differently with reference to the classic example, the possibility to exchange a tripod against a bed as Marx notes at the beginning of Book One of Capital in reference to Aristotle and to all economists before himself. In fact, everywhere and always, the production of an alienable surplus precedes exchange, while every possible exchange is necessarily bidirectional, to a demand always corresponding a supply, both sending us perennially back to a specific form of the division of labor, even a primitive one, as is magnificently illustrated by barter-trade and even more illuminatingly by mute barter-trade, a phenomenon well known to anthropologists or to the readers of Aeneid.

Nonetheless, the distinction between supply and demand is not invalid; but it only facilitates the comprehension of the historical form of division of labor, as well as the monetary mediation forms (shells, metals, paper, electronic money etc…) which allow the realization of the products in relative autonomy from the rhythms of production-reproduction. Or even despite the existence or absence of credit and its degree of historical development. Consequently, this sends us back to the dynamic of social demand that is to say to the unfolding of the Marxist Equations of Reproduction. In reference to the false simultaneous resolution by Tugan-Baranosvky, we have shown here in what kind of silly ineptitudes this will lead us. They are, in fact, ineptitudes which have nothing to do any longer with the economic and socio-economic real world. They lead to a fallacious separation and liquefaction of markets, but, in any case, these markets still need to be harmonized by way of a pseudo-general equilibrium, implying a market of the markets.

We will present the argument here in some detail with the hope to put a final stop to all these ideological and baseless ideologies, entirely deprived of any scientific foundation whatsoever. In effect, we are convinced that the substitution of this hallucinatory heuristics, so intimately tied up to the supply and demand diagrams, with the Marxist concept of concrete-in-thoughtinherent to Simple Reproduction, will represent a civilizing advance of foremost importance. It will open the way to the reformulation of a solid common sense, firmly anchored on unquestionable and thus necessarily social scientific bases.

3iv-b) Value and social demand after an increase in productivity.

Let us assume first a situation corresponding to Simple Reproduction (SR) that respects Marx-Bukharin's Equations. Let us assume an 8-Hour working day. To simplify without betraying the subject, let us also assume that the cycle of production is equal to the working dayin both sectors. (It suffices to think of rotations in order to understand the rationality of this simplification: In fact, for products or complex-products, for sectors and sub-sectors, rotations differ without implying anything in particular as far as the whole reproduction cycle is concerned. This is therefore not a conceptual problem at all, but instead a problem for the setting up of proper socialist statistics, which still desperately long to be invented on the basis of Marxs Equations of Reproduction and applied to Socialist Planning.)

Furthermore, let us assume two enterprises only for each sector. Each sector will produce one identical product, more precisely Means of production (Mp) in SI and Means of consumption (Cn) in SII. (In our graphic representation we will only provide one line in SII, insuring that it will respect the Equations of Reproduction, but only because this can be quickly understood as the average for two similar enterprises producing the same product in the same conditions. It actually does not matter here, because the variations that we will subsequently introduce will only concern SI.) For each sector, the product is considered identical or perfectly elastic (we will ignore for the time being the residual concrete differences induced by brand names and by the respective reputation of each firm, by design and other such variations…) Moreover, we assume that C = c + v = 100 so as to permit a quicker comparative reading of the micro-economic equations. Here, then, are the schemas corresponding to SR:

Schema A corresponding to the starting point of our analysis (the line given in bold characters provides values, the other line gives us quantities in relative terms, that is to say in Mp terms, including for SII; the translation of one set of relative terms in another set of relative terms (i.e. Cn in SII) or in value terms does not raise any particular problem when the fundamental ratios presiding to the functions of production, namely v/C and pv/v, are coherent among themselves.):

        SIa)                 80         + 20         + 20         = 120

                        80Mp + 20Mp + 20Mp         = 120Mp

        SIb)                 80         + 20         + 20         = 120

                        80Mp + 20Mp + 20Mp         = 120Mp

        SII                 80         + 20         + 20         = 120

                        80Mp + 20Mp + 20Mp         = 120Mp

In order to illustrate more easily the mechanism proper to social demand as the determinant of the coherence of the SR Equations (therefore of exchange value) but equally of price (and therefore of organic inflation), we will translate value in relative terms. Thus, we will provide quantitative terms in Mp form simply because we will introduce the change of productivity in Sector I, the Mp sector. This does not change anything: In this Schema A, which denotes starting conditions, the organic composition (v/C) and the rate of exploitation (pv/v) are uniformly equal in both sectors, so that 1 Mp = 1 Cn = 1 euro. Later, it will suffice to take into account the productivity ratio, which also provides the exchange value ratio among the different commodities here considered.

Let us now see what happens when the organic composition deepens by ¼, in S1a, that is to say when for the same working day¼ more commodities are produced in S1a, which will thus have a proportionately inverse unit value.

Schema B in Mp terms after a ¼ increase in productivity in SI:

        S1a: 84                 16                 20                 = 120

                105Mp         20Mp         25Mp         = 150Mp

SIb) ?

SII) ?

                80Mp         20Mp         20Mp         = 120Mp

We will now examine how to complete this schema. We have here nothing less than the triumph of Marxs concept of social demand, against all the bourgeois pretentious trivialities illustrated by competition or supply and demand (theories that are always in need to be harmonized later in a reproduction or general equilibrium setting, thanks to the miraculous and haphazard intervention of the invisible hand). This includes all pretensions entertained by petits-bourgeois theoreticians, from Tugan-Baranosvky to Bortkiewicz to Sraffa, Emmanuel Arghiri and many others. And, of course, without forgetting all the ridiculous Diafoirus of economicswho actually pretend to better the supply and demand diagrams by pretentiously calling to task nothing less than chaos theory; see on that subject Note 9 of my Third Book.)

Let us assume that C1 and C2 for SI and C3 for SII are taken on the basis of C = c + v = 100. We then need to be careful not to confuse the capital letter C, equal to (c +v) with small letter c, corresponding to constant capital.

We know that C1 is given as well as c1, v1 and pv1.

Are also given C3 and c3 + v3 + pv3 (since their contribution in Schema B has not change with respect to what they were in Schema A)

By way of the Equations of Reproduction we know that c3 = (v1 + pv1) + (v2 + pv2)

This being so, v2 + pv2 = c3 (v1 + pv1); (or 80 45 = 35) in Mp terms (Mp being used as the specific general equivalent or as the unit of account)

We equally know that v2 = 17,5 (since pv2/v2 = 1 ergo 35/2 = 17,5

As the technical conditions in S1b did not change, we also know that:

v2/C2 = 17,5/C2 = 0,2, thus C2 = 87,5

Ergo c2 = C2 -17,5 = 70. (In fact v2/C2 = v2/(c2 +v2) = 17,5/70 = 0,2)

It only remains to establish the monetary mediation (the lines representing value); it is given by the highest organic composition. Incidentally from this can equally be derived the method to calculate organic inflation, at least when we drift away from the schemas in which value naturally predominates, for instance in the framework of a planned economy (Note that we also obtain the correct way to calculate constant prices, thus to rationally compare both diachronically and synchronically on the basis of values. The sole unexpected surprise can come from changes in moral conditions, in other words in civilizational criteria; this therefore becomes a matter to be dealt with by recourse to the historical method, more particularly historical materialism. This is because all other variations, included historicism, are demonstrably inferior to the scientific method developed by Karl Marx, this being said without excepting the Ecole des Annales at its best, that is to say before it fell into the hands of such as Braudel, Wallerstein and Co. These alternative methods always primitively empirical and/or subjective do not even come close to Marxs on that specific score.)

In this alternative then values and prices are identical.

Here is then the Schema B en terms of valuesprices after a rise of ¼ in productivity. In the case at hand, there is no difference between value and price. Yet, it is already important to substitute the specific general equivalent (i.e. the Mp) by the general equivalent given in money term, which is here squarely based on the exchange value of the labor force. This will allow the restitution of the schema in values-prices, that is to say in coherent economic terms, including for SII, obviously respecting the respective value-price of the Mp and Cn between themselves, according to their own productive conditions.

SIa                 84                 16                 20                 = 120 euro

                105Mp         20Mp         25Mp         = 150Mp

S1b)         56                 14                 14                 = 84 euro

                70Mp         17,5Mp         17,5Mp        = 105Mp

SII                 64                 16                 16                 = 96 euro

                80Mp         20Mp         20Mp         = 120Mp

                64Cn         16Cn         16 Cn         = 96 Cn

The term value (here equivalent to price) is given in euros according to known conditions, i.e. the fact that the organic composition in S1a has gone from v'/C' (0,16)/v/C (0,2) = 16/0,2 = 0,8. This last amount also represents the new value of the Mp based on the new exploitation ratio, which is naturally the inverse, that is pv'/v' = 1,25. We will have 120 euros for 150 Mp in S1a, and thus 1 Mp = 0,8 euro.) The value of the product is determined by the industry gifted with the highest organic composition of capital, that is to say, with the most elevated productivity, one which naturally becomes quickly hegemonic on the market. In realty, this more productive industry will dominate via the volumes of sales, the rate of profit remaining organically identical through and through (systemically) for all enterprises, industries or sectors involved, in an ex ante fashion. This necessity is equally imposed at the epiphenomenal level by the mobility of capital.

Let us note quickly, though this should be obvious to all those who understand productivity, that there is no tendency to a decreasing rate of profit. If at all, this would be a situation encountered at a very preliminary stage before the establishment of the function of production as such, that is to say when the counter-tendency also analyzed by Marx would have played its role … One which can only be given structurally and never punctually. Indeed, this is how the corresponding investigation chapter in Book III of Capital intends it. In Book III, it would have and indeed does not have a place. This tendency to a decreasing rate of profit (TDRP) can only be a stupidity incompatible with the totally elucidated Marxist Law of value, that is to say coherently worked out within the framework of the Reproduction Equations. One will perhaps remember that Destanne de Bernis was never able to find the most minute empiricaltrace of this TDRP, and not surprisingly so …! Evidently, in Sector II (two) one must translate the Mp in Cn, an easy thing to accomplish, since we know the organic composition of both sectors, and thus the relative value of the Cn with respect to the Mp.

We have here the purest schema of social demand. It should be clear that once we have resolved the problems pertaining to the variations in productivity for the Sector I (one), we also have resolve the problems pertaining to social demand in general, since for Sector II (two) deductions are even easier to arrive at; indeed we have c3 = (v1 + pv1) + (v2 + pv2)

In the Schema B we know many things in terms of value (translated in terms of the relative value of Mp taken as the unit of account; but this time around we have the insurance that it is not an odd unit of account, and moreover not one that needs to substitute itself to a strictly non-determinable value as is the case with Sraffa or Emmanuel Arghiri etc.

(Note that Sraffa's commodities producing commoditiesis only a tentative to integrate labor force or more precisely the Marxist socially necessary laborinto his simultaneous equations schemes, but without respecting the genesis of profit equivalent to surplus value. Not surprisingly, the attempt was bound to fail: But, gosh! What an uninterrupted flow of reified rubbish did we get from this commodity basketfrom the so-called neo-Ricardians, especially once Sraffa was no more …! At least Sraffa himself was conscious to be at a «prolegomena » stage …)

We know that the conditions in S1a have changed and we also know how. We equally know that the conditions in terms of value in SII have remained the same as before (moreover we have postulated a used production capacity of 100 %.) We also know that the organic composition of capital in the S1b enterprise did not change, so that only the time and relative (or transitory) intensity of labor can change. Using the Equations of Simple Reproduction of Marx-Bukharin, we can thus deduct the data relative to S1b, taking into account the equilibrium determined by social demand. This becomes the key for the understanding of prices, that is to say for the understanding of organic inflation, a phenomenon later corrected with reference to constant prices. (Needless to say, here it would not refer to the fallacious constant prices given by bourgeois theories, these last having recourse to a senseless average, but it would refer instead to the hegemonic value imposed by the highest organic composition of capital.) Provisional end of the Excerpt.

On the basis of this Excerpt, and thanks to the variation prevailing between S1a and S1b we can see the deviations produced by all forms of competition. We can see this notwithstanding the fact that sales might occur differently in the market. This is due to the privilege afforded by the superior velocity achieved in S1a, or, alternatively, to the fact that all Mp will be taken together simultaneously to the market, blindly so to speak. In these cases, the market price will vary although the organic ratios given in value will remain unchanged, but will do so in an organic inflationary way that will need to be accounted for later, in order to arrive at constant prices and to be able to conceptualize a good monetary policy one which surely has nothing to do with the monetarist salads mixed with supply-side economics.(also known since Reagan-Friedman's applied version as voodoo economics.)

It should be plain for everyone to see that the less productive enterprise has no change to prosper on the market: Its inferiority, similar to feudal rent hegemonized by capitalist rent (or, more precisely, agricultural profit), will manifest itself by the volume of sales of an identical or elastic good, sold at a lesser price due to higher productivity. This, in turn, will unleash the laws of motion of capital, in particular the concentration and centralization of capital, which will impose themselves with an iron necessity. Reverse Schumpeterism, which aims at the artificial fragmentation of property and capital, does not solve anything. It cannot even delay the general movement and, what is more, it never affects transnational private corporations, concentrating instead uniquely on the crapulous and ideological destruction of State enterprises for the benefit of private crooks tightly knit to the existing philo-Semite Nietzschean regime.

This remains equally true for the destruction of government-owned utilities and enterprises and for the artificial and highly State-subsidized creation of small green and ecological pseudo-entrepreneurs. The latter are in fact very useful to the existing regime as perfect little sectarian and petits-bourgeois demagogues, entirely converted to the virtues of desincitationapplied to the basic consumption of the proletariat. Indeed, this crew is never too concerned about their own ecological footprint, nor about the heavy subventions which alone render them competitive (check the green markets and you will promptly have many examples on how markets far from being imposed by natural laws are just the artificially sustained creations of class politics…Need we talk about the carbon stock exchange?)

Anticipating a little, we can already underline the fact that the logic of capitalist accumulation is mainly concerned with the constant search for the greatest possible productivity, in order to force the competitors out of the market. It is therefore mainly concerned with the laws of motion of capital. This explains why the Antitrust never was and never will be more than a demagogical oxymoron, without any real impact; it is similar to the so-called people's capitalismor the capitalism of small shareholders and managers (these last fraudulently opposed to the owners of the means of production as witness to a democratizing trend within capitalism! On this subject see in particular Domhoff.) In reality, the Sherman Act was born during the transition, described for instance by Stephen Heymer, from family capitalism to national capitalism; its reformulation under the second Roosevelt merely went hand in hand with the affirmation of what Heymer characterized as the transition from national to multinational firms.

This was a heavy historical tendency that had already been described by the best New Dealers, like Means, as early as the Twenties as the coming of age of the Big Corporations. It was an ominous tendency which politics and industrial relations had to offset with the legalization of counterweightsso as to arrive at an acceptable form of industrial democracy(John Galbraith inherited this topics from his experience during his youth.) Obviously, this included strong unions and collective bargaining duly regimented by the national labor legislation (and its international prolongation via the ILO.) Under FDR the CIO leader Lewis imagined the catchy slogan: The President wants you to unionizeand was backed by Wagner's legislative push, among other things …

Let us now return to our Excerpt. Let us consider for instance the following schema which introduces one possible form of supply and demand. We will quickly see that, contrary to the grotesque vulgate crowned with so many Nobel Prizes, if one wants to play that marketgame, more than one schema is possible. This remains true even if we accept the hypothesis of perfect competition, so that the standard presentation is equally fraudulent when seen from this angle.

3iv-c) Value and social demand according to the Marginalist Supply and Demand mechanism when an increase in productivity of 1/4 happens in only one enterprise or industry in Sector I.

In the purest example, that of value given above, we apply a realistic rule: The most productive enterprise imposes its price on the market; the others, which produce the same products have no other alternative but to follow the pace, for instance by increasing the length of time worked, by taking short-cuts, and in definitive, by vanishing from the market, unless they themselves can induce a structural increase of their own productivity. Or, alternatively, if they can benefit from an extra-economic intervention which mutatis mutandis will only delay the fatal outcome of this competition marked with the seal of Social Darwinism.

Taking a closer look, the theory of Supply and Demand appears as a complete ineptitude, one that should never have been allowed to enter textbooks. The most central economic problem is the exchange of different commodities, and certainly not the selling mechanism of identical goods taken in isolation from all the rest. We are thus forced to approach this pseudo-theory in the most scientific manner possible through the examination of its own most plausible hypotheses and their falsification. These new hypotheses tested against social demand unfold from the demonstration of the total inanity of the usual presentation, for instance that offered by Samuelson already examined above. Consequently, we will start with the examination of a market price corresponding to the average of Sector I (in which all enterprises are supposed to produce the same commodity.)

From the same initial Reproduction schema, let us assume an increase in productivity of ¼ in the enterprise or industry corresponding to S1a, while the organic composition of capital remains unchanged in all the other enterprises and sectors. For the rest, the same assumptions as before apply (working day, production cycle, used production capacity etc ….) Yet, before having recourse to the over-determinedmechanisms of social demand (just to render homage here to the great Louis Althusser), we will see what happens when we try to move away from the fallacious stage of the bourgeois supply and demand curves … later abandoned, in any case, by these bourgeois theoreticians themselves to the providential (sic!) action of the invisible hand… Indeed, this is done every time one needs to establish the general equilibrium. (Of course, this includes the version conceived by Léon Walras as the market of markets, one which needs to be ontologically liquefied to operate. And yet, the real economic world needs to harmonize quantities (commodities) and qualities (values or prices.)

Schema C (this schema is first given in Mp terms, only after will we introduce the variation which carries us from values to prices through the bourgeois working of supply and demand. To read it correctly, one needs to apply the same procedure deduced from the earlier schema, in order to complete the schema in quantitative terms. The rest will then follow easily from our hypothesis concerning one unique price for the Mp according to the quantities precisely determined by the Equations of Reproduction. Finding the Cn in SII is then a simple question pertaining to relative terms. Here is the result):

        SIa:         92,647         17,647         22,0588         = 132,353

                        105Mp         20Mp         25Mp         = 150Mp

        SIIb:         61,7647         15,4411         15,4411         = 92,647

                        70Mp         17,5Mp         17,5Mp         = 105Mp

        .................................................................................

        (SI) :         154,4117 33,088         37,5         = 225

        total):        175Mp         37,5Mp         42,5Mp         = 255Mp

        .................................................................................

        SII:                 70,588         17,647         17,647         = 105,8823

                        80Mp         20Mp         20Mp         = 120Mp

Thus, it seems at first glance that the supply and demand mechanisms are not at all transparent (or rational) when we confront them with the over-determination by social demand. Nevertheless, we will pretend for a while to remain within the partial and obscurantist world of capital, in which reality walks on its head. Let us try to take the average for Sector I, which amounts to base ourselves on the organic conditions (organic composition and rate of exploitation) of this Sector I (See line SI total in Schema C)

What interests us here is the structure induced by the change in productivity. We will have v'/C' (0,17647) over v/C = 0,882353. This equally represents the price of the new Mp. We will automatically have pv'/v'= 1,1333 that is the inverse of 0,882353.

The value is naturally conferred by the sector gifted with the highest organic composition of capital. We will thus have: 1 Mp = 0,882353 and 1 Cn = 1.

That being said, we can now obtain the organic inflation rate (not to be confused with the structural inflation linked to the Reserve Army (RA) already dealt with in Tous ensemble.) This rate is caused by the intermediation of competition conceived as supply and demand, instead of having a bilateral exchange Mp = Cn realized with the intermediation of value, which would impose itself in a sequential manner, simply by giving priority to the most productive enterprise. Here, it would seem that the provenance or chronological priority of the Mp does not matter at all, given that the market price corresponds to the average. This amounts to saying that all Mp, essentially identical or greatly elastic, are brought at the same time to the same locationor market just before the initiation of the criéeso dear to Walras, if you will …

In reality, the process never unfolds exactly in this fashion; there are good chances that the commodity produced in the most productive conditions will arrive at the market sooner, thus benefiting from a priority in the selling process (over and above the other differentiating variables tied to labels, the firm reputation and such …) Indeed, this remains true of futuremarkets. Let us pretend nonetheless that things unfold as capitalists tell us they do: In all cases, the inflationary intermediation will always bring us back where we should be, that is to say, to social demand.

What this means is the following: Either the less productive enterprise will produce less, as the orders don't come in, or else it will remain stuck with too much unsold stocks. However, these unsold stocks will disappear from the Reproduction space, unless they are reintroduced in the selling process as commodities from different epochs, thus aggravating things further, as far as prices are concerned, as demonstrated in my Book III. This problem becomes obvious, in the next round, in relation with the new value which naturally corresponds to the socially necessary labor expanded during the period necessary to reproduce it, although it will be distorted by the organic inflation aggravated by the weight of the unsold stocks returning on the market.

Here organic inflation would be equal to 0,882353/0,8 = 1,102875.

Knowing this information, we can then assign the price to each commodity. For instance, for c3. This strategic c3 was equal to 64 in the prior system; it is now equal to 64 x 1,1029413 = 70,588.

This result is not indifferent because it opens the door to the computation of productivity in an empirical but correct fashion for enterprises, industry and sectors (and for the general system of reproduction, that is to say for the considered national or supranational Social Formation.) It also allows us to correctly measure organic inflation, making it possible to correct it having recourse to constant prices; these constant prices will really refer to values instead of the fallacious bourgeois averages approached uniquely through the establishment of an average price, corresponding to a base year posited as the year of reference or index = 100. Moreover, we see that this will change the manner in which value is calculated en lieu of the bourgeois index given as purchasing power, a concept which is fallacious through and through as it is based on the capitalist accounting (GDP etc. Try to compare the spending for Health care in a socialist country with the merchant accounting of the same in the USA; even comparing the latter with bourgeois but public health system does make a difference … ) In turn, this capitalist accounting corresponds to fallacious consumptions (including in the sphere of credit and speculative credit.)

Obviously, this does not entirely settle the general problématique of inflation, which also needs to take into account the difference between real and formal (or social) salary masses the latter taking into account the Reserve Army of the proletariat (RA) and the level of support of the inactive labor force by the active labor force.) A task which concerns the Central Bank, as much as the control of the so-called imported inflation (Imported inflation can include all of the above, especially if the rate of change of currencies is abandoned to a global capitalist market …)

Quid of S/D? (supply/demand)

As we have seen, supply is never independent from social demand, which in turn, does not depend in the least on the mysterious and haphazard operation of the invisible hand. The so-called invisible handis but a belated and secularized providential bourgeois mechanism, one that is only able to induce a systemic economic irrationality (i.e., social production for private accumulation independently of real human and social needs), as well as considerable wastes. Yet, these wastes are never susceptible to be controlled by bourgeois economics, not even through the stupidly restrictive management of stocks and just-in-time practices.

Mp1 and Mp2 (in S1a and S1b) are considered identical or at least exhibiting a very strong elasticity. This is rather farfetched considering the reality of the market and its procedural or spatial organization (Polanyi speaks of marketsin the plural; marketing and publicity reveal much else … Fortunately, bourgeois textbooks are here to reassure the students, thanks to a preliminary lobotomy, often achieved at the cost of very high tuition fees paid to private universities …)

In our Schema C we can immediately know the optimum supply for a production cycle by adding the product of S1a to S1b (150 Mp + 120 Mp.) We equally know that the price can never fall below the lowest cost of production (otherwise this would lead to a certain bankruptcy for the concerned enterprise.) Remains to determine the selling price. It is exactly here that do originate the fallacious hypothesis of Jean-Baptiste Say and those of Walras, or those included in the supply and demand curves proposed by Alfred Marshall. This has nothing to do with the selling price taken in the long termas is usually repeated, parroting the excellent preliminary note from Marx in the Parisian manuscripts of 1844, but more precisely for the duration of the reproduction cycle under analysis, one which cannot be taken in abstraction from social demand. We saw that the latter can be determined on the basis of the organic initial conditions, including the given fact concerning productivity increases in the setting of the Marxist Equations of Reproduction.

It remains to establish the monetary mediation corresponding to the specific mechanism chosen to concretize the effects of supply and demand. (As far as I am concerned I prefer the solution based on sequential bilateral exchanges according to which the commodities produced by the most productive firm reach the market sooner …However, as we know, yet without any desire to succumb to a second rate Kantianism, if phenomena were evident there would be no need for science…. If the S/D mechanism and the associated mechanism imputed to the invisible handwere capable to induce a simultaneous micro and macroeconomic equilibrium, we could avoid reading Das Kapital or we could avoid having recourse to economic planning in order to correct the most grievous lacunae inherent in the capitalist mode of production (lacunae which fatally unfold from its animal spiritsaccording to Keynes …) Or, indeed, we could avoid transcending the capitalist mode once and for all with a superior rationality that would respect the harmonious relationships between Nature and History and between productive forces and relations of production (these being conceived as both republican and egalitarian relationships.)

We have seen that when we have recourse to monetary mediation in a rational fashion, the creation of organic inflation follows, but can still be controlled because its genesis is no longer shrouded in mystery. Here, as in the case pertaining to land rent, that is to say the case dealing with the coexistence under dominance of various modes of production (or, if you will, the asymmetric coexistenceof modes of production), the production of value (that is to say the monetary form deprived of any inflation) is conferred by the highest productivity rate. Quite simply, increasing working time cannot compete with greater productivity expanded during the same length of time. Therefore, the value scale will be imposed by the exchange value of the most productive labor force, labor force being the unique factor of production which can act as a universal equivalent between all commodities in a given system.

We will add two remarks here:

        1) If S1a would sell 150 Mp for 0,8 euro each and S1b 105 Mp for one euro each this would bring 225 euros total; at the end of the process the unit price would effectively be equal to 225/255 = 0,8823529         euro, in other words the composite unit price for the Sector I.

        2) We can then call this schema, schema of the sectoral value or even, in order to avoid any confusion, schema of the sectoral price. This is not indifferent since one can interpret it as displaying a crucial element         for the development of socialist statistics, a highly strategic domain that is still underdeveloped. To wit: Depending on the study of the social demand mechanism, one can understand the industry starting from the         Sector, and even, for that matter, the enterprises themselves, which do aggregate in a given industry. We can do that reassigning to each industry that belongs to it the respective fundamental ratios (v/C and pv/v)         which predominate in each

Let us add a few words about the inflations phenomena, which in any case are never able to erase the over-determination exercised by the fundamental ratios (v/C and pv/v), that is to say, exercised by labor value. To the organic inflation exposed above one needs to add structural inflation born from the management of unemployment, and thus of the monetary mass. Let us recall some key elements already exposed in Tous ensemble. If we suppose the usual initial schema, namely:

        S1a : 80 20 20 = 120

        S1b : 80 20 20 = 120

        --------------------------------------

        S1 : 160 40 40 = 240

        ___________________________

        S2 : 80 20 20 = 120

The monetary mass (here with full employment) will be equal to the salary mass.

Since there is full employment here, the social monetary mass will be equal to the salary mass (taking due account of rotations this becomes necessarily equal to the total product.)

Rotations are given by the sum (C/v) + (pv/v) of total capital (which is given by the summation of the different sectors.)

RA (or the cost of the social support of the Reserve Armyof the proletariat) is here understood as the sum emitted to finance the maintenance of the labor force still able to work but reduced to unemployment through no fault of its own. This sum and its mechanisms send us back to the specific forms of the capitalist State, namely the liberal State, Social or Welfare State or the Advanced Social State. In this sense, these can also be called the reproductive epochsof the Capitalist Mode of Production (CMP.) In the absence of new intermediary sectors capable to absorb, at least temporarily, the labor force freed upby the secular increase in productivity, or to absorb it permanently if cyclically through the Reduction of the Working Day (RTT or Réduction du Temps de Travail, in French), it is clear that the introduction of productivity necessarily creates unemployment and induces the necessity to finance it if only to avoid social upheaval. On the other hand, individual firms locked into a Social Darwinist struggle for their own survival through competition have no other choice than to finance and plan recurrent waves of productivity increases. The imitation of the landlords and gentry during the long demise of Feudalism, that is to say pressurizing labor through increased legal working hours and increased punctual intensity, is never a good strategy. In any case, it cannot be enforced outside ones own national Social Formation ...which constitutes a fatal blow.

Example: Given the monetary mass S = v; then the social monetary or salary mass will be noted Ss = v + RA (in capitalist countries, RA is generally lower than the equivalent lowest salary for each unemployed. This is due to fake pretenses concerning incitation to work, when no real work is actually created, the only goal being the brutish occupation of the so-called dangerous classes', if you will in the hierarchical military logic illustrated by the Bridge over the River Kwai. (i.e, keep them busy.) We are not joking here, since labor camps were created in North America during the Great Depression and are wonderfully described in Steinbeck's Grapes of wrath.) By real work we mean work entirely connected to productivity and thus in no need to be managed through part-time and through the philo-Semite Nietzschean artificial creation of an underclass(Julius Wilson) or a class of working poor.)

Ergo structural inflation is equal to Ss/S.

Let us backtrack a little: Marginalists obviously ignore all of this. According to their science, if there is unemployment, it is not due to an increasing productivity not mediated by a decent socio-economic planning, but instead to a lack of flexibility on the labor market. With Solow the labor market has become global, and with Volcker, Reagan and Friedman liberalization and privatization have become the rule etc …The bourgeois Central Banks do even worse when they systematically strangulate the Monetary Aggregate M1 which corresponds grosso modo to the salary mass. Meanwhile, they leave M2 and M3 evolve without any restrictions and with even less taxes, so that this laxist and regressive fiscal regime is added to the expected Marginalist criminal ineptitudes. However, reality has no patience for the repeated ineptitudes of these donkeys (ironically, an Ontarian social-democrat was once accused to be a jackassby frustrated arch-conservatives …but this was mainly an internal dispute revolving within the same paradigm!)

We can thus consider that the supply and demand schema, presented above with its organic inflation, must be revisited to introduce the effects of structural inflation. The latter will naturally impose itself here trough the mediation caused by the introduction of money, that is to say by the hypothesis of a monetary mass given before the initial schema in which v = 20. (This situation closely reflects that of the classic liberal State with Central Banks largely ignorant and mainly concerned with the rate of change and with the management of the Gold Standard tied to international trade. To these monetary lacunae were added the actions of governments happy to devolve the management of unemployment by leaving its burden mainly on the shoulders of the enlarged family preferably in the countryside.)

We would thus be dealing with the sectoral schema given above, but increased by the rate of structural inflation given by the ratio Ss/S or 60/50,735 = 1,1826.

Sectoral Schema:

        S1 : 154,411 + 33,088 + 37,5         = 225

        S2 : 70,588 + 17,647 + 17,647 = 105,88235

This will give us the following structural inflation schema (i.e. multiplied by the rate of inflation via the exchanges and the corresponding monetary mediation.)

        S1 : 182,60 + 39,130 + 44,348 = 266,0885

        S2 : 83,4784 + 20,869 + 20,869 = 125,21811

Starting from this basic schema it is easy to introduce RA according to the historical conditions since the ratio Ss/S will be adapted to circumstances. But it will now do so with predictable consequences both internally or externally, for instance by being also able to track imported inflation (see Tous ensemble)

3iv-d) A fallacious case: Pure Marginalist Supply and Demand, social demand being totally lost from sight (Revised September 6, 2009).

In this case, as with all Marginalist and bourgeois theoreticians since J-B Say, Senior, Walras, Marshall and all the pathetic moderns such as Samuelson and Solow, micro and macroeconomics are irremediably separated into two distinct branches. (This is occulted by the practical recourse to the false solution offered by Auguste Walras and developed by his son Léon Walras and by Schumpeter etc … That is to say by the separation between economic science on one side and social economy on the other. The latter being conceived as a simple political input, despite the recurrent crisis that actually demonstrate the opposite. In short, though it is often overlooked, social economy would determine the framework in which the Marginalist equations are inscribed. It seems that only Maurice Allais does remember this important methodological starting point …)

In this case, the precise mechanisms of social demand are substituted with the blind logic of the so-called invisible hand. We suppose that, given the productive overcapacity added to the manipulation of the duration of work, stocks etc., one temporarily abolishes the over-determining effects of reproduction cycles. According to this hypothesis S1a and S1b will continue to produce the same quantities without caring for anything else, bringing the final produce of these daily production cycles to the market on the same day, these commodities being by assumption similar to all others without any differentiation, not even in label or anything else. This is a most unlikely case, but it does actually correspond very closely to the bourgeois way of presenting things, above all when we are blissfully dealing with Marginalist supply and demand curves. Let us take this donkish business seriously for a little while.

We would obtain the following Schema 3:

        S1a) 84                 16                 20                 = 120

                105Mp         20Mp         25 Mp         = 150Mp

        S1b) 80                 20                 20                 = 120

                80Mp         20Mp         20Mp         = 120Mp

        ..............................................................................

        SII) 80                 20                 20                 = 120  

               80Mp         20Mp         20Mp         = 120Mp

We can see at a glance that the system proposed here is highly unstable and incoherent.

Be it as it may, it is true that Marginalists never see the whole socio-economic system, they only have eyes for the enterprises and the microeconomic sphere. Macroeconomic is an afterthought, one which the neoliberals want to increasingly subject to microeconomic logic … projecting it on a global scale. They even want to do away with the State and even with the Nation-State and its democratic pretenses. We can thus continue our examination on the basis of their own presentations, especially as the exchange of Mp produced in S1 is concerned. How will this sale proceed and at what price?

Sale and price: 240 euros divided by 270 Mp = ?

It is clear that we are here unable to complete the equation since the known supply is indeed 270 Mp (150 Mp in S1a + 120 Mp in S1b) but effective demand is unknown, and in any case, cannot be given in this bourgeois and Marginality system.

What does happen, then? Quite simply, unknown demand is replaced by monetary mediation (or anticipations.) This is a pitiful prestidigitation trick (pace Keynes …), which does not resolve anything. The problem at this point resides in the fact that we are forced to operate with an elastic meter, since monetary intermediation creates inflation during the very process in which it tries to conclude the exchange through its counter-exchange with the Cn, that is to say, in its a blind tentative to approach through successive trials, to please Allais social demand as it is given by the Equations of Simple or Enlarged Reproduction (SR-ER.

(Note as a parenthesis that one cannot pretend to stabilize this elastic meter through further developments of the monetary policy in charge of regulating interest rates, as Keynes tried. This is because you cannot coherently deal with interest rates if you ignore the genesis of profit. Nor can you pretend to have a valid quantitative theory of money abstracted from the labor law of value as Fischer or Keynes did. And this deadly lacuna sends you back to the extraction of surplus value and thus to the destabilizing role of the private property of the means of production, which is ontologically averse to imposed or regulated full-employment.

In effect Hicks, Samuelson, Solow and Friedman were already lurking within Keynes's theoretical apparatus, Pigou being just a mild and honest home-grown opponent: It only took a bastardizedversion and a few Nobel Prizes to convince everyone else, particularly within academia. You might remember Samuelson's characteristic comment about Keynes's General theory: He just wished he had some kind of summary just as for Joyce's Finnegans Wake… We do not need to belabor this point further … Be it as it may, Keynes learned something about the new version of Realpolitik at Savannah, in preparation for Bretton Woods, when he was definitively put in check by H. White. It then became clear to him that the remnant of the British Empire or Commonwealth was done with. Worse still, that a nationally regulated capitalist system, inserted within an unregulated and largely asymmetric Capitalist World Economy, will quickly see its efforts dissipated if it plays by the rules dictated by the dominant player.

Of course, this applies to the role of the national currency per se see the post-World War II US attack on the Pound Sterling and on the City but particularly to the role of currency as a vehicle for international trade of goods and services. See the transition from GATT to the WTO through the various rounds of trade liberalization from the Havana conference to the Dillon-Kennedy round, up to the Uruguay and Doha rounds. This asymmetrical trade logic basically destroyed the socio-economic coherence of Keynesian interventionism, mainly through the cancellation of the internal effects of Kahn Economic Multiplier.

At some point, around the end of the Sixties and the very beginning of the Seventies mature Western economies, as François Perroux characterized them, were faced with the choice between more State regulation and labor rights to counterbalance the automatization process that was then unfolding, or the forceful destruction of all previous democratic conquests through a global but asymmetrical liberalization and privatization process. The 1973 Oil Shock (following the Yon Kippur war) was only an accelerating factor of the underlying crisis, not a structural one. The Monetarist roller coaster launched by Volcker, Reagan and Thatcher imposed the latter.(See my Les conséquences socio-économiques de Volcker, Reagan, Thatcher et CieMarch 1985, available in the section International Political Economy of my site.)

Once again we need to conclude that the bourgeois paradigm is but a sinking boat pierced with too many original holes! We are dealing with a puerile paradigm at best, one which is useful to nurture the mass demagoguery propagated by the dominant classes as a new opium for the people. One that is always as hallucinating but, this time around, one that is deprived of any and all residual rational foundations; this equally concerns the so-called animal spiritswhich instead of sending us back to unexplained if frightening aspects of reality, send us squarely back to the conscious manipulations by the great priests (or grand masters) who propagate these donkish gibberishes, while knowing full well, ever since Marxs demonstrations, that they are truly and undeniably donkish gibberishes. Yet, they also are criminal gibberishes because they are used to negate the concrete realization of human equality by recourse to the mirage of the market, a fabricated and sustained intellectual and ideological mirage, necessary to defend a private property regime squarely based on social production and private accumulation.

If, by some weird chance, we were to follow the bourgeois theoreticians in the blind exchange between Mp against money, without bothering about the Cn or vice-versa, it just would happen that, as the second reproduction round would initiate, the inevitable corrections would start to impose themselves through the internal mechanism of social demand mediated by the organic inflation. But this will produce an enormous waste of energy, of natural resources and finished products: Contrary to what is unanimously repeated in a strange chorus, the capitalist mode of production is not based on consumption. Instead it is squarely based on an irrational consumption, often artificially induced as such, a perverse mechanism which can only feed an enormous and increasing squandering. This is one more reason to participate in the defense of Marxism and of ecomarxism (On this later concept see the Introduction and the Appendix of my Book III entitled Keynesianism, Marxism, Economic Stability and Growth.) End of the Excerpt.

After revision we can present the schema of supply and demand as it unfolds blindly in the following manner; we start from a hypothesis entirely congruent with both the micro and macroeconomic blindness which permeates Marginalism and all the bourgeois economic theories. Therefore, we will suppose here that S1a and S1b produce blindly all that they can produce and that they simultaneously bring their products to the market (otherwise they do not dispose of any information concerning the equilibrium price, not even a probabilistic one derived from sociological market studies.) Meanwhile, we suppose that SII acts in the same way, without modifying its own conditions of production despite the relative price of the Mp which it buys. Since we know the determinant conditions in SII, it follows that we can reconstruct what would happen for the whole system. Let us examine this in some details:

The blind schema given in terms of Mp would be as follow:

        S1a : 105 + 20 + 25 = 150 Mp

        S1b : 80 + 20 + 20 = 120Mp

        -----------------------------------------------

        S1 : 185 + 40 + 45 = 270Mp

        ________________________________

        S2 : 80 +20 + 20 = 120 Mp 92

 

We know that S1v + S1pv = c3 = 80

The ratio S1pv/S1v is given by 85/40 = 2,125 ergo: 85: 2,125 = 40

Compared to the situation S/D derived from the blind situation we would therefore have: 80/v = 2,125, therefore 80: 2,125 = 37,647

The effective pv (following from the derived S/D situation) will be 80 37,647 = 42,353 (proof: 42,353/37,647 = 1,125)

We now have to find the effective C (i.e. from the derived S/D situation)

Since S1c/S1v in a blind situation = 185/40 = 4,625

Ergo, effective C in the S/D derived situation = 37,647 x 4,625 = 174,117388

It remains to distribute this effective derived sectoral function of production in the shares which belong respectively to S1a and S1b.

Because of the monetary situation, we know that the unit price in a blind sale situation will be 240 euros/270 Mp = 0,888

We know that SII did not change its fundamental production ratios

The question becomes: How can we deduce S1v = pv from SII c (80) thus obtaining the sectoral function of production for SI? How can we then distribute the data to S1a and S1b?

We saw how one can arrive at SI = 174,11738 + 37,647 + 42,353 = 254,11738. The only remaining question concerns the distribution in S1a and S1b if sales occur at the same market price (that is to say, blindly.)

The distribution can never be done by half.

Necessarily, it will have to be done respecting the same ratio of contribution to the market which also happens to be the best probability.

Thus if S1 M ex ante = 150/270 = 0,555. Since 270 x 0,555 = 150 ergo 254,11738 x 0,555 = 141,17632 Mp.

S1b will thus have 254,11738 174,17632 = 112,94106 Mp

We can then calculate the unsold lots;

S1a = 150 141,17632 = 8,82368 Mp

S1b = 120 112,94106 = 7,0589 Mp

However, in this blind S/D situation the unsold lots will return on the market to aggravate the situation, particularly for S1b.

Indeed, in such a situation as in all those created by the bourgeois theories, it is impossible to escape the contradiction which the pitre Böhm-Bawerk tried to falsely impute to Marx, whom, at best, he did not even comprehend (aside from any other considerations relative to the usual manipulations.)

Ex ante/post hoc problem (in Mp terms) (the sign # means « different from» or « not equal to ».)

S1a = 105 + 20 …+ 25 # 141,17632 Mp (i.e. pv must change and thus also pv/C the rate of profit. Pv = 141,176 125 = 16,17632; pv/C = 16,17632/125 = 0,130)

S1b = 80 + 20 … + 20 # 112,94106 Mp (ergo pv = 112,94106 100 = 12,94106; therefore pv/C = 12,94106/100 = 0,130.)

We will note that the rate of profit remains structurally the same (without having recourse to an external and fallacious equalization) However, the volumes of profit plus the dynamic induced by the unsold lots would favor S1a because its productivity would remain effectively superior even if this kind of S/D (or competition) would tend to diminish its effect, albeit only transitorily.

This is because in such a blind S/D situation things would quickly get worse as soon as the next reproduction round would start (i.e. post hoc.) In effect, this amounts in evaluating the technical functions of production S1a and S1b according to the same unit price of the Mp taken in a blind situation but producing cumulative distorting effects.

Despite it all, one should underline that it is always the Marxist function of production which explains the phenomenon and its epiphenomena (i.e. v/C, pv/v and social demand, that is to say the Equations of Reproduction) and thus the dynamics set in motion by the volumes of profit (and not by the rate of profit). In other words, the laws of motion of capital, principally the concentration and centralization of capital as well as the creation of RA and its inflationary impact (one that needs to be managed by economic planning and by the recurrent cycles of Reduction of Working Time (RWT), otherwise this will be blindly managed by the sharing of misery within the ranks of the proletariat; see on this subject the Note ** and the Note 15 on John Galbraith in my Book III.)

Conclusion

Competition, a generic term covering for supply and demand mechanisms, is thus proven to be an incredible Marginalist ineptitude, one which is inherently unable to explain anything.

The artificial return to small enterprises artificially created by neoliberals is a double ineptitude, similar to the Antitrust. This is because they run counter to the necessary Taylorization and do produce an enormous waste. Moreover, they impede the recurrent cycles of RWT. Concentration and centralization are governed by technical prerequisites and as such are inevitable as was well understood by Joseph Schumpeter. Indeed, Schumpeter derived from this certitude a strong pessimism relative to the final destiny of the capitalist mode of production. One will notice that despite demagoguery the neoliberals never really tried to dismantle the private big transnational corporations. They only attacked and raided State-owned enterprises.

(Note quickly that small and medium enterprises are touted as employment creating machines: But they mainly produce part-time and precarious employment, of which many self-employed jobs. Not surprisingly, this development goes hand in hand with attacks on unions, on labor rights and even professional norms, and with the legal lengthening of the working week for less individual capitalist salary, less differed salary(mainly unemployment insurance and pensions) and less global net revenuefor the households (i.e. the first two plus transfers in the form of universally or publicly covered social services etc.) It is known that, on average, 2/3 of all small and medium businesses do not survive the first three years of their existence. The most lucrative are on life-support through out-sourcing and such: They simply gravitate around huge transnational firms and contribute to the fragmentation of their otherwise unionized labor forces; the same applies to privatized national or governmental companies ever since the launching of the Monetarist counter-reform by Volcker-Reagan-Thatcher.

In the last years, the neocons already nurtured on a flat taxphilosophy, have added to their reactionary arsenals the so-called tax expenditures(presumably not to crowd out Laffer's ineffable curve.) These fiscal gifts to business and the wealthiest decile of the population now amount to hundreds of billions (direct subventions never amounted to a small fraction of this dilapidation of public money.) In reality, they function as indirect and invisible but potent State subventions in a so-called asymmetric free-trade regime that is mesmerised with old-fashioned tariffs protecting national industries and jobs.

Thus these fiscal exonerations have perversely taken the place of the old direct subventions lavished by the Interventionist Keynesian State. Only they waste far more national and governmental resources and only help create precarious jobs in an unregulated economy. Just before and during the first years of the gauche pluriellein France, it was calculated that the creation of a full-time job in the framework of the legal reduction of the working week to 35 hours did cost around 80 000 dollars per year. But this implied full employment paying full social contributions as well as all known taxes at all levels of government, giving back to the State its fiscal tools and corresponding budgetary levers; at the same time, full time jobs are clearly one prerequisite for the concrete exercise of full citizenship (in some neocon countries full citizenship is discouraged through the difficulty of getting ones name on the electoral franchise; at time, the franchise depends on having filled up a tax return, otherwise the registration process is left to the individual etc …)

(Added on November 2013: Compare the positive creation of full-time work through the RWT in France, a strategy which consolidated both the social contributions and the fiscal base, with the inept State's aids currently paying more than 75 % of the employment costs for the sole benefit of the employers. These aids, such as those put forwards by the current French PS government, are targeted to various typologies of precarious jobs, entirely disconnected from real productivity and real competitiveness. They are akin to those implemented by the Italian government since the so-called Social Pact of 1992 (Legge 30 and its numerous and disastrous sequels...) It is not so much an « adieu to the proletariat » as a philosemite Nietzschean adieu to the constitutional right to work (in worthy jobs befitting full citizenship) and to national solidarity. Tragically, as unemployment depletes both the social contributions and the fiscal revenue, these costly and gratuitous aids have to be financed out of decreasing general fiscal revenues. In short, these programs are cynically geared to engineer a restructuration of the labor force unilaterally aimed at lowering so-called « labor costs » in order to suit the transnational firms falsely called « champions nationaux » within the framework of the globalized and Malthusian function of production of Solow. In this regressive policy choice, the costs of production can only be lowered at the expense of the workers' and households'« global net revenue B, while stock options, bonuses and bailouts of private banks and enterprises are not to be questioned by the exploited « pigs »! It merely attempts to manage poverty to avoid social strife and mask real unemployment numbers. It is plain social-liberalism or worse. Fortunately, the current negative economic spiral, which is further fed by it, killed this regressive strategy as it was emerging. It does not have a bright future.)

Yet, to repeat, neocon fiscal exonerations are much much costlier than direct subventions and full-employment-support programs, although tax expenditures once granted have the clear philo-Semite Nietzschean advantage to disappear from the budget numbers, having been preventively erased from it. Indeed, every foreseen surplus is quickly and preventively erased by tax expenditures. The neocons can thus safely continue singing the song about the Victorian necessity to balance the budget through spending cuts (Keynes noted that the budget of the State could not be treated as that of a Victorian family), which never concern either military spending nor this fiscal profligacy itself …What is certain is that this flat tax cum tax expenditure policy choice has failed miserably to either stop or even slow down delocalization and out-sourcing. On the contrary, it has contributed to the replacement of permanent industrialized jobs with bas-de-gamme service jobs, in the process erasing both the productivity and the competitiveness of Western Social Formations as well as the contributory and fiscal basis of social programs and public finance.

It suffices to look at the deindustrializing process going hand in hand with the rapidly increasing portion of speculative financial services in the make-up of GDP, to quickly understand the debilitating effect of this neocon and Monetarist trend. The only formal neocon way out will be a blind run forward, namely abandoning GDP just as GNP before, in favor of a National Revenue measure, which will signal the demise of national States and the coming of age of private global governance. Methinks that this absurdity is already in the making: The Dalitization of the Western proletariat will then go hand in hand with statistical average busily hiding dispersion ranges or trying to explain it with some new guilt-inducing gospels associated with an increasing use of the philo-Semite Nietzschean Hammer … which, of course, will itself be privatized to mercenary groups (already numerically large and potent in the US to be able to flank the US army in its external and internal crusades.)

Meanwhile, since Reagan's time, at least 30 % of productivity increases have not benefited workers in any shape or form in the US. In Europe on average in the last quarter of century some 11% of GDP has been transferred from wages to profits without any counterpart for workers except part-time jobs, precariousness and the dismantling of labor rights and social programs … This being said, there is quite a bit of irony in the development of CDS and OTC and their adverse effects, induced by the subprimes crisis and its aftermath, on the increase of the national debt and of the deficit. What is crowding out what exactly, must one ask? Although paper towels might not be as useful for this sort of delicate exercises as they once were …Financial services now make up some 9 % of US GDP; before the crisis there were 58 trillion CDS and 596 trillion OTC for just 15 trillion of gross market value, according to the BIS. See http://www.bis.org/publ/otc_hy0805.pdf?noframes=1 )

However, concentration and centralization in a socialist mode of production should respect the imperative derived from economic planning; it would also have to respect the criteria of ecomarxism. This includes State enterprises and cooperatives. The ideal remain the massification of commodities up to the maturation of the markets. Later personalized short-runswould take over. State enterprises and cooperatives must be re-established as the socialist norm in this precise framework, flanked by socialist democracyoperating within economic planning itself.

The theories dealing with gifts and counter-gifts born from bourgeois anthropology and ethnology happily mix up use value and exchange value, including when they discuss modes of production characterized as primitive communism. (The best bourgeois book on the subject remains Peter Blau's Exchange and power in social life, ed John Wiley and Sons, 1964. We will quickly note here the expression social life, which is nevertheless understood as a-temporal, outside the over-determination by the corresponding mode of production; in a similar and characteristic fashion Robert Dahl understood democracyas a system in which each group of 4 potentially has the same power as any other group of 4…But he carefully framed his analysis within the context of a specific municipal setting: New Haven.)

Yet, it is only under socialism that sociability in the form of an altruism tied to the non-merchant production of use value can flourish. (On this subject, see the chapter entitled For Cuban socialism. It takes into account the important corrections later made relative to the realm of necessityand the realm of libertyin relation to a proper understanding of socialist democracy, social plurality within the framework of socialist planning replacing bourgeois political and divisive pluralism which is squarely and exclusively at the service of private property.) In my Pour Marx, contre le nihilisme, I had initiated the discussion over the creation of socialists Home Depots furnished by socialist surpluses; these would be tied to purely voluntary national workshops, which would in any case be favored by the recurrent cycles of Reduction of Working Time (RWT). Organized work and thus RWT as such would remain tied up to the production of exchange value and to Central Planning. (This is quite different from the mix model that went totally broke for instance in socialist Hungary, or worse yet in the USSR under Gorbatchev's perestroika, given that the use values of highest quality often stolen or siphoned away from State enterprises and cooperatives were functioning as alternative exchange values feeding destructive and rampant black markets.)

To be translated from the Italian version: Bureaucratic logic vs social surplus value

1) Adam Smith: general interest (i.e., fair competition ensured by the State through general infrastructure and peace and good government.) Ergo how to finance it. Military spending was the greatest public expense in Smith's time.

2) Marx a) Unproductive labor (still enmeshed in Smith's mental space) b) Unproductive laborin Book II after the critique of Quesnay's Tableau. Hence Simple and Enlarged

3) Reproduction c) Manifesto and Critique of Gotha program : what I systematized as social surplus value;

4) Weber and Kojève: bureaucratic rationality. (The bureaucracy allows a modicum of mobility to the middle class and thus establishes the legitimacy of the bureaucracy, making it into the so-called permanent governmentof capital, one with which the Left has to deal see Allende in 1973 or Mitterrand in 1983 etc …) Marx saw bureaucracy as a necessary element of the division of labor (social surplus value.) Me: micro-economy and macro-economy: bureaucracy is necessary for the development of microeconomic productivity and macroeconomic competitiveness. Proof: New Dealers vs. present Public policy schools. : How do you calculate the right price of a public service (replacing the legally entitled citizen by the credit worthy or not - customer will not do. In fact, productivity = free labor = not necessarily absorbed by new intermediary sectors in the absence of the reduction of working time. Hence, now we see a tentative to impose Reversed Schumpeterism (on this concept see Tous ensemble) and the philo-Semite Nietzschean return to a society of new slavery and new domesticity (see Note ** and Note 15 on John Galbraith in my book III entitled Keynesianism, Marxism, Economic Stability and Growth accessible in the book Section of my site: http://lacommune1871.tripod.com, now www.la-commune-paraclet.com )

Empirical evidence on neoliberal deregulation and privatization: quality and accessibility are lost for the general public; Enron; (Californian or British-Columbian models …) poverty, part-time, erosion of social payroll contributions, disappearance of the fiscal base etc ...Loss of productivity and competitiveness (see Dollar vs. renminbi etc. )

Soviet and Chinese experience (Trotsky's social revolutionand pathologic attacks on bureaucracy: He failed to understand social surplus value. But comrade Trotsky was ignorant of anything worthy of note on the law of value although he was good on the social aspects of what he called the social revolution(i.e. the mode of production: yet, one sees the limit: You cannot really comprehend the social evolution of a mode of production by replacing the law of value only with voluntarism we hesitate here to say « will to power » and culturalelements; the truth is that the best elements of Trotsky's critique were integrated in Stalin's (albeit not his successors) practice of planning. As well as in Mao's: Planning but also the mass line and the Cultural Revolution. Conclusion: Bureaucracy is vital to socialism (i.e. social surplus value.) But needs to be democratized within a social pluralism (the opposite of the divisive political pluralism linked to private property and thus the bourgeois State Apparatuses) that is to say, in a socialist democracy.This includes what I called Democratic instances of controls, the emergence of which can be seen also in bourgeois democracy (eg., Ombudsman, citizens' committees. Etc …)

Bureaucracy is essential to planning: The gathering and articulation of the information to present scenarii on which socialist democracy can operate while the Party remains the last instance guarantor of the constitutionality (equality etc) of the scenarii discussed and implemented. Recall Marx: Capitalism subjects Man to the logic of commodities (reification of Man); Socialism will collectively manage things for the blooming of Mankind (Note the word manage here since the allocation without private property and private accumulation becomes a managing affair, hence a bureaucratic but collectively democratic necessity.) This would create the material basis of the Recovery of Man by Man himself. At least, if the separate domains of Necessity and Liberty are respected.

Paul De Marco

Copyright © La Commune, Nov 26, 2012-Jan 29, 2013

XXX

Excerpt from For Marx, against nihilism/Pour Marx, contre le nihilisme, Part Two: For a Marxist psychoanalysis theory.

The irrational, Freud and human becoming.

CONTENTS:

The  presumed unicity of the irrational

Collingwood, Bergson and Freud

Lineaments of an authentic psychoanalytic theory

On the exemplary nature of American dysfunctions

The psyche and the consciousness

Illustrations

For Cuban socialism

Spirituality, « demons », « gulag » and rehabilitation through labor

Taylorism, underclass and capitalist gulag

« Clinical » pathologies

CONCLUSIONS

Laicity

For a science of the irrational

Reserve army and social redistribution

EPILOGUE

Notes

APPENDIX ON EDUCATION: SPOLIATION: Organised spoliation as make believe reforms

Bibliography of the essential books used here

 

The presumed unicity of the irrational

When the « awakened » philosopher-pitre Glucksmann talks about the irrational in order to camp as a nihilistic philosopher, he triggers legitimate doubts because of his too numerous black spots (« non-dits ») and because of his conclusions. From a strictly philosophical point of view, it might appear natural that a philosophical investigation of the irrational which ignores Vico, just to mention an obvious name here, would quickly fall back on Nietzsche and Schopenhauer. But, if in so doing, just to keep it up to date, one is induced to complete the analysis using Heidegger, or Kierkegaard, this soon becomes biased. For his part, Glucksmann, in his book criticised here namely « Dostoyevsky in Manhattan », falls simply back on Nietzsche. In so doing he tries his best to manipulate the « concept » of nihilism. This strategy is obviously over-determined by his political choices, marked as we saw above by the stamp of inegalitarianism and imperialist.

In normal times other theoreticians would not be attracted by such a reductionism. Today, we are witnessing a strong return to the alliance between theocracy and triumphant imperialism. This trend carries with it many circles and many sects which do not hesitate to publicise their desire to camp as the masters of the brave new world. One of the most pernicious being Scientology, a sect in which Hubbard takes the unexplained as a pretext to offer his own « explanations »; he does so to recreate a world made up of casts. The various secular and religious clergies, including the rebuilders of past temples, are even more dangerous because they are somewhat less explicit. However, they are all tending toward a Censitarian democracy compatible with a new modern salaried slavery. Society must perforce mobilise to block and defeat these inegalitarian forces gone adrift. To do so, it has now become urgent to collectively settle scientific accounts with the irrational phenomena which feed this drifting.

The social means that allow the coexistence of irrational and rational phenomena do exist. This is true by definition for all times. Only the forms and objectives do change. Todays challenge consists in conceiving the institutions and practices that are susceptible to objectify and to mediatise, both at the individual and collective level, those tendencies which otherwise can prove potentially destructive. The individual and collective practices must be such to permit the flowering of individual libre arbitre; only then can they contribute to tolerant coexistence and to the happiness of each and all citizens.

Two great structures already exist: The first is the secular regime, or laicity in what follows, I will often use this Gallicised word because of its clearer connotations. Its crucial importance is now emphasised by the fact that it is increasingly becoming the object of insidious attacks. The second, Freudian analysis, has always seen the world in reverse although it always has insisted on the secular and scientific pretensions of its approach. Despite all the critiques, which as we will see can at times be utterly destructive, here lie the great revolution and great contribution made by Freud. At least in appearances he strived to inscribe the study of the irrational in this perspective, albeit with a strong tendency to reduce it to the level of the «unconsciousness ». In effect, this constitutes the sole guarantee to avoid a fall into barbarity as was the case, for instance, for some self-proclaimed adepts of Jung. Or, in a similar but more serious fashion for some dangerous sects which exhibit less general and less « pseudo-scientific » pretensions. Glucksmann did not settle his accounts with Freud. (Note that in the first part of the book I criticize at length the ridiculous tentative made by Glucksmann to instrumentalise Dostoevsky in an anti-Russian and imperialist manner; this is particularly the case when he talks about demons, « awakened » and « militant » nihilists, and « flows of authorised communication », which I had treated in my courses as well as the idea that to understand the Ussr one needed to read Dostoyevsky first. Glucksmann was very quick to publish his book after 9-11 and he was ready to spin his repugnant talks about the militant nihilists, about the lost plane, etc, etc, etc. He likes to talk about his father too as if that was an argument. ) It is thus my conviction that the indispensable antidote to the inegalitarian deviancies contained explicitly or in the form of non-dits in the writing of this philosopher-pitre consists mainly in the effort to clarify these specific aspects. Of all eternity the worst demons that had to be feared were those of ignorance and inegalitarianism, and we know that they walk hand in hand.

Of course, it is not our intention here to draw a judgement on the psychoanalyst practices as they unfold in the practitioners cabinet. Nonetheless, we would have to say a few words about the relation patient-practitioner because it encompasses certain phenomena which practitioners cannot ignore but nevertheless choose to hush in order to protect the new « church » of modern psychoanalysis. It is one which is not dissimilar to the « illusion » which Freud attributes to the established church in order to denounce it. But this new « church » has since fragmented in many chapels. It has fallen, most particularly in the USA, to what can only be called the deviancy of the sects. It is a charlatansbusiness. In his last book, Althusser courageously recalled his clashing views with Lacan on this subject. He equally knew that the secular clergies of the psychoanalytic world are far worse when they operate in other areas: The « priest » attires serving to hide what is at times nothing but abyssal ignorance and above all « powerlessness », one which becomes only more chronic when this « powerlessness » is masked by fallacious castspretenses. I believe that Althussers denunciations of his former friends and colleagues were designed as a lucid call to find anew the initial inspiration, let us say here out of respect for Althussers own words, of Politzer: Namely, the recognition of the necessity to finally develop for this domain of the irrational a method of analysis congruent with its own object of study.

The task of bringing this project to term today has assumed a political and social urgency, despite many theoretical reserves that are always hard to dispel. This has less to do with the difficulty to properly define the field of study than with that of defining the object of study. To avoid any ontological casuistry, we postulate as our point of departure the unicity of the irrational domain and the multiplicity of its manifestations. In so doing we leave open the possibility to refine the theoretical-ontological relationships which can either be different manifestations coming from the same source or being induced by different sources. From our point of view, we will try to show that this in no way constitutes an insurmountable obstacle, as long as we can relate these manifestations to the blockage created by the conditions of existence in which they revealed themselves. This is why we will prefer here as in the French original text - the more etymologically precise spelling psychoanalysis and psychoanalyst to those other terms that are loaded with too many pre-conceived notions and connotations such as psychiatry, psychology and psychologist, etc. We all know the false paradox: A fallacious general « knowledge » will pretend to account for particular situations and in so doing too often takes its general and falsifiable laws for universal laws said to correspond to a presumed « human nature » sanctioned by recent history. Consequently, one must strive to find the most ordinary words to let the field of the « significant » emerge from the « struggle » that unfolds between the « discourse » and the « signified ». Think for instance about the amusing reproaches addressed by Engels to his friend Marx for the French language he forged in order to write the French version of Capital, a masterpiece which Marx could not have written mimicking the syntax of Chateaubriand or even that of Jean-Jacques Rousseau! (19)

Collingwood, Bergson and Freud.

For its very start historicism was reticent if not hostile to psychiatric and psychological theories. Collingwood expressed this hostility perhaps better than anyone else. A great connoisseur of Vico, he could hardly accept a perennial human nature giving way, and in a similar fashion, to the same Freudian mechanisms. In a sense, he was perfectly right. Yet, this goes far beyond the usual criticism which denounces Freuds theory for its limited cultural horizon. In fact, I believe the stake is precisely the difference between the Freudian method, featuring a return on childhood experiences, and that of Vicos autobiography. The latter tries to discern the historical progression of the human Being and the manner in which this Being, a subject usually active and conscious, succeeds in lifting or in negotiating the material and above all the intellectual obstacles it is faced with. On the one hand, we have a return to a badly defined and badly apprehended perennial substratum one that is strictly indefinable as witnessed by the difference made between memory and collective unconsciousness in Jung, for instance. On the other hand, we have a starting point that is ontologically specific to Humanity which Benedetto Croce, a reader of Hegel and Marx, enunciated in the simplest terms when he stated that historical becoming is the first concrete concept. (20) We will see that the current incomprehension present in even the most advanced and progressive psychoanalysis derives from the fact that these theories do entirely lack the ability to distinguish for each specific personality what derives from the dialectics of Nature and what derives from the dialectics of History.

One must admit that the hostility of historicism à la Collingwood lost a golden opportunity to develop the science of new objectifications that are patently perceivable in the theory of the three realities defined by Vico. (As we know Vicos ontology differentiates between nature, history and fictions, that is to say the conceptual apprehensions of the world by Man.)

Collingwood was too much of an historian and he remained truthful to his discipline. Bergson instead came too late in the history of philosophy when he attempted to re-establish the pretensions of Mind or « esprit » in French over matter so that, in the end, he only demonstrated his ignorance of Vico, Hegel and Marx. Not surprisingly his attempt failed when he tried to re-establish the dignity of subjectivity with respect to objectivity. This last term being understood in line with the contextual positivism largely inherited from Descartes. Indeed, his attempt collapsed over the problem which I called objectification by widening the concept proposed by Dilthey. The best Bergson was able to do was to offer us a hymn to intuition. This is perhaps not un-useful in so far as it informed many modern epistemologies in their attempt to differentiate the respective role played by analogy, images and metaphors, and those stimuli originating outside the standardized paradigms, or even outside the discipline themselves. It was thus normal that, since the object of study was slipping through his fingers, Bergson pushed the critiques aside negating their pertinence. (Can prose criticise the rhythm of poetry? And yet some found it possible to write free verses and others emphasized the poetical value of repetitions, which are usual in ancient texts such as that which described the epic journey of Gilgamesh; we are therefore not dealing here simply with mnemotechnique artefacts.) Bergson quickly freed himself from Peguys critiques to strengthen his own disposition; he compensated by his style the many lacunae of his method. It was nevertheless inevitable that he too would plunge into the « presumed » depth of « human » memory just like a gallant diver in search of the « élan vital ». Nonetheless, he shunned Sorels request when the former tried to manipulate the theory of élan vital to legitimize his « Sorelian myths »; Sorel then tried to embark on the road opened by Freud with the aim of transforming his theory of knowledge into a social theory. The great institution embodied by the Catholic Church seemed a sufficient answer to a philosopher whose philosophical roots can be traced back to Pascal. This retreat is not without importance because it reveals fidelity, not so much towards the anterior mystical and spiritualist currents, but instead toward the distrustful manners with which organised churches approached them. Despite appearances Bergsons « audacity » against the so-called « geometrical philosophy » smacks of the conformism of Aquinas, the Docteur Somme!

It seems doubtful that the Bergsonian attempt to reformulate the concepts of time and space can be of any utility at a strictly human level, that is to say outside the poetic emotion that subjective perception can procure. Nonetheless, in positing the problem in this manner Bergson was aiming at the whole architecture of I. Kants theory, namely the heart of the definition of modern and secular science. We retain of this a sustain effort to reposition the discussion over subjectivity at a level falsifiable by logic and by philosophical categories which Bergson tried in vain to develop. It is relatively easy to point to the rock that caused the shipwreck of our gallant diver. The attempt to rest subjectivity on the paradox of Zeno of Elea amounts to a twofold incomprehension of the nature of paradoxes and of the concepts themselves.

I thought for a while that a science of paradoxes was possible. Nonetheless Peano and Russell both failed. But this is above my strength. However, I believe that such a « theory » could be superfluous because the essential element was already revealed by Frank Ramsay, a deceased young theoretician which Keynes warmly acknowledged. A paradox is nothing but the revelation of the inadequacy between the question raised and the universe analysed. One must therefore question both sides of the difficulty, namely the falseness of the question i.e., the case of the false paradoxes that are lifted by the acquisition of new knowledge concerning the given universe - and/or the erroneous assumption about the universe considered as such. We immediately see Bergsons confusion: He simply imputes to the material world say to the physics dear to Einstein realities which truly belong to the realm of fictions. A point is a heuristic instrument; it does not possess any material ontological reality in space and time. Instead, its reality derives from the geometrical representations, that is to say in more general terms from their appurtenance to the realm of fictions. We know the anecdote about a convalescent Descartes observing the ceiling of his room and realizing that, by making abstraction of the walls, he needed to define a precise point to organise this pace in a logical fashion.

The project of Bergson consisted precisely in an attempt to negate geometrical philosophy. Nonetheless, the human Mind cannot comprehend external reality without engaging in the construction of such concepts. A priori concept according to Kant; Concrete in thought said Marx, leaving the existence of reality outside it. Real is rational and vice-versa said Hegel. Yet, both Kant, Hegel and Marx recognised that the adequacy of the real to the concepts that apprehend it, is often partial and is only revealed at opportune moments in history (these moments depend on the evolution of science and of relations of production. Marx showed Aristotle interrogating himself about the equivalence in money terms reached in practice between a bed and a tripod without being able to conclude because his reflection was over-determined by a society resting on exploited slave labor.) Hence, while he strived to re-establish the dignity of subjectivity, Bergson had already chosen to evade the question raised by the paradox itself.

In our attempt to avoid this pitfall, we will try to avoid the opposite one which consists in foreclosing the universe encompassed by irrationality; instead we will attempt to look at it from a fresh perspective. This sends us back to the multiplicity which we already mentioned: For us, a priori, everything is possible but we will always insist on a new reality, namely on objectification, because it is the only mean to bring the secularisation and the « philosophical rationalisation » of Freud and of Bergson to its entirely scientific point of departure. For us, contrary to Buddhas cup, water always flows towards the center of Earth, and if it would ever happen that the cup travels upstream we would start questioning the contextual conditions of gravity.

We now need to show in what sense Freuds world is a reversed world, a world in which the irrational itself reflects the presuppositions of a class society, a capitalist class society in particular. This remains true for all the main Freudian theoretical loci, be it the Oedipus Complex, the Murder of the Father, the interpretation of dreams, the conception of a « golden age » or the general conception according to which modern Man is far from « good » being instead a bit « riff-raff ». (21) Some of us remember Marxs phrase when confronted to the renewed imputation of an alleged inherent goodness of « human nature »: « We will not redo all of Rousseau again! » exclaimed Marx. This being said, there are no reasons, not even nihilistic reasons, to accept the opposite imputation.

Luckily the essential theoretical loci necessary to present the Freudian system are far from being Gordian knots. However, the comprehension of the more or less regulated mechanics of the relationships that are said to prevail between the id, the ego and the super-ego do suppose a brief journey through the founding « myths » cooked up by Freud to base his theory. These pretend to be true (empirical?) representations of the under-laying psychological reality, which is said to characterise « human nature ». (The id, the ego and the super-ego are rendered in French by ça, moi, surmoi; these words could lead to hasty connections with Sartre, something that would amount to an initial correction for the emphasis on context and situations, but nonetheless an inadequate one as such.)

(Added note: Since then I have been forced to be more blunt in denouncing Freud and his followers as philo-Semite Nietzschean nefarious and costly charlatans, often without proper academic formation, and drifting on their own in the logic of exclusivist rivalries. They never cured successfully anyone; in fact, after I mentioned the case of the Soviet woman Sabina Spielrein a movie was made about it without any reference to my book or emails, as usual. Spielrein, a Soviet woman, had a relation with Jung and cured herself essentially because she wanted to become a psychiatrist in her own right, and therefore took her affairs into her own hand. Intellectual honesty is not current in these milieus and the occultation was and continues to be complete. In France a country where people are notoriously over-medicamented, the Inserm took it as a pretext to defend the private medicamentation approach in favor of big capitalist pharma, and here too, as you might expect, without any reference to my contribution which condemns the over-use of drugs. Other pitres from Masonic milieus understood that my arguments could not be refuted and added their own second-rate prose. They did so mentioning newly published sources but their main purpose was to appear condemning Freuds obvious and now documented fabrications, in order to save the Grand master Nietzsche: A rather repugnant if characteristic procedure.

In reality, these charlatans dreamed to become the new « Jesuits » of the modern world empowered with the control of souls or conscience through a new form of private confession. It is their singular power trip. Loyola as we know was an obedient schizophrenic. Not surprisingly, despite the Jesuitsinitial discriminatory and defensive scripture about the « limpieza del sangre », the successor of Loyola was a conversos. Dominant putative elites and « masters of the world » and self-elected races or casts, all wedded to the exploitation of Man by Man, rest their domination on the routine manipulation of obscurantism and of induced guilt in their subjects. They also based it on the permanent availability of Nietzsches Hammer, which they handle cynically and most remorsefully. The induced guilt does not send us back to the « original sin » especially for Christians little brothers; instead, it sends us back to the whole practical system denounced in a ground to earth fashion in my « Le lit du néofascisme » and his « Annexe » both available in the section Racism/Fascism/Exclusivism of my site www.la-commune-paraclet.com. With Huntington, Dershowitz and their Israeli and Masonic masters, they even created « terrorism » as the original sin of Islamists destined to be dispossessed of Palestine and of Haram-al-Sharif, the Third Holy Place for all Muslims; this criminal dispossession aims at the erection of Salomons temple, a temple made of stone and said to « blind the view », but for which there is not the least piece of archeological and historical evidence aside from the biblical narrative. Need I say more? Well, Mr. Jack Lang a French Jew is now the grotesquely highly-paid president of the Institut du monde arabe while France launches its own subaltern crusades in the Middle-East and in North Africa. Obviously, among the more than 8 million French Muslims, there was not a single French Arab or French Muslim fit for the job. Especially since after 9-11, France has been working tightly hand-in-hand with the NSA and the Mossad, but doing so with a much longer experience. The Road to knowledge leading to individual and general emancipation must at all costs be blocked, as a reading of the Old Testament prescribes. Hence, the historical boomerangs witnessed recurrently by History. Exclusivism has its own infernal logic. I explained elsewhere that over-representation and false representation are inherent in the exclusivists overt and covert domination methods. Democracy and the law of great numbers should prevail in a verifiable fashion or else something is badly amiss that needs to be corrected.)

In brief, the id represents the stimuli that come from the depth of « human nature ». The ego represents the conscious tentative to repress these stimuli said to be potentially destructive of social stability, and thus allegedly leading to the development of human civilisation. The super-ego consists in the attempt to manipulate the ego of others for ones own ends, something that can never be a harmonious process for Freud. In effect, if we were to anticipate a little, even the concept of sublimation could serve to comprehend the mediations which allow the transition between the individual I and the collective Us; instead it is conceived as a negative action which represses the stimuli, transcending them in a creative fashion. In such a system, altruism and love, in their political or poetical expressions, are simply not conceivable as the end-point of the historical and psychological process itself. We will show that we are dealing here with a theoretical parti pris which emanates directly from the class presuppositions taken as the normal state of affairs, one which presumably cannot be transcended by Humanity. For my part, I prefer to use the term « mediation » which implies the joint work that is at the origin of the mutual development of the individual and of the collectivity, one that encompasses the whole structures that play a part in various degrees. In an evolving system marked by contradictions, mediations are the processes that hold things together more or less precariously until the transcending into a superior system is achieved.

Everyone is familiar with the Freudian concept of Oedipus. In fact, it is not really possible to understand the intimate sense of this montage, duly masked by the material of Greek origin, without linking it to the really founding myth of the Murder of the Father, much more important in Freuds eyes. The texts he produced at the end of his life will reveal that this Father was only a humanized figure of God, specifically the god of Genesis, the purported creator of the world and of Humankind Added note: In fact borrowed straight from Vicos New Science as much else, including the primitive horde and guilt due to promiscuity and fear. But obviously this was borrowed in a reversed and co-opted fashion, as always. For Freud, the Primitive Horde is a myth necessary for this humanization and thus for socialisation. Anthropology or rather its absence now confirms this. This discipline developed extraordinarily during Freuds life, although interestingly he never felt the urgency to inform himself from this source. The murder of the Father dominating the primitive Horde triggers a struggle for the domination of the horde that could be fatal for the whole community. Luckily, the sense of guilt and of fear will lead to a ritualization of this struggle, thanks to the mechanism of the « prohibition of incest ». We immediately see what is up: God represents what would incontestably be « normal » or « good » or, in secular terms, it represents totality. As far as he is concerned, Man struggles with his primitive instincts but aspires to the knowledge of God, in other words he aspires to the recovery of his whole being to be achieve through the confession of his guilt, a prior confession necessary to his cleansing of it. And of course, necessary to the priests power who controls the cleansing rituals.

This montage is indeed very unstable: By an apparent awareness of the crucial importance of secularity, and also by reference to a deeper reality than that expurgated from established religions, Freud will keep away from the idea of original sin and its atonement. He will choose instead to magnify the figure of Moses even at the cost of transforming him into an Egyptian prince finally assassinated by the Israelis! Everything becomes clear when we remember the Christian form of atonement, which is not quite compatible with the scientific spirit born of the Enlightenment that insists on individual and social responsibility. Christian atonement is even less acceptable for Freud because it introduces an exogenous intermediation that is incompatible with scientific analysis; it is also incompatible with sane relationships between patient and practitioner as he will rapidly discover. The secularity of Freud, a precious element, will allow him to push aside the drifting currents which will carry many others with a relative ease. Yet, it is equally not possible to hide that the Messiah for Freud had still to come, at least in the representations of his patients of Jewish religion. (He will indeed come very close to admit it at the very end of his life.) Let us note here that it is not indifferent to chose Moses rather than Abraham, the docile patriarch who heard a voice and quickly submitted entirely to it, no question asked.

For a Hegelian or Marxist mind, what is shocking is less the montage in itself, because it could have a heuristic value, than the entirely reversed procedure which Freud uses: The Murder of the Father is a reversed version of the estrangement with God, of the loss of the «original normality ». But it equally is a reversed version of the dialectics of human evolution. If we were to take Freud literally, there would be no dialectics of nature preceding history but

only a human nature in which body and spirit coexist from the beginning of times in pure parallelism, and in which the general tendency always seems to be a Fall back into nature in an attempt to climb back toward Good without really being able to reach it. In the polarisation of the super-ego opposing sense of guilt on the one hand and sense of human solidarity and love on the other hand, the latter feelings (impulses or instincts) must necessarily be dominated by the self-controlling repression induced by guilt. Thus, in definitive, the combined action of the murder of the Father, which leads to the prohibition of incest, and that of the Oedipus Complex, which allows the internalization of this prohibition, can only lead to the desired social stability at the cost of an unsurpassable hierarchy.

Freud will never deal frontally with social theory as such and thus this question remains unsettled. Yet, we see clearly that this social hierarchy and its continued existence forms his unsurpassable class horizon. Luckily his medical experience, notably in the Nord-East of France, made him see the ravages caused by too rigid social customs which were only justified by religious dogmatism. Hysteria was causing misery in the ranks of bourgeois women alienated by this double hierarchy, social and religious. The long engagement of Freud himself with his future wife made him see the odious aspect of some constraints although he always had the reputation to be personally very prude. The ulterior success of the Freudian psychiatric method is largely explained by his demarcation of these two kinds of hierarchies. This allowed him to ride the movements of social emancipation as well as that of women liberation, not out of militancy or because of a specific interest for these struggles, but rather by a sort of happy coincidence (in reality, not at all exempt from the ambiguity induced from the internal contradictions of Freudism as we will soon see.)

It is then obvious that the idea of a « golden age » comes directly from the necessity to refine the montages fabricated in order to defend the whole ensemble made of these theoretical loci: Perennial human nature, and human totality leading to the idea of normalcy. This totality is nothing other than a Freudian version of Anslems proposition with respect to the qualities of God: Man is made at the image of god, meaning that his destiny his internal mechanics regulated by the id, the ego and the super-ego must strive towards Good, « that soft little voice » which always makes itself heard if only faintly, and which according to Freud always ends up triumphing. It is thus unnecessary to belabor the point here.

One must however say a word if only briefly about the method used for the interpretation of dreams. First, the prohibition of incest and thus the constantly renewed process of the formation of the personality, relying notably on the mechanics of the Oedipus complex, send us clearly back to the « reminiscence » of the Murder of the Father in the original Horde. We see here the birth of many disputes, which will agitate the various psychiatric schools and even Freuds « disciples » themselves. Taken in a strictly anthropological sense, this reminiscence sends one back directly to a « collective memory » or to a « pre-existence » of which the «traces » can be discovered later through various methods. The nefarious drifting of this branch of pseudo-anthropology will become even more serious because it will assume forms that will quickly lead some people to the investigation of ancestral magical practices, white or black. Some people will go as far as to follow old African beliefs, they too very heteroclite in their own cultural milieu. For instance, they would pretend that the served head of a (black) Man, sufficiently whitened by running water, could serve as a vehicle for divination. The Nazi/Fascist frequentations of these fractions of the psychiatric movement are too often under-estimated: They reveal abysses of pure ignorance as well as the extreme alienation, very precisely a nihilistic alienation of pseudo-awakened ilks who would pretend to dominate the world of spirits for their own ends.

Luckily, today, scientific anthropology has started to investigate seriously phenomenon such as shamanism. For his part Freud will never be part of these extreme drifting forms or deviancies. We now understand why: His founding montages were never more than adapted representations of what remained for him the true founding text for him, namely the Jewish Bible, much more than the polytheist texts of the Greeks. The Father is not and can never be a spirit among others, it is the one and only Spirit of monotheism. In the end, Freud did not hide it, notably when he wrote his Moses. But being very keen of the necessity to secularize his theory, he will not emphasise it either. Too bad then that he was not very good in choosing his disciples! But we will leave this interesting question to the learned analysis of Freudians themselves!

It was important to re-establish the symbolic value of the founding myths or montages. Foucault was not insensible to the construction of these peculiar structures, to the point that he tried to oppose to them the Greek sense of measure, particularly in sexual matters. We can then better understand the Freudian scientific project; (we do not dare say empirical project here since his clinical cards were directly and indirectly victims of the same manipulating labor as that which led to the founding myths.) The attempt was made to map in an ordered fashion the various manifestations of the irrational to better decode its mechanisms. The analysis of dream, a sphere of human activity that does not depend from awakened consciousness, became the more attractive for the secular scientist who did not ignore that the domain had long been invested by other divination forms, among which that of Joseph in the Bible. Unfortunately to proceed with these investigations in an ordered fashion requires a set of starting conjectures. Freud was convinced that he could initiate his new discipline because he was always very keen on his pretense to innovate in this matter starting from the end: The conjectures were replaced by the montages, the clinical cards were artfully « doctored » and « interpreted » to naturally confirm the general value of these montages, and these soon acquired the value of a dogma. To the point that they were refined and embellished during his whole life by the learned Viennese psychiatrist without ever feeling the need to radically question the initial conjectures.

This is why, when dealing with Freud, I prefer to speak about preliminary mapping of manifestations, instead of a real empirical/scientific labor leading to the apprehension of objectifications. In brief, such a work would necessarily benefit from new accumulated knowledge, notably in the domain of neurology, which was not yet available to Freud. For the interpretation of dreams, one would take into account the following effects: The vital function of sleep, necessary to life, and above all for the renewal of neurons and synapses; the fact that this renewal happens without destroying the cognitive structures or the 5 zones of memory brought to life by French neurologists; finally, the traces of tensions, conflicts or pleasure felt by the subject (conflict and pleasure which are linked, I believe, to what I call below the « soft paraphrenic » manifestations, which origins still need to be determined in the intimacy of the dreamers spirit, or in the « impression » made on him by external forces. But, of course, this remains to be mapped scientifically and carefully.

In effect, if we were to restrict ourselves to the dualism opposing « manifest content » and « latent content », we simply would risk to neglect what constitutes the heart of the problem, namely the yet uninvestigated field of what is ordinarily called « premonitory dream ». Here, Jospeh, the un-quoted, is « unconsciously » or at least « culturally » more revealing than Freud. He is similar in this to the schizophrenic Abraham compared to Freuds entirely fabricated Moses. We hardly imagine the petit-bourgeois small-talk of a Freud who would pretend to draw scientific principles from his embarrassment when forced to pass in neglected attire through the stairways leading from his main apartment to his working cabinet and his to bedroom both situated one floor above! Yet, this would textually be a mistake. (Added note: New quite unpalatable facts about Freuds family live have come out of the closet recently but the archives are still locked up.) However, one can still, as Freud did, hazard that dream for me more generally all soft or specific paraphernia constitutes a good door opening to the world of unconsciousness, and more widely to the world of the irrational. Meanwhile, it would be urgent today as yesterday to protect «Abraham » and all the honest people from the uncouth ineptitudes proffered by Glucksmann and company! An advice given long time ago by others than me.)

This impoverishing tendency consisted in using the empirical method on the basis of hazardous montages; but these always displayed axiomatic pretensions, which in the end transformed psychiatry in general, and most particularly Freudian psychiatry, into a new secular church fragmented in many chapels that functioned as such. It emanated from an ontological ambiguity impossible to confess and perhaps never openly recognized as such by Freud himself: An ambiguity which consisted in confusing God, good, normality, Father and the hierarchical horde while attempting at all costs to maintain sociability in the absence of an efficient Messiah. It was no doubt aggravated by the deviancies proper to various currents of psychiatry which enticed Freud to adopt intellectual measures (rigidification of the montages sending back to what seemed to him a non-ambiguous good), as well as various organizational attempts to find a trusted successor preferably a non Jew who would himself internalise these models and thus be able to lend them a universal character without betraying them.

Today, the uncontestable failure of the whole psychiatric movement and more particularly of its Freudian common ancestor which gave them birth I know, ironic phrases are sometime unavoidable , can now be verified at all levels: Ontological, epistemological, methodological, theoretical and at the level of theoretical practice. This scandal has lasted too long already. And so too the intellectual and social fraud. It has now become urgent to put the clocks back on tracks, the more so because the Freudian heritage and more widely that of non heterodox psychoanalysis remains precious in so far as it affirms its adhesion to the scientific method. And also because it affirms its will perhaps more than its comprehension to position itself at a secular level, which is a token of freedom for the individual. Aside from the known pitfall of Freudian practices, think about the methods, notably American, which grafts themselves like parasites on specific loci of Freudian analysis. For instance, those which refer to memory, without understanding much about its intellectual genesis or about its usefulness, and thus ending up rapidly prey to practices more attuned to the most obscurantist exorcism. Many donkish ineptitudes and often real manipulations were unleashed for instance in the USA over the problematic of « infantile memory traces presumably brought back or re-invoked ». Let us add that the unexplained characteristic of certain phenomena pushes society in a reflex neatly analysed by Emile Durkheim to re-assure itself through the accentuation of its rigorist biases. As a consequence, the « politically correct » forces naturally allied themselves with a pseudo-science that was adulated in Western societies, including in academic circles. This was simply because this peculiar secularisation of the understanding of the irrational went hand in hand with the normalisation and the hierarchisation of a society characterised by the exploitation of Man by Man in its modern capitalist form. However, as the « freedom » of circulation of the commodity labor-power will be less priced by a modern capitalism now at its technetronic level, one must fear the transformation of these churches and chapels into vast enterprises of social subordination and enslavement. As we have shown, the theoretical presuppositions of this deviancy on a large scale already exist. We also know that the communism of big capitalist corporations with all its mediatic, political, social, intellectual and religious mediations, is considerably more efficient in its domination efforts than Bolshevik communism ever was, the latter being direct, non-mediatised and thus prone to always exhibit its mechanics in its most transparent nakedness.

Lineaments of an authentic psychoanalysis theory.

The refunding of the scientific and secular analysis of the various objectifications of the irrational remains an urgent task. It is essential for the reaffirmation of human liberty on indestructible foundation, hence ontologically pertinent foundations. In what follows I submit its lineaments. It goes without saying that I will restrict myself to the essential aspects of the theory conceived as a theory of apprehension of the real (a theory of knowledge as sociologists would say.) The practitioners will eventually be able to derive some benefits from it. At a minimum, we emphasise that the initial Freudian conjectures must be treated as such, since in all intellectual honesty and in all honesty as human beings who pretend to be of utility to others (in exchange for money for each session ?), the time has now come to put everything back on the table and to restart from fresh. From their point of view the situation could not be better. Indeed, they now have at their disposition a great repertory of empirical data, so that the contradictions exhibited with respect to the initial conjectures and to the « results » really obtained, will rapidly operate as signals for the new hypotheses which need to be proposed today with the deepest disinterestedness.

Our starting point is that of historical materialism, specifically with respect to ontology, epistemology and method. We mean to say that this world vision does represent the end point of the entire Western philosophy (and even World philosophy) in its effort to establish Man as both the Subject and the Object of his own History. I leave aside for now the theory and more particularly the political, social and economic theories. The reason is straightforward: No system said Marx is ever transcended before it has run the whole course of its forms of expression. These forms are not necessarily dominant and can even survive as residue when the dominant systemic form has changed, according to the beautiful demonstration relative to hegemony which is due to Antonio Gramsci. Kojèves Hegelianism, for instance, insists at length on labor as the key operative criterion. But it does so placing itself in the political optics of bourgeois democracy namely the « bureaucratic » optics in the noble sense of the word pointing to a structure created to serve society as a whole. In so doing it largely partakes in the other philosophical aspects that are usually attributed to humanism. (Note: A humanism which specifically distinguishes itself from charity and all the other forms of condescending : The role assigned to the Individual, not on horseback but with a capital I to borrow from Hegel; it is a difference which caused many debates and eventually forced someone like Althusser to declare that Marxism was not a humanism, that it to say it was not a form of condescending and moralistic charity; Althusser was following here Marxs own reaction to the comments relative to Paul Lafargues beautiful book on the reduction of working time, to wit, if that was Marxism then he was not a Marxist. Note further that, as Engels makes it clear to Bernstein, and contrary to the maliciously truncated story, Marx was here defending his son-in-law Lafargue against the crapulous use of his work and name by some typical scoundrels especially in France; see : Lettre à E. Bernstein Friedrich Engels 2 novembre 1882 http://www.marxists.org/francais/engels/works/1882/11/fe18821102.htm .)

In fact, the political theory derived from historical materialism points to clear alternatives: a) the illusory bourgeois reform; b) revolutionary democratic reformism see the second part of Tous ensemble for the elucidation of this peaceful road to socialism, the possibility of which is contained in germs in the conquest through strenuous struggles of the universal and secret ballot; and c) revolution, when bourgeois democracy has transformed into a mere shell for the dictatorship of Capital.

Consequently, considerations relative to the modes of production and to the social institutions are necessary to understand the determinate and most problematic forms of social expressions, of the blockages and of objectifications. Nonetheless, it is necessary to begin with the pre-theoretical forms replacing the Human being within the overall dialectics which unifies the dialectics of Nature and the dialectics of History, an overall dialectics necessary for his-her reproduction as a human being and his-her reproduction as a social being. A fallacious objectification would consist in saying that it is not possible to demarcate between the human and the social being, between theory and pre-historical philosophical aspects. This is fallacious for two reasons: The Human being under question here is always seen as a social being. Indeed, the objective behind the development of the concept of modes of production by Marx aimed specifically in trying to answer concretely these philosophical and social problems raised by the historical evolution. However, the Human being is always and everywhere confronted with the necessity to ensure his reproduction and the reproduction of his social relationships within the context of the overall dialectics; the human being is per force human, but it is human in a given historical framework, or, in Aristotles terms, s/he is a social being.

The only legitimate question which can then be raised is that concerning the « invariant » element which can allow the transformation from one form to another. Here too there was much ink vainly spilled over problems raised at the « margin » despite the fact that there is a quasi unanimous accord over the principal invariant axis. This immediately makes of the Human Being not only a biological and abstract being, but also a Being gifted with a consciousness, one who is, at least in part, master of his-her own destiny. Even those who reject the theory of evolution in favor of a divine genesis do concur over the change of forms around an invariable axis (the believer replacing here the historical subject). This axis was brought to life by Joachim of Fiore and by Vico. The diatribes specifically concern the criteria which allow to link and understand in coherent terms the transition from one form to another. The Marxist answer and in an inverse sense that of Hegel which points to human labor as the criteria is far from being a caricatural and unilateral theory. This « labor» under question is nothing other than an attribute of a human Being capable to size and transform prior objectifications (crystallised labor ) to ensure his own reproduction, the result of which will lead to new objectifications.

Labor is thus a conceptual ensemble which expresses the very heart of the active relation of Man in the World and in History. It is thus on this very coherent and complex foundation that Marx will base himself in order to distinguish between various modes of production. For my part, taking the main idea, I have come to revisit the Marxist distinction between absolute and relative surplus-value, productivity and the concept of social surplus value, re-elaborating on this basis the concept of historical epochs compatible with one and only one mode of production. (On this, see the Synopsis of Marxist Political Economy available in the Livres-Books section of this same site.)

These epochs, in which the Beings move and flourish, are individually the resultant of the under-lying structures which thus allow us to locate the social and individual tensions. Nonetheless, it is not necessary to follow my lead blindly on this road. It is always better to think with ones own head. However, it is important to understand the signification of this clarification so as to choose carefully ones own ontologically necessary starting point, historical materialism or anthropology the first encompassing ontologically the second. Even the most « orthodox » believers cannot abstract themselves from such a necessary choice or else they soon fall prey to the most devastating and obscurantist fundamentalism. At a minimum such a choice needs to be made for the « textual » date of creation and thus with the emergence of libre-arbitre according to the anti-inquisition artifice put forth by Vico. In any case, this choice is not a purely subjective matter: Respecting the pluralism necessary to the method of investigation, this forces one to be vigilant as to what constitute acceptable and thus serious critiques. One must always be ready to put ones own beliefs to the test, at least when we are not entirely confident about the ultimate coherence both conceptual and empirical of the given universe in which the problem is framed. Marxists must learn to take into account these objectifications of the irrational and non-Marxists must lend more attention to the alienation produced by the exploitation of Man by Man, and to the mental and social structures that this engenders.

The first given pertinent to a Marxist psychoanalyst method must necessarily be the recognition that the sheer existence of the species depends on a particular mode of biological reproduction, sexual reproduction. This implies exchanges and a regulation of the exchanges of persons. The first principle of the regulation of exchanges is obviously the prohibition of incest of which Levi-Strauss shows on the one hand the « universality », and on the other hand its role as the foundation of the various structures of parenthood. The real difficulty here consists in knowing what belongs to the dialectics of nature and what belongs to the dialectics of history. In my opinion, Behaviorism failed to raise the right questions and thus always has a tendency to reduce the human being to a state preceding consciousness, which is never the case. Even superior primates are never in a situation predetermined by the basic mechanics of stimuli and responses. Stimuli and responses are already « filtrated » by the rules of the sociability created by the groups.

Consequently, it would be urgent to start everything from scratch. Nonetheless, we will retain here the idea that the priority goes to the sexual reproduction of which depends the species instead of relying on a preconceived concept of sexuality. The question of the prohibition of incest must be raised again starting from this new found evidence. It is almost certain that this social prohibition has its roots in a prior regulation, which sends us back to the conditions permeating the dialectics of nature. In effect, the sexual reproduction demands a redistribution of the genetic heritage in order to avoid the debilitation and extinction of the species. As all animal species which depend on sexual reproduction find themselves subjected to this exchange exigency and to the circulation of the genetic pool, the « parental » groupings must necessarily exhibit a « state of nature » already filtrated by this exigency tied to sociability. (On this subject, see the works linked to the great project directed by L.L. Cavalli-Sforza, as well as those of A, Sanchez-Mazas and A. Langaney, among others.)

The universe of instincts is thus far from being unilateral as behaviorists are prone to affirm. Recall the perspicacious critique of Alain Renais to Laborite in his beautiful movie Mon oncle dAmérique: The competition between individuals is not the essential element, and when groups are able to survive despite this, it is simply because these behaviors are compensated by disinterested behaviors exhibiting different forms. Yet, this is a universal given for all species characterized by sexual reproduction. Aside from anthropology, neurology should be called to contribute since the instincts are related to neurons, in particular but not necessarily to cerebral neurones, by way of the senses. These early forms of cognition then offer the foundations on which consciousness bases itself when it usurps a great part of the work done by the dialectics of nature, opening in this way the universe of the dialectics of history. However, the extreme plasticity of the brain of historical Man must not lead one to forget the necessary substrate contributed by the dialectics of nature. We realize here the extent of the inter-disciplinary efforts that needs to be undertaken. Nonetheless, this first acknowledgement permits the restitution of the prohibition of incest and its alleged starting point, the murder of the Father according to Freud, in its real dialectical context; and this should allows the foreclosure of the illusory and obnoxious pseudo-scientific avenue delimited by the a-temporal « montages », which attempt to account for a perennial « human nature » and, in so doing, do mutilate it at each station along the way.

The sexual reproduction of the human being is different with respect to that of other animals in that it is transcended by the possibility of sexual liberty, its historical aspect. The sexuality of the human being is not limited to the necessary reproduction of the species. It can also be a free act which finalities are purely social. An act that expresses the conscious desire of the individual. This does not mean that the mechanisms of the sexual act are entirely independent from those related to the physiological sexual act. In effect, the degree of civilisation can be measured by the degree of acquired liberty, and its harmony with the givens of sexual reproduction. The quality of pleasure and/or of love depends, among other things, from this liberty and from this harmony. The rules of sociability run in great part through the biological to the social to end up finally with the recognition of the necessity of individual decisional liberty. As a matter of fact, the pill has only amplified the degree of liberty inscribed in the cycle of feminine reproduction and then in the long and arduous apprenticeship of the abortion methods.

Nonetheless, human sexuality and its degree of freedom do not abolish the deeper and underlying mechanisms which continue to play their role in sexual reproduction. The historical conjunction of both reveals the laws of reproduction and of the evolution of the structures of parenthood. We already presage that the confusion of both dialectics of human sexuality and the imposition of a particular form of circulation of the individuals (structures of parenthood) constitute the foundation on which are erected many contradictions which always prove nefarious when experienced as an illegitimate obstacle to freedom. The historical analysis of these nexuses and their contradictions according to the historical epochs constitute vital instruments for the understanding of the development of the real personality of the human beings. Otherwise, one overlooks the distinction between the field of biological sexuality and that of sexuality, and on the basis of this oblivion, largely motivated by class position and by gender, one moreover ends up wanting to « normalize » human relationships and behaviors according to very doubtful heuristic models. And what is more this is sought from a quasi-unconfessable inspiration as was demonstrated above. (Added on December 2013: Although reformulated according to his origin and to his Viennese circumstances, the Nietzschean strata in Freud are usually omitted, which is a calculated if typical betrayal of academic deontology and a great disservice to both patients, readers and students alike. Freud equally added his desire to become famous etc ...)

The structure of parenthood attempts to conjugate the ties necessary to infra and inter-groups cohesion i.e. biological sexual reproduction and the space of freedom judged to be tolerable in so far as it would not destabilize the general equilibrium. As such, it allows a better comprehension of the problematic of the prohibition of incest (and of the Freudian montages relative to the primitive horde.) However, the importance of historical knowledge about human reproduction on the one hand methods of birth control, conditions in which birth took place etc - and on the other hand the ideological constraints that are imposed on the dominant and dominated classes, should be emphasised again. Both poles of this domination take their liberty with the general system but very differently. It is however clear that in these conditions the prohibition of incest does not necessarily nor particularly concern the Oedipus or Electra Complexes, but instead the overall relationships judged as taboos by the given structure of parenthood. Malinosvsky and then Margaret Mead had already underlined this cultural limitation of the Freudian system, a patriarchal system which, at the time of Freud, evolved rapidly towards the « nuclear family ». That is to say, a form more adapted to the reproduction of the force of labor in a capitalist society in which the « household » composed of an « enlarged family » proves no longer compatible with the commoditisation of the force of labor and, above all, with the wage which goes to pay the labor of the worker independently from the size of the household dependent on this worker. (The « household » is taken here in its statistical sense referring to the number of persons living under the same roof .)

From this standpoint it is vain to discuss the formation of social hierarchies without taking into account the power structures engendered within the considered family, namely the set of relationships over-determined by the underlying structure of parenthood and by the power relationships born out of the conjugation of these structures with the mode of production in which this social reproduction is ensured. It is then doubtful at best that the Oedipus and Electra complexes resting on their a-temporal montages would represent significant steps as some would pretend. The sheer needs of human exchange implied by sexual reproduction would even tend to predispose the reflexes i.e., instincts already socialized by the presupposed sociability , and would rather militate in the opposite direction for the members of the group belonging to the same proximate genetic heritage.

The light showered on these relationships originates again from the taking into account of the twofold dialectics, of Nature and of History, which always presides over the destiny of the human Being. As shown by Lucien Malson, this Being capable of liberty is such only at the cost of being more disadvantaged at birth than the humblest animal. The development of human behaviors being largely acquired, education and apprenticeship become fundamental requirements of human life and of life in society. The Freudian montage transposes at the level of the family the founding myth that he derived from his primitive horde. In an enlarged family group the Freudian id, the ego and the super-ego would cause extreme ravages: Pierre-Philippe Rey, for instance, showed the impact of salaried relations thus concerning the individual worker created by the construction of the railroads in Africa in the midst of patriarchal and matrilineal societies structured in clans. The double dominance of the clan and of capitalism disturbed the previous circulation of the individuals to the point that all the power relationships and the mechanisms proper to the transmission of knowledge were upside down. Similarly, the individual personality was deeply affected, each having from then on to internalise drastically changed social behaviors, but within the same bases as before. From that moment on, no Freudian remedy can obviously come to the rescue since the contradictions cannot be resolved through a stable and permanent retreat into tradition and suppose instead a revolution in all the social practices.

Of course, this proves a painful process unless - pace Freud one would initiate a revolutionary transition that invests both the individual and the society. The revolution in the mutation of gender relationships raised relatively similar problems. Indeed, the evolution of capitalism raises the question of the contradiction between household and individual labor power in the context of the reproduction of labor power. The eruption of women in the working places during the First and Second World Wars, and later increasingly by choice after the Liberation, will be followed by a systemic tendency leading to the decrease of the main salary. Today, two persons earn about the same amount than the sole salary available to the majority of households during the 1950s. Meanwhile, domestic work principally assumed by women still contributes around 1/4 or 1/3 of GDP without being counted in the national accounts (see Louise van Delac, Les dessous du travail domestique.) The monoparental families thus transcribe the

mutations in the modes of circulation. Unfortunately, instead of backing up the forms of economic, political and social assistance which prove the most adapted to support an evolution accomplished in the sense of liberty, we are witnessing the unified counter-offensive of all reactionary conservative forces. This conservative push, now openly launched in the USA by powerful established forces, is cynically engineered through a return to the traditional values of matrimony so necessary for the realization of the social regression. This is naturally done through an induced sense of guiltiness in the minds of ordinary people. As we already saw, G. W. Bushs politics aimed at inciting single-mothers to remarry in order to save a few million dollars in assistance; of course, this constitutes the perfect symbol of this « return » to a neoliberal fanatical Fundamentalism, which smacks of reactionary religiosity. (Added note: We also recalled that his wife symptomatically wrote an apology of the « surrendered wife »). The neoliberal logic having given birth to the problem being still in place, one can only expect grave personal and collective dysfunctions.

The conditions in which apprenticeship and education take place are thus primordial. They do not necessarily coincide with a given family structure. The illusion around this coincidence, presumed to be necessary, entirely depends on the organization of the exploitation of Man by Man. The adult having per force to inscribe him/herself within the existing forms of sociability to realize him/herself, or to contest them, s/he will reproduce positively or negatively the acquired behaviors inherited from his/her education and his/her apprenticeship. It is only at this point that one can raise the question of relationships with the members of the family genetically proximate or enlarged. This is because there then enters into account the transmission of accumulated wealth which is grafted on the structure of parenthood as such. The transition from childhood to adulthood does not therefore depends uniquely on structures immediate or enlarged family that preside over his education, and above all over the education received during early childhood, which defines the child both as a human being and as a social being. It equally depends on the compatibility of this apprenticeship with the insertion within wider social structures, in particular those emanating from the mode of production. As can be seen, the more or less pronounced neuroses felt by the Freudian ego do skip the cultural determinations; they also elude the class determination and the degree of liberty they offer and to which education has the vocation to prepare.

It should also be underlined that the complete understanding of the formation of the personality of the individual supposes the taking into account, for each system, of the liberties that are taken daily without endangering or even seeming to endanger - the general economy of the structure of parenthood as well as those of the transmission of wealth. For instance, in France we can hazard that the combination of successive historical heritages Celtic, Germanic, Roman etc. - led to the emergence of freer non wedding - alliance possibilities between first degree cousins; this is because they were less implicated in the dissensions emerging from the transmission of inheritance or from conjugal contracts. (See for instance the magisterial study of endogamy by Germaine Tillion in her book Le harem et les cousins.) This exogamic tendency becomes then a space in which the freedom to experiment is confronted with lesser constraints and taboos without necessarily leading to consequences, this being the more so since sexuality is increasingly abstracted from biological constraints to favor pleasure before being a reproduction mechanism. Things are very different in Italy still a very endogamous country - , a land regimented during long centuries by Roman laws, and later by the same but reformed by masochist ecclesiastical institutions. In that sense, the observations provided by Malinowski and Mead should be studied with more finesse for Western societies. We will remark then that the hierarchies are more complex than Freud believed, and that their power and the force of taboos do not express themselves in the same manner in all directions.

But we are dealing here with the first level of systemic analysis. To these are added the regulations, constraints and contradictions emanating from the dominant cultural and ideological structures which have a similar systemic impact. Freud denounced them in the form of religions. Obviously, this does not exhaust the subject. All these cultural and ideological structures do exhibit in varying degrees the pretensions to reformulate the prior fundamental structures. In that sense, they represent cultural translations that are necessary to make the first socially intelligible. Yet, we all know the adage: Traduttore, traditore! The translation, or more precisely the superposition in cultural terms, is never ideal in a system characterized by the exploitation of Man by Man. Consequently, when it succeeds in being viable this is of course achieved at the expense of numerous internal contradictions. It becomes therefore crucial to understand how these contradictions are mediatised. Is this done through repression, a course of action so characteristic of the systems which are more rigid and less adapted to the two underlying dialectics, or through tolerance? Is this tolerance a structural given enshrined in the intimate functioning of the system? For instance, as far as religions are concerned, thanks to the liberating context created by laicity. Or is it merely a taken liberty, which depends on particular and situational circumstances, such as class position the history of the geographic incidence of determinate forms of hysteria at the time of Freud shows the divergences in behaviors in the midst of the various strata of the bourgeoisie.

The degree of freedom does not depend solely on organisational elements for instance the tolerance of Jesuits towards the European dominant classes, when they tried to impose their hegemony, which aimed at the accomplishment of their « educational » reform; similarly, the ultramontane reaction embodying the Nietzschean reaction within the Catholic Church with their well-known belated consequences. The technical given are always enormously important although always somewhat under-valued as far as the comprehension of cultural structures is concerned. The same can be said about the importance of the knowledge pertaining to human reproduction, or about the general status of public health, from the sexually transmissible diseases to the methods used by patriarchal society to supervise birth-giving conditions see for instance Louis XIV and his innovations on this matter, etc.

AIDS nowadays displays the same difficulty faced by modern societies in preserving their recently conquered degree of liberty when this preservation depends on the solidarity of a society subjected to the logic of profit. This major difficulty faced by the more evolved societies becomes an almost unsurpassable obstacle for the most fragile ones, already marked by the development of under-development, such as some contemporary African societies. Syphilis raised similar problems to societies that did not always possess the technical means to understand the medical nature of the problem, so that the medical remedies using lead or mercury thought out by Paracelsus did certainly not help to lengthen the live of patients. However, the irony of longues durées can result in a march without parallelism of the organizational and technical aspects. This was further aggravated by social pluralism: Some social strata are more disposed to quickly operate the necessary changes than others who remain subjected to more archaic social codes.

Of course, the major difficulty resides in the fact that all cultural structures, at least when they operate their translations, must do so necessarily by offering an Ethics and a moral. Institutions, groups and individuals are then expected to internalize them by way of the education and socialization mechanisms that are set in place. Everything depends on the degree of real equilibrium offered by the notions of Ethical Good, utilitarian good and Evil (or a-social behavior.) We see at a glance the contradictions, the blockages, the dysfunctions and the transgressions that can result when these moral codes (i.e., functional codes) are given as a revealed and indisputable ethics; this is because they do not rest on an adequate translation and do not offer the necessary spaces of freedom needed to reinforce the system and make it more viable. A whole hierarchy of pathologies can then be established according to their variance with respect to social norms and/or with respect to the norms always felt by Mankind but still badly deciphered that come from the dialectics of Nature and of History. It is perhaps exactly what modern psychiatry attempts to do despite its thick blinders, at time candidly taken as profound and operational knowledge.

The more serious pathologies do not become more serious per se just because they find their origin at a level rather than another: Everything depends here on the respect felt toward the Other human Beings as a criteria of the respect for oneself and thus as the criterion for the respect for existing life (and we know that this criteria is often largely filtrated by the field of possibilities defined within the family, social and educational milieus of reference.) Nonetheless, the notions of personal culpability, which are easy to establish in cases concerning transgressions, dysfunctions etc., of existing social norms, is easier to establish when the underlying dialectics are not systematically infringed by these norms in a serious and unacceptable manner. This culpability is less felt when the circumstances are such that they confuse or suspend the libre arbitre of the individuals. Then society must necessarily start interrogating itself about its own systemic guilt, at least if it desires to practice a humanist justice as opposed to a repressive justice. The former, when it refuses to reform, ends up treating transgressions, dysfunctions etc., and their harsh repression, as the only means to validate the overall system of social control, as was demonstrated by Emile Durkheim. In the end, unless it chooses to court alienation or rebellion, the law cannot profess its sentences without taking « justice » into account. This is because nothing can ever stop the general desire for change from a given system towards a better and more livable one, something which the theory of Law has acknowledged by its distinction between legal or positive and natural law.

Of the exemplary nature of American dysfunctions.

Last year a very unfortunate American family lived through a tragedy which exhibits the entire gamut of dysfunctions that we attempt to bring to light here. We do not pretend to know all the details this affair. However, what was reported by the newspapers permits to arrive as some general conclusions. Last year a mother, Mrs Andrea Yates, drowned one after the other her 5 young children aged less than 10-year old in the bathtub of her house. Her husband Russel Yates is an engineer employed by NASA. The couple is profoundly religious. It does not believe in modern contraceptive methods judged morally unacceptable. The births were thus following at small intervals. The mother had psychological difficulties, we can affirm that they were not all entirely related to a phenomena linked to post-partum depression. In effect, she had undergone « cures » for schizophrenia and seemed to have suspended the administration of drugs before the quintuple murder. Unfortunately, there is more: Prior to the tragedy, she had engraved on her scull the number « 666 », the famous « number of the Beast » in these exalted milieus. In court, she declared that she had heard the voice of Satan and that she had acted in this fashion to save her children from that influence. In her immediate environment the ultra-religious influences were not lacking to comfort her in this fantasist world she was constructing apparently without her husband knowledge; he declared that he might not have lend enough attention to the psychical troubles of his wife. In the USA, one finds numerous political and/or community groups leaders, particularly in the South, who look for the deep causes of tragic events, such as the murderous shooting at the secondary school Columbine (1999), in the disaggregation of the traditional family, itself caused, in their view, by birth control and family planning derived from « un-Christian » and too « liberal » values! Thus according to newspapers the predicator Michael Woroniecki, a family friend, had some influence on Mrs Yates. Neither Mrs nor Mr. Yates accuses him of any wrongdoing. However, the exchange of correspondence with Mrs Yates shows the content of his teaching. This content is corroborated by what is known of his preaching. He teaches that women who practice birth control are witches and that their children, if they are not « saved » before they reach the age of 13 or 14, are damned for eternity.

We do not pretend to judge this predicator or Mrs Yates. This is the job of the courts. What is of interest here is to reveal a very specific environment. Psychologists know better than anyone else that it is possible to « implant » nefarious believes in the mind of people. Sectarian milieus are all applying these practices more or less. This becomes the more devastating when they are unknown to the concerned persons and when the latter are schizophrenic subjects or when they are predisposed to a certain paranoia. It should be added that the rebirth of a rigorist Puritanism, which follows the political roads traced by various currents propagandizing a religious revival (such as the « born again Christians »), is accompanied by a neurotic bourgeois revision of the notion of criminal responsibility. This is done to the detriment of the justification for reason of insanity. It was notably the case after the tentative assassination of President Reagan in 1981. In its verdict, the court did take into account the state of mental insanity of the culprit John Hinckley. A public opinion backlash then followed, one that was rapidly manipulated by all the reactionary media. This neurotic reaction of the dominant class was also verified in the UK after the tentative murder of the queen at the end the XIX century. Here too the notion, of criminal responsibility was widened with the clear intention to deter and to control the so-called « dangerous classes ». Nowadays, this tendency goes hand in hand with the development of social inequalities and with that of the underclass.

(The USA holds here the doubtful privilege of having a few years advance over the rest of the World. However this tendency is identical everywhere as is now testified by the much politicized dossier of so-called « security »). It is prevalent in Texas and in around half the 50 American States which prefer to adopt the criteria of « knowledge based » to that of « insanity based », that is to say the criteria according to which every subject is judged a priori responsible of his/her acts if s/he is judged in possession of a notion of good and evil when s/he commits them, notwithstanding the fact that these notions can be more or less muddled by mental conditions at the moment they are enacted! (Apparently, at the time of the serial murder of her children, Mrs Yates had stopped taking her medications which were part of her treatment. Moreover, Mr. Yates denounced the poor covering of medical expenses in the USA which according to him led to shorter stays in institutions than they could otherwise have been.) At the end of February and the beginning of March 2002 the court case unfolded in a Harris county which includes Houston in Texas. In 2000, a Baptist devout M. Chunck Rosenthal was elected «district attorney » on a reactionary agenda that included the defense of order and law by recourse to repression and to the death penalty. Some people actually suspect that the prevalence of coloured citizens among the persons condemned to death since 2000 will influence the rigor of the penalty that will be attributed to Mrs Andrea Yates, a White women belonging to the educated middle class; in other words an attempt will be made to preserve some appearances of inter-racial fairness. Middle of March, the jury condemned her to a 40-year sentence but the judgement will be appealed because an important technicality (the jury having accepted the thesis according to which Mrs Yates had been influenced by a television show, a show which, as was known later, had never been aired!)

The general schemata which emanates from similar cases remains always identical. It points to the individual incapacity to get rid by ones own means of the iron moral ties imposed by society, that is to say his-her difficulty to recover his-her own libre arbitre and the sense of ones own lucid and personal responsibility. If mental sickness, schizophrenia in particular, causes an important confusion in the self-control ethical mechanisms of the individual, it then becomes impossible to speak of « criminal » responsibility. And I believe that this remains true despite the « strategies » unconsciously used by schizophrenics as self-defense means which we will discuss below. The most serious aspect resides in the fact that a few weeks before the murder of her 5 children by this unfortunate mother, this family could have been presented, if not as a model family, at least as an ordinary American family (22) in the context of the theocratic model now revived in the USA, among certain fractions of the Jewish and European population I hazard here that other population basins who manage to coexist with their own religious traditions or at least whose traditions are less affected by the « enthusiasm » of « born-again Christians » or of neophytes, belong to other less sectarian denominations. In other words, these strategies reveal symptoms of structural and more serious problems, which need to be apprehended without causing alarm, because such alarmism proves a bad councillor and is always prone to advocate repressive shortcuts.

It was said that this unfortunate person exhibited symptoms of schizophrenia: Namely it was said that she was hearing a voice that pushed her to murder her children; we know that she lived in a family cell exhibiting religious sentiments stronger than the average of the faithful, even among the traditional groups of the so-called American Bible-Belt. The importance of these traditional groups, though at times a little bit more open, does contribute nevertheless in valorizing zealots in their own eyes and in reinforcing the theocratic and economic repressive structures, including those pertaining to the gender hierarchy adopted within these family cells. These individuals exercise on themselves (and at time on their close entourage) a self-mutilating violence simply because they are not able to negotiate the too acute contradictions that exist between the exigencies of these underlying structures and the social and moral codes. Thus this leads to a whole set of dysfunctional behaviors that are more or less serious. These individuals have rejected the possibility to adapt to the system by relativizing its more onerous constraints or in struggling against it from within or simply by rejecting it. If the contextual society is perceived as reinforcing the existing moral codes in all their rigidities and their « invisible » inadequacy, or worse still, if it is perceived as sanctioning in a repressive manner the more minute details, then the whole specter of neuroses and psychoses will offer the only possible avenue. A false « ethical » mechanics will ensue in these conditions to discipline the consciousness, in a labor of internal flagellation that is more damning than the flagellations of old penitents.

The psyche and the consciousness.

It is nonetheless on this battlefield, irremediably falsified in advance, that a characteristic form of schizophrenia unfolds. Other forms can occasionally be provoked by external factors, the more often of a manipulating nature think for instance of the use of drugs against dissidents in the USA and elsewhere. They can perhaps be less aggressive depending on the personality of the individual who is either inscribed in a more solid equilibrium and/or engaged in a militancy work, and thus already forced to deal in a thoughtful and conscious manner with certain possible underlying limits. It seems that in all cases, the « voices » of schizophrenics as well as the « demons » of some religious and literary texts (i.e., proto-medial) always have the devastating power to « probe the heart and soul » of schizophrenics in a negative manner. They do so by placing themselves on the mined field of individual moralism confused with Ethics. Introspection can then become, for some subjects, one of the most abominable Calvary just because it starts with fallacious premises. However, children exhibits sometime the same symptoms and by definition they would be judged innocent by all moral or ethical systems. However, they have already internalised notions, which naturally raise for them the difficult question of their adequacy with their natural impulses. The lack of experience and of knowledge due to their young age places them in a position that is potentially as fragile as it is for adults who already have a life behind them. This lack of experience thus offers to the « voices » a similar field of potential manipulations as much as a lived life would.

Equally, all schizophrenics will tell you that they have the impressions that these « voices » are « omniscient ». This shows the vast realm of possible manipulations which they fear because they are incapable to control them and because other persons fail to recognise the problem simply because they are unable to conceptualise that such an insidious phenomenon really does exist. However, very few persons are able to recognise that these extra-ordinary capabilities always manifest themselves through human beings. So that the enormous impact they can have on the power of comprehension of beings depends strictly on the confusion of ethical and moral codes, in other words, they do not suppress the individuals libre arbitre except when the individual is predisposed by his-her beliefs to such a suppression or when s/he does not succeed in sustaining the struggle long enough. The internal struggle between this libre arbitre and the literally incessant tentative made by these «voices » or « hallucinations » is probably one of the most atrocious torture imaginable, as patients themselves are prompt in emphasising, especially as it can last for a very long time before attenuating or disappearing.

Aside from conditions pertaining to the general equilibria, society must interrogate itself about the support measures most appropriate to back up this personal struggle waged by libre arbitre: The use of drogues is often a mean to punish the patient without addressing the deep roots of the problem; even if, in some cases, it could be useful, with the informed accord of the patient him-herself, simply because any respite gained without much secondary effects (sleeping cures, for instance, as Althusser discussed) or without any addictive phenomenon would be welcomed. The latter would prove worse than defeat. (One difficulty, a serious one in fact, is to convince the patient that the care proposed to her-him is not instrumentalised by his own « voices » without his-her doctor realizing it. Remember Freuds insistence on the relations with the patient and the disposition of the couch. The only alternative remains education, a libertarian and emancipatory assisted autocritique of the patient him-herself aimed at the reconstruction of the ethical referents of the subject. Thus, the practitioner must accept to work as an equal person putting aside any constraint, while the patient must receive the necessary support but is still obligated to progress by his-her own means, for the simple reason that no one else can do it in his-her stead.

It is certain that neurology finds here a vast field of study and by definition a utility that will be inversely greater than the level of repressiveness of its remedies. (23) The essential would then reside in the social and therapeutic support methods that are adopted. At the therapeutic level nothing will possibly substitute to the knowledge acquired by the patient him-herself since s/he is the only person capable to win his-her struggle. At the social level, the exclusion is an added injustice, albeit the lack of knowledge and thus the prevalent prejudices do explain societys fear. It is often forgotten that becoming is the first concrete concept.

Thus schizophrenia represents an extreme in the specter of pathologies. However, all schizophrenics concur with Guattari and his colleagues in affirming that if they are openly acted upon (or « agis », that is to say surreptitiously manipulated) it is then most probable that we all are silently too, or that we are in a personal suspended position. The other extreme of the specter, one that is more pernicious and onerous for society, is represented by the sum of Nietzschean reactions: It is not a hazard if Nietzsche entitled one of his books Beyond good and evil. It is constituted in effect of militant possibilities to solve ethical and moral dilemma at the expense of other individuals and of subaltern classes. In accordance with the approach presented here, this represents a regression toward a more brutish and bestial nature (or at best, toward the dialectic of nature), one which is given as the fountain of vital instincts for Man, which, as we have seen before, is never the case for that specific animal, the human Being. Fascism, Nazism, all sorts of other reactions always present their transgressions with the most perfect good conscience possible, they also maintain this illusion that the worse aspects of exploitation of Man by Man confirm without doubt their own beliefs. The nihilist « equilibrium » is nothing other than a predatory and criminal equilibrium.

From these remarks we see that the problem is systemic: It follows that it is even more fallacious to attribute to naturally negative phenomena any sort of intrinsically bad nature (the term evil, or satanic, is not appropriate here because it is charged with too many connotations; similarly the Socratic term of demon is not appropriate either because it is charged with too many religious significations thus emanating from bad premises.) Moreover, we also know that these « presences » can end up losing or exhibiting their negative character to assume a more Socratic role. They can also attenuate themselves even to the point of « disappearing ». Some subjects at time think that the happy coincidence in their work, research or other enterprises had been facilitated without really knowing by whom or by what (the case of the great mathematician Grossendieck could be revealing although nothing could substitute for his own version of the facts.) This immediately raises a quasi-Bergsonian problem either of levels or of the inexplicable complexity of these interferences (something like the « little voice » of Freud which would silently manifest itself despite the most tragic and most deeply felt outbursts, which is nothing other than the reconstruction of ethical and moral references or, in other words, their being taken hold of again by a subject at first disoriented.)

I believe that the essential element consists in being able to designate its birthplace. Malinowski, Mead, Freud himself, including when he emphasises the role of religious constraints on the social expression of hysteria, only demonstrate the central thesis which interests us here. Namely that the objective of a civilised society consists, in effect, in finding the equilibrium necessary to the under-lying cultural structures, that is to say to the structures of the individual personality, the « historical bloc » in the sense of Gramsci. In as much as it is possible given that its plenitude would demand a classless society, this institutionalised equilibrium represents the sole systemic prevention to societal evils emanating from the inadequateness of the rational and irrational spheres. In hierarchical class societies founded on the exploitation of Man by Man, this equilibrium can never be convincing despite de degree of modernity that is reached. Pluriethnic and multilingual societies deprived of good integration programs and of an institutionalised tolerance, run the risk to aggravate things given the plurality of ideological, religious and moral codes as soon as the ecumenical dialogue with them is severed. To the contrary, the tolerance afforded by counter-powers and counter-cultures that are coherently inscribed (adaptation or change) in the basic structure does offer the indispensable relief mechanisms that every civilised society needs. As we stated before, what makes the difference are the spaces and degree of freedom devised to sustain the general economy of the system. Above all, it would already be a progress to refrain accusing people for contradictions that are engendered by class societies only to preserve their own specific hierarchy.

In the end, all the contemporary judiciary systems, particularly in the West with the exception of some American States like Texas, do take into consideration the contributions offered by psychiatry and let us hope tomorrow those offered by Marxist psychoanalysis. This would help them develop procedures that would attempt to determine the responsibility which belongs to the individual as such, and that which must be attributed to the material conditions in which s/he lives. Today, the regression of the best aspect of psychiatry towards obscurantist must be fought against most vigorously. This is because they propagate, in effect, fallacious notions which would pretend to attribute responsibility to the individual for phenomena which, just like Gluscksman, they do not understand. In effect, my second essential remark necessarily follows from what has been said above; it states that society as a whole remains subjected to the same labor as the individual and for identical reasons linked with the notion of equilibrium. Every society is capable to self-mutilate itself with the best conscience in the world at least for the dominant groups who always find ways and means to increasingly subject labor power to the needs of capital, as was brilliantly discussed by Gramsci in his note relative to Fordism and sexuality.

We remember the « kiss », the Christic answer of Dostoyevsky in his fable of the Great Inquisitor, this ancestor of the Orwellian master. Lenin and the Bolsheviks opted for a prophylactic transformation of society although, so far, so-called real socialism did not prove capable to transcend the most profound contradictions that existed even prior to capitalism and which are discussed here. Forced by the Bolshevik revolution to implement a greater social redistribution and a greater (albeit formal) democracy, bourgeois democracy developed an appropriate answer to its predicaments with psychiatry (in particular Freudian and secular psychiatry) This response aimed at engineering a « return to normalcy » but within strictly bourgeois molds as peculiarly defined by the Freudian montages. As triumphant neoliberal capitalism becomes more rigid and thus more puritanical, the contradictions produced by this normalisation in the context of the equilibrium discussed above, can only get worse. To the point that the institutions denounced by Foucault might reappear as the horizons destined by neoliberal capitalism to the new « dangerous classes » even at the price of sacrificing some of their own.

Must one conclude from this that these « voices » or « demons » are always potentially in each of us? The fact that certain psychological manipulations can trigger them would entice one to answer affirmatively. This would explain the pretentions uttered by schizophrenics that are so difficult to verify as well as those of other patients, or even of people functioning normally, relative to phenomena such as telepathy or other phenomena still left unexplained by modern science. As we know, the universe of science rests on a restrictive constant which is particularly important for the existence in space and time of Beings, namely that of beings constituted on a carbon base see Lovelock, Penrose etc ... One is forced to recognise that it would constitute the worst obscurantism to pretend answering this question with a degree of certitude. However, in the end, that these « voices » be hallucinations, that they might be detected or not by modern scientific instruments, that they be external or internal to us, has no great importance. Science, like Hegelian wisdom, does not presume to have explained everything before it takes its flight. However, independently from the fact that the contradictions raised above be able or not to exhaust the question of the birth location of these phenomena, I believe one must admit that current knowledge in this area does confer to them a certain reality. The closer study of this specific field now merits a sustained scientific investigation. It must be determined whether or not it is or not the unique or even the principal field to be studied which sends us back to the specific nature of these « presence » or « voices ».

This is not the place to elaborate a taxonomy of lived situations notably by the most concerned individuals although the main traits can be deducted by practitioners who have an extended knowledge first hand of clinical charts. Nonetheless, we saw that the method needed to arrive at useful clinical charts must be entirely revised: By a clinically reoriented use of the autobiographic method of Vico in particular; and by the development of adapted and necessarily libertarian support structures. The medicamentation with the accord of the patient can be accessorily useful but in reality it does not answer the crucial question of the reasserting of control by the individual conscience, and might even at time disarm it. But there is worse, all patients say it but practitioners seem unable to listen in order to protect their own cultivated ignorance and their own silent submission to the phenomenon. It would seem that they are all acted upon (agis) as much as the patient but, aside from Guattari and his collaborators, they would feign to ignore the problem; or even worse they believe to be themselves preserved by the physical distanciation or by « their » will to maintain at all cost their illusory control of the situation. Naturally, this places the patient in a horrible and characteristic situation, that of the manipulation that s/he rightly or wrongly resents in the most perfect powerlessness. And this undermines any possible trust. The Freudian transfer problems are mild things compare to this. We can see that the relationship between observer and observed Piaget treated this epistemological problem brilliantly in his report to the UNESCO - is much more problematic in the universe of consciousness and of its specific objectifications than in that of the relations between subject and object in physical sciences.

As we understand it, the central question is always that of the responsibility of « individual » consciousness. It is never more than an « historical bloc » constructed according to the moral and ethical data given by society, which are more or less well internalised and negotiated. « Je est un Autre » said the adolescent Rimbaud (his « Une saison en enfer » is a real poetic in the etymological sense of the word self-analysis, anticipating in many respects Marxist psychoanalysis.) « The individual is the couple » said Marx with his good dialectical sense but he necessarily gave to this couple the vocation to work for an egalitarian society notably through the realization of the great reform of « free love » so necessary to the blooming of real altruism (La vie immediate of Paul Eluard would constitute a preliminary poetical anticipation). In his important book Financial capital Hilferding rightly said that capitalism atomises the individual. Consequently, the degree of moral Puritanism of a given society becomes the most determined enemy of Ethics and thus of the responsibility of individual consciousness. The latter, when it fails in the internalisazing of the social mediations methods of its own internal conflicts, withdraws in a self-mutilating reductionism.

The important question consists in determining at which junction of the under-lying structures does this estrangement from society happen. This is because at this precise location resides the key of the various manifestations neurosis or psychosis and their « real » seriousness, as opposed to their mere punctual social forms. So-called « primitive » societies used to compensate their lack of technology through the over-development of social mediations. They can then be of a great usefulness here. They can provide a starting point for the critical relearning of the methods which permit the reconciliation of individual responsibility with collective responsibility in the optic of a reconstruction/restitution of a free individual personality in a process that would thus simultaneously recreate the group harmony. (Note: It is not without interest despite certain archaic aspect to observe the development of an embryonary Amerindian justice system in North America. The psychological-social processes behind shamanic rituals must also be analysed more accurately.) All those societies, which have learned to substitute freer processes to repression and to the insistence on an imposed « normalisation » process, would indeed deserve renewed praises . As we have seen, this normalisation is thought out according to an illusory and regressive model. Instead, the best adapted mediations must be sought after, especially those which prove capable to ease the re-insertion process of the individuals, and which are thus capable to develop the spaces of liberty generally afforded by the freest and happiest societies.

Illustrations: Three emblematic « figures ».

Having thus succinctly presented the few main lineaments of the underlying structures, it would be useful to offer some illustrations of general value. The reader can use the method and attempt more elaborate analyses. The first will here concern obvious elements pertaining to the cultural ideological structures. The second concern individual pathologies.

In general, we can say that each individual is supposed to inscribe him-herself within these systemic structures to negotiate his-her own social « success ».

The authentic communist for instance will grant priority to altruism and abnegation. Real socialism, deprived of many mediations, demanded in the most rigorist fashion the exhibition of the outer aspects of these qualities deemed specific to the new Man. Thus, the State property of the Means of production offered a rather paradoxical avenue, yet a comprehensible one, to this desire to « succeed » conditioned in this specific way. This avenue was that of knowledge, one that was consequently praised in and by itself. Being « kulturny » became an objective per se, one simultaneously of self-valorisation and of social valorisation. The formalism of knowledge substituted itself to these individual and social finalities, both necessarily critical, in the noble sense of the word, and thus both ended having to be strongly controlled. The Russian Painting Vanguard, this marvelous artistic springing of innovative and egalitarian spirit, was forced to make way to the Academia without the possibility to negotiate a peaceful coexistence. Yet, though both answer different functions, either maintaining or transmitting knowledge or questioning and developing it, functions that can be superficially considered enemies but which are nevertheless compatible. In such a way, the artistic success would paradoxically allow to avoid the central problem of the « organicity » of the knowledge or simply of the esthetics freely adapted to the imperative of equality.

Within the party, the same constraints will favor the emergence of three main tragic « figures » which the derisory anti-Stalinians such a Kriegel and Cie., have no intellectual or moral way to understand. This forces them to throw everyone in the same basket, a discourse which in the end reveals more about the speaker than about the object of the discourse. These « figures » are not intended as Ideal Types à la Max Weber. (Added note: In truth, they are my own reformulation of Joachim of Flores original historical concept: Similar though different characters in concordant historical Ages progressing towards general Enlightenment and emancipation.) Rather we are dealing here with « conceptual profiles » that attempt to account for the main contradictions of the socialist system, and which must function as « hypotheses » for a more sustained study of specific biographies.

The first such figure is that of the truthful communist. As a simple militant or as an intellectual s/he will always be inclined to grant the benefit of doubt to the Party or at least to the Communist movement. This proved the more easier as the living conditions under capitalism were everywhere deplorable: For instance, in the 50s and 60s, Black Americans were largely excluded from the American democracy as much as women and other minorities (see the exemplary story of Paul Robeson, for instance). The power of money controlling the whole rather caricatural electoral system, abstention had already reached record highs so that only the MacCartyst psychology could still mobilise the supporters of the regime. Moreover this system which was already exhibiting strong inequalities while monopolizing around one third of the World wealth and the quasi-totality of its post-Second World War Gold reserve, demonstrated its own absurdity with each passing day. This absurdity has become even more patent as the national liberation movements struggling against colonialism and neo-colonialism were almost unanimously inspired by Marxism.

At the time, some reproached to Paul Eluard his tireless energy in defending Leftist militants without paying much attention to Soviet dissidents. (Added note: The more serious dissent came as Jews in the USSR refused Stalins Soviet Jewish Republic and opted instead for the creation of Israel, shifting their allegiance and thus betraying Marxs anti-exclusivist theory see his Jewish question in the Holy Family. (www.marxists.org )They did so in favor of a deadly return to self-elected philo-Semite Nietzschean absurdities. This now leads to an uninterrupted series of war crimes, of crimes against humanity including the de facto deportation, apartheid and attempted cultural genocide against the Palestinian people. They did so equally in favor of their engineering of the « Clash of civilisations » and of their so-called preventive wars (!) against forged internal and external terrorist threats. An attempt that can only fail as all other such attempts, both of Jewish or of other origins, did. The USSR was, in fact, destroyed because following the assassination of Stalin, it betrayed Marx and Lenin with its philo-Semitism and even its permanent pro-Zionism. Yet, without the armed backing from Stalin through East Germany, the State of Israel would have been destroyed before having had the opportunity to proclaim itself. For his pains Stalin, a true Marxist who refused to contemplate any over-representation and any elected racesmurderous fallacies, was assassinated; thus, in the end, the whole system was destroyed and denigrated by the very same that would have perished without Communist help, and above all without Soviet resistance to Nazifascism. Note that divine or self-election on the one hand and republican equality and secularity one the other hand cannot coexist: Hence, the identically inspired groups are now attacking European laicity and attempting to reintroduce philo-Semite Nietzscheism as they did from 1922 to ... 1938 in the Italy of Sarfatti and of her lover clown Mussolini.)

We know Paul Eluards answer: « I am already busy defending innocents ». Eluard and Aragon embody great figures of truthful communist. Given their concrete engagement in a concrete struggle, most of the time they were forced to chose. They however were always ready to voice their disagreement notwithstanding the price to be paid, including in terms of their reputation, without ever negating their convictions. Neither revolution or evolution are meant to be gala nights, although it still remains to demonstrate that real socialism has ever killed as many person as the least austerity plan implemented by the Chicago Boys in Latin America or by Jeffrey Sachs and his clique in Russia after 1991! Truthfulness also means lucidity. Blindness, when it exists, is proper to the more or less authentic « heirs ». These being unable to do for their time what their elder did for theirs, attempt to excuse themselves at little cost by darkening their memory with the greatest possible bad faith. History is catching up with them faster than they thought, especially because without the deterrence by the USSR capitalism is rapidly backtracking to its old customary demons or «animal spirits » as Keynes called them. The proletariat of the Eastern Bloc, who was rarely the victim of internal Party strife, remained relatively truthful in the sense that it generally backed the leaders judged best able to better their conditions. This is so true that under Brejnev, this truthfulness had fewer reasons to be and did dissipate rapidly. Be it as it may, it remains an irrefutable facts that all Russian elections since 1991 were stolen from the PCUS with the complicity of the West (to verify it, it suffices to read the reportages of the massive electoral frauds which were documented each time by the newspaper Le Monde and other serious papers.) Even the Parties from Eastern Europe which were less solidly grounded, were able to stage some sort of comeback despite their idiotic acceptation of NATO confused with a select club capable to open the doors of Europe and of the world economy. (Added note: A serious blow to the world prospect of so-called real socialism came with the repression of the Prague Spring. Yet, post-communist Czechoslovakia was illegally broken in two and it is generally accepted that, although it not been for the suspicious death of Dubcek, this would never have happened given the huge majority that opposed it.)

The second figure is that of the apparatchik: His success is perceived as the direct result of his obedience to the Partys and to the State Organsdirectives. It was a very formal obedience fitting a regime rightly described as a « command and control system » in which Planning could not count on the mediations coming from civil society. Their internalisation of the hierarchy inherent to the system caused the demise of real socialism: Contrary to the Prague Spring reformers, whose reforming plans are sadly forgotten. They were incapable to conceive the necessary mediations. Thus, in the end, the reforms that were introduced did reveal themselves lethal. When that was the case, a self-mutilating neurosis took hold of them and threw them neatly roasted on the plate of a Jefferey Sachs coming straight from Harvard, the University which certain elements of the KGB and of the foreign affair ministry admired so much, particularly the Business and Administration and Soviet Studies Departments! Worst still, if that were possible, consider someone like Iakovlev, an ancient beneficiary of the system, spoiled with foreign postings, who knows that any danger is now past. He would now pretend to-do all on his own, like a real grown-up, the ideological denegratory study of the « gulag » which he himself contributed in creating by silently profiting from the privileges granted by the regime, well before the death of Stalin! (Added note: A refutation of the falsified numbers presented by these people can be found in my Pour Marx, contre le nihilism. To sum up, when you divide the number of so-called victims, including common criminals, by the number of years, you end up with an average lower than that of the USA, not considering the victims of US imperialism outside the US. But Americans are used to these kinds of corrections, for instance with respect to Cambodia for which Chomsky spoke at a few hundred thousand dead already a considerable number but far from the vague one or two millions purported by ideologues, including French ideologues. These would pretend to forget the number of victims caused by Western anti-personnel weapon, napalm, Agent Orange and other such weapons, as well as the backing to the Khmer regime after the victory of the communist in Saigon. This falsifying of history too is a pathology of biblical proportion to be exact, or, if you prefer, a philo-Semite Nietzschean one.)

We all remember Gorbatchev when he maintained the command and control system while pretending to reform the regime by way of the liberalization of the distribution of commodities (at the beginning, they came from the small family private property.) Unfortunately, if someone had been willing to sabotage the entire system from within, one would not have done it differently. The State distribution network continued to deliver its commodities at a fixed price; thus, the best merchandises or simply those that were available were systematically siphoned out for the benefit of the emerging private sector. This exacerbated all the defects of the system, making it appear in all their nakedness. A new corruption based on supply networks worked its way against the interest of the State stores and malls; with the all-out liberalization of the Yeltsin Regime, these networks amplified and the primitive accumulation of capital became increasingly mafia-dominated. This mafia will later benefit from the total privatization of the State enterprises. China will be somewhat more prudent but nevertheless opened the road to a restoration of capitalism that will prove as destructive for equality, but this will happen in a more controlled fashion. The competition between State enterprises, going hand in hand with the familial privatization, allowed the re-introduction of capitalist accounting rules, so that the system started to function as a State monopoly capitalist system. Now one must hope for a reassertion of socialist thinking operated through the privileged development of cooperative property forms going hand in hand with the reassertion of State enterprises in all strategic sectors together with Central Planning. Or else for the development of an advanced redistribution society capable to insure good working conditions, extended social safety nets controlled by the Party and by the workers themselves, and the imperative restoration of a public education system. However, it is evident that the ossification of the mental structures of the apparatchiks led to their obsequious capitulation in front of cultural ignoramus who are not even able, in their own country, to conceive of profit other than beyond a maximum of three months, that is to say other than speculative short-term profit ! We know that this induced a cost for the Russian society, in particular the fact that the life expectancy today does not exceed 60 years! (This sad but provoked tragedy was illustrated later in the book Austerity kills: See the Book Review section of this site for an extended positive critique.) Certain crimes do remain unpunished; they even win praises as patent proofs of respect for human rights, the rule of law and democracy! In fact, as we have seen, their pathological character is undeniable.

The third figure is that of the critical communist. The alternatives are well known: Either like Marx we object being (vulgar) Marxists because we are precisely attempting to scientifically and concretely ground Marxism, or else we simply pretend to be Marxists, simply because we trade the letter for the spirit and the catechism for the gospel. (Gramsci too reacted against the economism brand of Marxism vulgarised mainly by the German Social-democracy on the basis of Longuets work; they did so to condemn the Bolshevik revolution as an historical short circuit. This is why Gramsci called for a revolt against Capital, especially in the version given by Kautsky, in order precisely to rediscover and to revitalise it.) This figure is therefore necessarily double: a) the sincere critique; b) the opportunist. Is it true that real socialism had a strong tendency, at least after Stalins death, to systemically push aside the first kind? The impossibility to answer negatively is probably the real drama which confronted the so-called real socialism, a regime, which despite all its real or imputed defects, remains a door hall-opened on the becoming of Humanity. Socialism remains a future that still remains to be conquered against ignorance, obscurantism and a persisting inequality which is an insult to us all. Yet, it took quite a long time for the system to dissipate its initial energy: Lenins old comrades being pushed aside, the fighters from the International Brigades being suspected, all these exclusions produced by an embattled and encircled system pitted against vastly superior forces, cannot obscure the fact that when the overall communist movement was threatened even a Stalin was able to make way for a Voroshilov or a Sukhov.

(Added note: Most of the crimes committed when Stalin was alive were due to the Soviet Sade, the midget Jew Yeshov who similarly introduced terror as the Marquis did from his infiltrated position in the Section des Piques with the hope to decapitate the whole leadership: Stalin called him a «scoundrel » when he realized; yet the results were paradoxical because Yeshov contributed in decapitating the old guard who had been educated under capitalism and the tsar, to make way for a communist educated new vanguard. In the end the regime was reinforced until it was sabotages from within by the usual over-representation and its Soviet brand of philo-Semitism and even of Zionism with the creation of the Israeli « State ». Mao, for instance did not hesitate to conceive the call « Fire on the Headquarter » in an attempt to avoid bureaucratic ossification, perhaps at time confused with an exaggerated amount of centralism within all the structures, both party and State, yet he did so looking for parallel ways to compensate this centralism through the search of new socialist forms of democracy (mass line, the communes, the brigades, autocritique and so on and so forth.) This contributed to the education of the great masses of the Chinese peasantry a process accomplished in a record time, while at the same time elevating their level of consciousness and their standard of living.

During the Prague Spring, the sincere forces which were still able to understand the intimate contradictions of the regime and thus to propose their socialist transcendence, were still active. Without bad play on words, I am convinced that the « normalisation » imposed to Husaks Tschecoslovakia by Brejnev, and through this country to the whole Eastern Bloc, looks very similar indeed to the pseudo-cure proposed by Freudism. Though the old and tight mold was already rejected because it was deemed somewhat stultifying, it imposed a retreat in it, presenting it as a « progress » and as a success. It is not a coincidence if the day after August 21, 1968, Brjenev justified the arrival of the tanks with recourse to the concept of « limited sovereignty ». In the end, whatever is said, despite the manifestation of some precursor signs, the PCUS under Brejnev was functioning like a Freudian chapel. It dogmatically defended its own « montages ». Its psychiatry did largely the same thing adding to it the destructive illusion of normalising people according to an abstract ideal patently foreign to the party leaders themselves with their privileges. We thus understand rapidly why the most « opportunist » kind quickly formed an important portion of Party members: Their social success could not be acquired by artistic merit thus becoming a member of the Party was the only avenue left. Similar to Freudian chapels these members will accept to work in the most studied hypocrisy. They will do so carefully taking their own liberties with the harshest constraints imposed by the system on the rank and file.

Contrary to what might be imagined, this attitude had little to do with purely capitalist convictions. In fact, capitalism ended up playing the role of a lark mirror as is proven by the simplistic and mafia-like comprehension of capitalism even by mathematicians like Berezovski. It was a comprehension that was league apart from that of a Lenin during the NEP or even from that of a Bukharin when he was conceptualising the cooptation of the kulaks. This drifting was dangerously reinforced by the privileges afforded to Party members, obviously this will not contribute in the least in shaping them as «organic » intellectuals or leaders, in Gramscis meaning of the word. Some might remember the book with the homonym title published by Gorbatchev as he launched his Perestroika. Two elements could be clearly emphasised: A) the obvious aggressiveness with which Gorbatchev excluded out-front all and any questioning of Party membersprivileges this being the old post-Stalinist fear of Maoism which will lead to the destruction of its most gifted members: « They harbor the flag to better betray the flag », a old story indeed, this time replayed with the Red flag! B) The determination with which Gorbatchev linked the so-called « moral » reform of socialism (!) to the celebration of the domestic role of women! It was therefore evident under these conditions that the « normalisation » based on such a « limited individual sovereignty » could not be viable for long. When the same ideas were brandished to affect the so-called reform of the system, it became clear that the failure was inevitable. This process was helped by the fact that the communist opportunist is literally a renegade in hiding, and thus one who will refuse to leave unless excluded from the Party, as long as the Party remains the main road to non-artistic « communist » success. As we know in Yeltsin case, even the Moscova rejected him.

For Cuban socialism.

(Added note: We do not intend to denigrate here the achievements of modern medicine. However, it should not be forgotten that the greatest structural contributions made to health and to the lengthening of Human longevity were mainly due to urbanisation and its generalization of public hygiene as well as to socio-economic welfare. The material conditions of life are key. This is equally true for the health of the human psyche. Hence, our salute here to Cuban socialism.)

The Cuban case constitutes the best example to emphasise the whole set adaptation potentialities available to socialism. It displayed a flexibility that proved capable to lift many blockages which would otherwise have led to the most intolerable systemic pathologies. This is why we will spend some time on the subject. Any person who pretend to be sincerely on the Left should take some time comparing the socio-economic projects born from the Prague Spring, for instance such as summed up in the book prefaced by Jean-Paul Sartre entitled Le socialisme venu du froid, with the vulgar so-called « third option » proposed jointly by Blair and Clinton and backed by large fractions of todays neoliberal social-democracy. One could then admire the sincere efforts made by the Cuban socialists to establish an authentic egalitarian socialist democracy. It is a socialism that is ready to recognise and correct the alienating practices that it might engender in order to better consolidate the system; this is demonstrated by the sincere efforts to conciliate the lack of resources and the progressive management of the problems induced by Aids. This Cuban search for a proper socialist mediations destined to democratise the regime without betraying it, would deserve better than the inept denigrating by bourgeois media. Even a portion of the Left is now parroting these reactionary views propagandised by the Western bourgeoisie and its mass-media. These Cuban socialist experimentations are conducted as we know under the difficult situation induced by the strangulating American embargo and by the extra-territorial American laws, which threatened sanctions against any firm conducting business with the Island. These experimentations deserve to be supported. With the very high levels reached in the fields of education, health-care, equality and national independence, they confer life to crucial ideas related to the concrete possibility of imagining truly alternative systems to capitalism; they also speak in favor of the vital importance of the defense of the plurality of regimes to be devised against the reductionist imperialism wedded to the so-called end of history.

The dismantling of the USSR caused the disappearance of the main commercial partner of the Island. The importance of this partnership was evaluated more or less to the equivalent of 3 billion dollar of oil per year. This brutal changes in the functioning routine of the system underlines the intelligence of the Cuban political class as well as its non-dogmatic conception of socialism. Contrary to ideas currently propagandised in order to discredit even the term « socialism », from 1991 on, the Cuban leadership decided to initiate an austerity plan « adapted to the period of peace». It was destined to retake the upper hand in the difficult transition process so as to safeguard acquired social rights for the whole proletariat this was the exact opposite of the shameless expropriation that was then flourishing in the Soviet Union. In parallel, a vast democratic consultation was launched to co-involve the production plants, the schools, the universities and the neighborhood organisations. More than a million opinions and proposals were submitted (see Cuba: talking about the revolution, Conversations with Juan Antonio Blanco by Medea Benjamin, Ocean Press, 1997, p 27/28).

In 1992, after a vast consultation of the people, the electoral system was changed to prepare for the elections to the National Assembly. At the local level the electorate could now chose from a list composed of different candidates. For the election to the National Assembly the electorate had to vote and chose from a collegial list proposed by the Party. They had the right either to accept the list en bloc or to cross out the candidates they did not like, or to nullify their vote. The ballot was secret and guaranteed by the presence of numerous international observers, including from the medias. The name of Fidel Castro, who was running in Santiago, was subjected to the same rules as any other name. The secret ballot insured the total absence of privilege, except perhaps the redoubtable one of transforming that election into a plebiscite for or against Fidel and « his » regime. Dozens of radios from Miami did their best to interfere in accordance with their old habit unwillingly paid for by American tax-payers. With a discernible and understandable pride Mr. Juan Antonio Blanco summed up what these elections meant. Close to 99.6 % of the electorate did vote despite the fact that voting was not mandatory in Cuba. The percentage of nil votes reached 15 % in La Havana given the more acute problems confronting the capital city in these times of crisis. The national average was 7.2 % . According to Mr. Blancos analysis even adding entirely the million of Cuban expatriates to the nil votes and to the abstentions, this secret ballot election, placed under strict international surveillance, demonstrated a level of popular support for the Cuban revolution of 75 %. This needs to be compared with the monstrous fighting trial both in financial and media terms that characterises the American Primaries and the same trial that characterises the elections, be they the indirect elections for the Presidency, or the elections of the two Houses of Congress in which the rate of abstention is always close to 50 %. To say nothing about the many failures characterizing the counting of votes, particularly in Florida during the last presidential election that forced the intervention of the Supreme Court of the United States to make sense of the identical razor hedge result of G. W. Bush and of Al Gore!

There is then hope in the flexibility inherent to Cuban socialism. These experiences are crucial because they bear witness to the good health of the regime. They demonstrate daily, and in an ever more obvious fashion, the concrete possibility and the solidity of a really alternative socio-economic system, one directly based on the priority granted to social surplus value. Oskar Lange and Fred M. Taylor in their book entitled On the economic theory of socialism (First McGraw Hill Paperback Edition, 1964) had already brilliantly upheld the rationality and the social utility of central planning. The Cuban regime goes well beyond this in its willingness to adapt its central planning system. It demonstrates that this planning regime founded on social surplus value is able to abolish the contradiction inherent to the most advances forms of capitalist regulation, namely that which opposes the micro-economic logic to the macro-economic one. This is so simply because in such a system the main problem concerns Enlarged Reproduction that is to say those decisions emanating from the priority list which society sets collectively for itself. Much ink was spilled over the rationality of these decisions. Bourgeois theorists denounced them as being unable to produce the « optimum » allocation of resources. This criticism is entirely fallacious: It confuses the maximization of individual profits and the social allocation of resources; it opposes formal equality to the concrete realization of equality. Twenty years ago no one would have dared hazard such an ineptitude, the evidence pointing instead directly to the enormous wastes and injustices that characterized the capitalism system. This is because it is based on social production coupled with private accumulation of profits. And it is indeed to palliate this flagrant capitalist contradiction that the system, under the pressure of real socialism, developed a set of State regulation policies such as the Keynesian regulation of the market. Neoliberal Monetarism was able to triumph only after the collapse of the alternative Soviet model, which was betrayed from the inside, and after the defeat of the Western workers at the hands of Thatcher, Volker, Reagan, and today many others such as Blair.

It remains that no one can afford to ignore the criticisms originating for instance with someone like Aganbegyan in his book published just before the launching of Perestroika. Some of his criticisms deserve to be acknowledged; they are of two orders. The first points to the gigantic number dozens of million of simple or complex products created by any advanced society. Nonetheless, Oskar Lange had already shown that there was no real problem here as far as the central planning organ was concerned: The units of production, of transport and of sale of these products could be verified at each instant from the « shelve » corresponding to each product in order to determine the needs in function of the quantities effectively available compared to the quantities needed. This system has indeed inspired the management of stocks and flows of products known as Japanese « just-in-time », in the same way that the Chinese communes and brigades inspired the « quality circles », in effect a servile but useful form to the old workerscouncils. In association with the real time capabilities offered by computers, the method proposed by Lange is now implemented everywhere. The second criticism to be taken seriously concerns the allocation of resources: Aganbegyan notes that the kolkhozes were literally feeding pigs with bread given its low cost which had remained almost stable for decades while the other cereals and other animal feeds were not available or did cost more.

Cuban socialists quickly realized that they had to go back to the brilliant intuitions of Che Guevara in order to develop an accounting method for the units of production to avoid these sorts of mistakes and dysfunctions. (Added note: See the economic essays in Che Guevara Reader, Ocean Press, 1997, in particular Ches positive critical study of Marxs Critique of the Gotha program in which Marx exposes his initial concept of what can be called « social surplus value ». The Che embodied it in his On the budgetary finance systemFebruary 1964. This is a formidable and essential essay, which largely informed the Cuban economic planning through the presupuesto, up until the present reforms.)

We are dealing here with the very heart of the problem. And therefore we must draw the lessons from both the Soviet-Russian and from the Chinese experiences, both gone bad from a strictly socialist point of view. One cannot liberalise the sphere of production without simultaneously doing the same for the sphere of exchanges (productive consumption destined to the other economic sectors or destined to the consumption of the general population.) Above all, the introduction of private property over the occasional family unit is pure anathema. Unless the private initiative rests on possession rather than on the private property of the means of production be organised in cooperatives of course, the implication for the legitimate destination of profit is then vastly different -. However, State property should be potently backed by collective property. Above all, the development of a true industrial democracy should receive absolute priority even before the ulterior development of electoral democracy.

As far as political democracy is concerned, on the basis of what was already accomplished since 1991, things should be relatively simple. (Added note: This was revised later to make sure that such an interpretation of democratic centralism would not be used as an excuse to re-introduce the adversarial bourgeois pluralism, such as had been hoped by G. Lukacz and by others during the 1956 counter-revolutionary and philo-Semite Nietzschean uprising in Hungary. The inspiration of the main element was quite simple: How could socialism impede from within the kind of renegades return to capitalism at the hands of infiltrated capitalist roaders? Mao tried to answer this question through his Cultural Proletarian Revolution, one that is not well studied and even less understood. He extended Trotskys and the Bolshevikscritique of the bureaucracy and State privileges. The real problem consists in developing a socialist democracy which would be inherently superior to bourgeois democracy also known as the dictatorship of the bourgeoisie, that is to say of the constitutional private property regime. The institutionalising of socialist democracy is the best insurance. Here one might want to take his-her clue from the « new continent » (Althussers wording) blazed by Montesquieu following Vico. My understanding is that Montesquieus concept differs from the Lockean/American checks and balances in one important respect: Before being enshrined in the constitution, the checks and balances needed to be based on the diffusion of power within civil society. One finds the same crucial ideas in Rousseaus essential though less known two constitutions for Corsica and Poland. Rousseau too was a great reader of Vico. Then, even the decapitation of the Party, its infiltration at the top, or the attempted regime change would have to face a diffused Proletarian power, which would be almost impossible to overthrow. We should therefore be concerned with the ways and means, and with the concrete processes which could organically link socialist civil society central planning based on collective property etc with socialist political society, namely the Party and the workersand citizensorganisations linked to it at least for the duration of the transition from socialism to communism.

Hence, socialist democracy is based on the predominance of central planning within the Realm of Necessity, namely the collectively organised production of socialist exchange values. Socialist democracy would diffuse the real political and economic power under the socialist watch of the socialist constitution and of the Party, thus leading to an increased transfer of power within civil society, and thus gradually to communism proper. This would be superior to the self-management or autogestion known in the past.

The gist of socialist democracy would then consist in choosing the priorities in the allocation of resources. This would be done on the basis of scenarii produced by the democratised socialist bureaucracy tied to the Central planning organ and subjected to social and industrial democracy. These alternative scenarii would have to be constitutionally acceptable; namely, they would have to respect socialist criteria such as equal or comparable pay, strict equality of access, especially for the priorities chosen etc. All programs would have to be constitutionally wetted and all candidates at all levels would have to be accepted by the Socialist Electoral Committee. There would be no political parties aside from the Communist Party, but instead platforms to be discussed and put to the vote periodically at all levels, workers councils, industrial democracy, consumer and academic councils, peoples assembly etc. After the vote the winning fraction and its platform would be in charge of the implementation within the continuous control of the higher echelons of socialist democracy, namely the Supreme Court and the Party. The elections for these two main organs would be both external and internal: At the entry levels, the candidates would be chosen from lists presented by the Party; at the top echelon the leaders would be chosen from lists by the Party membership. They would act as the guardians of the system in which the main decisions regarding the allocations of resources would have been devolved to organized civil society, that it to say just the opposite of bourgeois democracy which controlled by private property, money and obscurantist academia and mass-medias. We know from the advanced capitalist experience that social rights once conferred are very hard to negate- see the long Reaganian counter-revolution. With socialist democracy, and its major devolution of decisional power to civil society under the control of the Socialist Constitution, such returns would almost be impossible. Perhaps, a right of recall for main party leaders could be imagined on the basis of referendum held either at the local or national level, the organisation of such referendum depending on a certain number of signatures on a corresponding petition to be validated by the Electoral System Committee.

Routine adjustments would be done through the social and industrial democracy linked to Central planning, but any questioning of the priorities themselves would have to be done through the same periodical election process. This decision making process would rest on the joint working of political and socio-economical and cultural democracy. The governing elite would be periodically renewed to implement the chosen priorities but they would all be working towards the same objective with the discipline inherent to democratic centralism. This however supposes that the election process and the choice of the winning platform be held at regular intervals without any possibility to postpone them as was unfortunately done for Party Congresses during the history of real socialism. Keeping this in mind, my discussion below retains its value. Be it as it may, socialist democracy conceived as the needed alternative to bourgeois democracy must become a central collective endeavor, especially now as bourgeois democracy is again retreating toward a Censitarian, Masonic and even cast-like form of domination clearly influenced by philo-Semite Nietzschean and Zionism projected on a World scale. )

Things would be relatively straightforward: It would suffice to reinforce democratic centralism both at the local and the central levels. On the basis of the secret ballot, the various factions within the Party would be allowed to run with their respective lists. Yet, ways and means would have to be devised to reinforce the appropriate socialist democratic constraints inherent to socialist form of diffused pluralism in order to pre-empt the kind of expropriation of the masses which was perpetrated in Russia; or which seem increasingly the case in China unless a needed clarification happens. These constraints would include the presentation by each fraction of the Party of an electoral program validated by the Supreme Court and by the Electoral Committee. After all, the meticulous defense of private property in Western democracies is guaranteed by the constitutions, the police and armies and by the electoral systems based on money, the system functioning de facto like a « dictatorship of the bourgeoisie.» Thus it would be legitimate to demand that any program that does not respect the socialist principles enshrined within the socialist constitution be modified or failing that be rejected. Each elected candidate being subject to a possible recall when the majority of the Party cells in his-her riding would judge it necessary. The socialist principles themselves would not be modifiable except by the triple majority of the Peoples Assembly, the Partys cells and the members of the unions. On this basis each Party fraction could dispose of the same facilities and of the same air-time to defend its platform. (Added note: we see here that the distinction between civil and political level was not entirely clear.)

As far as industrial democracy is concerned, the essential would consist in knowing how to innovate in the sense of a strengthening of « social surplus value » and of a better mediatised planning of Enlarged Reproduction. We suppose here the dominance of socialist property in all its forms, cooperative and State. First, the management of each enterprise, be it from the sector of the Means of production, from the intermediary sectors or from the Means of consumption, should mandatorily include elected representatives subject to recall coming from the workers councils of the enterprise, for the national unions representing the industries or the sectors at the regional level -, and from the representatives from the regional councils of consumers as well as from State representatives, including the technical representatives of the concerned ministry. This representation of the appropriate social groups unions, groups of consumers, researchers, elected parliamentarians should also be generalised at the level of the ministries and above all at the level of the Central planning organ. This would insure a permanent consultation process and thus a permanent democratic control based on the interactivity of the planning system (Added note: Some of you might recall that the UN Charter, born out of the joint defeat of Nazifascism, had imagined the Socio-Economic Council as its main operating Agency, the Security Council being secondary; the Cold War unfortunately changed this.)

It would then be possible to implement entirely the accounting reforms desired by Che Guevara: Each unit of production or of sale would be responsible for its specific accounting. Above all, each sale area say the stores of a specific kind in the neighborhoods or the big malls would have to mandatorily make available all the products relative to their own specialisation, but would manage their stocks in function of the preference of their clients. Any product that would not sell above a certain threshold would be returned to the distributor and be the object of a double report sent to the distributor and to the respective ministry. The distributor would do the same with respect to the producer. The distributor would then act as the controlling hub of the system (which is also the case in the capitalist system.) Thus the producer would be systemically obliged to meet as closely as possible the exigencies and preferences of the consumer. The system would thus create its own self-regulating mechanism.

The only real constraint weighing on such a system would come from the strategic allocation of collective investments. However, when all is told, this constraint is the concrete embodiments of the collectives decisions made relative to socialist Enlarged Reproduction. which is geared to eliminate wastes especially in an embargo situation. Note also that the collectively managed enterprises could very well use their specific accounting in order to determine the retribution of labor power within the framework of homogenous and strict national norms (35-hour week, use of overtime, material stimulus according to results etc.) They could do so without provoking any anti-socialist behavior. Nothing would be out of the pale as long as the State maintains strict control over these national parameters necessary to the equity and efficiency of the accounting system. When the results of an enterprise would remain permanently below standard, the Central planning Organ would dispose of many alternatives: Either the negotiation of a restructuration under the trusteeship of the corresponding ministry, if need be; or its closure, or even its incorporation into an enterprise of the same type but displaying better management and better results. These decisions from Central planning will then need to address the question of reallocation of the labor force as well as that of the strategic investments, which is exactly its role.

We thus see clearly the crucial importance taken by the development of properly socialist indicators and sub-indicators. They form the very heart of the socialist accounting system and of its control measures and self-control mechanisms. The most important would be the following: First, those corresponding to the Equations of Reproduction according to Marx/Bukharin. (See also page 166 and the following. Added note: See also the more advanced and detail discussion in my Synopsis of Marxist Political Economy dating of 2013; in it we clarify the question of Enlarged Reproduction, credit etc ...) Here are the Equations for Simple Reproduction in which Sector I represents the Means of production and Sector II that of Means of consumption.

c1 : 80E v1 : 20E pv1 : 20E = P1 : 120E

c2 : 40E v2 : 10E pv2 : 10E = P2 : 60E

Following Marx, Bukharin sums up thus:

c2 = v1 + pv1

P2 = v1 + pv1 + v2 + pv2

P1 = c1 + c2

E = the unit of account or currency (euro).

According to Paul Sweezys expression, « c » is the used-up part of constant capital employed in the productive cycle. It constitutes past labor. Variable capital « v » represents the labor force and thus as such it is both past and crystallised labor (reconstituted and thus ready to be employed again), and it represents living labor when it is spent in the current productive cycle. The surplus value is noted « pv ». The product of each productive cycle is noted « P ». The Equations of Marx/Bukharin characterise all production systems, their conditions of steady state equilibrium, if you will. The only thing that changes is the dominant form of surplus value extraction and the form of the dynamic system of Enlarged Reproduction, namely the part of « pv » - thus of the saving originating from v » eventually - that is reinvested in the consecutive production cycle.

However, the socialist indicators and sub-indicators must equally take into account the intermediary sectors for instance, the structure of the goods entering into the renewal of the labor force « v », or that of c2 = v1 + pv1. They should be published at least quarterly. Next, the indicators concerning the intermediary in the sphere of circulation should be published at least monthly. They would include among other things the survey of the different sale points.

At a more advanced stage, any socialist planning system should consider how to conciliate the development of individual saving with the main logic of the allocation of resources under Enlarged Reproduction. In effect, it is relatively easy to manage the material structure of the goods entering into the reproduction of the labor force. In the worst case scenario, this could translate into relative scarcity determined by national capabilities (Cuba despite the embargo had always managed to feed her population.) However, to conciliate, in a efficient and fluid manner, the specific accounting of the enterprises, thus placed in a situation of socialist emulation , this word is better suited than that of competition - with the rational instruments of management of the resources controlled by Central planning, one must grant its right place to the Workers Funds, and consequently to the increased credit facility afforded by these workers funds under the aegis of the Plan.

Those who ordinary wash profusely over « economic rationality », understood from the point of view of the capitalist, only see things in reverse. Many socialists commit the same mistake including in the societies already directed by socialist regimes. This is because they must conciliate the theory of surplus value, the very base of economic rationality, with the social redistribution. Capitalism dissociates both as much as it dissociates micro and macro-economy. This is natural: The private maximization of profit conserves its primacy over social redistribution. This is why « productivity » (see below pp167/168 etc) constitutes the specific structural form of surplus value extraction under capitalism, while absolute and relative surplus value, based on either the lengthening of the duration or of the conjonctural intensity of work characterised pre-capitalist modes of production. All these forms of extraction of the surplus value will continue to exist, in a punctual fashion but under the dominance of productivity, defined at the micro-economic level, under the capitalist mode of production. Under a socialist mode of production productivity itself will be subordinated to the primacy of « social surplus value ». The later starts from social redistribution data leading to the macro-economic over-determination of productivity proper at the micro-economic level.

To the increase of « productivity » is linked the liberation of a portion of the labor force thus reduced to unemployment thanks to a more productive conjugation of capital past labor and of human labor living labor, in other words thanks to a better organic composition of capital. The necessity to maintain the bare living conditions of this « reserve army » of the proletariat constitutes the typical, though not the unique, example of the relationships which capitalism establishes between the passive and active factions of the labor force. The problem of retirement age provides another example. In answering these social needs the various capitalist forms of regulation always take care to subordinate them to the exigencies of private accumulation. At best, an advance form of regulation (implemented by a democratic revolutionary reformism such as was discussed in the second part of my Tous ensemble) could place these two exigencies on the same footing, and then attempt to transcend the main contradiction through the transformation of the property regime: Only at that price would it be sheltered from a nihilistic capitalist reaction aimed at recreating its foundation through the dismantlement of State-owned enterprises by way of wall-to-wall privatisation and liberalisation. This is exactly what the West is doing since the last twenty years. Nevertheless, the systemic necessity to have to satisfy the minimal human needs through social redistribution, caused the emergence within capitalism itself of a new logic. I called it « social surplus value » by which are meant the interventions of the State in the productive or consumption spheres in an attempt to modify somewhat the prevailing micro-economic conditions.

In a socialist system, social surplus value takes priority over any other form. Consequently, to be coherent with the system, accounting rules should take it into account. As we already said, the decisions taken relative to the Enlarged Reproduction have priority but their realisation should rest on the flexibility created by industrial democracy. The adaptation of manufactured products to the exigencies of the customers is more important than the profits of individual enterprises. Better still, it is the quality and the volumes of the sold goods which would determine the level of profits for the enterprises in a context in which this quality would be controlled from bottom to top, but not the other way around as is the case with capitalism. Unemployment and its monetary consequences could be totally abolished in such a system. This is because over-employment in some enterprises would not negatively impact real productivity, because only quality would have this self-regulatory effect. In a capitalist regime, the surplus value destined to the consumption of the capitalists themselves far exceeds the part paid in the form of salary to the two lower deciles of the population. The over-employment can thus be paid out of a part of the surplus value produced in the enterprise and ordinarily accruing to the socialist State.

Of course, this would suppose that the enterprises adopt a socialist version of the management of human resources. These should have the capacity to evaluate with precision the portion of labor force necessary and sufficient to insure their specific « productivity » (therefore measured in quantitative terms) and the optimum share of over-employment. In these conditions, the prices would structurally correspond to the values, or more exactly, the aggregate M1 would be equal to the real salary mass. Monetary effects such as inflation would merely result from conjonctural conditions. Because of its insistence on the structural stability of prices (values) this offers an authentic solution to the unemployment problem. But it is not the only one possible. Emile Pacault had demonstrated that the variation of the working time in the same technical conditions of the same collective work unit could remain compatible with the law of « productivity ». Nonetheless, to remain congruent with the stability of prices, it would suppose a variation of the salaries according to the specific period of work which is somewhat less practical! (In Cuba, the interruptions of the production cycles and of exchange produced by the embargo led to such a use of the collective work units but without salary variation. Thus, the system functions de facto based on the lack of real distinction between v and pv. This as a result induced an aleatory general accounting.)

Another way to manage the margins of labor force « liberated » by the increase in « productivity » in a socialist regime would consist in using both the over-employment method paid out of pv, and that of the acknowledgement of an official rate of unemployment managed by formation and retraining programs. The objective would be here to allow the optimum flexibility necessary for the introduction of new sectors of production: Contrary to the capitalist system, the freed labor force would be the one more susceptible to adapt to new tasks. The others would continue their own carrier within their enterprise according to the continuous learning method and the usual promotions depending on acquired know-how. The entire society would benefit optimally. The advantages of this general economic flexibility, induced by the planned mobility of the labor force, do however trigger monetary effects which need to be accounted for. In fact, the rate of « freeing » of the labor force would be much less than that observed with capitalism. The norm would be over-employment except for the needs derived from the introduction of new economic sectors. The salaries paid out to these liberated workers in retraining would be identical to their previous salary, that is to say in general to the average salary. One must then determine who will pay out these salaries. If this is done by the enterprises from where these workers originate, their salaries would be deduced from the surplus value before it is paid out to the State: The monetary effect will be inexistent. However, if the State adopts a system of unemployment insurance similar to that practiced by advanced capitalist Welfare States, namely one financed by payroll contributions (v), then the social salary mass (more or less M1) will differ from the real salary mass. Consequently, it will be necessary to take into account the impact of structural inflation over the price level. Be it as it may, the system always supposes a precise estimation of « productivity » and of over-employment.

The desired global quantities of each product would be determined by the industries, the sectors and the Plan. We saw that this would induced very strict quantitative measuring of production batches, and consequently of the technical conditions of production without necessarily translating into a primacy of these quantitative conditions over the rationality of the socialist economy.

The best way to illustrate this concept consists in decomposing the immediate process of production in a socialist system to show how it is organically linked to enlarged Reproduction. Here, things are simpler in principle than one might think. The decomposition is based on the Marxist function of production, namely: c + v + pv = M. Any immediate process of production encompasses past labor (C = c + v) including constant capital « c » - used in this productive cycle and the variable capital « v » in the form of reconstituted variable capital and thus ready to be spend as living variable capital in the actual process of production. This is because human labor is the only form of capital factor of production that exhibits this double form, past and living. The ratio of variable capital to the overall past labor (c + v) that will be transferred to the new product by living labor is what is called, strictly speaking, the organic composition of capital (Note: Marx wrote v/c but it is v/C where C = c + v - that is meant when the law of value is coherently integrated into the Equations of Enlarged Reproduction.) This organic composition of capital determines the rate of surplus value (pv/v) in a proportional inverse fashion: A deepening of ¼ of the organic composition rate leads to an increase of ¼ of the rate of surplus value on the base of the new «v» in exchange value terms given by the organic composition induced by the new productivity. (If you start with c(80) + v(20) + pv(20) = P120 and productivity goes up ¼ you will have: c(84) + v(16) + pv(20) = P120). This intimate relation of the organic composition of capital and of the rate of surplus value constitutes the very heart of the law of value. It equally refutes the fallacious laws of the tendential rate of profit to fall; in effect, the average rate of profit emerges by itself, organically, through the exchanges implied by Simple and Enlarged Reproduction as correctly formalised by Bukharin. In other words, the average rate of profit caused in a capitalist society by the mobility of capital is already included in the act of empirically writing the function of production. Obviously, for capitalism the uniformisation of the rate of profit compatible with different productivity rate leads to variable volumes of production for an identical or largely elastic product. These individual volumes determine the individual amount of profits not the rate which remains equal which in turn ineluctably leads, in a capitalist regime, to the concentration and the centralisation of capital. This is because the less productive enterprises, which cannot count on necessary volumes of profits, will be incapable to afford the necessary re-investments needed to remain in the race. Consequently, they will go bankrupt or will be bought by more profitable enterprises fusions etc.

In a socialist regime the law of value remains perfectly coherent. However, and this is the essential, it does not lead to the exploitation of the labor force through the extraction of surplus value especially if an industrial democracy is well in place. Not that surplus value would cease to be extracted according to the same logic, but because the workers themselves would control both the salary « v » and the total surplus value «p v ». The salary would remain individual but the surplus value would be collectively controlled through the Plan. The allocation of the elements of the immediate labor process the micro economic function of production - remains formally the same: c + v + pv = P (« constant capital » plus « variable capital » plus « surplus value » equal or are embodied in the new product P.) We have seen above that the law of value continues to operate integrally under the socialist system. To form a sufficiently rigorous idea of the dynamic of the system according to this law, the « initial conditions », that is to say the « year of reference » of the accounting, must be approached as closely as possible. The only way to achieve this is to determine Marx-Bukharin equations starting from a complete economic cycle. This data can then be corrected and weighted as one goes. The precise estimation of pv serving to allocate over-employment will allow the evaluation of the ratio pv/v as such. Keeping into account the data corresponding to the « year of reference », they will continue to depend on the change of the organic composition rate willed by the enterprises or by the Plan in the two main sectors of the Means of production and of the Means of consumption all the intermediary sectors can be subsumed under one or the other.)

Through the development of its management measures systematized under the form of indicators by the planning organ, the industrial democracy will be able to proceed to the necessary adjustments with regard to the general equations of reproduction. These adjustment will be made quarterly or even more regularly depending on the efficaciousness of the information gathering. But this is not all: The « surplus value » above the costs of production (c + v + the share going to pv destined to the retribution of overemployment) becomes in itself a « social surplus value ». But it does so in an organic fashion, that is to say through the conciliation of the immediate process of production with the enlarged reproduction (i.e., micro and macro economies.) It is socially controlled by the Plan more than by a few private enterprises in the name of the whole society in order to satisfy its real needs.

This social surplus value immediately canalised by the State banks represents the collective profits which would form the basis of the new investment required by the Plan. If an appropriate credit system were put into place the investment possibility of the Plan would be increased. This credit system would have to provide very low and stable interest rate in a system by definition without an employment problem and operating economically as such.

It would remain to determine the socialist preferences relative to the management of the aproportioning to be done between the residual gross salary - i.e., the share of net revenue that is not mobilised for the collective financing of the social services deemed to be essential , the net revenue and the accumulated profit (pv less the cost of overemployment). We are dealing here with an essential aspect: The possible forms or epochs of concrete socialism. Let us admit in the case of Cuba, that the main elements entering into the reconstitution of the labor force the basket of goods which I termed the « structure of v » - be entirely provided by the State. This is a realistic hypothesis: Housing, transport, health care, education, a great part of the food basket as well as cultural and sports goods are provided indirectly by the State, thanks to a very strict form of pricing of this good. The same benefits could be provided with a different management: To achieve this, one would have to determine the portion of the residual gross salary and of net revenue covering the cost of the services now entirely provided by the State. Let us specify anew: The net revenue includes the residual gross salary. The second would include the individual expenses effectuated within the household, such a food, housing, clothing and transport most notably. To this would be added social revenues to arrive at the net revenue: Family allocation to equalize the (individual) salary relative to the varying size of the households, education, health care, cultural and sports goods etc. It would not matter much whether the portion corresponding to this social policy be monetised or if it takes the form of a chip card granting universal and free access collectively financed at the same time that it would allow for an immediate analysis of these services. What would be determining would by the respective portions going to the residual gross salary, to the social portion of the net revenue and to social surplus value.

We see at a glance that the portion going to the social surplus value would directly determine the accumulation possibilities and thus the growth of the economic system. However, the way in which the portion going to the residual gross salary would determine the socialist form or epoch - that is chosen. It would also determine a specific form of the monetary circulation, one that needs to be well understood to avoid the perverse effects which otherwise would quickly undermine the national accounting system. When the portion going to the residual gross salary remains large, that is to say when it is not entirely and immediately spent in individual consumption traditional or leisure and entertainment it implies a peoples saving system (at the minimum similar to the « postal savings » but organised through the Workersfunds) And thus it implies the equivalent of an appropriate Cooke ratio to guarantee stability. This is particularly the case if one desires to use this saving in a dynamic manner to back up the possibility already offered by the socialist credit granted by the State bank, thanks to the tapping of the social surplus value. Consequently, the appropriate monetary aggregates would have to be developed and managed to insure the suppression of any inflationary effect coming from an uncontrolled creation of money by the banking system or in general by the credit system. The mediations that one wishes to introduce matter little and so does the chosen epoch of socialism on the condition that the system be kept coherent with its specific socialist bases.

From this point of view, the current management of the ratios between the dollar and the peso deserves to be revised as soon as possible. It contains all the ingredients which could destroy Cuban socialism, if only because they accentuate all the subjective aspect of the currency enlightened by G. Simmel. And what is more, it is a foreign currency which substitutes inegalitarian social relationships linked to the prestige of a specific money to its real goal which is to sanction the egalitarian social relationships inherent to socialist production within the sphere of circulation. This misunderstanding is even more serious than the momentary illusion harbored by our old Bolsheviks who had thought for a while to entirely suppress the use of money. In reality, the goal of Cuban authority is twofold: First to insure sufficient access to American dollars, and second to remedy the black market fed by the entry of American dollars sent by Cuban exiled to their families. These objectives can and must be reached through means that are compatible with a national currency sanctioning the socialist production and exchange relations. As far as the first objective is concerned, it would suffice to continue demanding that tourists convert their money in American dollars before coming to Cuba; but upon their arrival in Cuba these dollars would be converted in Cuban pesos at a fixed rate. The management of credit cards and of banking cards would be done in a coherent fashion: Only purchases could be made in the usual fashion. Any withdrawal having to be done in pesos at a bank or exchange counter unless automatic counters be equipped to manage the dollar transfers handing out the equivalent in pesos at the official current rate.

Only the peso should circulate freely. In order to avoid penalising the persons who receive tips in dollars, a not too socialist practice, it would be better to incorporate a 10 % tip in the additions and let the residual tips be made in pesos. The dignity of the people would be preserved as well as that of the tourists without any serious financial penalty for the personnel involved. The problem of the black market would not be impossible to solve with elegance: The black market would be « repressed » - without jail sentences and without superfluous harassment or better «controlled » as such while nation-wide mass education programs would explain the economic and egalitarian stakes involved in maintaining a stable national currency. Above all the Cuban State would offer two exchange rates, one destined to the foreigners and another one sensibly higher a sort of discount destined to Cuban residents. The rate destined to the foreigners being adjusted relative to this domestic discount. Because of the obligation for both foreigners and citizens to exchange all their dollars in pesos, the main portion of circulating dollars in the hands of Cuban citizens would come from outside. This source would be welcomed and granted a better domestic exchange rate. By the same token, because the State would control this internal mass it could sterilize the monetary effects expected with appropriate measures. The sole aspect to be settled would be that of equity between the citizens receiving dollars and those would do not dispose of this source of revenue. Yet, this inequality would be less destructive than the present situation which de facto institutes the American dollar in the mind of the people as the potential suzerain currency and as the main road to obtain products otherwise not available. In fact, without bureaucratising things, the State could reserve a part of the money provided through this domestic source to place it at the disposal of the neighborhood councils which are well implanted in Cuba. They would be in charge to redistribute it to the less « well off » families until the lifting of the embargo which would then permit a different monetary management. In this case, the establishment of two official rates will have to be fixed in such a way that it will incorporate, albeit in an invisible manner, a uniform « perequation tax ». The real differential applied to the rate used for foreigners and to the rate used for citizens remaining and appearing identical for all.

I believe that the industrial democracy principles, some of which were already experimented in Cuba under the inspiration of Che Guevara, of Fidel and the other Cuban leaders, would infuse the economic flexibility corresponding to the specific development of the democratic centralism discussed above. In such circumstances, the Plan allows the systemic implementation measure to substitute certain imported products such as oil, which contribute to the aggravation of the trade deficit, something very dangerous in the long term. It also strengthens its economic and resistance capability. For instance, the alternative sources of energy such as solar or wind energy should be treated as priorities as much as the development of adequate and easily removable batteries. These would thus be easily to recharge and to use in vehicles well adapted to the needs of the population: Electrical bicycles, scooters, buses etc. These vehicles see the « topolino » and the Fiat 500 in Italy during the so-called economic miracle of the 60s contribute greatly to the perception of a rising standard of living and thus of the defense of socialism. In a few years, this substitution would induce the saving of a large portion of the oil consumption which could then be destined to others objectives or even be sold. The development of wind farms and of solar panels should be a high priority. The climate, the true general Sunshine, continues to be one of the best allies of Cuban socialism. (Added note: Food surpluses in the framework of a food and agricultural sovereignty strategy is also vital to feed a dynamic Enlarged Reproduction leading to increasing standards of living.)

Let us not forget that the cultural and artistic production in Cuba as well as the arrangement concerning copyrights confers to the socialist Island an absolute advantage as far as the production of Internet contents and their distribution by cooperatives or State enterprises is concerned. Cuba should even offer access to its infrastructures studios, production sets etc to young Western creators. This would produce an external line of defense for Cuban socialism. It would suffice to find the most adequate form of commercializing for these contents and of the sharing of the benefits between the Island and the foreign creators. (As far as the Cuban creators are concerned, they are already paid by the State and the only question susceptible to be raised would be that of the bonuses according to the success reached. There would be here a great possibility to earn foreign currencies that would be added to those derived from tourism. It would particularly be the case if Cuba would specialise in the launching of young artists. This could be done through the negotiation of agreements with the great Western firms dealing with the conditions of transfer of their contracts once notoriety would be attained. This would have a double advantage; no one would be antagonised neither the creators nor the foreign firms while some benefits would accrue to Cuba. Moreover, the transfer of these contracts would allow for the negotiation of distribution of the Cuban creators by these same foreign firms or in joint-ventures with them.

Similarly the Plan should create innovation farms which would unite the universities, the research institutes and the cooperatives or State enterprises. Their mission would be to imagine the domestic substitutes to the desired foreign products which cannot be imported in sufficient quantities, or only at great cost to satisfy Cuban consumers. They would be mandated to conceive new specifically Cuban products by maximizing the pure research conducted within Cuban universities as well as in the defense sector. They would test prototypes locally with the aim of producing the best products in the various industrial branches. These incubators would also be consulted by the Plan and would have a recommendation power to speed the modernisation of all the goods being produced. To do so they would recommend the prototypes which would have passed the efficiency test as well as the satisfaction trials with local consumers.

No socialist society can ever forget that the true wealth of a Nation cannot be reduced to the wealth accounted for with the GDP, be it deduced from bourgeois or socialist accounting. Consequently, depending on the portion reserved to the residual gross salary, private initiatives that do not fall under the accounting systems eg., personal hobbies should be encouraged. The equivalent of a Home Depot could be created. The planning system would find with it a supplementary flexibility because it would alleviate the constraints resulting from its implementation, especially in the context of an embargo. As long as the embargo will remain in place, and probably even after, it would be useful to create a set of municipal laboratories organised in cooperatives and linked to various schools (mechanics, informatics, engineering etc). This would allow a productive extra formation and apprenticeship (and eventually the absorption of the overemployment margins which could thus be temporarily liberated by their enterprises.) Within the schools, notably the engineering schools, concourses could be organised to propose the rational use of the products of these labs, thus contributing to alleviate the constraints of daily life and to better the standard of living.

Cuba should also innovate in its migration/immigration policies. The current quotas of migrants to the USA which the USA refuses to honor, though important, should not have total priority. On the contrary. Cuba should fix its own immigration quotas in function of its own birthrate and of its own absorption capacity. Priority should go to the proletariat of Latin America who is certainly easier to integrate but without excluding those from Africa and other regions. The conditions imposed on the immigration in Cuba would be simple: The respect of Cubas national laws in order to benefit from its social and other advantages with the possibility to become a citizen after 3 years. When some immigrants would wish to leave the Island, they would be free to take as much as they would have brought in, with the exception of the professional and cultural formation earned in Cuba, a gift from the socialist regime. The families with young children and the young people (potential students) would be treated as priority. This regime would produce a new élan in favor of Cuba. After twenty years one would certainly see that even those who desire to return in their native lands will naturally become the propagandists of the benefits granted by the regime.

Spirituality, « demons », « gulag » and rehabilitation through labor.

It is useful to say a word about the relationships between what is called real socialism and what is wrongly termed «spirituality ». Spirituality pertains more precisely to the objectifications of the irrational of which we have shown the main springs. Often, and at times understandably, common atheism reduces its criticism to anticlericalism. However, it is wrong to reduce the whole set of manifestations of the irrational either to deviances relative to the ideal (!) psyche of the « New Man », or to a pre-Feuerbach regression into the religious clouds of the opium of the people. Such a reductionism ends up negating itself simply because it impedes the open - scientific comprehension of a set of phenomena still poorly understood. It is not rare to see some Atheists relapsing again towards a more obscurantist spiritualism, under its modern guise, than that of established religions, which were patiently cleansed by the long history of human resistance to oppression. This deserves to be underlined to better restore the notion of « altruism » in all its grandiose simplicity. Let us backtrack to Marxs conclusions: Man is the subject of his own History including the History assumed by the forms of irrationality that it objectifies, and of which religions merely constitute an important variation. By nature Man is neither good nor evil. However, by his becoming, man is entirely turned towards the ever increasing affirmation of the freedom of individual conscience, a freedom which can be adequately approached only in tandem with the affirmation of Human equality. The labor of Man reproducing himself within Nature and History only refines this double ontological exigency leading to an ever more refined consciousness. This is why Hegel and Marx will always be right as opposed to Nietzsche.

We can thus attempt to present some remarks concerning the « gulag ». I leave aside here the most polemical aspects consisting in comparing the silent and systemic oppression of capitalism even recently, the infantile death rate was at time greater in some American ghettos than in Bangladesh ), with the direct non-mediatised repression operated by real socialism. From my point of view, it would be extremely serious for all communists or sincere democrats, to abandon the analysis of the so-called « gulag » to people who are apt to defend all sorts of Schindler lists, the ultimate racist and class ineptitude. This is even more serious when in so doing these people find their personal advantage and simultaneously feel authorized to treat the banlieues like a Third World composed of « rogues » elements, thus mimicking the terminology of their American masters. In so doing, these people are less advanced than Michel Foucault on the real question, which consists in knowing how to reintegrate the prisoners who have paid their debt to society. In effect, these prisoners can also be ordinary prisoners condemned by the criminal or civil courts, or what is at time called « delinquents » or petty criminals, that is to say persons who, for all sorts of reasons, were not able to negotiate to their own advantage the existing social constraints. However, more seriously, I believe that the problem of reinsertion must also concern the patients displaying the most « serious » psychological symptoms; to them society must provide all the means to reassert their own freedom of consciousness. Thus, the experimentations, which perhaps concern the simplest cases involving ordinary prisoners, could provide useful pedagogical lessons: The knowledge gained on that terrain could later be generalised.

As we know Stalin and Mao had attempted to conceive the question of « re-education », and thus that of « social rehabilitation », through the angle of re-education through labor. For this reason, they placed themselves at the heart the process rather than at its end; or, if you will, they situated themselves at the level of prevention (this, as we saw, demands a more elaborate comprehension of the intimate contradictions of the system, and thus of the will to correct it in order to better support and legitimise it.) However, the main contradiction of this approach is glaring: The re-education through labor in the Hegelian/Marxist sense does not work and cannot be entirely operational unless that labor is free, or at least freely consented to. This is because it is principally required from the prisoner to learn to interiorise norms that he had previously rejected, and which do not always represent an absolute good. However, social life rests on rules of good manners, which permit the subjection to these rules that the prisoners collectively fought against: In this sense, the re-education cannot rest on a catechism, even a secular one; instead it rests on the intimate comprehension of the processes necessary to the expression of a full citizenship.

The re-education of prisoners through labor raises very hard questions even if we put aside that of dignity and that of the value of the free labor force, especially if it is subjected to the «competition » of an institutionally subjected labor force. However, this problem is not without solution when it is approached with a clear understanding of the initial contradictions and of the objectives one wishes to attain. Educator and educated must admit from the start that the process is naturally biased. Only the voluntary participation of the educated, freely consented to, can attenuate the contradictions, in a short, allow them to be transcended. Educator and educated must also recognise that the work in question cannot be considered as physical work only a sort of « drilling » that always results counter-productive. It must above all be a work on the consciousness of the educated person. Him-herself must operate on him-herself with the help of the educator without which it all becomes a perilous brainwashing in the sense that it inculcates to the prisoner behaviors that are resented as abusive and which he himself can replicate once he is in control, or which he can fight violently if that is justified by a personal ethics. Confinement and disciplinary rigor will never re-educate individuals who feel, sometimes legitimately, that they have been betrayed by a society bent on selectively adding repression to exploitation. On the contrary, if these individuals are sane they will have a tendency to fight the system.

And here too, society will discriminate according to what it traditionally considers acceptable or reprehensible means. A prisoner, guilty or not, is lucky enough to possess an education and will turn jail into an opportunity to write books. Another Native son, in reality innocent but trapped by a system which offered him nothing other than misery and ignorance, will certainly receive very long sentences. Often, in the USA, he will be the object of a death penalty. A Sharansky empowered by by foreign backing will feel free to develop his own idiosyncrasy, a process that will transform him into a Fascistic colon once arrived in Israel. In France, even the relaxation of sentenced persons having risked the death penalty seems to be done with all sorts of preventive measure. This is done to minimize the danger of repetition of the offense; it is further justified by the necessity to maintain a favorable public opinion. It would be preferable to prevent the return of the death penalty; this could be done by enshrining its abrogation in the Constitution and subjecting it to the most arduous amendment process, while taking appropriate measures to respect the rights of people who have already paid their debt to society, in particular through a better knowledge of the mechanisms leading to repetition of the offense mainly marginalisation out of jail etc. Be it as it may, it should be obvious that any progress concerning the rehabilitation through « work » - i.e., an educational totality still to be thought out properly and probably having to be custom made for each personality will lead to naught in the long term, at least if it is not supported by respectful measures of reinsertion and of prevention.

I believe for my part that the great majority of cases of « delinquency » or « petty criminality » in the banlieues are due to an unmet desire to demonstrate that one is a responsible person but ignorant of the available means to prove it. This ignorance is aggravated by poverty and by the deeply felt sense of alienation. In most cases, the access to a part-time work 10 hour a week could save many adolescents from their feeling of frustration. This type of work should procure a sense of responsibility as well as some spare change without interfering unduly with the good course of study. Their participation in social political movements or in grassroots ONG would allow them to structure their consciousness forcing it to take into account the whole constellations of forces in a given society. The studentssections of the Leftist parties would find here a vast field of action. This is the more so since the regional and urban policies would offer them an active and appropriate role in the framework of participative democracy. When the « banlieue » and the other social fringes are forced into a socio-economic « stalling » without any visible remedy, this constitutes the clearest symptom that the leading classes are themselves « stalling » in the pauperism of their own pseudo-philosophy.

This conception of re-education by « labor » includes pioneering versions such as those theorised by Makarenko. They would deserve to be understood for what they really meant; this would allow real corrections. But in no way was that system inferior to the American racist « gulag », to its re-introduction of forced labor complete with ball chains and to its racist and frequent use of the death penalty. In fact, one of the most difficult questions consists in knowing who would be entitled to the status of political prisoner in a society similar to the former USSR, or better still in a democratic and necessarily egalitarian society. Was the gulag described in the First circle by Soljenitsyn worse than the total exclusion of authentic dissidents in the West on the basis of fallacious administrative pretexts, which do not even allow access to legal aid? This happens in a context in which black lists are more or less silently implemented, so that the lowest menial works only are available, thus making it obviously difficult to survive and, of course, to pay for a lawyer? And what about the silent though wall-to-wall complicity of the most of the time - incompetent representative of the so-called « leading class », including the authorities in universities, in bar associations, among the judges, the lawyers and the police? This is a complicity which ends up provoking the financial ruin of the individuals even in the eventuality in which they would win their case, sacrificing 10 years or more of their life in the process? Stalinism used direct repression deprived of the calculated mediations practiced by the bourgeoisie and by its allied classes who have known the ropes for centuries. Would a communist candidly denounce it while singing the praise of the other? I personally believe that the critique of real socialism, so necessary to insure further socialist advances, can in no way be abandoned to those who were and remain class enemies. Almost by definition, Stalinism and real socialism cannot be the object of critiques outside an authentic communist optic. Otherwise, we do not see what could distinguish the search for an authentic « revolutionary reformism » - including in the area of psychoanalysis from the current destructive manifestations of social-liberalism and their structures of legitimacy. As we have shown, the internalisation of a fake sense of guiltiness can only play into the hands of the self-proclaimed neo-Grand Inquisitors, to whom Stalin and the communists have saved the life many times in the past.

Taylorism, underclass and capitalist gulag.

Capitalism remains a vast jail. Dostoyevsky would call it a lager. For the 80 % sharing less of the Planets resources than the remaining 20 %, this is a sad evidence. (Added note Jan. 2014: These percentages have deteriorated since this was written, so that it is even harder to talk about the top 1 % without having to break it down ...) Not so long ago, Mr. Chesneau in the Le Monde diplomatique underlined a bitter irony : The metal plates which had served as landing tracks to the US bombers during the Gulf War were later erected as barriers at the US-Mexican border close to Tijuana in an attempt of impede the passage of illegal Mexican immigrants. This Wall of Shame is in any case more ignominious than the Berlin Wall ever was. But few people talk about it and the same can be said about the old Torricelli law and the restrictions and fascistic threats imposed on immigrants on American soil since September 11, 2001. Yet, this situation can only get worse. According to UN demographic statistics, more than half the population on Earth will live in huge megapolis which will look more like Lima than Paris or than New York or even Cairo! If the capitalist logic of globalisation is not questioned by alternative models such as Cubas, this tendency to a wild urbanisation and its increasing wastefulness will go hand in hand with an increasing unequal distribution of resources monopolised by rich countries. The future will be darker, to say the least. And, what is more, the inequalities within the Western countries themselves are rapidly increasing as is witnessed by the development of the « underclass » (Julius Wilson), the reverse side of the so-called « self-contented classes » of neo-liberalism (J. Galbraith).

We should also recall that the organisation of labor according to Adam Smith passed through the decomposition of tasks according to the logic exemplified by the « pin factory ». Proudhon said the same thing but with a less rationalising mind. As for Bentham, the thinker of « parallelograms » according to Ricardo, he was conceiving manufactures like true jails specially designed to guarantee a total surveillance from a central tower (see Jeremy Benthams panopticon). Friedrich Taylor will reformulate these ideas: Stopwatch in hand, he will push the decomposition of tasks to its ultimate logic. As we know, he remorselessly compared workers to trained gorillas » and consequently made the open apology of a brutally Censitarian liberal democracy. The illusions induced by the collapse of the East Bloc will not last long. Indeed, capitalism is never more than a system of salaried slavery, a system which brought the exploitation of Man by Man to its apex, ceaselessly liberating the labor force in order to better commoditify it and subject it, body and soul, to the will of capital. This material alienation is also an alienation of the potentialities inherent with the human Being. At a time when neoliberal capitalism tries to roll-back workersvictories, it is natural that it produces ideologues-pitres who will try their best to re-legitimize the various opiums of the people dispensed to the masses by the new putative masters, thanks to their tight control over the flows of communication, and thanks to the reinstatement of the old alliance between the « sabre» and the « holy water sprinkler ». It is therefore urgent to recall to the leading classes some lessons gained from the failure of re-education through labor. The capitalist regime started to sing its own praise only with the instauration of laicity and of the Welfare State, both of which attenuate its general rule according to which « Man is a wolf for Man ». Their questioning will force the still relatively civilized « animal spirits » of Keynes to make way for the « demons » of all the Glusckmann of the Earth. The dangerous classes will not be the only one to exhibit the signs of neuroses and of psychoses engendered by this new inegalitarism and its pontifying exclusivism.

« Clinical » pathologies.

These illustrations demonstrate that historical materialism, or even the sociology of knowledge, when they still know how to call upon pluridisciplinarity to verify and consolidate their theses, do generally account for the blockages emanating from the structural levels, thus allowing the possibility to lift them systemically. However, more studies are certainly needed. It is particularly important to be careful with the conceptual and practical contradictions which impose themselves to the individual in falsified contexts (e.g., price phenomena in socialist regimes; or, again, the theorising of gender parity as a necessary form of the equality for a species which depends on sexual reproduction in lieu of all the ill-intentioned banalities we heard on quotas or, as far as Elisabeth Badinter and S. Weil were concerned, on a sinister kind of « universality », or rather of « singularity » traded for universality, and often informed by the reading of Carl Schmitt! Similarly, at another level, once could point to the contradictions born out of the speculative bubble which some of us had detected early while many patented political and academic leaders were singing the praises of the so-called New Economy. You might remember that this New Economy finally led to the subprime crisis after the crisis of the bath and of the rubble; yet, at its origin, it was hailed as a new era destined to give birth to a shining future in which the economic cycles would be transcended, although, in truth, they are derived from the pathologies of « mad money» (argent fou) in a society prone to believe that money is nothing but a subjective construction à la G. Simmel, rather than a social relation of production and exchange!) These contradictions are always the sign of a lacking explanation. The understanding of these tendencies, inherent to the course followed by any society, is necessary when one pretends to propose remedies to individual pathologies pertaining to a bad adaptation to these dynamic structures. Modern societies, are supported by a plurality of civil society non-corporate groups, and therefore do permit a greater mobility and a greater flexibility. These societies are better able to leave some place to the individual « impulses » through their mediations enacted for the benefit of the whole society. To conclude, one can affirm that, at this social level, the difficulty to devise corrective measures flows almost uniquely from the means mobilised, and consequently from the scope of these measures of redistribution and from the ideological choices that underline them. The observed pathologies at that level are thus pathologies created by a class society.

The potentially « clinical » pathologies, by definition « individual » in nature, belong to a different order. When they exhibit blockage mechanisms similar to the first, they nonetheless are felt more deeply, without mediations, in the isolation of ones intimacy. Then, the individual withdraws upon himself and the intimate struggle that is wage in these conditions can only impute upon oneself the « fault » or « blame » which is really imputable, not so much to the external world, but rather to the missing mediations, which this external world negates or does not know how to make available.

Jealousy represents a typical example here but one that can be characterised as « light ». It serves wonderfully to illustrate what was said above. It contains in a nutshell many aspects of the symptoms attributable to the irruption of an irrational view of the context by the subjects themselves. Through its treatment of the subject, the movie « Jalousie » also fittingly called « Inferno » staging Francois Cluzet and Emmanuelle Béart, does constitute a little masterpiece because of its quasi clinical precision.

Extreme jealousy is based on a sentiment of acute non-ubiquity when the subject has not entirely resolved the problems tied up to a felling of « possession » or, more precisely, of rational « control » over ones own surroundings. This feeling is perhaps anchored at different levels of the development of the subjects personality. It can simply be linked to a subjection of the physical senses of the individual when s/he has no reason to be attracted to the person with whom s/he entertains a relationship initially meant to be occasional. But this never constitutes the essential aspect. I believe that the essential pertains more to trust than to possession. It is a deviated form of self-preservation. This lack of trust itself can be engendered by all sorts of reasons, but in a way or another this trust is perceived as being «vital » to the subject. The consciousness of the subject does the rest through a perfectly absurd mechanism, but it is nonetheless one that is difficult to neutralise. The terrain of the ethical struggle between trust and non-ubiquity is thus set for an absurd internal struggle. In effect, the jealous subject knows that s/he is in a position to accuse without proof and that creates a sense of guilt. This guilt then triggers an acute consciousness of non-ubiquity, namely the impossibility to obtain proofs. The worst being that, even were these proofs available, the concerned subjects always find it difficult to abstract themselves from what is a real domination of the senses and a clouding of reason by it. The disequilibrium is constant.

It is interesting to note that the same phenomenon can produce itself when the partners know from the beginning what to expect. This is because the mechanism is not strictly linked to love affairs. In other cases, the trust is simply shifted from the affective level to a level that could be called « professional ». (25) The rupture of the relation during a sufficiently long period is thus necessary, as well as a change of context or decor, which, as the famous movie Hôtel du Nord said it, does constitute a real change of « atmosphere » necessary for the sensorial as well as for the mental equilibrium. (see http://www.youtube.com/watch?v=6DKI0EP-RMA ) The problem consists in that there is always one of the partners who refuses the necessary breakup and who fights it (at time under command from their controllers.) Education and consciousness do not always suffice, and in that case, it becomes a matter for legal protection, even if the nature of the relationship creates reserves in principle on the subject. This is often verified by the instances of divorce. It remains to alert the concerned subjects about the deep nature of the contradiction of which they are the victims, in order to alleviate the immediate suffering inflicted upon oneself and upon others. This would then allow the emergence of necessary defences enabling the subject to avoid falling again into such an absurd trap. This is because, given its nature, jealousy represents a half-opened door on the worst struggles waged by individual consciousness with the irrational when it is not entirely lucid.

The example provided by jealousy is very useful in another way. This is because it is felt at various degrees and at a variable frequency by all individuals more or less armed to face it according to their more or less introverted or extroverted nature. Or else the feeling depends on whether or not the milieu in which they evolve is more or less open to true freedom. Thus, jealousy opens the door to the subterrean but real connections between specific paraphrenia soft and either diffuse or specific though evolving at times towards acute forms and psychoses among which schizophrenia. The sentiment of non-ubiquity, which once triggered is destructive of trust, nests in the most «instinctual» zones of the brain. These zones are not necessarily the same zones detectable with scanners in schizophrenic subjects when they hear « voices ». The neuronal relationships of these zones should be better studied. In fact, a similar phenomenon is triggered when ordinary (or « normal ») people are reporting feeling of extreme lucidity of consciousness. It is above all the case in situation of peril, when the most ancient zones of the brain perceive according to their own idioms, one which the development of intelligence did attenuate without suppressing them, making so that a danger is perceived before intelligence had the time to conceptualise it. An instinctive reaction is then induced. There might be some advantage to consider post-partum trauma as light and transient paraphrenic symptoms in most cases but which can present serious complications in the case they would come to aggravate a non resolved neurotic past: The transient hormonal change provoked by child-bearing and by childbirth, allied to specific psychological disorders can then trigger serious psychotic reactions in the case they are not prevented in time.

The cases are obviously diverse but, in general, we can clearly see that it is not without importance for the future of a true psychoanalytic science to demarquate clearly between the various situations. This has to be done through the determining of the precise role of instincts: Do they play an alarm role according to their own logic, or are they are manipulated to such an end by the « irrational » sphere of human consciousness. Resting on instinct these zones once triggered stimulated repetitively in a similar « strange » or painful context, end up operating according to a Pavlov mechanism outside individual control. Unless the individual, conscious of it, does initiate self-preserving and re-adaptive counter-measures. This taxonomy would open the road to a better education and to a true preventive system of care of the concerned individuals by society. All would thus be in possession of the tools needed to understand the underlying phenomena of the paraphrenia, and thus all would be able to « change atmosphere », so to speak, before the symptoms develop into specific and acute paraphrenia, or worse still before they develop into veritable psychoses. Above all, this preventive general education would attenuate the control reflexes and their mania of having recourse to unilateral « social treatment »; in most cases, these have a tendency to add to the underlying problems. The medical and paramedical staff as well as the subjects end up fatally working one against the other: The second can consider this relegation into the status of « social treatment » as a supplementary alienation and exclusion, while the caring staff, especially in North America, will display a tendency to chose the easiest routes, at least those which are susceptible to protect them from eventual recourse to the court in case of «error ». As Althusser had the opportunity to emphasis, it is necessary to empower the subject with self-control. Everything written here is intended as a demonstration that this is the only acceptable solution from the point of view of an authentic psychoanalytic approach, as well as from the human point of view.

A similar typology that could lead to better re-adaption methods should be developed for schizophrenia, this true « queen », in appearance the « Black queen », of psychoses. We have looked at the field of battle and at the pieces on the moral and ethical chessboard where the drama plays out. We also know that paraphrenic phenomena at time positive (see Grossendieck, my preferred example) precede the triggering of « hallucinations » and of « voices », depending on the term preferred, or rather that the subject desires to give to it. But, these precursor phenomena, though not necessarily heralding signs, are yet poorly understood. The study of paraphrenia should dissipate these lacunae. Nonetheless, to better assess the gravity of individual instances, one must establish a typology of the forms of struggle and of resistance implemented by the subjects. Two essential elements must be considered: First, the fact that the subjects are entirely transparent to the omniscience of their voices without necessarily provoking the subjection of their will. Second, the forced self-exam of the subject, who thus search to deal with his-her own « past » , adds a whole series of continuous manipulations concerning all the elements of the social and material environment as related by all the subjects themselves. This I believe is akin to a trial or test and/or to a provoked capitulation attempt. Faced with this description, the analogy which comes to my mind is that of Jean Moulin, resisting for years under Nazi tortures without ever betraying his comrades. If we take the time to listen to what the patients say, it is clear that we are talking here about torture, and probably the most incredible form of torture imaginable. All the known syndromes from the study of the survivors of physical torture could then be of great utility to understand the position of the subjects. Especially as the subjects are initially faced with the unknown by excellence, and alone with it since the religious and social preconceptions prove as useless as the prayers of the believer, the anathemas of tragic despair or the post-Feuerbachian feeling of absurd.

When the schizophrenic is constrained by his-her « voices » to start his-her self-examination, the situation is potentially serious, and will vary according to the more or less rigorist moral codes internalised, thus uselessly reinforcing any sense of guilt, be it real guilt or be it « unconfessable »in the eyes of the subject himself according to his-her deep ethical comprehension, more than to his-her moral comprehension. This field of the unconfessable can thus lead to desperate but useless tentative to negate evidences, and the forced confession results in the loss of the minimum equilibrium necessary to the mind and thus to delirium. At the moment in which the delirium starts, the patient has already started to « confess » but it is too late for him or her to draw benefits from it unless a long rehabilitation process is undertaken. The worse is that this border between the unconfessable from the ethical point of view, and the unconfessable from the moral point of view is badly defined for the non-cynical individual who does not place him-herself beyond good and evil or, for the quasi but strongly introverted subject prone to take ones own fantasia for acts, which is potentially the case for the unfortunate children who experience schizophrenia. The tentative to support the restructuration of the subjects themselves should consequently describe and study with the subject these known syndromes. They should sound the alarm on the fact that, if the subject momentarily capitulates, everything is far from lost, because any false or implanted culpability weakens him or her and that, consequently, s/he must proceed with his-her own self-exam with serenity. The description and study of similar cases will help the subject to start ones own « labor » in the serenity created by anonymity, deciding for one self which information s/he desires to relay to the practitioner. As long as the subject searches for ways to regain control, no one has any right to pretend to any moral superiority over him or her: The psychological tortures already suffered absolve the subject from any human judgement that would not be supportive. The importance being the becoming of the subject and the necessity for him or her to regain control over oneself without it being achieved at the expense of society or of ones close relations.

The cases of delirium are serious for the individual but, in general, cause no «danger » for society, except that born out of its own prejudices. (This is independent of classes as proven by Betrand Russells views given his family background.) What is potentially more destructive are the illusions born out of different phases of the struggle. They are forged by the subject first with the objective to understand these phenomena that torture him or her. The tortured subject ignoring the fascist nature of his-her tormentors is often brought to the point to call on their « humanity », searching for way to soften them or to convince them. This fatally provides new arms to the tormentors. When this tragic situation is falsified by non-scientific ideas of Satan, of God, of demons and other spirits, the subject can be brought to attempt to « come to a peace » with the tormentors in order to alleviates his-her permanent and terrible suffering. At this point the situation becomes extremely serious and the most precise way to attempt to describe it would be to say that it is a situation in which the internal labor is momentarily and illusorily shifted to the outside until the final trial that can only be the inversion of the delirium, an open and violent delirium against others. It is then that the subject realizes his-her mistake but then is it too late and the silence which generally follows is probably worse than the previous predicament involving psychological torture. Many unfortunate people capitulating under these insidious tortures will later note that « Satan destroys and then once the destruction is operated goes away ». (see above). In order to dissipate any religious or simply ill-intentioned misunderstanding, let us recall that the etymology of the term « Satan » simply means the « enemy », the worst in fact, that of consciousness. The cultural example of Faust, the concrete example of Jean Moulin should be given for what they truly are, namely hymns to the freedom and dignity of Man.

As we can see more refined typologies are necessary for a better comprehension of the phenomena, and for a better prevention acquired thanks to the diffusion of these knowledge, in order to allow potential subject to react preventively. One last word of caution must nonetheless be added. All the manipulations felt by a subject particularly predisposed demonstrating perhaps some signs of chronic suspicion or of paranoia or by the schizophrenic, cannot be treated as unreal. It follows that an authentic justice is the first measure of prevention that a society can adopt before all the other necessary social reforms. The cost of justice being prohibitively onerous for most people except the richest, the Scandinavian institution of the ombudsman should be generalised. This should not, as it is always done today, become a «damage control » mechanism solely destined to protect the dominant elite (which can sometime lead to more violent outbursts), but instead as a less costly but concrete alternative to the usual justice system. Society escapes its own responsibility only at its own perils; yet, when tragedy strikes the damages caused to people can hardly be repaired. Justice, and justice alone, can effectively play the role imparted by religions to forgiveness and give it all its meaning. Only justice can defeat punctual manipulations. Better still, only it can defeat the nihilistic manipulations of classes organised as masters-pitres who, while ignoring all or almost all about these phenomena, nevertheless do attempt to manipulate the irrational to serve their own class or cast interests.

It is essential to understand the role of trust that an individual is entitled to expect in his social relations. It should be possible to settle what is perceived as an abuse in appropriate judicial instances, duly adapted to the gravity of the cases, otherwise a chronic sense of insecurity will take hold and will later be difficult to dissipate. This problematic constitutes a window on one of the major paradox of contemporary modernity: The wall-to-wall surveillance and its impact on the necessary labor to be done by individual consciousness in their own intimacy. The « demons » which agitate the jealous subject and abuse his-her sense of non-ubiquity are substituted by this comprehensive surveillance. When repressive policies are involved, thus leading to targeted manipulations, the situation rapidly degenerates towards paranoia; these are practices that should be abolished by all civilised nations, especially as it is not certain that the accumulation of such cases does not end up blowing back as boomerangs against the society guilty of such practices which rapidly destroy its moral fibers. The worse in such situations is perhaps the knowledge that one is under surveillance and judged by people who are far from being rocket scientists or paragons of virtue themselves, scoundrels with brown boots whose knowledge is often limited to the manipulation of their instruments. And whose sloppy general education is made of clichés and of « video-clips » dear to the unidimentional Being-pitre whose forma mentis is that of the ill-intentioned petty-voyeur, who is sure to count on institutional impunity. Strict measures of democratic control are obviously necessary in this field.

To this is added a distinct Anglo-Saxon technique: It consists in the implementation of all the techniques of industrial espionage against political dissidents. Such systems as the «carnivore » systems can transmit any keyboard stroke to unauthorised addresses. Microsoft « backdoors » allow even more serious intrusions. Obviously, this amount to the pure and simple robbery of the intellectual work of people and yet, despite these totally illegal actions, the same mouthwash with intellectual property rights! (Canada and Quebec without René Lévesque epitomes of hyper police-kingdoms of collective ignorance and acculturation, do even better: They rob ideas before they are published and betray them or banalise them through calculated vulgarisation. Their tools include the use of electrical lines as binary coding and decoding as well as the usual eavesdropping on telephone lines and jacks, or the reverse use of microphones and speakers etc. If you dont take precautions, such as publishing drafts, you run the risk of having to quote disgusting and crass-ignorant scoundrels for your own ideas published by them in reverse! Fortunately, there are ideas from the Left that are not within the reach of such crapulous ilks and born subjects!)

This comprehensive surveillance has potentially the same devastating effects than paraphrenia and can evolve just as them. To realise the extent of the problem, one must understand that the human Being preserves his-her humanity and his-her responsibility as a human Being only at the cost of the exercise of his-her libre arbitre over a comprehensible universe. This remains true for the irrational and the unexplained, only the method which finally leads to the comprehension or to a sufficient interpretation, will substitute itself to the certitudes, to the known, to the familiar, in order to recreate the necessary cognitive equilibrium. In some cases, this equilibrium rests on oblivion. However, the human Being is made in such a way that he cannot truly assume oneself as a social being without having to continuously answer to his-her consciousness in order to come up with the best adaptation between his-her own ethics and moral and with the structures in which his-her historical becoming is inscribed. In this sense, ubiquity deprived of the egalitarian possibility to intervene in solidarity with others, would be worse than torture. Television knows it and, despite its technical distanciation, only treats painful subjects when the politics of the dominant classes draws benefits from it; or more rarely, when public opinion remains mobilised long enough on specific dossiers. Thus, it is certain that the intermediation of consciousness between the faculties of the Mind and the concrete external reality constitutes the cradle of ethics and, at the same time, one of the conditions of our existence as beings.

The new techniques even the most developed ( v. Howard Rheingold, Virtual reality, published by Simon & Schuster, 1991 or even Paul Virilio etc ) do not change anything as far as this primordial fact is concerned. But they can contribute in clouding even more the functioning processes. Or even to degrade them without the provision of universal access and without the benefit of adequate means of control. The intimacy and sacredness of private live are the only true temple of libre arbitre. They allow the dissipation of the contradictions accumulated during the day when savoir vivre and politeness do not succeed to defuse them. They thus permit the return to the necessary equilibrium, and to the necessary good shape and good spirits on which sociability depends. Consequences can be devastating when, as is increasingly the case today, this comprehensive surveillance accompanies an inegalitarian evolution toward a clearly repressive society. The re-establishment of religious rituals which help people to stall in the beatitude of servility will not be enough to placate this evolution. Worse still, what was said above demonstrates that these rituals will only contribute to the amplification of the problem, making it difficult, and at time impossible, to resolve the individual handling of psychoses thus nurtured and triggered. If one adds to this, the fact that this comprehensive surveillance will fatally add to the more or less current manipulating tendencies, notably on people susceptible to resist these undemocratic degenerations of surveillance, then it is unfortunately easy to predict, not so much the return to barbarity, but instead the emergence of a society of permanent terror. Sade, the former adept of the Société des Amis du Crime, did not hesitate to take membership in the Section des Piques to better incite to the massive recourse to terror in order to shift suspiciousness away from him, and to better serve his class interests through the decapitation of the republicans leading heads.

CONCLUSIONS

Any good conclusion should contain the omen of a new beginning. We shall therefore conclude with a few remarks given as a token for a better new start. In its introduction to The Praise of Folly by Erasmus (26) Mishtooni Bose noted the double play on words contained in the Greek transliteration of the books title: Moriae Encominum. Erasmus was rendering homage to his friend Thomas More and at the same time recalling moria and Maria, Christ's mother. According to Bose « and thus in this twofold pun are united two of the book's central themes: The renaissance and application of classical learning as symbolized by the vital figure of More, and what Erasmus elswhere referred to as the « philosophy of Christ », which comes increasingly to dominate the book and which determines the tone of its last pages » (p vi). Similar to the role played by philology for Vico and for historical materialism and similar even to the secular approaches of the irrational, the rediscovery of the classical heritage had allowed what Piaget called the « decentration », a process necessary to a scientific and disinterested investigation because it offers a new angle and a new method of investigation. Erasmus, as much as his less obtuse contemporaries, was trying to escape the fratricidal dogmatism of religious wars and of the mini-counter-reforms that were already preparing an offensive on a grander scale. He did not remain insensible to the Greek wisdom so penetrated with the rejection of inhibitions and with a sense of measure. Perhaps, he and his contemporaries were not insensible either to the concordances that was always vaguely felt by the best authors of the Renaissance, although it was always self-censored for religious reasons; they concerned particularly the figure of Christ and that of Socrates, a known Pythagorean who studied in Calabria as much as his pupil Plato, particularly the Socrates emerging from the Banquet (see also Plato, The last days of Socrates: Eeuthyphro, the Apology, Crito, Phaedo, Penguin Books, 1969.)

Tolerance, anti-dogmatism and a sense of measure remain the key words best adapted to the contemporary word. They refer to the vital exigencies that are needed to defeat the return to the very pernicious obscurantism that can be engendered by the « new alliance » between neoliberal capitalist forces and the various theocratic forces.

An urgent task awaits all individuals of good will and all societies which truly desire to maintain a degree of civilisation, particularly that of imagining and concretising the material conditions and the collective institutions best suited to allow the most favorable realisation of individual consciousness, that is to say of the peculiar individual « historical bloc » conjugating the Self, the Other and the Collectivity. Three great tasks must be implemented. They concern laicity or separation of Church and State, the development of the science of the irrational and social redistribution.

Laicity.

The most rigorous defense of laicity is the first condition of freedom for consciousness. Laicity cannot be equated with multiconfessionality. Although it is true that laicity contains within itself all the emancipating aspects of multiconfessionality, the reverse is not true. Only laicity allows the full expression of libre arbitre. Multiconfessionality implies a partial form of tolerance because it remains irremediably muddled with the logic of religious dogmas; it can be transcended at best only through ecumenism. Yet, despite this ecumenism, the natural temptation remains to consider ones own religious « revelations » as the only ones that are true and most sophisticated. Didnt M. Wojtyla, the Roman Catholic pope, enunciate this pretense in very precise terms recently? (27) . It is thus constitutively impossible for religious thought to grant its full place to agnosticism or to atheism. Nevertheless, both do represent more developed forms of ecumenism simply because their defense of libre arbitre does recognise, by definition, the possibility of both religious and non-religious choices. The notion of Ethical good transcends all and is no longer corseted into the iron clad of one specific religious exclusivism. Religious thought can adapt by syncretism but seems unable to tolerate any pragmatic « relativism » without sabotaging its own dogmas.

Yet, libre arbitre remains the sine qua non presupposition of freedom for scientific investigation and for socio-political freedom. It is the fountain of all ethical reflection and thus, given what was said above, of any possible harmony between the human Being and society. A society, or better still, a Republic, which would not pose laicitiy as it founding stone, supporting all its other institutions, would be a society that would chose to remain prey to the most pernicious manifestation of the irrational and of obscurantism.

These evidences will never be emphasised enough. Nowadays a surreptitious and officious concerted attack is launched everywhere in the West. It is aimed at the reestablishment of the ancient privileges of the various clergies. We already noted that this return of dogmatic mantles is considered necessary by a neoliberalism that wishes to reduce increasing portions of the labor force to poverty, mass under-employment and unemployment. In so doing it promises them to the blind forces of mellow submission to religious rituals, conceived as the only means to canalise potential revolts through the procurement of the appearance of pleasure, usually derived from acquiescence to voluntary servitude. This is similar to the attacks launched by Reaganism and Thatcherism against social programs, these other popular conquests. These social conquests conserving the support of the social forces organised by the Left as well as from a large portion of popular groups. Thus they cannot be attacked frontally by capital without being sanctioned by the electorate. The terrain of their dismantlement must be prepared by a series of non-frontal attacks, carefully choosing the points of friction of the present systems and reformulating things in an optic acceptable by the new « self-contented » classes Galbraiths phrase who feel less vulnerable. How does one privatise the public health-care programs and institutions? First, the false problematic of euthanasia will be developed and reformulated as the ideology of so-called « death with dignity » for the benefit of the most fragile, who suffer most from the lacunae of the present system which they experience at time like a veritable Calvary. The alternative consisting in widening the fiscal base to better finance public health programs is rarely heard, including among the Left, with the exception of the French Left. Specifically here, it would entail the financing of decent palliative and geriatric care units, together with the completion of an authentic democratisation of medicine and of pharmaceutical services. It would encompass the development of modern means to control pain with less secondary effects: Today, the use of morphine, fatally administered in geometrically increasing doses, quickly leads to the death of patients by the formation of pulmonary oedemas, thus killing the patients quicker and more more surely than cancer itself. If that does not do the trick active euthanasia in various medical disguises is sold as a way to die with dignity! Hospital beds are not compatible with hospital run like enterprises subjected to short-term capital. Sadly, examples can be multiplied almost at will. Nonetheless, is it not evident that the abdication by society of the necessary social solidarity with the most fragile elements. The abdication by some doctors of their Hippocratic Oath can only dig the Procrustean bed of the rapid return to the pretense expressed by religious committees of all stripes claiming a new legitimacy in the name of the necessary respect for human life entrusted to spiritual entities to lift the burden of medical staffs?

Yet, what is happening to laicity today? President G. W. Bush nominates religious councillors who powerfully influence the reforms aimed at the dismantling of social and educational programs. We thus witness the substitution of citizensacquired rights, embodied in the Social Welfare form of social insurance with the return to social assistance, the latter being increasingly subjected to the old « means tests » of the past, and to the increasing recourse to private charity. Charitable organisations are again institutionally funded through the fiscal transfers of public money to religious and proto-religious organisations. Meanwhile, everyone mouthwash with the continuous adhesion by the USA to the constitutional principle of separation of Church and State! This comes complete with the self-righteous posture of those who pretend to impart lessons to foreigners on the theme of « religious freedom », forgetting too quickly in the process the unfortunate consequences of this anti-laical privatization for the rise of fundamentalist extremism both in Israel and in certain Arab countries, notably Algeria and Pakistan.

These religious groups are thus substituted to the religious and educational programs offered by the public sector. The poorest sections of society thus become captive to a brainwashing they did not choose. In Canada, multiconfessionality is enshrined in the constitution in lieu of the recognition of the linguistic equality of English and French as official languages and as country-wide education languages; this is actively pursued with the unconfessable goal to favor English and thus to lead progressively to the assimilation of the francophones. It has never been possible to date to do away with these constraints so well tuned to the creation of a peculiar brand of voluntary servitude. This is so blissfully soaked in its Burkeism so characteristic of born subjects neatly formatted by the Report of the very Whig Lord Durham and the very « democratic » Sydenham for whom, as we all know, the crux of the matter was « to grant the appearance though not the substance of democracy »! The pirouette-pitre Trudeau had understood the lesson only too well: The Emergency State imposed to Quebec during October 1970 was nothing if not the prelude to his Charter of rights which subjects the implementation of fundamental freedoms and rights to its Article 1. This article made the interpretation of the Charter dependant on the fluctuating pressure exercised by the community and, if that were not enough, to a notwithstanding clause imposed by the Manitoban Conservative Sterling Lyon as a prevention against the demands coming from the unions! Its Clause Canada for its part only serves to discriminate against so-called allophones more than the Law 101 ever did, i.e., the exclusivist linguistic law of the Parti Québecois secreted by the intimate contradictions of this fundamentally fraught system. True, Trudeau, a great adept of esthetic surgery, was a congenitally dual being. The Jewish community of Canada has now taken the lead from the Anglophone groups opposed to school and official bilingualism in order to defend this regressive multiconfessionality Recall: At its origin, the Canadian constitution used Catholic and Protestant denominational categories to escape the more dangerous linguistic or national reference. The complete privatisation of schools obviously goes hand in hand with this multiconfessional drifting. It even went to the UN over that matter and the UN then missed the opportunity to send it packing, because it was itself subjected to the same pressures from all the religious regressive groups united in this nice enterprise!

In France, under the pretext to manage educational formations , some milieus coming from the French Jewish community nowadays less linked to the Resistance heritage, if not to that of the Republic itself, did not hesitate to talk about « plural roads » to laicity. It went so far as to state that laicity, which is at the very heart of the French constitution, was nothing more than « an ideology like any other one » !!! They are unfortunately flanked by a part of the Masonic lodges, ready to trade its libre arbitre for the illusion of a pathetic return to (awakened?) « spirituality ». Thus, translating these worthy projects in good French jargon, apparently less threatening, the project consists in getting inspired by the « lights» of Jewish, Catholic, Protestant and other denominations, in the image of the American President with his Manhattan Institute. At the time of the Afghan war against the USSR, the French intelligence services had advised to sow cultural mines for the Russians in Central Asia and for the Chinese in Tibet through the manipulation of religious feeling. Such a beautiful republican advice! The return of the boomerang is such today that some French Jewish elements, free-masons or just strategically placed within the Ministry of Education, or in the important prefectures, now show the audacity to pretend « free Saturday morning » without much concern for the fundamental learning rhythms of the schoolchildren, who cannot care less about this doctrinaire monkeying. (see www.lemonde.fr , 20/12/2001). This is done without caring much about the illegitimate confusion between educational rhythms and the reduction of working time which concerns the adults; paradoxically, the latter is given as a pretext, but it does constitutes a great social progress while the reduction of learning time for children is nothing else than a crime against future citizens.

One is therefore entitled to fear the possible restoration of multiconfessionality in the schools, as soon as conditions will permit. This with a European and World bourgeoisie that has already conceptualised the privatisation of education through the GATS. The republican school risks being irremediably ruined thought it contributes the first and most important non-family environment for the learning and development of a citizens formation. I have said elsewhere that these attempts to effect regressive change indirectly constitutes a veritable « organised spoliation by way of make belief reforms » (see Appendix below). We recently heard some elements, to whom the return to theocracy represent the same sign of authentic truthfulness as the renaissance of a dead language, affirm without reserve that laicity is nothing but « an ideology like any others »! This bottomless obscurantism, worthy of times long past, must promptly be rebuked and put in its right place, namely that of the beliefs reserved for the private sphere without incidence on the public sphere where they should then be treated as dangerous sects and as a threat to common constitutional rights.

Freud had foreseen the nepharious influence of religious illusions and dogma on certain behaviors and certain pathologies. I believe that one can affirm that any real emancipation of women, and thus of human Beings in general, will ever be possible without these essential spaces of freedom and tolerance which are guaranteed by laicity. Things are similar here to freedom of consciousness. Those who would doubt this evidence should take the time to verify, without prejudices, the forms assumed by the various attempts to conciliate the emancipation of women with theocracy: At best, women remain subjected to archaic traditions based on « uncontestable » patriarchal religious truth. These mutually reinforce each other. And thus the most exploited classes, which are less exposed to external influences and which are less able to negotiate their own space of freedom, will suffer much more form these antiquated constraints.

In the same manner, the freedoms acquired during the last decades through long and difficult struggles were won thanks to the evolution of social mores and customs. (Added note Jan. 2-14: See the article « Mariage, unions civiles et institutionalisation des moeurs B, also available in Italian in the Pink Section of the Homepage of my site.) A law like the PACS is particularly difficult to conceive in the absence of the guarantees afforded by laicity. This is true despite the fact that some people would still hope to substitute the spirit for the letter of religious texts, which supposes that one day their hermeneutics would predominate over that of the various dominant clergies sited on their own century-old certitudes. The diatribes with respect of to homosexuality that have lately agitated the Anglican milieus are very instructive. It is not impossible to imagine that one day, as the logic of Vatican II will be brought to its term, it will be possible to treat these questions seriously. Meanwhile, laicity does constitute the republican refuge which alone guaranteed the indispensable tolerance and rights.

Considering what has been said above, we notice that such a view would suppose that the irrational could be subsumed within religions, these representing ancestral and intuitive knowledge that depend on so-called synthetic thought in the sense Lévi-Strauss gave to the term, within their own theological analysis. It is always possible to show that a version is historically dated and related in some way to previous versions, and thus is is not possible to elude the reasons, which would entice one to prefer one version rather than another. In fact, if one desires the development of a true science of the irrational, even as an atheist, the same problem will be raised about the specific ontology of these phenomena. Doubting is the initial step for philosophy and more widely for science, because doubt forbids the sole reliance on « deference to authority » and on non-demonstrated affirmations. Montaigne had already warned against the illusions provoked by the senses. We all are like Didymes without a Messiah or, more precisely, we are sceptics for whom the Age of the Messiah is past, just like the age of miracles was for early Roman Christians, and precisely for that reason we are both burdened and honored to be solely responsible for our acts and for our beliefs. Beware about too easily confusing the Golden Calf for the true divinity!

For a science of the irrational.

All the proponents of theocracy, of nihilism, of deconstruction theories and of all sorts of philosophies compete in attacking Progress and scientificity. They valiantly debunked the twin positivist scarecrows which they themselves so conveniently imagined in a Popperian fashion to better bring them down (28). In so doing they shelter their « gay science » - gay here in Nietzsches sense behind their crassest ignorance and crassest understanding of the irrational. This is their ultimate weapon in their wiliness to impose a forced march towards regression and towards a fictitious nature not « corrupted » by demo-cratic ideas. The scientific approach to the irrational clearly constitutes a democratic emergency, a barrier against the return to barbarity and to the obscurantism now propagated by all these vulgar presumed masters of the universe who, by definition, are nothing but servile minds. Bergson and Freud were perhaps right in placing these investigations on a « philosophical » or better on a secular level. We talked about the necessity to add the field of the irrational to the « three concrete realities » of Vico to wit: nature, historical relationships and institutions, and so-called fictions or concepts and theories , and to focus on their objectification. This is the only way to remain lucid and also to develop an authentic experimental method. More than Freud, Wittgenstein and Foucault would be useful: Human behavior is the idiom which tells and describes the complex interrelations among the structures, natural, biological and cultural, which enter into the making of a personality and of its becoming, according to a complex braiding of their specific « longues durées ». Once the main inputs are isolated and their general laws more or less established (dialectics of nature, dialectics of history and overall dialectics), a true « archeology » can be derived to specify, in each case, the most serious contradictions. Thus would open the road to appropriate re-education inscribed within the becoming of both the individual and of the context in which this individual is called to live in.

The stake remains always the same and aims at the creation of a collective scientific knowledge capable to sustain the individual efforts of comprehension and re-adaptation. The main task at the collective level as much as at the individual level is that of demystification. As science will increasingly investigate the field of the irrational, this demystification will be institutionalised and-or will become the new common sense, in the Gramscian meaning of the word.

We can then briefly indicate some urgent tasks opened to this science. Luckily, many elements of this science of the irrational already exist as we have already mentioned above. What now matters it to do away with the reductionist chapels such as Freudism and put historical materialism or the sociology of knowledge to contribution in order to arrive at a vast synthesis of the accumulated data, thus triggering further advances.

Religious and ideological alienation is the strongest when economic and social alienation becomes more acute and when the intellectual level not necessarily identical with the educational level is weaker. This holds true for the alienation to a diffuse spirituality or to magical beliefs. The first pertains above all to the learned classes and exhibits some general faults. As I emphasised in a different context some years ago, the true problem at that level consists in the resolution of the contradictions between Western « philosophy » and « metaphysics ». The modern version of this confusion can be perceived in the writing of the famous American physician David Bohm. In effect, aside from Vico, Hegel and Marx, the bourgeois and petty-bourgeois Western savants and thinkers are unable to extirpate themselves from the most vulgar positivism, which fatally dresses up what is deeply dialectical for them. It is also the case of Prigogine, especially when he pretends to transpose his methodological discovery to the social sciences; he then finds nothing better to propose than a « new alliance » (sic!) between American behaviorism and Poppers positivism (29). He does this even though he had in his hands some keys which manifestly pertain to the dialectics of nature. (See his order/disorder theory and the transition phases it supposes.) We know that when these nobelised pure sciences pretend to muddle with economics and stock-exchange speculation, historical becoming play tragic tricks upon the initial conditions. At time, these dated back to 1968 (!) as was the case for the initial conditions assumed by the various Black, Sholes and Derman, thus courting with catastrophe. (30) see the hedge fund LTCM LP. Too bad that the people find itself alone to pick up the broken pieces!

The havoc wreaked by this positivism manifest itself increasingly on « philosophy » and « metaphysics ». This is particularly the case since savants like Bohm, playing unconsciously (?) with the undeserved imperialism of so-called « pure sciences » over social sciences and philosophy, thought it possible to use the aphorisms of ancient philosophical-religious systems to palliate the tensions emerging from their own disciplines. Look at physics, the putative « queen » of hard sciences which is simply incapable to account for 50 % or 90% of matter, the error margin being left to the variations from the Standard Model which one chooses. These contradictions emerge from a specific domain but fallaciously and speedily « resolved » in another quite different domain. From them are born the most untruthful and the most vulgar «spiritualities » and « metaphysics ». In fact, these same contradictions should have only led to questions, doubt being still the initial step of knowledge. It is quite possible, when one thinks of it, that « the real is rational and the rational real» as Hegel was wont to say. However, this does not authorise anyone to apply to social sciences and thus to historical becoming, the methods derived from laws of nature. Aside from the human case, Nature does not possess the consciousness of its own existence nor of its own historicity.

Consequently, a secular State and, what is more, one claiming to belong to an advanced civilisation advanced democracy or communism - cannot allow that such a petty-bourgeois confusion be propagated without scientific critiques. The savants coming from pure sciences but at the end of their carrier should still offer their contribution to the common good and be incited to vulgarise their discoveries but maintaining them in their specific contexts. This is the more necessary since, aside from some epistemologists, few people would be able to follow them on their own field. However, the methodological debate must always clarify the pretension of a science over another. Above all, historical materialism should not abandon ancient philosophical-religious texts in the sole interested hands of theologians. This is because these historical texts document the life of the various people, the manifestations of their rationality and the historically dated objectifications of the irrational and consequently of their class struggles.

Before the advent of the Modern Era, these struggles were mediatised by a particular economy regulating the exchanges between the macrocosm and the microcosm through the intermediary of clergies: In no way this vast domain of Marxist ethnology and anthropology should be neglected. This would imply the development of a profound secular respect for all things belonging to the past because they constitute the heritage of the « whole Humanity » since the phenomena, once scientifically explained i.e., by Marxist ethnology, anthropology and psychoanalysis do not raise any danger capable to induce political and obscurantist regression. On the contrary, such historical initiatives will legitimate the preservation and the restoration of architectural and artistic patrimonies and archives throughout the world, and particularly where the march toward secularity is blocked or questioned. They testify about the history of the people, of their thinking and of their preoccupations: They would thus largely be de-politicised and abstracted from possible manipulations. In fact, their doctrinaire politicisation would then be seen by the people themselves as an ill-intentioned manipulation and as a rape of the laicity necessary for a free and respectuous examination of the overall heritage of the past.

The theory of concordances proposed by Joachim of Fiore with his discovery of a general human history know no exception. Better still, since it evolves towards the secular realisation of the egalitarian spirit, it can only serve as the guiding light. Marx, and later Ernst Block, or Lévi-Strauss in his own way, have demonstrated it. The place of Buddhism and of the others Oriental philosophical-religious system in these concordances still remain to be widely illustrated despite the contacts which always prevailed and which were favored by the Silk Road. Such demonstrations would satisfy the common thirst for scientific and historical knowledge or, more prosaically, the thirst for exoticism of many. At the same time, they would contribute in substituting themselves to the CIA-Hollywood manipulated clichés, which are nowadays amplified by the religious counsellors of G. W. Bush and by the Manhattan Institute. Such substitution would represent a lesson in history and in ecumenical and scientific fraternity.

In this reappropriation enterprise of the past by historical materialism in the name of the whole Humanity and of science, I propose to complete a project which for now is above my means but which nonetheless remains essential. Namely to develop the idea of concordance enunciated by Joachim of Fiore, and that of historical becoming demonstrated by Marx, through the intensive use of ethnological, anthropological and psychoanalytical knowledge, taking due care to link them systematically to the data offered by archeo-astronomy. In effect, be it the Forbidden City in Beijing, the Egyptian pyramids, the Mesopotamian and Hindus temples, the various levels of the Chartres cathedral, the Maya temple the superbly explicit Chichin Ixa, for instance or the Inca temples, or even the Neolithic ruins, including in the great Siberian North see Malaurie on the disposition of whales skeletonsit seems to me obvious that the fascination of Man throughout the ages for the celestial bodies, and for the alignment of their construction to them, were directly linked to their understanding and control of time. That is to say to their tentative to understand and to appropriate their own historicisation process and their own social structuration modes (i.e., the comprehension of the cyclical seasons, the emergence of casts and classes as the depository of the accumulated knowledge; as such they were responsible for their transmission, for the organisation of agriculture and for the refinement of the politico-economic instances of control; this is witnessed explicitly by the knotted ropes used by the Incas who were thus able to insure a « synchronised » control over a vast geographic zone).

As demonstrated by the Maya calendar and its Lunar-Solar harmonisation, or again by the mega-cycles which account for the oscillations due to precession, in Asia notably, abstraction becomes rapidly necessary to the operazionalisation of knowledge. The same phenomenon can be found everywhere, from the Western « monotheist » religions (see for ex. Stoui), as well as for the development of the Chinese calendar. No doubt, these primordial considerations from our ancestors were « clouded » by their thinking over the irrational: The cranial trepanations witnessed in the most remote past seem to point to a rationalist preoccupation for the understanding of troubling phenomena such as schizophrenia, even in those societies which were not partitioning the irrational and rational spheres like contemporary societies. This dialectic of the rationality and of irrationality is nevertheless less ominous for our ancestors as opposed to certain contemporaries always prone to « impute » both causes and consequences just to quench their own thirst of mystery and/or of power. Our ancestors knew how to evolve and to replace the real sacrificial rituals by symbolical ones and to finally grasp the profound meaning of altruism.

Nowadays, some « awakened » ilks, abusing the distancing offered by modern techniques - especially warfare techniques are too often ready to inverse the evolution. It is thus through the demonstration of this temporal-social preoccupation, common to Humanity as a whole under all latitudes, and thus through its tentative to reappropriate its own destiny through the development of the understanding of time, hence of its own historical becoming, that it will be best possible to liquidate the fallacious « religious », « theological » and « metaphysical » questions, together with their « exclusivist pretensions ». This would then make it possible to rehabilitate the long and marvelous effort made by the human spirit in its free quest for knowledge. In this perspective, the approximation of the number Pi by the builders of the Egyptian pyramids does constitute a hymn to the freedom of consciousness, and consequently to equality, aside from any clerical manipulation of these knowledge.

The fact of witnessing everywhere the same intellectual efforts, again away from the rituals and from the clerical manipulations which are mere facades, does surely constitute the most shining proof of Human equality and of the « ecumenical » consciousness of Humanity in the etymological sense of the word. This is because in all times, from the Neolithic to the Middle Ages to the Renaissance and up to Modern times, the intellectual exchanges did go along with, and perhaps at time did even precede, strictly economical exchanges, simply because Humanity was instinctively conscious of the fact that these exchanges did constitute « material forces » vitally necessary for its own development. The sophisticated understanding of time imposed long voyages, and thus incited to the discovery of the surrounding world and thus slowly of the entire Planet. Since immemorial times, religious rituals have hidden the search for the better comprehension of human becoming, gained through the understanding of time and of its unfolding. The long history of Mesopotamian astrology (see Bottero, the superb French translator of the Epic of Gilgamesh, etc ...) also contains the mnemotechnics so necessary for the development of astronomy, as well as a sustained research, albeit still poorly differentiating between the synthetic and the analytic, and the socio-political instruments necessary for the manipulation aimed solely to class domination. Anthropomorphism is the distinctive sign of this « primitive dialectics ».

On these bases, it should be possible to imagine the introduction of the history of myths and of religions to balance facultative catechism courses. This would complete the civic education courses. The education of citizens would be reinforced by it. The space left to the sects and to the manipulation of « spirituality » as an expression of the irrational, would be naturally delimited. Above all the pretentions of these various clergies, which are more or less orthodox, would thus by critically examined by free consciousness, gaining in quality in the process. The legal limits relative to « sectarian » drifting would be reinforced by three simple principles: a) the respect for existing life and for the dignity of the individual; b) the refusal of any usurpation of the concept of the « divine » targeted to the to the sacralisation of intrinsic inequalities, such as the casts imagined by scientology; c) the necessary teaching of tolerance and of ecumenism, that is to say the acknowledgment, by the proponents of religions, that no revealed truth should contradict science without thereby committing a serious hermeneutical abuse. Science for its own part has to recognise its relative ignorance in the domain of the irrational, which still remains to investigate. This dialectic between science and religious « faith » is capable to procure the necessary flexibility when, for whatever reasons, the individual perceives insoluble contradictions. It naturally points to the necessary free implication of consciousness in order to attain a reconciliation of the individual with ones own self. The post-Hegelians as well as Jaspers, Max Weber etc, all operating a confusion similar to that of Bergson, pitted the causal explanation against a method of understanding or « verstehen», a more intuitive method, triggered from the inside, by empathy. The stake of the development of a Marxist psychoanalysis consists in rendering increasingly intelligible the under-lying phenomena, which in the last analysis serve like hazardous foundations to these ontological pretentions. This is done through the development of their objectifications.

The same reasoning is valid for various superstitions, idolatry and magical thought. The case of popular astrology and of its great serving figures, such as the badly-known but many times quoted Nostradamus, allows us to illustrate it. Pierre BrindAmour in his beautiful book entitled Nostradamus astrophile, Les presses de lUniversité dOttawa, editions Klincksiek, 1993, did show the way: Scrupulously consider the historical figure as it emerges from the texts and documents proven to be authentic; search systematically for the sources and for the context of these « predictions » and « prophecies »; and only then proceed to the definitive verification of the prophecies for which the possible dates are already past. With such a scientific method, the most farfetched interpretations will automatically be discarded, and those which would deserve to be analysed would lend themselves to scientific verification and falsification. Since the degree of past precision can be taken for an acceptable criterion of the degree of future prediction, we quickly know what to expect. One possibility that was not considered by the author, at least in this book, remains: It concerns the very manipulating potential induce by the implementation of the so-called « backcasting » method of which we talked earlier. And this at the hands of « tiers » who are always prone to abuse the credulity of people without any scruples. The work of vulgarisation is thus necessary to instill scepticism. Prestidigitation and magical shows, often characterised by their artistic poetry, thus constitute a good demystifying prophylactics for prime-time shows, one that we would be wrong to undervalue.

As we understand the insistence on the religious or superstitious aspects of irrationality depends on the competition between religions and magical thought with humanist thought in the domains of morals and above all Ethics. This understood, the new psychoanalysis must propose appropriate reforms at all levels, from the family and households relationships, to the educational milieu, to the labor milieu etc.; they must be capable to dissipate the blockages thanks to new mediations. The typical example is that of the relationships among the sexes, which was so badly treated in North America that it inevitably caused a reaction, if not a backlash a sort of regression toward a previous biological horizon coming from certain women and their class visions Paglia etc.: The emancipation of women, consubstantial with human emancipation, had run against the incomprehension of what Simone de Beauvoir had excellently demonstrated, to wit the equality between both poles of the sexual reproduction, an equality subjected by these societies that negate freedom through the domination of Man by Man. These societies have to be transcendented by a higher negation expressing the general emancipation of Mankind. Simone de Beauvoir resumed this by noting that one is not born a woman but becomes one, so that this becoming, far from supposing a loss of some kind of « feminity », supposes on the contrary to find equality anew, in a specific historical becoming, characterised by freedom, equality coterminous with the respect of differences, these two aspects constituting a fundamental given of the species.

At the general level in which we situate ourselves here, the programs contrasting sexual abuses, those in favor of libertarian and responsible sexual education, and those targeting the prevention of sexually transmitted diseases, represent a totality that needs to be considered as such. It was possible to verify the danger posed by the budgetary adjustments necessitated by the irruption of Aids. They can potentially impact all the social acquired rights and, above all, the progress concerning social mores. Progressive forces would be quite wrong to neglect these aspects, and thus not to demand the financing of medical research susceptible to lead to definitive cures or, failing that, to universal access and gratuity of the available remedies. This should include the poorest countries; it thus demands the appropriate reforms of the current regimes governing pharmaceutical patents and the prices of generic drugs.

Human becoming having such an importance for the continuous structuring of personalities, it is clear that early childhood and adolescence must be conceived as an essential phase for the formation of future citizens, independently of gender. My intention is not to propose original reforms but instead to reveal the potential drifting induced by neoliberalism and to draw attention on some specific blockages, which hinder full individual expression. The difficulties of the formalised idiom of mathematics aggravated by the introduction of algebra provide a good example (see the Appendix « Spoliation B). Let us imagine all the knowledge which are increasingly necessary to the citizen who wishes to fully participate in the democratic choices, and which could be accessible at a good level to all those who would have fully completed the mathematical program of the secondary schools before starting to university. The acquired bases and personal interest would do the rest.

To these reading difficulties, one should add even more ground-to-earth considerations, as for instance the discomfort of students who have accumulated lacunae and for whom the personal strategies developed to « overcome » the problem have failed without the teachers having pinpointed the conceptual loci which engender these blockages. An anecdote will here be useful, given that it colors in part my preoccupations with the subject. I was completing my Master degree in political science when, following the advice of her visiting Italian mother-in-law, a neighbor asked me to try to teach reading to his young son. His teacher was also my neighbor and she did not oppose this attempt. The idea of the grand-mother of this young child was that the sharing of the same cultural referents could contribute to lift some obstacles. I had noticed a few months before the passion of this child for ants, which he observed at length without ever hurting them. My sister observed that it recalled Jean Rostand. My personal impressions of this young neighbor were far from negative, though I was ignorant of the difficulties he was facing in school. The first day things went quite fast. The learning method of English used in his books was the so-called « holistic method », resting on images associated with the full words corresponding to them. Curiously, no difficulty whatsoever could be detected in the first three pages when read consecutively. But on the fourth page everything would go wrong, answers became aleatory even for sensibly identical words. My reflex was to backtrack and to point to similar words, which were immediately « recognised », but this did not seem to make the reading of the similar words possible after the third page. After a few trials back and forth from the first pages to the next, I suddenly understood what was happening. The child, brilliant like most children, had compensated his incomprehension of the holistic method by memorising entirely, and in the right order, the first three pages. This was quite a memorizing achievement one which, in fact, mystified the teachers too wedded to the « method » prescribed by the program. I thus initiated the syllabic reading of the three first pages and after a few weeks my young neighbor which had been destined for a specialised school was following his classes without any problem. I believe he succeeded better than me. (Added note Jan 2014: The holistic method might work well for introductory courses in English, that is to say for short words. Otherwise, especially for students who are not coming from an Anglo-Saxon background, a syllabic-phonetic method would seem more appropriate and better suited to the visual and cerebral processes of decoding alphabetical signs.)

Can one imagine the disorientation of a child who has tried all the stratagems he could imagine by him or herself when confronted with an exasperated teacher who is convinced that what he himself comprehend is comprehensible for all, and that the rest is a simple IQ matter? This is so serious that even when this exasperation is controlled or even dissimulated, it always ends up revealing itself by the tone and inflexion of the voices and by the entire set of verbal and non-verbal expressions which complete any conversation. The public and republican school does wonders. This does not detract from the fact that individual tutoring could be made gratuitously available when the need is felt. Workshops could be organised in which the oldest students could help the youngest under the surveillance of a professor and on a voluntary basis. The tutoring softwares which allow the student to progress at his-her own rhythm are very useful too when a tutor remains available to personally answer eventual problems.

Similarly, I believe that music, dance and theater courses should be included in the curriculum at least at the introductory level. Courses of corporal expression and of theater would do wonder to lift the inhibitions of the less extroverted students, and would provide them with a larger specter of languages. These would later allow them to find by themselves their own inter-personal mediations, which are so vital to an equilibrated life during adolescence and also during ones whole life. Individual expression, an esthetic form which expresses the specific personality of each person, represents the greatest criteria of educational equalisation; it quickly becomes an engine for progress in all other disciplines. Cultivating this personal esthetics remains the best way to attenuate the class differences perceived with a particular acuity among adolescents. Among the best professors that I was fortunate to have, there was one in particular (the so-called 68 spirit being important here) who experimented in applying to us a double grading method: One, official, corresponded to the exigencies of the school; the other, a personal one, distinguished between form and content to incite us to develop personal answers, to the greatest possible extend. I believe that there are many of us who owe him not having dropped out, although we must personally bear responsibility for the too many lacunae which continue to afflict us. Michel Serres was able to affirm that things heard at a given time, even when they would momentarily appear banal or be neglected, could later prove extremely useful. The republican school provides all these tools. If the residual and most serious blockages could be lifted, the Republic would be the more egalitarian for it. The rules of esthetics and of good taste would prevail over defense mechanisms, which are unavoidable in the very heart of the banlieues. As proven by experience, these do offer generously their contributions when they have the possibility to do, without the imposition of preconceived repertoires.

Reserve Army and social redistribution.

The dialectics of hope of Dostoyevsky had barely attached itself to emphasise the significant but partial moments of the development of a personality harmoniously integrated in society and in its becoming. We saw why the figure of Christ seemed to him a model to the point that he wished for the ushering of a New Jerusalem. Yet, we are forced to conclude that the solution offered by Dostoyevsky remains partial both at the individual and at the collective level. Consequently, the social redistribution which has the vocation to create the material conditions necessary for the fulfilment of the individuals and of the society in which they live, deserves a great attention. We will offer here only a few elementary indications, which the reader is called to criticise, to develop and to transcend.

All the figures which inspired authentic social reforms or who wished them, be it Buddha, Lycurgus, Solon, Christ, Dostoyevsky or Marx among others, have all raised the social question concerning the most « humble » sections of the population, that is to say the most exploited. This was in effect the cornerstone of their visions and of their theories. It is far from surprising, at least if one considers as was done above, that the neuroses and psychoses of the individual are nothing but the signs of the structural under-lying dysfunctions of society. And thus, not surprisingly, the individual that it engenders does not succeed in negotiating the societal contradictions in the right manner. The law of value demonstrated by Marx transposes to the economic domain the central idea of human « labor », the sole creator of economic « values », be they commoditised use values or exchange values. It thus constitutes the most beautiful historical demonstration of the central position of Man cum producer at the conjunction of the dialectics of Nature and of the dialectics of History. Marxist psychoanalysis has the vocation to complete the demonstration by demystifying the manifestation of the irrational, and consequently by exposing new facets of the alienation produced by the exploitation of Man by Man. This is done with the view of informing the overall processes that make possible the recovery of Man by himself in his plenitude and thus in his freedom.

The social redistribution programs must then be judged for their impact on the less well-off groups. They should not be ad hoc social support systems just mandated to attenuate conjunctural crisis, but instead they should become a structural part of the daily functioning of the system. The legal Reduction of Working Time constitutes the best example.

I have said elsewhere that this conception has nothing to do neither with utopia, nor with the wishful thinking emanating from some sort of humanism, or from a travesty of social justice such as proposed by contemporary social-liberalism and by Blairism (Rawls, Giddens etc.). Despite the neoliberal attacks against the Welfare or Social State, this alternative is inscribed in the intimate working of the economic system. The opposite illusion comes from the gigantic sums of money redistributed by the capitalist State year after year but for their greatest part to the benefit of capital and of its privileged servants. This is done with the pretext of rewarding free enterprise or worse still « meritocracy ». It can thus be verified everywhere in the West that the taxation rates on income tax have become increasing regressive, while the fiscal base of the various consumption taxes, general but regressive by nature, increased dramatically to compensate. While the social programs geared to the less well-off undergo deep cuts, numerous tax exemptions and credits come to the rescue of the « self-contented classes » in their effort to accumulate the savings necessary to pay for increasingly privatised services, which end up costing increasingly more (education, health care, kindergarten etc.) Of course, these are over and above the ruinous credit and tax expenditures granted to capital. (Added note Jan 2014: The current fiscal and redistribution regression is quickly illustrated on this link: http://www.zerohedge.com/news/2013-12-17/jim-grant-slams-steve-liesman-fed-can-change-how-things-look-not-what-they-are )

This system is inherently contradictory. Even the USA, a nation which is able to transfer on other nations the cost of these blind policies thanks to the suzerainty exercised by its national currency, ends up accumulating fundamental deficits of such magnitude that it will be impossible to ignore them ad vitam aeternam (particularly the budgetary, the Social Security and the current accounts deficits.) It remains that the American system, which now pretends to be the only viable model after the collapse of the USSR, does conjugate with much righteousness a bit less than one third (1/3) of the World wealth with around thirteen per cent (13%) of its own population living below the official poverty level, with some than 40 million citizens without medical coverage, and with an increasing precariousness of the labor force going hand in hand with a greater average of hours worked due to the multiplication of double part-time jobs, a greater difficulty consequently to be paid for overtime. Add to this the increasing inequality in the salary scale and in patrimonies which now reaches record levels. Luckily the American economists and leaders are neither paid for their competence nor for their results! It is, to say the least, a bit imperialistically naive to pretend that such a model, based on the most shameless exploitation of the Planet, can be emulated by the other dependent countries, now invited to open their domestic markets to American competition. This remains true even if you assume an open-sum game. The present failure of Argentina subjected to the so-called Washington Consensus, which is above all that of her own leading class political, economic, including most union leaders - demonstrates what to expect from these pretentions. It is, of course, in the nature of capitalism to grant priority to the alliance of the imperial elite from the Center with the comprador bourgeoisies of the Periphery and of the Semi-periphery, so as to better insure the exploitation of the dominated classes worldwide.

The neoliberal revolution inaugurated in 1979/1980 by Volcker, Reagan and Thatcher rests on a double misunderstanding. The first pertains to the main contradiction within Keyness theory. As we know Keynes knew the Marxist schemata of circulation of commodities (M-P-M) and of capital (A-P-A) notably through his tight contacts with Piero Sraffa, whom he had invited to Cambridge. Yet, Keynes was never able to lift the flagrant contradiction of the bourgeois economic model, which made use of a micro-economic theory derived from Marshall and Pigou, and of the macro-economic level implied by the Marxist cycles. The counter-cyclical role assigned by Keynes to the State was intended to conciliate both levels. Paradoxically, this weakness constituted the apparent strength of Keynesianism during the so-called « trente glorieuses » or « Glorious 30 »: Given the real development of real socialism after the Second World War, the bourgeoisie had to conciliate Welfare State and maximization of profits in order to retain the sympathy of the grassroots socio-democrats. However, as Francois Perroux had foreseen, when the Western economies reached their «maturity », this contradiction came to the forefront with increasing acuity. Around the end of the Sixties, the rhythm of Western economic growth started to be largely constrained by the saturation of the domestic markets of the wealthiest country; in these conditions, domestic growth was limited to the weak margins depending on the renewal of existing products or on the introduction of new products. The system was equally constrained by the difficulty to propagate wealth among the workers and even among the middle-classes of the Third-World countries. These countries were subjected to large capital outflows resulting in a chronic under-development without creating notable new markets.

The illusory solution to this quandary imagined by the Western bourgeoisie was to abuse of inflation in order to silently take back a part of the salary which was ideologically and nominally left to raise, both in the rich and poor countries. This strategy was also faced with very hard struggles aimed at maintaining real purchasing power on the one hand e.g. the Cola clause and, on the other hand, to contrast the so-(baldy)-called « unequal exchange ». But there was more: The concentration/centralisation of capital wreaked havoc at the level of the individual enterprises; simultaneously the automation of the working lines the real « future shock » aside from that described by Alvin Toffler - announced a new technological revolution destined to upset the labor and production spheres. At the beginning of the 60s and early 70s, the private research and planning institutes were already dealing with what Paul Baran called « the longer view » (see his magnificent book with the same title) This already pointed to the impact of the productivity of capital, in conjunction with the limits inherent to a system of permanent overproduction, on the long and mid-terms fiscal revenues accruing to the State. This gave birth to the thesis of the fiscal crisis of the State neatly illustrated by OConnors book. This theory was fallacious because limits to the accumulation of capital could have been lifted with the further development of the Welfare State, thanks to a better redistribution of the surplus-value in favor of labor. Such a policy would have sustained consumption and would have led to a better redistribution in favor of direct effective demand social programs or of production such as the funding of R&D and direct subventions. OConnors book was blind to the real problem and thus presented a very schizophrenic aspect: The first part attempts to deal with centralisation/concentration of capital borrowing from the imperfect competition of oligopoly and monopoly theories expounded by Sraffa, Robinson and Chamberlain. This amounted to mask the real contradiction inherent to Keynesianism, which opposed micro and macro economics under new cloths, but in fact sewed by the same tailor. The second part of the book silently returns to perfect competition as if to legitimise the deconstruction of the Welfare State faced with an inevitable fiscal crisis, which apparently only the free market could save. The so-called Laffers curve would fit as its logical conclusion! The Marxologist pretentions of this book did not help much, its internal logics speaking for themselves, coloring at the same time the under-lying world vision.

The privatisations of public enterprises accomplished in the name of free competition have now demonstrated the total and dangerous inanity of these proposals. Enron or the havoc unleashed by the so-called open-sky policy are good examples. Everywhere, one can observe that public services offered by private enterprises are less accessible and much more costly, without offering the same level of public security as was the case with State enterprises: at Walkerton in Ontario, for instance, the privatisation of water lately led to the poisoning of many inhabitants of that village. Nonetheless, this conception of the fiscal crisis of the State imposed itself as legitimate, and led to a systematic privatisation coterminous with the deconstruction of the Western Welfare or Social States. The Monetarist revolution launched by Volcker/Reagan had been aimed at using the currency as an economic weapon. (see my « Les conséquences socio-économiques de MM. Volcker, Reagan et Cie B, March 1985 as well as the other more recent essays in English in the Section International Political Economy of my site www.la-commune-paraclet.com; see also the very useful book Secrets of the temple by William Greider.) This is because the US dollar as the main reserve currency could shift part of the costs of this transition to the other Western countries, as well as to those in the Periphery. On the other hand, it was forcing all other nations to follow suit in a subaltern fashion. In effect, the greatest portion of these countriesdebt was labelled in US dollars including for instance former Yugoslavia which found itself at the beginning of the 80s with a foreign debt estimated to 20 billion dollars. Hence, the unilateral double digit rise of the main American interest rates had immediate and disastrous repercussions.

As we saw, the « Monetarist » policy implemented by Volcker and Reagan did represent a very « pragmatic » class answer, a typically American one if we dare say, to the hindrances faced by the accumulation of capital. It nevertheless came with an ideological façade to articulate its legitimating process. That façade was found all cooked-up in the convenient, albeit « eccentric », ineptitudes of a Milton Freidman (aside from the « fast-speed money » and other such nonsense, just imagine the political, economic and financial situation of the main world reserve currency in absence of any « interferences » from the Federal Reserve; or, today, imagine the Fed subjected to the ineptitudes churned out by such nobelised eccentrics over the total absence of a central bank to be substituted by an « automatic pilot »!) Or, again, think about the ineptitudes of a Laffer who did not find a better use for his napkins! The appearance of rightfulness of the Monetarist doctrine can be summed up in the following manner: Despite the GATT, after the Second World War Western societies informed by Keynesian interventions functioned largely as planned and relatively non-opened economies. The US forced the opening of its commercial partners (with the speculative dollar attack against the Pound, the Dillon Round etc.) Meanwhile, the Keynesians were still losing their time trying to conceptualise the dynamic aspects of the system, already de facto inscribed in the system, at a time when the operating of Kahn Multiplicator was going astray without them even noticing. This later got worse. In the 80s, the reinforced interdependency of the main economies would be sanctioned by the Uruguay Round, the first step toward this neoliberal financial « globalisation » process, which followed the previous phase of internationalisation of productive capital.

If the Monetarist illusion still persists today, it is not so much because of the sirens of the New Economy, which are badly tried these days, but because of the control and lowering of the level of inflation. And this is perhaps the greatest intellectual and practical ineptitude, or fraud, in the whole history of capitalism. We saw that inflation served the bourgeoisie well. It did so first in that it helped her maintain its margins of profit against the demands expressed by the domestic and external proletariats. The joint impact of this strategy and of the workerscounter-strategy led to the institutional definition of guarantees for the purchasing power of salaries in their collective agreements (COLA clause in the USA or « scala mobile » in Italy, etc.) This was further aggravated by the economic maturation demonstrated by Perroux. It all led to the symptomatic stagflation phenomenon. Yet, one does not need to be a rocket scientist to guess that any changes in the relationships between labor and capital, which would entice the workers to accept lower salaries, will reduce the monetary aggregate M1 but not necessarily the other aggregates M2 and M3 - thus reducing the main inflation rate. (Added note Jan 2014: With the supremacy of speculation over traditional capitalist credit, we are now dealing with « credit without collateral », including in the huge shadow banking, so that the FED does not even bother to calculate M3 any longer ... See the essays in the section International Political Economy of my site as well as my Synopsis of Marxist Political Economy in the Livres/Books section.)

This was the Grand Oeuvre of the American Monetarist revolution: The sky-high interest rates induced a global economic crisis; the most vulnerable workers were forced to accept the new regressive deal offered by capital, as witnessed by the symptomatic surgical restructuration of Chrysler. This was done while a forced march to the restructuration of the USA was accomplished through the tapping of foreign capital drawn by high interest rates, and above all by the colossal sums transferred by the Reaganian State to private enterprises through a new version of Military Keynesianism, a policy know above all for its leading program nicknamed « star war ». This to the detriment of federal transfers to American States which were nonetheless forced to maintain equilibrated budgets, and thus to the detriment of the social programs which already had been reduced to the bone.

This Monetarist logic is still holding sway; it now aims to privatise the public sectors which even Adam Smith would have had some difficulties abandoning into the too visible - hands of the private sector. The military-industrial complex, once denounced by Eisenhower, does not satisfy the insatiable appetite of the new imperial bourgeoisie; it now needs to privatise the national armies! The same reasoning applies for private schools and universities, to which will now be added the whole sector of education. The domain of health care itself is destined to the same fate. And the patenting of living organisms with all its potential applications agriculture, pharmaceutical products etc would come at the right time to comfort the fancies of eugenic superiority, which many American proponents of neoliberalism and of the genetic revolution wish and support, including through the propagation of the shameful idea of the genetic inheritance of intelligence see the Appendix « Spoliation » which reformulate some elements of my earlier essay Dioscures. A supposedly progressive representative like Jeremy Rifkin (31) adds to the confusion with his own pretention to separate the logic of class domination from that of the commercialisation of the living. The former is specific to capitalism and includes the class struggle which Rifkin judges to be obsolete. The latter would develop according to its own own petit-bourgeois? or ethical? - scientific logic illustrated by laboratory discoveries. Although it is widely financed by capital or by the capitalist State this logic does answer mainly to technical and scientific given. Nevertheless, the direction this takes and the financing of the research are never socially or economically neutral. Above all the « merchandising » of living organisms says precisely what it says: The subordination of science and of its applications, including in the domain of the living, to the logic determined by the laws of capital. Once they have escaped from the lamp it is very difficult to return the geniuses into it. Scientific knowledge is not erased from the mind of people just because it is judged to be potentially « dangerous » or « immoral ». Consequently, Rifkins idea to oppose the commoditisation of living organisms without questioning class relationships represents at best a doubtful fancy.

It is thus primordial to re-establish the Marxist law of value through its elucidation, in particular that of the resolution of the question left unanswered by Piero Sraffa. I have proposed such a solution in my 1996 essay entitled Tous ensemble. The essential element rests on the verification that the method of extraction of surplus-value, which corresponds best to the capitalist mode of production, is « productivity ». Absolute surplus-value, based on the duration of working time all other variables being left unchanged, characterised the mode of production which largely rested on agriculture so-called « Asian » modes of production, slavery and feudalism, each of these modes opening the way to various historical epochs before being transcended by a « superior » mode of production. Relative surplus-value is the extraction form of surplus-value obtained by the punctual increase of the work effort, or intensity, demanded for an identical duration; it is present in all the modes of production, but in a punctual fashion only, although it acquires a totally new systemic importance with the generalised introduction of machines and that of the specific division of tasks pin factory by the emerging capitalist mode. Nevertheless, it is « productivity B, a structural increase in intensity through a better organic composition of capital, which characterises the capitalist form of extraction of surplus-value. The critiques addressed to Marx by Böhm-Bawerk and all the others were based on a certain number of conceptual confusions wrongly imputed to Marx but which never did appear in Book I of Capital. Moreover, the main critique to the effect that the law of value exposed in Book I was contradicted by the Books II and III published under the auspices of Engels, raised some interesting problems such as those concerning land rent as was brilliantly demonstrated by P.P. Rey. But, otherwise, it remains a manifestation of the purest form of intellectual bad faith that could ever be imagined in the story of science. The critique can be summed up by this fallacious and ill-intentioned proposition: The Marxist Schemas in reality those mainly cook-up by Tugan-Baranosky and Bortkiewics would use value inputs and end up with « prices of production », and then, as a new production cycle would start, these prices of production would have to play the role of values. As the real amounts do not square up any longer, it was hastily concluded that the specific economic unit of account used by Marxs political economy, namely human labor power understood as the sole creator of commoditised use and exchange values, was utterly fallacious. Of course, aside from their mystification attempts, these bourgeois economists were blinded by pure hate.

Had they been right, they would have disposed of the communist « specter » which haunted the World since Marxs publication of the Communist Manifesto. It would have been best to read Marx more carefully! The most serious aspect of this affair is that even supposing that the critique had been founded, these economists should have tried to avoid repeating in their own models the same mistake they were denouncing. Yet, no acceptable general theory which would have resolved these concordance problems between ex ante and post hoc schemas have ever been proposed by bourgeois economics. Years ago, we saw Cambridge USA naked like the proverbial emperor in front of Cambridge UK under the leadership of Joan Robinson and Piero Sraffa during the so-called « function of production » controversy. Walras and Sraffa had been unable to offer better than heuristic models: But at least, for their own parts, they displayed some intellectual honesty. First they separates economics, that is to say the scientific theory of purported general value, from social economy, in charge of the priorities determining the allocation of resources, sending us back to a practice informed by the first but never reducible to it. (Léon Walras was here following the judicious advise of his father Auguste.) As for Sraffa, he himself characterised his work as prolegomena to a critique of political economy.

Aside from the problem raised by it, at bottom this contradiction is nothing other than the contradiction opposing microeconomics and the macroeconomics in which it operates. It is not without practical importance: It simply means that despite the praise lavished on the « invisible hand » of the market, the capitalist system is no more able than any other to insure its reproduction without a strong intervention by the State. In truth, the policies adopted by Volcker/Reagan and today by Greenspan/Clinton/Bush in support of this intervention, have nothing to envy to the traditional interventions of the Welfare or Social State, although they are disguised by the current Monetarism and neoliberalism mantras. Witness the efforts deployed by Greenspan to soak up the mess produced by the « hedge funds », especially those managed by these Nobel Prizes attracted by the Golden Calf, or again by the same struggling with the « permanent speculative bubble », which accompanied the emergence of the New Economy. At the beginning of March, the end of the recession was proclaimed and this pre-announced the rising of the main interest rates; yet, to convince oneself that this speculative bubble was well inscribed within the mechanisms of contemporary American capitalism, it suffices to verify the price/earnings ratios, above all those of the enterprises heralding the New Economy, reading them in concomitance with the data relative to the fundamental deficits I spoke about earlier, most notably that of current accounts.

In fact, the theory of « productivity » exposed by Marx in his Book I does not present any fallacies. It accounts instead for the laws of motion of capital. It only requires to be revisited so as to understand the price phenomena « organically », and thus, at the same time, to understand structural inflation. For that, as Marx himself had demanded, one must apply this theory of productivity to Simple Reproduction Enlarged Reproduction deals with the dynamic system, that is to say with the priorities established by the Plan and-or by the economic agents. These priorities have to be realised during the next cycle and the next « production year », which implies a set of important decisions concerning the use of national savings etc.

It is better to leave Tugan-Baranosvkys equations to Tugan-Baranovsky and to use those formalised by Bukharin following Marx. Without doubt Bukharin knew the demonstration given by Marx in his crucial chapter of Book I entitled « The last hour of Senior »; he was not mesmerised by the so-called « technical prowess » of an Alfred Marshall formalising with his graphs the argutiae of a margin cannibalizing the whole process for its own profit, piecemeal so to speak. Of course, Bukharin and his Bolshevik comrades are other urgent priorities to attend to.

Here is, for information sake, Tugan-Baranovskys schema which is supposed to insure reproduction:

c1 + v1 + s1 = c1 + c2 + c3

c2 + v2 + s2 = v1 + v2 + v3

c3 + v3 + s3 = s1 + s2 + s3

The third line represents the production of Gold, which is supposed to correspond to money and profits. Obviously this is entirely fallacious (just think of the exchange process involving what Marx called the money cycle.) Yet, one needs to know that this third line was purely motivated by the need to formalise the problem anticipating Poppers gimmicks, if you will to make it manageable by recourse to a quadratic equation. Marxs problematique disappeared from view, but this was taken to be the scientific formulation of the problem that all academics later followed: Hi-Han! With the exception of Paul Sweezy who sensed that something was wrong. Although he was unable to conclude, he honestly published chosen articles exposing and confronting the problem. He himself devised his theory of surplus, if you will a Keynesian-Marxist theory, in an attempt to offer a solution which could always be supplemented by reference to the history of economy.

Here are Marxs Equations for Simple Reproduction as formalised by comrade Bukharin, for a Schema with two main sectors:

c1 + v1 + pv1 = P1 (Means of production)

c2 + v2 + pv2 = P2 (Means of consumption)

Hence, the Equations of Simple Reproduction:

c2 = v1 + pv1

P2 = v1 + pv1 + v2 + pv2

P1 = c1 + c2

Here, c represents « capital used-up » as Paul Sweezy put it; v represents the exchange value of the labor power; pv the surplus value, and P the product for the « productive year» or complete cycle of reproduction that is considered, in other words the time needed for the living labor contained in v to transform the past labor contained in both c and v and to restore it in the form of a new product P, a process achieved by this expanse of labor power with the addition of the surplus value pv. Hence, the entire function of production is that which is used for each of the main sectors given above. The number 1 and 2 designate here the sectors concerned: The Sector 1 represents the sector of the Means of production (Mp) and the Sector 2 that of the Means of consumption (Cn). The Equations are those of Simple Reproduction (SR), those which according to Marx open the road to the understanding of the process of social and economic reproduction the Enlarged Reproduction (ER) being only a variation of it albeit a little bit more complex because it allocates a part of v and of pv to the expansion of the productive system, instead of confining it to consumption. This defines the dynamic model. The essential aspect, as Marx emphasized, is to grasp the fundamental mechanisms involved, thanks to the previous elucidation of SR.

One also needs to avoid the stumbling blocks born out of Tugan-Baranosvkys schema of reproduction which falsifies Marx by adding a sector of Luxury, one which is constituted of the gold amounts supposedly necessary for the circulation of commodities, becoming in this way a sort of unit of account that substitutes to that of human labor power a concept which Tugan-Baranoski did not grasp. This error will be adopted by all other theoreticians aside from the Bolsheviks with the partial exception of Sraffa. As a good Ricardian, he was alerted to the problem and attempted to transform « v » into a marvel of ingenuity badly misunderstood by neo-Ricardians, namely a basket of commodities producing commodities, a preliminary prolegomena as Sraffa said himself attempt to refer to the value of the labor force estimated by what it costs to socially reproduce it. However, Sraffa himself missed the essential point, that is to say the fact that human labor power, this specific commodity acting as the unit of account of all other commodities, differs from a consumption basket in so far as it embodies simultaneously use and exchange value as well as past and living labor. At an introduction level, those who would be interested to play with this ER schema should include sub-sectors under each two main sectors and try to understand, in social terms, the most productive manner to invest national saving. (Or see the solution in my Synopsis of Marxist Political Economy.) In fact, the industry rests on the production of « complex products » which is not easy, even for the planning organ, to squarely place under a sector or another: Except virtually, of course, thanks to their accounting decomposition, which boils down to the same thing when it it done in value-coherent terms. But then Marxist statistics would be required.

Simplifying to a maximum without betraying the subject, that is to say in choosing to reduce the whole social production to the addition of Sector I and Sector II, we would have this:

First situation:

c = 80E v = 20E pv = 20E P = 120E (100 products)

Ici:

c = capital used up

v = labor power

pv = surplus value

P = total product

E = monetary unit, say the Euro

The ¼ increase in productivity only means that the same total quantity of past labor (c + v), though organically organised in a more productive fashion, will produce ¼ more products of a same kind or largely elastic during the same duration of work, the value of each individual product decreasing by ¼ . Marx had noted the organic composition of capital as v/c. Taking due account of the constraints imposed by reproduction simple or enlarged I prefer to redefine the organic composition as v/C where C = (c + v); here v at the numerator is the variable capital but understood as living labor and C = (c + v) represents past labor in its two forms as constant capital and variable capital. This past labor is revivified by living labor to transform it into a new product. Thus, it is v/C that defines the organic composition of capital. Once things are untangled, they can be summed up simply by noting the inversely proportional ratio of the increase or deepening of the organic composition of capital and of the rate of surplus value pv/v on the basis of the new exchange value of v given by the new organic composition of capital Note that, because of the productivity increase, v still represents the same use value. (The proportionally inverse ratios of v/c and pv/v is nothing but an arithmetical necessity which logic can be summed up quickly like so: If you start with a sum divided in two parts, and then modify the size of one part without changing the initial sum, the second part will necessarily evolve in an inverse proportion.) Therefore, the fallacious problem known as the « transformation of values into prices of production » disappears by itself and the equilibria inherent to Reproduction are respected. Marx had himself explored this solution in a different context in Book II of Capital (see éd. La Pléiade II, p 900) but had treated it as a particular case. However, when this conception is applied to Simple or Enlarged Reproduction, it is necessary to take into account the constraints inherent in this Reproduction by respecting the Equations formalised by Marx/Bukharin. Here, we will only show what would happen to our example after a 1/4 increase in productivity occurs. We would have:

Second situation:

c = 84E v = 16E pv = 20E P = 120E (125 products)

C = (c + v) globally remains equal to 100 to facilitate the comparison of the individual or the global functions of production. The worker can always be the same physical person but his-her relation to the organic composition of capital has been totally changed: The new productivity places the labor force in a situation of greater productivity, but structurally and not only conjuncturally. The nominal salary (in exchange value terms) decreases but the real salary in use value terms - remains the same since the total quality of products having increased by ¼ the unit value or price has decreased by the same ratio.

To complete this simple but inestimably precious Marxist schema in order to understand the laws of motion of capital, we must now introduce the organic relations that prevail between values and monetary values (or prices). To begin with, we must assume that the entire value of « v » is spent. Then, those who are interested can decompose this value of v to include saving. In fact, in its principle, things are less complicated than one would think given class occultation. It is more involved as far as the concrete details go, but this is another story. After all, any central bank does distinguish between the Monetary aggregate M1 (or its equivalent) which corresponds more or less to the salary mass, and the aggregates M2 and M3 destined to account for the development of credit, of the accumulation of saving and of the investment of profits. Today, the neoliberal Monetarist modifications led to sub-aggregates in an attempt to deal with electronic money, new financial instruments and the increased interdependency within the Capitalist World Economy.

(Added note Jan 2014: With the sudden development of speculation after the abrogation of the Glass Steagall Act in 1999, and the development of « credit without collateral » and shadow banking etc, the Fed just stopped calculating M3, just before it did inundate the market with repetitive QE and other twists.) To roughly equate the aggregate M1 with v is not a bad working hypothesis compared to those usually retained by the « dismal science » when it is abandoned in the hands of the bourgeoisie and of its academic servants. What would be more important would be what I called the « structure of v », that is to say the ensemble of goods producing other goods according to Sraffa which enter into the renewal of the labor power. This allows us to definitively dissipate the old theoretical misunderstandings concerning the fallacious schemas of transformation of values into prices of production, and above all to orientate the economic and social development towards a greater social productivity. At the risk of simplifying a little, we know that in the modern societies almost a third of the net salary is spend for food, a similar portion for housing and another for clothing and transport, the residual sums going to leisure and entertaining so necessary for the psychic reconstitution of labor power. The systematic lowering of transportation and housing costs, for instance, would be more efficient to preserve the national competitiveness than fiscal exonerations that do not always translate in the creation or in the preservation of employment.

We can thus posit for the first situation the equality real salary mass = v in exchange value terms. This constitutes the heart of a real quantitative theory of money revisited and corrected by Marxism.

The augmentation of productivity frees a part of the labor force expressed in exchange value : v goes from 20 euros to 16 euros when the process of production is accomplished according to the new productivity; then, the difference 20 - 16 = 4 represents the labor force reduced to unemployment, but one which needs to be sustained one way or another. We assume here that unemployment is supported at half the rate of active labor (you know, if active labor is at « maintenance level », to use the original phrase coined by the Tennessee Valley Authority during the Great Depression, UI must be less to avoid incitation to ... laziness and vices ...) This exchange value in terms of labor force reduced to unemployment would thus receive the equivalent of 2E. The central bank then will have to operate the adjustments which are necessary for the monetary mass. Thus, this does not correspond any longer to the value of the active labor force in the process of production/reproduction because it must take into account the Reserve Army (RA) of the proletariat thus reduced to unemployment. The social salary mass (v + RA that is to say 16E + 2E) differs now from the real salary mass (v = 16E). This difference represents what I called « structural inflation », which is the most important and dangerous form of inflation. It does not exhaust the subject of inflation as such, which can be due to numerous other factors, notably a mal-adjustment of the social salary mass by the Central Bank, or again a change in the exchange ratio of a Social Formation compared to another, i.e., the case of importation or exportation of inflation. Nonetheless, these other forms of inflation are only conjonctural.

This little detour by the structural inflation is necessary to understand the current neoliberal strategy, which shifts the fault for the inflationist degradation to the demands expressed by active and passive workers more precisely the workers reduced to unemployment «for no causes of their own». In reality, when in the actual neoliberal system, a controlled inflation is reached and exhibited as a victory, it is only explained quite simply, on the one hand by the reduction of social programs thus reducing in our oversimplified but pertinent schema the part going to RA , and on another hand by paying a part of the active labor force below its value. This is due to the weakening of the unions and of the workers, a phenomenon induced by the imposition of the so-called « mobility of the labor factor » - which can be verified easily by comparing the real salary of a worker working for Chrysler at the end of the seventies and today, as much as the mass of workers employed but then reduced by more than half during the same period.) Despite appearances, the destiny of active workers and that of the unemployed are intimately tied up. This is exactly what the truck drivers and the other French workers had magnificently understood during the exemplary strikes of the years 1995-1996 in favor of a reduction of the working week, in other terms the sharing of socially available work among all citizens apt to work i.e., the great concept first proposed by Emile Pacault which had a wide audience in North America at the time of the One Big Union and of the closed shop movement.) Structural inflation in the strict sense is nothing other than the monetary indicator of an unemployment context. It certainly cannot be fought against be the imposition of « mobility of the labor force ». This is because through the increased competition of workers among themselves, this leads to a lowering of salaries, to the delegitimizing of unions and to the generalisation of poverty resulting in the tentative to mask unemployment by recourse to under-employment and to precariousness i.e., by recourse to the sharing of poverty among workers for the sole benefit of the increased margins of profit and of illusory and speculative P/E ratios. In fact, in the USA, this sharing of poverty is now causing the emergence of an under-consumption predicament, which has the potential to be worse than the Japanese so-called « deflation ».

Nonetheless, as demonstrated by the French « gauche plurielle », the struggle against unemployment must be accomplished by a sharing of available work, based on a general lowering of the time worked, without negative impact on the purchasing power of salaries. This can be done by a better sharing of productivity gains (which hardly benefited the workers in the last thirty years in the USA and the West in general), by the creation of new intermediary sectors and by the support of effective demand i.e., including here the part going to the RA. This approach is diametrically opposed to the neoliberal programs. According to the Plan, the increase in fiscal revenues accruing to the State because of the sharing of work strategy 35-hour had a positive impact on the financing of social safety nets, thus allowing their maintenance and their further development. (32) For their part, the Right-wing government had chosen to ideologically concentrate their cuts in these very same programs. They thus accentuated the possible financial problems to better argue about the necessity to « reform » these programs now judged to be unsustainable! Mme Aubry had retaken control of the Social Security programs thanks to the 35-hour strategy, and could testify about this conscious strategy of her right-wing predecessors and successors including in the PS.

We see here that Marx was right: The capitalist world always presents the world upside down: Hence, a manipulated monetary expression rather than one linked to value, an active labor force opposed to a passive labor force when the destiny of both is intimately tied up both organically and monetarily, and so on and so forth. We thus easily see that the understanding of the intimate links between v, RA, and the social redistribution politics is crucial. In particular the process of liberation of a portion of the labor force induced by productivity does emerge within the systemic logic of capitalism itself, thus implying the necessity to find a new and more stable equilibrium. This being expressed by the structural inflation problematic and, more generally, by what I called the « social surplus value ». Without the organisation of this « social surplus value » through the planning of economic growth and the setting up of programs such as the sharing of work, capitalism falls into a chronic situation of overproduction and under-consumption; it is one which conjugates an increasing « underclass », a longer working week and unequaled salary differences despite the mirages of the New Economy that was supposed to abolish even the economic cycles! A more advanced redistribution of « social surplus-value » then would inaugurate a new epoch of the capitalist mode of production, a transition epoch toward a different mode of production whose dominant mode of expression would no longer be based on capitalist exploitation, but rather on the socially and politically regulated modes of exploitation, notably through the emergence of new forms of collective or state-owned property.

A similar reasoning could be generalised to the vital problem of payroll saving. This should be developed to complete the repartition regime and be managed by WorkersFunds mainly managed by unionsrepresentatives. Everywhere the bourgeoisie has introduced in-house pension plans, or even pension plans regulated by the State but managed by the private sector. (Added notes Jan 2014: The caused the bankruptcy of GM and Chrysler which had to be bailed out at great cost out of the public purse.) WorkersFunds managed by unions could canalize this payroll saving with the goal of sustaining employment, in particular the employment created by the small and medium cooperative enterprises, and that created by any enterprise respecting the Reduction of Working Time norms 35-hour , which manifests the intention to borrow to reorganise their operations more productively. These funds would be subjected to severe and legal actuarial rules; they would grant priority to investment within the national social formation thus avoiding failures such as Enron. These workersfunds, inspired by the Swedish Meidner plan, based on payroll saving would permit to implement as a new form of « nationalisation » of the enterprises, large or small, but deemed to have a strategic socio-economic role. In the meanwhile, the power relationships between business elites and unions would mutate entirely. Indeed, an evolution toward new social and cooperative forms of property would follow, one that would be more congruent with the logic of « social surplus value », and with an advanced social redistribution susceptible to anticipate a new civilisation of liberated time. We could then hope for a return to full employment as long as flexible mechanisms would be devised, notably for speculative capital.

In Tous ensemble, I have called Tobin Thresholds a differential system of taxation of short-term capital i.e., not immobilised directly, materially so to speak, in the productive cycle. The planning organ and the government would determine the needs in foreign capital, which among other things, could satisfy the financial intermediaries as well as the IMF and the World Bank. This would shelter the Social Formation against crises such as have hit Thailand, Russia and Argentina, as well as the financial and social upheavals caused by the recent method of « debt freezing » for emergency reasons! This method is just a cop-out to protect the interests of bankers against the danger of a bankruptcy pure and simple; it also considers the momentary suspension of payments accompanied by the suspension of the international aids subjected to the acceptation of structural austerity plans, which invariably are as socially catastrophic and financially onerous as they are globally iniquitous. In the case of Argentina, some patented American economists had proposed, quite seriously (sic!), the devolution pure and simple of the economic government of Argentina to the private bankers and the IMF for a 5-year period! Tobin Thresholds would constitute a much better alternative. They would organically be tied to national strategic planning, which would make the difference. The funds accruing from this differential tax inherent to these Tobin Thresholds would be reinvested in cooperative development programs aimed to the betterment of the economic development and standard of living of the Third World.

Planning advanced social redistribution, canalizing national saving, controlling speculative capital flows have become urgent policies for the implementation of a strategic return to a stable full-employment strategy. In so doing, one would still need to prudently avoid confusing fiscal harmonisation within the Eurozone with a fiscal dismantling, notably by means of a lowering of fiscal levies on enterprises, thus taking away from the State its economic and financial means of intervention. The problem is quite simple in its principle: The Uruguay Round and the present negotiations aimed at liberalising even more the international economy, notably the service industries, is trying its best to erase any trace of planning and of industrial strategic policy. This is done, in priority, by attacking the direct subventions, which are therefore profusely denounced in the servile medias. We too often forget that the USA uses and abuses of military procurements programs, of emergency aids and of off-shore facilities in order to subvention directly, though silently, its own enterprises, as is customarily the case for a State with an establish reputation as a non-interventionist State. The military budget alone is estimated at more than US $ 400 billion thus overcoming the spending in the same domain by the next 15 greater US competitors taken together! President Bush has just asked $ 379 billion to Congress for the Pentagon and another $ 38 billion more destined to internal security!

In these conditions, the fiscal dismantling even if accomplished in the name of the 35-Hour or in the name of other programs aiming at the creation of « jobs », has the potential to be doubly pernicious when it reaches a certain threshold. We all remember that the multiplication of Keynesians subvention programs, though targeted, ended up suffering real decreasing returns. The same phenomenon will be produced with this fiscal dismantling since the lowering of the fiscal levies on the enterprises will rarely translate in a decrease of prices, or in a defense of existing employment. In fact, even Milton Freidman had admitted that the social contributions share paid out by the enterprises were transferred on the sale prices (33) and thus paid again by the workers qua consumers. But this is not the case for the lowering of the various exonerations which are rarely translated in lower sale prices. The impact on creation of employment remains to be proven and raises the question of the tightening of the criteria relative to the 35-hour program. The evolution of the general structure of taxation is enlightening: Income taxes were lowered for the richest deciles as well as the other direct and succession taxes, a decrease compensated by the introduction and/or drastic increase of indirect taxation such as TVA (the value-added tax), all totally regressive in nature. Above a certain threshold, the fiscal earnings expected from this fiscal dismantling becomes decreasing in micro-economic terms, and questions the very idea of the social redistribution and of the neoliberal fallacious employment strategy which underlines it.

It is therefore better to admit what is really at stake and start, at least at the European and WTO levels, to defend a just equilibrium between subventions, defense of strategic sectors and defense of full-employment, even if this demands the negotiation, at these two levels, of the minimum acceptable level of unemployment, which would then trigger these States subventions, as long as they would be available to all players, be they domestic or foreign. (Added note Jan 2014: This boils down to asking for a new definition of anti-dumping. I have come to the conclusion that the anti-dumping enforced by the WTO and by the States should protect the three forms of households « global net revenue », namely the individual capitalist salary, the differed salary and the global net revenue of the household. This boils down to the strengthening of the « structure of v » in all its components, thus stabilising the dynamics of Enlarged Reproduction and the ensuing monetary expressions of it. Such system could interpret existing free-trade agreements without requiring arduous negotiations subjected to the unanimity rule; furthermore, it would guarantee the global mobility of capital. A New World Economic Order would then ensue, one that would hold the prospect for a new wave of planetary prosperity. On the details see my Synopsis of Marxist Political Economy in the Livres-Books section of this site. ) Meanwhile, answering to different logics, and yet reinforcing the argument, the « principle of precaution » and the cultural exception must be generally applied and written in the rules governing the WTO. The establishment of these parameters and of similar others are necessary to the ushering of a new economic regulation by means of a more advance social redistribution. It would guarantee Mankinds march toward general emancipation, making it finally possible to exit from Prehistory and to freely initiate a true human History, that of Freedom and of Equality.

This social horizon is now perceptible in concrete and not merely in utopian terms, at least by reference to historical materialism. It is thus now possible to think out reforms, in the domains of health care, education, urbanism, assistance programs to the needy, in brief all the social programs that are able to create the material conditions of existence susceptible to support more fulfilled individual personalities, that is to say personalities less crushed by the « alienation » resulting from their living conditions. The European structural plans destined to end in a few years should on the contrary be renewed sine die; they should be subjected to the criteria of absorption of legal and illegal immigration: In this way, some regions would benefit from a potential economic rebound and the European demography would globally benefit too.

Contemporary capitalist society could at the very least do away, to some extent, with its moral Puritanism, but it could never elevate it to the level of an Ethics of freedom susceptible to reconcile Man with himself and with society. Today, the inverse tendency affirms itself, capitalism having chosen to deal with unemployment, poverty and under-employment, and with the neuroses and psychoses it generates and accentuates, by means of a negative pedagogy (Gramsci), which invests all the spheres of life. The weakest are designated as dangerous in the name of the security of the richest, and thus destined to all sorts of repressive « social treatments », which induced goose pimples to a Michel Foucault despite his familiarity with the social control barbaric practices used in the past. Unless one does concretely refute the neoliberal and nihilistic pretentions, the « banlieue » and all the « damned of the Earth » will only have to expect a hiding as Marx beautifully puts it in a deservedly famous paragraph of Capital Book I in which he denounces the pseudo-democratic Eden of capital where only reigns Freedom, Equality, Property and Bentham (see the end of the paragraph in http://marxists.org/archive/marx/works/1867-c1/ch06.htm ) Marx explains that this bourgeois freedom allows the worker to freely enter into a contract with the capitalist, but only to receive a hiding from this democratic buyer who does not hide his arrogant pleasure in being now free to use the worker for the whole duration of the working day, just because he has paid his salary. The worker himself being reified by this bourgeois freedom has no other choice than to follow this man who controls the purse - « homme au sac » - and to resent in his flesh all the odious consequences of this exploitation. It is highly recommended to read Marx in the original here.

The nihilists of all stripes are prone to defend the system of Exploitation of Man by Man, but they should instead meditate the words of the Apocalypse, a prescient text which denounced the obsessed idea entertained by all those who sacrifice to the Golden Calf and who, in their merchants obsession, adopt as their own the number and seal of the « beast ». Yet, in the quoted text we see a very lucid Marx underlying this to denounce the reduction of Man to a mere commodity (See the original text in http://marxists.org/archive/marx/works/1867-c1/ch02.htm )

EPILOGUE

There is no doubt that the imperialist and theocratic World now willed by the United States of America and by Israel will, in the end, meet the same fate as its materialist version in Vietnam. Once again, the American armed forces are dispersed all over the Globe to wage the « first war of the XXI Century » naturally extended to Columbia and Peru. As we know, these two countries are dominated by an extremely fundamentalist bourgeoisie more involved in narco-trafficking than in practicing faith, but with leaders as corrupt as in Indonesia or the Philippines! Washington is more Guevarist than one might have thought: It is now busily trying to create two, five, ten Vietnams. Meanwhile, this incredible war waged against the CIAs « blowbacks » in Afghanistan already costs 1 billion dollar a month without any possibility for general Franks or his Commander-in-Chief G. W. Bush to explain to people who are not American or highly credulous « intellectuals » or « journalists », what on earth might be the real reasons causing this unnecessary spending, or even what would be needed to be able to finally declare victory and leave! There was worse still, as was unambiguously demonstrated, by the embarrassment and the confession of impotence provoked by the kidnapping and the brutal execution of a Wall Street Journal reporter, whom his kidnappers pretended to exchange against cocitizens abusively retained in Guantanamo.

Any bully trying to play Superman can be patiently undermined in a subterranean fashion, and be targeted by persons which cannot be really qualified as slaves boxed in their servility, although they remain prisoners of the same contradictions which affect their « enemy ». One day, no doubt, we will learn by what treason incompetence or premeditation the self-proclaimed « leaders » of these « blowbacks » made sure that they would not have retained the least Stinger missile, the weapon which had been successfully used in the Afghan mountains against the Soviet Army, before the US intervention. Nevertheless, it is in the nature of the « militants », even when they are led astray, not to share the « awakened » Machiavellian ideas of their leaders. So much so that the intensive and criminal bombings do precious little to resolve the underlying problems. For these betrayed militants, the barbaric war crimes will call for similar barbaric reprisals. Athens and Persia mutually destructing each others. At least as long as they will not revise their ideological premises, and will not turn the weapons left in their possession against their own leaders and their controllers within the known petro-monarchies. This remains logic. Can anyone think that humiliated people could swallow sheepishly laying down what happened at Mazar-e-Sharif? The illusion of brutal armed force rests on an externally imposed equilibrium, not on an intrinsic equilibrium. However, if democracies are tempted by the trial of force, and decide to choose a distinctly Nietzschean road, this illusion will soon become nightmarish. Be it as it may, years ago, the great American Marxist Harry Magdoff had brilliantly demonstrated the politico-economic setbacks linked to the will for a hypertrophied extension of the empire. Hello sadness of Mankind under such a darkened sky, that is typical of calamitous days!

Faced with this military expansionism placed at the service of an inegalitarian globalisation, it is preferable to listen to the only acceptable advice of the « philosopher » and protest before it is too late. We need to remind those souls who are over exalted by a truncated and unforgivably partial media covering, that the subservient ideologies of such as Glucksmann, Kouchner and many others will never substitute successfully to the prominence of the UN Charter or that of international law, be they secreted by the likes of Albright and other Wolfowitz. In particular, the UN Charter and the UN System embodying the advanced politico-social synthesis, the very fruit of the Alliance forged in the war and resistance against Nazifascism, are our true common temple and much more. Of course, we mean the original structures of the UN Organisation, duly cleared up of the monstrosities born out of the Cold War. These recognised the pre-eminence of the Socio-Economic Council over that of the Security Council, namely the pre-eminence of peace through socio-economic development over the use of force, this last being conceived in any case as a last resort available only when all diplomatic channels had failed. We affirm solemnly here that no Human Being, be s/he an Iraqi, a Palestinian or an Israeli child can ever be evaluated to one shekel, even when s/he does not have the good taste to be appreciated by pitres like Gluscksman and his masters, and even less by all the putative and self-proclaimed « Masters of the World ». The time will come when this egalitarian aesthetics will impose itself like an evidence as the sole aesthetics of authentic Liberty.

For now, to perverse ourselves from theocratic and imperialists neuroses, it is primordial to use the antithesis, and, to translate into action « these words which are not words of love B, putting once again ones own shoulder to the « great wheel » of the roman inachevé of popular conquests.

 

NOTES:

19) This might perhaps not be to the taste of Lévi-Strauss; in his desire to « elevate » himself from analytical concepts to civilisational and synthetical ones, he comes back on his youthful preference for Jean-Jacques Rousseau to grant it to Chateaubriand, thus revealing that he probably never did come to term with the first, putting aside any and all false polemics.

20) Benedetto Croce, What is living and what is dead in the philosophy of Hegel.

21) Freud quoted in Hughes, H. Stuart, Consciousness and Society, The Harvester Press, p 143.

22) The psychological problems of the mother ended up revealing a certain drifting, but are less exceptional in these milieus than it is generally recognised. Bushs own daughters themselves are obliged to turn the law to drink a glass of alchoholic beverage at 19 year old and above. This gives you an idea of the «transgressions » that are sanctioned and the restricted degree of privacy or intimate liberty structurally granted by the system.

23) Pertinent and exhaustive researches are needed. For instance, the scanners and other means of modern imaging provide new data on the brain. The brain, as we said, is not to be confused with the mind. Nevertheless, the study concerning the plasticity of the brain, and its capacity to regenerate cerebral cells, should be correlated with the « enlightened » zones exhibited by the brain of many schizophrenics. The same correlation should be established for all the known types of amnesia already classified. The experiences relative to the re-eduction of seriously wounded patients with cerebral lesions, but who are known to have recovered functions that were previously thought to be lost, should not be neglected; nor should the possible interventions to the neuronal level germinal cells in the case of Parkinson, Alzheimer sickness or, better still, given its specific expression, the Creutzfeld-Jacob sickness. The objective would be to understand by inference the role played by these zones, their functioning and the possibility, if possible, to regenerate these zones without loss of autonomy for the concerned persons. It should not be impossible either to succeed in « recording » the specific signature of each voice, since the subjects themselves are apparently capable to individualise and to recognise them: A signature in the form of electric activity could suffice, even though it is not without interest to understand in what sense these voices differ from a banal phenomena practiced by all Human Beings when they read, or when they speak silently to themselves in their own head. These recording of individualised « voices » could then allow in the future to differentiate between all the possible alternatives, which were already summed up by Plato in his Republic, - to wit «demons », «gods », « spirits » or « souls »- taken as a process of « elevation » or its opposite, or in a logic of reincarnation, or of metempsychoses. In brief, the time has now come to classify these voices without constraining or penalising the subjects. And, above all, by taking seriously what all schizophrenics themselves affirm relative to their « omniscience ». Here is an anecdotic story which I shall retain: By a sunny afternoon without any wind, a subject walks in a street thinking about this omniscience and decides to put his voices to the test asking them to move an old newspaper abandoned in the street fifty meters away. As he comes to the vicinity of the old newspaper, the wind manifest itself and the paper is moved in that direction. This anecdotic story raises many questions but thinking about it, it seems just typical of the phenomenon lived on a daily basis by schizophrenics. Of course, it cannot be excluded that the question was suggested to the subject by a force able to « predict » the event purely due to physical factors. (Added note: Jan 2014: For instance, technologies do extend the specter of the human senses, offering other evaluating capacities.) However, suggested or not, this does question all the methodological known problems. No one ignores the demonstration used to entice students to think about determinism, which consists in determining all the « causes » which contributed in blowing away the hat of Uncle Sam as he got out of his house to go to work. Since I progressed in my readings only after I decided to take seriously to the letter what schizophrenics themselves say, I do not doubt any longer the « veracity » of this anecdotic story. I also know that no one serious has ever seen the « Buddha cup » going against the current. However, if we think about what has been said concerning « forecasting » and « backcasting », these types of prowesses are even easier to induce in social relationships involving human consciousness. There is no reason to doubt what was said by Guattari and by the great Louis Althusser , namely, that we are all potentially over-determined and acted upon, unless we develop a very lucid consciousness of our own volition. In this essay, we pretend to develop neutral means to understand these phenomena independently of their objectifications. For instance, the investigation of the scientific conjecture of transmigration which could be possible for these voices in « predisposed » subjects. Here, the Hindu and Buddhist theories could offer « cultural » data to compare and would allow a rapid progress.

24) The Cuban budget of 2000. See the Cuban economic review Cuba Siglo XXI.

25) The milieu in which Glucksmann evolved professionally does exhibit numerous signs of paraphrenia. I was unfortunate enough to study in a university where the aggravated meanness between professors working in connection with domestic and allied foreign affairs departments and the others professors was such that they were not even able to tolerate each other, and ended up moving in different buildings. The worse among them all being former mandarins parachuted without reasons in doctoral departments, without any real qualification except their services rendered to the capitalist State; their main duty seemed to have been to ensure the last and most important selection of the graduates at the doctoral level! Later, I had opportunity to work in a department of political science where the tenured professors in the disciplines, comfortably sited on their seniority more than on their competence, and who moreover were using my own courses preparations, would themselves fall into the meanest departmental machinations rather than spend time preparing their courses. All the while they were pretending to manipulate the « new comers » in their mean little power trips. It cannot be hidden that they had a history of alcoholism, and in the case of one in particular also of drugs; this left indelible sequels given his old abuse of marijuana and mescaline, which made him predisposed to paranoia and to a permanent abuse of his connections within the administration. In both cases, the professors, who were closer to the unions and who were more interested in their courses than in the mean little departmental politics, had no other choice than to avoid to a maximum any relationship which did not strictly concern departmental work, or the well being of the students. When one realises that such behaviors are endemic, one rapidly loses certain illusions. In the process one wins in lucidity about human relations and learns to resort to a refined civility which preserves the rights of all, in the absence of the judicious intervention of the administration and of the unions. To judge by his manner to play with stale clichés nonetheless presented as «awakened » truths, Glucksmann seems to belong to those to whom this consciousness is lacking. The conceptual « deconstruction » of his tricks presented here will probably be useful to him. It will, however, be so for the Left which had nothing to do with this pretentious monckeing that has been tolerated for too long without a critique probably out of pity.

26) Desiderius Erasmus, Praise of Folly, translated by Hoyt Hopewell Hudson, with an introduction by Mishtooni Bose, Woedsworht Editions Limited, 1998, p vi.

27) The Catholic reactionaries Wojtyla and Ratzinger in the text Dominus Jesus (2000) have attempted a shameful recuperation of the figure of Christ for the benefice of their ecclesiastical structures ossified in time and nonetheless presented as the only font of truth, and thus as the only road to salvation. Good example of ecumenism or of exclusivism?

28) Popperian pseudo-formalisations box themselves tightly into the static Aristotelian neo-categories, given their laborious attempt to imitate the sets or ensemble reasoning. Of course, it is impossible to account for the History of Mankind on this basis, or even for Poppers human thought; and therefore, after a failed detour through neurological data, Poppers ends up trumpeting that human knowledge is unexplainable and that it is just a « miracle »: A conclusion which represents a deserved recompense for a life spent in reading, albeit with many after-thoughts, the critiques that had been addressed to him in good faith by the Frankfurt School, Adorno in particular.

29) This brand of Positivism is in truth very far from that of a Bertrand Russell; and even more from that of Immanuel Kant, who distinguished between social sciences, critique of pure reason and critique of practical reason i.e., epistemology at its best giving us in the process the essential methodological lesson in the former by distinguishing the logic of the method of investigation from that of the method of exposition: A lesson which Marx did not forget in his own draft methodological exposé.

30) Black, Sholes, Derman and the whole clique! (See the fate of the LTCM LP hedge funds!)

31) Jeremy Rifkin, The biotech century, Jeremy P. Tarcher/Putman Penguin Putman Inc, 1998.

32) See Réduction du temps de travail : les enseignements de lobservation, Rapport de la commission présidée par Henri Rouilleault, www.plan.gouv.fr/publication/rtt-rouilleault.htm, 6/22/2001.

33) Friedman, Milton Social security: universal or selective, American Institute for Public Policy Research, 1972, p. 72)

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APPENDIX ON EDUCATION:

ORGANISED SPOLIATION AS MAKE-BELIEVE REFORMS.

In the article « Rythmes scolaires: le recteur de Paris propose de libérer le samedi » (lemonde.fr, 20/12/2001), - Educational rhythm: Pariss rector proposes to free Saturday as a day off) we can read the following: « The rector proposes a 5-day school week, from Monday to Friday, with Wednesday afternoon off. The morning would be lengthened by half-hour (8:30 to 12:00) and lunch time shortened by 15 minutes (classes would start again at 13:45.) School days aside from Wednesday will end at 16:00 except Tuesday when classes would end at 15:00 with the suppression of the afternoon pause to allow for the organisation of catechism (1). An organised « preschool » time would follow after the classes up to 18:00 every day including Wednesday as well as Saturday morning. ».

(Note: Here, we prefer to use the term laicity to that of secularity because what is meant is not only the separation of church and State but the fundamental liberty to believe or not to believe, according to ones own duty towards ones own consciousness.) To free up Saturday morning constitutes a premeditated attack against the very principle of laicity which is the beating heart of the Republic. We can understand that the rabbis of France, backed by many people responsible for national education, as well as by a part of the Masonic lodges gone astray but adopting a low profile to avoid a backlash from French citizens of both genders, can find various ways to substitute laicity by a kind of Anglo-Saxon multiconfessionality, which even Israel would refuse to adopt. If the secular forces allow themselves to be trapped in this stratagem put forth by a re-emerging theocracy, it is due to the fact that the « reform » is masking its intentions. It advances surreptitiously. In fact, an unconscious confusion is created in the peoples mind so that, unconscious to them, it ends up as a crime perpetrated against children, who are citizens in the making. This is done by subjecting the school learning rhythm to extraneous and unconfessable logics.

It is essential to distinguish between the reduction of working time for adults and the learning times of children. This remains true independently of the budgetary arguments, which pretend that educational reform can only be done without modification in the allocated budget for a slightly lower demography, and thus without taking into account the accumulated delays, and the urgent needs for numerous improvements. In a Republic worthy of the name, a Republic which counts Rousseau, Condorcet and Jules Ferry among its heralds and, of course, many others in the USA, among which Dewey -, the learning time of children can only depend on the appropriate rhythms of their own fulfilment as social beings apt to liberty and happiness. (By definition, the basic program is common. But the rhythm and conditions in which it is accomplished depends on the curriculum of the various filières, which equally aim at the development of distinct specialisations in tune with the principal options chosen i.e., humanities, mathematics, sciences, informatics etc.) This rule is necessary for a good socialisation. However, within common times, the filières can be multiplied as it was done with the older system that distinguished A, D and C. In no case, this learning logic can be subjected to that of the RTT, or to the logic of capitalist profit. Even and above all in an epoch in which the European bourgeoisie would want to impose a wide implementation of its GATS treaty, and thus a rampant privatisation of the whole educational system with the backing of the WTO. Any foray in this direction should imperatively be plugged up before the communautary and international obligations end-up erasing the very spirit which sustains the republican system.

In the over-stressed contemporary world, this conceptual confusion is, after all, easy to perpetrate. Paradoxically, the transition to the 35-h frees up a part of the workers time, but raises the problem of the relation between work and family or household life. Ever since the emergence of the Welfare State, this problem was raised with acuity; it can perhaps be summed up in the following fashion: The capitalist salary is necessarily individual while the family size remains variable, even when it is subjected to the constraints of « social reproduction », especially before the generalisation of the various contraception methods. The result is a structural inequality within identical salaried groups. Family allocations were the first measures aimed at correcting this structural inequality. Others did follow; paradoxically in a masochist fashion? they are now undermined with the fallacious pretext of equity (2), and yet no one seems to bother to note that in the end the suppression of allocations, which are subjected to avaricious means tests, induce the pauperisation of the whole community, and of many peripheric neighbourhoods too!

In fact, today, nuclear families question themselves about the time spend together as mother, father and children, despite the beginning of a new RTT cycle. This is symptomatic of lacunae in the social and republican manner of managing the contradiction between individual salary and family, rather than being a proof of the inadaptation of the educational rhythms. These symptoms simply speak about the necessity to create more kindergartens, more haltes-garderies and to train more professional baby-sitters, these being initiatives with the potential to create more qualified local employment with a proven social usefulness. (In fact, for families, Saturday Morning School doubles as kindergarten and baby-sitting.) They also speak about about the fact that new ways to socially manage initial structural inequality must be imagined to sustain both employment and the families, and in so doing to strengthen the Social State. (3) As for the time spent in common by families, we have no illusion: If it has to be qualitatively worth it, that time will not be increased by freeing the Saturday for the children so as to free the weekends for the adults. In fact, in harmony with the learning rhythms and the affective rhythms of the families, it would rather be a question of reorganising the duration of certain educational holydays, or even the duration of the school year itself, give or take a few days. (The ideal educational week from the point of view of the optimal rhythm remains that of the Monday to Saturday morning with the Thursday after-noon off. The custom of « long weekends », as long as the time lost be catched up during the year, would also constitute a progress in the right direction.

Once these purely educational rhythms are respected, it would not be impossible to move the beginning of the school year, or of the many holydays, according to the regional context: But this would then aim at something quite different, namely the maximization of public services (for instance, in metropolitan areas, 80 % of public transport vehicles remain close to idle outside rush hours, holidays do cause rushes in the train travelling and long traffic lines on some highways, etc.). In no way these calendar shifts should be wider than strictly necessary. Similarly, they should apply at the regional level and never merely at the school level, because this would destroy the feeling of solidarity which results from shared general conditions experienced in common.) This argument is a fortiori valid for the working time of teachers and professors: Here too, the question is not to save money on the back of children, but instead to reduce the teacher/children ratio and to increase the number of teachers and support staff. In any case, the « freeing » of Saturday morning is nothing other than a suicidal illusion both for the children, for the teachers and for the Republic.

Contrary to the fallacious critiques levelled against the French republican education system, and contrary to the critiques simultaneously and pathetically contradictory because of their classist character concerning the Grandes Ecoles their graduates are collectively denounced as « énarques » -, this system is far from levelling. This is testified by the production and level of the said «énarques »; nor is the system intrinsically elitist though it fortunately rests on the Law of Great Numbers. Here too, the confusion and the gratuitous accusations should not occult the class motivations, which are more or less masked. To this must now be added the theocratic motivations coming from some quarters; these impulses seem to find some backing among many personalities within the present republican ministry of education, even though it cannot ignore the interests which motivate these attacks against laicity or the catastrophic social impact this will provoke. We know that less than 10 % of all students enrolling in university or in the Grandes Ecoles come from a worker or from a farmer background. We also know that the socialisation process during early childhood, and the influence of the family milieu, greatly influence future educational success. However, no single one of these known problems can be resolved by reforms that aim at the reduction of the teaching time, or at the increase of the number of students in each class, not even if the children are forced to catch up during the morning the time lost during Saturday morning; this would constitute a vain attempt not to sacrifice the contents but in general it would end up subjecting the mental breathing of the children to exogenous and in reality unconfessable considerations.

This should not be hidden. These types of reforms consciously sacrifice the children of exploited classes and the children who face difficulty at school. I have said elsewhere (v. Dioscures, culture et génétique, end of May 1998.) how, instead of imitating the ineptitudes of numerous presumed American and Anglo-saxons pedagogues about the links between genetics and « IQ » - which by definition are always partially evaluated - it would be far smarter and socially productive to investigate the hidden causes of the difficulties, which confronts certain children and to try to imagine the best forms of access to studies, as well as the possible relays from one filière to another that could be implemented. It is astonishing to see to what extend the new knowledge accumulated since, say Piaget and Makarenko, are not systematically integrated in teaching methods. (It would at least be important to draw some general conclusions from all the researches and experiments done to date in this domain.)

Yet, given the quality of the formation of the teachers in France, this could be accomplished rapidly without many expenses in terms of adapted formation. For instance, many young students fail when they start the Sixième, namely when they are faced with new reading conventions in mathematics: If they do not see that the logic of the sings addition or subtraction sings etc, parentheses etc ... in no way is an innate formalisation genetically given as such, but instead a set of conventions resting on the cerebral logical layer (see Stanislas Dehaene). In fact, these conventions were historically acquired with great difficulties and hesitations by mathematicians themselves as is amply testified by the development of algebra, This needs to be socially developed. Children are said to be bad in maths although no one ever noticed, despite the brilliant demonstration by Socrates related by Plato, that one had simply forgotten or had not known how to teach the specific reading of mathematics. Similarly, neurologists, French in particular, are attempting to distinguish between 5 different forms of memory. Would it not be better to notice that intellectual investigation often depends on it the non-memorization of Pythagorean tables, for instance, to give just one example, has the potential to transform into an insurmountable difficulty? It would be preferable to detect the problems linked to these modes of memorisation rapidly in order to correct them, especially since the natural plasticity of the brain allows intermodal forms of compensation.

(Therefore, each filière should perhaps be adapted in function of the difficulty to interiorise the introductory elements in each domain. Algebra remains the best example: It would be better to subject certain elements to along apprenticeship, thanks to appropriate exercises and to accelerate the pace once the bases are acquired. This would suppose that, inside each filière, the scheduling of learning time be adapted: A reinforced program for the introduction of algebra would be less heavy for literature, and only when the mathematical bases would be acquired would the relative importance of the various disciplines be readjusted. As long as the basic program be completed, if not during the year at least during a cycle, the needed flexibility should be taken for granted. Very often the only necessary thing consists in the planning of practical exercises done in common, during which the most advanced students would help the others, something which always represents a precious teaching per se. Above all, a special effort should be made to understand the causes underlying the difficulties faced by some students who are not able to lift them by their own means or in their family. Everything that could contribute in dissipating them should be accomplished. For instance, acting courses, corporal expression, dance, music courses adapted to the taste of the students, would be useful to develop the necessary self-assurance needed for all other learning processes. Interactive software can also allow the repetition of certain basic learning, without inducing embarrassment or a sense of oppression. Such software should be freely provided or made available to the students who need them. Personally, I like to see free or leased PCs, thanks to which the less well-off students could access these software, special learning games and also dictionaries and electronic books. (Added note Jan 2014: This is now easy through Internet, and through the basic low cost PCs.)

Taking these variables into account, the real superiority of the public and laic system of education would be obvious. For a lesser percentage in terms of GDP, it is the only system capable to offer to the greatest number all the advantages linked to individual tutorials. And, on top of it, to guarantee equal access to knowledge and to a true citizens socialisation process. As a bonus, the citizen formation of the elites would ensue making it possible to claim a non inegalitarian meritocracy placed at the service of the Republic. Given its formation, it will also naturally conceive its own fulfilment in tune with that of the people to which it belongs, and which it is pledged to serve, whatever the conception one entertains with respect to salary equity and to redistribution of wealth, be s/he from the Right or from the Left. No doubt supplementary measures should be implemented to further strengthen these obvious advantages of the public system. In particular, I am thinking about the natural adaptation potential of the old filières A, D, C, once the decision would have been made to really take into account the different learning rhythms without inducing feelings of guilt in the students, and without marginalising them with the imposition of catch-up courses, while leaving them in the same classes where they can hardly follow.

Students should be evaluated carefully ; thus, according to their respective strength, it should be possible to conclude the mathematics program, corresponding for instance to the old filière A, thanks to the implementation of the needed sub-filières. Some need more time than others to learn the reading of the initial conventional signs and to memorize the tricks and « patterns » necessary for further progress (for instance, the familiarity with the mechanics of factoring.) After all, according the economist Arghiri Emanuel « mathematics is only the stenography of logic. » Aside from heavier cases, who knows a child who lacks logics from the beginning? Of course, what is true for sings and for the mathematical language, is equally true for the other disciplines. The republican educational system can and must aim to accomplish an identical task as was pursued by a Raimond Lulle, to wit, the development of appropriate tools that could allow each and everyone to reach an adequate level of learning in order to guarantee his-her autonomy and thus his-her freedom. The dialectic of master and slave, enlightened in a systemic fashion by Hegel, demonstrates, if that were still necessary, that it is preferable to leave the social and intellectual horizon of the creation of a new domesticity to these uncouth pseudo-elite, often parvenu or recently gone from rags to riches; peoples who too easily confuse their often usurped situation for the essence of things. Humanity cannot be conjugated with the organisation of mass ignorance be it in English, in Hebrew, in Yiddish or in any other human language, living or dead.

The hours of learning lost from kindergarten to grade 12 or 13 can only be made up with great difficulty later. This is especially the case for children coming from a less wealthy and more exploited background. In some cases, it will be possible to catch up and even to overcome the acquisition of specific contents, if enough will is deployed to do so. But this will remain difficult as far as the bourgeois forms of leaning and acquired knowledge are concerned. However, it is mainly on these bourgeois forms that the selection is made. It suffices to re-read Kant or Marx concerning the intimate relationships, which exist between mode of investigation and mode of exposition, to realise that the modes of expression can transform into frightful class weapons, aside from being, in the best of cases, a necessity to restore the « concrete-in-thought ».

Some have pointed to a specific problem, that of exams and concourses falling on Saturday. This does not authorise any one to confuse these exams and concourses with the classes themselves, nor to draw general or even universal conclusions from these particular problems. A simple ministerial directive would suffice to ensure that no exams or concourse would be held on Sunday, Saturday or Friday (Or else, if it is impossible to satisfy all faiths, laicity implies that the exception must come from the religions or groups involved and certainly not the other way around. All religions do provide the possibility for such occasional exemptions.) We would thus rapidly dispose of a false problem created under highly fallacious pretexts.

Republican reforms worthy of the name would deal with the real problems we alluded too, in order to insure that « any child with the potential to become a Raphael could really become so ». Otherwise, the horizon which will be adopted will be that vigorously denounced by Harry Braverman more than two decades ago, when he remarked that modern capitalism only required a minority of highly qualified professionals and a servile majority with no more than an American Grade 9 (see, Harry Braverman, Labor and Monopoly Capital: the Degradation of Work in the Twentieth Century, Monthly Review Press, 1974) The development of knowledge-capital (see Christian Palloix) does not change anything given that most subaltern programming tasks are increasingly « taylorised » themselves through other more evolved programming programs. Recall the experience of the Manhattan Project: It had been noted that telephone operators, mainly women, specifically selected for their docility and carefulness, did resolve most of the concrete problems and bugs emanating from the complex wire electric circuits neatly imagined on paper by teams of the greatest engineers and savants of the time. (Added note Jan 2014: I am wont of recalling the conclusions of Sola Price offered in the Seventies; he noted that more scientific discoveries had been made during the last 50 years than during the whole previous human history; he added that, in their overwhelming majority, the IQ of the scientists involved were just average. Althusser added another crucial element pointing to the role of the organisation and financing of research teams rather than to isolated so-called individual geniuses. The illusion of some concerning their own incestuously conferred merit is nothing but the lucid and cynical defence of acquired privileges, which often translates into socio-economic, cultural and educational catastrophe for the 99 % of more modest citizens.)

The educational corollary of GATS has already planned the midterm destruction of free and laic public education, and has thus already andsurreptitiously chosen this under-qualification policy for the majority of citizens of all genders. The republican minister Jack Lang should really try to follow another route than this specific one. Soon, on top of the often incestuous and classist letters of recommendation, one will also have to obtain, like in Canada, a pastoral letter or its rabbinical equivalent or other, to teach and study in private schools, thus subjected anew to religious control worthy of a different age.

In the country of Lucien Malson and of Jean-Paul Sartre, the argument focusing on genetics would not go very far. However, one must fear that the same reactionary forces, which now dare preach in public the genetic inequality of people, and the necessity to culturally regress from laicity to multiconfessionality in order to better dismantle the simulacra of American and Anglo-Saxon public education systems, will attempt to reach the same objective in Europe and in France with the fallacious pretext to adopt more flexibility better adapted to modern life. An argument which, for good measure, would be backed by reference to the 35-hour RTT , or again, depending on the context, by reference to its reverse, namely tress induced by the generalisation of precariousness and a limitless, if only recurrent, workweek (Added note Jan 2014: The EU has opened the door to the 48, 60, 65 and even 72 hours of work a week!!!) The bourgeoisie has the luxury to develop its « longer views » as Paul Baran so aptly called them. It rarely attacks popular conquests frontally, especially when popular organisations are solid and ready to fight. It thus prefers to patiently accomplish, with an ability derived from a long experience of power, a slow and pitiless undermining of labor organization and parties, carefully infiltrating them and taking detours when needed.

The confusion of the logic of profit and that of learning rhythms would amount to a crime against the spirit. Therefore, since neither Jack Lang nor any other person would conceive the freeing of Friday morning rather than that of Saturday morning, despite the overwhelming weight of French citizens coming from a Muslim background, one should promptly return to republican wisdom, and show more respect for better learning rhythms: Free Thursday after-noon and keep Saturday morning. Students will breathe better. In their moments of wisdom, all organised religions have foreseen possible exceptions and accommodations when needed. As was reaffirmed during the polemics around the veil, the secular and laic Republic must remain actively neutral in religious matters, and thus it must avoid favouring one specific denomination while taking great care to socialize all citizens of both genders, that is to say all future citizens, equally under the same system.

The thinking of some neoliberals anxious to privatize should not matter; nor should that of some French rabbis forgetful of the Résistance as much as of the emancipation brought to their groups by this same laic Republic. Similarly, the current thinking of a portion of the Masonic lodges gone astray should be condemned. It should also be noted that these have never been elected by any one, but nevertheless weigh an undue weight to force the transformation of republican neutrality into unconstitutional multiconfessionality, thus opening the road to the soft return into the Procrustean bed of theocratic servitude.

The present minister of education, or else the Left government to which he belongs, should know instinctively that no such modification of the very spirit of the Republic, done through flanking attacks, piecemeal, regions by regions so to speak, and without a real national debate and even less without a national referendum, should ever be allowed. If past experiences induce fear of a national open debate, in truth the only acceptable democratic option, then one should revert to the statu quo ante. The People and its popular and unions organisations should never follow obediently, and with their hands tied up in their backs, their leaders, whoever they might be, be they elected democratically in republican instances, or in a Censitarian fashion in other more or less occult instances. «Woe onto the people who needs heroes » exclaimed Bertolt Brecht in his magnificent Galileo. The Russian experience in the late 80s and early 90s showed how necessary systemic reforms were quickly lead to usurpation to the profit of an anti-communist mafia bourgeoisie; above all, it demonstrates with what disconcerting facility the popular conquests won through hard struggles can be dismantled when they are not defended by the people itself. The laic French Republic was the first to conceive and to generalise these public services. It now has the duty to initiate the healthy reaction which will, once and for all, slap shot the door in the face of the new chevaliers of voluntary servitude.

Paul De Marco

(Ed. La Commune Inc) 21/12/2001.

Notes:

1) One is thus sure to oppose the laic elements to the Catholic clergy! In the same fashion, the Israelis have become masters in authorizing the construction of Mosques on parking lots which were so far reserved to Christian Churches in the Occupied Territories. Divide to conquer and to rule. This manifests a sense of manipulation more than a sense of tolerance (The remark is mine and should not be attributed to the newspaper.) The systems based on universality of access to services and on their gratuity i.e., collective financing - not only prove less dispendious than similar services offered by the private sector; above all, they create an interclass solidarity which the same public services subjected to capitalist rentability and private management cannot create. Yet, this solidarity constitutes an extraordinary objective force in support of the Social State. It was possible to verify it again in an exemplary fashion, in 1995 and 1996 with the demands put forth by the truckers who brilliantly raised the question of solidarity in the form of employment and remunerations.

 

2) One could for instance revisit the nepreryvka, the old Bolshevik experiment which consisted in reorganising the customary 7-day week in a 5-day week, thus allowing the alternative freeing of one fifth (1/5) of the total labor force. Obviously, without immediately modifying the 7-day week, or a fortiori modifying the general calendar, one could start studying a RTT going in that general direction. (Let us not forget, however, that the reform attempted by Robespierre failed because it uprooted, without obvious reasons, too many habits, and moreover it ended up creating a longer working year for a majority of the peasantry accustomed to numerous religious holydays.) However, there is no need once again to uproot the weekly rhythm of children. More flexibility would be gained. For instance, in the use of collective transportation and in the use of the other public services with the repartition of the workerscohorts, in the eventuality a continuous new working week be adopted. However, let us repeat that this does follow from a productivity logic, not from an educational logic. Both should be kept separate. I have said elsewhere that the financing of a new cycle of RTT say in twenty years should be prepared long ahead. I had thus proposed the institution of a Fund specifically financed through a levy on real productivity gains. In a first instance, this fund would help finance the implementation of the 35-Hour RTT, especially as far as the simplification of the salary scale is concerned so as to raise the lowest salaries; later, on that basis, it would help finance the new cycle of RTT. (see Tous ensemble) In the XII Century, Joachim of Fiore had already imagined the « 4 Thursday week », if I dare put it this way. By freeing Sunday, Saturday and Friday, he thought to realize the concordance through equality of the exigencies and becoming of all three main monotheist religions. To that he added Thursday as a common day for all. Obviously, this first approach to lacitiy concerned religious duties and rituals, not working time. However, a modern Republic cannot conceive a fragmented educational timetable according to strictly religious and theocratic demarcating lines. The time spent in common within the framework of the republican and laic education system constitutes the only egalitarian and just manner to bring this precious thought of the Calabrian Abbot to its real conclusion.

 

Bibliography of the essential works used here and without which the major conclusions presented could not have been reached:

Marx, Karl, Le Capital, Lidéologie allemande, Le 18 brumaire, Les luttes de classes en France (1848-1850), Le manifeste du parti communiste, La Pléiade.

Einstein, Albert, Why socialism?in Monthly Review, May 1994, p. 46-53

Gramsci, Antonio, Quaderni del carcere, Einaudi Editore, 1975 Vol. I, II, III, IV.

Vico, Giambattista, The New Science of Giambattista Vico, translated from the third edition by Thomas Goddard Bergin and Max Harold Fisch, Cornell University Press, 1979

Vico, Giambattista, The Autobiography of Giambattista Vico, translated from the italian by Max Harold Fish and Thomas Goddard Bergin, Cornell University Press, 1975.

Mottu, Henry, La manifestation de lEsprit selon Joachim de Flore, Delachaux & Niestlé S.A., 1977. ( This is the best introduction to start reading Joachim of Fiore).

Bloch, Ernest, Le Principe Espérance, nrf Gallimard, 1982

Croce, Benedetto, Ce qui est vivant et ce qui est mort dans la philosophie de Hegel. (What is living and what is dead of the philosophy of Hegel, University Press of America, c. 1985). Croce est aussi un spécialiste reconnu de Giambattista Vico

Collingwood, R. G., The Idea of History, Oxford University Press, 1956

Dilthey, Wilhelm, Pattern and Meaning in History, Harper Torchbooks, 1962

Machiavelli, Niccolo, Il Principe e altre opere politiche, ed Garzanti, 1981.

Liehm, Anton, Trois générations, Préface de Jean-Paul Sartre, nrf, Gallimard, 1970.

Hughes, H. Stuart, Consciousness and Society, The Harvester Press, 1979.

Freud, Sigmund, The origin of religion: totem and taboo, Moses and monotheism and other works, translated from the german under the general editorship of James Strachey, present volume edited by Albert Dickson, London, NY Penguin, 1990, c. 1985

Freud, Sigmund, The interpretation of Dreams (The Standard Edition of the Complete Psychological Works of Sigmund Freud, translated by James Strachey, London, 1953.

Jones, Ernest, The life and work of Sigmund Freud, NY, 1957.

Malinowski, Bronislav, Sex and repression in savage society, Meridian edition, 1955.

World archaeoastronomy, Selected papers from the 2nd Oxford International conference on Archeoastronomy Held at Merida, Yucatan, Mexico 13-17 January 1986, Cambridge University Press, 1989.

As far as International Relations are concerned, the two following reference documents are useful and are keep up to date annually :

LEtat du Monde, édition La Découverte/Boréal

Ramses : Rapport Annuel Mondial sur le Système Economique et les Stratégies, sous la direction de Thierry de Montbrial et Pierre Jacquet, publié par Dunod pour lInstitut français des relations internationales.

Paraphrasing B. Croce, the history of the bourgeoisie is nothing but the « contemporary history » of its class interest. Thus, when one consults the Encyclopedia (Universalis, Alpha etc.,) it is always better to prefer the editions that were published before the 80s; they were written at a time when credible intellectuals were « intellectuels de gauche. » (Added note Jan 2004: Fortunately, thanks to Internet, one can now access Wikipedia and many other non self-censored sources.)

Acknowledgments:

My sincere and warm thanks go to the newspaper Le Monde interactif and to Mr. Patrice Vidal who authorised me to quote this great newspaper keeping the quotes to « reasonable proportions »; to Wordsworth Editions Limited and to Mr. Dennis Hart for the authorisation to quote from the introduction to Erasmuss Praise of folly; and, finally, to Mr.. Earle Gill from the Globe and Mail, for the same reasons. There is no doubt that their courteous and prompt answers testify about their attachment to intellectual work and to the respect due to the conditions in which it is achieved. Therefore, my gratitude goes to them (especially since, from June 1995, I no longer enjoy optimal working conditions because of a criminal bourgeois intellectual and academic administrative exclusion.)

As for the authentic Left, it is forever indebted to Karl Marx for having sacrificed his life to produce a monumental work which constitutes one of the most precious collective heritages of Mankind, and also for having written a French edition of Capital. The references to his works are easily traceable in any editions. If I quoted the La Pléiade Editions, it is certainly not because I believe it to be the best; in fact, Maximilien Rubel is a typical example of obtuse, paid and selective Marxologist. This edition was quoted out of courtoisie to the French readers attached to exhaustive editions that are easily accessible and beautifully produced. (Added note Jan. 2014: With Internet we now have easy access to www.margists.org and other such precious online resources.)

My special thanks go to Mr. Paul Spivak for his friendly and disinterested assistance every time my informatics material failed.

 

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